Contents i
Preface 1
i
ii TABLE DES MATIÈRES
Bibliography 59
iv TABLE DES MATIÈRES
Table des figures
1.1 Ordinateur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.2 Approche d’un ordinateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.3 Modèlisation d’un ordinateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.4 codage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.5 affichage de la calculette de Windows en mode scientifique . . . . . . 13
1.6 Conversion du nombre hexadécimal 5AC en utilisant la calculette de
Windows . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.1 boitier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
2.2 Carte mére . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
2.3 Microprocesseur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
2.4 Architecture schématique d’un ordinateur . . . . . . . . . . . . . . . 20
2.5 Microprocesseur haut de gamme Décembre 2004 . . . . . . . . . . . 20
2.6 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
2.7 Barrette de mémoire PC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
2.8 Disque dur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
2.9 Types de supports . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
2.10 clavier azerty . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
v
vi TABLE DES FIGURES
4.1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
4.2 Le bureau de travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
4.3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
4.4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
4.5 Le bureau de travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
4.6 Panneau de configuration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
Liste des tableaux
vii
viii LISTE DES TABLEAUX
Preface
1. Initiation à l’informatique
– Traitement d’information par ordinateur
– Composants matériels de l’ordinateur
– Composants logiciels de l’ordinateur
– Initiation au système d’exploitation Windows
– Réseux informatiques et initiaation à internet
2. Traitemnet de texte sous word
– Introduction au traitement de texte
– Mise en forme des caractères
– Mise en forme des paragraphes
– Utilisation des tableaux
1
2 LISTE DES TABLEAUX
Chapitre 1
Traitement d’information et
fonctionnement de l’ordinateur
1.1 Définitions
3
4CHAPITRE 1. TRAITEMENT D’INFORMATION ET FONCTIONNEMENT DE L’ORDINATEUR
Moniteur Unit é
( É cran ) centrale
Clavier
travailler, l’employé qui est au centre des traitements, et que l’on peut donc considérer
comme l’unité centrale de traitement, s’installe à son bureau où on lui remet dans
un dossier le travail à faire (informations en entrée), tandis que dans un autre dos-
sier il devra mettre le travail fait (informations en sortie). Nous avons donc là un
système de traitement à qui l’on remet des informations en entrée, qui exécute un
traitement sur ces informations et qui restitue enfin des informations en sortie. Pour
exécuter son travail, l’employé peut avoir besoin de réaliser des calculs (opérations
mathématiques, additions, comparaisons, ), il dispose pour cela d’une calculatrice
(ou unité de calcul = Microprocesseur ou CPU = Central Processing Unit). Pour ne
pas oublier ce qu’on lui demande, l’employé notera sur un brouillon les instructions
qu’il a reçues et qui constituent son programme de travail, de même il va certai-
nement être amené à noter quelques informations sur les données qu’il va traiter.
Ceci constitue une mémorisation des instructions à exécuter et des données à trai-
ter. Cette information peut être actualisée et on peut donc considérer que l’on se
trouve en présence d’une mémoire qui ” vit ” (où l’information naı̂t, vit et meurt).
On parle alors de mémoire vive = RAM = Random Acess Memory. De plus, il se
peut que pour réaliser la tâche demandée, l’employé ait besoin d’informations qui
soient toujours les mêmes (le taux de T.V.A. par exemple) et qu’il mémorisera une
fois pour toutes. Il s’agit là d’une mémoire qui ne ” vit pas ” et l’on parle alors
de mémoire morte = ROM = Read Only Memory. Certaines informations (telles
que le catalogue des prix, les adresses des clients, ) sont trop volumineuses pour être
mémorisées de tête, et l’employé aura alors à sa disposition des classeurs ou des bacs
à fiches ” dossiers ” contenant des fichiers clients ou tarifs, qui constituent en fait une
1.3. LES ÉLÉMENTS DE BASE D’UN ORDINATEUR 5
1.3.3 Un logiciel
? : Ensemble des règles et des programmes permettant le fonctionnement d’un
matériel informatique, ces programmes permettent l’exploitation de l’ordinateur et
de ses périphériques afin d’assurer les traitements requis.
