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Finance et Gestion
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9 Ao Sep Oct Nov
Les documents
Sommaire transparents
8. Typologie de crises.
• Prudence
• Non-compensation
• Continuité de l'exploitation
1083 / FB1
Analyse des variations de la trésorerie
dans une entreprise saisonnière
Francs
70
BFR BFR BFR Evolution
décroissant croissant décroissant de BFR
60
50
40
30
Remboursement Réalisation Mise en place Distribution Evolution
d’un CMT d’un investissement d’un nouveau CMT de dividendes du FR
20
10
0
J F M A M J J A S O N D
- 10
- 20
Trésorerie Trésorerie Trésorerie Evolution
négative positive négative de la T.
- 30
BFR > FR BFR < FR BFR > FR
- 40
1095 / FB1
Les zones de risques
6. La rentabilité de l’entreprise
1100 / FB1
Intérêts et
limites des ratios
1104 / FB1
Ratios
Intérêt
• Mesure synthétique des performances et du risque
Du bon usage
• Analyse sur 3 ans minimum
• Analyse en inter-action :
VA VA CI
Exemple = x
Effectif CI Effectif
X (compte de résultat)
améliore les rapports
Y (bilan)
• Notions : VA ?
MBA ?
Cash flow ?
Fonds propres
• Appartenance à un groupe
1104 / FB1
Tableau
Emplois / Ressources
Objectifs :
1110 / FB1
∆ FR = B - A
EMPLOIS RESSOURCES
A B
∆ BFR = C - D
C D
∆ T = ∆ FR - ∆ BFR
=E-F
E F
1110 / FB1
Tableau de flux
Objectifs :
Flux d'exploitation
Flux financiers
Flux exceptionnels
1110 / FB1
Objectifs et limites du scoring
Objectifs :
Utiliser une combinaison de ratios, ou de grandeurs qui permettent de
probabiliser le risque de défaillance.
Intérêts :
• Rapide,
Limites :
• Des tests statistiques montrent que de nombreuses entreprises classées
défaillantes vivent encore deux ans après.
⇒ s’analyse en tendance.
⇒ si possible, utiliser plusieurs scores simultanément.
1117/ FB1
Croissance et crises
d’entreprise
• Les situations de crises financières
• Les défaillances d’entreprise
1118 / FB1
1118 / FB1
Typologie de crises
1119 / FB1
Diagnostic - Cas 1 : Crise de croissance
Argent
Croissance trop rapide par rapport à la
rentabilité dégagée.
1119 / FB1
Diagnostic - Cas 2 : Crise de gestion
Argent
Le besoin en Fonds de Roulement
augmente plus vite que le chiffre d’affaires.
EXEMPLE :
BFR
Stockage à la suite de ralentissements des
ventes, allongement des délais de Trésorerie < 0
paiement clients, etc. FR
FR
REMEDES : Trésorerie > 0
Temps
1119 / FB1
Diagnostic - Cas 3 : Mauvaise politique financière
Argent
Investissements réalisés sans recours à un
financement à moyen ou long terme.
REMEDES :
FR
BFR
• faire le diagnostic de l’investissement,
Temps
1119 / FB1
Diagnostic - Cas 4 : Crise de rentabilité
Argent
Temps
1119 / FB1
Diagnostic - Cas 5 : Baisse d’activité
Argent
Le chiffre d’affaires diminue ainsi que la
rentabilité qui devient négative.
1119 / FB1
Les causes de défaillance
des entreprises
1120/ FB1
1. Causes de défaillance
"structurelles"
63,4 %
• Autres
1120/ FB1
2. Causes de défaillance
"conjoncturelles"
36,6 %
• Malversations
• Autres
1120/ FB1
La lente marche vers la
défaillance
Extrait d'une étude du crédit national
Par f. Mader
VI. Au total, ces sociétés enregistraient en moyenne des pertes depuis 5 ans
VIII. Le fonds de roulement net devient insuffisant les trois dernières années
(par rapport au besoin en f de r)
IX. Ces sociétés sont trop endettées, mais surtout les deux dernières années.
1120/ FB1
4 types de causes
• La disparition du marché
1120/ FB1
L’effet de levier et
croissance équilibrée
• Le rapport entre risque et rentabilité
• L’analyse du risque de structure
financière
• Le niveau optimum d’endettement
1123 / FB1
Rentabilité du capital investi
Bénéfice net
Fonds propres
• Pour l’entreprise
B ∆ CA
≥
FP CA
∆ FP B. en réserves + ∆ Capital ∆ CA
= ≥
FP FP CA
Remarque :
1124 / FB1
B B CA Passif
= x x
F.P. CA Actif F.P.
Rentabilité
d’exploitation
(marges)
Gestion
des actifs (rotation)
1124 / FB1
La contrainte de l’effet
de levier financier
Bénéfice net DT
__________ = RE + ___ x (RE - I) (1 - t)
Fonds propres FP
Où t = Taux d'IS
RE = Taux de rentabilité des capitaux investis
DT = Dette financière totale
FP = Fonds propres
I = Taux d'intérêt
1125 / FB1
Le recours à l’endettement financier amplifie les variations du taux de
rendement de l’actif (les capitaux investis) sur le taux de rentabilité des fonds
propres. Cet effet joue à la hausse comme à la baisse, on parle alors « d’effet
de massue ».
Conséquences
lorsque le rendement des actifs est faible, ou très fluctuant en raison du poids
de coûts fixes par exemple, le financement par fonds propres est préférable.
1125 / FB1
Conduite de l’analyse
financière et diagnostic
financier
1128 / FB1
Analyse financière - Démarche générale
A l'aide d'une Guidé par des données
Sur la base de… ➤ méthodologie propre… ➤ quantitatives et qualitatives ➤ Déboucher sur un avis
BILAN N
N-1
N-2
ÉQUILIBRE Perspectives
FINANCIER de l'entreprise
• Les zones
de risques
• Risque financier
RISQUE
➤ Traitements
spécifiques ➤ SOLVABILITÉ
QUEL JUGEMENT
PORTER SUR
• Risque de faillite
• Rentabilité des
+ L'ENTREPRISE fonds propres
COMPTE DE RÉSULTAT
19 N
19 N-1 • T.S.I.G.
• Ratios RENTABILITÉ Environnement
19 N21 • Analyse et mesure extérieur
de mouvements financiers
(Flux)
• mise en évidence de
• Situation des concurrents
données structurelles
• Perspectives du secteur
(FDR, BFR,…)
• Environnement
économique général
+
ANNEXE COMPTABLE
1129 / FB1
Une approche commune de base...
1130 / FB1
Court terme : crédit client, crédit à court terme
1130 / FB1
On pourra définir une batterie de clignotants de risque reposant sur des critères quantitatifs
financiers ou non et qualitatifs
Exemple :
critères qualitatifs
- portefeuille produit et qualité des produits
- ambiance sociale
- outils de gestion
- qualité de la direction
- ...
1130 / FB1
Moyen terme : Crédit à moyen terme
1130 / FB1
Long terme : Achat d'entreprise ou d'action
1130 / FB1
Plan d’analyse financière
(Exemple)
C
Historique
O
M
P
R Répartition du capital
Forme juridique
E Organigramme si groupe
H
E
N Les produits
Les métiers
S
La concurrence
I Le marché
O Les perspectives de l’entreprise
sur ses marchés
N
1131 / FB1
Les capacités de productions
A
Les hommes
Le cycle d’exploitation
N
La profitabilité de l’activité et
A rentabilité :
1131 / FB1
P
E
R
Investissements à réaliser / Stratégie
S mise en œuvre
P
Tableau de financement prévisionnel
E
C Ratios prévisionnels
T
I
V
E
S
Evaluation
Crédit Décision
Prise ou renouvellement Avis
d’investissement
d’une quote-part dans la au capital
dette
1131 / FB1
Les spécificités de l'analyse des
comptes consolides
Inco
nvé = Comparaison difficile I secteur
nien options de consolidation et conglomérat des
t activités.
