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UNIVERSITE ABDELMALEK ES-SAADI

Faculté des Sciences Economiques Juridiques et sociales -


Tanger

Exposé sous thème :

Affacturage-Forfaitage
Proposé par Pr :
IHADYAN Abid
Présenté par :
Halima ELMKHARBECH
Laila ELBADAOUI
Zineb TLEMCANI
Mohammed Amine DAKI
El Mehdi BOUKANTAR
Ouassim AMESOUD
Mohamed EL KARCHOUNI
Amine BEN DAHMANE

MASTER Spécialisé : Logistique Portuaire et Transport


International
Module : Techniques et Instruments de Paiement
International

MASTER : Logistique Portuaire


MASTER etAnnée ScolairePortuaire
Transport
: Logistique : 2017-2018
et Transport
Interational Interational
26
Année Scolaire : 2017-2018
Année Scolaire : 2017-2018
INTRODUCTION ……………………………………………………………2

CHAPITRE I: Financement par l’affacturage ……………………………2

CHAPITRE II : Financement par forfaitage …………………………………10

CHAPITRE III : Comparaison entre forfaitage et affacturage …………..20

CONCLUSION ……………………………………………………………….25

WEBOGRAPHIE …………………………………………………………….26

Table de Matière ……………………………………………………………...27

26
a recherche du moyen de financement adapté à chaque projet d'entreprise est un
facteur déterminant pour pouvoir réaliser une opération commerciale.

Les techniques de financement sont multiples et chacune d'entre elles répond à


une situation particulière qu'il faut bien identifier.

Ces techniques de financement permettent de financer en aval, c'est à dire à


partir du moment où l’entreprise émis la facture. Mais également en amont, c'est
à dire au moment des achats à partir d'un bon de commande.
Ces moyens de financement sont multiples et différent en fonction des besoins
de l’entreprise A titre d'exemple on peut distingue entre :
 la garantie contre les impayés, la gestion et le recouvrement du poste
clients, le financement des créances => AFFACTURAGE
 la prévention du risque clients, le recouvrement des créances et
l'indemnisation des impayés => ASSURANCE-CREDIT
 les cautions légales, économiques et financières => CAUTION
 le financement des ventes et des achats payés par des loyers => CREDIT-
BAIL/LOCATION FINANCIERE
 le financement au comptant des ventes à l'export => FORFAITING
Ainsi on peut distinguer entre des financements à court terme (Crédit
commercial, Billets à ordre, Marge de crédit, Prêts à court terme garantis,
Affacturage) et des financements à moyen et à long terme (Prêts à long terme,
Obligations, L’hypothèque, Le crédit-bail, Les bénéfices non-répartis, Le
financement par actions).
La présente recherche sera focalise sur deux moyens de financement a savoir
l’affacturage et forfaitage.
Pour ce faire, elle sera divisée en trois points (I, II, et III) dont les deux
premières traiteront d’une manière distincte un moyen de financement et la
troisième sera consacre a une comparaison entre les deux moyens de
financement.

CHAPITRE I : Financement par l’affacturage

1) Présentation générale
a) Définition de L’affacturage

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L'article 9 du DAHIR N° 1-93-147 relatifs à l'exercice de l'activité des établissements de
Crédit et de leur contrôle, définis affacturage comme suit : «Est considéré comme affacturage
toute convention par laquelle un établissement de crédit s'engage à effectuer le recouvrement
et, éventuellement, la mobilisation des créances commerciales que détiennent les clients, soit
en acquérant les dites créances, soit en se portant mandataire de créances et avec, dans ce
dernier cas, une garantie de bonne fin ».

b) Société d’affacturage

Les sociétés d’affacturage, comme les banques, sont des établissements de crédit, elles
doivent être agréées par le Comité des établissements de crédit et des entreprises
d’investissement et sont soumises au contrôle de la Commission bancaire. Elles doivent
respecter la réglementation bancaire qui leur impose notamment des ratios de couverture et de
division des risques. La quasi-totalité des établissements d’affacturage font partie de groupes
de première importance.

c) Historique de L’affacturage
 Les années 60, naissance de l'affacturage domestique

L'affacturage a vu le jour aux Etats-Unis puis, sous la pression de joint-ventures entre


des sociétés d'affacturage américaines et des partenaires locaux, s'est rapidement
implanté, au milieu des années 60, dans les pays de l'Europe de l'Ouest.

 Les années 70, envol de l'affacturage

Crise économique et faillites à la chaîne sont synonymes pour bon nombre d'entreprises de
besoin de sécurité accrue. Les sociétés d'affacturage apportent alors, dans la tourmente, la
garantie nécessaire à une gestion saine du compte clients. En parallèle, la croissance des
échanges internationaux n'est plus uniquement le fait de multinationales, mais d'une multitude
d'entreprises à la taille plus modeste qui trouvent, dans les solutions d'affacturage à l'export,
un moyen toujours plus simple et sans risque, pour développer leurs affaires.

