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INTRODUCTION L’alimentation crue ou l’alimentation vivante est un mode alimentaire qui se

développe de plus en plus car le lien entre notre alimentation et notre santé n’est plus à
démontrer. De ce fait on redécouvre l’utilisation du cru, souvent associé à une philosophie, avec
une alimentation et une hygiène de vie saines, mais qui peut être utilisé simplement et par
chacun au quotidien, car l’apport de l’alimentation crue, même ponctuelle, apporte des
bienfaits. Il s’agit ici de parler du cru végétarien, car les produits animaux crus n’entrent pas dans
la catégorie d’aliments « vivants », mais pas du régime crudivore, régime dont les seuls aliments
tolérés sont les aliments crus. On évoque ici donc les aliments vivants en temps que tel pour
étudier leurs intérêts nutritifs et leurs bienfaits sur la santé. Quels sont ces aliments qui rentrent
dans l’appellation d’alimentation vivante ? Peut se définir comme alimentation vivante les
aliments crus, de préférence biologiques et à composante alcaline, qui n’ont subi aucune cuisson
ni transformation, exception faite de la germination et de la fermentation ; tels que les fruits crus
ou séchés, le miel non pasteurisé, les légumes crus ou lactofermentés, les légumineuses et
céréales germées, le pain germé, le lait de noix, les noix et graines crues ou germées, les huiles
de première pression à froid, les jus de germination, les aliments végétaux déshydratés à froid,
les algues. Enfin, nombreux sont les médecins tels que Bircher benner, Catherine kousmine,
Szekely.., qui ont au cours de recherches sur les maladies incurables et sur la santé en général
ont découverts ou redécouverts les bienfaits et les effets curatifs du cru, et l’ont inclus dans des
régimes spécifiques.

1/ UN PEU D’HISTOIRE

L'alimentation vivante a une longue histoire. Bien des civilisations anciennes connaissaient la
valeur d’une alimentation basée sur les fruits et légumes crus, les céréales germées, les graines,
les oléagineux… Au début du vingtième siècle, la traduction de l'"évangile Essénien de la Paix"
par le docteur Szechely révéla que l’usage d’aliments vivants dans le traitement des maladies
faisait partie de la tradition occidentale et judéo-chrétienne depuis plus de deux mille ans. On dit
que les Esséniens, une secte juive vivant deux ou trois siècles avant l’ère chrétienne, dont Jésus
faisait partie, consommaient surtout des aliments vivants, et les historiens anthropologues
rapportent qu’ils vivaient en moyenne 120 ans. Les pouvoirs curatifs des aliments vivants sont
également reconnus depuis longtemps par la médecine asiatique. En fait, l’usage de graines
germées en alimentation et en médecine est au moins deux fois plus ancien que la grande
muraille de chine, et les documents historiques en font même état. La valeur d’un régime à base
d’aliment vivant commence à gagner des appuis dans le monde médical depuis quelques
décennies. Au tout début du vingtième siècle le docteur Max Gerson en découvrit le pouvoir en
traitant ses propres migraines et plus tard contre le lupus, une maladie jusque là considérée
comme incurable. Il employa ensuite ce même type de régime contre différentes affections du
blocage des artères aux troubles mentaux. Le docteur Gerson reconnaissait aux aliments vivants
le pouvoir de reconstituer la force régénératrice vitale de tout l’organisme. En 1928, il guérit la
femme d’Albert Schweitzer de la tuberculose à l’aide de ce régime alimentaire. Plus tard, il
proposa ce même régime au célèbre docteur lui- même pour soigner son diabète, permettant à
ce dernier d'abandonner l’usage de l’insuline. Des travaux subséquents permirent au docteur
Gerson de découvrir que les aliments vivants améliorent la respiration cellulaire tout en
renforçant le système immunitaire. Il se mit alors à utiliser ce même régime pour traiter le
cancer, avec grand succès. Les travaux du docteur Max Gerson ont été mis en lumière dans un
livre très documenté intitulé A Cancer Therapy. Vers la même époque, d’autres spécialistes du
monde médical et scientifique ont également démontré le pouvoir curatif des aliments vivants.
Des travaux comme The Influence of Cook Food on the Blood Formula of Man, présenté par Paul
Kouchakoff, M.D, lors du premier congrès international de microbiologie de Paris en 1939, et le
volume publié par le docteur Edward Howell en 1946 sous le titre de Food Enzymes for Health
and Logevity, ont projeté les aliments vivants a l’avant-scène des études nutritionnelles.

