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G5

EXERCICE I. RECORD DE SAUT EN LONGUEUR À MOTO (6 points)


Polynésie 09/2009 Correction © http://labolycee.org

1. La phase d’accélération du motard.

G1G3 G1G3
1.1. v2 = =
t 3 −t1 2τ
le facteur d’échelle donne : 1 cm (document) ⇔ 2 m (réel)

avec G1G3 = 6,4 cm sur le document donc réellement : G1G3 = 6,4 × 2 / 1 = 12,8 m
12,8
v2 = = 8,0 m.s-1
2 × 0,800
G3G5 G3G5
v4 = =
t 5 −t 3 2τ

G4
avec G3G5 = 12,8 cm sur le document donc réellement : G3G5 = 12,8 × 2 / 1 = 25,6 m
25,6
v4 = = 16,0 m.s-1
2 × 0,800
1.2. Voir ci-contre. Échelle des vitesses : 1 cm ⇔ 2 m.s-1 donc
r
v 2 représenté par une flèche de 8,0 × 1/2 = 4,0 cm
r
v 4 représenté par une flèche de 16,0 × 1/2 = 8,0 cm
Les vecteurs vitesses sont tangents à la trajectoire et orientés dans le sens du mouvement.
r r r
1.3. Voir ci-contre. Construction du vecteur ∆v 3 = v 4 – v 2 en G3.
r r r r
r r dv 3 ∆v 3 v 4 − v 2
1.4. Expression du vecteur accélération 3 au point G3 : a3 =
a ≈ =
dt ∆t 2τ

G3
∆v 3 r
a3 = . Or le vecteur ∆v 3 mesure 4,0 cm donc avec l’échelle des vitesses

1 cm ⇔ 2 m.s-1 ; ∆ v3 = 4,0×2 / 1 = 8,0 m.s-1
8,0
Finalement : a3 = = 5,0 m.s –2.
2 × 0,800

G2
1.5.1. Le graphe de la figure 2 est une droite passant par l’origine,
donc la vitesse est proportionnelle au temps : v = k . t.
dv d(k.t)
Par définition l’accélération a est a = ; ici a = = k = Cte.
dt dt
L’accélération de la moto est constante.
G0 G 1

1.5.2. On détermine le coefficient directeur de la droite :


50 − 0
entre les points (0 ; 0) et ( 50 ; 10 ) : a = = 5,0 m.s-2.
10 − 0
On retrouve bien la valeur obtenue graphiquement en 1.4.
r
v4

r
−v 2
r
v4

r
1.5.3. distance parcourue par le motard lorsque celui-ci a atteint une vitesse de 160∆km.h
v 3 -1 :
On a 160 km.h-1 = (160/3,6) = 44,4 m.s-1. On trace la droite horizontale d’équation v = 44,4 sur la
figure 2. Le point d’intersection avec le graphe v(t) donne en abscisse, le temps de parcours.
On reporte ce temps de parcours sur la figure 3 : le point d’intersection avec le graphe d(t) nous
donne la distance parcourue.
On mesure ici : d = 195 m, cette détermination graphique étant approximative, on ne conserve
que deux chiffres significatifs, d = 2,0× 102 m.
Figure 2 : Valeur v de la vitesse du système r
en fonction du temps. v2
-1
60
v (m.s ) 60 m.s–1  6,0 cm
50 44,4 m.s-1  x cm
40
44,4 m.s-1
30
x = (44,4× 6,0)/60
4,4 cm 6,0 cm x = 4,4 cm
20
10
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
t (s)

Figure 3 : Distance d parcourue par le système en fonction du


temps
d (m)

250
195 m
200
6,0 cm
150 3,9 cm 300 m  6,0 cm
d m  3,9 cm
100
d = (3,9× 300)/6,0
50 d = 195 m