 Les années 80, maturité et évolution

Le marché de l'affacturage va connaître un essor lié à une nouvelle approche-métier de la


part des principaux factors : multiplication et dynamisme des actions commerciales,
émergence des premiers réseaux internationaux, adaptabilité et personnalisation de l'offre et
nouveaux services clients.

26
2) Le fonctionnement de L'affacturage
a) Les services de L'affacturage
L’affacturage est une technique de gestion financière par laquelle, dans le cadre d’un contrat,
une société d’affacturage gère les comptes clients d’entreprises en acquérant leurs créances,
en assurant le recouvrement pour son propre compte et en supportant les pertes éventuelles
sur des débiteurs insolvables.

Ainsi, l’acte de vente qui met traditionnellement en présence deux parties, le vendeur et
l’acheteur, donne naissance à une créance lorsque celle-ci est payable à terme. Dans le cadre
de l’affacturage, cette créance, inscrite dans une facture, va être transférée par le vendeur au
factor, troisième acteur. Ce dernier offre au client adhérent, aux termes d’un contrat qui les lie,
les trois services suivants :

• Le financement des besoins de trésorerie liés aux délais de règlement des factures.

Le recours à l’affacturage permet le préfinancement des créances avant leur arrivée à


échéance.

• Gestion du poste client

Les sociétés d’affacturage peuvent assurer la gestion administrative globale de la facturation :


relance, recouvrement des factures, engagement éventuel de procédures contentieuses à
l’égard des mauvais payeurs, etc.

• La prévention des risques et la garantie contre les impayés

Les sociétés d’affacturage disposent de plusieurs sources d’informations leur permettant


d’évaluer la solvabilité des débiteurs. Le recours à l’affacturage permet ainsi de sélectionner
sa clientèle.

Les sociétés d’affacturage proposent, en complément, des services d’assurance-crédit


permettant de récupérer jusqu’à 100 % du montant de la créance en cas d’impayé.

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Fonctionnement du schéma d'affacturage simplifié
1- Livraison 3- Virement sous 48H

2- Facturation 4- Paiement à l'échéance

b) A qui s’adresse l’affacturage ?


L’affacturage s'adresse à toutes les sociétés qui réalisent au moins 150 K€de chiffre d’affaires
avec une clientèle d’entreprise, quels que soient leur secteur d'activité et leur taille.
L’affacturage concerne donc aussi bien les petites entreprises en phase de démarrage que les
grandes. Ces dernières choisissent de plus en plus souvent d’externaliser partiellement ou
totalement la gestion de leurs comptes clients. Les entreprises exportatrices peuvent
également obtenir le financement de leurs créances et bénéficier de tous les services du factor
sur leur clientèle internationale (garantie, relance, recouvrement). Ces services sont d'autant
plus appréciables qu'ils permettent à l'entreprise de gérer plus facilement les diversités
géographiques, linguistiques et juridiques.

a) Quand les entreprises recourent à l’affacturage?


Les entreprises peuvent avoir besoin de l'affacturage tout au long de leurs existences :

 En phase de démarrage, le financement des créances par un Factor peut pallier une
Insuffisance de trésorerie ou de crédit bancaire.
 En phase de maturité, lorsque l'entreprise continue de développer son chiffre
d'affaires, Il a de multiples raisons de s'adresser à un Factor : pour se prémunir contre
la défaillance de ses clients, pour se libérer des tâches administratives ou encore pour
financer sa croissance.
 Lorsque l'entreprise s'ouvre à l'export, et trouve auprès de son Factor la structure
indispensable pour l'accompagner dans son expansion internationale.
 Et même quand l'entreprise se trouve avec une trésorerie plus lésée, le Factor reste un
moyen efficace pour se protéger du risque client.

3) Affacturage ou assurance crédit :


Il s'agit de bien cerner les besoins de l'entreprise. Si l'entreprise recherche exclusivement la
prévention des risques et la garantie contre les impayés, l'assurance- crédit est suffisante. Si

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l'entreprise attend de son prestataire une offre de services plus large, l’affacturage est plus
adaptée. L’entreprise pourra être garantie à 100% du sinistre, sans supporter le décalage en
trésorerie constaté en assurance-crédit. En outre, le factor propose une externalisation
complète de la fonction crédit management de l’entreprise, puisqu’au-delà de leur garantie, il
prend en charge la totalité de la gestion des sinistres. Dans le cadre d’un contrat d’assurance-
crédit, l’entreprise conserve, en partenariat avec son assureur, la charge de son risque clients.
Le factor est un partenaire actif puisqu'il intervient à toutes les étapes de la gestion des
comptes clients.

a) Le circuit d’une facture en affacturage :


Dans le cadre du contrat d’affacturage la facture de l’entreprise va suivre un circuit
déterminé en fonction des étapes liées au fonctionnement du contrat d’affacturage.