• Devises: Bilan
Cours de clôture ou cours historique et
Cours clôture pour éléments monétaires
Compte de résultat
Cours de clôture ou cours moyen.
1134/ FB1
• Crédit-bail : Intégration en actifs immobilisés et dettes.
1134/ FB1
&URLVVDQFHH[WHUQHHWFRQVROLGDWLRQ
Impacts financiers de la survaleur
1135/ FB1
13. Évaluation d’entreprise
Sommaire documentation
1082 / FB1
Extrait
« Code de Commerce »
1084 / FB1
Sous-sommaire documentation
1085 / FB1
Analyse des postes du bilan
1086 / FB1
L'analyse financière permet d’étudier l’équilibre au sein du patrimoine d’une
entreprise entre ses emplois et ses ressources, et plus spécialement entre :
Avant toute analyse financière, il faut donc retraiter l’ensemble des rubriques
du bilan pour leur donner un caractère plus proche de la réalité.
• correction de valeur,
12 - ACTIF IMMOBILISE
1086 / FB1
121 - Immobilisations incorporelles
En conclusion
c) Concessions, brevets, licences, marques, procédés, etc ... ont leur valeur
fondée sur :
• un savoir-faire ou renom
• une protection juridique limitée dans le temps et l’espace.
• la valeur du "droit au bail" repose sur la modicité des loyers payés, ainsi
que sur le contrat établi entre le bailleur et le preneur, protégeant ce
1086 / FB1
dernier contre toute intention d’éviction (le droit au bail est en général
nul pour les sociétés industrielles).
13 - IMMOBILISATIONS CORPORELLES
POSITIONNEMENT :
VALORISATION :
La seule correction à effectuer sur cette rubrique va être une correction sur
la valeur comptable des immobilisations : en effet, selon les principes du
plan comptable général, les biens sont évalués au "coût historique" c’est-à-
dire à la date à laquelle le bien est entré dans le patrimoine de l’entreprise.
Entre cette date et la date de l’analyse, ce bien aura peut être été en partie
amorti. La valeur du bien aura évolué.
1086 / FB1
En conclusion :
R emarques :
14 - IMMOBILISATIONS FINANCIERES
POSITIONNEMENT :
1086 / FB1
VALORISATION :
15 - ACTIF CIRCULANT
a) Stocks :
Règles comptables :
1086 / FB1
L’examen critique de ce poste est assez délicat ; en particulier pour
un tiers extérieur à la société. L’analyste extérieur peut déceler des
anomalies en examinant l’évolution des stocks sur plusieurs exercices
par rapport au niveau d’activité (mesuré par le chiffre d’affaires), une
bonne connaissance de la profession et le sens psychologique sont
également des éléments précieux.
POSITIONNEMENT :
VALORISATION :
1086 / FB1
d) Créances diverses :
Ce poste se décompose en :
POSITIONNEMENT :
• au cycle d’exploitation,
• à l’actif circulant acyclique (moins d'un an),
• à l’actif immobilisé.
VALORISATION :
g) Disponibilités
1086 / FB1
16 - COMPTES DE REGULARISATION - ACTIF
Ce poste est une moins value qui a dû être provisionnée par une
provision pour risque (sauf si l’entreprise est déjà couverte contre le
risque de change). Il ne s'agit donc pas d'une non-valeur. On doit juste
corriger l'actif ou le passif concerné de l'écart.
1086 / FB1
II - LE PASSIF : L’ORIGINE DES FONDS
a) Capital
Si le capital souscrit n’est pas entièrement versé, on dit qu’il n’a pas
été "appelé" en totalité ou encore qu’il n’est pas entièrement "libéré".
c) Ecarts de réévaluation
10
1086 / FB1
d) Réserves
e) Report à nouveau
f) Le résultat de l'exercice
g) Subventions d'investissements
11
1086 / FB1
22 - LES PROVISIONS POUR RISQUES ET CHARGES
Elles pourront donc être considérées comme des dettes à long terme, et
quelquefois comme des dettes à court terme.
23 - DETTES
On peut distinguer :
Si ces dettes sont à plus d’un an, elles seront assimilées aux dettes
long terme.
12
1086 / FB1
d) Autres dettes
Ce poste est une plus value latente qui vient en augmentation des
capitaux propres si l'entreprise n'est pas couverte contre le risque de
change.
13
1086 / FB1
Présentation d'un bilan retraité
ACTIF PASSIF
Divers actifs à court terme hors exploitation Avances et acomptes sur commandes en cours
Capital souscrit appelé non versé Dettes fournisseurs
Valeurs mobilières de placement Dettes fiscales et sociales
Disponibilités Autres dettes
Produits constatés d'avance
14
1086 / FB1
Bilan patrimonial
Bilan fonctionnel
1087 / FB1
BILAN PATRIMONIAL BILAN FONCTlONNEL
1087 / FB1
Bilan fonctionnel
ACTIF PASSIF
autofinancements cumulés
réserves
provisions (-15 latents éventuellement)
Total A Total B
1087 / FB1
BFR = Actifs circulants liés à l'exploitation (montants bruts)
1087 / FB1
Bilan patrimonial
ACTIF PASSIF
• Dividendes à payer
1087 / FB1
Présentation financière du
bilan et définition de base
1093 / FB1
Analyse des bilans
CAPITAUX PERMANENTS
Immo. Incorporelles
Immo. Corporelles
Immo. Financières
IMMOBILISATIONS
FONDS DE ROULEMENT
Stocks
Clients (+ escompte)
Autres actifs d’exploitation
ACTIF D’EXPLOITATION
Fournisseurs
Autres passifs d’exploitation
PASSIF D’EXPLOITATION
TRÉSORERIE
TRÉSORERIE
1093 / FB1
Tableau : Bilans
Présentation
Le tableau dégage les principaux éléments explicatifs de votre équilibre
financier : fonds de roulement, trésorerie.
FR = CP - IN
BFR = AC - DCT
1093 / FB1
TRESORERIE NETTE
=
Fonds de roulement - Besoin en fonds de roulement
IMMOBILISATIONS FONDS
NETTES PROPRES
ENDETTEMENT FONDS DE
ROULEMENT
A TERME
STOCKS FOURNISSEURS
AUTRES DETTES A CT
CYCLIQUES
CLIENTS
BESOIN EN
AUTRES ACTIFS F.D.R.H.E.
CIRCULANTS
CYCLIQUES
DISPONIBLE
EXIGIBLES TRÉSORERIE
1093 / FB1
Définitions
soit :
soit :
= Disponible
- Exigible
soit :
= Banque
+ Placements CT
- Crédits de trésorerie
+ ou - Divers hors exploitation
1093 / FB1
Analyse des postes
du compte de résultat
1096 / FB1
Les observateurs extérieurs (banquiers, fournisseurs, clients, acheteurs
potentiels, actionnaires) ne limitent pas l’analyse d’une société à l’étude de
l’équilibre de son bilan (équilibre entre ses emplois et ressources). En effet
pour survivre et se développer, toute entreprise doit dégager chaque année un
excédent financier qui lui permettra de rembourser ses dettes et d’investir.
L’analyste financier va donc essayer de mesurer l’excédent financier d’une
entreprise à partir du compte de résultat. Pour apprécier la rentabilité de celle-
ci l’analyste va comparer le résultat dégagé par l’entreprise avec les moyens
économiques et les moyens financiers mis en œuvre pour le réaliser.
1096 / FB1
1 - Charges et produits d’exploitation
1096 / FB1
12. CHARGES D’EXPLOITATION
Ce poste inclut :
1096 / FB1
d) Impôts, taxes et versements assimilés : ce poste comptabilise l’ensemble
des impôts payé par l’entreprise, à l’exception de l’impôt sur les bénéfices.
f) Dotations d’exploitation :
• sur immobilisations,
• sur actif circulant (clients et stocks),
• pour risques et charges : il s’agit par exemple de provisions pour
litige, pour perte de change, etc. (cf. : liasse fiscale DGI 2056).
