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Chapitre 2

Structure électronique

1. Le modèle atomique de Rutherford


Rutherford a proposé en 1911 un modèle atomique en se basant sur les expériences
réalisées dans son laboratoire par Geiger.

Certaines particules
Bombardement traversent la lame sans
par des dévier
particules α

Certaines particules
Certaines particules traversent la lame en
rebondissent déviant leur trajectoire

Lame d’or

Selon Rutherford, l’atome ressemble donc à un système planétaire, avec le noyau


composé de protons au milieu, et les électrons tournant autour du noyau à grande distance de
celui-ci. Il a aussi supposé l’existence des neutrons, qui seraient découverts en 1932 par
Chadwick.

Le modèle de Rutherford présentait deux grands inconvénients :


- Les électrons, en tournant autour du noyau, devraient émettre de l’énergie et ils
devraient terminer par tomber sur le noyau.
- Selon ce modèle, les spectres atomiques devraient être continus, car l’électron
émettrait de l’énergie de façon continue.

2. Le modèle atomique de Bohr (et Sommerfeld)


En 1913, Niels Bohr a élaboré une théorie qui explique la
stabilité de l’atome en se basant sur la mécanique quantique. Il l’a
énoncée sous forme de trois postulats :
1. Premier postulat :
Les électrons dans un atome possèdent une certaine quantité d’énergie
qui, sans influence extérieure, ne change pas. Un électron peut graviter
autour du noyau sans émettre de l’énergie. Il décrit alors une orbite bien
déterminée. On dit qu’il se trouve à l’état stationnaire ou fondamental.

2. Deuxième postulat :
Seulement certaines quantités d’énergie sont permises aux électrons. Ils
se situent à des étages distincts et bien définis appelés niveaux ou
Niels Bohr couches. Chacun de ces niveaux est occupé par un ou plusieurs
électrons.
Ces niveaux ou couches sont désignés respectivement par les lettres K,
L, M, …
3. Troisième postulat :
Lorsqu’un électron saute d’une orbite à une autre plus proche du noyau, il
y a émission d’une radiation électromagnétique dont la fréquence (ν) est
proportionnelle à la libération d’énergie qui la provoque. Cette énergie est
donnée par la formule :

∆E = E2 − E1 = h ⋅ ν

- 17 -
où :
E2 et E1 sont les énergies correspondantes aux niveaux 2 et 1
. -34 .
h est la constante de Planck = 6,62 10 J s
ν est la fréquence de la radiation

3. Le spectre de l’hydrogène et les séries spectrales


L’état normal ou état fondamental d’un atome correspond à l’énergie minimale, qui se
trouve réalisée lorsque les électrons décrivent les orbites les plus proches du noyau.
L’atome d’hydrogène, par exemple, se trouve à l’état fondamental lorsque son électron se
trouve à la couche K.
Si par suite d’un apport d’énergie extérieure, un électron se situe sur une orbite plus
éloignée, on dit que l’atome d’hydrogène est excité. Cet état est instable et de courte durée,
car l’électron retournera tout de suite à la couche K. Cette chute est accompagnée d’une
émission d’énergie :

∆E = h ⋅ν = En − En′

Lorsqu’un élément est excité et à l’état gazeux, il produit un rayonnement discontinu ou


spectre de raies, qui est caractéristique de chaque élément.

Le spectre d’émission de l’hydrogène présentera donc plusieurs séries de raies,


correspondant à la chute d’un électron jusqu’aux différentes couches ou niveaux :
a. la couche K : série de Lyman n=1
b. la couche L : série de Balmer n=2 (visible)
c. la couche M : série de Paschen n=3
d. la couche N : série de Brackett n=4
e. la couche O : série de Pfund n=5
f. la couche P : série de Humphreys n=6

La relation de Rydberg
Le physicien suédois Rydberg a formulé une relation qui permet de déterminer les
fréquences des raies de n’importe quelle série spectrale :

1  1 1  c
= R 2 − 2  ; avec ν =
λ  n n′  λ

- 18 -
. 7 -1
où : R est la constante de Rydberg = 1,097 10 m
n et n’ sont deux nombres entiers tels que n’>n
Pour la série de Lyman, n=1 ; pour celle de Balmer, n=2 ; etc.
λ est la longueur d’onde de la radiation

