Baccalauréat en France
En France, le baccalauréat (du latin bacca
laurea, étymologiquement baie de lauriers)
est un diplôme indispensable à l’entrée dans
une formation de l’enseignement supérieur.
Il est une condition nécessaire mais pas
suffisante : certains établissements
supérieurs, notamment les classes
préparatoires, opèrent une sélection parmi
les bacheliers, en fonction de critères qui
leur sont propres. Les candidats sont
essentiellement des lycéens achevant leurs
études secondaires. Il a été créé dans sa
version moderne sous Napoléon Ier par le
décret organique du 17 mars 1808 et est Diplôme de baccalauréat (2003)
considéré comme le premier grade
universitaire.
La réforme napoléonienne
Après la Révolution française qui supprime les universités, le baccalauréat a été réorganisé pour les cinq disciplines
d'alors (sciences, lettres, droit, médecine, théologie) par Napoléon Ier en 1808, avec les deux autres grades, la licence
et le doctorat. Le baccalauréat devient alors un grade d'État. Le décret du 17 mars 1808 fixe les règles à suivre pour
obtenir ces grades. Les deux nouveaux baccalauréats, baccalauréat ès lettres et baccalauréat ès sciences, s'inscrivent
dans l'héritage de la maîtrise ès arts. Les baccalauréats de chaque discipline ne sont pas de même niveau, ainsi le
baccalauréat ès lettres est un préalable à la présentation aux épreuves des autres baccalauréats. Le baccalauréat en
droit est obtenu après deux années d'études dans la faculté de droit.
En 1808 il n'y eut que 21 bacheliers. En 1830, est introduite la première épreuve écrite et, en 1840, des mentions très
bien, bien et assez bien. À partir de 1852, les baccalauréats ès lettres et ès sciences deviennent symétriques, alors
qu'auparavant le baccalauréat ès lettres précédait le baccalauréat ès sciences, divisé en baccalauréat ès sciences
physiques et ès sciences mathématiques. Il y avait au XIXe siècle suffisamment peu de candidats pour que les
professeurs de l'université fassent eux-mêmes passer les épreuves, comme on le voit dans « Le Bachelier » de Jules
Vallès. Ainsi, en 1885, il y avait pour l'Académie de Paris 878 bacheliers reçus au premier baccalauréat, et 776 au
second baccalauréat[1] . En 1902, des enseignants du secondaire partagent les places au jury avec les universitaires
Baccalauréat en France 2
Baccalauréat ès lettres
Selon l'arrêté du 10 avril 1852 et le règlement du 5 septembre 1852, pour pouvoir subir les épreuves du baccalauréat
ès lettres devant une faculté des lettres, il faut avoir au moins seize ans. L'examen se compose d'une épreuve écrite et
d'une épreuve orale. La première épreuve comprend une version latine, une composition latine ou une composition
française suivant le sort. Les sujets sont choisis par le doyen de la faculté. La note à l'épreuve écrite détermine la
poursuite de l'examen. L'épreuve orale consiste en une explication de textes grecs, latins et français, puis une
interrogation sur la logique, l'histoire et la géographie, l'arithmétique, la géométrie et la physique élémentaire. Les
bacheliers ès lettres sont dispensés de la partie scientifique des épreuves.
Baccalauréat ès sciences
Selon l'arrêté du 10 avril 1852, l'examen se compose de deux épreuves, une épreuve écrite, comprenant deux
compositions et une épreuve orale où le candidat doit répondre sur tout l'enseignement de la section scientifique des
lycées. Les parties les plus élevées des mathématiques, de la physique, de la chimie et de l'histoire naturelle, qui
étaient comprises dans les anciens programmes du baccalauréat ès sciences physiques, sont reportées à l'examen des
trois licences ès sciences. Les étudiants des facultés de médecine et des écoles supérieures de pharmacie sont
dispensés du baccalauréat ès lettres et doivent être bachelier ès sciences. Selon les lois des 15 mars 1850 et 14 juin
1854; les décrets des 22 août 1854 et 23 août 1858; les arrêtés des 7 août 1857, 15 juillet 1858 et 24 janvier 1859 :
pour être admis à l'examen du baccalauréat ès sciences complet, il faut être âgé de 16 ans. L'examen se compose
d'une épreuve écrite et d'une épreuve orale. L'épreuve écrite comprend une version latine, une composition de
mathématiques et une de physique. L'épreuve orale comprend des explications d'ouvrages latins, français, allemands
ou anglais et des interrogations sur les matières du programme concernant la logique, l'histoire géographie, les
mathématiques pures et appliquées, les sciences physiques et les sciences naturelles. Les bacheliers ès sciences sont
dispensés des épreuves littéraires. Les facultés des sciences tiennent annuellement trois sessions d'examen. Le
baccalauréat ès sciences restreint comprend une composition d'histoire naturelle au lieu de la composition de
mathématiques. Il est destiné aux futurs étudiants en médecine.