De nombreux autres chercheurs se mirent à explorer le pouvoir curatif des aliments vivants. Le
médecin danois Kristine Nolfi adopta un régime a base d’aliments vivants pour guérir son cancer
du sein et les résultats positifs de son expérimentation, tant sur elle-même que sur ses patientes,
l’incitèrent a crée le sanatorium Humlegaarden qui remporta un succès éclatant au Danemark.
Parmi les pionniers américains de la théorie des aliments vivants, on compte Paul Bragg, et
naturellement, Ann Wigmore et son prédécesseur Victoras Kulvinskas qui, il y a quelques
décennies, fondèrent l’institut Hippocrate, ou les pouvoirs de guérison et de restauration des
aliments vivants firent (et font encore) l’objet d’une expérimentation de première main par tous
ceux qui en sont les hôtes, avec des résultats plus que positifs. Les docteurs Anna-Maria Maria et
Brian Clement, qui dirigent actuellement l'Institut Hippocrate, donnent des conférences partout
dans le monde et reçoivent une écoute grandissante dans le monde occidental en proie à des
maladies dégénératives (cancer, diabète, Alzheimer, ...) dont les statistiques d'évolution sont
dramatiques. Partout dans les pays occidentaux il est maintenant possible d'avoir accès aux
informations et aux principes d'alimentation vivante. Ces principes constituent une solution aux
problèmes de santé de notre époque, ainsi qu'à certains problèmes d'écologie et d'économie
mondiale.

2/ LES INTERETS DE L’ALIMENTATION VIVANTE A/ LES VITALISANTS Les légumes, les fruits, les
algues, les fleurs sont des végétaux riches en vitalisants ; enzymes, antioxydants, vitamines,
minéraux et oligoéléments assimilables, eau et fibres. Ils contiennent en général peu de
protéines, de glucides et lipides. Ce sont de plus des aliments à composante alcaline, c'est-à-dire
des aliments qui contienent une forte teneur en minéraux basiques (calcium, magnésium,
sodium et potassium) et une faible teneur en minéraux acides (chlore, soufre et phosphore). Les
aliments à composante alcaline, comme les fruits, les légumes et les germinations, contribuent à
un bon équilibre acidobasique de l’organisme. Le rôle des vitalisants : De nombreuses études ont
confirmé que la consommation d’aliments contenants beaucoup de vitalisants naturels réduit
l’incidence de nombreux problèmes de santé courants comme les accidents cardio-vasculaires,
l’arthrite, le cancer. Carences en vitalisants : -baisse de l’immunité, -déminéralisation, -baisse du
taux d’hémoglobine, -problèmes de peaux, de digestion, d’élimination, de croissance, dentaires,
-inflammation des muqueuses, -lenteur intestinale -insomnie -perte de poids, -adaptation
difficile à la chaleur, -carence en Vitamine B et K (synthétisés par la flore intestinale),
-hypersensibilité, nervosité, manque de concentration, -dégénérescence et vieillissement
prématuré, Chez la femme enceinte : -déséquilibre du poids, grossesse fatigante et
accouchement difficile, récupération longue après l’accouchement, Chez le nouveau né :

