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MOT DE L’AUTEUR ET RÉFLEXION FINALE


de François Galarneau

Dans le siècle de facilité, de confort, où tout doit être rapide, facile et en même temps, performant, nous cherchons à sauver du
temps.

La discipline doit nous offrir les moyens les plus sophistiqués pour nous épargner temps et argent.

Nous désirons, en fait, une discipline rapide et facile, alors que l’authentique discipline demande du temps et de l’effort.

Nous vivons dans un siècle où la modernisation a pris le dessus et nous inculque une fausse mentalité de la discipline.

Même la nature nous montre que les fruits et les légumes ne peuvent pas pousser en une semaine. Si nous essayons de forcer le
processus de croissance et que nous ne respectons pas les cycles de la nature, elle se révoltera contre nous, nous récolterons alors
ce que nous aurons semé.

La réelle discipline consiste à nous faire violence et à cesser de vouloir nous épargner.

La vraie discipline prend du temps, fait mal et côtoie la faiblesse et la fatigue avant de développer des capacités nouvelles pour
avoir, comme résultat, de l’endurance dans la souffrance et pour produire des fruits durables — 1 Pierre 5:10 :
1 - le perfectionnement,
2 - l’affermissement,
3 - devenir plus fort, adulte et mature,
4 - devenir inébranlable.

La vie elle-même nous montre que c’est à force de nous exercer que nous développons forces et habiletés.

Pour apprendre à marcher, il faut savoir tomber, puis se relever, et comme un jeune enfant il faut traverser les cycles de croissance
pour devenir un adulte.

Spirituellement, c’est aussi la Loi de croissance qui nous fait grandir en développant chaque aspect pour que nous devenions forts,
matures, habiles et sages.

Pour réussir notre combat contre le péché nous devons travailler en accord avec Dieu, dans la méditation d’un verset approprié,
dans la prière, nous devons accepter Dieu comme notre Maître et Seigneur, nous devons travailler notre état d’esprit pour que
notre esprit se tranquillise, se repose sur ce que Dieu dit dans le verset approprié à la circonstance et à la tentation que nous
combattons.
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† MOT DE L’AUTEUR ET RÉFLEXION FINALE

Mais avant de combattre, il faut se calmer, retrouver un état d’esprit fort et soumis — Ésaïe 30:15 :
1 - le premier combat consiste à nous repositionner jusqu’à ce que notre esprit soit en communion avec l’Esprit de
Dieu,
2 - découlera de cet exercice un abandon, une soumission et un consentement à laisser à Dieu la première place
qui Lui revient, sinon nous risquons que la chair prenne le dessus,
3 - tant que nous nous agitons, que nous nous excitons, nous ne sommes pas prêts. Il faut d’abord retrouver la
sérénité d’esprit pour être prêts à nous reposer dans le Seigneur.

Ce qui implique :
1 - venir à Dieu dans la confession et la repentance — 1 Jean 1:9,
2 - nous approprier un principe ou une promesse, exemple : « Je puis tout par Celui qui me fortifie »,
3 - méditer et prier sur cette promesse,
4 - passer à l’action, nous appuyant sur cette promesse, et non sur nos scénarios, notre imaginaire ou notre intel-
ligence charnelle,
5 - laisser le Saint-Esprit agir en nous par cette promesse et ne donner aucun accès au diable par aucune entrée
selon la chair.

Finalement, laisser à Dieu la place qui Lui revient afin d’éviter plusieurs fois la même réprimande — Hébreux 12 — et ainsi éviter
le très grand danger de l’endurcissement de notre cœur — Hébreux 4:1-12.

Ce livre contient une infime partie du plus beau message que Dieu a voulu laisser en héritage à ce monde démuni et misérable.
À nous, maintenant, de nous l’approprier. Amen.

Jamais il n’y aura d’autres livres plus actuels et plus précis que la Parole de Dieu, « la Bible ». Prêtons-Lui attention pendant qu’il
est encore temps de le faire !

Ceux qui réussiront dans leur vie spirituelle ce sont ceux qui s’approprient la Foi et en qui cette Foi produira méditation, engage-
ment, détermination, passion, humilité, soumission et obéissance dans la pratique de tous les jours, dans le dialogue avec Dieu.

Pour l’église : Faisons bien attention de négliger les avertissements contenus dans la Bible, car ils nous ont été donnés pour notre
instruction à nous aussi qui sommes parvenus à la fin des siècles. 2 Timothée 3:16 — 1 Corinthiens 10, 11,12.

Sujets à étudier : 1 Corinthiens 2:6-16; 3:9-11; 11:16; chapitres 10, 11,12; 14:37 — Hébreux 6:7-8; 9:1-28.

LA MARCHE PAR L’ESPRIT


1 Corinthiens 13:11

Autrefois, sans Dieu, la Loi des commandements de Dieu provoquait la chair, et le péché avait du pouvoir sur nous, mais mainte-
nant, c’est l’inverse qui se passe. La Loi de l’Esprit de vie motive notre être intérieur et non plus la chair.
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Motivé par l’Esprit l’être intérieur est rendu capable, par la haine du mal et l’Amour de Dieu, d’inverser le processus, c’est-à-dire
qu’au lieu de provoquer la chair et d’être impuissant face au péché, la Loi de l’Esprit motive en nous une défensive et une offensive
spirituelles pour combattre par l’Esprit, ce qui autrefois, par la chair, était sans force.

Étant maintenant conduits par l’Esprit nous avons, contrairement à Romains Chapitre 7, la volonté et le pouvoir de faire le bien.

