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Proposition pour une nouvelle méthodologie d’évaluation

et d’attestation professionnelle des instituteurs débutants en Roumanie

Constantin Petrovici,
Université « Alexandru Ioan Cuza », Iasi, Roumanie

Repères dans la politique de formation initiale des instituteurs en Roumanie

L’Enseignement en Roumanie se trouve en plein processus de reforme, tous ses domaines


sont soumis à la transformation: l’organisation institutionnelle, les aspects relationnels, les
contenus, le système et les modalités d’évaluation, la formation d’enseignants. Tout comme
d’autres pays de l’Est de l’Europe, la Roumanie a hérité un système centralisé d’enseignement
dû à une politique d’Etat incompatible avec les évolutions européennes.
La dernière décennie, on a mis en oeuvre certains changements séquentiels ou
fondamentaux. Le processus de formation des enseignants en Roumanie comporte à présent deux
étapes: la formation initiale (études dans des écoles normales, collèges, universités) et la
formation continue (pendant la période de travail). La formation initiale vise former l’enseignant
pour l’univers professionnel vers lequel il est dirigé par ses activités théoriques et pratiques
spécifiques. La formation continue suppose l’actualisation et la spécialisation (théorique,
didactique et pratique) par des activités de formation pendant la période de travail.
La formation des instituteurs constitue une partie importante de la reforme de
l’Enseignement en Roumanie. La formation initiale réalisée par les institutions scolaires
préuniversitaires, les Lycées Pédagogiques (anciennes Ecoles Normales), s’est déplacée vers
l’enseignement universitaire. Bien qu’il n’y ait pas de différences entre un instituteur et un
professeur en ce qui concerne le statut professionnel, il y a des différences en ce qui concerne les
connaissances acquises, même si cette chose ne devrait pas exister. Le décalage existent ne peut
pas être diminué seulement par des études de 2/3 ans dans des collèges universitaires. Un
premier problème est le fait que les options pour des collèges viennent de la part des élèves ayant
des résultats modestes ou des élèves qui n’ont pas réussi au concours d’admission dans des
institutions d’enseignement universitaire à longue durée. Ainsi, on peut avoir la surprise de
rencontrer des gens qui ont fini des collèges universitaires et qui sont moins instruits que ceux
qui ont fini une école normale. La formation des instituteurs ne devrait plus s’inscrire dans une
perspective secondaire ou compensatoire.
Un deuxième problème serait l’écart professeur – instituteur parce que la formation des
instituteurs à l’université roumaine n’assure pas un haut niveau de formation
psychopédagogique. On devrait faire appel à l’expérience psychopédagogique, didactique et
pratique des écoles normales.
Le mode de réaliser la formation initiale des enseignants est très important parce qu’on
ne parle pas ici d’une des plus faciles des métiers. La complexité de la profession d’enseignant
est relevée par les suivantes spécificités:
- la nature de la profession demande des compétences académiques dans un certain
domaine (ou plusieurs), tout comme des compétences psychopédagogiques.
- la profession d’enseignant demande l’actualisation continue de certaines aptitudes, mais
la sélection initiale ne tient pas compte de ces aptitudes; le choix de la profession se réalise à
base des compétences cognitives et non relationnelles et d’aptitudes.
- l’activité d’enseignants se déroule dans une perpétuelle tension due à l’autorité du
Ministère de l’Enseignement et de l’Inspection Scolaire Départementale, tout comme à
l’autonomie des ressources psychologiques de l’adaptation aux groupes d’élèves.