-perturbations organiques, troubles de croissance.1

Particularités des vitalisants : Les vitalisants sont essentiels pour nourrir, développer et régénérer
le système immunitaire. Le système immunitaire se compose de cellules spécialisées ; anticorps,
phagocytes, lymphocytes… qui permettent à l’organisme d’identifier les substances nocives, de
se défendre et d’éliminer tout ce qui perturbe son bon fonctionnement. De plus, selon
l’hypothèse du Dr Edward Howell qui a effectué un important travail sur les enzymes,
l’alimentation vivante permettrait d’éviter un phénomène appelé « leucocytose digestive » où
l'organisme réagirait aux aliments cuits qu'il considérerait comme « étrangers ». Le système
immunitaire enverrait donc ses globules blancs (leucocytes) combattre ces aliments, détournant
ainsi son attention des véritables envahisseurs (bactéries, virus) et prédisposant l’organisme aux
infections. Facteurs pouvant détruire les vitalisants : Les vitalisants, sauf les minéraux, se
détériorent très rapidement dès qu’ils sont retirés de leur milieu de vie ou que leurs conditions
de vie changent. Il sont particulièrement sensibles à la température : au dessus de 45°C ils se
dégradent, en dessous de 5°C ils deviennent inactifs. Les traitements physiques (lavage,
température), chimiques (additifs, engrais), mécaniques (centrifugeuse, hachage, broyage),
biotechnologiques (irradiation, modifications génétiques) et l’entreposage (frigo..) sont autant
de facteurs qui détériorent la qualité des aliments. C’est pourquoi l’alimentation vivante est une
alimentation qui soit la plus possible saine, naturelle, biologique, non transformée et
consommée peu de temps après récolte dans le cas des fruits et légumes.

Cf Yolande Buyse, polycop « se nourrir propre et équilibré ».

B/ LES ENZYMES Les enzymes sont essentiels à la vie. On pourrait même dire qu’ils sont la vie.
Toutes les fonctions du corps sont accomplies grâce aux enzymes. Sans eux, il ne pourrait y avoir
de vie organique. Un enzyme est une structure à base d’acides aminés d’une énergie très grande
permettant ou accélérant les réactions chimiques métaboliques. Il y en a trois catégories: les
enzymes digestifs produits par l’organisme et dont le rôle est de digérer les aliments, les
enzymes métaboliques produits aussi par le corps et permettant toutes les autres fonctions et
finalement, les enzymes alimentaires présents dans la nourriture et nécessaires à la digestion.
Les aliments crus contiennent certains enzymes dont ils ont besoin pour être digérés; ils sont
pour ainsi dire partiellement prédigérés. Lorsque nous consommons des aliments cuits, chauffés
ou pasteurisés, les enzymes qu’ils contiennent sont détruits car ils sont très sensibles à la
chaleur. Le système digestif doit alors produire plus d’enzymes digestifs pour combler le manque.
Ceci donne beaucoup de travail à l'organisme et consomme beaucoup d'énergie, car ces
enzymes sont prélevées des glandes, des muscles, des nerfs et du sang. Le pancréas, entre
autres, doit travailler plus fort et il a été observé que chez les mangeurs d’aliments cuits, cette
glande productrice d’enzymes digestifs est souvent hypertrophiée A la longue, le potentiel
enzymatique décroît et les organes internes s'affaiblissent, ouvrant la porte aux allergies et aux
maladies diverses. Un nombre limité d’enzyme Les enzymes alimentaires ne servent pas
uniquement à la digestion mais sont aussi nécessaires aux fonctions métaboliques. Il a été
démontré que la durée de la vie était directement proportionnelle au potentiel enzymatique,
c’est à dire aux réserves d’enzymes de l’organisme. À moins que nous ayons vécu depuis notre
naissance selon un régime crudivore, il serait très important de consommer régulièrement un
supplément d’enzymes. Selon plusieurs chercheurs dont le Dr Edward Howell, un apport de ce
type serait tout aussi important que les suppléments de minéraux ou de protéines. Après avoir
démontré que toute créature vivante possède un nombre d'enzymes fixe (non renouvelable) qui
peut être prématurément épuisé, le Dr Howell écrit : "Les êtres humains qui consomment une
nourriture sans enzymes utilisent une énorme quantité de leur capital enzymatique venant du
pancréas et des organes digestifs. Il en résulte une vie plus courte, des maladies et moins de
résistance au stress, qu'il soit de nature psychologique ou environnemental." Donc, plus vite
nous utilisons notre réserve d'enzymes, plus courte serait notre vie. Le Dr Howell fait également
le parallèle entre la diète déficiente en enzymes et la diminution du volume ainsi que du poids
du cerveau.