Toute information à traiter devra donc pouvoir être représentée sous une forme as-
similable par la machine, et donc sous une forme binaire. Que ce soit en interne
dans la machine, ainsi que nous venons de la signaler, mais également sur les ” fils
” permettant de faire circuler l’information entre tous les composants d’un ordina-
teur. Le passage d’une information, d’un langage compréhensible par l’homme à un
langage compréhensible par le système informatique, s’appelle codage ou codifica-
tion. Nous verrons qu’il existe de nombreuses possibilités de codage de l’information,
BINAIRE, HEXADICEMAL, BCD, ASCII, Mais étudions d’abord les éléments de
base du langage binaire. Les informations directement traitées par un ordinateurs
sont des données : entiers naturels et relatifs flottants ( nombres réels) et des ca-
ractères.
001101101
Dans un nombre binaire, la valeur d’un bit, appelée poids, dépend de la position
du bit en partant de la droite. A la manière des dizaines, des centaines et des milliers
10CHAPITRE 1. TRAITEMENT D’INFORMATION ET FONCTIONNEMENT DE L’ORDINATEUR
pour un nombre décimal, le poids d’un bit croı̂t d’une puissance de deux en allant
de la droite vers la gauche :
Exemple
16 8 4 2 1
24 23 22 21 20
( 1 1 0 0 1 )2 = 1+ 8 + 16 = (25)10
55 2
1 2
(55)10 = (110111)2
1 13 2
1 2
0 2
1 1
1.6. LE CODAGE ASCII 11
256 16 1
8 4 2 1 8 4 2 1 8 4 2 1
1.8.1 exercice 1
1. Reconstituez sans vous aider du cours le schéma représentatif d’un ordinateur
tel que nous l’avons présenté prècédemment ?
2. Citer dix applications d’un ordinateurs ?
3. Donner les différents types d’informations de base qu’on peut entrer par le
clavier ?
Composants matériels de
l’ordinateur
2.1 Introduction
15
16 CHAPITRE 2. COMPOSANTS MATÉRIELS DE L’ORDINATEUR
Le boitier
Format Tour
Format Bureau
L’alimentation
La carte mère
La carte mère est l’un des éléments essentiels d’un ordinateur. Elle assure la
connexion physique des différents composants (processeur, mémoire, carte d’entrées/sorties,
...) par l’intermédiaire de différents bus (adresses, données et commande). Plusieurs
technologies de bus peuvent se côtoyer sur une même carte mère. La qualité de la
carte mère est vitale puisque la performance de l’ordinateur dépend énormément
d’elle. On retrouve toujours sur une carte mère
– le chipset : c’est une interface d’entrée/sortie. Elle est constituée par un jeu
de plusieurs composants chargé de gérer la communication entre le micro-
processeur et les périphériques. C’est le lien entre les différents bus de la
carte mère. le chipset est composé par deux composants baptisé Pont Nord
et Pont Sud. Le pont Nord s’occupe d’interfacer le microprocesseur avec les
périphériques rapides (mémoire et carte graphique) nécessitant une bande
passante élevée alors que le pont sud s’occupe d’interfacer le microprocesseur
avec les périphériques plus lents (disque dur, CDROM, lecteur de disquette,
réseau, etc).
– le BIOS (Basic Input Ouput Service) : c’est un programme responsable de la
gestion du matériel : clavier, écran, disques durs, liaisons séries et parallèles,
etc... Il est sauvegardé dans une mémoire morte (EEPROM) et agit comme
une interface entre le système d’exploitation et le matériel.
– l’horloge : elle permet de cadencer le traitement des instructions par le mi-
croprocesseur ou la transmission des informations sur les différents bus.
– les ports de connexion : ils permettent de connecter des périphériques sur les
différents bus de la carte mère. Il existe des ports internes pour connecter
des cartes d’extension (PCI, ISA, AGP) ou des périphériques de stockage
(SCSI, IDE, Serial ATA) et des ports externes pour connecter d’autres
périphériques (série, parallèle, USB, firewire, etc )
– Le socket : c’est le nom du connecteur destiner au microprocesseur. Il détermine
le type de microprocesseur que l’on peut connecter.