1
- la persistance au niveau du système de formation du dilemme: l’enseignement scolaire,
a-t-il un caractère informatif ou formatif?
- l’écart de plus en plus grand entre l’éducation formelle et celle non formelle et
informelle.
- l’écart entre le statut économique (la pauvreté) et le statut culturel de l’enseignant.
La reforme socio-économique implique aussi la reforme de l’enseignement qui détermine
un changement dans la formation initiale et continue des enseignants. La nécessité de
transformer l’instituteur en facteur de prospection et propulsion de la nouvelle génération se
manifeste de plus en plus fort.
L’enseignant suivra le développement maximal du potentiel psychique de chaque élève,
la formation de la structure interne opératoire, affective, volitive, attitudinale, le développement
de la créativité individuelle et de groupe, de l’indépendance de pensée et d’action. Dans ce sens
doivent être repensées le trajet, le contenu de la formation des enseignants, les standards pour la
formation initiale, avec des compétences qui devraient être démontrées à la fin des études et les
standards pour la formation continue.
Il est nécessaire que la formation des enseignants suive l’acquisition des compétences qui
les feront se sentir à l’aise dans la classe, quoi qu’elles soient les situations dont ils se
confronteront pendant leur activité professionnelle.
Pour être un vrai professionnel, l’enseignant doit avoir confiance en lui-même, en ses
compétences professionnelles pour être capable de faire face aux situations critiques,
conflictuelles, de trouver de nouvelles solutions à de nouveaux problèmes, de connaître les
méthodes de développement personnel, etc. Un professeur qui n’est pas capable de résoudre les
problèmes critiques surgis à un moment donné, ressentira un état de disconfort qui mènera au
stress. Cet état de choses se prolongera sur sa santé physique mais aussi sur les personnes avec
lesquelles il entre en contact: les élèves, les autorités, les familles des élèves.
L’école doit assurer pour les élèves, à côté d’autres éléments de l’ambiance scolaire, un
enseignant formé pour faire face à la tension, la concentration et la responsabilité demandée par
une classe. Il est nécessaire que l’enseignant soit capable d’interactionner avec les élèves en
fonction de l’attitude, du comportement et les réactions de chacun d’entre eux.
On peut affirmer qu’on fait de grands efforts pour légitimer la professionnalisation de
l’enseignant en concordance avec le statut européen et qu’on fait aussi des efforts pour définir
une nouvelle identité professionnelle de l’enseignant en harmonie avec des référentiels de
nouvelles valeurs, mais dans le même temps il faut remarquer qu’on est juste au commencement
de cette voie.
L’importance des ressources humaines pour le succès de la reforme est renforcée par le
rôle joué par la décentralisation et la prise individuelle de décision dans la nouvelle structure et
le fonctionnement du système d’enseignement en Roumanie. Les bénéfices du processus de prise
de décision par décentralisation sont autant réels que substantiels; pourtant ils ne réaliseront pas
si les ressources humaines responsables ne sont pas sélectionnées et formées. Parce qu’il s’agit
d’un chargement si important, la réalisation des objectifs devra attendre assez longtemps.
Bien sûr, il n’est pas surprenant que cette nouvelle philosophie soit prévue premièrement
dans la stratégie mais elle n’est pas encore présente à grande échelle dans les classes ni dans le
comportement des enseignants et des élèves, ni dans les programmes de formation initiale et
continue des enseignants. Le fait que ce changement est difficile à réaliser est mis en évidence
par le manque de succès de la dissémination des modèles alternatifs d’enseignement qui ont été
introduits à petite échelle dans les écoles roumaines. Ces modèles alternatifs - pédagogies
Waldorf et Montessori, le projet Step by Step de la Fondation Soros, etc. – reflètent les nouvelles
valeurs affirmées par l’enseignement et la pratique pédagogique centrée sur l’enfant qui sont mis
en oeuvre à grande échelle dans les pays d’OECD. Pourtant, en grande mesure toutes ces

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initiatives restent dans le soit dit secteur alternatif de l’enseignement roumain ayant un impact
très réduit dans la pratique habituelle d’enseignement.

L’Analyse du système actuel d’évaluation de la formation et de l’activité des instituteurs

Les difficultés d’établir et d’évaluer les compétences des enseignants découragent même
les plus persévérants des chercheurs.
La confrontation avec des difficultés relationnelles, ethniques et techniques n’est pas
facile et personne ne s’empresse à jouer ce rôle ingrat dans une société prête à dénoncer
immédiatement des abus du pouvoir et la technocratie dès qu’on essaie d’analyser l’efficacité du
travail.
On peut y rajouter les inévitables conflits générés par la conception, la mise en oeuvre et
le réglage par n’importe quel dispositif d’évaluation et contrôle. Ces conflits sont issus de la
confusion concernant les divergences politiques sur l’éducation et le profil du nouvel enseignant,
ses compétences et le niveau demandé d’exigence.
Dans la majorité des pays, dans la pratique on ne différentie pas les enseignants en
"mesurant" la qualité de leur travail en classe. Cela mène au paradoxe que, même si les
employeurs savent que ne pas tous les enseignants ont les mêmes compétences, ils le traitent
comme s’ils les ont. L’existence des standards professionnels conduirait à l’identification et la
reconnaissance des meilleurs enseignants et permettrait leur valorisation dans des écoles, dans
des activités de décision et aussi dans des projets de développement professionnel.
L’évaluation des compétences suppose une coopération active des intéressés et on ne
peut pas la faire avec ceux qui ne la désirent. On peut éventuellement mesurer les résultats de
leurs élèves, avec ou sans leur accord, par l’évaluation des résultats aux examens, des travaux ou
des notes ou de leurs charges. Etablir la conformation des enseignants aux procédures prescrites
suppose de les observer pendant les cours mais aussi pendant le déroulement des taches
administratives, en consultant les cahiers de leur élèves, en inventariant les moyens didactiques
utilisés, en évaluant le taux d’absentéisme, la mesure dans laquelle ils ont respecté le programme
scolaire, en s’informant sur les devoirs donnés. Aussi en assistant à certaines classes, un
inspecteur expérimenté peut apprécier si un enseignant est conforme aux lois et aux règlements
en vigueur. Pour évaluer les compétences, il faut faire ces observations pendant plusieurs cours
et surtout discuter avec l’enseignant mais en évitant les disputes. On n’établira pas ses
compétences en fonction de ce qu’il fait et comment il le fait. Il faudrait aussi analyser pourquoi
il fait ce qu’il fait, comment il juge d’agir, quels sont ses raisons et ses données, ce qu’il veut
faire comprendre ses élèves ou ce qu’il veut réaliser.
Le sens des actions pédagogiques ne doit pas être vu de manière simpliste, univoque,
parce que toute action a son propre but, qui peut rester caché pour l’observateur et certains gestes
peuvent être seulement une tactique à court terme et l’une et l’autre sont difficilement
saisissables par un observateur d’une heure ou d’un jour soit il bien expérimenté.
Derrière toutes les actions et pratiques, il y a toujours des théories didactiques, des
conceptions et des valeurs personnels, des interprétations des programmes, des visions sur les
relations pédagogiques, des idées sur les buts et les réactions des élèves, donc des raisons et des
choix qui orientent et expliquent les réactions des enseignants. Pour mieux comprendre toutes
ces choses l’évaluateur doit avoir une discussion ouverte avec l’enseignant pendant laquelle
l’enseignant puisse exposer, en pleine confiance, ses opinions.
On peut faire quand même certaines recommandations thématiques. On peut parler en
général de la lutte contre l’échec scolaire, de l’introduction des nouvelles méthodes didactiques
mais aussi du développement de la coopération dans le cadre des projets de l’école et sur le
contact entre l’école et la communauté.

