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MONDE ET ROUTES

Carnets de Route

Monde et routes

C'est notre devoir d'ouvrir autour de nous les grands


trésors de l'esprit au monde, d'escalader les éverests
de l'âme africaine jusqu'ici encore cachés dans les
croyances de l'oubli et c'est pourquoi je chante sur
l'Afrique, l'Afrique que je connais et que j'aime si
tendrement.
Laissez-moi terminer sur une note capitale de
matérialisme, nous en tant que race, avons souffert
d'une grande privation physique occasionnelle par
l'esclavage, l'impérialisme et toute les autres formes
obéissantes de la contrainte physique.
Mais les inaptitudes physiques résultent de ces formes
d'agression ne sont rien par rapport aux énormes
pertes intellectuelles et morales que nous avons
Subies au cours des années, en vérité de mauvaises
conditions physique, tel que le travail forcé.
Il doit être clair pour nous cependant que les choses
contre lesquelles en tant
Que race, nous devons résister sans compromis sont les
derniers vestiges de
l'agression intellectuelle et culturelle qui existe de
notre temps, ceux-ci sont plus insidieux parce que leurs
épreuves sont peut-être encore plus paralysante que
l'impérialisme et le colonialisme, nous pouvons voir
l'impérialisme politique parce que l'aspect de ses
chaînes est évident, mais l'impérialisme culturel qui
comporte les restes dévastateurs de la subordination
politique est une force aveugle qui déprécie nos trésors
traditionnels et même quelque fois nous rend honteux
d'être trouvés associées avec eux en fois des cultures
soi-disant élégantes de l'ouest, bien des gens,
exaspérés par les inégalités apparentes qui existent
entre les deux cultures africaines et européens ont
souvent jeté leur armes en désespoir de cause et
déclaré que nous ne devons rien avoir à faire avec
notre passé parce qu'il apparaît relativement arriéré et
parce que cela prendrait des siècles pour le hausser au
niveau des modèles occidentaux, ils saisissent toute
occasion d'extraire notre riche culture des toutes
puissantes du passé et balayant les poussières grises
des siècles, d'exposer celle-ci sous sa splendeur
nouvellement retrouvée pour que le monde la voie et
l'admire.

Lettres et humanité

Certaines personnes cherchent à denier notre droit


inaliénables à l'humanité et oublient que notre bien qui
traversant des chemins différents, n'en est pas moins
glorieux.
Si nous revenons à notre pensée, si nous ne prenons
pas nous pas nous même d'initiative de faire part un
monde extérieur de ce que nous possédons dans notre
propre terre, le monde occidental n'apprécieras
vraisemblablement d'aucune manière les valeurs que
nous possédons, notre
Musique peut être étrangères seulement pour des
oreilles inexcerçées de la
Même façon que d'autre langues nous la paraîtrons à
nous, avant que nous n'ayons eu l'occasion de les
apprendre, nous devons reconnaître, cependant que la
valeur de notre musique et nos langages en tant
qu'héritage universel dépend beaucoup de notre
aptitude à les interpréter pour le monde extérieur, c'est
ainsi que nous pouvons transformer des trésors
régionaux en un héritage mondial que nous serions
fiers de partager librement avec nos voisins.
Le respect pour le pouvoir politique est grand, il en est
de même pour des découvertes scientifiques et pour de
grands exploits d'endurance physique comme la
traversée de l'atlantique mais il n'y a aucun doute que
le monde tient également en grand estimes les efforts
des individus pour révéler les trots complexes de
l'esprit au bénéfice de l'humanité.
Les résultats en ce domaine conduisent à une
compréhension plus grande de nos problèmes et créent
l'harmonie et le respect mutuel sans lesquels nous ne
pouvons pas goûter les découvertes de la science, ni
appreçier le plaisir de la réalisation qui doit venir de
l'escalade des sommets de l'Himalaya.

Collections d’histoire

Les collections dans les bibliothèques d'histoire qui


devraient procurer à nos futurs romanciers une source
presque intarissable d'inspiration, en outre, les riches
proverbes de tribus africaines variées contiennent
logique et philosophie d'une manière peut être sans
compassion partout ailleurs.
Quant à la musique et la poésie, la véritable et sincére
cadence d'une mélodie puissante et des mots, nous en
possédons une réserve qui est probablement
Plus riche qui toute autre dans le monde entier.

Il existe deux dangers à considérer dans notre retour


vers le passé, l'un est d'origine interne et l'autre
externe, le danger interne découle de la satisfaction
qu'on éprouve à l'invocation du passé, manifestation
d'un chauvinisme étroit qui applaudit sans discussion
les conceptions démodées de la vie indigène, ceci est
quelque fois le résultat d'un certain complexe
d'infériorité qui déteste l'étalage des faiblesses à
l'encontre des nouvelles impulsions et des compétitions
et préférer rester précisément dans les bosquets
inchangés de la traduction, les puristes du langage, les
readitionnalistes en musique et en art et les
conservateurs en matière d'habillement appartiennent
à ce groupe, ils tuent le progrès et font paraître ridicule
la nouveauté par leur attitude suffisante, ennemis du
nouveau.
Il ya aussi l'espèce également destructrice des critiques
de l'extérieur qui considèrent la civilisation des gréco-
romains comme le rempart exclusif du monde
occidental, ceux qui soutiennent que la philosophie
d'Aristote est au-delà de l'entendement des peuples
des autres nations, que les axiomes d'Euclide ou la
musique de Chopin sont choses gâchées sur les esprits
africains ou asiatiques parce que les réactions sont
dérivées d'origine différente, peut être bizarres.

Conscience nouvelle

Les cultures africaines comme base d'une manière


d'écrire originale, le mouvement pour l'expression des
idées africaines dans une écriture originale
Est considérée de plus en plus comme une révolution
contre l'occident, je
préférerais ne pas parler de révoltes parce que la force
de ce mouvement est surtout constructive, avec une
puissante passion pour la création et une conscience
nouvelle de son origine, ce mouvement n'a pas de
rapport avec la violence ou la haine et il ne s'intéresse
pas non plus à la sorte de destruction qui apparaît
d'habitude à la veille des révolutions, la seule manière
peut être où l'on puisse penser à une révolte contre
l'occident est l'ampleur avec laquelle cette action
manifeste un sérieux mecontement devant la mince
production du travail littéraire original et créateur par
les africains.
une étude générale des efforts tentés par les africains
dans leurs passé littéraire monterait probablement que
le travail de ces pionniers a été presque entièrement
basé sur les procédés et les modèles acceptés par leur
patries occidentales d'adoption ainsi les écrivains
africains dans les territoires occupés ont écrit en
langue étrangère et principalement au sujet d'idées et
de situations caractéristiques de la nation dominatrice
et d'autres ont écrits d'après leur affiliation coloniale, il
existe même consignée par écrit , une traite de
philosophie en latin des plus érudits.
on admet que pour de nombreuses années à venir et
jusqu'à ce que des langues nationales largement
acceptées puissent être développées, ce procédé d'auto
expression en langue étrangère doit être accepté, c'est
un
problème pour lequel on ne peut pas trouver de
solution immédiate, mais un effort concerté et
déterminé doit être fait pour l'examen soigneusement,
en critique et sans passions, car un mal plus grand
pouvait apparaître d'une rupture soudaine et sans
discussion d'avec notre passé immédiat, si une pareille
rupture se produisait, il existerait un sérieux hiatus
dans la production littéraire, et le progrès intellectuel
pouvait être arrêté, peut être des groupes littéraires en
Afrique porteront-ils un intérêt urgent à la nécessité
d'étudier ce problème.

Ecriture et monotonie
Nous devons nous occupé nous-mêmes, immédiatement
d'un grand problème pour lequel il pourrait y avoir une
solution qui serait largement récompensée, ce
problème est le fait désagréable que la majorité des
livres sur un ou un sujet de l'Afrique ont été écrits par
des étrangers qui écrivent suivant la poésie particulière
qui les intéresse, les africains se sont élevés contre cet
état de choses depuis longtemps, et nous devons faire
maintenant un effort pour le supprimer, dans mon
propre pays une nouvelle société d'écrivains a
commencé avec énergie à s'occuper de ce point fable et
fait de son mieux pour s'assurer le concours actif des
bureaux d'éducation du gouvernement, des missions et
des institutions privées en encourageant la production
par les africains d'une littérature dans la communauté
et ailleurs, en vérité, il va sans dire que le stimulant
principal pour un trait créateur en Afrique devrait
émaner de notre propre pays, il existe dans celui-ci une
richesse de culture qui peut devenir la source
principale d'un grand héritage littéraire, on trouve
Là, au coeur même de l'Afrique, les sources fraîches
d'une nouvelle vie que la nature réserve au monde
fatigué et surmené par le dégoût de l'uniformité pour le
soulager de l'ennui et de la monotonie.
Les écrivains africains peuvent être fiers de ce grand
héritage, quelque chose qui est riche et frais et pour
lequel le monde a attendu si longtemps, les africains
qui doivent écrire des histoires romantiques et
d'imagination ne pouvant pas avoir un trésor plus riche
que nos histoires, pleines d'images vivantes de pensées
sages de sentences qui dépeignent les mobiles et les
buts dans les relations humaines.

Hegel et l’Afrique
Hegel, dit quelque part que l'esclave ne doit pas briser
seulement les chaînes, il faut qu'il en réduise l'image en
morceaux aussi bien dans son propre esprit que dans
celui de son es-maitre avant de pouvoir être vraiment
libre, en quelque sorte le courant principal des arts et
lettres américains, comme nous l'avons vu, on ne
parvient pas à refléter le noir avec dignité et dans son
intégration psychologique totale, penser purement et
simplement à rejoindre ce courant ou penser à notre
effort créateur comme étant simplement une partie de
ce courant équivaudrait à tomber dans une très large
mesure sous l'influence de sa direction et à perpétuer
en partie ses prototypes culturels, nous devons faire la
distinction entre une maîtrise du contenu et des
techniques d'une littérature et le danger d'une
soumission qui s'immole à cette
littérature , c'est écrire par suite d'un besoin
personnellement ressenti, en même temps il veillerait
aux sources créatives contenues dans sa tendance et se
définirait en fonction des sources profondes de son
être, car il pourrait les découvrir dans la direction de
ses intérêts particuliers de ses talents et de ses
réactions émotionnels, il doit chercher son inspiration
en ce que la vie dans cette société a signifié pour lui et,
s'il trouve cela productif, dans l'histoire, la mythologie
et le folklore de l'Afrique, mais ce n'est qu'en mettant
l'accent sur le développement de son utilité dans cette
expérience qu'il sera capable de donner en définitive sa
contribution la plus complète à l'ensemble, à l'intérieur
et à l'extérieur de la nation.