Les 7 étapes du circuit de la facture en affacturage:

Etapes réalisées par l’entreprise :

 Étape 1 : édition de la facture, Le fournisseur effectue une livraison ou une


prestation de service. il facture son client avec la mention subrogative sur la
facture qui indique que la facture a été cédée à la société d’affacturage ;
 Étape 2 : remise de la facture au factor, Il envoie à la société d’affacturage un
exemplaire de la facture avec le cas échéant un justificatif indiquant que la
livraison ou la prestation de service a été effectuée.
Etapes réalisées par la société d’affacturage :

 Étape 3 : financement de la facture, La société d’affacturage reçoit la facture et


la finance sous 48 heures à hauteur de 90% du montant TTC, par virement,
chèque ou billet à ordre ;
 Étape 4 : relance à l’échéance, La société d’affacturage relance le client à
l’échéance pour lui préciser que la facture doit lui être réglée directement ;
 Étape 5 : encaissement du paiement, La société d’affacturage encaisse le
paiement du client ;
 Étape 6 : rétrocession du solde de la facture, La société d’affacturage rétrocède
au fournisseur les 10% non financé ;
 Étape 7 : recouvrement de la facture, Si le client ne règle pas la facture à
l’échéance, la facture est mise en recouvrement amiable puis ensuite en
recouvrement contentieux.

26
NB : Possibilité de faire de la transmission électronique de facture, dans ce cas le financement
se fait sous 24 heures. Avec la transmission électronique de facture le fournisseur évite de
transmettre les factures et les justificatifs papiers des créances à financer.

Schéma d'Affacturage

1- Commande 6- Garantie de la créance


2- Prestation 7- Notification
3- Facturation 8- Règlement de la créance à l'échéance
4- Cession de la créance 9- Recouvrement de la créance
5- Avance des fonds

b) Avantages et
Inconvénients :
Avantages :

 Les entreprises qui utilisent l’affacturage donnent l'image d'entreprises responsables,


privilégiant une gestion sûre et efficace ;

 Gestion administrative, comptable et juridique (en cas d'impayé) simplifiée. Certaines


société d'affacturage vont jusqu'à offrir un accès direct à leurs ordinateurs pour
consulter le solde d'un débiteur, vérifier instantanément le paiement d'une facture,
reconstituer un historique de paiement, ... ;

 Gestion de la trésorerie plus efficace car meilleur suivi de la gestion des créances ;

 Amélioration de la trésorerie de l'entreprise et de sa gestion, l'accent étant mis sur les


ventes et non sur les encaissements.

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 Evaluation des risques encourus réalisé par la société d'affacturage : elle peut
décharger l’entreprise du souci de s’informer sur les marchés et sur le sérieux et la
solvabilité de ses cocontractants. L’affactureur a plus de temps et de savoir-faire pour
développer des réseaux d’information fiables, surtout dans le cadre du commerce
international, que les industriels, accaparés par d’autres priorités.

 Outil de financement pouvant payer de manière anticipative jusqu'à 85 % du montant


des factures ;

 Elimination du risque de non payement par une couverture à 100 % du montant de la


facture (sauf en cas de litige commercial entre vendeur et acheteur) ;

 Possibilité de bénéficier d'avances en devises, couvrant le risque de change ;

 Suppression de l'obligation d'exiger un crédit documentaire irrévocable ou une remise


documentaire, souvent difficile à demander d'un point de vue commercial (traduit un
manque de confiance de la part de l'exportateur) ;

 Evite à l'exportateur de se déplacer à l'étranger pour faire valoir ses créances


impayées.

Inconvénients

 Coût relativement élevé (quoiqu'il soit important de le relativiser) ;

 Obligation de présenter toutes les créances dans le secteur géographique ou


économique choisi (même principe qu'en assurance-crédit) ;

 Limité le plus souvent à des factures à courte échéance avec principalement des
débiteurs établis dans les pays occidentaux ;

 Dépersonnalisation de la relation avec le client : les dossiers des clients de l'entreprise


répondant aux critères du portefeuille de créances repris par la société d'affacturage
sont traités de la même manière et peuvent vous empêcher de personnaliser vos
relations avec vos clients ;

 Gestion du recouvrement des créances ou des retards de paiement parfois plus brutale
que celle que l'exportateur appliquerait en interne, ce qui peut porter à conséquences
sur les bonnes relations commerciales entre l'exportateur et ses clients .

26
4) L’affacturage au Maroc
C'est en 1988 que le factoring fait son entrée au Maroc à travers la filiale créée par BMCE,
Maroc Factoring. BCM devenue Attijariwafa bank après sa fusion avec Wafa bank, lui
emboîte le pas en 1995, pour établir sa filiale, Attijari Factoring. 5 ans plus tard, ce sera au
tour de BMCI de s'intéresser à ce marché en lui dédiant un département au sein de son siège.
Il y a quelques années encore, l'activité affichait des performances plutôt timides (seulement
45 millions d'euros, soit 506,6 millions de DH en 2000 selon IFC). Pourquoi cette période
d'incertitude? «Le manque de concertation, le peu d'expérience et les différences de
positionnement ont fait que l'offre aux entreprises n'était pas très au point».
En 2004, le marché prend son envol et double ses performances (3,4 milliards de DH contre
1,8 milliard en 2003) avant de stagner entre 2005 et 2006. Entre-temps, les positionnements
stratégiques sont restés différents d'un opérateur à l'autre. Attijari et BMCE se définissent
comme factor généraliste. BMCI optant pour une stratégie de ciblage sélectif de sa clientèle
choisie dans son portefeuille et favorisant les opérations locales.
En 2006, Maroc Factoring enregistre un chiffre d'affaires de 2,6 milliards de DH. Au vu des
statistiques de FCI, cela correspond à une part de marché de 52,5%. Celle-ci monte à 70%, si
l'on exclut les encours des remises de créances, soutient le management de Maroc Factoring.
Les deux autres opérateurs ne se prononcent pas sur leurs performances commerciales.