Ces dotations d’exploitation sont des charges qui ne donnent pas lieu à des
décaissements immédiats.
1096 / FB1
2 - Charges et produits financiers
• des reprises sur provision qui ont été trop dotées au cours des
années précédentes, ou dont le risque est maintenu connu,
1096 / FB1
22. CHARGES FINANCIÈRES
Ce poste comprend :
Le résultat financier est obtenu par différence entre les produits et les charges
financières.
1096 / FB1
3 - Charges et produits exceptionnels
Ce poste enregistre :
• les reprises sur des provisions réglementées selon des règles fiscales
précises,
• les reprises sur des provisions exceptionnelles qui ont été dotées au
cours des exercices précédents,
• les transferts de charges.
1096 / FB1
b) Charges exceptionnelles sur opérations en capital.
Ce poste enregistre :
1096 / FB1
4 - Bénéfice ou perte
Cette rubrique s’obtient par différence entre la totalité des produits et des
charges (dont les impôts sur les Sociétés et la participation).
Conclusion :
10
1096 / FB1
Tableaux
Analyse de la rentabilité : S.I.G.
Marge brute d'autofinancement
et capacité d'autofinancement
1097 / FB1
Analyse de la rentabilité (S.I.G. retraités)
1097 / FB1
MBA et CAF
+ autres produits
- autres charges
CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT
CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT
1097 / FB1
Capacité d’autofinancement
EBE
+ Transferts de charges
+ Autres produits d’exploitation
+ Quote-part de résultat sur opérations faites en commun
+ Produits financiers (sauf reprises sur provisions)
+ Produits exceptionnels (sauf produits sur cessions, reprises, quote-part
des subventions virée au résultat)
- Autres charges d’exploitation
- Charges financières (sauf dotations aux amortissements et provisions)
- Charges exceptionnelles (sauf dotations et charges sur cession, c-à-d
VNC des immobilisations cédées)
- Participation des salariés
- Impôts sur les bénéfices
CAPACITÉ D’AUTOFINANCEMENT
Résultat net
CAPACITÉ D’AUTOFINANCEMENT
1097 / FB1
Solde intermédiaire de gestion :
Signification
1 - La marge commerciale :
• des prix,
• des consommations de marchandises vendues,
• des coûts d’achat des marchandises vendues,
• de mix produits.
2 - La production de l’exercice :
1098 / FB1
2bis - La notion de marge brute :
Détermination : Production
- achats de la période (matière et autres approvis.)
+/- stocks matières premières
= marge brute
1098 / FB1
Intérêt : L’E.B.E. traduit la richesse économique générée par l’exploitation : il
doit être considéré comme une rémunération du capital investi. Par ailleurs, il
est un résultat sur ventes avant toute politique financière, avant impôt, avant
prélèvements exceptionnels.
Dans une approche d’analyse financière, il nous sera utile de suivre l’évolution
de cet E.B.E. dans le temps ainsi que des charges salariales.
6 - Le résultat courant
7 - Le résultat exceptionnel
8 - Le résultat net
1098 / FB1
La capacité d’autofinancement - C.A.F.
Cette notion n’est pas comptable. La M.B.A. est proche de la C.A.F. Elle est
constituée par le résultat et le montant des amortissements et des provisions à
caractère de réserve.
Ex. : Une provision sans caractère de réserve = provision sur créance client.
1098 / FB1
L’image fidèle
des comptes
1099 / FB1
Analyse financière
Check-list « Audit financier »
1101 / FB1
L’approche par
les ratios et ses limites
1102 / FB1
Sous-sommaire documentation
1092 / FB1
19.. 19.. 19..
0. ACTIVITE
01. CAn- CAn-1
CAn-1
02. VAn- VAn-1
VAn-1
1. PRODUCTIVITE
11. Production / Effectif (en KF)
12. Valeur ajoutée / Effectif (en KF)
13. Frais de personnel / Effectif (en KF)
14. Amortissements / Immobilisations brutes (en %)
15. Frais de personnel / Valeur ajoutée (en %)
16. Immobilisations corporelles brutes / Effectif
17. Investissements corporels / Valeur ajoutée
2. RENTABILITE D'EXPLOITATION (en %)
21. Marge brute / CA
22. Excédent brut d'exploitation / CA
23. Frais financiers / CA
24. MBA / CA
25. Résultat d'exploitation / CA
26. Résultat net / CA
3. RENTABILITE DES CAPITAUX INVESTIS (en %)
31. Résultat net / Situation nette
32. Résultat d'exploitation
________________________
Immobilisations brutes + BFR
4. ANALYSE DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT
41. BFR / CA x 360
42. Délais de stockage (en jours de CA H.T.)
43. Délais clients (en jours de CA T.T.C.)
44. Délais fournisseurs (en jours d'achat T.T.C.)
5. EQUILIBRE FINANCIER
a) Fonds de roulement (FR)
51. FR / CA x 360
52. Endettement à terme / Fonds propres
53. Fonds propres / Passif total (en %)
54. Frais financiers / Dette Financière (en %)
55. Endettement à terme + Prêts participatifs
Marge brute d'autofinancement
b) Trésorerie
56. (Dette bancaire à court terme - Disponible) x 360
CA
57. Frais financiers
( en %)
EBE
58. Dette bancaire CT
( en %)
Clients + EENE
1092 / FB1
Tableau : analyse des ratios
• de productivité,
• de rentabilité (d'exploitation et financière),
• d'analyse du besoin en fonds de roulement;
• de structure financière.
AUTO-
RATIOS DEFINITION ELEMENTS DE DIAGNOSTIC
COMPARAISON Favorable Neutre Défav.
1. PRODUCTIVITE
11. Production Production par A comparer
F N D
__________ personne éventuellement au ratio
des concurrents
Effectif
12. Valeur ajoutée Productivité du
____________ personnel : richesse Idem
Effectif créée par emploi F N D
1092 / FB1
AUTO-
RATIOS DEFINITION ELEMENTS DE DIAGNOSTIC
COMPARAISON Favorable Neutre Défav.
2. RENTABILITE
D'EXPLOITATION
Taux de marge - Surtout significatif
21. Marge brute
commerciale. pour les entreprises
______________
Degré d'intégration de négoce, F N D
Chiffre d'affaires ou commerce.
Production - Dépend du secteur
d'activité : activités
plus ou moins
transformatrices.
22. Excédent brut - En général 7 à 20 %.
d'exploitation Taux de rentabilité de - Très significatif pour
______________ l'exploitation courante les entreprises F N D
Chiffre d'affaires ou industrielles
Production
23. Frais financiers
______________ Importance des frais <3% 4%
financiers dans le CA. F N D
Chiffre d'affaires ou
Production
24. MBA Rentabilité globale de
______________ l'exploitation taux En général 3 à 10 %.
Chiffre d'affaires ou d'autofinancement F N D
Production dégagé (après IS).
1092 / FB1
AUTO-
RATIOS DEFINITION ELEMENTS DE DIAGNOSTIC
Favorable Neutre Défav.
COMPARAISON
(cocher une case)
25. Bénéfice
d'exploitation Rentabilité Comparaison avec les
______________ d'exploitation concurrents. F N D
Chiffre d'affaires ou
Production
3. RENTABILITE DES
CAPITAUX A comparer
INVESTIS - Au taux d'érosion
31. Bénéfice net - Rentabilité des fonds monétaire
______________ propres - Au taux de croissance F N D
- Rentabilité financières moyen du chiffre
Situation nette
d'affaires
- Au taux des
obligations de 1ère
catégorie
32. Résultat - Taux de rentabilité A comparer au taux
d'exploitation interne nominal de moyen du loyer de
______________ l'exploitation l'argent F N D
Immo. brutes + BFR (rentabilité
économique de l'actif
d'exploitation)
4. ANALYSE DU
BESOIN EN
FONDS DE
ROULEMENT
41.Besoin en fonds de - Besoin de trésorerie Analyse particulière à
roulement brut du cycle d'exploitation mener pour les
______________ (achat-production- activités saisonnières
Chiffre d'affaires vente) avant tout
financement F N D
bancaire.
