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Formation Kinesither Rev 2008;(80-81):41-9

Geste pratique
Thérapie manuelle
Thérapie manuelle et ilio-psoas
F ADI D AHDOUH (1), R OBERT N ICAULT (2)

Une approche pragmatique en thérapie manuelle du muscle MOTS CLÉS

ilio-psoas à travers l’utilisation des techniques neuro-


Iliopsoas
musculaires.
Palpation
Biomécanique
Kinésithérapie
Ostéopathie
Thérapie-manuelle

« Étudie, non pour savoir plus, mais pour savoir mieux », Palpation du
Sénèque. muscle iliaque (figure 3)
Variante : cas particulier de la femme enceinte.

À côté des techniques manipulatives avec impul-


sion, appelées High Velocity Low Amplitude (HVLA),
ce travail se propose de mettre l’accent sur l’intérêt de
Patiente en décubitus latéral gauche. Praticien derrière
elle. Avec la main droite, il maintient le genou droit de
la patiente.
l’utilisation des techniques neuro-musculo-squelet-
tiques (Soft tissu techniques) des anglo-saxons dans la
prise en charge au quotidien du muscle ilio-psoas, res-
ponsable de troubles fonctionnels, posturaux et clini-
ques dont la fréquence n’est plus à démontrer.

Anatomie palpatoire

Palpation du muscle psoas (figure 1)


Patient en décubitus dorsal, hanches fléchies, buste re-
levé.
Praticien du côté homolatéral au psoas à palper.
La palpation peut s’effectuer :
– à l’origine, au contact de la colonne lombale ;
Figure 1. Palpation du psoas : corps musculaire.
– sur le corps musculaire ;
– à la terminaison (difficile, présence des adducteurs).

Palpation du muscle iliaque (figure 2)


Patient en décubitus dorsal, hanche droite légèrement
fléchie.
Praticien du côté homolatéral à l’iliaque à palper.
La palpation s’effectue à l’origine, en dessous et en ar-
rière de l’épine iliaque antéro-supérieure.

(1) Chargé de cours à l’IFSO (Institut de formation supérieur en


ostéopathie), Ostéopathe en cabinet.
(2) Directeur de l’IFSO (Institut de formation supérieur en
ostéopathie), Ostéopathe en cabinet.

36, rue des terrasses


10000 Troyes
E-mail : fadidahdouh@free.fr Figure 2. Palpation à l’origine de l’iliaque.

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Auteur
F ADI D AHDOUH , R OBERT N ICAULT Kinesither Rev 2008;(80-81):41-9

Recherche de la douleur

– à la contraction excentrique ;
– à la contraction concentrique ;
– à la contraction isométrique ;
– à l’étirement.

Les douleurs référées du psoas

D’après Travell et Simon, les douleurs référées du psoas


son présentées figure 5.

Recherche de la spasticité du psoas


Figure 3. Palpation de l’iliaque, femme enceinte.
Atteinte neurologique (centrale) du psoas : recherche
de la spasticité en fonction de la vitesse (lente,
La palpation s’effectue à l’origine, avec la main gauche, en moyenne, rapide, etc.), Tardieu.
dessous et en arrière de l’épine iliaque antéro-supérieure
en demandant une légère flexion de la hanche droite.
Évaluation du muscle ilio-psoas
Palpation du muscle iliaque (figure 4)
Variante : patient en position assise.
Recherche de la contracture et de la
Praticien du côté homolatéral à l’iliaque palpé à son origine.
rétraction (figure 6)
L’iliaque est un muscle profond et sa palpation peut être Patient en décubitus dorsal.
accompagnée d’une contraction musculaire pour bien
le percevoir et le localiser.
Le praticien demande une flexion de la hanche de quel-
ques degrés, suivie d’un relâchement (la main caudale
du praticien accompagne le mouvement).

Indication des techniques

Pathologie du muscle psoas


et de ses annexes
– contracture ;
– rétraction ;
– séquelles de déchirure musculaire ;
– amyotrophie (perte de force) ;
– tendinopathie.
Conséquences : douleur (attitude antalgique), gêne à la
marche, etc.

Diagnostic différentiel
– pathologies viscérales (appendicite, douleur rénale,
etc.) ;
– colopathie fonctionnelle ;
– infection (Psoîte) ;
– pathologie herniaire ;
– lombalgie ;
– bursite ilio-pectinée ;
– syndromes du défilé du psoas : nerf crural, obtura-
teur, génito-crural, abdomino-génital. Figure 4. Palpation à l’origine de l’iliaque.

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Thérapie manuelle et ilio-psoas Kinesither Rev 2008;(80-81):41-9

Figure 7. Recherche de la contracture de l’ilio-psoas.

Figure 5. Douleurs référées du psoas,


Traitement du muscle ilio-psoas
d’après Travell et Simon.