Source: leconomiste.com

26
CHAPITRE II : Financement par le Forfaitage

1)Définition du forfaitage
Le forfaitage ou forfaiting qui peut se définir comme l'achat ferme et définitif, sans recours
contre le cédant en cas d'impayé, de créances faisant l'objet de délais de règlement et nées de
transactions irréversibles.

Le forfait est donc un instrument financier, à disposition de l'exportateur, qui se concrétise


dans l'escompte d'effets représentatifs de la créance assortis d'une garantie bancaire et
constitués soit par des billets à ordre émis par l'importateur, soit par des lettres de change
tirées par l'exportateur.

Les points suivants décrivent les différentes étapes du financement par forfaitage:

1. Le forfaiteur s'engage à acheter la marchandise


2. L'exportateur et l'acheteur de la marchandise signe un contrat
commercial.
3. La marchandise est livrée.
4. La banque accorde une garantie à l'acheteur/importateur.
5. L'acheteur remet les billets à ordre à l'exportateur.
6. L'exportateur remet les billets à ordre (ou effets, etc.) au forfaiteur.
7. Le forfaiteur escompte les billets à ordre et paie l'exportateur.
8. Le forfaiteur remet les billets à ordre à la banque de l'acheteur pour
paiement à l'échéance.
9. L'importateur/acheteur rembourse la banque à l'échéance.

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2. Contrat de vente

Exportateur 3. Expédition des Acheteur


marhcandises

5. Remet les billets


à ordre avalisés

9. Rem-bourse à l'échéance
6. Remet les billets à ordre

4.(a) Remet les billets à


ordre (ou effets, etc.)
7. Escompte et paie en
1. Accord

échange des billets à


contrai-

pour aval
4.(b) Avalise
gnant

ordre
sur les
termes du
forfaitage

9. Rembourse à
Banque l'échéance Banque de
internationale 8. Remet les billets à ordre l'acheteur/
/forfaitier pour paiement à l'échéance banque avaliste

Utilisé de manière traditionnelle, l'effet à forfait est un moyen d'investissement sûr étant
donné que deux noms (celui de l'acheteur et celui de sa banque) y sont effectivement apposés,
alors que sur d'autres instruments ne figure qu'un seul nom, celui de l'acheteur.

Autrement dit, l'effet à forfait est émis par une entreprise importatrice, en l'occurrence
l'acheteur, et garanti par une banque de premier plan dans le pays concerné (en l'occurrence, le
pays de l'acheteur européen). Pour que la créance soit "improductive", il faudrait que
l'importateur mais aussi la banque avaliste soient défaillants. Cela signifie que le risque de
crédit est en général plus faible que pour, par exemple, les garanties offertes par une entreprise
ou une banque.

2) Variantes de forfaiting

Trois types de forfaiting non-exclusifs (ils peuvent pour la plupart se combiner) existent. Le
forfaiting avec garantie-cadre est cependant le plus couramment rencontré.

26
A. Le forfaiting avec « garantie-cadre ».

Dans la plupart des cas, la banque de l'exportateur demandera l'aval de la banque de l'acheteur
(le tiré). Pour ce faire, l'exportateur peut obtenir éventuellement une « garantie-cadre » de la
part de la banque de son acheteur, qui couvre les obligations de paiement de son client
pendant un certain temps et à concurrence d'un montant maximum garanti.

B. Le forfaiting avec remise préalable des traites « in trust ».

Généralement, l'acheteur renvoie son effet accepté après qu'il ait reçu ses marchandises. Pour
éliminer le risque de résiliation du contrat commercial supporté par l'exportateur, le client
pourrait très bien être d'accord de remettre la traite acceptée à la banque de l'exportateur au
moment de la signature du contrat, avec pour mission de la conserver « en trust » et de ne la
remettre à l'exportateur que contre remise de documents d'exportation bien précis (bon de
livraison, etc.). Cette variante doit être distinguée du crédit documentaire en ce sens qu'elle
n'est pas soumise aux R.U.U. de la Chambre de Commerce Internationale.

C. Le forfaitage d'effets escomptés « sauf bonne fin »

Technique utilisée lorsque l'exportateur souhaite disposer du paiement dès l'expédition, c'est-
à-dire sans attendre retour de la traite acceptée par l'acheteur étranger. Elle consiste à
escompter la traite avec recours « sauf bonne fin ». Dès le retour de la traite acceptée, la
banque de l'exportateur n'a plus de recours contre l'exportateur.