C/ LES ENZYMES COMME INSTRUMENT DE PRÉVENTION Les chercheurs ont prouvé de façon
concluante que les aliments cuits, même lorsqu’ils sont additionnés de vitamines et de minéraux
(organiques) ne sont pas efficaces dans la prévention des maladies observées chez les personnes
au régime alimentaire non enrichi. Il est intéressant de constater que les animaux nourris
exclusivement aux aliments crus se développent bien. Un fermier qui voudrait planter une graine
dans le sol ne la cuirait pas d’abord parce qu’il sait que la cuisson tue les enzymes qui sont la vie
dans la graine. Les enzymes présentes dans les liquides extracellulaires de toutes les cellules
animales et végétales sont des protéines spécialisées qui déclenchent et accélèrent les réactions
chimiques. Ces protéines sont le siège de ce que le professeur Moore de l’Université d’Oxford
appelle l’énergie biotique. Le seul fait de respirer et de bouger fait appel à nos enzymes. Ce sont
les enzymes contenues dans un steak qui soigneront un œil tuméfié en quelques heures plutôt
qu’en quelques jours. C’est grâce aux enzymes si les graines germent et si les feuilles changent
de couleur à l’automne. Les enzymes sont les principes actifs par excellence, les éléments
déclenchant des fonctions naturelles de tout ce qui vit. La science est incapable de fabriquer des
enzymes parce que celles-ci renferment le principe de vie même. Si l’on part du principe que le
tabagisme, la pollution de l’air et le manque d’exercice jouent un rôle dans l’apparition de
maladies de toutes sortes qui emportent un nombre toujours croissant de nos concitoyens
chaque année, il faut reconnaître l’existence d’un dénominateur commun, en l’occurrence les
aliments que nous consommons. Les chances d’éviter toute maladie grave sont bien meilleures si
l’on mange des aliments crus dans toute la mesure du possible. (Avocats, bananes et mangues
sont particulièrement riches en enzymes, la source d’enzymes la plus importante étant les
germes.) Si l’on mange des aliments crus et cuits au même repas, le Dr Howells est d’avis qu’il
vous faut prendre un à trois suppléments d’enzymes pendant le repas et non après. Ces
suppléments d’enzymes peuvent vous permettre d’épargner vos précieuses réserves d’enzymes.
Les enzymes contenues dans les aliments crus que nous consommons commencent à
décomposer ces aliments dès leur absorption. Elles ont environ trente minutes pour faire leur
œuvre dans l’estomac, après quoi l’estomac devient trop acide et les enzymes perdent leur
pouvoir. C’est alors que la pepsine et l’acide chlorhydrique prennent la relève et continuent le
travail de digestion des protéines. Lorsqu’on prend un supplément d’enzymes végétales, ces
enzymes se comportent de la même façon que les enzymes issus des aliments crus. Les enzymes
végétales diffèrent considérablement des enzymes animales (pancréatine). La pancréatine, issue
des sécrétions d’un pancréas

animal, fonctionne le mieux dans le milieu alcalin du petit intestin. Actuellement, on se sert de la
pancréatine dans des recherches importantes sur le cancer. Les papayes non parvenues à
maturité, les ananas et les aspergillus sont d’excellentes sources d’enzymes. Les enzymes
provenant de la papaye et de l’ananas (la papaïne et la bromélaïne respectivement) sont des
enzymes protéolytiques qui travaillent uniquement sur les protéines. Il existe différentes variétés
d’aspergillus dont on extrait la protéase, l’amylase et la lipase qui assurent la digestion des
hydrates de carbone, des graisses et des protéines.

3/ LES MEILLEURS VITALISANTS Dans l’alimentation vivante, les aliments qui semblent être le
plus riche en vitalisant sont les graines germées et les jus d’herbes dont particulièrement le jus
d’herbe de blé germé. A/ LES GRAINES GERMEES Qu’est ce que la germination ? La germination
est le processus par lequel une graine produit son embryon et donne naissance à une nouvelle
plante. Elle se produit à l’humidité et à l’abri de la lumière, et comporte une multitude de
réactions chimiques. La plus importante est la synthèse d’enzymes qui permet une prédigestion
des glucides, des lipides et des protéines de la graine; puis vient la multiplication
impressionnante de certaines vitamines et, finalement, la production de chlorophylle qui
commence quand une petite tige voit la lumière. En bref, la germination est une usine de
prédigestion et de fabrication de nutriments. Biochimie de la germination : Avant la germination,
les graines sont une source exceptionnelle de : -
Nutriments de réserves énergétiques : polysaccharides- glucides naturels ou hydrate de carbone-
lipides et protéines. Vitamines Sels minéraux et oligo-éléments Enzymes digestives Fibres
alimentaires.