Baccalauréat en droit
Le baccalauréat en droit sanctionnait les deux premières années d'études dans les facultés de droit. Il fut remplacé en
1962 par le diplôme d'études juridiques générales[2] .
L'épreuve anticipée de français en classe de première est instituée en 1965, les filières A, B, C, D et E (remplacées en
1994 par les filières S, L et ES), ainsi que technologiques sont mises en place en 1968. Le bac professionnel est
établi en 1985, année où le ministre de l’Éducation nationale Jean-Pierre Chevènement, proclame que le but à
atteindre est d'amener 80% d’une classe d’âge au niveau du baccalauréat. Cet objectif est ramené à 74%
ultérieurement. En 2008, environ 64 % d'une génération est titulaire du baccalauréat. En 2007, 54 % des bacs
obtenus sont des bacs généraux, 26 % des bacs technologiques et 20 % des bacs professionnels.
Le baccalauréat est ainsi passé en un peu plus d’un siècle et demi d’un diplôme élitiste et bourgeois, sélectionnant les
futurs cadres de la nation, à un diplôme de base, indispensable à toute formation et à toute carrière professionnelle,
remplacé dans son rôle précédent par exemple par les concours d'entrée aux grandes écoles.
Organisation en 2010
Généralités
Même s’il est possible de passer les
épreuves en tant que candidat libre, cet
examen est conçu pour être la fin des
enseignements ayant lieu au lycée. Les
sessions d’examen ont lieu à la fin de
l’année scolaire[3] , au mois de juin en
France métropolitaine et dans
l'essentiel de la France d'outre-mer et
au mois de novembre en
Nouvelle-Calédonie et à Orientation dans le système éducatif français - niveau secondaire - à partir de la rentrée
Wallis-et-Futuna. 2009
Filières
Le baccalauréat peut se passer dans de nombreuses filières, qui peuvent être de trois types principaux :
Le baccalauréat général
D’un point de vue légal, le but du baccalauréat général est de vérifier « un niveau de culture défini par les
enseignements des lycées » d’une part et de contrôler les « connaissances dans des enseignements suivis par l’élève
en dernière année » (c’est-à-dire en terminale) d’autre part[4] . Il y a trois séries[5] :
• le baccalauréat économique et social,
• le baccalauréat littéraire et
• le baccalauréat scientifique.
Ce diplôme ne permet pas l’insertion professionnelle mais permet de continuer ses études à l’université ou en classe
préparatoire aux grandes écoles. Les titulaires d’un bac général peuvent aussi poursuivre dans des filières
technologiques et tenter d’obtenir un BTS ou un DUT.
Baccalauréat en France 4
Le baccalauréat technologique
Le baccalauréat technologique est organisé pour permettre soit l’entrée dans la vie active, soit de poursuivre dans
l’enseignement supérieur[6] . Il existe en 2010 sept séries technologiques [7] :
• le baccalauréat sciences et technologies de la santé et du social (ST2S),
• le baccalauréat sciences et technologies industrielles (STI),
• le baccalauréat sciences et technologies de laboratoire (STL),
• le baccalauréat sciences et technologies de la gestion (STG),
• le baccalauréat sciences et technologies de l'agronomie et du vivant (STAV),
• le baccalauréat Hôtellerie et
• le baccalauréat techniques de la musique et de la danse (TMD).
Le baccalauréat professionnel
Le baccalauréat professionnel permet une insertion rapide dans la vie active ainsi que la poursuite d'études
supérieures courtes (BTS-DUT). Il comporte de nombreuses filières, allant de l’aéronautique à la vente.
Des réformes sont intervenues dans l’année 2008-2009, portant la durée de la plupart des baccalauréats
professionnels à trois ans.
Les mentions
Les mentions ne concernent que les élèves qui ont obtenu une moyenne supérieure ou égale à 12 à l’issue du premier
groupe[8] .