3)Coût

Le coût dépend des caractéristiques de chaque opération en prenant en compte :

- la commission de paiement et d'encaissement : (rémunération du


forfaiteur) qui varie selon l'appréciation par celui-ci du risque pays,
risque commercial ou risque de non-paiement
- un coût de refinancement : le taux de référence qui est généralement
le LIBOR* sur la devise concernée pour l'échéance à honorer (le taux
d'escompte est constitué de la commission de forfaitage et du coût de
refinancement).

 * . LIBOR : London InterBank Offered Rate : coût du marché de refinancement à Londres.


Londres étant une place privilégiée du forfaitage international

26
- En outre, l'exportateur supporte une commission
d'engagement calculée sur la valeur de la créance entre le moment de
la prise d'engagement du forfaiteur et l'échéance des créances
commerciales.

4)Avantages et inconvénients des opérations de


forfaitage :

Le forfaitage présente de nombreux avantages :

● Pour l'exportateur

- Le financement intégral et immédiat de la créance.

- Amélioration de la trésorerie en transformant une opération à terme en opération au


comptant.

- Obtention plus facile d'autres financements car l'escompte est sans recours.

- La créance sortant du bilan définitivement, les tâches administratives et financières liées à


la gestion des créances sont allégées ou supprimées.

- Suppression des risques de non transfert, de non-paiement, de change, de coût d'intérêt et de


risque politique du pays de l'acheteur.

- Suppression des aléas de recouvrement de la créance à l'étranger.

-Le coût de financement est connu au moment de la conclusion du contrat d'achat des
créances.

● Pour l'acheteur

- Bénéficier des délais de paiement.

● Pour le forfaiteur

- L'avantage, pour le forfaiteur, consiste à percevoir la commission d'escompte et, si


l'exportateur venait à souhaiter un engagement ferme d'escompte de sa créance avant la
livraison des biens, il bénéficierait aussi d'une commission d'engagement qui couvre la
période jusqu'à la remise de la créance.

26
Toutefois, le forfaitage présente également des inconvénients :

-L'opération peut être ralentie ou retardée du fait que l'accord préalable du forfaiteur est
indispensable.

- Cette technique ne s'applique qu'aux acheteurs de premier ordre (opérateurs publics ou


bénéficiant d'une garantie publique ou bancaire).

-C'est une technique coûteuse car l'opération comprend :

- une commission du forfaitage selon l'estimation des risques par le forfaiteur;

- un coût du refinancement ;

- une commission d'engagement ;

- une prime d'assurance.

- La garantie de certaines banques étrangères est difficile à obtenir

5)Risques liés à ce type de financement


1) Titres inadéquats ou non autorisés
C'est le principal risque potentiel associé à tout titre représentant ou entérinant une
obligation commerciale ou financière sous-jacente. Les instruments négociables sans
recours ne sont nullement exempts de ce type de risque.

Cependant, selon West LB Bank, les transactions frauduleuses dans le domaine du


forfaitage ont pris de plus en plus d'importance ces trois dernières années. Le secteur
bancaire reçoit fréquemment notification de la part de l'Association des banques
britanniques, ou de correspondants étrangers, l'informant de la circulation de titres
frauduleux, qui constitueraient de prétendus engagements financiers pris par l'émetteur
de ces titres. Sur le marché du forfaitage, ces titres sont représentés par des crédits
documentaires, des billets à ordre, des lettres de change et des garanties de créances
comptables. C'est pourquoi il est recommandé aux forfaiteurs de vérifier l'authenticité
des avals ou des garantis accordés par les prétendus émetteurs avant d'en faire
l'acquisition.

26
De plus, du fait que les transactions vont en général au-delà des frontières politiques,
économiques et juridiques, les risques encourus sont souvent intensifiés par les
réglementations locales en matière de licences d'importation, de validité de garanties
bancaires et de transferts de devises étrangères. Certes, les réglementations locales
peuvent changer, mais il est rare qu'un titre valablement émis au moment de la
transaction soit ultérieurement modifié en raison d'un changement de législation dans
le pays importateur. Par conséquent, il incombe au forfaiteur sur le marché primaire de
veiller à ce que le titre soit correct, licite et valable au moment où il est échangé contre
des liquidités.

2) Risque de contrepartie
Il est également intéressant de mentionner un autre type de risque : le risque de
contrepartie. C'est un risque lié à toute transaction commerciale ou financière entre
deux parties. La partie A peut-elle être sûre que la partie B va bien respecter et remplir
sa part du contrat ? Par exemple, si l'acheteur vient à ne pas payer des marchandises
qui lui ont été livrées, le forfaiteur devra chercher à se faire payer par la banque qui a
donné son aval.

3) Risque de cours
Le risque de cours constitue également un risque réel. Le taux d'escompte résulte du
coût estimé du financement pour la période couverte par le billet à ordre auquel vient
s'ajouter une marge correspondant au risque de crédit. Afin de déterminer un taux
d'escompte précis, les taux d'intérêt doivent être pris en compte. Une augmentation des
taux d'intérêt peut engendrer une perte. Pour se protéger contre ce risque, il est parfois
nécessaire de prendre une position sur le marché dérivé.

Les questions de risques de qualité n'interviennent pas ici car les escomptes se font sur
des créances à l'exportation qui a déjà été valorisées.