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L’action d’éducation ne s’inscrit jamais complètement dans des finalités bien définies et
objectifs extérieurs et ne peut pas être réduite au choix des moyens les plus efficaces pour
atteindre les objectifs. L’enseignement, tout comme d’autres professions humaniste est défini en
même temps par des objectifs et des moyens; donc on ne peut pas attribuer aux enseignants les
mêmes intentions éducatifs, ni la même énergie et détermination pour les atteindre et on sait
aussi qu’ils ne disposent pas tous des mêmes moyens. Ces variations sont inévitables et même
désirables quand des hommes travaillent avec des hommes. Pour demander les mêmes résultats il
faudrait démontrer que, face au même problème, tout professionnel pourrait trouver une solution
efficace sans éprouver du génie et de grande créativité, en mobilisant seulement des
connaissances professionnelles et scientifiques reconnues. Dans cette situation se trouvent les
ingénieurs et les médecins, à qui on ne demande pas de toujours réinventer les méthodes de
travail, mais à qui on demande seulement d’appliquer consciemment les connaissances acquises.
Dans l’éducation, on ne se confronte pas avec ce genre de situations. Au contraire, les
enseignants se trouvent face à des situations qui leur donnent des sentiments d’instabilité et les
font se sentir incapables. Les connaissances professionnelles et scientifiques des enseignants ne
sont pas suffisamment développés et stable pour qu’on puisse leur demander d’être efficaces
seulement parce qu’ils sont formés et informés.
"Il serait injuste de faire les enseignants des responsables de certaines caractéristiques ....
(Perrenoux)."
En Roumanie, par absence des standards professionnels rigoureusement élaborés, le
système d’évaluation des enseignants est déficitaire – elle se réalise en utilisant des standards
rudimentaires ou contradictoires qui n’ont pas encore une forme et un contenu consacrés.

Tableau des situations d’évaluation pour les enseignants1

Situations Modalités employées Critères L’organisme


d’évaluation (documents) accrédité pour
professionnelle d’évaluation évaluer
utilisés
L’admission dans les Test d’aptitude Méthodologie de Lycée
institutions de (seulement pour les l’évaluation. Pédagogique/Collège
formation initiale – futurs instituteurs) Moyenne minime Universitaire
Lycée Pédagogique / 6/10. d’Instituteurs
Collège Universitaire
d’Instituteurs
Evaluation à la fin de la Baccalauréat. Les Programmes Lycée
formation Epreuve pratique Méthodologie Pédagogique/Collège
professionnelle initiale: Attestation d’examen / Universitaire
baccalauréat, examen Examen / colloque attestation d’Instituteurs /
de licence, examen pour Critères Département pour la
le module, d’évaluation Formation Continue
psychopédagogique d’Enseignants
Concours pour devenir Examen écrit ayant sujet Analyse du Inspection Scolaire
titulaire dans unique au niveau dossier Départementale;
l’enseignement national Le Programme L’Université
Critères
d’évaluation
Examen de definitivat Inspection spéciale Fiche d’inspection Inspection Scolaire
1
MEC, Gliga Lucia (coord.), Standarde profesionale pentru profesia didactică, Editura Polsib SA, Bucureşti, 2002,
p. 70