4. Exercices
23. a) Expliquer l’origine du spectre de raies de l’atome d’hydrogène
b) Le diagramme ci-dessous montre une partie des séries du spectre de
l’hydrogène.
1) Identifiez les séries spectrales X et Y
2) Laquelle des deux séries donne naissance au spectre visible ?
(EN03)

5
4
3

2
Y

longueur d'onde
1
X

Réponse :
a) La chute d’un électron d’une couche plus éloignée sur une couche plus
proche du noyau produit une émission d’énergie.
b) 1. X : série de Lyman ; Y : série de Balmer
2. La série de Balmer (Y) est comprise dans le spectre visible (400 –
800 nm)

24. Calculer la longueur d’onde correspondant à la chute d’un électron de la


troisième à la deuxième orbite.

Réponse :
1  1 1  1
= R 2 − 2  ; λ= = 6.56 ⋅ 10− 7 m
λ n n′  1 1
1.097 ⋅ 107 ⋅  − 
4 9

25. Calculer la longueur d’onde et la fréquence de la deuxième raie de la série de


Balmer, ainsi que l’énergie libérée.

Réponse :
1 1 1  1
Longueur d’onde : = R −  = 1.097 ⋅ 107 ⋅ 0.1875 ; λ = = 4.86 ⋅ 10− 7 m
λ  4 16  2056875
c 300000000 m/s
Fréquence : ν = = = 6.17 ⋅ 1014 s-1
λ 4.86 ⋅ 10- 7 m
Energie : ∆E = h ⋅ ν = 6.62 ⋅ 10−34 J ⋅ s × 6.17 ⋅ 1014 s-1 = 4.08 ⋅ 10−19 J

5. Les sous-couches. Formule électronique d’un élément


Dans chaque niveau d’énergie les électrons sont répartis sur des sous-niveaux ou
sous-couches, désignées par les lettres s, p d et f.
Le nombre maximum d’électrons que l’on peut trouver sur chaque sous-couche est
2
égal à 2n :

- 19 -
NIVEAU n Nombre d’électrons
K 1 2
L 2 8
M 3 18
N 4 32

Le nombre maximum d’électrons que l’on peut trouver sur chaque sous-couche est:

SOUS-NIVEAU Nombre d’électrons


.
s 2 1 2
.
p 2 3 6
.
d 2 5 10
.
f 2 7 14

Configuration électronique d’un élément

C’est une formule qui nous renseigne sur la distribution des électrons pour chaque
élément.
L’état de chaque électron est représenté par un nombre (correspondant à la
couche) et une lettre (correspondant à la sous-couche : s, p , d ou f). En exposant, sur ces
symboles, on porte le nombre d’électrons correspondant à chaque sous-couche.

Exemple : l’élément magnésium comporte 12 électrons, répartis de la façon


suivante :
2
Couche K 2 électrons notés 1s
2
Couche L 2 électrons notés 2s
6
6 électrons notés 2p
2
Couche M 2 électrons notés 3s
2 2 6 2
Alors, la formule électronique du magnésium est : 1s 2s p 3s

Pour trouver facilement la configuration électronique d’un élément nous utilisons le


tableau suivant :

1s

2s 2p

3s 3p 3d

4s 4p 4d 4f

5s 5p 5d 5f

6s 6p 6d

7s 7p

Remarque
x
Les éléments dont la fin de remplissage est du type ns appartiennent au bloc s et
sont des métaux.
x
Les éléments dont la fin de remplissage est du type np appartiennent au bloc p et
sont des non-métaux.

- 20 -
x
Les éléments dont la fin de remplissage est du type nd appartiennent au bloc d et
sont des métaux de transition.
x
Les éléments dont la fin de remplissage est du type nf appartiennent au bloc f et
sont des lanthanides ou des actinides.