4) Risque de transaction
Une des caractéristiques principales de ce type de financement commercial sans
recours est que l'instrument de crédit négociable sous-jacent est distinct de la base du
risque de transaction. Il est essentiel que le mécanisme de financement du crédit soit
complètement distinct de l'obligation de paiement. Ainsi, bien que le risque de
transaction ne représente pas, de prime abord, un risque direct pour celui qui finance, il
peut avoir une incidence très importante. Chacun sait que les financiers refusent des

26
transactions lorsqu'ils considèrent que le vendeur n'offre pas les garanties contre
risque.

Afin d'identifier ce risque et de s'en protéger, il arrive que les financiers incluent dans
l'accord de forfaitage qu'ils concluent avec les exportateurs des clauses qui les
protègent de ce type de risque.

6)Possibilités d'extension du mécanisme


 Alors que les marchés financiers cherchent de plus en plus à titriser leurs avoirs, le
forfaitage prend une importance grandissante dans le commerce des créances à
court et à moyen terme, car contrairement à d'autres effets de commerce, elles
n'apparaissent pas au passif dans la comptabilité du vendeur.
 La libéralisation de l'économie, la levée des obstacles commerciaux et la réduction
des programmes de crédits publics à l'exportation vont encourager l'utilisation de
ces instruments.
 Une des possibilités d'extension peut être la prise de conscience croissante de
l'existence du forfaitage et de ses applications possibles dans certaines
circonstances, ajoutés à l'engouement pour les risques liés aux marchés émergents
portant sur une gamme d'instruments du marché secondaire, dont certains sont plus
attrayants que les instruments négociables liés au commerce et sans recours.
 Une autre possibilité est sans doute la flexibilité de ce mécanisme qui, si elle peut
poser des problèmes quant à sa définition exacte, améliore son développement –
tant sur le marché du commerce que sur le marché financier.

 Ce mécanisme peut également se développer grâce à sa faculté à représenter non


seulement des créances portant sur des crédits commerciaux mais aussi des
obligations financières.
 Son développement dépend aussi de sa capacité à être lié à des instruments
commerciaux et financiers négociables déjà existants au sein des législations en
vigueur.

7)Facteurs de limitation

26
 Les obstacles au commerce transnational et un isolationnisme croissant de
certaines économies.
 Il y a aussi l'hésitation des acheteurs à émettre des billets à ordre ou même
chercher à obtenir une garantie (aval) supplémentaire de leurs banquiers. Ceci est
dû au fait que une fois les billets à ordre sont émis, les acheteurs seront engagés à
rendre ferme les paiements à date fixe. Ce qui en cas de défaut leurs encourent des
amendes. De plus, chercher des garanties Un marché secondaire qui n'a ni
consistance ni liquidité. Le marché secondaire joue un rôle capital dans l'évolution
de ce mécanisme car il permet aux détenteurs de billets à ordre de céder leurs
effets lorsque leur bilan doit être épuré.
 Des législations nationales qui limitent le transfert d'instruments négociables.
 Des pratiques frauduleuses de grande envergure ou de profondes distorsions du
marché qui pourraient créer un vent de panique parmi les intervenants et rendre le
marché moins attractif.
 L'environnement extrêmement réglementé dans lequel évolue la plupart des
exportateurs africains.

8) Ce que les Banques et les Etablissements


financières devraient entreprendre

Afin de promouvoir l'utilisation de moyens de financement fondés sur les créances à


l'exportation, les banques des pays en développement doivent offrir les services
mentionnés ci-après:

a) Développement du Commerce
 faire rencontrer les acheteurs et les vendeurs désireux d'exporter et d'importer
 L’exportateur fournit à la banque les spécifications complètes du produit, prix,
qualité et quantité livrable.
 fournir feuillets ou brochures d'information avec illustrations du produit.
 la banque envoie ces informations à certaines banques partenaires dans les pays
vers lesquels le produit a le plus de chance d'être vendu.

26
 Ces banques ou succursales contactent à leur tour certains de leurs clients et tout
acheteur qui pourrait être intéressé par le produit.
 Le vendeur et l'acheteur négocient directement et peuvent ensuite financer la
transaction selon les procédures appropriées.

b) Publications

• Les banques des pays en développement doivent faire paraître, périodiquement, des
publications portant sur les nouvelles réglementations nationales et sur celles de la
banque centrale, sur les taxes, l'évolution du marché des changes (ou des devises), la
tendance des taux d'intérêt et des sujets similaires.

c) Renseignements sur la solvabilité

• Les départements des banques chargés du crédit devraient fournir aux clients les
renseignements nécessaires sur la solvabilité des acheteurs et des fournisseurs.

d) Renseignements sur les importateurs

• Lorsque les exportateurs reçoivent des commandes d'importateurs étrangers qu'ils ne


connaissent pas, ils doivent décider quelles seront les conditions de la transaction.
• Avoir des renseignements sur l’acheteur car les conditions de transaction dépendent de
leur solidité financière

e) Renseignements sur les exportateurs

• L’acheteur devrait avoir des informations sur la réputation de l’exportateur pour le


souci de la qualité de produit.