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Examen avec des Le Programme Départementale;
épreuves écrites et national L’Université
orales dont le sujet est Critères
élaboré par chaque d’évaluation
université
Examen pour obtenir Inspection spéciale Fiche d’inspection Inspection Scolaire
« gradul didactic II » Examen avec des Le Programme Départementale;
épreuves écrites et national L’Université
orales dont le sujet est Critères
élaboré par chaque d’évaluation
université
Examen pour obtenir Colloque d’admission Thématique Inspection Scolaire
« gradul didactic I » Inspection spéciale nationale Départementale;
Travail méthodique Fiche d’inspection L’Université
-scientifique Méthodologie de
Présentation publique du présentation
travail devant un jury publique du
travail
Evaluation annuelle Analyse des capacités Fiche du poste Jury d’évaluation au
professionnelles et de Critères publiques niveau de l’école
l’activité de nonstandardises
l’enseignant

L’Examen de Definitivat

Au présent, en Roumanie, l’attestation professionnelle se réalise au moment de l’examen


de definitivat. Les diplômés des Collèges Universitaires d’Instituteurs peuvent soutenir cet
examen, deux ans après la fin de leurs études, à condition qu’ils aient travaillé comme
instituteurs pendant ces deux années. Avant l’examen proprement dit, ils doivent être apprécié
par un inspecteur pendant une inspection de 4 heures et obtenir au minimum la moyenne 7/10 à
cette inspection.
L’examen de definitivat consiste en deux épreuves écrites (1. langue roumaine et
didactique de la langue roumaine; 2. pédagogie) et une, orale (3. mathématiques et didactique
des mathématiques). Ils doivent obtenir la moyenne 6/10 pour chaque épreuve. Les candidats ont
le droit de se présenter seulement à trois sessions consécutives d’examens. S’ils ne passent pas
cet examen ni la troisième fois, ils perdent le droit d’exercer leur métier.

Analyse des points faibles du système actuel pour l’examen de "definitivat"

o L’activité pratique des candidats n’est pas prise en calcul pour la moyenne à
l’examen; on vise seulement à établir si le candidat se débrouille en classe, les épreuves écrites
visant plutôt la théorie.
o Une grande partie des compétences professionnelles des instituteurs n’entre pas dans
la zone d’évaluation.
o Les institutions d’enseignement ne se préoccupent pas de l’évolution des candidats.
o Il n’y a pas de système de référence unitaire pour l’évaluation d’un candidat.
o Les candidats suivent une préparation discontinue, notamment avant les examens.
o Les candidats ne savent pas très précisément ce qu’on attend d’eux.

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o Il n’y a pas non plus de formation unitaire des évaluateurs.
o Les résultats de l’évaluation ne sont pas connus et analysé de manière constante dans
les institutions de formation initiale, pour améliorer leur activité.

Les différences d’évaluations des instituteurs montre que le système actuel d’évaluation
est très subjectif. Pour éliminer les problèmes de l’évaluation actuelle et pour concevoir et
développer des standards d’évaluation efficaces, deux composantes importantes doivent être
développées:
1. un document central, qui devrait être connus pas les instituteurs, sur ce qu’ils doivent
savoir et savoir faire (des standards professionnelles) et
2. un document qui devrait identifier les principes et les critères spécifiques qui doivent
être respectées dans l’élaboration des standards et le développement des instruments
d’évaluation.
Ces documents pourraient offrir la cohérence et la capacité de coordination de l’activité
d’évaluation. Ils devraient identifier les conditions et les motivations qui pourraient soutenir la
formation des instituteurs avant l’embauche et pendant leur activité. Les standards devraient
suggéraient les mécanismes pour assurer la qualité en établissant des critères de sélection pour la
carrière didactique et aussi devraient identifier et promouvoir les conditions d’attestation des
instituteurs. Dans ce contexte, on devrait préciser quelles sont les connaissances et les habilités
pour chaque niveau d’enseignement. Une évaluation correcte par rapport aux standards
professionnels accroîtra la qualité de l’acte éducatif.

Proposition pour une nouvelle méthodologie d’évaluation et attestation des instituteurs


débutants

Cette méthodologie est conçue comme de repères pour assister les instituteurs pendant
leur stage et pour leur attestation. Elle propose une vision cohérente de la formation
professionnelle par l’accomplissement de leur formation initiale directement dans la
communauté scolaire. En même temps, cette méthodologie se prononce pour la garantie de la
qualité du processus éducatif et pour la cohérence avec les standards internationaux de la
profession d’enseignant.