6. Exercices
26. Etablir la configuration électronique de :
2 2 6 2 6 1
a) K 1s 2s 2p 3s 3p 4s
+ 2 2 6
b) Na 1s 2s 2p
2- 2 2 6
c) O 1s 2s 2p

27. Combien d’électrons possède le calcium dans les sous-niveaux p ?


2 2 6 2 6 2
Réponse : Ca : 1s 2s 2p 3s 3p 4s
Le calcium possède 12 électrons p

28. Ecrivez la configuration électronique pour les éléments ayant respectivement 3,


15 et 25 électrons. Classez ces éléments en blocs s, p ou d. (EN2001MP)

Réponse :
Z Configuration Bloc
2 1
3 1s 2s s
2 2 6 2 3
15 1s 2s 2p 3s 3p p
2 2 6 2 6 5 2
25 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s d

29. Le cobalt, le cuivre, le fer et le manganèse sont des éléments du bloc d


(Numéros atomiques : Co : 27 ; Cu : 29 ; Fe : 26 ; Mn : 25)
a) Que signifie élément du bloc d ?
2+ 3+ 2+
b) Quelles sont les configurations électroniques de Cu, Fe , Co et Mn ?
(EN2001MP)

Réponse :
a) Bloc d : signifie que la fin de remplissage de ces éléments est du type
nd. Ce sont des métaux de transition appartenant aux groupes B du
tableau périodique.
2 2 6 2 6 10 1
b) Cu : 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s
2+ 2 2 6 2 6 4 2
Fe : 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s
3+ 2 2 6 2 6 4 2
Co : 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s
2+ 2 2 6 2 6 3 2
Mn : 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s

30. Soient A, B, C et D quatre éléments de numéros atomiques respectifs 20, 35,


38 et 56. Pour chacun d’eux, donnez :
a) Sa configuration électronique
b) Sa période
c) Son groupe
d) Son bloc

Réponse :
Elément Configuration Période Groupe Bloc
2 2 6 2 6 2
A 1s 2s 2p 3s 3p 4s 4 IIA s
2 2 6 2 6 10 2 5
B 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s 4p 4 VIIA p
2 2 6 2 6 10 2 6 2 2
C 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s 4p 4d 5s 5 IVB d
2 2 6 2 6 10 2 6 10 2 6 1
D 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s 4p 4d 5s 5p 6s 6 IA s

7. Le principe d’incertitude de Heisenberg


En 1927, Heisenberg a formulé le principe d’incertitude :

Il n’est pas possible de connaître exactement et en même


temps la position et la vitesse d’une petite particule comme
l’électron.

- 21 -
On comprend alors qu’on ne pourra désormais parler d’orbite ou de couche, mais
plutôt de probabilité de présence de l’électron en un certain point de l’espace.

8. Les orbitales
Une orbitale est la région de l’espace autour du noyau où la probabilité de trouver
l’électron est maximale, supérieure au 99%.
Chaque orbitale peut contenir au maximum 2 électrons.

Schrödinger a établi l’équation pour décrire le mouvement de l’électron :


δ 2 Ψ δ Ψ δ 2 Ψ 8π 2 m
+ 2 + 2 + 2 (E − V )Ψ = 0 (équation différentielle du second degré)
δx 2 δy dz h
Les solutions de cette équation nous donnent les valeurs de Ψ (amplitude de
l’onde de l’électron) et E (énergie de l’électron).

Forme des orbitales

Les solutions de l’équation de Schrödinger donnent les formes des différentes


orbitales :

a) Orbitales s : (sphère)

b) Orbitales p: (haltère)

c) Orbitales d : (formes variées)

Energie des orbitales (à étudier après les nombres quantiques)

Une orbitale est représentée par un couple indiquant les valeurs des deux premiers
nombres quantiques

Par exemple : pour 4d : n = 4, l = 2

- 22 -
L’orbitale la plus stable est celle dont la somme (n + l) est plus petite.
Si deux orbitales ont la même valeur pour (n + l), la plus stable est celle dont la
valeur de n est plus petite.

Exemples :
- Etant donné 3d et 4s : 3d : 3 + 2 = 5
4s : 4 + 0 = 4
C’est 4s la plus stable.

- Etant donné 5p et 6s : 5p : 5 + 1 = 6
6s : 6 + 0 = 6
C’est 5p la plus stable.

