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Université de Blida / institut d’architecture

Rapport de recherche sur le thème :


« murs de soutènement »
Réalisée par :
Aissa Elyssar

Dirigée par :
Mme Belkacemi
Année universitaire : 2012-2013
Présentation des murs de
soutènement :
• Le rôle du mur de soutènement est de retenir un
massif de terre, il existe une grande variété se
caractérisant par des fonctionnements différents et
conduisant à des études de stabilité interne
spécifiques.
• Un mur de soutènement sert à gagner de l'espace. Si
on désire enlever un volume de sol gênant d'un terrain
en talus, le sol restant pourrait ne pas maintenir la
pente désirée si elle est trop verticale, alors on peut
installer un mur de soutènement pour le supporter
latéralement à l'angle voulu.
• Généralité :
un mur de soutènement se compose de deux parties :
-La semelle de fondation.
-La paroi résistante : voile.
La paroi résistante est constituée soit par une maçonnerie épaisse ( bloc-
enrochement ), soit par un voile mince en béton armé.
Dans le premier cas (murs massifs) c’est par son propre poids que le massif
résiste en majeur partie a la poussé des terres soutenues .
Dans le second cas (murs mince) les poids des terres soutenue agit comme
élément stabilisateur .
Les différents types de murs de
soutènement :
Il existe différents types de murs de soutènement :

- Mur poids de béton plein coulé


(terre - moellons - gros bêton)

En maçonnerie: En bêton armé :


-Utilisables lorsque le -Utilisables lorsque le sol de
sol de fondation est bon. fondation est bon.
-Économiques jusqu’à -Peuvent être envisagés jusqu’à
une hauteur de 4m. des hauteurs de 7 à 8 m.
Figure. Différents types de murs poids
en béton armé.
- Murs encrés : Parements divers (maçonnerie, panneau, etc.) renforcés de grilles
Lorsque la hauteur des terres à soutenir est importante, une des solutions consiste à
encré le mur à l’aide de tirants de précontrainte. ce procédé permet de ne pas donnée à la
semelle des dimensions considérable.
- Gabions, blocs de béton, blocs de roc
- Mur a bêche
pour amélioré le glissement d’un mur de soutènement.

- Murs en T renversé
- Murs à contre fort

Lorsque le mur à construire est de grande hauteur, le coefficient de poussée est très élevé.
Le moment d’encastrement du voile sur la semelle devient très grand. On utilise un mur à
contre fort. Ces derniers raidir le voile, ils sont généralement espacé de 2,5m à 5m, ils
s’encastrent sur la semelle .
- Murs à console

Ils sont intéressants du point de vue


de l’équilibre statique, puisque la masse
de remblai sur la console joue
un rôle stabilisateur, d’autre part les
efforts de poussée sont diminué du faite
de la séparation du massif en partie distincte.

- Caissons - Porte-à-faux en béton armé


Evaluation des forces agissantes sur les murs de soutènement :
(méthode de Rankine)
1. Equilibre de Rankine
les 3 états possibles des terres
situées derrière l’écran selon la théorie de Rankine.
La répartition des contraintes horizontales ainsi que la valeur de la résultante en
seront déduites.
Selon Rankine, cette résultante est toujours perpendiculaire à l’écran : autrement dit,
le frottement sol-écran n’est jamais
mobilisé au niveau de la paroi verticale
Le cas du sol au repos se
rencontre lorsque l’écran est
réputé fixe ou supposé très rigide
: c’est l’équilibre de Rankine.

La contrainte horizontale h s est supposée


proportionnelle à v s , elle-même proportionnelle à l
a profondeur z (voir la section
précédente).
On obtient donc une répartition de contrainte
croissante le long du mur de soutènement telle que :
avec K0 coefficient
des terres au repos.
Le cas du sol en état de poussée est le cas le
plus fréquent : il suffit que l'écran se soit
légèrement avancé (déplacement de
1/1000 de la hauteur h ) réduisant ainsi
les contraintes horizontales appliquée par le sol.
Un tel cas est très courant puisque
une légère déformation de l’écran ver l’extérieur
suffit à mobiliser cet état de poussée.
La contrainte horizontale hs reste malgré tout
proportionnelle à vs , elle-même toujours
proportionnelle à la profondeur z
On obtient donc une répartition de contrainte
croissante le long du mur de soutènement :

avec Ka coefficient de poussée (l’indice « a »


signifie « actif » : le massif de terre est
actif et pousse l’écran de soutènement).

A l’extrême (si le mur avance de manière très importante ou est détruit), le massif de sol ne sera plus soutenu
et, dans le cas d’un sol pulvérulent, se rompra suivant une ligne de rupture caractéristique orientée de
Par rapport à l’horizontal
Le cas du sol en état de butée est plus difficile à
obtenir : il faudrait que l’écran se soit sensiblement
reculé augmentant ainsi les
contraintes horizontales appliquées par le sol.
Pour solliciter un sol en butée, le déplacement doit
être assez grand (10 fois plus que
pour l’état de poussée), cas peu probable dans le
cas d’un écran ayant plutôt tendance à se déplacer
vers l’extérieur.
La contrainte horizontale h s reste malgré tout
proportionnelle à v s , elle-même proportionnelle
à la profondeur z.
On obtient donc une répartition de contrainte
croissante le long du mur de soutènement telle que :

avec K p coefficient de butée (l’indice « p » signifie « passif » :


le massif de terre est
passif et s’oppose au recul de l’écran de soutènement).
Stabilité des murs de soutènement :

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