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Le Haïdouc

BULLETIN d’INFORMATION
et de LIAISON
de l’Association
des Amis de Panaït Istrati
– no 16-17-18 -
36e année
Printemps - Été 2018
Prix : 9 €

« … rajeunir, pour le prince des


vagabonds, à travers les ronces du
temps, la piste royale que, jadis,
tracèrent ses pas. »
Couverture d’Istrati ! II. L’écrivain par Golo, Joseph Kessel
éditions Actes Sud BD.
« Les trois contes de Kyra Kyralina composent
un admirable, un vigoureux, un puissant roman.
Je ne connais pas dans la littérature la plus
récente une œuvre aussi noble, aussi humaine,
aussi forte que celle d’Istrati. Cet homme nous
rapproche parfois du mystère. Mais c’est alors
qu’il nous rapproche aussi de la réalité. »
José Carlos Mariátegui, 18 juillet 1925
« Tout au fond de sa fable remue un sentiment
exalté de liberté, une aspiration désespérée à
la justice. Panaït Istrati, comme le proclame
Barbusse, est avant tout un révolutionnaire.
C’est là que ses livres trouvent un authen-
tique et salubre accent. Ils portent le signe
caractéristique de la force de leur créateur,
soucieux avant tout de vérité. »
José Carlos Mariátegui, 6 novembre 1926
« Je soupçonne que cette œuvre a déjà laissé sa
marque sur la littérature hispano-américaine. »
José Carlos Mariátegui, 18 août 1928
Sa sympathie pour le haïdouc se nourrit de ses
sentiments de hors-la-loi. Ces sentiments, qui
peuvent produire une œuvre d’art, sont essen-
tiellement négatifs quand il s’agit de passer
à une œuvre politique. »
José Carlos Mariátegui, 12 mars 1930
« Panaït Istrati est, en politique comme en
tout, un simple sentimental et, par consé-
quent, il change, se contredit et se répète à Portrait de José Carlos Mariátegui par Wirther Ventura.
sa guise, en fonction de ses impressions ultra
individuelles. »
César Vallejo, 1er juillet 1930
sommaire
Éditorial : roumaine de Fribourg-en-Brisgau (Allemagne),
D’un continent à l’autre ........................... p. 3 Les Lettres françaises, Le Monde diplomatique,
L’Observator cultural et România Liberă
Réception de l’œuvre de Panaït Istrati en Les librairies La Briqueterie (Nice), Contrebandes
Amérique latine (Toulon), Les Grandes Largeurs (Arles) L’Hydre
Panaït Istrati vu par deux intellectuels péru- aux mille têtes (Marseille), Kyralina (Bucarest), La
viens, José Carlos Mariátegui et César Vallejo Procure d’étincelles (Annecy), Quilombo (Paris)
(1925-1930) Le restaurant La Tête à Toto (Paris), le bistrot des
par Daniel Lefort .......................................... p. 4 Tilleuls (Annecy)
Le Festiv’Nation, festival de la BD à Paris, Festival
Quatre articles sur Panaït Istrati
de la BD et de l’illustration d’Uzès
par Carlos Mariátegui..................................p. 10
L’association Le Pont (Blois),
Panaït Istrati, politique et Un reportage en Les groupes Voleurs de Thrace et Zografi haïdouc
Russie, IX : À propos d’un pamphlet contre berrichon .................................................... p. 36
le Soviet
Brèves et variées
par César Vallejo......................................... p. 19
L’Académie de Sciences Économiques de Bucarest
L’œuvre de Panaït Istrati en Amérique latine et l’Université de Médecine et Pharmacie
par Pierre Rivas ...........................................p. 21 « Iuliu Hatieganu » de Cluj-Napoca, Actes Sud,
Gallimard, Golo et Birgit Schmidt, Voyage en
La critique littéraire au service de la révolu- Roumanie avril 2019 .................................. p. 39
tion : José Carlos Mariátegui lit son auteur
favori Panaït Istrati Activités de l’association
par Marco Thomas Bosshard ....................... p. 24 BNF, Jacques Baujard et Christian Delrue,
Librairie Kyralina (Bucarest), 28e Salon de la
Du côté des universités et de la recherche Revue (Paris), Heinrich Stiehler, Université
Marco Thomas Bosshard, Daniel Lefort, de Vienne (Autriche) et la Verlag für
Pierre Rivas ............................................... p. 35 wissenschaftliche literatur Frank
& Timme GmbH .........................................p. 41
Présence d’Istrati
Gilles Aboucaya, Radu Aldulescu, Octave Regards croisés
Avramescu, Bernard Baillaud, Sébastien Banse, Jack London (1876-1916) .......................... p. 32
Ulysse Baratin, Jacques Baujard, Christian Delrue,
Alain Dugrand, Simon Géliot, Golo, Amandine Lau- Notices bibliographiques
Banescu, Jean Lacoste, Linda Lê, Philippe Lançon, Lionel Duroy, Laurent Geslin et Jean-Arnault
Sidonie Mézaize, Arnaud de Montjoye, Dodo Niță, Dérens ........................................................ p. 43
Dan Ottiger Dumitrescu, Jean Paulhan, Mugur
Nos collaborateurs et nos amis publient
Popovici, Erna Redtenbacher, Elena-Brândușa
Dominique Fernandez, Michel Ionascu, Linda Lê,
Steiciuc, Heinrich Stiehler, Brigetoun, Gabriela
Jean-Jacques Marie, Monique Jutrin,
Toma, Thomas Vinau et Hans Wolff
Patrick Pécherot et Danièle Sallenave ......... p. 45
Les éditions ARCO (Allemagne), La Boîte à bulles,
Le Castor astral, L’Échappée et Libertalia Comité d’honneur ..................................p. 51
Les revues En attendant Nadeau, Études et do-
cuments roumains bulletin de la Bibliothèque Informations pratiques ......................... p. 52

