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Les douches froides ont été une des méthodes criminelles dans la communauté confessionnelle de Wila.

(Photo:
Keystone)

Traduction en français d’un article en allemand :

http://www.20min.ch/news/zuerich/story/Zu-Tode-erzogen--im-Namen-des-Herrn-15654952

LA MALTRAITANCE DES ENFANTS

29. Novembre 2010 12:00; acte: 29/11/2010 20h41

Eduquées à mort, au nom


du Seigneur
Attila Szenogrady – Lors du premier jour du procès concernant le
drame sectaire de Wila, le point central a été le père des deux
enfants torturées. Il s'est révélé comme un homme de conviction et
a défendu ses méthodes cruelles de l'éducation.

Au sujet de la

Torturée à mort: Le "Jésus-haschisch" de Wila est traduit en justice

Une fois seulement le défendeur 44-ans a été au bord des larmes. Il se souvenait du
10 mai 2006. Ce jour-là, sa fille de presque de cinq ans, Gabriela est décédée à
l'hôpital de sa grave blessure cérébrale. Son ancienne compagne avait secoué à mort
sur le sol de la salle de bain la fillette émaciée ne pesant plus déjà que douze
kilogrammes.

C'est la pire chose qui lui soit arrivée, a dit l'accusé, qui s’était présenté devant le jury
avec les cheveux longs attachés en arrière, et un corps athlétique tonique (*sportif).
Sinon le père se montrait extrêmement suffisant, toujours agressif, et même parfois
arrogant.

Innocent devant Dieu

A l’ouverture du procès a été lu le volumineux acte d’accusation. Le ministère public y


mentionnait que l'accusé, déjà depuis 1998, vivait dans une communauté sectaire
dans une maison isolée de Wila et (que) ses deux filles ont été soumises un régiment
(*régime ?) d’éducation sévère. En faisaient partie coups, privation de nourriture,
douches froides, dormir sur le sol et rester assises pendant des heures ou monter les
escaliers.

L'accusé se référait à l'enseignement du théologien conservateur, Jakob Lorber qui,


au 19e siècle, avait exigé (*en appelait à) une discipline sévère pour l’ "élevage"
personnel (*des enfants des adeptes). Avec pour but de briser la volonté et l’indocilité
des enfants. L'accusé a défendu devant le jury ce point de vue (*du genre) ancien
testament et se considère donc innocent devant Dieu. Celui qui ne punit pas ses
enfants, ne les aiment pas, a-t-il enregistré (*déclaré ?) au procès-verbal.

Une morale hypocrite à deux poids deux mesures

L'enquête judiciaire du président Pierre Martin Président a démasqué les convictions


religieuses de l'accusé, né en Angleterre, en tant que en effet morale double hypocrite.
Ainsi le père justifiait la punition sévère de ses deux enfants par leurs mensonges.
Lui-même n’avait aucun problème à mentir tout noir de façon répétée lors de
l'enquête aux autorités.
Dans sept interrogatoires de police il avait affirmé, contrairement à la vérité, que sa
fille cadette avait contracté des blessures mortelles lors d'une chute dans les escaliers.
Il avait aussi déclaré il ya trois ans qu’il ne procréerait jamais plus d’enfant). En juillet
dernier, sa dernière petite amie a mis au monde une fille. Le bébé vit maintenant chez
des parents nourriciers.

Par «erreur de diagnostic" mettre la main sur IV pensions d'invalidité

L'accusé n’a raté aucune occasion pour dénigrer aussi le psychiatre du tribunal
compétent. Le trouble de la personnalité constaté, il l’a qualifié d’erreur de diagnostic
volontaire/intentionnelle du médecin. Il dit qu’il a un esprit sain. Ce qu'il ne l’a pas
empêché, avec la même attestation (*sous-entendu du médecin), diabolisée par lui-
même, de toucher des prestations mensuelles d'invalidité mensuelles de 1300 francs

Il interdisait à ses deux filles la consommation malsaine du chocolat et le port de


boucles d’oreilles. Il ne se gênait pas lui-même pour fumer du haschisch et porter une
boucle d'oreille.

Assistante sociale en tant que suiveur *(accompagnante ? chargée de


suivre les dossiers ?) classique

Le soir, la deuxième personne accusée pour blessures graves était interrogée.


L’assistante sociale, maintenant 62 ans, a été une co-habitante du patriarche
consommateur de haschisch, et est en apparence une classique suiveuse. Elle a dit au
tribunal que l'accusé avait apporté un nouveau vent dans sa vie et qu’elle l’admire
encore aujourd’hui. Il était comme son frère aîné.

