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L entrepreneur :

Introduction

Developpement

Partie I theorique sur la notion de l entrepreneur

 1La personnalité de l'entrepreneur

 2Évolution de la vision de l'entrepreneur

 3Statut juridique de l'entrepreneur

Partie II cas exemple de steev jobs qui a marqué l histoire

Conclusion

Introduction
L’entrepreneuriat recouvre les activités qui concourent à la formation et la croissance
d'une entreprise, dont la conséquence première est la création de valeur (richesse, emploi). Cela
peut aussi concerner des formes d'organisation sans but lucratif, par exemple dans
l'entrepreneuriat social.
Les formes d’entrepreneuriat varient selon le type d’organisation qui est mis en place.
L'entrepreneuriat est un moteur majeur du développement économique et social. C'est
pourquoi il est essentiel d'y sensibiliser les jeunes, afin de les amener à envisager de lancer
une activité nouvelle créatrice de valeur.
Plus généralement, un état d'esprit entrepreneurial peut être utile au sein ou à l'extérieur de
toute organisation - publique ou privée, poursuivant ou non un but de profit - et notre société,
dans son ensemble, a besoin d'individus ayant l'esprit d'entreprendre.
.
Personnalité de l entrepreneur :
L'identification de l'entrepreneur à son projet d'entreprise ou à une entreprise établie explique le
degré fort de son implication.
À la différence du terme d'homme d'affaires, le terme d'« entrepreneur » laisse entendre que
celui-ci est fortement investi matériellement et/ou moralement dans le développement et le
déploiement de son projet. Il est en fait investit d'une mission de salut public. La réunion et la
mobilisation de ressources pertinentes, ainsi que la volonté de pérennisation de celle-ci dans le
cadre durable d'une organisation voire d'une institution.
Pour autant, les exemples abondent ( voir le destin d'André Citroën en particulier ) qui montrent
que les qualités indéniables chez un « entrepreneur » ne coïncident pas toujours avec celles du
« gestionnaire » :

 Le premier est doté en principe du leadership et la vision en phase avec les enjeux et
les risques.

 Le second dispose normalement des vertus hautement nécessaires pour assurer la


gestion au quotidien des revenus et des charges.
La forte personnalité de l'« entrepreneur » souvent inséparable de l'entreprise qu'il a fondée ou
relancée et pratiquant un leadership souvent sans partage, fait que sa disparition - lorsque la
prise de relais n'est pas suffisamment préparée - entraîne fréquemment une crise de succession
dont les effets à terme peuvent être dévastateurs, surtout au moment où l'entreprise se sent
« orpheline ». Il est donc utile de prendre en compte l'influence que la personnalité de
l'entrepreneur exerce sur son entreprise1,2,3.

Selon une étude d'Ernst & Young, « on ne naît pas entrepreneur, on le devient »4. Mais d'autres
études soulignent que « les 3/4 des entrepreneurs sont issus d'une famille d'entrepreneurs ».
En France, l’âge moyen de l’entrepreneur est de 41 ans. 2 % des entrepreneurs ont moins de 25
ans5. Une faible proportion d’individus estime avoir les compétences nécessaires au démarrage
d’une activité entrepreneuriale : 38 % contre 43 % au Royaume-Uni et 56 % aux États-Unis6.
Pour la figure de l'entrepreneur propre à l'entreprise voir l'article : Entreprise
L'ensemble des entrepreneurs d'un même pays forme l'entrepreneuriat.

Évolution de la vision de l'entrepreneur[modifier | modifier le


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Les caractéristiques dominantes de la personnalité entrepreneuriale ont évolué:

 Les précurseurs : Pour Richard Cantillon (1723), l'entrepreneur achète des produits et
services à un prix certain pour le revendre à un prix incertain sur le marché, après
défraiement des frais de transport 7. Jean-Baptiste Say (1767-1832) fonde véritablement le
concept et lui confère une consistance significative. Marcel Proust utilise l'image glorifiée de
l'entrepreneur pour décrire avec emphase un des personnages dur roman La
Prisonnière (1923): "C'était un homme, un vrai, un entrepreneur".
 Joseph Schumpeter redonne à l'entrepreneur une place importante en le désignant
comme étant « l'homme de l'innovation » 8: Parce qu'il incarne et porte le pari de l'innovation,
son dynamisme assure la réussite de celle-ci :
« L’entrepreneur est un homme dont les horizons économiques sont vastes et dont l’énergie
est suffisante pour bousculer la propension à la routine et réaliser des innovations ».
C'est un véritable aventurier qui n'hésite pas à sortir des sentiers battus pour innover et
entraîner les autres hommes à faire autre chose que ce que la raison, la crainte ou
l'habitude leur dictent de faire. Il doit vaincre les résistances qui s'opposent à toute
nouveauté risquant de remettre en cause le conformisme ambiant.
L'entrepreneur est beaucoup plus qu'un chef d'entreprise, simple administrateur
gestionnaire. Beaucoup plus qu'un rentier-capitaliste, simple propriétaire des moyens de
production.
Ainsi, on pourrait soutenir qu'Henry Ford lorsqu'il s'établit en 1906 comme chef
d'entreprise n'est pas un entrepreneur. Mais qu'il le devient en 1909, lorsque ses usines
commencent à fabriquer la fameuse Ford T et font évoluer l'automobile vers le statut
d'objet de consommation courante et qu'il met en œuvre le système de la chaîne de
montage qui permet à la fois de baisser les coûts de production et d'accroître le débit de
la production, ce qui ouvre la porte à la production de masse.
Autre exemple de véritable entrepreneur avec Alfred Krupp qui concentre verticalement
ses entreprises et met en pratique le nouveau procédé de fabrication de l'acier imaginé
par l'anglais Henry Bessemer (voir son histoire).
Pour Schumpeter, l'entrepreneur est certes motivé par la réalisation de bénéfices générés
par les risques pris et la réussite. Mais, la conception du profit défendue est originale.
L'entrepreneur crée de la valeur comme le salarié et comme lui il est aussi motivé par un
ensemble de mobiles irrationnels dont les principaux sont sans doute la volonté de
puissance, le goût sportif de la victoire et de l'aventure, ou la joie simple de créer et de
donner vie à des conceptions et des idées originales. Pour Schumpeter, le profit est la
sanction de l'initiative créatrice des risques pris par l'entrepreneur. Cette conception est
contraire aux économistes classiques qui font du profit la contrepartie des efforts
productifs (capital et travail) de l'entrepreneur, ce qui est plutôt celle du chef d'entreprise.
Elle est également contraire à la conception marxiste, qui place l'origine du profit dans la
confiscation de la plus-value, c'est-à-dire l'appropriation d'une partie du fruit du travail des
salariés, là on trouve plutôt le rentier-capitaliste.

 Dans une période plus récente, divers auteurs enrichissent le concept


de diverses manières :
David McClelland (1961): l’entrepreneur est avant tout motivé par un besoin débordant de
réalisations, par « la nécessité de construire ».
Collins and Moore (1970) (étude du cas de 150 entrepreneurs) concluent qu’ils sont durs,
pragmatiques et conduits par le besoin d’indépendance et de réalisation, et peu enclins à
se plier à l’autorité.
Peter Drucker dans son ouvrage « Les Entrepreneurs » (1985), insiste sur l'innovation et
l'esprit d'entreprise (entrepreneurship)
Bird (1992) voit les entrepreneurs comme étant Mercuriels et imprévisibles, sujets à des
intuitions, des activités cérébrales intenses, et des déceptions. Ce pourquoi ils sont
ingénieux, plein de ressources, malins, opportunistes, créatifs, et sentimentaux.
Busenitz et Barney (1997) défendent le fait que les entrepreneurs sont susceptibles d’être
trop confiants ou de généraliser trop facilement.
Cole (1959), définit quatre types d’entrepreneurs : l’innovateur, l’inventeur qui calcule, le
promoteur trop optimiste et le constructeur d’organisations.
Burton W. Folsom Jr. distingue quant à lui ce qu’il appelle « l’entrepreneur politique » qui
cherche le profit pour son affaire en usant de son influence politique afin d’obtenir des
faveurs et des accords avec le gouvernement, de « l’entrepreneur de marché » qui
recherche le profit sans mettre en jeu son influence

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