Parce que cette prison culturelle dont nous avons parlé


a dressé un mur entre lui et ses origines, c'est vers ces
origines que l'artiste est attiré pour recouvrer la
plénitude de lui-même qu'il a perdu.
Littérature negro-americaine

Contradiction de la littérature negro-americaine, dont


la seule façon d'aborder l'étude est d'énoncer trois
théorèmes qui découlent si étroitement et logiquement
l'un et l'autre qu'aucun d'entre eux ne peut être
connécté à part on peut admettre qu'on ne peut le faire
pour un seul sans les autres et inversement en rejeter
un seul c'est les détruire tous les trois.
Le premier théorème est que la littérature, dite " negre
d'Amérique " est essentiellement américaine, au point
qu'elle ne pouvait être détachée de l'ensemble de la
littérature sans porter un grave préjudice à l'une et à
l'autre, en tant qu'instrument complémentaire
d'analyse historique et sociale, et en
Tant que point d'articulation de toute l'éxperiénce si
complexe de cette nation.
Deuxièmement, cette littérature règne d'amerique n'a
que peu de rapports avec la littérature pure, c'est à
dire avec l'esthétique en tant que théorie ou que
pratique.
On a écrit et on le pense encore que la littérature negre
d'amerique s'adresse tout autant à l'esprit cognitif,
qu'à l'esprit volitif et agissant de l'homme, elle associe,
en un précaire équilibre, le présent et le conditionnel,
le rêve et la nullité, la condamnation et l'acquittement,
elle se préoccupe beaucoup du raisonnement et de
persuasion, de dépositaire et même de plaidoiries
d'exception, ce qui d'ailleurs en très souvent le cas
dans la littérature
Américaine.
Il ya cependant dans cette littérature un levain
esthétique qui l'élève bien au dessus du niveau
émotionnel et imaginatif du simple pragmatisme ou de
la propagande.
Le théorème théorique, qui découle, des deux premiers
veut que la littérature negre d'amerique garde sa
direction actuelle pendant au moins une autre
génération, direction, qui devras rester bien différente
de celle où s'est engagée la littérature negre d'Afrique.

Qu’est ce que le jazz.


jazz

La plupart des gens n'ont qu'une connaissance


superficielle de ce qu'on est vraiment le jazz, et il n'y
pas lieu de leur reprocher.
Aux bibliothèques américaines, il existe certes
d'impressionnantes études sur
le jazz, mais beaucoup d'entre elles sont en langue
étrangères et il n’y en a peut-être pas une seule qui
concrétise une définition précise ou du moins tout à fait
satisfaisante, du jazz, après avoir en vain perdu
plusieurs heures, à lire ces volumes, on peut être tenté
de penser avec louis Armstrong que si on a le devoir de
chercher, on n'a aucun moyen de savoir " il ya
cependant certaines choses que le jazz n'est sûrement
pas, il n'a rien à voir par exemple avec cette musique
sirupeuse et commerciale des orchestres de danse
populaire ou avec le 'rock'n'roll" le jour n'est ni
stagnant, ni standardisé, un air de chanson ne devient
du jazz que lorsqu'un exécutant se l'approprie, le
modèle et lui fait dire ce qu'il désire, non pas en jouant
un air standardisé tel qu'il a été écrit, mais en lui
insufflant une vie nouvelle grâce à son pouvoir
créateur et son originalité, il se préoccupé davantage
de sentiment que de la forme de l'émotion que de la
mélodie, l'improvisation est la sève même du jazz, on
ne pourrait jamais transcrire tout ce qui est joué, car
l'artiste du jazz crée et en exécute, le jazz a été au
cours de son histoire en hutte à d'incroyables préjugés,
et cela parce que qu'il naquit dans les ruelles de la
nouvelle orle ans, issu des negro spirituals et des
chants de travail.
Il est fréquent aujourd'hui de voir d'éminents musiciens
contribuer à faire mieux comprendre le jazz et à faire
disparaître quelques-uns des malentendus qui
l'entourent, bien que certaines de ces derniers
subsistent, ainsi, le préjugé selon lequel les musiciens
de jazz seraient des illettrés de la musique alors que ,
comme je l'ai montré plus haut, le jazz a tellement
évoluer que les musiciens ont acquis une grande
connaissance de la théorie, de l'harmonie et du
contrepoint, quelques amateurs se plaignent même que
la façon de jouer de la nouvelle école est tellement
cérébrale, qu'elle ressemble davantage à un exercice
technique qu'a de la musique.

Révolution dans le jazz

Une révolution s'est produite dans le royaume du jazz


lorsque le concerto pour orchestre de jazz et orchestre
symphonique de Rolf Liebermann, un compositeur
suisse a été exécuté au royal festival hall de Londres,
sous la direction de sir Eugène Gossens avec le
concours de l'orchestre symphonique et de l'orchestre
de danse de la BBC, si quelqu'un avait prédit une
pareille innovation il ya trente ans, c'est à dire la fusion
harmonieuse d'un ensemble de jazz et d'un orchestre
symphonique, dans la plus élégante salle
de concert d'Angleterre, il eût été traité de fou, le
concerto en question contient quatre formes de jazz, le
jump, le blues, le boogie-woogie et le mumbo, reliés par
des motifs musicaux, les créateurs qui cherchaient des
formes plus amples de composition ont parfois tenté
par toutes sortes de moyens ingénieux de concilier la
musique concertante et la science polyphonique
africaine, mais en vain, Rolf Liebermann, lui, bien qu'il
n'ait rien de très nouveau à dire , à réussi la gageure,
ne serait-ce que par le charme de sa fraîcheur, cette
oeuvre montre les plus vastes dimensions humaines
auxquelles peut prétendre le jazz, il s'y révèle aussi
cette forme moderne de l'hédonisme qui à partir du
simple stimulant physique des notes et de la débauche
du bruit et de la fureur, destille un symbole de
transparente perfection, les champs d'action des deux
orchestres y sont complémentaires, si bien que les
passions exprimées se rehaussent l'un l'autre, ce qui
permet à l'ensemble de frapper comme la foudre et de
soupirer comme un Zéphyr.

Le Grand louis

Avec le temps, le jazz a accompli des miracles, il est un


américain qui a su presque davantage de succès lors de
son voyage d'artiste en Europe, que bien des
diplomates ont visiter, je veux parler du trompettiste
Louis Armstrong, il fut accueilli avec enthousiasme lors
de son arrivée au royal festival hall, des critiques fort
sérieux, même conservateurs des membres de la
famille royale, des centaines de milliers d'amateurs de
jazz ont payé leur tribut à ce génie musical , les plus
grands personnages l'ont acclamé comme l'une des
gloires de notre temps, si grande est la puissance du
jazz, lors de sa
Première apparition en 1936, au conservateur dans le
public anglais, beaucoup d'auditeurs quittèrent la salle
avant la fin du concert au milieu du chahut et des
sifflets, il est aujourd'hui plus intéressant de noter le
changement opéré par le temps.
C’est vraiment grâce à louis Armstrong, que le jazz est
à ce point apprécié, il a une foule d'admirateurs dans le
monde que ne cessent d'analyser tous ses
enregistrements.
le département d'Etat à Washington a pris conscience
de l'utilité, pour des fins de propagande, de ce produit
d'origine africaine qu'est le jazz sur ces cent soixante-
huit heures d'émission par semaine, la ' voix de
l'amerique", en consacre quatorze au jazz, c'est à dire
deux par jour, un officiel européen à même remarquer à
ce propos qu'avec le jazz, vous vous ferez toujours plus
d'amis " le département d'Etat organise, pour les
musiciens de jazz des tournées de concert à l'étranger"
non pas dans un but strictement financier,
Mais pour favoriser les échanges d'amitiés.
Au cours de l'une de ses dernières tournées Louis et
son orchestre avaient reçus un accueil délirant, c'était
le dernier.....!

MUSIC
Forces suprêmes dont je suis fanatique,
J'ai appris à construire ma vie.
Sur des airs mélancoliques,

Par de joyeuses mélodies.


J'ai appris que tout n'était pas fini ...
Bien plus fort que des mots, une énorme sensation de
liberté,
M'a attirée, fait frissonnée puis envoûtée à jamais.
Telle est la raison de ma vie.
La musique...
Plus qu'une passion...
Elle a construit mes espoirs, m'a empêchée de sombrer,
A fait couler mes larmes puis les a séchées.
Un réel besoin sans conditions.
Tout, autour de moi est figé, je laisse mon âme
s'exprimer ;
La musique qui me délivre de toutes peines,
Je n'ai qu'à fermer les yeux et me laisser emporter...
Elle me fait devenir reine.

Un grand opéra à Paris ou un air de guitare près d'un


feu de bois,
De chaleureux accords,
Contre l'air frais de l'aurore.
Elle est dans tous cas ma lumière et ma voix.
Sur un point d'orgue je finis ce simple texte,
Pour vous laisser vous évader, pendant le temps qu'il
vous reste...

Au Son de la musique
Au son de la musique
Je me laisse transporter
Vers un monde fantastique
Où il est permis de rêver
Je suis parti
Dans cet univers merveilleux
Où tout est magie
Où tout le monde est heureux
Je respire chacune des notes
Furieux je goûte chacun des accords
Si loin il me transporte
Si libre est mon corps
Les paroles m'apprennent
Toutes sortes de choses sur la vie
Et ce que l'amour m'amène
Tout ce qu’on ne m’avait jamais dit
D'aimer de ne pas pleurer
Cette musique ne me laissera jamais tomber
Elle continuera de m'apprendre
De m'influencer.

Ma musique

De la beauté du son, j'ai fait la découverte


A mon envie de savoir les clés de la musique
Précocement les portes me sont ouvertes
Au "violon" de fortune comme des temps antiques

Avec cet instrument j'éprouvais des sentiments


Me faisant penser à composer sur tout ce que j'aime
A première note, pas de pause, même par moment
Ma musique se compose pour une grâce suprême.

J'ai accordé mon cœur au violon de la nuit


A jouer de l'archet glissant sur le vent
Mille sons enchanteurs pour chasser l'ennui
Sur les fiers poils des coursiers ardents

Tout est musique à qui aime entendre


De simples notes sur une belle portée
Ça sonne magnifique à laisser l'âme fendre
Tout est magique à se laisser emporter

Quand j'avais le blues ou le coeur en fado


Quand mon âme est lourde ou sentant la cadence
Soucis en tête ou des ennuis plein le dos
Ma musique se dessine en liesse ou en silence

Je compose pour mon plaisir et pour mes amis


Assis entre les colchiques oubliant le temps
Un génie Mozart en moi est endormi
Violon entre épaule et menton

Mes doigts habiles remontent mon style de gamme


Ne sont que du velours aux notes envolées
Vont tenter de séduire fillettes et dames
Les connaisseurs m’échappent, mais vont m'enjôler.

Doigts d’or
Ma petite fée aux doigts d'or
Tu joues et tu joues encore
Des notes de musique

Et fait battre nos cœurs


Avec passion et douceur

Tu es notre championne
Et toujours tu nous étonnes
Des chanson tu émerveilles des âmes magiques

Dieu t'a donné le don d'aimer


De lire et d'apprendre à jouer

Ce soir tu as tout donné

Nous faisant, de joie, pleurer

Nous faisant, de joie, pleurer

Nous offrons ta tendresse

Oh ! Belle et douce princesse

AMOUR POUR L'AFRIQUE

Parle des enfants de l'Afrique.


Afrique parle de ce continent si beau, que la
lumière du soleil brille à Travers l'Afrique d’est en
ouest du nord au sud.