f) Présentations

26
• Les Banques internationales devraient fournir les recommandations des banques
auprès du client. Concernant les règlementations

9)Ce que les Exportateurs devraient


entreprendre
Les exportateurs devraient établir des contacts durables avec les acheteurs en abordant
avec tous les intervenants les questions suivantes:

1. Développement de produits
2. Transport et manutention
3. Logistique
4. Qualité
5. Facilité de paiement (notamment de façon à inciter les financiers à accorder
des crédits aux transactions à l'exportation)

CHAPITRE III : Comparaison entre forfaitage et


affacturage
26
Tant le forfaitage que l'affacturage portent sur l'achat de créances. Ils visent tous deux à créer
une source de financement en achetant d’un vendeur/exportateur des créances qui lui sont dues
par un acheteur à l’échéance.

La Convention d'Unit droit sur l'affacturage international (Ottawa, 28 mai 1988) définit
l'affacturage comme la cession, par un fournisseur, à un cessionnaire des créances nées de
contrats de vente de marchandises conclus entre le fournisseur et ses clients (débiteurs), en vertu
desquels le cessionnaire doit prendre en charge au moins deux des fonctions suivantes:

 le financement du fournisseur, notamment les prêts ou paiements anticipés;


 la tenue des comptes (inscription) relatifs aux créances;
 l'encaissement de créances;
 la protection contre la défaillance des débiteurs.

L'affacturage peut ainsi être une opération dans laquelle se combinent les fonctions de
financement et de recouvrement de crédit; elle peut également être un moyen d'externaliser les
fonctions de gestion et de recouvrement de crédit, sans qu'aucun financement n'ait été accordé au
fournisseur. Dans la pratique, toutefois, la plupart des opérations d'affacturage s'inscrit dans le
cadre d'un financement, et de nombreuses entreprises d'affacturage mettent l'accent sur cet aspect
dans leurs brochures publicitaires, dans la mesure où nombre d'entre elles définissent
l'affacturage comme étant avant tout une opération "factures contre argent comptant".

1) Points communs
Du point de vue du vendeur, l'affacturage et le forfaitage accroissent le fonds de roulement,
réduisent les risques liés aux transactions et peuvent améliorer la compétitivité en offrant à
l'acheteur des conditions de paiement souples.

Dans les deux cas, les risques liés à la délivrance de marchandises ou de services satisfaisants et
l'exécution du contrat dont ils font l'objet reviennent de la responsabilité du vendeur, alors que

26
l'acheteur de créances (qu'il soit un forfaiteur ou un cessionnaire) assume les risques
commerciaux, politiques et économiques du pays de l'acheteur.

2) Différences
La différence entre ces deux mécanismes tient au fait que l'affacturage concerne principalement
des instruments non négociables tels que des créances comptables, alors que le forfaitage
concerne principalement des instruments négociables, tels que lettres de change, billets à ordre et
crédit documentaire.

Le forfaitage porte sur une seule et unique transaction actuelle, alors que l'affacturage porte sur
un ensemble de créances présentes et futures inscrites dans la comptabilité du vendeur. Dans
l'affacturage, le vendeur cède toutes ou une partie des créances au cessionnaire, y compris les
créances futures. La prestation de collection des créances est toujours prévue par le contrat
d'affacturage, alors que dans le forfaitage, cette prestation est offerte indirectement pour chaque
transaction faisant l'objet d'un contrat.

Dans l'affacturage, il est courant de ne pas financer 100 % de la valeur des créances et de déduire
un certain montant. Dans le forfaitage, le paiement porte sur la totalité de la valeur courante (la
valeur à échéance moins le taux d'escompte).

L'affacturage concerne des transactions au plan national à court et à moyen terme, tandis que le
forfaitage est utilisé essentiellement pour des transactions transnationales à moyen et à long
terme. Cependant, à l'heure actuelle, les forfaiteurs achètent à escompte dans des transactions à
court terme qui portent principalement sur des produits de base.

En règle générale, le forfaitage utilise principalement un document appelé le billet à ordre qui a
les caractéristiques suivantes:

 Une promesse par écrit inconditionnelle (irrévocable),

26
 émise par une personne envers une autre,
 s'engageant à payer:
 à une échéance fixe
 une certaine somme d'argent
 à une personne désignée ou à son ordre, ou au porteur ou à son ordre.

L'affacturage et le forfaitage en bref

Affacturage Forfaitage
Portée géographique Le plus souvent interne aux Le plus souvent internationale.
pays de l'OCDE.
Étant donné que les transactions
Portée relativement limitée mais sont avant tout garanties par des
possibilités croissantes de banques, la possibilité de
pratiquer l'affacturage dans le conclure des marchés s'étend à
commerce avec les pays en un grand nombre de pays.
développement.

Produits visés Principalement des biens de Pour une large part, des biens
consommation et des services. d'équipement (souvent dans le
cadre de grands projets) et des
produits de base.
Taille du marché Affacturage interne: 499 Chiffres consolidés non
milliards de dollars US disponibles.