Période du stage de l’instituteur débutant

Le stage
Le stage est la période d’un an d’activité dans un milieu scolaire, pendant laquelle
l’instituteur débutant finit sa formation initiale pour pouvoir exercer sa profession didactique, en
étant suivi par les organismes en droit – l’Inspection Scolaire Départementale et le Collège
Universitaire d’Instituteurs. Cette période prend fin après l’attestation pour la profession
didactique obtenue après l’examen de definitivat. Pendant cette période les instituteurs devraient
suivre des modules de formation didactiques dans le Collège Universitaire et des modules de
pratique pédagogiques dans des écoles d’application. Les périodes de pratique incluront
obligatoirement deux semaines au début de l’année scolaire et six semaines au cours de chaque
semestre.
Facteurs impliqués:
1. Le stagiaire
2. Le tuteur
3. L’Inspection Scolaire Départementale par l’intermédiaire de l’inspecteur de spécialité /
ou des méthodistes (des instituteurs)
4. Le Collège Universitaire d’Instituteurs

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5. Les écoles d’application
D’autres facteurs peuvent être impliques
Le stagiaire est la personne qui finit sa formation initiale pour la profession d’instituteur,
un an après la fin de ses études de spécialité dans un Collège Universitaire d’Instituteurs.
Le tuteur de stage est un enseignant dans le cycle primaire qui a la responsabilité de
conseiller l’activité du stagiaire pendant son stage (et jusqu’à son examen de definitivat). Dans
ce but, le tuteur va impliquer et soutenir son stagiaire dans toutes les activités de la profession
didactique. Le tuteur va collaborer avec tous les facteurs impliqués dans l’attestation du stagiaire.
L’école d’application est une institution scolaire préuniversitaire, ayant des classe du
cycle primaire qui est partenaire du Collège Universitaire d’Instituteurs, en vue du déroulement
des stages de pratique pédagogique pendant les années d’études des futurs instituteurs et de
l’organisation de l’année de stage pour ceux qui ont fini leurs études.

Tutorat pendant le stage

Le stagiaire – partenaire actif


La période de stage est une opportunité pour approfondir et consolider les taches
spécifiques de l’activité didactique.
Durant le stage, on va assister et soutenir le stagiaire dans son développement personnel
et professionnel. Le stagiaire élabore un plan d’activité qu’il suivra par un effort conscient,
continu et motivé.

Les responsabilités du stagiaire


1. collaborer avec son tuteur en vue d’établir ses objectifs à court, moyen, et long terme.
2. élaborer, en collaboration avec son tuteur, un plan d’action commun pour développer
et consolider les compétences et les habilités nécessaires au déroulement des activités
didactiques spécifiques.
3. s’informer sur:
- le contexte éducatif spécifique de l’école
- les documents curriculaires
- les documents scolaires et les lois et règlements de l’enseignement
4. connaître les attributions conformément à la fiche de son poste et la fiche d’évaluation
annuelle.
5. participer aux activités formelles ou informelles au cadre du collectif professionnel
pour enrichir son expérience en apprennant de l’expérience des autres.
6. établir son propre programme de développement professionnel.
7. participer aux programmes de formation.
8. collaborer avec ses collègues en vue de résoudre différents problèmes de l’activité
scolaire et extrascolaire.
Le tuteur pour le stage établit une relation professionnelle avec le stagiaire et coopère
avec tous les facteurs impliqués.

Les responsabilités du tuteur


Le tuteur doit identifier, ensemble avec le stagiaire, les besoins professionnels du dernier
et, en tenant compte d’eux, ils établissent les objectifs et la stratégie générale d’action.
Ayant en vue les besoins du stagiaire, identifiés ensemble, les objectifs et la stratégie
proposés, ils élabore un plan de développement professionnel où le tuteur:
- offre des modèles opérationnels et efficaces pour l’activité didactique et non didactique.
- observe le stagiaire pendant ses activités didactiques et non didactiques.
- assure la consultance pédagogique pour concevoir les activités didactiques.

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- assure le feed-back constructif pour toutes les activités du stagiaire.
- offre de la consultance concernant le management des activités didactiques et
l’autoévaluation.
En vue de l’application du plan d’action, le tuteur se préoccupera des aspects suivants:
- faciliter l’intégration du stagiaire dans la culture organisationnelle de l’école.
- soutenir le stagiaire dans ses démarches d’autoconnaissance.
- contribuer à la mise en évidence des qualités du stagiaire.
- être un modèle motivant pour l’activité didactique du stagiaire.
Le tuteur rapportera en permanence ses actions et ses résultats aux objectifs proposés.
Le tuteur soutiendra son stagiaire dans la sélection des documents faisant partie de son
portofeuille d’attestation.
Il remplira une fiche d’évaluation du stagiaire. A la fin de cette fiche, il proposera une
note pour l’activité et le portofeuille du stagiaire, en l’argumentant et fera un rapport sur le stage
didactique du stagiaire.

Comment choisir les tuteurs


Les tuteurs seront choisis par l’inspecteur de spécialité en collaboration avec les
enseignants du Collège Universitaire d’Instituteurs, parmi les instituteurs formés pour devenir
des tuteurs.