- S'établit en % du CA
ou en nombre de
jours de CA (en
multipliant le ratio par
360) pour dégager la
durée moyenne du
cycle
1092 / FB1
AUTO-
RATIOS DEFINITION ELEMENTS DE DIAGNOSTIC
Favorable Neutre Défav.
COMPARAISON
(cocher une case)
43. Clients en jours de - Délai de - A comparer aux
ventes TTC recouvrement des conditions standard
créances de délai-clients de F N D
- Calcul l'entreprise
360 x clients
Ventes TTC
44. Fournisseurs en - Délai de paiement des - A comparer aux
jours d'achat TTC fournisseurs conditions standard
- Calcul de crédit-fournisseurs F N D
360 x fournisseurs de l'entreprise
Achat TTC
5. EQUILIBRE
FINANCIER
a) Fonds de roulement
51. Fonds de - Capacité de A comparer aux ratios
roulement financement du cycle 41 et 42.
______________ Achat-production-
Chiffre d'affaires vente.
- S'établit en nombre
de jours de CA (en F N D
multipliant le ratio par
360)
52. Endettement à Ratio d'indépendance - Pour la Banque de
terme financière ; poids de France MAX = 1
______________ l'endettement à terme - En moyenne, de 0,3 à F N D
Fonds propres par rapport aux fonds 0,8
propres
53. Fonds propres - Structure du passif - En général 20 à 40 %
______________ entre fonds propres et dans l'industrie <
Passif total dettes extérieures. commerce et services
- Tenir compte des F N D
éventuelles réserves
latentes de
réévaluation de l'actif
immobilier
54. Frais financiers Coût moyen de - A comparer au loyer
______________ l'endettement de l'argent.
Dette totale Note :DETTE TOTALE - A comparer au
= endettement à terme ratio 32 F N D
+ 100 % des prêts
participatifs
+ dette bancaire à court
terme
1092 / FB1
AUTO-
RATIOS DEFINITION ELEMENTS DE DIAGNOSTIC
Favorable Neutre Défav.
COMPARAISON
(cocher une case)
55. Endettement à - Capacité de - Norme bancaire < 3
terme remboursement des ou 5 maximum, si la
______________ dettes à moyen et dette est à long terme
MBA long terme F N D
Note : Les prêts
participatifs sont inclus
dans l'endettement à
terme pour 100 %.
b) Trésorerie - Importance de - Maximum 60 jours (lié
56. (Dette bancaire à l'endettement à court aux délais clients)
court terme - terme.
disponible) - Ratio établi en F N D
______________ nombre de jours de
CA (en le multipliant
Chiffre d'affaires
par 360)
57. Frais financiers - Ratio de trésorerie - < 30 % bon
______________ relative. - > 50 % risque
EBE - Indicateur de la
capacité à faire face F N D
aux échéances
bancaires à court
terme.
58.Crédit à court terme - Part de la mobilisation - Maximum 50 à 60 %
______________ du compte-clients par
(client + effets des financements F N D
bancaires courts
escomptés)
(mobilisables ou non)
TOTAL F N D
1092 / FB1
Les ratios de la Centrale de bilans
de la Banque de France
1103 / FB1
Les approches
en terme de flux
• Tableaux de flux financiers
• Tableaux d’emplois et de ressources
1109 / FB1
Sous-sommaire documentation
1111/ FB1
Tableaux simplifiés de calcul
des emplois / ressources
Distributions de dividendes
• incorporels
Investissements • corporels
• financiers
Réduction du capital
Dettes LMT
Leasings
RESSOURCES
M.B.A.
Emprunts nouveaux
Emprunts à LMT
Autres financements LMT
Autres ressources
Cessions d'immobilisations
Cessions financières
1111/ FB1
EMPLOIS N N+1 N+2
Disponibilités
V.M.P.
Autres
RESSOURCES
Disponibilités
V.M.P.
Autres
1111/ FB1
EMPLOIS N N+1 N+2
Stocks
Clients
Autres
Fournisseurs
Autres
RESSOURCES
Stocks
Clients
Autres
Fournisseurs
Autres
1111/ FB1
T.P.F.F.
Signification des soldes
1112/ FB1
T.P.F.F.
Signification des soldes
Activité économique
E < 0 E ∼ 0 E > 0
Activité financière
G ∼ 0 G > 0 G > 0
Forcing Financier. L’entreprise fait appel à L’entreprise finance sa croissance
Phase de démarrage, d’expansion. l’endettement pour se développer externe par ressources internes et
F > 0 Cette situation doit être temporaire. par croissance externe l’endettement.
(+ endettement). Temporaire.
Phase de restructuration.
G < 0 G ∼ 0 G > 0
L’entreprise finance son déficit Situation d’équilibre. L’exploitation génère des
d’exploitation par cessions d’actifs, C’est l’idéal si E est légèrement excédents, qui lui permettent des
opération en capital ... positif, F légèrement négatif. investissements financiers.
F ∼ 0 Situation qui peut devenir Temporaire.
préoccupante s’il n’y a pas de
rentabilité.
G < 0 G < 0 G ∼ 0
Situation de crise, de liquidation. L’entreprise ne génère pas Entreprise timorée.
F < 0 d’excédents. Elle finance le Phase de maturité.
remboursement de la dette par Risque de vieillissement, nécessité
cessions d’actifs, augmentation de d’investir.
capital.
Situation malsaine.
1112/ FB1
Le tableau pluriannuel est structuré en quatre parties.
Ventes
Production (H.T.)
Consommations
Matières premières
+ Sous-traitance
+ Autres consommations intermédiaires
________________________________
Consommation intermédiaire
+ Redevances pour brevets versés
Production
- Consommations
(y compris impôts et taxes)
_____________________
Valeur ajoutée
1112/ FB1
Valeur ajoutée
- Salaires
__________________________
Cette dernière grandeur est très voisine de l’excédent brut d’exploitation tel
qu’il est défini dans le plan comptable 1982 : elle fait ressortir le flux
résiduel de trésorerie réelle ou potentielle qui est sécrété par l’exploitation
et qui va servir de base de départ au tableau proprement dit.
2 - Informations complémentaires
1112/ FB1
II - LE FINANCEMENT DE CETTE CROISSANCE PAR LE
RESULTAT
Cette seconde partie comporte deux phases successives, qui démarrent
avec le résultat obtenu à la fin de la première partie.
2 - Solde d’exploitation
1112/ FB1
Cette approche, dans son second aspect, permet une vision globale des
financements purement internes de l’entreprise : le résultat brut
d’exploitation finance l’ensemble des besoins de l’exploitation, c’est-à-
dire les investissements corporel et incorporel et l’accroissement des
besoins de fonds de roulement induits par la croissance.
Solde financier = F
1112/ FB1
1) - Calcul du solde courant
Solde d’exploitation
- Solde financier
________________________________
Solde courant
2) - Eléments exceptionnels
Solde courant
- Dividendes
+ Revenus financiers
+ Produits de cession des actifs
+ Emissions de capital
+ Produits et charges exceptionnels
- Autres valeurs immobilisées acquises
____________________________________________________________
__
1112/ FB1
III - REMARQUES CONCERNANT CETTE METHODE
1 - Avantages
Cette méthode est axée sur la trésorerie de l’entreprise dont elle vise à
expliquer les variations dans une vision globale.
Elle met bien en évidence les conséquences financières de la
croissance de l’entreprise sur l’augmentation des besoins en fonds de
roulement.
Elle s’efforce de traiter l’inflation et ses conséquences sur l’évolution des
besoins de l’entreprise, même si son niveau d’activité en volume ne
varie pas.
2 - Discussion
• les impôts sur les bénéfices (sauf les acomptes versés), constituent
des flux de trésorerie de l’exercice suivant la période examinée et leur
impact ne se fait donc pas sentir sur la trésorerie de l’exercice,
1112/ FB1
Cela dit, cette méthode permet de mettre l’accent sur le fait qu’une partie
seulement du résultat brut d’exploitation se retrouve dans la trésorerie et
que celle-ci est bien la résultante de toutes les opérations (gestion - capital -
finance) de l’entreprise et l’élément principal de la continuité ou au contraire
de la cessation de l’activité.