• mention « Assez bien » : moyenne supérieure ou égale à 12 et inférieure à 14 ;
• mention « Bien » : moyenne supérieure ou égale à 14 et inférieure à 16 ;
• mention « Très bien » : moyenne supérieure ou égale à 16.
Les « félicitations du jury » ne constituent pas une mention. Cette distinction supérieure à la mention très bien
n'existe pas officiellement, même si ce terme est souvent employé, que ce soit par les journaux, ou même les
enseignants ou les élèves. Il arrive que le président du jury ajoute cette mention de façon manuscrite sur le relevé de
notes du baccalauréat. Il est généralement considéré (probablement tout aussi arbitrairement) qu'une moyenne
supérieure ou égale à 18 équivaut à l'attribution des « félicitations du jury ». Une moyenne supérieure à 16 peut
entraîner une récompense de la part des institutions (préfectures etc.). Sous le premier septennat de François
Mitterrand, les mentions ont été supprimées un temps, puis rétablies.
On entend parfois parler d'une mention « passable » pour les élèves dont la moyenne est supérieure ou égale à 10 et
inférieure à 12, mais aucune mention n'apparaît sur le diplôme obtenu avec une telle note. En conséquence, un
candidat qui obtient entre 10 et 12 est seulement déclaré « admis ».
Les trois mentions ci-dessus ont des équivalents latins. Ceux-ci sont inusités en France pour le baccalauréat, mais, du
fait qu'elles sont utilisées dans de nombreux pays d'Europe et en Amérique du Nord, leur usage commence à se
répandre pour les diplômes universitaires. Ce sont :
Baccalauréat en France 5
• cum laude (mot-à-mot, « avec louange »), équivalent de la mention « Assez bien » ;
• magna cum laude (mot-à-mot, « avec grande louange »), équivalent de la mention « Bien » ;
• summa cum laude (mot-à-mot, « avec louange suprême »), équivalent de la mention « Très bien ».
Il existe une mention spéciale « section européenne » ou « section de langue orientale » ou « option internationale du
baccalauréat », qui est ajoutée au diplôme si le candidat réussit une épreuve orale supplémentaire dans une langue
étrangère, après avoir suivi des cours de discipline non linguistique, c'est-à-dire des cours d'une autre matière
(histoire-géographie, physique-chimie, mathématiques...) dans cette langue[9] .
La première médaille du Bachelier officielle est frappée par la maison Arthus-Bertrand.
Les épreuves
Les baccalauréats généraux et technologiques comprennent des épreuves obligatoires et des épreuves facultatives
(deux au maximum).
On distingue deux groupes d’épreuves, le premier que tous les candidats passent et le second pour les « épreuves de
contrôles » familièrement appelées « rattrapages ».
Il peut y avoir des épreuves anticipées, c’est-à-dire à la fin de la classe de première, comme l’épreuve de français, les
Travaux personnels encadrés (TPE) ou des épreuves « en cours de formation » comme l’éducation physique et
sportive[14] .
Pour chaque épreuve est attribuée une note entre 0 et 20 en points entiers. L’absence à une épreuve est équivalente à
la note 0. En faisant la moyenne pondérée des notes, on obtient la note finale. Si celle-ci est supérieure à 10, le
diplôme est attribué. Entre 8 et 10 le candidat doit passer le second groupe d’épreuves[15] . Toutefois la décision
Baccalauréat en France 6
revient à un jury qui prend en compte également les éléments du livret scolaire[16] .
Il existe une seconde session d’examen qui se déroule en septembre. Contrairement à ce qui se passe dans les
universités, cette seconde session n’est pas destinée aux candidats ayant raté la première mais réservé à ceux ayant eu
un empêchement grave.[17] .
Statistiques
[18]
Statistique baccalauréat depuis 1960
[19]
Statistique baccalauréat depuis 1998
1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
Candidats 616 822 622 997 650 000 635 000 628 000 627 500 625 500 634 000 638 500 621 532 615 625 622 322 642 235
Taux de Garçons 75,8 75,5 77,2 76,1 75,8 77,6 77,4 77,7 80,2 82,1 81,5
réussite
Filles 81,6 80,9 81,6 80,9 81,0 82,3 81,8 81,9 83,7 84,6 85,3
Ensemble 78,9 78,3 79,5 78,6 78,6 80,1 79,7 79,9 82,1 83,4 83,3 85,2
Admis 488 054 489 358 516 550 499 228 493 755 502 671 498 372 506 608 524 057 521 353 512 815 530 218
Proportion Garçons 56,7 55,9 56,9 55,6 55,3 56,6 56,0 56,9 58,9 59,1 58,4
d'admis
Filles 68,8 67,6 69,1 68,6 68,5 69,2 67,8 68,4 69,9 69,6 69,6
dans une
génération Ensemble 62,6 61,6 62,8 62,0 61,8 62,8 61,8 62,5 64,3 64,2 63,8
• Taux de réussite par filière : séries générales : 86,5% ; séries technologiques : 77,2% ; séries
professionnelles : 76,8%.