Instruments de travail
Ces instruments représentent des parties du portofeuille (qui aide le tuteur à suivre et
enregistrer le progrès du stagiaire au cours de son stage, à élaborer le rapport final et à donner
une note).

L’examen de definitivat
La structure de l’examen
A la fin du stage, le candidat sera évalué en vue d’obtenir l’attestation d’instituteur
définitif. L’évaluation se réalisera en évaluant:
1. le portofeuille du stagiaire
2. ses aptitudes d’enseignant par l’inspection scolaire
3. ses connaissances théoriques et pratiques par l’épreuve écrite.
La moyenne sera calculée en faisant la moyenne arithmétique des notes obtenues pour
chacun des trois composantes. La moyenne minimale est 7/10. L’échec à l’examen dans trois
sessions consécutives, annulera le droit du candidat de soutenir cet examen et le droit d’exercer
le métier d’enseignant.
Passer l’examen de definitivat apporte automatiquement au candidat l’attestation
professionnelle d’instituteur pour le cycle primaire.
Le portofeuille est conçu en vue de l’attestation et de l’évaluation du stagiaire et en fait,
il est une collection d’instruments de travail d’attestation et épreuves d’évaluation. Il est utile au
stagiaire parce qu’il:
- personnalise son trajet de développement professionnel
- établit les repères du développement personnel
- facilite le processus de réflexion sur sa propre activité
- constitue un document important pour son embauche.
On peut valoriser le portofeuille parce qu’il:
- soutient l’évolution de carrière par l’accumulation de crédits
- est un document qui promut la valeur / l’expérience professionnelle (carte de visite)
- est un document important pour l’embauche et pour une future promotion

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- constitue une source de documentation pour des professionnels, avec l’accord du
propriétaire.
Le portofeuille contient:
A. 1. Des instruments de travail pendant le stage
2. Un essai sur le progrès fait pour atteindre les objectifs établis (élaboré par le stagiaire)
3. Un rapport final sur l’activité du stagiaire (élaboré par le tuteur)
B. Epreuves d’évaluation:
1. Trois preuves d’indentification et d’analyse des besoins et des visées individuels ou de
groupe des élèves (questionnaires pour les élèves et leurs parents, fiches d’observation, liste des
fautes typiques, etc.)
2. Trois programmes de travail et d’évaluation pour faire progresser trois élèves à
performances scolaires différentes, pour un semestre entier (observation systématique de
l’activité et du comportement de chaque élève)
3. Matériel didactique et instruments de travail de conception personnelle: fiches de travail,
questionnaires, planches, photos, soft, matériel intuitif, cassettes audio et vidéo.
4. Quatre épreuves d’évaluation: une épreuve initiale, deux formatives et une finale pour la
même classe d’élèves
5. Fiche de l’évidence de participation aux cours de formation et manifestations scientifiques
(cercles pédagogiques, séminaires, ateliers de travail, colloques, conférences, etc.) et culturelles
qui ont de rapport avec le développement professionnel du stagiaire. La fiche sera accompagnée
de certifications ou attestations de participation.
Toutes les pièces du portofeuille sont obligatoires et les épreuves d’évaluation seront
accompagnées de commentaires de type description-analyse-réflexion (épreuves 1, 2, 4),
description et réflexion (épreuve 5), et commentaires sur l’applicabilité dans l’activité didactique
(épreuve 3).
Possibles composants du portofeuille
- fiches individuelles d’observation des élèves
- produits de l’activité scolaire et extrascolaire
- questionnaires pour les parents
- matériel didactique pour les cours de langue roumaine, mathématique et encore deux
disciplines, au choix
- planification de l’activité didactique (semestrielle, annuelle)
- projets pour l’activité scolaire courante
- projets pour des activités spécifiques pour une aire curriculaire
- un projet d’activité extrascolaire
- épreuves d’évaluation appliquées et leurs résultats (une pour l’évaluation initiale, une
pour l’évaluation continue et une pour l’évaluation finale pour la langue roumaine, la
mathématique et encore deux autres matières d’études, au choix)
- fiche d’activité, cahier de travail personnel et cahiers de devoirs des deux élèves dont le
niveau de performance est très différent
-fiche d’évaluation contenant des fautes typiques pour la langue roumaine et la
communication
- rapport sur la collaboration avec les parents et sur le degré d’implication des élèves dans
des actions communautaires
- fiche d’évidence des activités réalisées en collaboration avec des OG et ONG
- preuves d’autoperfectionnement: fiches de lecture, articles, études, cassettes audio,
vidéo, communications, attestations de participation aux stages de formation
- essai structuré