Le microprocesseur
La Pile
du
Port Pour CMOS
Souris
Port Pour
clavier
Port
USB
Ports
Port série d’extension
Port RJ45 Entrée\sorti
carte réseau e audio AGP , PCI
intégrée ,ISA,…
carte son
intégrée
Mémoire
Bus d’adresses
A2
A1
A0
Mémoire
D7 D0
Bus de données
Figure 2.6 –
La mémoire morte :
La mémoire morte (en anglais ROM = Read Only Memory) est une mémoire en
lecture seule, appelée aussi mémoire non volatile, c’est-à-dire une mémoire qui ne
s’efface pas à l’extinction de l’ordinateur. Elle stocke le programme de base (le BIOS :
Basic Input Output System)pour démarrer un ordinateur .
La mémoire cache :
La mémoire cache est une petite mémoire à accès rapide qui sert de tampon entre
la mémoire vive et le processeur. Elle stocke les informations les plus souvent uti-
lisées, permettant ainsi de réduire les états d’attente du microprocesseur. Lorsque
le microprocesseur veut traiter des données, il accède d’abord à la cache interne, s’il
ne trouve pas les données, il accède à la cache externe, puis à la RAM.
Cache interne : c’est une mmoire ultra rapide intégrée au microprocesseur. Elle
stocke les données les plus utilisées.
Cache externe :
si le microprocessseur ne trouve pas les données dans la cache interne, il les cherche
dan la cache externe. La cache externe est mois rapide que la cache interne mais
plus rapide que la RAM.
les bus
– Bus processeur : on l’appelle aussi bus système ou FSB (Front Side Bus).
Il relie le microprocesseur au pont nord puis à la mémoire. C’est un bus 64
bits.
– Bus IDE : il permet de relier au maximum 2 périphériques de stockage
interne par canal (disque dur ou lecteur DVDROM/CDROM). Son débit
est de 133 Mo/s. Lorsque 2 périphéériques sont reliés sur le même canal, un
2.2. COMPOSANTS MATÉRIELS 23
– le Bluetooth qui offre actuellement un débit de 1 Mb/s pour une portée d’une
dizaine de mètre et qui va servir à connecter des périphériques nécessitant
des bandes passantes faibles (clavier, souris, etc).
– le WIFI (WIreless FIdelity Network) qui permet de connecter des ordina-
teurs en réseau. La dernière révision permet des débits de 54 Mb/s.
Les disques durs sont capables de stocker des quantités impressionnantes d’in-
formations, et surtout de les ordonner et de les retrouver rapidement.
Principe :
Le disque dur est constitué de plusieurs plateaux empilés, entre lesquels se déplace
un bras comptant plusieurs têtes de lecture. Chaque plateau est recouvert d’une
surface magnétique sur ses deux faces et tourne à une vitesse comprise entre 4000 et
15000 tr/min. La tête de lecture/écriture est composée par un aimant autour duquel
est enroulée une bobine.
Pour écrire, on fait passer un courant électrique dans la bobine ce qui crée un
champ magnétique. Les lignes de champ magnétique traversent la couche d’oxyde
et orientent celuici en créant de petits aimants dont le sens est donné par le sens
du courant dans la bobine. Pour lire, on fait passer la tête de lecture/écriture sur
le support magnétisé qui crée un courant induit dans la bobine dont le sens indique
s’il s’agit d’un 0 ou d’un 1. Le formatage : Le formatage de bas niveau permet d’or-
ganiser la surface du disque en éléments simples (pistes et secteurs) qui permettront
de localiser l’information. Le nombre total de pistes dépend du type de disque. Il
est effectué en usine lors de la fabrication du disque. Chaque piste est découpée en
secteurs. Toutefois l’unité d’occupation d’un disque n’est pas le secteur, trop petit
pour que le système puisse en tenir compte. On utilise alors un groupe d’un certain
nombre de secteurs (de 1 16) comme unité de base. Ce groupe est appelé Bloc
ou Cluster. C’est la taille minimale que peut occuper un fichier sur le disque. Pour
accéder un secteur donné, il faudra donc déplacer l’ensemble des bras et attendre
26 CHAPITRE 2. COMPOSANTS MATÉRIELS DE L’ORDINATEUR
ensuite que ce secteur se positionne sous les têtes. L’accès à un bloc est aléatoire alors
que l’accès à un secteur est séquentiel.éé de lecture/écriture est le cylindre. Un cy-
lindre est constitué par toutes les pistes superposées verticalement qui se présentent
simultanément sous les têtes de lecture/écriture. En effet, il est plus simple d’écrire
sur les mêmes pistes des plateaux superposés que de déplacer nouveau l’ensemble
des bras.