• En 2007 : 621 532 candidats, taux de réussite de 83.3 %
• Taux de réussite par filière : séries générales : 87,6% ; séries technologiques : 79,5% ; séries
professionnelles : 77,9%.
• Évolution du taux de bacheliers de la filière générale d’une génération :
• En 1974 : 18,2% d’une génération.
• En 2004 : 32,4% d’une génération.
• Toutes filières confondues : 62% d’une génération.[20]
• Répartition par âge et par sexe
Tous baccalauréats confondus, les filles réussissent mieux que les garçons : 83,7 % contre 80,2 %. [21] . L'âge moyen
d'accès au Bac varie fortement en fonction des séries : de 18 ans 1/2 dans les séries générales, on passe à 19 ans 1/2
dans les bacs techniques et à 21 ans 1/2 dans les séries professionnelles [22] .
• D’après l'édition du 23 septembre 1999 de L’Express, 61,4% de la population active salariée est « sans diplôme »
ou titulaire d’un diplôme « inférieur au baccalauréat » en France.
Équivalence internationale
Il est l’équivalent de l'Abitur en Allemagne, de la Matura en Autriche, de la Matura en Pologne et en Slovénie, de la
Maturità en Italie, de la Maturité/Matura/Maturità en Suisse, du Certificat d'enseignement secondaire supérieur en
communauté française de Belgique, du A-level au Royaume-Uni, du High school diploma aux États-Unis, de la
Selectividad en Espagne, du gymnasieexamen en Suède, du ylioppilastutkinto/studentexamen en Finlande et d'un
diplôme d'études collégiales (DEC) au Québec.
Il ne doit pas être confondu avec le bachelor’s degree du système anglo-saxon ou le baccalauréat belge qui sont des
diplômes universitaires.
Baccalauréat en France 8
Notes et références
[1] Marie-Claire Bancquart, commentaires et notes au vol. I des « Œuvres d'Anatole France », éd. Gallimard, Bibl. de la Pléiade, p. 1102, note 2
[2] Décret 62-768
[3] Article D334-15 du code de l’éducation (http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnArticleDeCode?code=CEDUCATL.rcv&
art=D334-15)
[4] Article L334-1 du code de l’éducation (http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnArticleDeCode?code=CEDUCATL.rcv&
art=L334-1)
[5] Article D334-3 du code de l’éducation (http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnArticleDeCode?code=CEDUCATL.rcv&
art=D334-3)
[6] Article L336-1 du code de l’éducation (http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnArticleDeCode?code=CEDUCATL.rcv&
art=L336-1)
[7] Article D336-3 du code de l’éducation (http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnArticleDeCode?code=CEDUCATL.rcv&
art=D336-3)
[8] Article D334-11 du code de l’éducation (http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnArticleDeCode?code=CEDUCATL.rcv&
art=D334-11) pour le bac général, Article D336-11 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/
UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv& art=D336-11) pour le bac technologique et Article D337-86 du code de l’éducation
(http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/ UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv& art=D337-86) pour le bac professionnel
[9] Article D334-11 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/ UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv&
art=D334-11), BOEN n°42 du 13 novembre 2003 - MENE0302456N (http:/ / www. education. gouv. fr/ bo/ 2003/ 42/ MENE0302456N. htm)
[10] Article D334-1 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/ UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv&
art=D334-1) pour le bac général, Article D336-1 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/
UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv& art=D336-1) pour le bac technologique et Article D337-51 du code de l’éducation
(http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/ UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv& art=D337-51) pour le bac professionnel
[11] Article D334-21 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/ UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv&
art=D334-21) pour le bac général et Article D336-20 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/
UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv& art=D336-20) pour le bac technologique
[12] Ainsi indiqué aux candidats sur les affiches visibles dans les centres d'examen, expliquant les sanctions prévues en cas de fraude.