9. Les nombres quantiques


Il y a quatre nombres quantiques pour exprimer l’état des électrons. Voyons la
signification de chacun :

a) Nombre quantique principal (n)


Le nombre quantique principal représente le volume d’une orbitale ou la
distance moyenne qui sépare un électron du noyau.
Il prend des valeurs entières de 1 à 7. Ces valeurs se correspondent aux
couches K , L, M, N, O, P et Q du modèle de Bohr.

b) Nombre quantique secondaire (l)


Ce nombre représente la forme de l’orbitale. Il prend les valeurs
comprises entre 0 et (n – 1)

Exemple : pour n = 1 ; l = 0
pour n = 2 ; l = 0 ou l = 1
pour n = 3 ; l = 0 ou l = 1 ou l = 2

A chaque valeur de l correspond une forme d’orbitale, et l’électron sur


cette orbitale porte une lettre (s, p, d ou f) :

l Nom Forme
0 s (sharp) Sphérique
1 p (principal) Haltère
2 d (diffuse) Double haltère
3 f (fundamental) Formes compliquées

c) Nombre quantique magnétique (m)


Ce nombre définit l’orientation des orbitales dans l’espace quand on les
soumet à un champ magnétique (Effet Zeeman).
Il peut prendre toutes les valeurs entières entre – l et + l, y compris le
zéro. En tout, (2l + 1) valeurs possibles.

Exemple : pour l = 1 ; m = -1 ou m = 0 ou m = +1

d) Nombre quantique de spin (s ou ms)


Ce nombre représente les orientations possibles de l’électron par rapport
à un axe de référence. Il peut prendre deux valeurs : + ½ et – ½.
Le spin d’un électron est représenté symboliquement par une flèche
pointant vers le haut ou vers le bas : ↑ ou ↓ .

e) Remarque
Une orbitale est définie par trois nombres quantiques (n, l et m), mais un
électron a besoin des quatre nombres quantiques pour être défini.

- 23 -
10. Le principe d’exclusion de Pauli
« Dans un atome donné, il ne peut exister deux électrons caractérisés par les
quatre mêmes nombres quantiques » Deux électrons doivent différer au moins par la valeur
d’un des nombres quantiques.
C’est-à-dire, deux électrons d’un même atome ne peuvent pas se trouver dans des
états énergétiques identiques.

On appelle doublet d’électrons (ou paire) deux électrons caractérisés


par les mêmes nombres quantiques n, l et m, et qui diffèrent par leur spin.
Ils occupent une même orbitale. Ils sont appelés appariés. On les
représente par : ↑↓

On appelle électron célibataire un électron isolé, se trouvant seul dans


une orbitale. On le représente par : ↑

Lorsque les électrons d’un atome occupent les niveaux de moindre énergie, on dit
que l’atome se trouve dans son état fondamental. Si ce n’est pas le cas, on dit qu’il est à
l’état excité.

Exemples :

1s 2s 2p
Be à l’état fondamental

1s 2s 2p
Be à l’état excité

11. Règle de Hund


« Dans un atome, les électrons qui occupent des orbitales de même énergie le font
avec le plus grand nombre possible d’électrons célibataires, avec des spins parallèles. »

Donc, les électrons se placent d’abord en raison de 1 par orbitale, et ils ne


s’apparient en doublets que s’ils sont plus nombreux que les orbitales.
Si c’est comme ça, on dit que l’atome est à l’état fondamental. Si ce n’est pas le
cas, on dit que l’atome est à l’état excité.

Les atomes les plus stables sont ceux dont toutes les orbitales sont occupées.
Les atomes dont les orbitales sont semi occupées présentent aussi une stabilité
additionnelle.

12. Configuration électronique et distribution des électrons


Les configurations les plus stables sont celles où toutes les orbitales sont
complètement occupées (gaz nobles) ou bien complètement semi-
occupées, par exemple l’azote.