Afrique parle de ce vieux sage qui n' a pas besoin


de parler pour comprendre ce qu'il voulait, son âme
disait tout.
Afrique parle de la lumière qui éclaire le chemin de
ses enfants.
Afrique parle de la lumière qui illumine les yeux de
ces enfants qui ne demandent pas à dieu d’avoir
une bonne vie.
Afrique parle de ton charme et de ta douceur que
le monde ne veut pas l’admettre.
Afrique parle de ce continent à l’endroit ou les gens
sont heureux.
Afrique parle d’amour, de la haine.
Afrique parle de la fidélité et de l’infidélité.
Afrique parle du bonheur et du malheur.
Afrique parle de la liberté et de l’inégalité.
Afrique parle de la justice et de l’injustice.
Afrique parle de te douleur.
Afrique parle de la misère.
Afrique parle de mon passé.
Afrique parle de notre avenir incertain.
Afrique parle de nos ancêtres.
Afrique parle du courage.
Afrique parle de la guerre et de l'après guerre.
Afrique parle des tyrans et de la dictature.
Afrique parle des martyres et des révolutionnaires.
Afrique parle de ta peur, je vais t'aider à le
convaincre.
Afrique est pauvre mais riche en bonheur 'en
beauté, en tradition, en dialecte et en histoire.
Je suis Africain, Afrique mes parents, mon pays
Afrique, mon coeur Afrique, ma patrie Afrique, ma
nation Afrique

Mon Afrique

Où vit une dame


Ou blanche ou rouge
Avec la forme et le visage
A moitie aussi divin
Qu’une demoiselle africaine
Dans le doux extase
D’une dame joyeuse ?

A qui est ce bébé ?


C’est le bébé de la mère de Mohamed
Mettez le sous le palmier
Où vous venez des épines à profusion
Mettez-le sous un kapokier
Joyeusement regardent kofi
Qui sera frappé par une branche du kapokier

Sombre Afrique ?
Moi qui a élevé les royales pyramides
Et maintien les richesses
Des césars conquérants
Dans ma séduisante étreinte ?

Sombre Afrique ?
Que a bercé l’enfant douteux
De la civilisation
Sur les rêves mobiles
Du Nil nourricier
Et a donné aux nations naissantes
De l’ouest
Au présent grec

L’éclat aveuglant du fer et de l’acier


Obscurcit quelque fois la valeur non mentale
Aussi quand je dédaigne
Mes arcs et mes flèches du temps passé
Et ne me soucie guère du fer et de l’acier
On m’appelle sombre dans le monde entier

Moi, bien plus sérieux que le froid acier et le fer


Est l’art tranquille
De penser ensemble
Et de vivre ensemble
Qu’attendons nous pour chanter ensemble
Les champs des lettres
Samedi sur la septième rue
Pleins-cintres femmes gris d’une chevelure dans des
chandails de dimanche
Se déplacer par les nuances bronzages de leurs cabines
Gâteaux d'excédent de courbure qu'ils ont faits cuire au
four à la maison
Ils regardent fixement vers le bas sur le sommeil des
choux bourrés
Ils remuent avec les cuillères énormes choucroute et
les boulettes de pomme de terre
Cuit comme ces plats ont été faits cuire dessus
profondément
Plaines brumeuses parmi les bruits des chevaux
Près des champs de la terre noire de l'autre côté du
globe
Que seulement les plus vieux les pensent rappelez-vous
Regarder vers le bas de leurs fenêtres au monde
Là où tout le monde est maintenant
Rien les jeunes ont encore pleuré à l'odeur
Des choux
Ces feuilles tout le visage
Rien les jeunes après de longs voyages
Semaines dans des navires
Et regardant fixement les côtes étranges par le
brouillard dans la première lumière
A été reconnu par la vapeur de la choucroute
C’est plus ancien que n'importe qui qui vit
Ainsi sur la rue ils jouent la musique
De ce qu'ils ne se rappellent pas
Ils chantent des endroits qu'ils n'ont pas connus
Ils dansent dans de nouveaux costumes sous les
fenêtres
Dans l'odeur des choux des champs
Personne n'a vu
Le voeu de mariage
Je ne me suis pas tenu à l'autel, je me suis tenu
Au pied du choeur fait un pas, avec mon aimé,
Et le ministre s'est tenu sur l'étape supérieure
Tenir la bible ouverte. L'église
Était le bois, ivoire peint à l'intérieur, aucuns personne
Dieux
Écurie parfaitement nettoyée. C'était nuit,
Ressort extérieur, un fossé de boue,
Et intérieur, des combles, mouches
Est tombé sur la bible ouverte, et le ministre
Incliné lui et balayé leur au loin. Nous nous sommes
tenus
Près de l'un l'autre, pleurant légèrement
Avec la crainte et crainte. Dans la vérité, nous nous
étions mariés
Cette première nuit, dans le lit, nous avions été
Marié par nos corps, mais maintenant nous s'est tenu
Dans histoire-ce qui nos corps avaient dit,
Disons du bout des lèvres pour dire du bout des lèvres,
nous avons maintenant dit publiquement,
Recueilli ensemble, la mort. Nous nous sommes tenus
Se tenant par la main, pourtant I également
Tenu comme si seulement, pendant un moment,
Juste avant le voeu, bien que pris
Les années avant, ont pris. C'était un voeu
Du présent et du futur, mais de moi l'a senti
Pour avoir un certain contact le passé éloigné
Ou le passé éloigné là-dessus, je me suis senti
Le fantôme silencieux, sec, pleurant du mon
Le mariage des parents là, quelque part
Dans espace peut être le lumineux de
Mouches descendantes, rebondissant légèrement
Car il a frappé abandonner tous les autres, puis a été
balayé
Loin, Je me suis senti comme si j'étais venu
Pour réclamer promettez-le la douceur que j'avais
impliquée
De leur acidité ; et pendant que j'avais
Venez, congénitalement indigne, pour prier.
Mais, j'avais travaillé vers cette heure
Toute ma vie. Et alors il était temps
Parler-il m'offrait, aucune matière
Ce qui, sa vie. C'est tout que j'ai du
Cette soirée, acceptent le cadeau
J'avais désiré ardemment pour la parole que je l'avais
acceptée,
Comme si étant demandé si je respire.
Est-ce que je prends ?
Je prends car prendre-nous ont été Pratique de ceci.
Soutenez-vous ce plaisir ?
La ligue des caractères mineurs
Le caractère principal se repose sur son lit d'enfance
Nommant tout qui est l'aller ex travail, l'ex-épouse,
Ex-meilleur ami et appréhende finalement
La panne que nous nous sommes sentie venants depuis
le chapitre cinq.
Quand son docteur appelle avec des résultats d'essai,
la majeure partie d'use décide de rester les caractères
mineurs
Comme la croissance voisine de don quichottes que
Séquoias de bonzes, ou la serveuse avec profondément
Verres et une passion pour des échecs,
Parce que le caractère principal, dans le hall
D’une parcelle de terrain implacable, ne peut
s'empêcher de dévaler vers
Le bord de l’émiettement de falaise. Et qui a besoin de
cela ?
Certains héritent des gènes des générations
Des joueurs mineurs, certains doivent apprendre à
garder
Ces dimanches ensoleillés avec le papier
Complètement des héros en tir éloigné. Et certains
d'entre nous
Le qui obtenu suffisant au cours des années tournent
une autre page,
Allumez le jeu du football, jusqu'à un jour
Les anneaux de sonnette. Nous fermons nos livres,
Ajustez nos yeux, et le protagoniste
Champ, en s'exigeant dans nos vies
Avec son entourage de convoitise et de langue,
Douleur, brio. Héros, anti-héros, il a peine sujette
Avec les lumières ceci lumineux. Les crêtes de musique
Et il est temps de parler.

Amphibie
Ma fille veut prendre
Une peinture à l'huile encadrée à l'école,
Une nudité avec des seins lâches et un ventre
Mûr comme pleine lune. Pourquoi ? Puisque
Nous sont étudiant grenouille, elle dit,
Et c'est une grenouille. J'entasse ma tête
Pour considérer l'angle du bras drapé
Mais ne peut pas obtenir après la forme femelle.
Ma fille, bien que, nage
Dans des amphibies, apportant la maison
Scrabbleuse des images de la germination de tadornes
Pieds évasés. La nuit, elle dort
Dans la chambre à coucher j'ai peint le rose,
Les étagères garnies de la confiserie
Théières et tasses. Par jour, elle veut
Pour être son frère quand elle grandit.
Récemment, elle est morphe dans
De créature de qui d’un tortillement plutôt librement
Que soyez tenu. Ô, comment nous voyons ce qui nous
Voulez voir. Ma fille, regardant
Une nudité, voit une grenouille pour montrer et dire.
Je la regarde et me vois.

3(trois)
Le gardien unique du vol me tient le premier rôle, garde
Contre mon clignotement de convoitise d'impulsion :
enseignez-moi
Pour les voir comme soeurs et filles.
Soutenez Mes efforts grands : husbandship et ouvrage.
Abandonnez-moi pas quand mes heures sauvages
viennent ;
Accordez-moi le sommeil de nuit, grâce ramollisse mes
rêves ;
Réalisez donc en moi la patience jusqu'à la chose soit
faite,
Une vue soigneuse de mon accomplissement vient.
Faites-moi de temps en temps le cadeau de l'épaule.
Quand tous les nerfs blessés pleurnichent fermé loin du
whiskey.
Videz mon coeur vers Thee.
Laissez-moi arpenter sans crainte le chemin commun de
la mort.
La croix suis moi parfois avec ma petite fille :
Remplissez-la des yeux de larmes. Pardonnez-moi,
seigneur.
Unissez ma diverse âme,
Le gardien unique du large et simple tient le premier
rôle.
Honte
Une fille qui, en 1971, quand je vivais à côté d’elle,
péniblement seul, privé, enfoncé,
Avec désinvolture mentionné à moi dans une
conversation avec quelques amis aux lesquels bien
que….
D’abord elle m'avait trouvé
Je ne peux pas me rappeler la limite, signifier dater
d'expression familière impair, inacceptable,
Dehors les choses
Elle avait décidé que j'étais après que tous les bons…
douze ans après elle revienne à moi
De nulle part
Et je me rends compte qu'il n'était pas mon sexuel puis
irrépressible, non sélectif, incessant veux
Elle a voulu dire,
Ce que, quand nous avions été présentés, je l’ai
naturellement avisée et ce qu'elle Facilement guidée,
Mais cela qu'elle avait pensé que j'étais vraiment, dans,
la manière que
Je l’ai regardée et ai parlé et ai agi,
Ce qu'elle était de dire, rampant, étrange, celui qui, et
moi sois prises avec une terrible Humiliation.
Comment être un poète
(Pour se rappeler)

Faites un endroit pour s'asseoir.


Asseyez-vous. Soyez tranquille.
Vous devez dépendre du moment
Affection, lecture, connaissance,
Compétence plus de chacun
Que toi aies inspiration,
Travail, vieillissant, la patience,
Pour la patience joint le temps
À l'éternité, Tous lecteurs
Qui comme votre travail,
Doutez de leur jugement.
Respirez avec le souffle sans conditions
Unconditioned air.
Évitez le fil électrique.
Communiquez lentement De phases
Une vie trois dimensionnée ;
Séjour loin des écrans.
Séjour loin de n'importe quoi
Cela obscurcit l'endroit qu'il est pot.
Il n’y a aucun, un sacré des endroits ;
Il y a seulement les endroits sacrés
Et endroits profanés.
Acceptez ce qui vient du silence.
Faites le meilleur que vous pouvez de lui.
Des petits mots qui viennent
Hors du silence, comme des prières
Prié de nouveau à celui qui prie,
Faites une poésie qui ne dérange pas
Le silence dont il est venu.
Après la route
J'ai laissé mon épouse à l'aéroport,
Voler dehors pour aider notre fille
À qui bébé ne mangera pas.
Et je conduis dessus à Casa
Pour entendre quelques poètes lire ce soir.
Je ne sais pas quoi faire de moi
Quand elle me laisse comme ceci.
Un vieil ami a décidé à…
Finir notre amitié et Des autres
Le casse au loin avec son épouse.
Je ne sais pas quoi dire
À quelles des Vies dures.
Et je le dis à haute voix à moi,
La vie est dure, et commande plus loin
Dans l'obscurité, mes phares
Seulement allant jusqu'ici.
Je sens mon propre souffle tendu, cette crainte
Nous appelons l'effort, lui faisant autre chose,
Se cacher du tout ce qui est vrai.
Comme je glisse après les lacs jumeaux,
Les eaux superficielles plates tiennent le premier rôle
dessous,
Je tiens la roue doucement, ralentissant mon corps
Le corps à la route, et savent encore cela
C’est vie juste, pas un trauma
Ni mort, mais une douleur prolongée
Rappel de nous que nous sommes vivants.
Les jours je ne suis pas mon père
Je ne hurle pas. Je ne me tiens pas à l'intérieur
L’approvisionnement du jour en anéantissements.
Mon séjour de mains ouvertes toute la journée.
Je ne me réveille pas fatigué et endolori,
Stupéfié d'insensé, paniquant de Rêves.
Les jours je ne suis pas
Mon père je tiens mon fils
Quand il pleure, laissez-le toucher mon visage
Sans reculer, couchez-vous avec lui
Jusqu’à ce qu'il tombe endormi, réalisez
Cela juste parce qu'il a une langue pointue,
Juste parce qu'il est parfois moyen,
Juste parce qu'il est plus futé que moi

Ne signifie pas qu'il deviendra mon père.


