2018
Et pour finir, nous déduirons le flux de chaleur reçu par l’eau selon la relation :
dQ
H où, H et le flux de chaleur qui est mesuré par la variation de chaleur échangé
dt
dans le système en fonction de temps pour trouver notre valeur de la conductivité
thermique. (voir figure 1, tirée par « Physique Générale GC1, Laboratoires »,
Conduction Thermique, Nicolas Stucki).
T, changement de la
température du mélangé
Vue que le système, il n’est pas parfaitement isolé, sera nécessaire de calculer la capacité
thermique du calorimètre, on lui attribue l’équivalent d’une masse μ d’eau, que nous
appellerions valeur en eau du calorimètre. Donc, en modifiant l’expression (3), nous pouvons
déduire la puissance réelle transmise à chauffer l’eau :
dQ dT
H Q c (m ) (4)
dt dt
Une fois que le système est un équilibre niveau échange énergétique, nous ajoutons dans la
masse d’eau froide (mfroide+ μ), une masse chaude (mchaude) d’eau. En sommant les fluxes des
chaleurs froides et chaudes d’eau H froid H chaud 0 (5), nous pouvons déduire la valeur de μ
(kg).
4.1.1 Matériel
- Une barre en cuivre, recouverte d’une pellicule isolante, et munie de deux
thermocouples (figure 1, positionnement de fil selon la mesure de T1 et T2)
- Un thermomètre pour mesurer T1, T2 et T.
- Un système de chauffage à thermostat fixé à l’extrémité supérieure.
- Un calorimètre avec agitateur magnétique à l’extrémité inferieure.
Gradient =
dT T 1 T2 T chaud T froid
=
( gradient1; gradient35) = 151.12 °C m-1 ±0.01
dx L L 34
Voici ci-joint, vous pouvez voire la représentation graphique :
T1(t) , T2(t) , T(t),T1-T2 (t)
70
60
50
T1, T2, T ,T1-T2/°C
40
30
20
10
0
0 200 400 600 800 1000 1200 1400
t/s
T1 / °C T2 / °C T / °C T1-T2/°C
4.2 Résultats
Avec l’expérience faite en déduisant T1(t), T2(t) , T(t), T1-T2 (t), nous ne pouvons pas
donner une approche de valeur réelle de , la conductivité thermique. Nous avons faire
une autre manipulation : avec une dixième des valeurs de la température T0,chaud (t) avec
environ la même quantité de l’eau que nous avons utilisé au premier temps, nous avons
effectué une analyse de To,chaud (t).
Chaque changement de température de 0.1 °C, nous avons déduire les valeurs de temps,
et après, avec la droite de régression linéaire y = ax+ b, nous pouvons optimiser la
pente. Voici le graphique de To,chaud (t) :
To,chaud (t)
3.5
T0 = 0.0014t + 2.44
3
2.5
T0,chaud/ °C
1.5
0.5
0
0 100 200 t/s 300 400 500 600
dQ dT
H Q cm acm
Selon l’expression (3) : dt dt = 4186 J kg-1 K-1 · 0.396 kg · 0.0014
K m-1 = 2.3244 W
Avec, m eau, chaud = m totale – m vide = 0.627 – 0.231 = 0.396 kg
De même manière, nous avons faire la manipulation pour m eau, froid : avec une
vingtième des valeurs de la température T0,froid (t) (parce que c’est plus difficile de
chauffer l’eau glacié) avec environ la même quantité de l’eau que nous avons utilisé au
premier temps, nous avons effectué une analyse de T0,froid (t).
Chaque changement de température de 0.1 °C, nous avons déduire les valeurs de temps,
et après, avec la droite de régression linéaire y = ax+ b, nous pouvons optimiser la
pente. Voici le graphique de T0,froid (t) :
T0,froid (t)
12
10
T0 = 0.0132t + 3.007
T0,froid / °C
0
0 100 200 t/s 300 400 500 600
dQ dT
H Q cm acm
Selon l’expression (3) : dt dt = 4186 J kg-1 K-1 · 0.396 kg · 0.0132
K m-1 = 25.149 W
Avec, m eau, froid = m totale – m vide = 0.687-0.231= 0.456 kg
H dT a
, H S a x a S , d’oü :
S gradient dx S
Si, on assume sans la perde de l’eau pendant l’expérience, on peut avoir une valeur réele plus
proche. Donc on trouve la valeur theorique :
Pour m eau, chaud = 0.396 kg (v.réelle) + 0.08 kg (v. Perdue) = 0.476 kg, d’où : H = 2.7896 W
Pour m eau, froid = 0.456 kg (v.réelle) + 0.08 kg (v. Perdue) = 0.536 kg, d’où : H = 29.619 W
Et ,
H chaud H froid 29.619W 2.7896W
1
303.37Wm1K 1
S gradient 0.0007069m 151.120Km
2
Calcule de μ :
5.1 Conclusion
En conclusion, nous avons étudié l’oscillation d’un pendule simple ainsi que celle d’un
pendule physique. En mesurant la période d’oscillation d’un pendule simple, nous
avons réussi à retrouver approximativement la valeur de .
Puis avec le pendule physique, nous avons pu montrer que l’énergie mécanique a
tendance à diminuer d’avantage aux grands angles qu’aux petits angles. Ce résultant on
le constate par la méthode graphique et les calculs d’optimisation analytique qu’on a pu
effectuer.
&
= ( 2 – 1) / (t2 – t1), Ec(t) et ’ = ( 2 + 1) /2, Ep(t)
En utilisant le fais que ! = " + # (6), on obtient une vitesse angulaire optimisée optimisé =
( 2 – 1) / (t2 – t1) + ( 2 + 1) /2