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D’un continent à l’autre
Chères amies, chers amis,

À
plus d’un titre cette livraison du Haïdouc est exceptionnelle.
D’abord par les qualités des passeurs, José Carlos Mariátegui et César Vallejo, qui ont porté
l’œuvre du prince des vagabonds en Amérique latine.
Ensuite par les qualités de ceux qui ont rendu possible aux lecteurs francophones la connaissance de
leurs articles inédits, Pierre Rivas qui nous en avait confié une première approche en 1979 et aujourd’hui
Daniel Lefort grâce à qui nous devons ce « Haïdouc hispano américain » complété par la collaboration
d’un jeune universitaire allemand, Marco Thomas Bosshard. Nous les en remercions chaleureusement.
Enfin par la qualité et l’impressionnant déploiement d’activité éditoriale et de manifestations diverses
qui ont permis, tout au cours du premier semestre, de faire connaître l’œuvre de Panaït Istrati à un plus
grand nombre, et dont l’édition 2018 du Festival Istrati de Bucarest a été le point d’orgue : à défaut de
pouvoir citer ici toutes et tous qui y ont contribués vous les trouverez dans notre habituelle rubrique
« Présence d’Istrati ».
José Carlos Mariátegui a été le premier intellectuel d’Amérique latine à faire connaître l’œuvre d’Istrati
sur son continent en publiant d’abord dans les premiers numéros de la revue Amauta le récit de Spilca
le moine et ensuite par ses propres articles qui ne tarissent pas d’éloges sur l’art du conteur. César Vallejo
saluera lui aussi « le génial vagabond » mais ne lui consacrera que deux articles à propos de « l’affaire
Roussakov ». Tous deux lui font grief de son appréciation de l’URSS. Mariátegui et Vallejo reprochent à
Istrati son sentimentalisme et ne mesurent pas la portée de Vers l’autre flamme qu’ils réduisent à la ques-
tion de l’appartement du beau-père de Victor Serge. La mort prématurée de Mariátegui en 1930 vaut à sa
décharge car nul ne sait quelle aurait été son attitude face aux attaques dont Istrati a fait l’objet après la
publication de sa relation de voyage dans la Russie soviétique de 1928. De son côté Vallejo soutiendra
l’orientation stalinienne des partis communistes français et espagnol mais ne participera pas à la curée
contre Istrati. Leurs divergences avec Panaït Istrati demeurent dans le cadre du débat d’opinions. Il n’en
reste pas moins que, au-delà de cette querelle politique, le mérite éminent de José Carlos Mariátegui et
de César Vallejo est d’avoir fait connaître à tout un continent l’œuvre littéraire de Panaït Istrati.
Par ailleurs vous trouverez dans notre la rubrique « Activités de l’association » les indications néces-
saires concernant le don du manuscrit de Domnitza de Snagov à la BnF qui y a été déposé ce mois-ci.
Christian Delrue, Le 21 septembre 2018