Les jours je ne suis pas mon père
Vous tenir est assez jusqu'à…
Vous tenir est assez plus…
Pour l'un ou l'autre de nous. J'écoute bien.
J'ai laissé des choses disparaître non finies,
Dans un ordre que je n'ai pas projeté.
Ma bouche est détendue… Mes dents
Ne blessez pas…. Mes séjours de visage
Une nuance saine de rose toute la journée.
Les jours je ne suis pas mon père
Je ne remplis pas silence de mes propres
Riants irrationnels. Je ne renvoie pas
Les voix de l’autre. Je ne fais pas l'amusement
De toi pour se rendre la sensation meilleure.
Les jours je ne suis pas mon père
Je ne m'inquiète pas qui gagne où perd.
Les nouvelles ne peuvent pas ruiner
Mon jour. J'arrose des usines.
Je fais cuire. Et Je ris.
Je peux imaginer vivre en dehors
Ma barbe, avec ma coupe de cheveux,
Sans crainte de regarder
Trop aiment mon père. Les jours
Je ne suis pas mes gambades du père
Et jeu, je ne me compare pas
Avec chacun d'autre, la nuit
Est toujours assez long, j'aime
Combien je coûte comme mon père.

Chanceux
Si vous êtes chanceux dans cette vie,
Vous obtiendrez laide de votre ennemi
La manière que j'ai obtenu d'aider ma mère
Quand elle a été affaiblie après le point de dire le non.
Dans le grand baquet d'émail
À moitié plein avec de l'eau
Ce que j'avais fait à droite juste,
J'ai abaissé le squelette enfantin
Elle était devenue.
Ses paupières ont flotté pendant que je savonnais et
rinçais
Son ventre et son coffre,
La ruine désolée de ses flancs
Et le nuage gris frangé
Entre ses jambes.
Quelques nuits, se reposant par son lit
Livre ouvert dans mon recouvrement
Tandis que j'écoutais l'air
Déplacez-vous abondamment dans et hors de ses
poumons foncés,
Mon esprit s'est rempli d'éloge
Aussi abondant que la musique,
Stupéfiant à la symétrie et à la chance
Cela m'offrirait la chance de payer
Ma dette lourde de punition et d'amour
Avec l'amour et la punition.
Et une fois que je jugeais son égoutture humide
Dans le ciel inconfortable
Entre le fauteuil roulant et le baquet,
Et elle m'a prié comme un enfant
Pour s'arrêter,
Un acte de cruauté que nous tous les deux avons
compris
Était se réjouir irrésistible antique
De la faiblesse finie de puissance.
Si vous êtes chanceux dans cette vie,
Vous obtiendrez de soulever la cuillère
De la crème glacée primitive et givrée
À la bouche de confiance de créature
De votre vieil ennemi
Parce que les tastebuds au moins ne sont pas cassés
Parce qu'il y a un lien entre toi et toi
Et le bonbon est doux dans n'importe quelle langue.
Hommes entre deux âges, se penchant
Quatre mouvements
~
Ils se penchent sur des râteaux.
Il est tard, il égalise
Déjà à l'intérieur de leurs maisons.
Les enfants sont allés.
Leurs épouses sont au téléphone
Parler doucement à quelqu'un d'autre.
Ce gel, ceci automne tôt
Sur leurs esprits, un petit…
Mesure de la patience et de respect
Comme si le monde crépusculaire
Dans les morceaux semblables au papier lumineux
Diminué ainsi et ainsi.
~
Ils se penchent sur des houes
Au printemps la terre verte
Tourné une fois de plus sous eux
Leurs yeux complètement des fleurs
Leurs mains complètement aussi
De la plantation toujours à faire
Les herbes et l'attente de sécheresse
Leur pleine poche de graine
L’eau qu'ils doivent porter.
~
Dans une obscurité tôt d'hiver ils se penchent
Sur des pelles, un coeur graying
Un dernier mauvais coup sec et dur à l'intérieur d’eux,
Regarder vers le haut vers le ciel
Le yard, l'allée, la voiture
La rue, le monde
Soi-même pour tous qu'ils savent
Enterré par la neige en chute
Même pendant qu'ils halètent pour respirer
Et respirez le souffle évident,
Comme un ballon de dessin animé d'éclat
D’une vieille prière imparfaite.
~
En été, après le long fauchage,
Ils se penchent vers une croissance
Silence dans les herbes de peluche
Dans des feuilles de beaucoup de verts
Dans les arbres de leurs propres couleurs
Là où gracieuse et corneille
Chacun à sa propre ombre
Dans l'extension sombre des branches

Leçons

J'ai appris
Cette vie continue, Ou pas.
Ces jours sont mesurés dehors
Dans des incréments minuscules
En tant que femme dans une cuisine
Mesure des cuillères à café
De la cannelle, vanille,
Ou moitié par tasse de sucre
Dans une cuvette.
J'ai appris
Ces moments sont aussi précieux que la noix de
muscade,
Et il s'est produit à moi
Ces interruptions occupées
Soyez comme les mites minuscules de grain,
Ou souris.
Ils grignotent, font pipi, et épuisent,
Ou faites leurs petits vers et Web
Jusqu’à ce que vous deviez jeter dehors bourrez le bon
Avec le mauvais.
Il a pris les deux décès
Et venant étroitement moi-même
Pour moi à apprendre
S’il n'y a pas un approvisionnement infini
De bonnes choses dans l'office.
L'art de disparaître
Quand disent-ils, ne vous connaissent-ils pas ?
Dites le non.
Quand ils vous invitent à la partie
Rappelez-vous de quelles parties soyez
Avant la réponse.
Quelqu'un vous disant dans une voix forte
Ils ont par le passé écrit une poésie.
Boules graisseuses de saucisse d'une plaque à papier.
Puis réponse.
S'ils disent nous devrions nous réunir
Dites pourquoi ?
Ce n'est pas que vous ne les aimez plus.
Vous essayez de vous rappeler quelque chose
Trop important pour oublier.
Arbres. La cloche de monastère au crépuscule.
Dites-leur que vous avez un nouveau projet.
Il ne sera jamais fini.
Quand quelqu'un vous identifie dans un magasin
d'épicerie
Inclinez la tête brièvement et devenez un chou.
Quand quelqu'un que vous n'avez pas vu depuis dix
années
Apparaît à la porte,
Ne commencez pas à lui chanter toutes vos nouvelles
chansons.
Vous ne vous rattraperez jamais.
Marchez autour et se sentir comme une feuille.
Sachez que vous pourriez dégringoler n'importe quelle
seconde.
Décidez alors quoi faire avec votre temps.

« Un homme ne veut rien tellement mal comme ferme


de groseille à maquereau. »
Je veux un farmlet costal.
Je le désire beaucoup.
Cette scie qu'elle a annoncée
Dans les classifiés et moi présumé
Ces moyens côtiers notre terre
Venez bien vers le bas
À la mer avec les whitecaps
Fouettant romanticisme, et farmlet
Moyens que nous pouvons nous développer
Arbres noueux sur notre promontoire
Et laissez les moutons errants. Il est environ bon
marché
Assez pour nous si nous empruntons, priez
Et volez, mettez en gage quelques poésies, écrivez
également
Un arlequin roman ou deux, et lui est
Seulement 9000 milles de l'endroit
Nous appelons la maison. Il n'y a pas beaucoup
D’un accroc exceptez l'immigration
Ne restons pas dans le pays
Pour vivre dans notre farmlet. Mais toujours,
Je le veux et pense que nous devrions aller
Regardez-le, en ce moment, ce moment,
Tandis que les groseilles à maquereau douces de fort et
piquant rougeoient.
Fils à dix-sept ans
Mon fils, un expert par surexposition,
Identifie la chanson avant que je voie
Le meilleur de l'année
Au sujet de la façon dont le sexe est bon pour tout le
monde.
Ce grand homme qui était un garçon il y a une année
Les manivelles lèvent la radio jusqu'à la voiture
Est une capsule, l'enflement de bruit,
Lourd sur la basse.
Pendant qu'il conduit, il chante chaque mot fort,
Avec la croyance cellulaire.
Il l'aura tout, il donne tout
Dans son temps, probablement bientôt.
Mon coeur commence à vibrer dangereusement
Aux plus basses fréquences.
Ce soir je me sens assez vieux pour être mère à un
homme.
Je pantomime ma crainte à lui,
Ma main sur mon coffre, mes yeux au loin.
Je peux le sentir dans mon coffre, je crie.
Il cesse de chanter assez longtemps au signe
d'assentiment,
Ravi que j'ai noté.
Il va mieux, il hurle.
Mots de la sagesse
Aliment naturel
Une pomme par jour
Maintient le docteur parti.
Conseil proverbial sur maintenir sain
Tôt au lit et se lever tôt,
Rend un homme en bonne santé, riche et sage.
Après le dîner on se repose un moment ;
Après promenade de dîner par mille.
Si vous souhaitez vivre pour jamais,
Vous devez laver le lait de votre foie.
Pour lequel vous vivez oui
Doit manger de la sauge en mai.
Bouton au menton
Jusqu'au au pouvoir être dedans ;
Fonte pas, un chiffon
Jusqu'au au pouvoir être dehors.
Nos pères, qui étaient sages merveilleux,
Soyez-vous lavé des gorges avant qu'elles soient
lavées les yeux.
La tête et les pieds maintiennent chaud ;
Le repos ne prendra aucun mal
Employez la compétence de trois médecins : d'abord,
tranquillité de DR,
Puis Dr. X et docteur Y.