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Pour aider l’instituteur stagiaire on propose que les fiches individuelles d’observation et
les questionnaires soient élaborées par les Collèges Universitaires d’Instituteurs et qu’ils fassent
partie des standards professionnels pour l’examen de definitivat.
Méthodes d’évaluation du portofeuille
Le portofeuille sera évalué par le tuteur et par une commission d’évaluateurs formée par
des professeurs au Collège Universitaire d’Instituteurs pour les disciplines psychopédagogie,
didactique de la langue roumaine, didactique des mathématiques, et didactique d’autres
disciplines (sciences, histoire, géographie, éducation civique, éducation plastique, éducation
musicale, éducation physique, technologique).
La partie concernant l’évolution du stagiaire sera évaluée par le tuteur, tenant compte
aussi des appréciations périodiques du directeur de l’école et du Conseil d’Administration de
l’école, et se retrouvera dans le rapport final.
Les épreuves d’évaluation et les autres matériaux didactiques ou instruments de travail du
portofeuille seront présentées à la Commission d’Evaluateurs du Collège Universitaire
d’Instituteurs qui les appréciera avec une note.
Le portofeuille sera présenté par le stagiaire et son tuteur devant la Commission de la
manière suivante:
a) Le tuteur fait une succincte présentation du stagiaire et de l’activité de tutorat.
b) Le stagiaire présente les pièces composantes de son portofeuille et argumente
l’importance du portofeuille dans son développement personnel. En vue d’être convaincant, le
stagiaire choisira des modes de présentation adéquates (ordinateur, projecteur, planches,
cassettes vidéo, etc.)
Par la présentation du portofeuille la Commission d’Evaluateurs vise:
- vérifier l’authenticité des documents du portofeuille
- connaître mieux l’activité du stagiaire pour l’aider à s’intégrer dans la vie
professionnelle
- connaître la valeur professionnelle du stagiaire
- apprécier la contribution du candidat à l’amélioration de la qualité de l’offre éducative
de l’école par rapport à la mission et au projet de développement institutionnel.
La moyenne pour le portofeuille sera la moyenne entre la note accordée par le tuteur et
celle de la Commission d’Evaluateurs.
Pour évaluer les épreuves d’évaluation, les membres de la Commission accorderont une
note de 1 à 10 pour chacune des cinq épreuves. La note pour le portofeuille sera calculée en
faisant la moyenne des notes accordées par chacun des membres de la Commission. La moyenne
minimale acceptée est 7/10. Si le candidat n’obtient pas cette moyenne, il ne pourra pas se
présenter aux autres épreuves et il devra répéter le stage.
La Commission d’Evaluateurs devra faire un court rapport d’évaluation où ses membres
argumenteront la moyenne obtenue par le candidat. La note du tuteur et celle de la Commission,
tout comme la moyenne finale seront communiquées à l’inspecteur chargé du perfectionnement.
Le portofeuille sera gardé par le stagiaire est à partir de lui, l’instituteur constituera son
portofeuille professionnel.
L’inspection scolaire aura lieu au cours du deuxième semestre, à partir de la troisième
semaine. Elle sera effectuée par une commission formée par l’inspecteur de spécialité ou un
méthodiste de l’Inspection Scolaire et un méthodiste du Collège Universitaire d’Instituteurs –
professeur de psychopédagogie, didactique de la langue roumaine ou didactique des
mathématiques.
L’inspection se déroulera au cours de six heures et évaluera:
- l’activité en classe – trois heures de classe – une de langue roumaine et communication,
une de mathématiques et une à une discipline au choix;

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- d’autres aspects professionnels – deux heures pour des discussions avec le candidat, le
tuteur, la direction de l’école, le responsable de la commission méthodique, le personnel de
l’école, les élèves, les parents, les représentants de la communauté locale, etc.
La dernière heure sera consacrée à la rédaction du rapport d’inspection et pour accorder
la note finale de l’inspection.
Le rapport d’inspection sera envoyé à l’inspecteur chargé du perfectionnement de
l’Inspection Scolaire Départementale.
Comment calculer la moyenne pour l’inspection scolaire
L’évaluation par l’inspection scolaire se réalisera à l’aide d’une fiche d’inspection et
évaluation élaborée d’après les standards professionnels. La moyenne doit être 7/10 au
minimum. Si cette note n’est pas obtenue, le candidat ne pourra pas se présenter à l’épreuve
écrite et doit répéter l’année de stage.
Les sujets pour l’épreuve écrite pour l’examen de definitivat sera élaborée par une
Commission Nationale pour l’élaboration des sujets d’examen dont font partie:
• un enseignant provenant du milieu universitaire spécialiste en psychopédagogie,
• un enseignant provenant du milieu universitaire spécialiste en didactique de la langue
roumaine pour le primaire,
• un enseignant provenant du milieu universitaire spécialiste en didactique des
mathématiques pour le primaire
• un instituteur méthodiste (tuteur) formé pour l’évaluation conformément aux
standards professionnels
L’épreuve d’évaluation sera plutôt applicative et à l’interférence des domaines et des
objectifs. Les objectifs eus en vue sont:
• la mise en évidence des connaissances psychopédagogiques dans la démarche
didactique et éducative
• la capacité de sélecter, d’adapter et d’appliquer de manière créative les connaissances
de didactique dans la projection, le déroulement et l’évaluation du processus didactique.
La structure de l’épreuve
On va prendre comme point de départ un thème du domaine de la psychopédagogie par
laquelle on va mettre en évidence la profonde compréhension des disciplines enseignées tout
comme les compétences pédagogiques et méthodiques. Par l’intermédiaire de l’épreuve écrite
sera aussi vérifié le parcours d’une bibliographie sélective relevante pour le processus
d’enseignement. L’épreuve écrite, contiendra une demande distincte qui valorisera l’assimilation
et l’actualisation des connaissances de spécialité.
On suggérera un contexte situationnel (l’âge des élèves, spécificité de la classe,
expériences et connaissances déjà acquises par les élèves sur le thème proposé) en fonction
duquel, les candidats structureront leurs réponses. Les taches seront conçues en items, en
indiquant clairement les pas nécessaires pour résoudre le problème qui visent la projection, la
description, l’analyse et/ou l’argumentation de la démarche didactique proposée.
La Commission élaborera et décrira les critères d’évaluation qui seront rapportés
strictement aux items. Ces critères seront présentés aux candidats en même temps que le sujet.
Dans l’élaboration des sujets et des critères sera assurée l’intégration des objectifs déjà
mentionnés.
Les enseignants qui participent à l’élaboration des sujets et à l’évaluation doivent suivre
un programme de formation dans le domaine de l’évaluation des performances et des
compétences professionnelles en concordance avec les standards professionnels.