Le formatage de haut niveau permet de créer un système de fichiers gérable par un
système d’exploitation (DOS, Windows, Linux, OS/2, etc ...).
La défragmentation :
A mesure que l’on stocke et supprime des fichiers, la répartition des fichiers sur les
différents clusters est modifiée. L’idéal, pour accéder rapidement à un fichier, se-
rait de pouvoir stocker un fichier sur des clusters contigus sur le mme cylindre. La
défragmentation permet de réorganiser le stockage des fichiers dans les clusters pour
optimiser la lecture.
Les caractéristiques :
– capacité en Go
– vitesse de rotation en tours minutes
2.2. COMPOSANTS MATÉRIELS 27
Pour l’écriture, il faut utiliser un graveur avec des supports adéquates (CD-R ou CD-
RW). Les techniques sont assez similaires qu’il s’agisse d’un CD-R ou d’un CD-RW.
Dans le cas d’un CR-R, on ajoute une couche de colorant organique pouvant être
brûlé par un laser 10 fois plus puissant que le laser requit pour lire un CD. Cette
couche de colorant est photosensible. Lorsqu’elle est soumise une forte lumière,
elle l’absorbe et sa température augmente à plus de 250, ce qui fait qu’elle brûle
localement, et crée des plages brûlées et non brûlées. Les creux et bosses du CD
classique sont donc ici remplacés par le passage d’une zone brûlée à une zone non
brûlée qui réfléchisse plus ou moins de lumière. Pour les CD-RW, on utilise un al-
liage métallique qui possède la particularité de pouvoir retrouver son état d’origine
en utilisant un laser à 200 degrés (effacement).
Le clavier est la composante matérielle qui vous permet d’entrer du texte, des chiffres
ou des commandes dans votre ordinateur. Il peut être AZERTY ou QWERTY.
Un clavier comporte 4 grandes zones :
– Le pavé numérique
– le bloc alphanumérique
– le pavé de flèches
– touches de fonction de F1 à F12.
Le Clavier est utilisé pour entrer du texte. On entre généralement le texte dans un
champ dans lequel un curseur indique l’endroit où sera inserer le texte. Au clavier,
le fait de presser simultanément plusieures touches particulières ( ctrl , shift , alt ,
altgr ,...) engendre des actions spécifiques.
Caractères
La plupart des touches du clavier on pour effet d’inserer le caractère correspon-
dant dans le texte. Les majuscules ou les caractères spéciaux sont obtenus par la
combinaison de touches particulières. Ces caractères peuvent être
– alphabétiques : a...z, A...Z ;
– numériques : 0...9 ;
– signes spéciaux : +, -, /, *, = etc...
La touche Caps Lock verouille toutes les touches alphabétiques en majuscules ; la
touche Num Lock permet l’utilisation du pavé numérique.
Contrôles
Ceratine touches ont un effet particulier lorsqu’elles sont inséré dans un champ texte ;
par exemple :
L’imprimante est un périphérique qui permet de faire une sortie imprimée (sur pa-
pier) des données de l’ordinateur. Il en existe plusieurs types dont les plus courants
sont :
– l’imprimante matricielle (à aiguilles).
– l’imprimante à jet d’encre.
– l’imprimante laser.
Le Scanner
Le scanner est un périphérique permettant de numériser des documents à partir d’un
format ”papier” et de générer des documents au format ”électronique ou numérique”
32 CHAPITRE 2. COMPOSANTS MATÉRIELS DE L’ORDINATEUR
2.3. EXERCICES 33
Actions Exemples
2.3 Exercices
Voir la derniére partie reservé pour les exercice.