Sans titre
Si noirs les escargots croisent votre chemin,
Nuages noirs beaucoup de haïk d'humidité.
Même le rouge et le gris de matin,
Sont les signes sûrs d'un jour beau.
Ciel rouge le matin,
L'avertissement du berger.
Ciel rouge la nuit,
Le plaisir du berger.
Composé sur le pont de Bouregreg,
La terre n'a rien montré plus loyalement :
Mat il serait de l'âme qui pourrait passer près
Une vue touchant ainsi dans sa majesté :
Cette ville dort maintenant, comme un vêtement, usagé
La beauté du matin ; silencieux, nu,
Les bateaux, les tours, les dômes, les théâtres, et les
temples se trouvent
Ouvrez-vous aux champs, et au ciel ;
Tout lumineux et scintillant dans le ciel sans fumée.
Jamais n'avez plus admirablement exposé au raide
soleil
En sa première splendeur, vallée, roche, ou colline ;
Neurol. a vu, jamais ne s'est tellement profondément
senti, un calme !
Le glides de fleuve à son propre bonbon :
Cher Dieu ! Les maisons mêmes semblent endormies ;
Et tout que le coeur puissant se trouve toujours ici !
Bonne nuit

Jeunesse
Par toute la jeunesse je vous recherchais
Sans savoir ce que je recherchais
Ou ce qui pour vous appelle que je pense que je ne sais
pas
Sachez même que je semblais comment à moi
Vous ont connu quand je vous ai vu comme je le faisais
À maintes reprises où vous êtes apparu à moi
Comme vous avez fait nu s'offrant

Entièrement à ces moments et toi, laissez


Je vous respire contact que vous goûtez sachant
Pas plus que moi ai fait et seulement quand tout
A commencé à penser à vous perdre je suis là
Identifiez-vous quand vous étiez déjà
Distance de pièce de mémoire de partie restante
Extrayez des manières dont j'apprends à m'ennuyer de
toi
De ce que nous ne pouvons pas juger tient le premier
rôle
Dans tout ce qui fait loi

Bonne nuit
Sommeille doucement mon vieil amour
Ma beauté dans l'obscurité
La nuit est un rêve que nous avons
Comme vous connaissez comme vous savez
La nuit est un rêve que vous savez
Un vieil amour dans l'obscurité
Autour de toi en tant que toi allez..
Sans extrémité comme vous savez
La nuit où vous allez
Sommeille doucement mon vieil amour
Sans extrémité dans l'obscurité
Dans l'amour que vous savez

Après tout ce travail !


Un sceau de cendre
Et fumée
Allé
Dans l'air.
Quand j'appelle
Comme je lui parle,
J'aime penser à
Notre copie de livre broché
De Thomas davantage
Séance de l'Utopie
Sur la table de téléphone.
Personne ne lit l'Utopie
Personne n'a jamais lu
Lisez l'Utopie
Personne n'a jamais lu
A voulu lire
Lisez L'Utopie,
Pas Thomas égal davantage.
La seule action de l’utopie
Il ne verra jamais
Est quand elle distraitement
Renverse ses pages tandis qu’elle
Me parle. QuandJ'appelle, à l’aimer
À Penser à elle faisant cela.

Recceuil de Poèmes
Misère
Difficile de crier ma douleur, ma haine
Impossible de cacher toute ma peine
Dans cette société déshumanisée
Dans laquelle le matériel remplace l’affectivité

Des gens malheureux sont mis de coté


Nous n’avons plus le temps de nous en occuper
Bien souvent, nous courrons après l’argent
Il ne reste plus de temps pour les sentiments

C’est à peine si l’on se dit encore, bonjour !


Pour vivre il faut se battre encore et toujours
Je rêve d’un monde meilleur…sans misère
Bannies toutes ces guerres

Les mots, les discours me semblent inutiles


L’esprit de ce monde me paraît si futile
Je continue de rêver et d’écrire mes états d’âme
Face à tant de misère, le papier et la plume restent mes
seules armes…
C’est ça la vérité

Le monde craque
Je ne sais plus quoi dire tous les mots sont usés
Mais je ne veux pas fuir je hais la lâcheté
A quoi cela va aboutir ? Je ne peux deviner
Ce que sera mon avenir, la planète va craquer.

Partout la misère pleure elle implore la pitié


Tous les humains ont peur, à force de saccager
Ils créent leur propre malheur s'entretuent sans
broncher
Ce n'est qu'une question d'heures, car le monde va
lâcher.

Les forêts disparaissent tout comme les animaux


Et les maladies naissent n'épargnant pas notre ego
Comment se suicider en deux ou trois leçons ?
L'humanité l'a montré mais d'une terrible façon.

A quoi tout cela mène la gloire et l'argent ?


Si il faut dire Amen, si il faut être content
Quand on nous dit que tout va bien dans le meilleur des
mondes,
Quand on nous prend pour fou ou pour quelqu'un
d'immonde ?

Ce monde est bien futile, je peux vous l'assurer


Il n'y a plus de tuile au toit de l'humanité
L'homme a semé le vent et récolte la tempête
Pour avoir trop longtemps saccagé la planète.
La misère
J'espère encore un monde où joie et paix seront
normales.
Autour de moi l'orage gronde, mais je garde le moral
L'espoir me fait tenir, l'espoir me garde en vie
Et m'empêche de fuir ou de m'ôter la vie.

Je continue de me battre je ne baisse pas les bras,


Il y a tant à combattre et la fatigue est là,
Mais bien heureusement, mes amis veillent sur moi
D'un regard bienveillant m'insufflent force et foi.

Et si je suis ici à eux tous je le dois


Que je les remercie ! D'avoir tant fait pour moi
Dans ce monde où tout brûle, ils sont tous là pour moi
Et si la peur m'accule, je sais qu'ils seront là...

Solidarité
Pourquoi ne te contentes-tu pas de ce que tu as ?
Ça te sembles si facile de dire que le monde est ingrat,
Ça te sembles si facile de dire que la vie te tourne le
dos,
Ça te semble si facile de te plaindre alors qu'ailleurs il
n'y a pas assez d’eau.
Mais quand la réalité te fait face,
Tout d'un coup c'est toi qui est d'une autre « race »,
Tu te rends compte que tu es aimé,
Alors que Fatou ne peut plus manger.
Tu te rends compte que tu vas à l’école,
Que tu dors au chaud dans ton lit,
Alors que Salma dors sur le sol,
Et qu'elle travaillera toute sa vie.
Mais réveilles-toi et aide les tous,
Ces gens qui ne méritent pas cette vie,
Rejoins les et avec eux repousse,
Les barrières qui bloquent leurs envies.
Si tu les regardes bien,
Ils sourient,
N'observe pas leur chemin,
Lève toi et agis.

Le tiers monde
Dans le Tiers Monde, en Afrique ou ailleurs
Mon œil croise des regards de misère et de malheur
Mon âme lacère une inguérissable déchirure
D'un sous développement à une famine qui durent
Des horreurs y sont gravées et des images de
désespérance
Qui jamais ne s'effaceront laissant des âmes en errance
Rempart à l'oubli, tué par l'indifférence
Réduit au silence, écorché par l'intolérance

Á l’orée de ce nouveau millénaire


Où l’on gaspille de l’argent par milliards
Ici en Afrique et là bas en Asie de Aqaba à Bari
On cherche sans trouver l’eau de ces puits toujours
taris

Dans mes rêves, je vois ces enfants aux yeux hagards


Le ventre gonflé de famine, une souffrance au fond du
regard
Pour eux, je peux rien faire, je leur dis juste Adieu
Sont la honte d'un monde préoccupé par la conquête
des cieux.

Ignoré de tous, noyé dans des inanités et des guerres


Mon agacement de ce désarroi que je ne comprendrais
guère
Besoin est d'un monde nouveau où l'homme est
pitoyable
Un monde non pétri exempt de ces folies incroyables
Je reste à chanter ces angoisses à brûler le cœur
Impuissant d'adoucir des craintes et chasser des peurs
Ô pays riches, la culpabilité a sonné à vos portes
Il faut en finir et que famine et inanités diable
emporte !
Pauvres hommes
Ne me jugez pas. Je me suis amusé.
Demain je pourrai jouer un autre rôle ailleurs.

Combien de fermetures encore sur ma route ?


Pauvre monde, plein de contrastes et de contrariétés

Mais pour moi la vie a le prix de la souffrance


La nuit, tout seul, je rêve que je fais tout éclater
Plus d’emploi mais des "grands" qui s’enrichissent
Nos valeurs humaines s’appauvrissent

Mes frères meurent de faim dans le monde ;


Et il y a toujours une guerre quelque part.
La terre part en poussière, polluée,
Et les pays riches feignent de l’ignorer

J’ai oublié que le ciel était bleu


Ici, on ne voit pas les étoiles
Et là ils ont les étoiles pour seul manteau.
Les rapaces attendent pour dévorer leurs entrailles.

Et au lieu d’être là, je suis ici et je me plains.


Les jours interminables viennent dérober mon espoir.
Je donne sans compter et ne suis rassasié
Car ceux que j’aime souffrent encore.

Nous allons être en une ère


Et nous reculons au lieu d’avancer
Vous être riches et vous n’avez rien
Pauvre monde, pauvres humains

La vie est un mythe


J'habite dans ce pays
Où l'on mène une belle vie
Et où la richesse n'est pas toujours un mythe
Mais moi, c'est dans la rue que j'habite
J'ai quémandé du pain et des habits
On m'a répondu en coeur
D'aller gagner ma vie
Je m'en suis allé sans rancoeur

J'ai été chercher asile


Dans chaque petit coin de la ville
On m'a alors jeté aux loups
J'ai donc dormi dans un trou

J'ai été cherché des amis


Ils m'on dit "plus on est de fous plus on rit"
Et quand je me suis endormi
On pris mon sac et sont partis

Pour survivre dans cette société


On m'a dit qu'il faut travailler
Donc un emploi j'ai recherché
La porte au nez on m'a fermé

Tiens? Il neige en ce mois de janvier


A mon triste sort je m’étais résigné
Mais au matin je serais tout recroquevillé
Et la vie Hélas m'aura déjà quitté

Sauvons le monde
Dans le néant infernal de la misère,
Où les gens grattent le sol à s'épuiser
Ayant pour simple réconfort la douceur d'une lumière,
Qui peine à s'allumer, faute de dignité.
Il y a les africains sur leur terre de désolation,
Enfants aux ventres gonflés, faute de n'avoir pas trouvé
Ces quelques graines pour une mince consolation
Histoire de ne pas mourir sous les yeux de leurs aînés.
Il y a ces asiatiques contraints aux travaux forcés
Enfants qui portent sur leur dos le triple de leur poids
Se taisant et subissant les coups violents des fouées.
Mains d'oeuvre facile, portant sur leur visage un triste
désarroi.
Il y a ces hispaniques marchant dans le désert
Enfants pieds nues cramés par un soleil infernal,
S'évertuant à contourner les monticules de terre
Assoiffés, anéanties vêtus de guenilles salent.
Guerres, famines et maladies,
Ces gens là ont toujours tous subies.
Ils ont toujours vécus le pire sans jamais vivre le
meilleur,
Imaginez-vous à leur place que ressentirez-vous a part
de la peur?

Tiers monde
Certains continents comme l'Afrique,
Sont remplis d'une misère,
Loin d'être éphémère,
Pourtant Terres si magnifiques.

Rendu pauvre par ces politiciens,


Tout en profitant,
De ces populations,
Vouées à l'exploitation.

Ils ne pensent qu'à leurs intérêts,


Et pour raison, utilisent le marché;
Nous vivons dans une société corrompue,
Où la pauvreté n'est pas combattue.

Sur ces continents du Tiers-monde,


Que la misère et la famine inondent,
Les gens y sont chaleureux,
Jamais mécontents et si merveilleux.

Quelque soit ta couleur de peau,


Jamais on ne te tournera le dos,
Et même lorsque tu soupires,
Ils sont la pour te faire sourire.

Malgré tout ça, la pauvreté règne;


Et jamais ne s'en sortirons indèmnes,
Car la nature humaine,
Fait des ravages et que leurs corps saignent.