1112/ FB1
Tableau pluriannuel des flux
financiers
VENTES
PRODUCTION (H.T.)
CONSOMMATION INTERMEDIAIRE
Matières premières
Sous-traitance
Autres consommations intermédiaires
VALEUR AJOUTEE
Croissance apparente
Inflation
Croissance réelle
FRAIS DE PERSONNEL
VARIATION NETTE DE
à Long et Moyen Terme
LA DETTE à Court Terme
TOTALE
- Frais financiers (et leasing)
= Solde bancaire
- Impôt sur les bénéfices
- Participation des salariés
F = SOLDE FINANCIER
G = E + F SOLDE COURANT
- Distribution des dividendes
+ Revenus financiers
+ Produits de cession
+ Emissions de capital
+ Autres Produits et Produits exceptionnels
- Autres valeurs immobilières acquises
= VARIATION DU DISPONIBLE
10
1112/ FB1
Tableau de flux
de la Banque de France
1113/ FB1
Tableau de flux Banque de France
N-2 N-1 N
E.B.E.
+ Produits financiers
+ Autres Produits d'exploitation
+ Transfert de charges
- Autres charges d'exploitation
+ Produits exceptionnels
- Charges exceptionnelles
(à caractère de flux et non «calculés»)
D - VARIATION DE TRÉSORERIE
= Variation des disponibilités
- Variation des crédits bancaires courants.
1113/ FB1
Une approche bancaire
d’analyse en flux de trésorerie
- Le Fitrex -
(Flux Internes de Trésorerie d’Exploitation)
1114/ FB1
I. Le pourquoi du FITREX
Tableau d'analyse d'origine bancaire, le FITREX répond à plusieurs
préoccupations dont certaines sont strictement bancaires :
• Les notions de cash-flow, M.B.A., sont souvent peu utiles pour l'actionnaire
et le banquier :
1114/ FB1
II. Le comment du FITREX = Construction pratique du tableau
Note : Les lignes entre parenthèses en majuscules correspondent à la
liasse fiscale et permettent la construction sur tableur.
• déterminer le FITREX,
1. Calcul du FITREX
− en frais financiers
(1/3 en C. Bail mobilier / 1/2 C. Bail immobilier).
1114/ FB1
• On corrige l'A.B.E du montant net de la variation du B.F.R d'exploitation
(Stocks + clients (+ Escompte) + charges constatées d'avance + avances et
acomptes versés) - (Avances et acomptes reçus + dettes fournisseurs +
dettes fiscales et sociales + produits constatés d'avance) - (Escompte +
autres crédits de mobilisation).
1114/ FB1
4. Le flux "d'ajustement" = le flux de trésorerie global
Dès lors que le FITREX < charges financières ou que le flux de trésorerie
disponible est insuffisant, l'entreprise ne va pas être en mesure de financier
ses investissements et emplois productifs.
C'est la raison pour laquelle elle devra trouver des ressources "d'ajustement" :
• cessions d'actifs,
1114/ FB1
N N-1 N-2
1 Production
3 Valeur ajoutée (3 = 1 - 2)
4 Frais de personnel
5 E.B.E (5 = 3 -4)
15 Dividendes
17 Cessions d'actif
18 Eléments exceptionnels
1114/ FB1
Les méthodes d’analyse
discriminante et
de scoring : Utilité et
degré de fiabilité
1115 / FB1
Sous-sommaire documentation
1116/ FB1
L'objectif des méthodes de crédit-scoring est d'établir une cotation des
entreprises permettant de les noter par rapport au crédit qu'elles pourraient
obtenir : crédit bancaire, crédit fournisseur... Le crédit scoring a donc pour but
d'exprimer, par une note synthétique, le risque de non remboursement d'un
crédit.
1116/ FB1
Nous avons donc choisi des fonctions discriminantes connues, qui ont été
construites à partir de groupes d'entreprises françaises, en prenant soin de les
compléter par un tableau qui retrace les probabilités de défaillance
correspondant aux différents scores.
1116/ FB1
Illustration géométrique
1116/ FB1
Le modèle de Collongues
Les ratios utilisés sont issus des documents financiers traditionnels de l'ancien
Plan Comptable, c'est-à-dire du bilan, du compte d'exploitation générale et du
compte des pertes et profits.
ou
R1 = Frais de personnel
Valeur ajoutée
R2 = Frais financiers
Chiffre d'affaires H.T.
R3 = Fonds de roulement
Total du bilan
1116/ FB1
Si l'on veut prendre comme seuil de décision le chiffre 1, il suffit d'écrire :
Z3 = 4,6159 R4 - 22 R5 - 1,9623 R6
R4 = Frais de personnel
Valeur ajoutée
R5 = Résultat d'exploitation
Chiffre d'affaires H.T.
1116/ FB1
Analyse des résultats
Si dans le cas d'une entreprise étudiée, Z2 et Z3 donnent un résultat
concordant (faillite ou bonne santé), on peut raisonnablement prendre une
décision avec le sentiment de diminuer le risque.
Si les deux scores donnent un diagnostic opposé, une étude plus poussée du
dossier s'impose. Il ne faut pas oublier, en outre, que les scores sont souvent
très proches des seuils de décision.
Prendre une décision sur la base d'un seuil fixe et invariant peut être
dangereux. Aussi, l'auteur conseille-t-il de retenir un intervalle de pertinence
qui peut être, par exemple de 0,95 à 1,05.
1116/ FB1
Le modèle de Conan et Holder
L'étude a été réalisée en 1978 et elle porte exclusivement sur les Petites et
Moyennes Entreprises industrielles. Elle considère un échantillon de 95 PMI
défaillantes et autant de saines. Les auteurs ont pris le soin d'équilibrer les
populations étudiées afin que, pour un secteur donné, il y ait un équilibre, en
nombre, entre les bons et les mauvais. Les mêmes précautions ont été prises
en ce qui concerne l'année de défaillance et la taille des entreprises.
où :
R1 = Réalisable et disponible
Actif total
R2 = Capitaux permanents
Passif total
R3 = Frais financiers
Chiffre d'affaires HT
R4 = Frais de personnel
Valeur ajoutée HT
1116/ FB1
Les modèles de Holder
où
1116/ FB1
Les ratios R1, R3 et R5 sont les plus significatifs et la fiabilité de la fonction est
satisfaisante.
Commerce de gros
où :
10
1116/ FB1
Transports
La fonction discriminante établie pour ce secteur d'activité, est la suivante :
où
R1 = Réalisable et disponible
Total du bilan (indice de mobilité ou de rigidité des actifs)
11
1116/ FB1
Tableau d'analyse des scores
12
1116/ FB1
Banque de France (1)
La méthode de détection élaborée par la Banque de France repose sur une première
fonction Z, commentée lors de la journée de la Centrale des bilans du 16.06.1983 (B.
MICHA et J. GHESQUIERE) complétée par 2 fonctions supplémentaires Y1 et Y2 (M.
BARDOS : cahiers économiques et monétaires de la BDF N° 19).
Constitution de l’échantillon
La Banque de France a mené ses travaux à partir de 6 échantillons
d'entreprises défaillantes pour 6 années et un sous-échantillon de 83
entreprises normales sur la période 1972 - 1979. Les entreprises concernées
appartiennent au secteur de l'industrie, sont soumises à l'impôt sur les sociétés
et emploient moins de 500 salariés. Elles sont classées en trois catégories :
• Les entreprises défaillantes : sont celles dont les difficultés ont été
sanctionnées par une procédure judiciaire, une disposition ou un
changement de personne morale. Elles sont observées pendant les 3
années précédant leur défaillance.
