Introduction
Le mot, dérivé du verbe latin licere (« être permis »), renvoie, au début du XIIe siècle, aux
notions positives de « liberté », et d'« oisiveté ». Puis, à partir du XVIIIe siècle, il évolue vers
le sens de « distraction ».
Une activité non obligatoire et qui procure du plaisir pratiquée pendant les temps libres : c.-à-
d. le temps qu’il reste après le travail, le transport, les tâches domestiques, les obligations
sociales, les soins personnels, etc.;
Une expérience, c’est-à-dire ce que nous ressentons quand nous affirmons vivre un moment
de loisir ou pratiquons une activité de loisir.
II. Historique
Les mythes fondateurs1 décrivent un état originel de l'humanité où les degrés de liberté et
de loisir semblent majoritaires puis cet ère du loisir et la société de l'abondance et de la
gratuité sont rattrapées par une nouvelle formulation du principe de réalité marquée par la
raréfaction des biens et la nécessité du travail
Temps modernes
Conférence nationale adopte dès sa première session une Convention sur la durée du
travail, ellea eu notamment pour objet de garantir aux travailleurs, outre les heures de
sommeil nécessaires, un temps suffisant pour faire ce qui leur plaît, ainsi que l'indique
exactement l'étymologie du mot "loisirs".
Ce temps libre permet de participer à plusieurs activités autres que celles dédiées à la
« survie » ou à la « reproduction ». Ainsi s’investir dans des associations, développer ses
compétences ou exercer une activité différente ( culture, peinture, jardinage, sport...).
Le loisir contribue à l’amélioration de la qualité de vie des personnes hébergées ou ayant des
problèmes de santé. Il devient un puissant moyen de motivation pour inciter la personne à se
prendre en main, à réaliser des choses, soit individuellement ou collectivement, dans des
activités divertissantes, valorisantes et variées.
PHYSIQUE:
*Diminution des risques cardiovasculaires;
*Diminution des risques respiratoires;
*Augmentation des habiletés fonctionnelles (motricité, souplesse, flexibilité).
COGNITIF:
*Augmentation de la concentration;
*Diminution de la confusion (de la désorientation);
*Augmentation de son orientation dans la réalité
SATISFACTION DE VIE:
*Plus grande satisfaction de la vie;
*Meilleure perception de la qualité de vie;
*Maintien des contacts sociaux (famille, proche, accès à la communauté, etc.).
Psychosociaux :
*Diminution de la dépression;
*Diminution de l’anxiété;
*Diminution du niveau de stress;
• Dans tous les cas, cette démarche ne nécessite aucun talent préalable et ne se préoccupe pas
de la qualité de l'œuvre finale.
L’art-thérapie est une démarche créative, concrète qui sollicite le corps, mais aussi
l'imagination, les pensées et les émotions.
Dans une démarche de psychothérapie, les œuvres ainsi créées permettent aux patients de
dévoiler certains aspects de soi et d’explorer des pistes vers la guérison.
Les vertus thérapeutiques de l’art comme source de libération, révélateur ou catalyseur d’une
transformation ne sont pas une découverte récente. Déjà en Grèce antique, le théâtre était
connu pour son effet libérateur sur les maux de l’âme. Au début du XXème siècle, le
psychiatre Carl G. Jung avait déjà expérimenté et utilisé les bienfaits de l’expression par le
dessin, mais il fallut attendre les années 1930 pour que cette forme de thérapie voit
officiellement le jour. En favorisant la créativité, cette méthode permet l'affirmation de soi et
peut créer un sentiment de bien-être, d'autonomie et de liberté
Son implantation peut en faire un pôle attractif au quotidien, un lieu d’animation. Par son
activité propre et les nouveaux usages qu’il induit : réunions, expositions, aires de jeux, etc…
I.
La politique national vis-à-vis du loisir.
L’environnement économique, par contre, n’est pas vraiment favorable. Le pouvoir d’achat
et les salaires des Algériens sont peu élevés. Or qui dit loisir, dit généralement dépenses. Et
comme ici il n’y a pas d’industrie des loisirs, les gens cherchent juste à satisfaire le minimum
de leurs besoins.
Le problème est qu’il y a un manque de logements en Algérie et donc l’Etat construit des
bâtiments uniquement pour répondre à cette demande et acheter ainsi la paix sociale. Les
immeubles forment des quartiers dortoirs dans lesquels on ne pense pas à planifier des
espaces de loisir.
Il existe, en effet, de grandes différences entre les grandes villes et les petites. Dans ces
dernières il y a une absence quasi-totale d’infrastructures de loisir. Néanmoins, bien que les
grandes villes disposent de plus d’infrastructures, leur nombre est encore insuffisant et elles
ne sont pas forcément entretenues.
Les déséquilibres ne se limitent pas uniquement à des différences entre les régions
urbaines et rurales, il existe également des disparités entre les quartiers d’une même ville.
Ces disparités peuvent même créer des conflits entre les jeunes de différents quartiers ou
villes car ceux qui n’ont pas d’infrastructures se déplacent dans le quartier des autres pour
en profiter.
Dans tous les cas le projet doit, dès le départ, résoudre les questions d’implantation de
l’équipement dans le tissu et dans le paysage urbain, intégrer la conception et l’aména-
gement de l’ensemble du site. L’équipement est indissociable de ses abords.
Les aires d’accès et de stationnement, les nuisances sonores, sont des contraintes à
intégrer de façon à minimiser leur impact sur l’existant et l’urbanisation future. Les espaces
extérieurs, plus qu’un décor, constituent des prolongements intéressants de l’activité
intérieure, de la vie communale, des liaisons urbaines. L’ensemble offrira une image de la
collectivité, une représentation de sa vie culturelle et de son activité festive.
Un parc de loisirs est un espace en plein air fournissant des activités de loisirs et de
divertissement.
les parcs de loisirs et d'attractions (du modèle de fêtes foraines) proposant des
manèges ou des attractions qui forment l'équivalent d'une fête foraine sédentaire ;
les parcs de loisirs à thèmes, où le visiteur est immergé dans un thème donné
(cinéma, far west, fantaisie...) au moyen notamment de décors, de musique... ;
les parcs animaliers (ou parcs zoologiques), qui peuvent mélanger zoo et attractions,
souvent sur le thème de la nature, des animaux... ;
les parcs aquatiques, ne comportant que des activités aquatiques, piscines à vagues,
piscines munies de jeux d'eaux, de toboggans, de différents bassins... ;
les parcs forestiers, qui peuvent proposer des activités acrobatiques, de
l'accrobranche, de la tyrolienne, des parcours aventures, du tir à l'arc... ;
les parcs scientifiques, qui mélangent sciences et attractions (Océanopolis, Cité des
sciences et de l'industrie)... ;
les parcs de miniatures, offrant au visiteur des reproductions à l'échelle miniature de
bâtiments, de monuments ou de lieux populaires.