Il existe en effet une misère matérielle,


Mais pas culturelle,
Les gens y sont fabuleux,
Alors pourquoi tant de haine contre eux.
Pays d`Orient
Pays d`Orient exalte de lumière,
Ces hommes t`ont fuit emportant leurs prières.
Poussés par les vents de la colère,
Ils sont partis, en te laissant derrière...

Pays d`amour jeté dans la misère,


Regarde au loin ces âmes solitaires
Eparpillées comme des grains de poussière
Sur les chemins tortueux d`autres terres!

Ils ont construit tellement d`univers


Abandonnés comme des objets vulgaires;
Ils ont besoin de changer d`atmosphère,
Pour eux c`est si facile de tout refaire!

Vois, ils sont de toutes les croisières!


Ils ont même su apprivoiser les mers,
Ces nomades éternels des hemispheres,
Ce ne sont plus que des marchands qui errent!

Pays rebelle aux royaumes de pierres,


Mais tu renais des portes de l`enfer!
Par miracle, tes joyaux n`ont pas souffert,
Souffert des affres tragiques de la guerre.

Pays d`Orient baigné par la lumière,


Guette ces hommes qui reviennent d`hier!
Ils abordent ton paysage austère
Avec au coeur un arrière goût amer.
Terre du Phénix qu`ils ont redécouvert,
Empêche les d`implanter leur jeu pervers!
Ils ont déjà brûlé tant de galères...
Maintenant ils reviennent, reste étrangère!

Afrique
L'Afrique attend sa pluie
Elle scrute le ciel matin et soir
Espère que les champs prennent vie
..On ne leur a donné que l'espoir.

Ils se partageront le miel,


La galette et l'igname frit.
Sur leur tête, vendront à petits prix
Maigre récolte pour leur survie.

Pieds nus, les enfants s'amusent


Vêtus de pagne ou de kurta
Ils sourient sous le soleil qui use
Ils fument cigarettes, mangent la coca.

On met dans leurs jeunes mains


Des armes de guerre, pas des fleurs
Des uniformes sur leurs corps d'enfant
Et ils n'ont même pas peur.

On les charge dans des camions


Ils vont, ils ne savent pas où
On leur donne des munitions
Ils tirent sur tout ce qui bouge.

Ils avaient Cholera, famine et malaria


Aujourd'hui ils auront sida et fusil
Ils se sentent de vrais petits soldats !
Ils ne craignent ni de tuer, ni de mourir.

Le monde autour d'eux s'en fiche.


Tant qu’on ne touche pas aux ressources
Minières soliflores et pétrolières
Le monde s'en fout, sans manière.

Les blancs ont la pluie,


Le sourire et médicaments
Le pouvoir de l'argent
Le pouvoir de survie.

Les noirs ont leur espoir,


Le soleil et pas d'eau,
Leurs enfants enrôlés en brousse contre leur gré
On aurait pu leur donner un carré de pelouse
A la place d'un cône rempli d'herbe.
De l'eau, des filets de pêches
A la place d'armes de guerre.

Ils creuseront leur propre trou


Violeront puis tueront soeurs et mères,
Se déclareront en guerre, deviendront fous,
Marche militaire et regard fier.

Alors on enverra les casques bleus,


Légionnaires et militaires,
Qui brandiront leur propre bannière
Aux postes avancées, ils ouvriront le feu.

Alors les enfants soldats tomberont


La main sur leur fusil, sans peur,
Un trou béant à la place du coeur,
Le regard fixe, les enfants mourront. Les maux du cœur.

Ce n'est qu'âme à écrire que d'avoir le coeur brisé.


Il fait connaître le pire par des mots et des pensées
Qui animent de pleurs les yeux dans le noir et la peur
de perdre un être aimé.

L'ambiance silencieuse où l'on se souvient


De ses lèvres doucereuses qui désormais n'offrent plus
rien
Que des mots douloureux claquant tel un fouet
Et rendant trop malheureux le coeur ensanglanté...
Ce coeur est enserré dans de durs barbelés
Qui le pendent et le blessent, et même le déchirent.
Il ne fait que saigner, et tente d'oublier
La douleur qui l'agresse de mots qu'on ne peut lire...

Est-ce là la sortie du tunnel si sombre ?


N'est-ce qu'un répit de lumière pour replonger dans
l'ombre ?
Ne serait-ce qu'une allumette qui va s'éteindre au
froid ?
Longues nuits passées où rien ne s’octroie

Terreur privative
Il a beau me dire qu’il m’aime et qu’il tient à moi,
Et il peut même mettre mon cœur en émoi
Par ses douces paroles et les mots de son cœur ;
Mais je n’arrive pas à oublier l’horreur.
Depuis qu’un homme un jour a abusé de moi,
J’ai cette peur au ventre sans savoir pourquoi.
Mon cœur est bien vivant, et il aime à outrance
Mais mon corps ne suit plus : il est en décadence.

C’est comme un parasite enfoui dans ma chair


Qui creuse et qui me ronge en voulant me faire taire.
Je n’ai jamais confié mon secret à personne,
Et pourtant il est là ; dans ma tête il résonne.

Je m’en veux de priver mon homme de plaisir,


Mais je ne ressens plus pour cela de désir
Et il ne comprendra probablement jamais
Pourquoi je ne cesse pas de le repousser.

C’est ainsi qu’est ma vie : privée de ce bonheur


Que je ne peux pas vivre, cloîtrée dans ma peur.
Mes journées et mes nuits ponctuées de terreur
Sont hantées par mon souvenir et ma douleur.
Est en moi
Imaginer un voyage
J'imagine un voyage vers l'inconnu
Un monde de liberté et de paix
Où on peut aimer sans être critiqué
Sans avoir l'air d'être jugé

Là, ou on peut se baigner dans le regard des gens


Là, où on peut sourire au gens
Là, où le monde s'aime
Est non la où le monde fait la guerre

J'aimerais partir en voyage, loin d'ici


Loin de cette vie, ne jamais en revenir
Ne jamais souffrir
Et ne penser qu’à moi

Un monde solidaire où tout le monde s'aide


Un monde s'aide sans faire la guerre
Faites l'amour pas la guerre
Une boîte de capote vaut moins chère
Qu'une bombe nucléaire.

Voyage
Je rêve de ce voyage depuis longtemps.
Pas tant pour les paysages que pour l’instant.
Dans mon pays, on n’est pas adulte par l’âge,
On le devient en accomplissant ce voyage.

Je suis né en Alorée, je m’appelle Esmé.


Je suis un Elfe Blanc, du clan des dirigeants.
C’est d’autant plus important, pour la royauté
Que mon voyage initiatique soit triomphant !
C’est donc plein d’enthousiasme, impatient et heureux
Que je me mets en route en ce matin joyeux.
Je quitte sans regrets le beau pays afrique,
Pour les Collines Enchantées, contrée mystique.

Il faut quatre semaines de marche inlassable


À travers des forêts presque infranchissables
Pour parvenir enfin à ce pays magique
Où je découvrirai des êtres magnifiques.

Là bas, l’herbe est bleue et douce comme la soie,


Les fleurs multicolores font de la musique,
On s’enivre de l’eau des ruisseaux que l’on boit,
On dérive, on se noie, ce monde est fantastique !

Mais mon dessein n’est pas de me laisser griser


Car pour être un adulte je dois ramener

Les crins d’une licorne aux reflets argentés


Et la plume azurée d’un grand pégase ailé.

Il me faudra pour ça devenir leur ami


Et rien n’est plus risqué que de les effrayer
Car ceux qui leur font peur se retrouvent rôtis
Par les dragons en charge de les protéger.

Encore Voyage
Sous l’aube bleu nuit aux fraîches senteurs,
Embrassé de brume et le cœur trop ivre,
J'irais avec ma douce poésie et mon livre,
Vers les océans vierges enchanteurs.
L’horizon sera notre unique phare,
Ramant et glissant sur des flots rêveurs,
Nous aurons les cieux, toutes leurs ferveurs,
Qui nous porteront en douce fanfare.
Nous nous confondrons aux brillantes mers,
L’infini sera notre sanctuaire,
L’écume des eaux l’encre à l’actuaire,
Gravant notre Eden loin des cœurs amers.
Et nous connaîtrons tout l’or des rivages,
La nue argentée et le jour vermeil,
La voile nourrie au divin soleil,
Toujours nous irons vers des lieux sauvages
Tournoieront dans l’air des senteurs d’orient,
De neige et d’encens, de sable et de bière,
Qui sur nous viendra fermer la paupière ;
Sur les pas d’Ulysse au conte brillant.
Voguant au travers des vagues bien calmes
Leurs reflets du soir comme des flambeaux,
Au ciel de l'Atlas loin des noirs corbeaux,
De nos cœurs noyés il naîtra des palmes.

L'oiseau de l'espoir

De ma fenêtre opaque dans ma cité hostile


Je ne peux qu’observer un ciel décoloré.
Des nuages en plaques qui recouvrent la ville
Ont caché et gâché cet azur ébranlé.

C’est à perte de vue que ce vaste horizon


Grisonnant de tristesse et privé de beauté
Montre son cœur perdu et ce sombre de plomb
Ecrasant la tendresse d’un beau soleil d’été.

Mais si je devenais cette belle colombe


Que j’ai vu transpercer ce voile si épais,
Et si je m’envolais bien plus haut que ma tombe,
Si un jour je pouvais enfin la dépasser…

Ma tombe, ma cité, le berceau de ma mort,


C’est bien la dépression, vous l’auriez deviné.
Mais cet oiseau volait et montait sans effort
Au delà des pressions de mon cœur tourmenté.

Mon espoir est venu à la vue de la paix


Transportée par cet être à l’allure angélique.
Il perça cette mue qui jadis me tenait :
Je me suis vu renaître au soleil des tropiques Un Ange
Qui Danse

Je cherchais l'inspiration et tout à coup voila l'orage


Précédé de ses éclairs, le tonnerre me donne la rage
Voila longtemps que rien ne va et pourtant j'ai tourné la
page
Seulement, il reste encore cette haine qui me donne
envie de toucher les nuages

Une irrésistible envie d’avancer, vite, bien, jusqu'à ce


fameux dérapage
Accident, meurtre, non, pas à ce point je tiens a rester
parmi les anges
Des erreurs j'en ai faites, ok, maintenant je les assume
Sinon comment vivre, ne pas se les avouer pour finir ça
nous consume

En une fois ou à petit feu, viens déjà choisir ton


costume
Apres on verra si ton porte-fric ne maque pas de tune
Suivant comment, toi et moi on finira par faire fortune
Au risque de déplaire aux autres car le fait qu'on puisse
réussir leur casse les brunes

Tôt ou tard on arrivera a percé dans ce milieu et on ira


frôler la lune
Manu, Da Vinicius y Vera, je tiens à vous dédier ce
morceau
Car la vie est trop injuste, la mort vous a trouvé trop
tôt
Ici bas plus rien est pareil depuis que vous etes partis

Jour après jour la peur nous envahis, on se demande où


va la vie
Quoi qu'il en soit, où qu'elle aille, sans vous chaque
coup dur est une bataille
Certains sont tellement douloureux, pour moi c'est
comme revivre vos funérailles
Mais bon, faut continuer à vivre car un jour on fêtera
nos retrouvailles

Attendez, j'ai un problème, l'orage se casse


Encore quelques éclairs mais peut à peut les choses se
tassent
Le soleil fait son apparition, ma haine s'en va, mais
dites moi ce qui se passe
C'est bon, je me suis calmé et comme par hasard mon
inspiration me lâche
Je m'endore, je suis fatigué, mes yeux se ferment
aveuglés par des flashs
Ca y est, voilà enfin une lumière, éblouissante,
incandescente
Pour finir je pete un plomb, je me réveille et vois un
ange.......... qui danse.