34 CHAPITRE 2. COMPOSANTS MATÉRIELS DE L’ORDINATEUR
Chapitre 3
Composants logiciels de
l’ordinateur
Objectif de ce chapitre :
3.1 Introduction
Le microprocesseur, aidé d’un certain nombre d’autres éléments matériels, est
capable d’exécuter une succession d’opérations très simples, qui, mises bout à bout,
correspondent à des tches plus ou moins complexes, appelées processus, ou pro-
grammes. Un ordinateur est conu pour exécuter des programmes, et il ne sait faire
que cela. Contrairement aux composants matériels décrits précédemment, un pro-
gramme n’a pas de réalité physique. C’est un ensemble d’informations qui décrit
la manière de réaliser une action, et il est indépendant du support sur lequel sont
stockées ces informations. L’ensemble des programmes disponibles sur un ordinateur
constitue ses éléments logiciels. En tant qu’utilisateur, la plus grande partie de ce
que vous aurez à assimiler dans ce cours est la faon dont on utilise ces éléments logi-
ciels. La premire chose à savoir sur eux est de différencier les deux grandes catégories
de programmes existantes, qui sont les systèmes d’exploitation et les applications.
35
36 CHAPITRE 3. COMPOSANTS LOGICIELS DE L’ORDINATEUR
Logiciels d’application : Se sont des logiciel destinés à des utilisateurs non in-
formaticiens (Traitement de textes, Tableur, jeux, ). Sont des programmes conus
pour réaliser les taches courantes et répétitives non assurées par le système d’ex-
ploitation. Ils permettent de développer la performance d’un ordinateur et le rendre
plus fonctionnel.
Logiciels
Langages évolués
Système d’exploitation
Machine physique
Figure 3.2 – Classification des logiciels
38 CHAPITRE 3. COMPOSANTS LOGICIELS DE L’ORDINATEUR
Exécution
en mode
utilisateur
(user)
Logiciel
Mode protégé
Figure 3.3 – Un système informatique peut alors être représenté comme une su-
perposition de couches
Interface
Humaine
Applications
et services
Noyau Système
d’exploitation
Matériel
Figure 3.4 – Modèle en couches
Interface Humaine
– Les différents environnements permettant à l’utilisateur d’interagir avec le
système informatique.
– Permet d’atteindre les services et applications disponibles sur le système
informatique.
Il existe deux types d’interfaces :
– Interface textuelle
– Interface graphique
Explorateur
de fichier
3.4.1 Fichiers
– Fichiers texte
– Fichiers image
– Fichier son
– Document Microsoft Word
– Feuille de calcul Microsoft Excel
42 CHAPITRE 3. COMPOSANTS LOGICIELS DE L’ORDINATEUR
.
fichiers en même temps.
Lettre doc
Nom du fichier extension
Figure 3.7 –
3.4.2 Dossier
C’est un espace sur le disque (dur, CD ...) où sont enregistrés les noms de
fichiers pour permettre au système d’exploitation de les retrouver rapidement. Un
disque peut contenir plusieurs dossiers ou sous dossiers. Dans le monde MACIN-
TOSH, on parle aussi de dossier, de répertoire dans celui du MS-DOS et de catalogue
dans celui d’UNIX. Un dossier est identifié par un nom. Le dossier renfermant tous
les sous dossiers s’appelle le dossier racine. Le tout forme un modèle arborescent.
Arborescence de fichiers et de ré
répertoires
Figure 3.8 –
Initiation au système
d’exploitation Windows
Figure 4.1 –
45
46 CHAPITRE 4. INITIATION AU SYSTÈME D’EXPLOITATION WINDOWS
une ”tâche”. C’est la ”tâche” active qui est au premier plan devant vous sur écran.
Pour faire passer une autre ”tâche” au premier plan, il suffit de la pointer sur la Barre
des tâches et cliquer dessus. Remarque : tous les programmes activés se présentent
sur l’écran sous la forme de fenêtres. Ce sont des objets Windows ; donc qui peuvent
avoir les comportements suivants : fermées, ouvertes, réduites et ajustées.