À signaler pour celles et ceux de nos lecteurs qui souhaiteraient approfondir certaines des questions
abordées dans ce numéro :
– le numéro 1063-1064 de novembre-décembre 2017 de la revue Europe consacrée à César Vallejo.
– Ève-Marie Fell, « Représentations iconographiques de la nation dans Amauta, Pérou, 1926-1930 », in
Image et transmission des savoirs dans les mondes hispaniques et hispano-américains, collectif sld de Jean-Louis
Guereña, Presses universitaires François-Rabelais, Tours, 2007, [disponible en ligne].
– Isabelle Krzywkowski, « Amauta, l’Europe et les avant-gardes », in Europa ! Europa ? Études sur l’avant-garde
et le modernisme en Europe, p. 434-445, collectif sld Sascha Bru et Peter Nicholls, De Gruyter, Berlin, 534 p.,
2009, [disponible en ligne].
– par le lien <https://digital.iai.spk-berlin.de/viewer/toc/812949153/1/#LOG_0000>, vous pourrez
consulter et lire les numéros de la revue Amauta numérisés par l’Ibero-Amerikanisches Institut de Berlin.

3
Source : Ibero-Amerikanisches Institut de Berlin.
Site : <https://digital.iai.spk-berlin.de/viewer/toc/812949153/1/#LOG_0000>.

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Du cÔte Des uniVersitÉs
et De la recHercHe
MARCO THOMAS BOSSHARD
D octeur en philologie romane par l’Albert-Ludwigs-Universität Freiburg, spécialiste de la littérature
latino-américaine, Marco Thomas Bosshard est professeur à l’Europa-Universität de Flensburg.
Il est l’auteur de diverses publications sur l’avant-garde latino-américaine, sur le marché du livre en
Espagne, au Mexique et en Allemagne, ainsi que sur la jeune littérature espagnole. Durant dix ans, il
était également responsable du domaine ibérique aux éditions Klaus Wagenbach où il a réalisé en
2016 une réédition de Kyra Kyralina dans la traduction allemande de Oskar Pastior épuisée depuis plus
de quarante ans.

DANIEL LEFORT
P rofesseur agrégé, docteur en littérature française, spécialiste de littérature française et comparée
(surréalisme et domaine hispano-américain), Daniel Lefort a enseigné dans les universités de
Paris-Est Marne-la-Vallée et Paris-X Nanterre. Il a collaboré au séminaire de Ruth Amossy sur le sur-
réalisme à l’université de Tel-Aviv.
L’essentiel de sa carrière s’est déroulé à l’étranger dans le domaine culturel. Ancien directeur d’Al-
liance française à Hong Kong et à Buenos Aires, il a exercé la diplomatie culturelle au Nigéria, dans
plusieurs pays d’Amérique latine, dont le Pérou, ainsi qu’en Israël. Ancien directeur de l’Institut
français de Tel-Aviv et de l’Institut français d’Amérique centrale, il a été également directeur des rela-
tions internationales de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD, 2004-2010).
Parallèlement, il a poursuivi une activité soutenue de chercheur, de traducteur et de critique en or-
ganisant des colloques internationaux en littérature (« Avatares del surrealismo en el Perú y en América
latina », « Lautréamont et Laforgue, la quête des origines », « Nouveau monde, autres mondes : sur-
réalisme & Amériques », « Colloque Jules Supervielle »), et en publiant de nombreux articles et dos-
siers - notamment sur les écrivains et artistes latino-américains - dans les Cahiers de l’Herne, Esprit,
Commentaire et la revue Pleine Marge, dont il a été membre du comité de rédaction, ainsi que dans
les revues péruviennes Quehacer et Hueso Humero.
Dernièrement, il a été co-éditeur scientifique de la Obra poética completa du poète péruvien César
Moro dans la collection Archivos (Ed. CRLA, Université de Poitiers/Alción Editora, Cordoba,
Argentine, 2015) et de la Obra plástica du poète (éd. de la Academia Peruana de la Lengua, Lima,
Pérou, 2017). Il est le traducteur en français, avec Albert Bensoussan, du dernier roman de Mario
Vargas Llosa, Aux Cinq Rues, Lima (Gallimard, 2017) et d’autres titres à paraître.
Enfin, il collabore régulièrement par des notes de lecture à la revue en ligne En attendant Nadeau
et au blog de Pierre Assouline, larepubliquedeslivres.com.

