R A P P O R T (ANNUEL)
D’UN PROJET DE RECHERCHE
CNEPRU
ANALYSE DE LA DYNAMIQUE DES
ECOULEMENTS DE LA RESSOURCE
HYDRIQUE DU BV DE OUED KSOB AUX
RISQUES DE POLLUTION
Code du projet
GO1320080064
I - IDENTIFICATION DU PROJET
Le bassin versant d’Oued Ksob, fait partie du grand bassin d’Oued Medjerda, situé à
l’extrême Est Algérien aux confins Algéro-Tunisiens, géographiquement est limité par les
coordonnées suivantes :
Latitude : 35° 21` - 35° 43` Nord ;
Longitude : 7° 43` - 8° 21` Est.
I. 2- CADRE GEOLOGIQUE
La zone d’étude fait partie de la structure autochtone Nord- Aurèsienne (Aurès Nememcha)
de l’atlas saharien (R. LAFFITTE 1939, G.DUROZOY 1956, J. M. VILA 1974, W. M
KOVALSKI et al. 1997). Elle est constituée essentiellement des formations suivantes :
- Le Trias diapirique qui disloque des formations carbonatées au niveau du Djebel Djibessa.
- Le Crétacé carbonaté représenté par d’épaisses couches calcairo- marneuses et de marnes
très visibles en bordures de plaine.
- Le Mio-plio- quaternaire qui recouvre toute la plaine, et surtout au piedmont des reliefs
accidentés, en discordance avec les formations précédentes.
Fig.3 : carte géologique de la zone d’étude
Du point de vue structural, la zone d’étude correspond à un grand fossé d’effondrement qui
recoupe orthogonalement des plis d’axes SW-NE.
De grandes fractures, disloquant ces structures, ont donné à la région sa physionomie
actuelle. La plaine est entourée de part et d’autres de deux grands ensembles de masses
calcaires, séparés par des dépressions.
Généralement, les précipitations et les températures sont les facteurs les plus intéressants
dans l'identification du régime d'écoulement, elles conditionnent soit la sécheresse, soit
l'humidification du milieu.
II .1- Pluviométrie
∑S P i i
Pmoy = i =1
S
Avec
Pi + Pi +1
Pi : Précipitation pour la surface ; Pi =
2
Si: surface comprise entre deux isohyètes consécutives Pi et Pi+1 ;
S: surface de bassin.
∑ Si Pi
Pmoy = i =n
= 305.46
S
La méthode des isohyètes, quand elle est utilisée par un hydrologue expérimental qui
tient compte de toutes les informations sur la topographie et les caractéristiques des averses,
donne une distribution plus réaliste des pluies, et donc un bien meilleur résultat.
Les statiques des pluies ponctuelles mesurées doivent être considérées comme
représentatives de la pluviométrie au point considéré et peuvent être admises comme
représentant les valeurs intensité, durée, fréquence, sur des surface limitée en fonction de la
durée de l'événement pluvieux.
Il faut noter que, les valeurs de Pjmax de notre bassin ne sont pas dans l'ensemble des
données (valeurs) mesurées, les valeurs des stations de Meskiana, et Ain Zerga, ce sont des
valeurs estimées par la formule de BODY.
a) -Estimation des valeurs de Pjmax d'après la formule de BODY pour les station de
Meskiana, et Ain Zerga
On va ajuster les données pluviométriques de Pjmax de cette stations par trois lois: la
loi de Gumbel, la loi de gauss et la loi de Galton. (Les stations de Ain Kebira et Bir Mekadem
sont ajustées par la loi log normale et Hammamet par la loi de Gauss).
3- procédé d'ajustement
- classement des valeurs par ordre croissant en leur effectuent un numéro d'ordre.
- calculer la fréquence expérimentale.