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Le déroulement de l’épreuve écrite
L’épreuve écrite pour l’examen de definitivat se déroulera comme Examen National, à
sujet unique, dans des Centres Universitaires, étant organisée par le Collège Universitaire
d’Instituteurs. Les épreuves seront secrètes. La durée sera de quatre heures.
Evaluation de l’épreuve écrite
Les épreuves seront corrigées par la Commission d’Examen, ayant une structure pareille
à celle de la Commission Nationale d’élaboration des sujets dont les membres seront nominalisés
par le Ministère de l’Education.
La note finale sera la moyenne des notes des quatre évaluateurs d’examen. L’examen est
passé seulement si la moyenne obtenue est au minimum 6/10.
Comment obtenir l’attestation professionnelle
Si les moyenne finales ont permis de passer les trois épreuves: l’évaluation du
portofeuille, l’inspection scolaire et l’épreuve écrite, le candidat obtiendra l’Attestation
Professionnelle d’Instituteur.
Les conséquences de l’attestation
- Par l’attestation obtenue, le stagiaire obtient la qualité d’enseignant certifié pour la
profession didactique en Roumanie.
- La moyenne à l’examen de definitivat et son portofeuille seront ses pièces de résistance
pour son embauche.

Fiche pour l’évidence des instruments d’évaluation pour les instituteurs candidats a
l’examen de definitivat

Instruments d’évaluation
Compétences évaluées
Portofeuille Inspection Epreuve
L’instituteur stagiaire peut promouvoir le definitivat si:
écrite
démontre qu’il connaît les élèves et qu’il centre ses
x x
démarches didactiques sur l’enfant
connaît et utilisé le contenu des matières enseignées x x
connaît et applique les documents et les règlements
x x
scolaires
connaît et applique la didactique des matières enseignées x x x
prépare, organise, développe et évalue efficacement ses
x x
activités
fait des liens intra, inter et transdisciplinaires x x
applique les connaissances enseignées dans des contextes
x x
réels
évalue constamment des capacités et aptitudes x x
utilise des divers stratégies et instruments pour évaluer
x x x
les élèves en pour obtenir le progrès des élèves
démontre de capacités interrelationnelles x x
il est réflective (il analyse toujours ses activités, ses
x x
démarches et les résultats)
est le promoteur d’un système de valeurs culturelles,
x x
morales et civiques

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Propositions
• Dans le plus court terme il faut sélectionner les "mentors" par concours. Aussi pour
les écoles d’application, utilisant des critères qui font référence aux ressources humaines et
matériaux dont elles disposent. Une fois choisies, ces écoles doivent bénéficier des conditions
matérielles et humaines spéciales.
• Pour être reçu au Collège Universitaire d’Instituteurs, un candidat doivent passer des
épreuves d’aptitude de communication en langue maternelle, musicales, sportives et pour les arts
plastiques (sont les instituteurs qui les enseignent).
• La rémunération de l’instituteur définitive doit être stimulante pour motiver et pour
maintenir dans le système les meilleurs.
• Il faut assurer pour d’autres personnes qui veulent enseigner en primaire un trajet qui
leur permet, après la réorientation professionnelle, l’obtention du definitivat.

Mais surtout, il est nécessaire la mise en oeuvre d’un système de standards professionnels
pour tous les enseignants.

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