0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
10
t (s)
2. La montée du tremplin.
2.1. Énergie mécanique : EM = EC + EPP = ½.m.v² + m.g.z
(avec axe Oz vertical orienté vers le haut et l’origine des énergies potentielles prise en z = 0).
2.2. Variation d’énergie potentielle de pesanteur entre B et C :
∆ EPP= EPP(C) – EPP(B) = m.g.zC – 0 = m.g.OC
Or sinα = OC / BC ⇔ OC = BC . sinα
Donc ∆ EPP= m.g.BC.sinα .
∆ EPP = 180 × 9,81 ×7,86 × sin(27) = 6,3 ×103 J = 6,3 kJ.
2.3. Entre B et C le motard maintient une vitesse constante donc ∆ EC= EC(C) – EC(B) = 0.
Comme EM = EC + EPP alors ∆ EM = ∆ EC + ∆ EPP = ∆ EPP > 0.
Donc EM(C) > EM(B) : ainsi l’énergie mécanique du système augmente lorsqu’il passe de B à C.

3. Le saut.
3.1. Le mouvement du système { motard + moto }, de masse m, est étudié dans le référentiel
terrestre supposé r galiléen. Le système n’étant soumis qu’à son poids, la deuxième loi de
r
Newton donne : P = m.a
r r r r
Or P = m.g donc m.g = m.a soit
r r
a= g

r r x r a = 0
En projection dans le repère (O, i , k ) il vient : a a = −g
 z
 dv x
r a = =0
r dv r  x dt r v = Cte1
Comme a= alors a  il vient v x
dt a = dv y = −g v z = −g.t + Cte2
 z dt
r r  v x (0) = v 0 .cos α = Cte1 r v =v 0.cosα
Or v(0) = v 0 soit  il vient finalement : v x
v z =−g.t + v 0.sin
α
 v z (0) = v 0 .sin α = 0 + Cte2
 dx
uuur
r dOG 
r
vx =
dt
= v 0 .cos α uuur  x = ( v 0 .cos α.) t + Cte '1
Et v= alors v il vient OG  1
dt v = dz = −g.t + v .sin α z = − g.t² + ( v 0 .sin α ) .t + Cte ' 2
 z dt 0  2

uuur r  x(0) = 0 = Cte '1 uuur x(t) = (v .cosα .t)


 0

Or OG(0) = h.k soit  il vient finalement : OG  1


 z(0) = h = Cte ' 2 z(t) =− g.t²+ v( .sin t) h
0 α +
 2

3.2. On isole le temps « t » de l’équation x(t) = (v0.cosα ).t que l’on reporte dans z(t) :
2
x 1  x   x 
t= ⇒ z(x) = − g   + ( v 0 .sin α ) .  +h
v 0 .cos α 2  v 0 .cos α   v 0.cos α 
g
finalement : z(x) = – 2 .x² + (tanα ).x + h
2.v 0 .cos ²α

3.3. « L’atterrissage » se fait sur le tremplin si z(xD) ≥ h. La distance maximale du point D


correspondant au cas de l’égalité : z(xD) = h
g  g.x 
Soit : – 2.v 2 .cos ²α .xD² + (tanα ).xD + h = h ⇔ xD.  tan α − 2.v 2.cos
D
=0
0  0
2
α

 g.xD 
En écartant la solution xD = 0, il vient :  tan α − =0
 2.v .cos α 
2
0
2

sin α
2.v 02 .tan α.cos2 α 2.v 02 . .cos2 α 2.v 02.sin α.cos α
soit xD = ; x = cos α ; xD =
g D g
g

« Maths » : sin(a+b) = sin a . cos b + cos a . sin b, donc 2 sin α . cos α = sin 2α
v 02.sin(2 α)
Finalement : xD =
g

(160 / 3,6)2 × sin(2 × 27)


3.4. xD = = 162,9 m = 1,6× 102 m
9,81
Cette valeur est supérieure à 107 m. Cette différence est due aux forces de frottements qui
n’ont pas été prises en compte lors de l’étude du système ; elles diminuent la portée du saut.

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