[13] Article D334-12 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/ UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv&
art=D334-12) pour le bac général et Article D336-12 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/
UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv& art=D336-12) pour le bac technologique
[14] Article D334-4 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/ UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv&
art=D334-4) pour le bac général et Article D336-4 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/
UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv& art=D336-4) pour le bac technologique
[15] Article D334-8 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/ UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv&
art=D334-8) pour le bac général et Article D336-8 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/
UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv& art=D336-8) pour le bac technologique
[16] Article D334-10 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/ UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv&
art=D334-10) pour le bac général et Article D336-10 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/
UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv& art=D336-10) pour le bac technologique
[17] Article D334-19 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/ UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv&
art=D334-19) pour le bac général et pour Article D334-18 du code de l’éducation (http:/ / www. legifrance. gouv. fr/ WAspad/
UnArticleDeCode?code=CEDUCATL. rcv& art=D334-18) le bac technologique
[18] Ministère de l'Éducation Nationale (http:/ / www. education. gouv. fr/ cid5500/ resultats-diplomes-insertion. html)
[19] Ministère de l'Éducation Nationale (http:/ / www. education. gouv. fr/ cid5500/ resultats-diplomes-insertion. html)
[20] [pdf] Statistiques du ministère de l'éducation (ftp:/ / trf. education. gouv. fr/ pub/ edutel/ actu/ 2005/ bac2005/ stats_bac2005. pdf)
[21] Repères et références statistiques - édition 2007 - Résultats, diplômes, insertion (http:/ / media. education. gouv. fr/ file/ 32/ 2/ 6322. pdf)
Statistiques du ministère de l'éducation
[22] Les parcours scolaires et l’âge des bacheliers (http:/ / media. education. gouv. fr/ file/ 60/ 08/ 8/ 5_25088. pdf) Éducation & formations n° 60
– juillet-septembre 2001
[23] Un diplôme créé en 1808 (http:/ / www. liberation. fr/ vous/ 259854. FR. php)
[24] (http:/ / www. jacquesmarseille. fr/ Enquetes_Dossiers/ Article_LEPOINT_BAC2008. asp)
Baccalauréat en France 9
Bibliographie
• « Le Bac », in Historia n° 738, juin 2008
• Jean-Noël Leblanc, Passe ton bac d'abord !, Éditions Horay, Paris, 2008, 117 p. (ISBN 978-2-7058-0460-2)
• Jacques Legendre, Rapport d'information fait au nom de la Commission des affaires culturelles par le groupe de
travail chargé de réaliser un état des lieux du baccalauréat, Sénat, Paris, 2008, 201 p. (ISBN 978-2-11-126368-0)
• Jean-Paul Larue, Démocratisation et distinction : démocratisation de l'accès aux baccalauréats et réaction des
catégories sociales favorisées, Université René Descartes-Paris 5, 2003, 2 vol., 613 p. (thèse de Sciences de
l'éducation)
• Laurence Ould Ferhat, Parcours scolaires, socialisation professionnelle, transmissions intergénérationnelles : le
cas des bacheliers de la massification scolaire, Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, 2004, 3 vol.
(141-154-177 p.) (thèse de Sociologie)
• Catherine Pauchet, Faut-il supprimer le bac ?, Larousse, Paris, 2008, 126 p. (ISBN 978-2-03-583707-3)
• Jean-Benoît Piobetta, Le baccalauréat de l'enseignement secondaire, J.-B. Baillière, Paris, 1937, 1040 p. (thèse
d'État de Lettres)
• Jean-Robert Pitte, Stop à l'arnaque du bac ! Plaidoyer pour un bac utile, Pocket, Paris, 2008, 185 p. (ISBN
978-2-266-18117-4)
• Liesel Schiffer, Nos années bac : 200 ans déjà !, Aubanel, Genève, Paris, 2008, 157 p. (ISBN 978-2-7006-0550-1)
Filmographie
• Les derniers jours du bac ?, film documentaire réalisé par Olivier Lamour, ADAV-Cie des Phares et balises,
Paris, 1997?, 52' (VHS)
• Le baccalauréat : deux siècles d'épreuves, film documentaire réalisé par Patrick Cabouat, ADAV, Paris, 2003, 52'
(VHS)
Sources et contributeurs de l'article 10
Licence
Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 Unported
http:/ / creativecommons. org/ licenses/ by-sa/ 3. 0/