Fonctions obtenues
Le système de détection comprend 3 fonctions : Z, Y1 ou Y2 selon la valeur du
ratio FF/REB. Elles sont utilisées selon le schéma suivant :
_________________________________
(1) Voir note d'information N° 65 de la Banque de France de Septembre 1985 "La détection
précoce des difficultés d'entreprise par la méthode des scores".
13
1116/ FB1
- 0,25 < Z < 0,125 Z > 0,125
la situation de l'entreprise CALCUL DE Z l'entreprise a de forte chance
est incertaine d'être normale
Z < - 0,25
L'entreprise semble en difficulté
EXAMEN DE FF/REB
CALCUL DE Y1 CALCUL DE Y2
14
1116/ FB1
Utilisation
Le système de détection de la Banque de France comporte 2 étapes :
100 Z =
Z=
plus la valeur de la fonction est négative, plus l'entreprise risque d'être défaillante.
2ème étape : elle a pour ambition de déceler parmi les seules entreprises à mauvais
score (Z < - 0,25) celles qui iront jusqu'à la défaillance.
Y1 =
15
1116/ FB1
La fonction score Y2 a été élaborée sur le groupe des entreprises, caractérisée
par 0 < FF/REB < 215 %.
Coefficients Contribution
Ratios des Valeurs des ratios des
N° ratios ratios
des Année antérieure Année de la De Valeur au score
ratios au mauvais du mauvais fonction l'entreprise pivot 1 x (2 - 3)
score score -1- -2- -3- -4-
Y2 =
La fonction Y2 indique :
16
1116/ FB1
Les ratios de la centrale des bilans de
la banque de France (*)
STRUCTURES FINANCIERES
DYNAMISME
3
R7 Taux d'investissements physiques % 1 (investissements physiques) n-1+1
3
∑
i=1
Valeur ajoutée
(* ) Note d'information N° 65, Septembre 1985, pour bien saisir les modalités de calcul des
ratios. Voir également la note d'information N° 43 "Les ratios de la Centrale des Bilans de
la Banque de France".
(* *) Voir le tableau suivant.
17
1116/ FB1
N° Ratios Définitions (**)
RESULTATS
GESTION COURANTE
R15 Délai découvert clients jours Stocks de travaux en cours - Avances + Créances
Production
18
1116/ FB1
Détermination des agrégats
nécessaires au calcul des ratios des
fonctions scores
à partir de la liasse fiscale 2050 et s.
BANQUE DE FRANCE - Note d'information N° 65 - Septembre 1985
19
1116/ FB1
N° Agrégats nécessaires Informations utilisées Références à la
au calcul des ratios liasse 2050 et s.
21
1116/ FB1
N° Agrégats nécessaires Informations utilisées Références à la
au calcul des ratios liasse 2050 et s.
22
1116/ FB1
N° Agrégats nécessaires Informations utilisées Références à la
au calcul des ratios liasse 2050 et s.
23
1116/ FB1
Observations :
• Le score ne doit pas être calculé sur des entreprises affectées par des
opérations de restructuration qui perturbent trop les flux de l'exercice.
− des résultats,
− des investissements,
− des structures financières.
24
1116/ FB1
Eléments d'analyse complémentaire
tires de l'analyse Banque de France
• Une position de départ qui est la bonne santé ou le départ des difficultés.
a ) - Dans le temps.
L'analyse ayant été conduite sur une période de 8 ans (de 1972 à 1979) a
permis de tester 6 échantillons d'entreprises, chacun sur 3 années, soit au
total 18 fonctions discriminantes.
25
1116/ FB1
1. L'observation (ou la définition) de ratios
omniprésents
Cette catégorie comprend les ratios qui sont apparus quels que soient la
conjoncture et le stade du processus de dégradation.
b) - Ressources stables
Capitaux investis (couverture des capitaux investis) = 13 fois
c) - Dettes commerciales
Achats TTC (délai crédit fournisseurs) = 12 fois
d) - Capacité d'autofinancement
Endettement global (capacité de remboursement) = 10 fois
26
1116/ FB1
2. L'observation de ratios spécifiques du processus de
dégradation
Les ratios les plus discriminants ne sont pas les mêmes selon le délai séparant
la date de l'analyse de celle de la défaillance.
a) - à 3 ans de la défaillance
b) - à 2 ans de la défaillance
c) - à 1 an de la défaillance
On observe une forte dispersion des ratios : tous les clignotants commencent à
s'allumer. On note en particulier l'apparition de deux nouveaux ratios
symptomatiques :
L'activité décline.
27
1116/ FB1
Fréquence d'apparition des ratios par
année
Ratio précédant 3 ans 2 ans 1 an Total
la défaillance
Ratio
Frais financiers
Excédent brut d'exploitation 6 6 6 18
Ressources stables
Capitaux investis 5 5 3 13
Dettes commerciales
Achats TTC 2 5 5 12
Capacité d'autofinancement
Dettes financières 4 4 2 10
Investissements
Valeur ajoutée 4 1 1 6
Dettes financières
Capitaux propres 1 4 3 8
28
1116/ FB1
Le score AFDCC de défaillance
a 2 ans
Les contraintes
Afin d’optimiser l’utilisation de cet outil, le groupe de travail constitué par
l’AFDCC et rassemblant crédit managers, banquiers et étudiants d’universités
spécialisés en statistiques s’est fixé les contraintes suivantes :
• Utiliser le bilan et le compte de résultat seuls sans les annexes car celles-ci
sont souvent incomplètes.
29
1116/ FB1
La formule du score AFDCC
La formule score de l’AFDCC est établie à partir du bilan et du compte de
résultat de l’entreprise, sans utilisation de l’annexe.
L’AFDCC propose donc aux entreprises un outil simple qui permet de classer
leur clientèle en fonction du risque qu’elle présente. Les clients potentiellement
dangereux peuvent ainsi être rapidement identifiés et la politique crédit
adaptée à leur situation peut être mise en oeuvre sans délai.
30
1116/ FB1
Score AFDCC = Constante + Somme (Coefficient x Ratio borné)
0,57 Constante - -
- 0,0635 FFI / EBE 0* 100
0,0183 (Créances + Disponibilités)/Dettes 0 200
0,0471 CT - 25 100
- 0,0246 Capitaux permanents/Passif 0 100
0,0115 VA / CA - 100 100
0,0096 Trésorerie nette / CA (j) - 100 150
FDR / CA (j)
31
1116/ FB1
Comment calculer le score AFDCC
Documents requis
Il suffit d’obtenir les quatre premiers tableaux de la liasse fiscale (tableaux
n° 2050, 2051, 2052, 2053).
Démarche pratique
Les formules de ratios ont été déterminées à partir des lignes de ces liasses
fiscales.
FFI =
GR Frais financiers
EBE =
(1) Lorsque la ligne est composée de trois lettres dont la dernière est un N, cela signifie qu’il
convient de prendre le montant net.
32
1116/ FB1
Ratio 2 : (créances + disponibilités) / Dettes CT
Créances + Disponibilités =
Dettes CT =
Capitaux permanents =
DL Capitaux propres
+ DO Autres fonds propres
+ DR Provisions pour risques et charges
+ ED Ecarts de conversion passif
- AA Capital souscrit non appelé
- CN Ecart de conversion actif
- CM Primes de remboursement des obligations
+ DS Emprunts obligataires convertibles
+ DT Autres emprunts obligataires
+ DU Emprunts et dettes auprès des établissements de crédit
+ DV Emprunts et dettes financières divers
- EH Concours bancaires courants
Total passif =
EE Total passif
- AA Capital souscrit non appelé
- CN Ecart de conversion actif
- CM Primes de remboursement des obligations
33
1116/ FB1
Ratio 4 : VA / CA
VA =
TRS =
FDR =
DL Capitaux propres
+ DO Autres fonds propres
+ DR Provisions pour risques et charges
+ DS Emprunts obligataires convertibles
+ DT Autres emprunts obligataires
+ DU Emprunts et dettes auprès des établissements de crédit
+ DV Emprunts et dettes financières divers
- EH Concours bancaires courants
+ ED Ecarts de conversion passif
- BJN Actif immobilisé net
- AA Capital souscrit non appelé
- CL Charges à répartir sur plusieurs exercices
- CM Primes de remboursement des obligations
- CN Ecart de conversion actif
34
1116/ FB1
Résultats : Ils peuvent être synthétisés dans le tableau suivant :
Conclusion :
Avec un score à - 3, on aboutit à une probabilité de défaillance de 6 %.