Musique en tous genres


Se lever tard
J’ai été trop fétard boire un café noir jouer de la guitare
Aujourdui il fait beau il fait chaud je me suis lever tôt
pour profiter de mon piano
J’ai touché le fondu an c'est trop long je vais me mettre
au violon pour oublier que j'ai été trop con
Je suis las de verge me mettre à la basse ou à la
contrebasse c'est une question de place !
Peut être est-ce la batterie qui m'emmènerai au paradis
qui enchanterai ma vie me ferait rêvé dans mon lit
Où c'est peut être ma voix ferait de moi quelqu’un de
respecté quelqu’un d'admiré
Ce choix là je l'ai déjà fait je suis fière de moi de tous
ces bienfaits
Mon piano c'est mon soleil ma merveille c'est le plus
beau

Juste un poème
Le poète ne voit pas comme moi
Il s'etonne de ce qui il voit
Il a la façon en jouant avec ses mots
Tout le monde peut admirer
Le poète lui contemple saisit la beauté
En parlant de ses rêves
Il sait faire naître les miens
Comme un magicien il m offre sa poésie
Pour m’accompagner dans ses vers et enchantent mon
coeur
Poète moi je suis pas mais à ses yeux je le suis

Expression
Dans chaque poème que je compose
Eclos un thème cher à mon coeur
Les mots me captivent et s'imposent
Salutaires à certaines douleurs

Je m'interroge, je me livre
Je me libère de ces chaînes
Parfois difficiles à vivre
L'écriture soulage ma peine.

L`espoir
Aujourd`hui c`est le dimanche,
C`est pour moi un jour sans chance !
Je suis là, toute la journée, bien ignoré,
Du matin à la soirée!

Comment beaucoup je voudrai, que c`était lundi,


Un jour, bien pour m`enfui...
J`en ai marre d`une vie sans passion et tendresse,
Sans espoir et même une petite caresse !

Souvent, je pense, que c`est que je fais ici à ma maison,


Pour continuer comme ça, il n`y a pas de raison!
Mais je reste là, bien tranquille,
Seulement pour être un père, pour ma petite fille !

Mais comme c`est dûr,


De n`avoir pas une vie pure !
J`aime la vie, avec les moments intimes, à chance,
Pour partager avec quelqu’un d`importance !

Mais ça, malheureusement, il n`y a pas de question,


Car je me sens bien en route à l`abandonner !
Grâce à mes amies, qui me donneraient l`espoir,
De ne vivre pas dans le noir!
La vie quotidienne, pendant la semaine,
C`est la vie, que j`aime!
Car je suis entre les gens "normal"
Qui me donnent bien, le moral !

Le Suicide des Oiseaux !

A tous ceux qui préfèrent être libres au détriment de la


liberté des Autres…
Orientaux et Occidentaux, nous commettons tous des
erreurs.
Dieu et ses Prophètes n’y sont pour rien.
L’oiseau est symbole de liberté ; mais la liberté a
certainement des frontières qu’elle ne doit pas
dépasser.
Sinon, elle deviendrait malade, et n’aurait pour remède
que le suicide.
Avant d’imaginer le monde sans liberté, imaginez le
monde sans oiseaux !
Nous vivons dans une ère
Où l’honneur est moins cher ;
Où la haine nous saccage
Et nous jette dans sa cage !

Où les guerres cèdent aux guerres


Plus atroces que la mort
Qui abat les plus forts,
Et s’empare de la terre !
Nous sommes tous prisonniers,
Du premier au dernier,
Dans une fausse liberté
Qui n’a plus de clarté !
Notre Paix qui planait
Tout autour des années,
Nous rapporte tout l’espoir
Dans un bec d’oiseau noir !

Liberté et bonté,
Et la bonne volonté,
Toutes les trois sont déçues
Par ces hommes qui les tuent !
Les oiseaux sont en grève.
Ils ont marre de nos rêves.
Ils ont bu de l’acide ;
Ils choisissent le suicide !

Leurs nuages dans le ciel


Ont gâché tout le miel,
Pour priver les humains
Du bonheur de demain !

Mais la guerre continue,


Sans arrêt, sans relâche ;
Et Satan a tenu
Dans sa main sa cravache.

Il nous chasse de ses lieux,


Pour sauver tous les dieux,
Pour garder son secret
Bien caché dans le vrai !

Contradiction, délire,
Hypocrisie affreuse,
Toutes ces insultes gazeuses,
N’ont laissé rien à dire !

Tout le monde a pour but


De jouer de la flûte,
Comme un vieux charlatan
Qui adore les serpents,

Et les garde dans une caisse


Jusqu’au jour de la messe,
Pour en faire un serment
Quel son rôle et charmant !

La vie d'un humain


L'amour et l'amitié n'ont pas de prix
Les câlins et les becs, t'en donne en est
Ta vie consiste de ta famille et surtout de tes amis
Tout l'amour nécessaire, tu en aura à l'infinie

Un être humain n'a pas de prix


Mais dans un sens, les humains valent un certain prix
Parce qu'il faut que tu sois bien nourris
Puis il faut te trouver de beaux habits
Pour parmi d'entre nous, l'argent fait partie de nos vies

Lettre à l’humanité
A vous frères humains, je vous envoie ce message
Une bouteille jetée à la mer juste avant le naufrage
Quelques mots éparpillés lancinants qui résonnent
Dans un murmure qui s’envolent au vent de
l’automne.

Que ceux qui vont mourir demain ou prochainement


Essuient leurs larmes et expliquent aux enfants
Pourquoi notre terre si riche devient un cimetière
Malgré les chants d’amour et les prières.

A vous frères humains, de perpétuer ce message


Au-delà de l’océan, à travers les nuages
Pour qu’une pluie de pensées d’amour et de
fraternité
S’abatte sur les contrées, mêmes les plus reculées.

Que ceux qui vont donner la vie, demain ou


prochainement
Retroussent leurs manches pour donner à leurs
enfants
Un monde de jardins fleuris, des prairies, du soleil
dans les cœurs
Le matérialisme et l’égoïsme n’ont jamais apporté le
bonheur.

A vous frères humains de m’accompagner à distribuer


ce message
Dans toutes les villes, les villages, et laisser dans
notre sillage
Un parfum d’espoir, de bienveillance, et de délivrance
Pour notre si belle terre qui s’asphyxie dans la
souffrance.

Que ceux qui vont naître demain ou prochainement


N’écoutent pas toutes les sottises des sois disants
« grands »
Que l’innocence de l’enfance qui, hélas peu à peu se
tarit
Reste le berceau de la sagesse qui illuminera leur vie
A vous frères humains, je vous écris ce message
Une carte postale griffonnée à la hâte, lors d’un
voyage
Pendant une escale dans la tourmente et la douleur
Devant la misère qui gangrène les peuples qui ont
peur.

Que ceux qui vont mourir demain ou prochainement


Que ceux qui vont donner la vie réfléchissent
sérieusement
Pour que tous ceux qui vont naître puissent être
accueillis
Par un sourire qui respire toute l’immensité de la
beauté de la vie.

A vous frères humains, de continuer avec moi, ce


message
A travers l’univers, l’infini, à travers les ages….
Pour que le cadeau que nous a fait notre créateur
avec bonté
Puisse tourner autour du soleil en paix toute une
éternité.

Vingt neuf janvier deux mille neuf, lieu « la terre »


Planète minuscule perdue dans l’univers
Un message d’un terrien à ses semblables humains
Pour que le soleil se lève encore sur d’heureux
lendemains…………

Humanité
Par cette lettre, et suite à nos longs entretiens
Je t’apporte enfin le fruit de mes réflexions.
Ce fut difficile mais j’avais ton soutien
C’est pourquoi je réponds sans une hésitation.
J’ai observé longtemps les peuples, les nations,
J’ai écouté les chants, les cris, et les discours
,
J’ai vu semer la haine, j’ai vu semer l’amour,
Entendu des complaintes et des déclarations.
J’ai senti la chaleur dans le cœur d’une mère
Et le froid pétrifié dans celui d’un banquier
Pourtant, ce banquier là sortit de la misère
Cette mère là, qui volait des chéquiers.
Tout n’est pas noir ou blanc, tout est si compliqué.
Il faut rester enfant pour pouvoir expliquer
Les méandres mouvants et la complexité
De la route menant à la maturité.
C’est peut-être qu’on rêve la réalité.
Il faut un cœur d’enfant et une âme de fée
Pour accepter l’étrange et l’incompréhensibilité,
Et se dire qu’au fond, si tout n’est pas crédibilité
,
J’ai été enchanté, Ô ma chère Humanité,
D’avoir pu contempler, dans son infinité
Les forces et les faiblesses de ta vérité,
J’ai trouvé la sagesse dans ta société.
Il n’y a pas de bien s’il n’y a pas de mal,
Tout est dans l’équilibre, quoi de plus normal ?
Veuille agréer, ma chère, mes salutations,
Et transmet mes respects à ta population.
L'encre peut nous faire lever l'ancre
Je m’adresse à vous tous, vous, les grands de ce monde
Car la colère me pousse à briser vos tables rondes.
Vous êtes porte-parole à la population
Mais jouez avec eux comme avec des pions.
L’encre de vos plumes macule les traités.

Mais condamne tant de justes à périr pour la paix


Que je me dois de parler pour tous ces gens qui sont
morts
Tout en continuant à le répéter
En tentant de réparer vos infamies et vos torts.
Vous, guides, maîtres et charlatans des nations
Qui ne respectent en rien la beauté de la création
Et qui préfèrent faire couler des litres de sang
Plutôt que d’abdiquer aux droits des vivants.
Pourquoi un partage si injuste de toutes les denrées
Alors qu’il serait si simple de les partager ?
Pourquoi tant de racisme pour une couleur
Alors qu’au fond de chacun bat le même cœur ?
Pourquoi forcer les autochtones à se civiliser
Alors qu’ils ont mieux réussi que nous tous à se
préserver ?
Pourquoi envoyer s’entretuer des milliers d’innocents
Alors que les coupables les regardent en souriant ?

Pourquoi provoquez-vous toutes ces horreurs


Qui taisent les espoirs et assombrissent les lueurs ?
Le monde est-il ainsi fait de fous qui dirigent un navire
Et le coulent en même temps sans se douter qu’il
chavire ?
Sachez, « membres de la populasse » comme vous
définissent ces grands
Qu’ils n’ont jamais eu l’intention de vous aider à vivre !
Ils vous rassurent en face pour mieux attaquer vos
flancs
Et en guise de coup de grâce, ils brûleront un jour nos
livres…
L’Homme aurait pu vivre une existence bien différente
Beaucoup plus loin de toute cette haine ardente,
Mais il a préféré rendre la chair à canon ivre
Pour l’envoyer mourir sous les tambours et les cuivres !
Voilà l’honneur suprême de toute cette folie :
L’alcool et le meurtre pour la médaille du pays !
Il est beau le courage de nos héros perdus
Qui après le carnage se sont fait dresser une statue

Afin de tous les honorer d’être morts pendant la guerre


Et tenter en vain de consoler leurs femmes et leurs
mères…
Il faut désormais que ces abominations cessent
Car nous finirons par tous y rester.
Ce sont toujours les mêmes qui encaissent
Mais il appartient à chacun de tout inverser.
Autre lettre à l’humanité

Bonjour messieurs ! Bonjour mesdames !