Affacturage international : 31 Légèrement plus important que


milliards de dollars US (1998) l'affacturage international.
Teneur Principalement 30 à 180 jours Principalement 1 à 7 ans pour des
pour des contrats qui prévoient contrats qui prévoient un paiement
un paiement en une fois. échelonné.

26
Montants visés par Principalement 2000 à 100 000 Montant minimum de la
les contrats dollars US. transaction: 100'000 dollars US
avec des échéances individuelles
Montant moyen des contrats
de 25 000 dollars US.
internationaux d'affacturage : 29
000 dollars US.
Déroulement par En règle générale, l'affacturage Le contrat est souvent négocié sur
rapport aux contrats fonctionne sur la base de la base d'engagements antérieurs
contrats ou de relations souscrits par une entreprise de
contractuelles existants. forfaitage.

Objet du contrat Les cessionnaires cherchent en La plupart des transactions porte


général à acquérir un sur un seul contrat.
pourcentage élevé des créances
d'un vendeur.
Marché secondaire Très modeste, du fait que la Important, du fait que les créances
plupart des opérations est sont normalement avalisées et, dès
représentée par des factures. lors, négociables.

26
Pour les entreprises utilisatrices, cette technique est en effet un outil de réduction
du risque commercial et en même temps permet, dans certains cas, d'accroître
l'efficience de la gestion administrative du compte-client.
Pour le secteur bancaire, cette activité présente des opportunités (rentabilité
soutenue, élargissement de la gamme des prestations proposées à la clientèle
d'entreprises,…) qui expliquent l'importance croissante prise par les filiales
d'établissements de crédit dans ce domaine.
Dans le contexte d'un marché plus concurrentiel susceptible de conduire des
sociétés d'affacturage à accepter des prises de risques trop importantes, la
rigueur de l'organisation interne et le professionnalisme deviennent des éléments
essentiels plus que jamais indispensables.
Pour ces avantages et autres, il n’est pas faux de dire en guise de conclusion que
l’affacturage prends le dessus sur le forfaiting. Nous sommes arrivés à cette
conclusion après avoir essayé de définir chaque concept à part, énuméré ses
avantages et inconvénients et les comparé. Notre conclusion s’est confirmée
également à travers l’étude de cas que nous avons présenté.

26
Sites Internet :
- http://www.financement-entreprise.pro/definition/forfaiting.html
- http://www.affactassur.com/definition/forfaiting.html
- http://www.affacturage.org/affacturage-inconvenient-avantage.php
- https://www.expert-comptable-tpe.fr/articles/comment-marche-l-affacturage-
quels avantages
- quels-inconvenients/
- http://www.e-affacturage.fr/questions/retenue-de-garantie-contrat-
affacturage.html
- http://www.e-affacturage.fr/questions/fonds-de-garantie.html
- http://www.affactassur.com/affacturage/affacturage-import.htm

26
SOMMAIRE …………………………………………………………………2
INTRODUCTION ………………………………………………………….. 1
CHAPITRE I: Financement par l’affacturage ……………………………2

2) présentation générale ……………………………………………………..2


a) Définition de L’affacturage …………………………………………………………2
b) Société d’affacturage ………………………………………………………………..2
c) Historique de L’affacturage …………………………………………………………2
3) Le fonctionnement de L'affacturage …………………………………3
a) Les services de L'affacturage ………………………………………………………..3
b) A qui s’adresse l’affacturage ? ………………………………………………………4
c) Quand les entreprises recourent à l’affacturage? ………………………………........4
4) Affacturage ou assurance-crédit ……………………………………...5
a) Le circuit d’une facture en affacturage ………………………………………………5
b) Avantages et inconvénients …………………………………………………………7
5) Affacturage au Maroc …………………………………………………8
CHAPITRE II : Financement par forfaitage …………………………………9

1) Définition du forfaitage …………………………………………………...9


2) Variantes de forfaiting ……………………………………………………10
a) Le forfaiting avec « garantie-cadre » …………………………………………….…..11
b) Le forfaiting avec remise préalable des traites « in trust ». ………………………….11
c) Le forfaitage d'effets escomptés « sauf bonne fin »…………………………………..11
3) Coût ………………………………………………………………………..11
4) Avantages et inconvénients des opérations de forfaitage :..…………….12
5) Risques liés à ce type de financement …………………………………… 13
a) Titres inadéquats ou non autorisés …………………………………………………14
b) Risque de contrepartie ………………………………………………………………14
c) Risque de cours ……………………………………………………………………...14
d) Risque de transaction ………………………………………………………………..15
6) Possibilités d'extension du mécanisme …………………………………...15
7) Facteurs de limitation ……………………………………………………..16
8) Ce que les Banques et les Etablissements financières devraient
entreprendre ………………………………………………………………17
9) Ce que les Exportateurs devraient entreprendre ………………………18
CHAPITRE III : Comparaison entre forfaitage et affacturage …………..19

1) Points communs ………………………………………………………..19


2) Différences …………………………………………………………… 20

26
CONCLUSION ……………………………………………………………….21
WEBOGRAPHIE …………………………………………………………….22

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