Il existe différentes techniques dont l’objectif est de


supprimer l’hyperactivité gamma du muscle qui fixe le
Des mains, il maintient le genou gauche en flexion et
spasme musculaire.
le tracte vers lui de façon à fléchir sa hanche au maxi-
mum et à fixer le bassin et la colonne lombale. Traitement du psoas iliaque : Mitchell
En cas de contracture : présence d’un flexum de han- (figure 8)
che réductible au relâchement du muscle.
Patient en décubitus dorsal.
Recherche de la contracture et de la Membre gauche en triple flexion maintenu entre le
rétraction. thorax et l’épaule du thérapeute.
Jambe droite en débord de table.
Variante : patient en décubitus ventral.
Demander au patient de décoller le genou en direction
Praticien debout du côté homolatéral à la normalisation
du plafond contre la résistance de la main droite du pra-
du muscle. La main crâniale contrôle les compensations
au niveau du bassin tandis que la main caudale tracte
le membre inférieur dans le sens de l’extension de la
hanche (figure 7).
La persistance du flexum évoque une rétraction mus-
culaire ou une hypo-extensibilité.

Figure 6. Recherche de la contracture de l’ilio-psoas. Figure 8. Traitement de l’ilio-psoas : Mitchell.

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ticien pendant quelques secondes suivi d’un relâche- – dans le sens de la flexion de la hanche en résistant
ment. Le praticien gagne alors une nouvelle barrière contre les mains du thérapeute vers le haut ;
motrice en extension. L’iliopsoas droit se relâche. – dans le sens de la rotation latérale de la hanche en
appuyant sur la face interne du pied contre la cuisse
Traitement de l’ilio-psoas (figure 9) du thérapeute.
Patient en décubitus dorsal, sacrum en bout de table. Le travail de résistance isométrique permet une syner-
Membre gauche maintenu par le patient en triple gie de plusieurs muscles en particulier du psoas droit.
flexion maximale et genou droit en flexion. Après la contraction musculaire contre résistance, le pa-
Le thérapeute maintient avec une main le genou droit tient se relâche et le thérapeute gagne en amplitude
et avec l’autre main stabilise le bassin.
Le patient résiste contre la main caudale du thérapeute
en poussant vers le haut (10 secondes) puis relâche.
Le praticien gagne en amplitude dans le sens de l’exten-
sion de la hanche. Manœuvre à répéter plusieurs fois.
Variante (figure 10) : idem que la technique précédente.
Le thérapeute maintient cette fois-ci le membre en tri-
ple flexion au niveau du genou.
Les directives sont identiques aux précédentes.

Technique de traitement de l’ilio-psoas :


méthode de Grieve (figure 11)
Patient en décubitus dorsal, sacrum en bout de table, il
maintient le membre inférieur gauche en triple flexion
maximale.
Le côté droit du psoas à traiter présente un genou flé-
chi légèrement, pied du patient contre la face antéro-
interne de la cuisse du thérapeute.
Les deux mains du thérapeute maintiennent le genou
droit et demande au patient une double poussée :

Figure 10. Traitement de l’ilio-psoas : variante.

Figure 9. Traitement de l’ilio-psoas. Figure 11. Traitement de l’ilio-psoas : méthode de Grieve.

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dans le sens de l’extension de la hanche droite. Ma-


nœuvre à répéter plusieurs fois.
Variante (figure 12) : idem que la technique précédente.
Le thérapeute maintient le membre à traiter au niveau
du genou en extension, l’autre main stabilise le bassin.
Les directives sont identiques.

Technique de traitement de l’ilio-psoas en


décubitus ventral (figure 13)
Patient en décubitus ventral. Membre gauche en dé-
bord de table, fléchi pour stabiliser le bassin.
Praticien debout du côté homolatéral à la normalisation
du muscle. Une main contrôle les compensations au ni-
veau du bassin tandis que l’autre main tracte le mem-
bre inférieur droit, genou fléchi à 90°, dans le sens de
l’extension de la hanche (maximum 10° d’extension).
Le patient résiste contre la main caudale du thérapeute
vers la table de traitement tandis que le thérapeute,
pendant la phase de relâchement, essaie de franchir
une nouvelle barrière motrice vers l’extension. Le thé-
rapeute maintient ensuite l’étirement de 10 à 30 secon- Figure 13.
des amenant à un relâchement du psoas droit. Traitement de
l’ilio-psoas.
Technique d’inhibition de l’ilio-psoas : type
Sherrington – troisième technique (figure 16) : patient en décubitus
Le principe consiste à obtenir une contraction puissante dorsal, genou gauche allongé le long de la table. Le
du muscle antagoniste à l’ilio-psoas à inhiber ce qui en- thérapeute maintient au niveau du calcanéum le
traine son relâchement. membre à traiter en extension et l’autre main vérifie
Trois techniques du type Sherrington peuvent être ef- les compensations au niveau du bassin. Demander
fectuées : une contraction isométrique contre résistance du
– première technique (figure 14) : patient en décubitus grand fessier droit dans le sens de l’extension de la
dorsal, genoux fléchis. Demandez une contraction hanche. Le psoas droit se relâche.
isométrique contre résistance du grand fessier homo-
latéral au psoas à traiter et de l’ilio-psoas controlaté-
ral. Le psoas droit se relâche ;
– deuxième technique (figure 15) : patient en décubi-
tus dorsal, genou gauche fléchi. Demander une
contraction isométrique contre résistance du psoas
gauche controlatéral. Le psoas droit se relâche ;

Figure 14. Traitement de l’ilio-psoas : type Sherrington.