Nous pouvons prendre position contre le péché par la nouvelle nature spirituelle qui nous habite et nous pousse, qui nous presse à
nous défendre, voire même à passer à l’attaque. Nous avons maintenant ce nouveau réflexe spirituel par la Parole de Dieu, nous
avons cette autorité pour faire face à l’ennemi, le diable, et de pouvoir le vaincre par la marche par l’Esprit au lieu d’être vaincus
par la chair. Voir 2 Corinthiens 5:14 — Galates 4:1-7.

Que diriez-vous si nous changions de langage qu’au lieu d’employer le langage de la chair pour nous enfoncer dans le péché,
nous prenions le langage intérieur de l’Esprit pour enfin vaincre ce qui autrefois, par la chair, nous rendait vaincus, même vendus
au péché. Voir 1 Corinthiens 2:15 et Matthieu 4:4.

La Loi par l’interdit provoquait le péché dans la chair. Nous sommes maintenant dégagés de cette Loi de mort qui nous rendait
sans force. L’Esprit de Dieu, en parfait accord avec la Loi de Dieu, nous dégage de la Loi de l’interdiction afin de nous rendre
obéissants dans une volonté guidée par une intelligence renouvelée qui se soumet à l’illumination du Saint-Esprit.

Pour les derniers chapitres, toutes mes excuses, Jacqueline, pour la promesse que je n’ai pas pu tenir, car lorsque j’ai fait cette
promesse j’étais certain d’avoir terminé, mais le Seigneur a éclairé mon cœur et m’a donné les chapitres suivants. Ces derniers
chapitres concluent très bien ce livre, spécialement le 16e chapitre ou Il m’a montré un plan pour l’église en ce qui concerne la
formation de disciples. Merci d’avoir coopéré avec moi à l’œuvre de Dieu. Je suis enfin en paix, convaincu cette fois-ci que j’ai
réellement terminé. Le livre s’intitule « Introduction à la Thérapie Divine au combat et à la croissance spirituelle » et j’avais oublié
d’écrire sur le sujet. Maintenant tous les aspects du titre ont été traités au complet, alors je suis persuadé qu’en ce qui me concerne
j’ai fait le tour de tous les sujets. Merci pour ton pardon. Amen.

François, quand tu m’as approchée pour me demander si j’acceptais de prendre la relève des personnes qui avaient tapé
les 5 premiers chapitres de ton livre — il devait en rester 4 pour finaliser ton projet d’écriture — j’ai accepté avec plaisir.
Finalement, ton livre en contient 21… Tu sais, François, j’ai vite compris que ton inspiration venait du Seigneur. J’ai été
bénie, tout au long du processus, par ce que je lisais au fur et à mesure que le travail progressait. Je ne pouvais te refuser
mon appui. Ce livre est un vrai trésor, autant pour les croyants en grande détresse que pour tous les croyants en général.
Ce fut un privilège de faire équipe spirituelle avec toi.
Merci François. Je n’ai rien à te pardonner.

Gloire à Dieu.
Ta sœur en Jésus-Christ,
Jacqueline Proulx.
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† MOT DE L’AUTEUR ET RÉFLEXION FINALE

L’APPROCHE DE L’AIDANT
Colossiens 3:12 — Conseils pratiques

La Thérapie Divine, oui, c’est le premier et le meilleur refuge dans la détresse et la souffrance que rencontre tout vrai chrétien à
un moment donné de sa vie.

Exemples : La perte d’un être cher, avoir subi un viol, un traumatisme quelconque, ou autres.

Prions d’abord pour demander à Dieu Sa direction et rendons-nous accessibles.

La personne, tout au long du processus de l’accompagnement, a besoin d’être suivie, de se sentir comprise, d’entendre nos si-
lences devant son désarroi, sa douleur, sa profonde détresse.

Gagnons d’abord le respect et la confiance de la personne et le droit de répondre à ses questionnements, et si nous n’avons pas
de réponse, soyons assez honnêtes et transparents pour le lui dire franchement. Nous prendrons le temps de réfléchir, de prier et
de lui revenir, plus tard, avec la réponse que Dieu nous aura donnée. Si nous avons une réponse, soyons respectueux de son droit
à la dignité, parlons-lui avec amour, compassion, tact et diplomatie.

Réalisons que la personne, à ce moment, est dans un état très vulnérable spirituellement, psychologiquement, émotionnellement
et physiquement.

Tendons-lui la main sans jugement, sans conseil, si on voit qu’elle n’est pas prête à l’entendre, disons-lui simplement et amicalement
que nous sommes avec elle, prêts à lui apporter notre soutien, notre support, notre amour, et que quand elle aura besoin d’aide
dans le futur nous serons toujours prêts et disponibles pour elle.

Laissons ensuite la personne décider si elle désire se confier, ou préfère rester seule, respectons le rythme de sa démarche, et au
moment où elle sera prête elle n’aura qu’à nous faire signe.

Soyons sensibles à sa fragilité, offrons-lui de prier avec elle, si elle le désire. N’imposons jamais rien et attendons et prions en
attendant qu’elle se manifeste. Ne soyons pas surpris, il est possible qu’elle préfère que nous priions pour elle.

À la limite, n’ayons pas peur, ou soyons assez humbles pour lui recommander quelqu’un de plus compétent que nous, tout en lui
faisant savoir que nous demeurons toujours à sa disposition, aussi longtemps qu’elle en sentira le besoin.

J’espère que ce résumé de l’approche à avoir à de tels moments saura aussi encourager l’aidant.

De tout cœur,

François Galarneau, Amen.

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