Sachant que le risque normal se situe à 3 %, c’est donc un risque deux fois
plus élevé que le risque normal. Ce résultat n’implique pas automatiquement le
refus d’un tel client. Il est plutôt à interpréter selon le type de portefeuille clients
que gère le crédit manager et la politique générale de l’entreprise. Pour une
meilleure compréhension de ce résultat, l’AFDCC présente les diverses
utilisations de ce score.
35
1116/ FB1
Comment utiliser les
probabilités de défaillance
36
1116/ FB1
Mettre en place des règles de décision
La dernière utilisation des probabilités de défaillance que l’AFDCC propose est
la mise en place de règles de décision mettant en relation le score de
l’entreprise et le montant de l’encours envisagé avec le client (tableau ci-
après). Lorsque le score de l’entreprise est très bon et que donc sa probabilité
de défaillance est très faible, on accorde automatiquement le crédit sans autre
analyse du dossier. Lorsque le dossier est moyen, on accorde
automatiquement les petits encours tandis qu’une analyse plus poussée sera
réalisée pour les encours plus élevés.
Déciles 1 et 2 3 et 4 5 et 6 7 et 8 9 et 10
Probabilités
de défaillance 9,35 4,125 1,86 0,85 0,4
Valeur du
score S < - 2,57 -2,57 < S < 0,28 0,28 < S < 2,10 2,10 < S < 3,68 3,68 < S < 4,83
Encours
prévu
0 - 50 KO KO R1 OK OK
51 - 100 KO R2 R2 OK OK
101 - 150 R2 R2 R2 R1 OK
> 151 R2 R3 R3 R2 OK
OK : Acceptation du crédit
R1 : Prendre un renseignement base de données
R2 : R1 + analyse de bilan
R3 : Enquête d’investigation
KO : Refus de crédit
37
1116/ FB1
Prévision financière
Le besoin en fonds de roulement normatif et
les fonds propres normatifs
1122 / FB1
Sous-sommaire documentation
7. Prévision financière.
1121/ FB1
Les logiques de prévisions
. Stratégie
. Structures
GLOBALE
Rarement quantifiée
T-E-R
Utilisation des ressources BILANS
RENCE
. compte de résultats
1121/ FB1
Prévoir
1121/ FB1
• Prévision à long et moyen termes :
Objectifs :
∗ . en quantité
∗ . en valeur
Objectifs :
• Plan de trésorerie.
1121/ FB1
Les étapes
LA DÉTERMINATION DE LA STRATÉGIE :
• immatériels
Budget
corporels
1121/ FB1
Elaboration des comptes de résultat prévisionnels
(Résultat d’exploitation)
Frais financiers
Produits financiers à court terme
Révision des
choix en amont NON OUI Bilan prévisionnel
ou apport de OK Compte de résultat
capitaux propres prévisionnel
1121/ FB1
Evaluation du fonds de
roulement normatif
1166/ FB1
La méthode normative
Ce calcul est effectué à partir des délais d'écoulement physique des postes
circulants du bilan, obtenus par enquêtes statistiques, mesures physiques,
sondages, interviews, etc…
etc …
1166/ FB1
Exemples
1 - Les stocks
Achat HT
= 0,6
CA HT
CA TTC
= 1,2
CA HT
1166/ FB1
3 - Le crédit fournisseur
Admettons d'autre part que tous ses achats supportent la TVA calculée au taux
de 20 %.
Par exemple, si l'on suppose que l'entreprise évoquée précédemment n'a pas à
financer à l'actif d'autres postes que «stocks» et «clients» et ne bénéficie
d'aucune autre ressource cyclique que le crédit fournisseurs, son besoin en
fonds de roulement sera :
• stocks 33,0
• clients 60,0
• fournisseurs 64,8
1166/ FB1
N.B. : Bien entendu les postes peuvent indifféremment être exprimés en
pourcentage du CA HT. Ici :
• stocks 9,0
• clients 16,5
• fournisseurs 17,8
• BFR 7,7 % du CA HT
Après avoir pris en compte ces possibilités, on obtient une évaluation du fonds
de roulement dont doit disposer l’entreprise pour rendre sa trésorerie nulle en
moyenne, ou besoin en fonds de roulement net.
1166/ FB1
Modulation du fonds de
roulement
Il convient toutefois dans tous les cas de tenir compte de trois points :
1 - Facteurs saisonniers
Le calcul du besoin en fonds de roulement doit être réalisé pour les périodes
de pointe et celles de creux : le choix de fonds de roulement tiendra compte
ensuite notamment :
2 - Risque conjoncturel
Certaines entreprises ont une activité qui peut varier brutalement et sensi-
blement. Il est donc nécessaire dans ce cas de prendre une marge de garantie
supplémentaire pour couvrir ce risque.
3 - Relations bancaires
1166/ FB1
Utilisation de la méthode normative
comme un outil de gestion
L'entreprise doit donc mettre en œuvre les mesures qui lui permettront de se
rapprocher de cet optimum :
Diminuer BFR
Augmenter BFR
1166/ FB1
2 - A chacun des principaux éléments qui constituent le besoin en fonds de
roulement on doit normalement pouvoir faire correspondre le nom d'un
responsable : il est donc possible de fixer des objectifs qui permettront de gérer
efficacement les composantes du besoin en fonds de roulement.
∆ T ≥0 ↔ ∆ FR ≥ ∆ BFR
1166/ FB1
Niveau optimal d’endettement
Coût du capital
1127 / FB1
Niveau optimal d'endettement -
coût du capital
Un investisseur demande :
Rappel : 1) RN DT
= RE (RE - I) (1 - 1S)
CP CP
DT
= Ratio d'endettement, levier financier
CP
Fluxi
2) Valeur d'un actif : ∑ n
i=l
(1 + t)i
1127 / FB1
1ère conclusion :
Plus le taux d'endettement est élevé, plus la rentabilité des capitaux propres
est forte si RE > I.
2ème conclusion :
1127 / FB1
Question : Y a-t-il un rapport endettement / capitaux propres optimal
Théorie du MEDAF :
E (Ri) = RF + ( E (Rm) - RF ) x ßi
2) Coût de la dette :
3ème Conclusion :
3) Modigliani et Miller
On démontre que :
1127 / FB1
En effet, un investisseur rationnel ayant le choix entre acheter des actions
d'une société non endettée ( R = RE) ou une société endettée (effet
CP
levier), pourrait s'endetter à titre personnel de telle façon que le
rendement qu'il tirerait de l'une ou de l'autre entreprise soit identique.
Valeur de l'entreprise
Levier
Valeur à dette
nulle
A B Ratio d'endettement
Si l'on intègre les probabilités de défaillance d'un endettement mené trop loin,
l'entreprise doit alors faire un arbitrage entre :
• Les gains procurés par les économies d'impôts sur frais financiers
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Les comptes consolidés
et la spécificité
de leur analyse
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Sous-sommaire documentation
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Entreprises concernées
• Entreprises publiques :
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Processus de consolidation
- Retraitements
- Conversion
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Processus de consolidation
(suite)
Conséquences :
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Périmètre et méthodes de
consolidation
1133 / FB1
Périmètre de consolidation et
méthode à utiliser
Tableau récapitulatif des critères pour inclure une entreprise dans le champ de la consolidation.
