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Journeys into the moon, several planets and the sun: History of a female
somnambulist of Weilheim on the Teck in 1832 and 1833
Il en a en outre des informations (non fournies dans l’édition allemande) sur les
médecins ou magnétiseurs qui ont observé la somnambule.
Mes commentaires sont bien sûr les mêmes que pour l’édition allemande, s’y
reporter.
Je saute la table des matières qui est la même que dans l’édition allemande et
dont j’ai déjà donné une traduction.
Cette édition en anglais sera utile à tous les français non germanistes.
Etc, …
Etc. Elle a vu sur la lune une ville, des arbres, des lacs, des montages et de
habitants heureux.
A comparer avec la Lune de Jakob Lorber (Jacob Lorber). Ici quelques extraits
de ce texte que les lorberianer français se gardent bien de publier en son entier
tellement il pourrait faire douter les recrues potentielles.
Sur la face visible vivent des êtres spirituels, l'âme des hommes
défunts (ou des enfants morts prématurément), qui y poursuivent leur
évolution spirituelle, jugée insuffisante durant leur vie terrestre
car trop portés au matérialisme.
« Une autre particularité de ces êtres humains est d'avoir des yeux
à double fonction; la première est celle de le vision, comme pour les
vôtres; la seconde par contre consiste en ce que leurs yeux servant
d'appareil d'éclairage dans leurs ténébreuses habitations,
propriété qui se rencontre aussi sur la Terre autant chez certains
animaux, qu'en certaines régions chez les hommes eux-mêmes, et
précisément parmi ceux qui ont la pupille rouge, comme par exemple
chez les albinos. Un autre don particulier à ces sélénites est leur
ouïe on ne peut plus fine, grâce à quoi ils peuvent percevoir le
bruit le plus léger avec beaucoup de facilité même à des distances
; c'est pourquoi le pavillon de leurs oreilles est de
beaucoup plus grand et plus compact que le vôtre. »
« Le mâle est beaucoup plus robuste que la femme; non pas dans le
rapport qui existe sur la Terre entre l'homme et la femme, mais bien
plutôt dans celui qu'il y a entre un enfant de dix ans et un homme
dans sa pleine maturité; pour cette raison, ces sélénites mâles
sont envers leurs femmes d'une tendresse extrême, et ils les portent
non seulement, comme on a l'habitude de dire, sur la paume de la main,
au sens littéral du terme, mais tout bonnement sur les épaules, à
califourchon; et c'est pourquoi là, on voit toujours deux créatures
humaines aller l'une sur l'autre.
La femme ne doit faire presque absolument aucun travail, et elle est
nourrie par l'homme, si bien que ce dernier mastique même auparavant
comme il faut les aliments et les passe ensuite de sa bouche à celle
de la femme. En dehors de l'habitation elle ne descend pas des épaules
de l'homme, sauf en cas d'extrême nécessité ou dans la période de
grossesse avancée, c'est-à-dire, lorsqu'elle est proche de
l'accouchement.
En toute sa vie la femme n'enfante que deux fois, une fois de Jour et
une fois de nuit; cependant elle met au monde toujours quatre enfants
vivants et précisément quatre mâles de jour et quatre filles de
nuit. Les enfants peuvent aussitôt marcher, et les mâles sont
aussitôt habitués à porter la femme. Que sur la Lune les enfants
meurent parfois déjà à l'âge tendre est une chose très naturelle,
comme elle l'est sur la Terre. Cependant, il est accordé à des
esprits étrangers de prendre demeure en eux seulement quand ces
enfants sont déjà âgés de cent jours ou plus.»
« ... les hommes doivent porter alentour leurs femmes, afin qu'ils
puissent être guéris de la sensualité charnelle, moyennent le poids
de la femme pesant continuellement sur eux. En vérité Je vous le dis:
il faudrait qu'un Régent de cette Terre prescrive dans son Etat à
tous ses sujets ayant des inclinations libidineuses, comme devoir
absolu, dès lors qu'un tel voluptueux eut pris son propre plaisir avec
une jeune fille, de la porter ensuite pendant une année entière sur
son propre dos, avec l'obligation de la garder ainsi jour et nuit, que
ce soit couché assis, debout sur pieds ou bien en marchant ; sans
aucun doute pendant ce temps il deviendrait réellement rassasié de la
voluptueuse chair; comme enfant gourmand qui après s'être gavé de
miel qui lui a détraqué l'estomac, et qui après guérison a plus
peur du miel que de l'aiguillon de l'abeille. »