AUX
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CHANGEMENTS INTERNATIONAUX
de certains critères :
dernier : est international, le contrat qui présente des liens avec plusieurs
commerce international.
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d’un contrat, ce qui nécessite une grande vigilance pour la préparation d’un
bon contrat.
être apprécie sur la base de leur contenu réel et non de leurs intitulés
parfois trompeurs.
annuler les écrits extérieurs dont les éléments toujours valables sont
une clause dite : « disclosure clause » qui contraint l’un des partenaires
au silence, et lui interdit d’utiliser à son profit les divulgations à lui faites
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ouvrages) , ces contrats sont conclus en considération des circonstances
A- AU NIVEAU DE LA NEGOCIATION :
1- LA LANGUE DE NEGOCIATION :
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Certes, la langue de rédaction du contrat international pose souvent
universelle, est devenue elle aussi source de difficultés, car elle véhicule
des concepts de common law qui ont des origines coutumières différentes
de ceux écrits.
à leur précision.
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Donc, l’offre doit être distinguée de la simple proposition ; l’offre
naissance au contrat.
contrats. N’a pas valeur d’offre, la proposition émise par une partie dont le
relation avec l’offre ; ainsi l’acceptation doit être éclairée, pure et simple,
et faite par une partie qui a pu prendre connaissance de toutes les clauses
son consentement.
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La jurisprudence considère que le silence vaut en effet acceptation
mêmes contrats.
Toutefois, il n’on est pas de même pour les nouveaux contractants qui se
B- AU NIVEAU DE LA FORMATION :
1- L’IMPRECISION DU PRIX :
prestation assurée…
Pourtant, le prix soulève une grande problématique, dans le cas ou il n’a pas
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Cette problématique se manifeste clairement dans l’article 14 et 55 de
est valable.
circonstances comparables.
privé, prévoit qu’au cas ou le contrat ne fixe pas de prix et ne prévoit pas
pratiqué dans des ventes antérieurement conclues entre les mêmes parties
est fixé par une partie ou pour une tierce, s’avère manifestement
ne peut ou ne veut pas la faire, il est fixé un prix raisonnable où les parties
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sont présumées avoir donné au tribunal le pouvoir de désigner un
l’acheteur, soit enfin fixer d’un commun accord une monnaie unique.
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PARIE II : DIFFICULTES LIEES A L’EXECUTION DU CONTRAT
INTERNATIONAL :
est assortie elle aussi par des difficultés qui entravent son exécution.
1- CONFLIT DE LOIS :
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i. LA LIBERTE DE CHOIX :
pays dont les juridictions auront à connaître des litiges nés du contrat.
la loi applicable.
Le droit des conflits de lois des Etats permet par une règle supplétive,
conventionnel.
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Quant au droit conventionnel, on se réfère à la convention de Rome
de choix sera celle du pays qui présente les liens les plus étroits avec la
situation contractuelle.
2- CONFLIT DE JURIDICTION :
internationales.
i. LA JURIDICTION ETATIQUE :
Dans le cas français comme dans le cas marocain, deux critères ont
été dégagés :
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partage des meubles situés à l’étranger, des actions relatives à des voies
administratives.
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B- DELICATESSE DES CLAUSES INTERNATIONALES :
contrat.
l’article 269 : « tout fait que l’homme ne peut prévenir… » ; En tout état
elle peut justifier que cette non exécution résulte d’un empêchement
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2- CLAUSE DU HARDSHIP « imprévision » :
l’imprécision ne sont pas indiquées sous forme de clause types ; elles sont
laissées à la libre initiative des parties qui doivent en fixer les conditions,
SABAN MOHAMED
Saban.mohamed@gmail.com
Tanger 2005/2006.
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