Critères applicables aux Entreprises à inclure dans le Méthode à utiliser
entreprises liées à champ de la consolidation
la société-mère
Entreprises contrôlées par la
mère directement ou
indirectement ou avec
d'autres actionnaires :
• détention majorité capital Oui Intégration globale
• disposition majorité droits
de vote (contrôle de droit) Oui Intégration globale
• désignation pendant deux Oui Intégration globale
exercices successifs de la
majorité des organes
d'administration, de
surveillance ou de direction
(contrôle de fait) (*)
Entreprises sur lesquelles est
exercée une influence Oui Mise en équivalence
significative, ou pour
lesquelles au moins 20 % des
droits de vote sont détenus
par la mère
Société communautaire d'intérêts
(société sous contrôle conjoint Oui Intégration proportionnelle
avec nombre d'associés restreint)
Secteurs d'activité tellement Oui (sauf dérogation dans l'un Mise en équivalence des
différents que l'intégration des cas visés ci-dessus) sociétés du secteur d'activité le
globale fausserait l'image moins important, avec
fidèle de l'ensemble. présentation dans l'annexe
consolidée des comptes
individuels de ces sociétés, ou
d'une sous-consolidation de ce
secteur si l'importance le
justifie.
(*) Cette désignation est présumé si la consolidation dispose au cours de cette période, d'une fraction supérieure à 40 % des droits de vote et
qu'aucun autre associé ou actionnaire ne détenait, directement ou indirectement une fraction supérieure de la sienne.
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Pourcentage de contrôle et
pourcentage d'intérêt entre M et
F1 et F2
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Intégration globale
MODALITES
10
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Intégration proportionnelle
CONTROLE CONJOINT
MODALITES
11
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Mise en équivalence
INFLUENCE NOTABLE
MODALITES
12
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Principes généraux
d'établissement des comptes
consolidés (suite)
• Ils sont établis à la même date que les comptes annuels de la société
consolidante et concernant la même période.
◊ Contrôle par commissaire aux comptes ou, s'il n'en existe pas, par
un professionnel chargé du contrôle des comptes.
13
1133 / FB1
Règles générales d'évaluation
14
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Méthodes d'évaluation
complémentaires susceptibles
d'être utilisées
◊ Stocks.
15
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6. Les biens mis, par les entreprises consolidées, à la disposition des clients
par contrat de crédit-bail peuvent être traités comme s'ils avaient été
vendus à crédit (si la réalisation de la vente future peut être considérée
comme raisonnablement assurée).
9. Maintien des biens détenus par les organigrammes qui sont soumis à des
règles d'évaluation particulières à la valeur qui résulte de l'application de
ces règles (SICAV, fonds communs de placement, SCPI).
16
1133 / FB1
Retraitements des comptes
annuels
(pour les sociétés intégrées et
mises en équivalence)
◊ Subventions d'investissement
◊ Provisions réglementées
17
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Règles particulières
18
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Règles particulières (suite 1)
19
1133 / FB1
Règles particulières (suite 2)
20
1133 / FB1
L’évaluation de
l’entreprise
1136 / FB1
Sous-sommaire documentation
1137 / FB1
Les progiciels
d’analyse financière
1138 / FB1
1 - Les principaux logiciels
Mise à jour : Janvier 1998
ALPI FINANCE -
Tél. : 01 40 20 40 21 - Fax : 01 40 20 40 22
Internet : www.alpi-finance.com
1139 / FB1
La solution douce -
Tél. : 01 46 43 98 98 - Fax : 01 46 43 98 99
➠ Diagnostic de l’Entreprise
➠ Rapport de gestion
Version 3.95 sous Excel, Word pour PC ou MAC - Prix : 2 500 F HT.
➠ Business Plan
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➠ Finance expert system
Intellitec - Tél. : 01 46 65 33 40
Ordimega - Tél. : 01 42 67 52 56
1139 / FB1
L’expertise des budgets et d’un plan de trésorerie automatique sur 36 mois met
en exergue les conséquences économiques du choix des décideurs et suggère
des alternatives stratégiques.
Multilingue.
Analyse les trois dernières liasses fiscales de l’entreprise dans une perspective
financière, en retraitant les soldes intermédiaires de gestion, les masses
économiques du bilan, le plan de financement et une batterie complète de
ratios.
Mémorisation de 6 exercices.
Chaque ligne d’un tableau est expliquée et peut être visualisée sous la forme
d’un graphe d’évolution.
1139 / FB1
➠ Deciprev
Modélisation des prévisions financière, suivi des budgets, édition des états
financiers.
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2 - Les banques de données
Liste non exhaustive
MINITEL
AGL & DUN : 08 36 27 00 00
KOMPASS : 08 36 28 12 34 ou 3617 KOMPASS
SCRL PLUS : 08 36 28 19 97
EURODUN : 08 36 29 07 07
INFOGREFF : 08 36 29 11 11
SCRL Entreprises : 08 36 29 19 93
SCRL Finances : 08 36 29 50 00
3617 BIL
3617 BOTTIN
3617 EURIDILLE
3617 LESECHOS
3614 ORT (accès restreint)
3614 SCRL (accès restreint)
Disque optique
DIANE
KOMPASS
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Bibliographie
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Lexique des abréviations
1081 / FB1
A
ACTIF :
Il représente la voleur comptable des actifs moins les dettes exigibles. C'est le
patrimoine non réévalué de l'entreprise.
L'actif net comptable est corrigé des non valeurs, des plus ou moins values latentes
afin d'évaluer la valeur du patrimoine de l'entreprise.
Il s'agit des actifs et passifs à court terme. non financiers, et non liés à l'exploitation.
1081 / FB1
C
CAPITAUX INVESTIS :
Il s'agit de la somme des capitaux dont dispose une entreprise pour faire "tourner" son
entreprise.
CAPITAUX PERMANENTS :
Les capitaux permanents sont la somme des capitaux propres et des financements à
moyen ou long terme dont dispose une entreprise.
CAPITAUX PROPRES :
Il s'agit du capital social, des primes d'émission, fusion, des réserves, du report à
nouveau du résultat, des provisions réglementées et subventions d'investissement,
Ce solde apparaît au passif du bilan.
Solde calculé à partir du compte de résultat résultant des flux d'exploitation, financiers
et exceptionnels (hors plus ou moins values sur cession d'actifs). Il s'agit d'un
potentiel global de ressources propres. La capacité d'autofinancement n'est pas un
flux de liquidité.
CASH-FLOW :
CREDIT-BAIL :
Mode de financement d'un bien qui n'appartient juridiquement pas à l'entreprise, mais
dont l'entreprise peut devenir propriétaire au terme d'un contrat prévoyant une option
d'achat à prix déterminé.
1081 / FB1
D
Solde de trésorerie lié à l'exploitation calculé soit par différence entre les
encaissements et les décaissements d'exploitation (tableau de flux de trésorerie) soit
par la différence entre l'excédent brut d'exploitation et la variation du besoin en fonds
de roulement.
1081 / FB1
G
Valeur attribuée aux actifs incorporels qui peut être calculée en capitalisant le super-
bénéfice défini comme la différence entre la rentabilité de l'entreprise et le rendement
normal de l'actif net de l'entreprise.
HOLDING :
Maison mère d'une ou plusieurs sociétés ayant mission de gérer des participations.
IMMOBILISATIONS :
Rachat des titres d'une entreprise par création d'un holding qui aura recours à
différents modes de financement:
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M
Résultat net
+ Dotations aux amortissements
+ Dotations aux provisions ayant un caractère de réserve.
NON VALEUR :
Elément d'actif comptable considéré par les financiers comme ayant une valeur nulle
ou aléatoire.
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Q
QUASI-FONDS PROPRES :
Titre difficilement classable ni en fonds propres dont les droits attachés sont le droit
de vote et le droit au dividende, ni en dettes dont les caractéristiques sont le paiement
d'intérêt et le remboursement suivant des règles définies.
RESULTAT D'EXPLOITATION :
Solde du compte de résultat, lié aux activités courantes de l'entreprise calculé avant
impact de la structure de financement. Il est censé mesurer la rentabilité nette des
activités (après imputation des amortissements et provisions).
RESULTAT COURANT :
SITUATION NETTE :
= Capital social
+ Réserves
+ Report à nouveau
+ Résultat de l'exercice
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T
Production
- consommation
- autres charges externes (éventuellement retraites)
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