Soyez soucieux de ces mots que je clame
Et qui claquent en ces phrases juxtaposées
Quand je vide mon sac et me met à crier !

Je vous fais là le récit d’un pauvre monde,


Défiant l’inertie visuelle que je vous sonde !
Cette vision d’une planète belle et féconde
Est un ancien mythe, la mienne est immonde !

Les espaces sont conquis et la nature s’éteint,


Le bitume surgit étalé par d’hideux engins !
Les pentes sont aplanis mais pas nos esprits
Tourmentés par la vie de nos paradoxaux soucis !

Les peuples se répandent et la richesse immobile


Ignore ce que scandent la tristesse des gens puérils !
Leurs esprits jouvenceaux n’ont pas compris
Que des deux jumeaux, il dût en avoir un soumis !

La naissance est une souffrance qui fait pleurer


Comme si l’âme dans sa première transe, savait !
La mort est la délivrance de ceux qui pleuraient
Quand s'éteignaient de douces fragrances colorées !

Il ne tient qu’à nous de faire rire nos bébés


En dépolluant l’air qu’ils se verront respirer !
Il ne tient qu’à nous de mourir en paix….
Veuillez acceptez mes salutations névrosées !
Espoir de vie
Le bien et le mal se battent en duel
Une banale histoire dans ce monde cruel.
L’amour est devenu la pire des trahisons
La haine a surgi au recoin des passions.

C’est l'histoire d'une enfant qui pleure


Au milieu d'un ancien jardin en fleurs
Dans la nuit elle court et cherche un abri
Pour son petit corps que l'on a meurtri.

Elle ouvre les yeux sur la lumière sombre


D’un village vide, où volent des ombres
Elle marche seule parmi les débris,
Rendez lui sa vie, on lui a tout pris.

Au loin, dans le ciel une âme est montée


Elle essaye en vain de la rattraper
Cette foi qui tellement souvent l'a sauvée
Cette liberté qu'elle aimerait retrouver.

C’est l'histoire d'une enfant bannie


Qui a l'espoir de vivre une autre vie
Malgré la douleur, malgré la détresse
La candeur de son visage nous oppresse.

Offrez-lui des rêves pour un peu de bonheur,


Donnez- lui du pain pour que cesse ces pleurs
Rendez- lui la flamme qui égayait
son coeur
Sortez-la de la misère, c'est ma
petite soeur.

Tous ces malheurs


Dans la vie, j'ai eu la chance
d'avoir grandis avec mes parents
de ne pas avoir à déjeuner du pain rance
où encore à travailler dur dans les champs.
En Afrique, il y a ces enfants dont le ventre
gonfle
Dans d'autres pays pendant tout ce temps,
certains ronflent
En Ethiopie des nouveaux-nés meurent
Alors qu'autre part des hommes se plaignent du
bonheur.
Le plus médiocre dans tout ça,
C'est que certains écrivent des mots sur ces
médias
Ils utilisent des rimes, font des alinéas
Non pas pour stopper tout ce drame mais voir ce
que ça vaudra!
Moi si je m'exprime sur ce sujet
C'est pour que mes prières soient entendues
Et surtout exaucées...
Mais bon, je sais que ça n'en sera pas plus!
C'est triste de parler de ces malheurs
Alors que l'on ne peut cesser leurs pleurs
Ces pauvres malheureux vivent sans eau potable
Ils n’ont même pas de quoi mangé sur leurs
tables.
Donc tous les soirs je m'endors
Et j'imagine qu'en me réveillant
Tous ces pauvres êtres soient couverts d'or
Mais ça n'a rien changé puis mes espérances
durent depuis 19 ans...

OUVRIR LES YEUX

Le jour se lève, le soleil apporte une chaleur sur le


corps de la terre
J'entend ni le chant des oiseaux ni la joie de l'être
humain
Un organe noble manque à l'appel, celui du coeur que
beaucoup d'hommes et de femmes ont perdu sur leurs
chemins
Un soupire celui d'un enfant bercé par la voix africaine
d'une nation d'un peuple perdu lors d'une guerre
L'âme voyage, s'échappe du corps avide, essoufflée par
l'impuissance à Etre
Je respire l'histoire des femmes qui ont mené le
combat afin que les générations futures aient le droit
en tant que femme d'Etre
J'écoute l'histoire des hommes qui combattent et
meurent chaque jours pour le respect de leurs valeurs
On a donné à l'être humain les moyens de s'informer et
pourtant la misère du monde continu d'exister par peur
Poussé par le vent, j'entrouvre la porte d'un pays où le
silence règne par l'impuissance des mots
Liberté d'expression, détrompez-vous beaucoup de
personnes n'y ont pas le droit, beaucoup trop de belles
paroles
Encore aujourd'hui apprendre à lire et à écrire
départage un peuple entier ou la différence des sexes
pose ses maux
Encore aujourd'hui des petites filles auraient revers
d'être un petit garçon pour s'asseoir sur les bancs de
l'école
La différence continue à frapper, elle rend à l'être
humain son instinct animal qui le pousse à croire qu'il
est tout puissant
Le regret se pose quand la différence aide l'indifférent
inconsciemment
La raison pousse l'être à penser qu'il dit vrai
Seul celui qui a foi, croie en l'espoir d'un monde en paix

Mon combat
Une rencontre inattendue
Un amour, l’envie de construire une famille,
Redonne goût à l’amour à un homme tombé trop
souvent
Espérant pouvoir lui faire abandonner son habitude
Qui le détruisait à petit feu
Quelques années après, peu de choses ont changées
C’est une chose très importante, un enfant
Notre fils est né d’un amour
Qui aujourd’hui n’est plus aussi intense,
Je n’ai plus envie de me battre contre ma pire ennemie
Qui le détruit,
Me rendra-t-elle compte un jour du mal que celle-ci fait
à notre famille ?
Ce jour là ça sera peut être trop tard.

Au fil des générations


Nous ne sommes pas nés dans une cité
Bien qu’issus d’un milieu ouvrier
D’une génération antérieure où les problèmes
Etaient, malheureusement, déjà, les mêmes.
Ce ne fut pas une raison pour tout casser
Autour de nous, au nom de l’égalité
Ce ne fut pas une raison pour insulter
La société contre laquelle nous fûmes aussi, révoltés.
Nous ne vivons pas dans un milieu défavorisé
Mais contre les accidents de la vie, nous avons lutté
Le crime, la guerre, hélas, nous y avons goûté
Mais il a bien fallu, un jour, savoir se relever.
Ce ne fut pas une raison pour tout casser

Autour de nous, au nom de la liberté


Ce ne fut pas une raison pour user de vandalisme
Pour cracher sur notre propre justice.
Nous ne sommes pas nés dans un monde huppé
Avec tout le luxe, la volupté à nos pieds
Etre né dans une classe sociale opposée
N’excuse pas une intolérance démesurée.

Ce n’est pas une raison pour tout casser


La pseudo vengeance contre les personnes aisées
N’a jamais rien changé ni soulagé
La peine et la misère qui sévit à côté.
Nous ne sommes pas né dans une cité
Et même si la pauvreté nous a enlacé
Armés de courage, patience et intelligence
On obtient un jour, plus qu’avec de la violence.

L’attrait du gain, l’envie, la jalousie


Ne sont pas un signe de qualité de vie
Alors que l’amour et les richesses du cœur
Suffisent amplement à trouver le bonheur.
Pourquoi encore tant de discriminations???
Pas plus tard qu'hier, un ami à moi a été victime d'une
injure raciste,
Mais pourquoi, s’acharner après ces personnes,
À cause de leur religion???
Je trouve ce geste déplacé surtout à notre époque,
Et encore plus, car c'est des propos racistes.
Une injure telle qu'il l'a subit est punissable de nos
jours,
Et beaucoup semblent pourtant l'oublier.

Je ne comprendrais jamais comment ces personnes


Osent se regarder dans un miroir le matin,
Après le mal qu'ils font autour d'eux le soir!!
Non mais c'est inimaginable, de traiter des personnes
De telles sortes, tout ça car elle est différente.
Que la personne soit différente de nous,
Par son physique, sa religion, sa façon de penser,
Qu’elle est un problème mentale ou autre,
Je trouve ça pas humain de se moquer, d’insulter
Tout ça car cette personne est différente.
Mais il me semble que beaucoup,
Ont oublié que sur cette terre,
Chacun à sa place et que chacun à droit au respect.
J'ai une seule question, à vous poser:
Aimeriez-vous que l'on vous traite de manière immonde
À cause de votre différence?????
Je suppose que non, alors pourquoi,
Beaucoup réagissent encore ainsi???

Chère Humanité,
Le pessimisme devient indispensable
Pour m'embrigader dans la pensée commune de mes
semblables.
Malgré tes innombrables problèmes,
Je veux croire en une possible Guérison
Que d'Admirables Gens sèment
Déjà en se posant les bonnes questions.
Observe ton Héritage
Les Couleurs se mêlent,
Rendant Humain le mot partage
Et désagrégeant l'association "Terre poubelle".
La Tolérance éclaire les Chemins
De la Différence

Aux nombreux pèlerins


Qui boivent du Respect à outrance.
Les entreprises Solidaires fleurissent
Sous le Soleil brûlant
Les fruits de l'Entraide mûrissent,
La canicule tuant les mauvaises plantes de
l'individualisme récalcitrant.

Viens, Humanité, viens voir


Tes Enfants Sourire!
Généreuse, tu leur as offert l'Espoir
De Croire en un bel Avenir.
Maintenant,regarde cet Adolescent
Ses Gestes sont remplis d'Amour
Envers des Parents
Handicapés à la Vie à la mort, aujourd'hui, toujours.
Illusions frontalières
Car Voyagent les Gens
Par-delà les préjugés des Traditions Etrangères
Sur les cinq Continents.

Sentir la Présence de l'Autre,


L'Ecouter et le Guider

Jusqu'à se transformer en Véritable Apôtre


Fut ta mission dont, nous, Héritiers, nous
acquitterons pour l'Eternité.
Repose-toi désormais et contemple ton Travail,
Symbole d'une grande Efficacité
En Cadeau de Retrouvailles,

Les Peuples du Monde s'unissent un instant et te


disent merci
Nous possédons la Simple Chance de Vivre
Alors ne la gâchons pas à nous entre-tuer pour
tenter de Survivre!

ECRITURE D’UN POETE

MA PLUME A PERDUE INSPIRATION SERAIS- CE LE


DESACORD DE MON COEUR
MES PENSEES NE SAVENT PLUS QUOI INVENTER
LE BANAL M’AURAIT IL AGRIPE
MES YEUX N’ARRIVENT PLUS A S’EXPRIMER AURAIENT- ILS
PERDU LEUR CREDIBILITE
MON ENTHOUSIASME L’ ECLAIRCICERAIT- IL PARDIS
AURAIT- IL SUIVI LE MAUVAIS CHEMIN DE MA VIE
MES SENTIMENTS SERAIENT-ILS A L’ EGARD DE MON
ECRIT
TOI PETITE ELF DE LA NUIT
TOI PETIT CUPIDON DE MON IMAGINATION
ET TOI VOIX DE MON COEUR
ECOUTEZ MES PLEURS ET COMPRENEZ
QUE JE PARLE TOUJOURS AVEC MON CŒUR
ET NON AVEC DES HISTOIRES D’ AUTRES JE DEMEURE
FIDELE MILITANT DE LA LIBERTE

FIN
Auteur : Dr. Aziz Mohamed
Casablanca : le
01/01/2009

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