A la droite de chaque fenêtre, on retrouve trois boutons :
Si la fenêtre est agrandie ( même taille que l’écran), ces trois boutons permettent
respectivement de la réduire, la Restaurer et la Fermer.
Si la fenêtre est réduite, le bouton du centre est transformé en ce bouton pour per-
mettre de l’agrandir. On peut, dans cet état, l’ajuster en cliquant et glissant l’un
de ces quatre cotés ou extrémités. On peut également la déplacer avec la souris en
cliquant et glissant sa barre de titre (la barre du haut).
Figure 4.3 –
la procédure suivante :
– Cliquer avec le bouton droit de la souris à un endroit vide de la Barre des
tâches.
– Dans le menu contextuel qui s’affiche, choisir la commande Propriétés.
– Activer l’option Masquer automatiquement puis valider par Ok.
Quatrième choix : Modifier la résolution d’affichage (vers une configuration d’écran
optimale) Par défaut, Windows installe une résolution minimale de 640x480 pixel,
avec un minimum de 16 couleurs. C’est la résolution VGA. Quelle résolution choisir ?
Que dire de la contrainte des moniteurs ?
La résolution standard 640x480 est réservée aux moniteurs 14 pouces. La résolution
optimale pour les moniteurs 15 pouces est 800x600 pixels. A partir de 17 pouces, la
résolution idéale est de 1024x768 pixels. Effectivement, la carte graphique doit suivre
le mouvement et supporter le nombre de couleurs. Résumons ceci : Il semble que le
Figure 4.4 –
meilleur compromis soit une résolution de 800x600 pixels en 256 couleurs sur un mo-
niteur de 15 pouces. Moins de cette taille, se contenter de 640x480 reste raisonnable.
Pour optimiser la résolution de votre écran, suivre la procédure suivante :
– Cliquer avec le bouton droit à un endroit vide du bureau, puis choisir la
commande Propriétés du menu contextuel.
– Activer l’onglet Configuration ou Paramètres de la boite de dialogue qui
vient de s’afficher ’Propriétés de Affichage’.
– Définir la résolution à l’aide de la réglette ’Zone d’affichage’ ou ’Zone d’écran’.
– Ajuster la profondeur de couleurs (nombre de couleurs) dans ’Palettes des
couleurs’ ou ’Couleurs’.
– Cliquer sur le bouton Appliquer pour pouvoir enregistrer vos paramètres
ainsi choisis.
4.2. ORGANISER ET PERSONNALISER SON BUREAU DE TRAVAIL 49
C’est l’outil par excellence pour explorer votre ordinateur : vue globale et directe
des ses composants et de son contenu. Nous vous conseillons de l’ouvrir en suivant
ces indications :
– Ouvrir le Poste de travail d’un simple clic ou d’un double-clic en fonction
du mode choisi de Windows.
– Il s’ouvre, vous donnant ainsi un accès à tous ces composants : tous les
lecteurs de votre PC et d’autres dossiers spécifiques.
Vous pouvez aussi passer par le raccourci : Touche Win + E. Quels sont les lecteurs
de votre PC et quels sont les autres dossiers spécifiques ? Nous vous demandons de
jeter un coup d’il sur le contenu du disque dur appelé ’C :’, puis dans ce lecteur
ouvrir le dossier intitulé ’Mes documents’. Vous allez sûrement identifier d’autres
dossiers et des fichiers.
Question : est-ce qu’il y a un autre moyen plus efficace pour explorer votre ordina-
teur ?
Réponse : oui, c’est l’Explorateur Windows.
2. l’Explorateur Windows
Il permet non seulement de connaı̂tre les composants de votre ordinateur et d’autres
dossiers spécifiques, mais de découvrire aussi l’arborescence des lecteurs présents et
en particulier celui de C. Pour y accéder, procéder comme suit :
– Activer la commande Démarrer/Programmes.
– Dans le sous menu, choisir la commande Explorateur Windows.