PIERRE RIVAS
S pécialiste des littératures française, portugaise et brésilienne, traducteur du portugais, Pierre
Rivas a enseigné la littérature comparée à l’Université de Paris-X-Nanterre. Sa thèse de 1976,
Les relations littéraires entre la France, le Portugal et le Brésil de 1880 à 1930, l’a conduit sur les traces
de Valery Larbaud pour les études duquel il a dirigé en 2005 le n° 5 des Cahiers des Amis de Valery
Larbaud intitulé « Dernière tentation de Valery Larbaud : le Brésil ». Il a dirigé l’édition critique de la
publication française de Macounaïma ou le Héros sans aucun caractère de Mario de Andrade en 1996.
L’édition de son ouvrage, Littérature française-littératures lusophones : regards croisés, est parue en
2016 aux éditions Petra.

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comitÉ D’Honneur
Présidents d’honneur
Joseph KESSEL †, de 1968 à 1979
Roger GRENIER †, de 2012 à 2018

– Gabriela ADAMEȘTEANU, écrivain. – Margareta ISTRATI †, veuve de Panaït Istrati.


– Zamfir BĂLAN, historien de la littérature, – Mels de JONG †, journaliste.
directeur adjoint du Musée Carol I de Brăila, – Monique JUTRIN, auteur de Panaït Istrati, un
conservateur de la Maison Mémoriale Panaït Istrati chardon déraciné.
de Brăila. – Eleni-Samios KAZANTZAKI †, écrivain.
– Marcel BARBU †, fondateur des Communautés – Joseph KESSEL †, écrivain, président d’honneur
de travail, homme politique. de l’association de 1968 à 1979.
– Maurice BORN, sociologue, écrivain. – Armand LANOUX †, écrivain, membre de
– Bénigno CACÉRÈS †, écrivain, président de l’Académie Goncourt de 1969 à 1983.
Peuple et Culture de 1970 à 1973. – Michel LAUNAY †, professeur de littérature
– Maria COGĂLNICEANU, écrivain, enseignante. des universités, membre fondateur de la Société
– Henri COLPI †, cinéaste, réalisateur de Codine. d’études jaurésiennes.
– Roger DADOUN, philosophe, – Frédérique LEFÈVRE †, traductrice.
psychanalyste. – Georges MACOVESCU †, homme
– Henri DESROCHES †, sociologue, politique, écrivain, président de
philosophe. l’Union des écrivains de Roumanie
– Jean-Marie DOMENACH †, de 1978 à 1982.
philosophe, directeur de la revue – Marcel MERMOZ †, président
Esprit de 1957 à 1976. de l’association de 1976 à 1982.
– Sergueï FEODOSSIEV, – Edgar MORIN, sociologue,
professeur. philosophe.
– Dominique FERNANDEZ, – Alexandru OPREA †, critique
écrivain, membre de l’Académie littéraire, directeur du Musée
française. de la Littérature Roumaine de
– Dominique FOUFELLE, Bucarest de 1971 à 1983.
présidente de l’association de 1991 à – Adamantios D. PAPADIMAS,
1995. écrivain.
– René FRÉGNI, écrivain. – Patrick PÉCHEROT, écrivain.
– Georges FRIEDMANN †, sociologue. – Vasile PINTEA, peintre, graveur.
– Stéphane FRONTES †, productrice et adaptatrice – Gabriela PINTEA-DONNARES, écrivain.
d’émissions radiophoniques dont les Chardons du – Michel RAGON, écrivain, historien, critique d’art.
Baragan et Kyra Kyralina. – Edouard RAYDON †, fondateur et président de