Z Elément Configuration 1s 2s 2px 2py 2pz


1
1 H 1s ↑
2
2 He 1s ↑↓
2 1
3 Li 1s 2s ↑↓ ↑
2 2
4 Be 1s 2s ↑↓ ↑↓
2 2 1
5 B 1s 2s p ↑↓ ↑↓ ↑
2 2 2
6 C 1s 2s p ↑↓ ↑↓ ↑ ↑
2 2 3
7 N 1s 2s p ↑↓ ↑↓ ↑ ↑ ↑
2 2 4
8 O 1s 2s p ↑↓ ↑↓ ↑↓ ↑ ↑
2 2 5
9 F 1s 2s p ↑↓ ↑↓ ↑↓ ↑↓ ↑

- 24 -
2 2 6
10 Ne 1s 2s p ↑↓ ↑↓ ↑↓ ↑↓ ↑↓

13. Les symboles de Lewis


Dans les symboles de Lewis, le symbole de l’élément représente le cœur de
l’atome (noyau + électrons non périphériques). Les électrons de la dernière couche sont
représentés par des points disposés autour du symbole.

Les électrons célibataires sont représentés par des points isolés, tandis que les
doublets électroniques sont représentés par un couple de deux points ou par une barre.

Ia IIa IIIa IVa Va VIa VIIa VIIIa

14. Electronégativité
On appelle électronégativité la force avec laquelle le noyau attire les électrons
périphériques partagés dans une liaison avec un autre atome.

Le fluor est l’élément le plus électronégatif. Le césium est le moins électronégatif


(plus électropositif)

I II III IV V VI VI

1 H

2 Li F
Electronégativité croissante

3
4
5
6 Cs At

Electronégativité croissante

a. Dans une même période, l’électronégativité augmente avec le


nombre d’électrons de la dernière couche ; donc, de gauche à droite.
b. Dans un même groupe, l’électronégativité diminue avec la masse
croissante du noyau. Plus le rayon de l’atome est petit, plus
l ‘électronégativité est grande.
c. L’hydrogène occupe une position centrale dans l’échelle
-
d’électronégativité (ε H = 2,1)
d. Les éléments des groupes B ont des électronégativités proches de 2.

- 25 -
Voici les valeurs de l’électronégativité pour les principaux éléments :

K Na Ca Mg Al Si H P
0.8 0.9 1.0 1.2 1.5 1.8 2.1 2.1
I C S Br N Cl O F
2.4 2.5 2.5 2.8 3.0 3.0 3.5 4.0

15. Exercices
31. Donnez les valeurs possibles de l et m pour n = 3

Réponse :
n l m
3 0 0
1 -1
0
+1
2 -2
-1
0
+1
+2

32. Ecrire l’ensemble des nombres quantiques correspondant à un électron :

a) 5p :
n l m s
5 1 -1 +1/2
-1/2
0 +1/2
-1/2
+1 +1/2
-1/2

b) 3d :
n l m s
3 2 -2 ±½
-1 ±½
0 ±½
+1 ±½
+2 ±½

33. Parmi les groupes de valeurs (n, l, m) suivants, lesquels sont corrects ?

a) (2, 1, 0) : vrai
b) (2, 2, 1) : faux : l ne peut pas être égal à n
c) (0, 0, 0) : faux : n ne peut pas être égal à 0
d) (0, -1, 1) : faux : n ne peut pas être égal à 0 ; l ne peut pas être négatif
e) (2, 1, -2) : faux : m doit être compris entre -1 et 1
f) (3, 2, -1) : vrai

34. Etant donné les éléments A, B, C, D de numéros atomiques respectifs 20, 35,
38 et 56, ordonnez-les selon leur électronégativité croissante.

Réponse :

Elément Configuration Période Groupe


2 2 6 2 6 2
A 1s 2s 2p 3s 3p 4s 4 II A
2 2 6 2 6 10 2 5
B 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s 4p 4 VII A
2 2 6 2 6 10 2 6 2
C 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s 4p 5s 5 II A
2 2 6 2 6 10 2 6 2 6 2
D 1s 2s 2p 3s 3p 3d 4s 4p 5s 5p 6s 6 II A

- 26 -
I II III IV V VI VII VIII
1
2
3
4 A B
5 C
6 D

Ordre croissant d’électronégativité : εD < εC < εA < εB

- 27 -
- 28 -

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