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LA COMMUTATION AUTOMATIQUE

 La commutation électromécanique à 1913 : Premier central Strowger mis en s


organes tournants ( 1913 - 1982 ) Nice.

Un autocommutateur électromécanique à
"rotatifs"est tout simplement un ensemble de
matériels commandés par des électro-aimants, qui
effectue des mises en relation entre deux
correspondants, selon les indications fournies par
l'abonné demandeur à l'aide de son cadran
d'appel.

Ce système exigeait des réglages fréquents et précis .

Le système Strowger

 C'est le premier système de commutation mis au


point en 1891 aux États Unis ( par un
entrepreneur de pompes funèbres !! )

 Les "balais" qui explorent des "bancs de


broches"sont affectés de mouvements
d'ascension et de rotation . Le système est " à
commande directe", car c'est directement les
impulsions émises par le cadran qui agissent sur
les différents commutateurs.

Connecteur Strowger
 La maquette Strowger présentée au troisième
étage du musée est unique en France. Elle
provient du central mis en service à Bordeaux en
1928 et déposé en 1982 . Elle fonctionne grâce au
savoir-faire d'un ancien télécommunicant
passionné et auteur d'un poème à ne pas
manquer !!!

Plus de 50 années d'exploitation !

Le visiteur numérotera à 4 chiffres, lentement, et en


observant les mouvements de rotation et d'ascension
des sélecteurs et des connecteurs.
le bâti strowger

 Le Système R 6

Système électromécanique à organes tournants


(rotatifs), doté d'une "intelligence" - les numéros
émis par l'abonné à l'aide de son cadran sont
enregistrées et mémorisées avant d'actionner les
commutateurs.

 Les avantages du R 6 par rapport au système


Strowger sont notables, c'est un système à
enregistreurs et non plus à contrôle direct .

 Le système R 6 a été exploité dans le réseau


français entre 1932 à 1982. Le visiteur numérotera 6 chiffres en o
rôle de l'enregistreur, véritable"opératr
 Le bâtiment du musée à abrité le central
Chartrons équipé en système R6 .
 La  commutation électromécanique à
barres croisées ( Crossbar 1962-1994 )

 On n'échappe pas à l'évolution technologique

 A la fin des années 50 une technique nouvelle


plus souple d'exploitation et dont la simplicité
diminuait les coûts semblait prometteuse : le
"Crossbar" qui connaîtra son apogée dans les
années 1960 / 70 .

 Le Crossbar n'est pas basé sur des organes


tournants, mais fait appel à des barres croisées,
verticales et horizontales actionnées par des
électro-aimants. La connexion est établie à
l'intersection des barres .
Le bâti socotel CP400 (1965)
 En 1960 la décision fut prise de ne plus
commander que du matériel Crossbar. Le "CP
400" pour les villes petites et moyennes et pour les
communes rurales ( Socotel S1) le "Pentaconta"  Le dernier central "Crossbar", Gi
pour les grandes villes. basculé sur un central électronique

 Les premiers autocommutateurs type "CP 400"  En Gironde Langon a été le dernie
sont mis en service en 1963 et les premiers "Crossbar CP 400" mis hors servic
"Pentaconta" en 1964. décembre 1994 . C'est la fin d'une
réseau français est entièrement éle
 C'est en grande partie grâce au Crossbar qu'a été
résolue la grave crise du téléphone de 1965 à  Une chaîne Crossbar est en fonc
1980. au musée. C'est un centre local typ
100 lignes, à numérotation à 8 chi
 La génération du Crossbar s'est éteinte en
décembre 1994, avant le passage à la  Le visiteur remarquera le temps trè
numérotation à 10 chiffres. d'établissement d'une communicat
La commutation électronique

L 'espace et le temps !

 La commutation l'électronique va  La génération de l'électronique va


progressivement prendre la relève du système une nouvelle culture technique, un
Crossbar à partir de 1970. différent avec la machine .

 Le rôle de pionnier joué par la Fran


en commutation électronique lui a
 Commutation "spatiale" ou "temporelle" des d'enregistrer un des taux de numé
mots bien étranges pour le profane ! Mais, qui plus élevés du monde.
nous plongent au cœur de la commutation
électronique !

 Les systèmes "spatiaux", AXE et 11 F sont


apparus en 1975 .

 Mais l'avenir, est dans la commutation qui fait


appel à la "numérisation" du signal
téléphonique .

 C'est en 1970 que le premier central "temporel" a


été mis en service à Perros Guirec, en Bretagne .

 Ce précurseur sera ensuite généralisé sous le


nom de " E 10 ". Une opération qui ouvrira la porte
à la généralisation de l'électronique .

 Deux systèmes "temporels" seront installés la


gamme E 10 (Alcatel -CIT) et la gamme MT
(Thomson )
Le système électronique temporel E10 N3 est
présenté au musée.

 Récupérée en 1997 à Toulouse et installée par le


SNP, Service National Production une maquette
électronique est en fonctionnement au musée.
 Les derniers nés de la commutatio
en France sont les systèmes
"AXE 10" (constructeur MET)
 C'est un commutateur électronique type E 10 N3, et "E 10 B3" (constructeur Alca
piloté par son CTI , centre de traitement des
informations équipé d'un calculateur ( MITRA
125 ) .
La numérotation est à 10 chiffres .

 Après le cliquetis des rotatifs et des barres


croisées, le visiteur sera surpris par le silence et
par la rapidité de connexion d'un commutateur
électronique !.

Le bâti électronique E10 N3

 Le système E 10N3, première génération de la Cette maquette E10 N3,


gamme E 10, n'est plus commandé depuis 1980 rescapée de la première génération
et en France les derniers commutateurs ont été des autocommutateurs électroniques E
déposés en 1999. seule à fonctionner en France !

 La deuxième génération de commutateurs E 10


N I et MT 25 est actuellement en cours de
renouvellement.

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