– Armand GATTI †, homme de théâtre, poète, l’association de 1969 à 1975.
écrivain, cinéaste. – Yves RÉGIS †, président des Sociétés Coopératives
– Georges GODEBERT †, président de l’association Ouvrières de Production de 1974 à 1986.
de 1982 à 1987. – Angelo RINALDI, écrivain, membre de l’Académie
– Christian GOLFETTO, président de l’association française.
de 1987 à 1991 et de 1997 à 2012. – Danièle SALLENAVE, écrivain, membre de
– Julian GORKIN †, écrivain, homme politique. l’Académie française.
– Roger GRENIER †, écrivain, président d’honneur – Jean STANESCO †, fondateur de l’association.
de l’association de 2012 à 2018. – Jeannette STANESCO †, membre fondatrice de
– Annie GUÉHENNO †, écrivain. l’association.
– Jean GUÉHENNO †, écrivain. – Alexandre TALEX †, écrivain, journaliste.
– Jean GUENOT, écrivain. – Haroun TAZIEFF †, vulcanologue.
– Michel-Pierre HAMELET †, journaliste. – Henri THOMAS †, écrivain.
– Léo HAMON †, homme politique. – Dan URSULEANU †, écrivain.
– Jean HORMIÈRE †, président de l’association de – VERCORS †, écrivain, illustrateur.
1995 à 1996.
51
Le Haïdouc
Bulletin d’information et de liaison
de l’Association des Amis de Panaït Istrati
Directeur de la publication : Christian Delrue
Comité de rédaction :
Christian Delrue, Hélène Lenz, Jean-Pierre Longre,
Mariana Perișanu, Heinrich Stiehler, Denis Taurel
Composition et révision : Jean-Marc Bonnard (Marcel & Mado)
Dépôt légal : octobre 2018 - ISSN : 2266-5935
Tirage : 200 exemplaires
Imprimeur : Le Cadratin de Jouy - 33 avenue des Tremblays
95280 Jouy-Le-Moutier - www.lecadratin.fr

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qui n’engagent que leurs auteurs — Droits réservés —
Pour toute reproduction, s’adresser à l’association

ASSOCIATION DES AMIS DE PANAÏT ISTRATI


Président : Christian Delrue
Vice-Présidente : Mariana Perișanu
Vice-Président : Heinrich Stiehler
Secrétaire : Tom Dugrand
Secrétaire adjoint : Denis Taurel
Trésorier : Christian Portemont
Conseil d’administration :
Pierre-Jean Balzan, Christian Delrue, Tom Dugrand,
Anselm Jappe, Hélène Lenz, Jean-Pierre Longre,
Anne Maître, Philippe Mauriras, Mariana Perișanu, Martha Popovici,
Christian Portemont, Heinrich Stiehler,
Denis Taurel et Frédérica Zéphir
Site : wwww.Panaït-istrati.com
Montant de la cotisation 2018 : 25,00 euros
- moins de 25 ans : 10,00 euros -
- Membre résidant en Roumanie : 10,00 euros -
- Membre bienfaiteur : 100,00 euros et plus -
Chèques à l’ordre de « Les Amis de Panaït Istrati »
Pour toute correspondance et adhésion, s’adresser à :
Christian Delrue 179 rue Duguesclin 69003 Lyon - France
amisdePanaïtistrati@orange.fr
Une association sœur existe en Roumanie depuis 1990
L’Association roumaine des Amis de Panaït Istrati
Pour tout contact, écrire à Camelia STĂNESCU-URSULEANU
Str. Constantin Aricescu 27 - Bl. 21 - Esc. B - Apt. 13 - Sec.1 -
BUCAREST - ROUMANIE
Adresse électronique:cameliaursuleanu@yahoo.fr

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