Contraction de l’ilio-psoas controlatéral et du grand fessier
Figure 12. Traitement de l’ilio-psoas : méthode de Grieve. homolatéral.

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Technique de traitement du psoas : protocole


Goodheart (figure 17)
Patient en décubitus dorsal.
Membre inférieur droit en flexion, adduction et rota-
tion latérale.
Membre gauche allongé.
L’autre main du thérapeute appuie sur le point appelé
« tender point » qui se situe au niveau antéro-latérale de
l’os iliaque. Cet appui est maintenu 30 secondes pen-
dant que le patient inspire profondément puis bloque
sa respiration. Une fois que le patient sent un relâche-
ment du « tender point », il reprend sa respiration et l’ap-
pui du thérapeute est relâché.

Techniques de Jones (strain and


Figure 15. Traitement de l’ilio-psoas : type Sherrington. counterstrain) : technique d’inhibition du
Contraction de l’ilio-psoas controlatéral. psoas par libération du trigger point musculo-
tendineux (figure 18)
Patient en décubitus. Membre inférieur droit en triple
flexion. Membre controlatéral allongé.
Une main du thérapeute fléchit la hanche droite et
l’amène en adduction.
L’autre main compresse par son bord cubital ou par le
bout des doigts le tendon du psoas droit pendant 90 se-
condes. Le psoas droit se relâche.
Variante en latérocubitus (figures 19a et b).

Figure 16. Traitement de l’ilio-psoas : type Sherrington.


Contraction du grand fessier homolétéral.

Figure 18. Traitement de l’ilio-psoas : type Jones.

Figure 17. Traitement de l’ilio-psoas : type Goodheart.


Figures 19a et 19b. Strain and counterstrain, décubitus
latéral.

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Figure 20. Traitement de l’ilio- Figure 21. Traitement de l’ilio- Figure 22. Traitement de l’ilio- Figure 23. Traitement de l’ilio-
psoas : type Jones : 2 genoux psoas, type Jones : variante. psoas, type Jones : variante qui psoas, type Jones : variante
fléchis avec pression digitale peut être utilisée pour tester le pour tester les psoas
directe appliquée au côté du psoas gauche. bilatéralement.
psoas.

Techniques de Jones (strain and Technique de traitement ilio-psoas :


counterstrain) Greenman (figure 25)
Variantes (figures 20-23). Patient en décubitus ventral, membre inférieur gauche
en extension le long de la table.
Technique de « pompage du corps Praticien debout du côté gauche. Une main contrôle les
musculaire » (figure 24) compensations au niveau du bassin tandis que l’autre main
Patient est en décubitus dorsal, genoux fléchis sur le ge- tracte le membre inférieur, genou fléchi à 90°, dans le sens
nou droit du thérapeute qui à son tour palpe avec les de l’extension de la hanche (maximum 10° d’extension).
deux mains le corps musculaire du psoas à la face in- Le patient résiste contre la main caudale du thérapeute
terne de l’aile iliaque droite. Dès perception du psoas vers la table de traitement. Le thérapeute, pendant la
iliaque, le thérapeute ponce ce dernier au niveau de son phase de relâchement, essaie de franchir une nouvelle
corps musculaire. Cela permet un relâchement du psoas barrière motrice vers l’extension. Il maintient ensuite
droit. l’étirement de 10 à 30 secondes, amenant un relâche-
ment du psoas droit.

Auto-étirement de l’ilio-psoas (figure 26)


Patient debout face à la table de traitement (position
basse). Le pied gauche se pose sur la table en fléchis-
sant sa hanche et son genou gauche, tandis que sa han-
che droite se positionne en extension. Le dos bien droit,
bassin bien verrouillé.
Le patient auto-étire son ilio-psoas en basculant vers
l’avant. Manœuvre à répéter plusieurs fois.

Méthode de facilitation proprioceptive


neuromusculaire (Kabat) : techniques
globales incluant le psoas (figures 27a et
27b)
Chaîne de Kabat D’C’ pour le psoas homolatéral.
Chaîne de Kabat AB pour le psoas controlatéral.

Conclusion

Figure 24. Traitement de l’ilio-psoas : pompage du corps La participation du muscle ilio-psoas dans les algies
musculaires. lombo-pelviennes est très fréquente. Les techniques

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Figure 25. Technique de traitement ilio-psoas : Greenman.

Figure 26. Technique d’auto-


étirement de l’ilio-psoas.

proposées constituent un panorama non exhaustif des


techniques les plus courantes appliquées au psoas ilia-
que. Le traitement ne saurait se réduire à la seule prise
en charge de ce muscle compte tenu de son environ-
nement anatomique. La persistance de douleurs régio-
nales après traitement musculaire doit imposer au Figures 27a et 27b. Traitement de l’ilio-psoas : Kabat.
praticien une recherche étiologique en particulier vis-
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