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Dès les premiers jours de germination, les semences contiennent tous les éléments nécessaires à
des métabolismes actifs tels : -

Des sucres simples issus de l’hydrolyse des polysaccharides (amidon, cellulose) dont les glucoses,
fructose, saccharose… qui demandent moins d’efforts de la part de l’appareil digestif et sont
directement assimilables par l’organisme. Des acides aminés libérés ou synthétisés suite à
l’hydrolyse des protéines de réserve. La qualité, la quantité et la biodisponibilité des vitamines
sont accrus. Des éléments minéraux dont la biodisponibilité est accrue. De nouvelles enzymes
issues de l’hydratation de molécules existantes ou d’une synthèse dans les tissus particuliers. Des
fibres, surtout contenues dans les enveloppes qui, inertes, ne sont pas hydrolysées. Une
diminution notable des facteurs antinutritionnels que l’on rencontre dans certaines
légumineuses.

Que fait-on germer ?

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Valeurs nutritives : Tableau : teneur sur extrait sec en éléments minéraux

Max Labbé « Ces étonnantes graines germées ».

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B/ LES JUS D’HERBES Lorsque l’on parle de jus d’herbe il s’agit principalement des jus de blé ou
d’orge germés. Les herbes de blé germé se récoltent lorsque la jeune plante mesure 15 à 20 cm,
l'herbe d'orge à 8 à 10 cm. Le jus frais d'herbes se consomme dès qu'il est préparé car il est
sensible à l'oxydation et en petite quantité. Le jus d'herbes de céréales a des propriétés
nutritives reminéralisantes, il est très riche en chlorophylle (environ 70 %), vitamines, minéraux,
acides aminés essentiels et oligoéléments et antioxydants au pouvoir alcalinisant. L'herbe d'orge,
lors de sa récolte, est constituée de près de 45 % de protéines non chargées de gras. Le jus
d'herbe d'orge se digère facilement en neutralisant un éventuel excès d'acide gastrique. Il aide à
restaurer l'équilibre acido-basique grâce à son pouvoir alcalin. Le jus d’herbe de blé Les
américains ont découvert le jus d’herbe de blé il y a 30 ans, grâce à Ann Wigmore. Ayant
constaté sur elle-même les effets exceptionnels que provoque la consommation régulière de jus
de blé ", elle en donna à son entourage qui réagit très positivement à ce " nouveau breuvage ".
Le docteur Ann Wigmore ouvrit ensuite une clinique de santé naturelle à Boston, puis s’établit
en Floride, où elle fonda l'institut Hippocrate et ensuite, l'institut Ann Wigmore à Porto Rico.
Valeur nutritive et propriétés thérapeutiques. Le jus d’herbe de blé est extrêmement riche en
chlorophylle (70%). il contient 92 des 116 minéraux connus et une bonne dose de vitamines A, B,
C et E. Il est également une excellente source de fer, de magnésium, de phosphore, de
potassium, de sodium et de zinc et enfin riche en enzymes. Propriétés de la chlorophylle,
fortement concentrée dans l’herbe de blé : -Exerce une action régénératrice sur le sang (en lui
fournissant notamment un apport accru en fer), diminue l’hypertension et neutralise les toxines,
-Désintoxique le foie, les poumons et le côlon, arrête la croissance des " mauvaises " bactéries,
-Contrôle les troubles de glycémie, nourrit les glandes sexuelles et accélère la cicatrisation,
-Prévient le grisonnement des cheveux (et peut même leur redonner leur couleur naturelle
comme ce fut le cas pour Anne Wigmore).

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