Vous pouvez aussi avoir le même effet en cliquant sur le bouton droit sur le bouton
Démarrer et en choisissant la commande Explorer.
L’Explorateur Windows est partagé en deux volets. Le volet gauche pour afficher
l’arborescence de votre ordinateur, alors que celui de la droite pour afficher le contenu
de l’élment sélectionné dans le volet de gauche.
L’accès aux sous dossiers reste une opération importante :
– Dans le volet gauche, cliquer sue le signe + en regard du dossier Windows
ou un autre pour développer son arborescence.
– Les sous dossiers de niveau inférieur s’affichent. Sélectionner l’un deux à
votre choix
– Vous verrez dans le volet de droite son contenu
3. Opérations réalisables sous l’Explorateur ou sous le Poste de travail
– Dans le volet gauche, cliquer sur le dossier o vous voulez créer le nouveau
dossier.
– Activer le menu Fichier, puis le sous menu Nouveau et enfin la commande
Dossier.
– Dans le volet droit s’affiche ce nouveau dossier. Il porte le nom ’Nouveau
dossier’ par défaut.
– Saisir directement le nom à attribuer à ce dossier, puis valider au moyen de
la touche Entrée ou par un simple clic à son extérieur
– Répéter, éventuellement, cette séquence d’opérations pour en créer d’autres.
Ces opérations s’appliquent aussi bien pour les dossiers que pour les fichiers.
– Sélectionner le dossier ou le fichier à supprimer.
– Appuyer sur la touche Suppr.
– Ou faire glisser l’élément sélectionné sur la Corbeille.
La Corbeille se trouve sur le Bureau. Sa fonction principale est de stocker les éléments
(fichiers et dossiers) dont vous voulez vous débarrasser. Elle permet également de
les restaurer : les éléments effacs logiquement peuvent être récupérés à leurs empla-
cement d’origine par la commande Fichier/Restaurer.
3.3. modification du nom d’un dossier
4.2. ORGANISER ET PERSONNALISER SON BUREAU DE TRAVAIL 51
3.4. Copie
– Slectionner l’lment copier.
– Activer la commande Fichier/Copier ou cliquer sur l’icne Copier vu prcdem-
ment
– Cliquer dans le dossier cible.
– Activer la commande Fichier/Coller ou cliquer sur l’icône Coller vu précédemment.
On peut également utiliser le clavier et la souris sans passer par le menu Fichier :
cliquer-glisser l’élément à copier vers le dossier cible et ce en appuyant sur la touche
Ctrl.
3.5. Le déplacement
– Sélectionner l’élément à copier.
– Activer la commande Fichier/Couper ou cliquer sur l’icône Couper vu précédemment.
– Cliquer dans le dossier cible.
– Activer la commande Fichier/Coller ou cliquer sur l’icône Coller vu précédemment.
On peut également utiliser le clavier et la souris sans passer par le menu Fichier :
cliquer-glisser l’élément à copier vers le dossier cible.
Dans ce cas, on fait appel aux caractères génériques ou jokers. Ceux-ci sont :
*(astérisque) : permet de remplacer une chaı̂ne de caractères quelconques de lon-
gueur libre ?( point d’interrogation) : permet de remplacer un et un seul caractère.
On peut chercher aussi, moyennant la même commande, des ordinateurs dans un en-
vironnement réseau. La recherche peut concerner, également, les personnes mémorisées
dans un Carnet d’adresses.
Si on voudrait mener une recherche dans Internet, il suffit de choisir la commande :
Démarre/Rechercher/Sur Internet.
54 CHAPITRE 4. INITIATION AU SYSTÈME D’EXPLOITATION WINDOWS
Sommaire de ce chapitre :
– Notions de réseaux ;
– réseaux locaux ;
– initiation à internet.
57
58CHAPITRE 5. NOTION DE RÉSEAUX INFORMATIQUE ET INITIATION À INTERNET
Bibliographie
59
Index
extend 3
extension problem 3
extension of a map 3
homotopic 5
homotopy 5
homotopy relative 5
inessential 5
lifting problem 3
nullhomotopic 5
triangular diagrams 4
rel 5
relative homotopy 5
60