L'enquête sur son passé a montré que la femme, de la Suisse orientale, était déjà
auparavant portée sur les sectes (*vulnérable aux sectes) et avait même abandonné,
au début des années quatre vingt dix, au moment de l’entrée dans la secte Bhagwan,
même son fils, alors âgé de sept ans. Plus tard, elle s'est aussi tournée vers les
enseignements de Lorber et a dû à cause de cela pendre au clou (*abandonner) son
travail d’assistante sociale. Il est établi qu’elle a soutenu le système punitif de son co-
habitant. Cela a été confirmé par le père. Ainsi, a-t-il dit, personne dans la maison ne
l’a empêché de châtier ses enfants à sa façon/manière.

Ex-petite amie: homicide intentionnel?

Mardi, le procès se poursuit avec le premier témoin. Il s’agit de l’ancienne petite amie
du gourou, maintenant âgée de 26 ans. Elle sera jugée au printemps prochain pour
assassinat prémédité dans un autre tribunal. Le mercredi, sont au programme les
séquences vidéo de la deuxième fille. L’écolière, maintenant douze ans, a survécu à
l'horreur, mais souffre du syndrome de stress post-traumatique.

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http://www.20min.ch/news/zuerich/story/21765094

TORTURÉE À MORT
21. Novembre 2010 23h45; acte: 21/11/2010 23h47

L
e "Jésus-haschisch" de
Wila devant le tribunal
Attila Szenogrady – A Wila, ZH, une communauté sectaire a
torturé régulièrement deux fillettes. Gabriela, 5 ans, n’a pas
survécu à la torture. Le père et une assistante sociale
comparaissent en justice.

Siège du jury.
Le cas choquant de la communauté de Wila, Oberland de Zurich, s’est déroulé il y a
plus de quatre ans. Le 9 Mai 2006, une petite fille de cinq ans du nom de Gabriela,
grièvement blessée, est transportée à l'hôpital et décède quelques heures après. Les
déclarations du tuteur légal, que l'enfant serait tombée dans un escalier s'avèrent être
un mensonge. Les examens médicaux ont montré au contraire que Gabriela a perdu
la vie à cause des conséquences de traumas graves de secouement (*ces cas de
secouement de bébés sont bien connus). La police a alors arrêté le père, maintenant
44 ans, et sa petite amie, 26 ans. L'homme a été baptisé par la suite le Jésus-
haschisch fou de Wila dans les différents médias.

Système d'éducation cruel

Au cours de l'enquête (*information menée par la justice), il apparut que le chef de


famille ne vivait pas seulement sa petite amie, mais aussi avec une assistante sociale,
née en 1948, dans une communauté sectaire. Le trio se basait (*était porté, orienté)
sur les écrits du fanatique religieux Jakob Lorber, qui, au 19e siècle, prônait une
discipline chrétienne sévère pour les enfants. Les deux filles du père accusé ont
souffert massivement. Selon l'accusation Gabriela et sa sœur aînée de trois ans
Salomé ont été soumises à un système cruel de l'éducation.

En faisait parti les passages à tabac réguliers, la violence psychologique et la privation


de nourriture. Les deux enfants étaient de deux femmes différentes. Les mères
avaient confié leurs filles quelques mois après la naissance au père seul pour
l'éducation.

Poursuivi pour blessures graves

Dans une semaine, le "Jésus-haschisch» et l’assistante sociale devront répondre en


raison des multiples blessures graves devant le jury de Zurich. Les deux n’avoue pas
(*plaident non coupable ?) et vivent maintenant dans le canton de Berne. Dans l’acte
d'accusation il leur ai reproché un système de punition tyrannique, inhumain et
dégradant. Les enfants ont été battues, douchées à l’'eau froide ou attachées à un mur
avec du ruban adhésif. Elles devaient dormir à même le sol et monter des escaliers
pendant des heures. Quand Gabriela sous-alimentée est morte, elle ne pesait plus que
12 kilos.

Procès séparé de la principale accusée

La principale accusée est l’ex- partenaire, âgée de 26 ans, du père. Elle doit avoir
secoué sa belle-fille Gabriela à mort. Elle aura à répondre, mais seulement l'année
prochaine dans un procès séparé pour assassinat prémédité. Comme l’étudiante, au
moment des faits était âgée de moins de 25 ans, elle fut autorisée à choisir le lieu du
tribunal et a récusé le jury. Le processus du jury prendra plusieurs semaines. Le
verdict est prévu pour le 17.

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