- calculer les caractéristiques
- calculer les variables de Gumbel pour chaque valeur observée: U = −[Ln(− Lnf ( x)]
Station P j max S Cv 1/α Pjmax0 LnP j max S LnP j max Loi acceptée
Comme on peut calculer les valeurs extrêmes par l'équation d'ajustement de Gumbel
1
xP% = U + x 0 ; on peut aussi calculer les par la formule
α
P j max U Ln ( Cv ² +1)
Pj max % = e
Cv ² + 1
P j max : Pluies journalières maximales moyenne
U: variable de Gauss
Cv: le coefficient de variation
Les valeurs sont illustrées dans le tableau, à différentes périodes de retour:
Tableau 4: les valeurs extrêmes de Pjmax pendant différentes périodes de retour:
Période de retour 2 5 10 50 100 1000
Fréquence 0.50 0.2 0.1 0.02 0.01 0.001
U (gaéuss) 0 0.84 1.28 2.05 2.32 3.1
Tebessa 36.52 53.74 65.80 93.77 106.17 151.99
Hammamet 29.82 42.79 51.71 72.00 80.86 113.09
Bekkaria 33.66 52.98 67.19 101.83 117.81 179.52
Ain Kebira 25.29 40.14 51.13 78.09 90.59 139.13
Morsott 29.92 40.83 48.04 63.88 70.59 94.21
Meskiana 32.99 34.17 42.61 49.71 52.47 61.33
Ain Zerga 36.04 40.2 42.56 47.05 48.73 53.93
Maa Abiod 30.67 44.38 53.86 75.59 85.12 119.97
Bir Mekadem 10.94 19.21 25.79 43.20 51.77 87.3
Les pluies de courtes durées sont très important pour les petites bassins versants et
peuvent poser des problèmes surtout si le réseau pluviométrique est lâche.
On peut calculer les pluies de courtes durées par la formule:
b
t
Pt % = Pj %
24
t: temps de concentration (temps critique des pluies).
Pt%: pluie de courte durée en heur de fréquence donnée.
Pj%: pluie journalière de fréquence donnée.
b: exposant climatique relative à chaque station,; se donne par la formule:
LnI 2 − LnI 1
b = 1+
LnT2 − LnT1
I1: intensité à 30 minute = 25 mm (d'après GRICO)
Pj
I2: intensité en 24 heurs =
24
T1 = 0.5 h , T2 = 24 h
Les valeurs de "b" pour chaque station des sous B.V sont éclairées dans le tableau suivant :
Tableau. 6: Pluies de courte durée pour différentes fréquence ( Tebessa)
2 5 10 50 100 1000
etour
Fréquence 0.5 0.2 0.1 0.02 0.01 0.001
Durée
0.5 11.41 15.69 18.56 24.86 27.55 37.06
1 13.36 18.38 21.72 29.11 32.26 43.39
2 15.72 21.63 25.57 34.27 37.97 51.07
3 17.39 23.93 28.29 37.91 42 56.49
6 20.34 29.98 33.08 44.33 49.12 66.07
12 23.79 32.74 38.69 51.85 57.46 77.28
24 27.83 38.29 45.26 60.65 67.20 90.39
160 F=0.001
140
120
Densité de pluie (mm/h)
F=0.01
100
F=0.02
80
F=0.1
60
F=0.5
40
20
0 5 10 15 20 25
Fig.6- Courbe –Intensité-Durée-Fréquence
Temps (h) (Station de Tébessa)
-Climagramme d’Emberger
p
Q= .1000
( M + m)( M − m)
2
Où
Q : l’indice climatique d’Emberger ;
P : précipitation moyenne annuelle (mm) ;
M : moyenne des maxima du mois le plus chaud (degrés/kelvin) ;
m :moyenne des minima du mois le plus froid (degrés/kelvin).
Avec
p= 338,12 mm
M= 306,51°K
m= 273,94°K
Q = 35,76
Sur le climagramme, la station concernée est positionnée d’après les coordonnées suivantes :
- En abscisse m (minimal en c° du mois le plus froid (m= 0,74 c°),
- En ordonnées le quotient d’Emberger.
Pour la station de Tébessa sur une période de 31 ans (1972/1973-2002/2003), Q est
évalué à 35.76, d’après le dit diagramme (Fig.9) on peut dire que le climat de Tébessa est de
type semi aride.
Fig.7. Climagramme d’Emberger
-Diagramme ombrothermique
Les échelles prises en ordonnées sont telle que 1c° correspond à 2 mm de précipitation, mis
au point par Gaussen et Bagnouls qui considèrent que la période sèche est celle où la courbe
des températures passe au dessus de la courbe des précipitations, et la période humide dans le
cas inverse.
Le diagramme relatif à la station de Tébessa met en évidence deux périodes bien
distinctes :
- La première humide débute au mois de novembre et se termine au mois de mai,
durant cette période la pluviosité connaît deux épisodes pluvieux, la première au
mois de novembre et la second commence au mois de Février et se termine au mois
de mars.
- La deuxième est sèche et s’étale du mois de juin Jusqu’au mois d’Octobre durant
cette dernière la région de Tébessa reçoit des précipitations orageuses, ce qui la
diffère des régions littorales.
II.2.2- La température
Nous avons pris les données des températures de la station de Tébessa pour la période
d’étude (1972-2003).
Le mois le plus chaud est le mois de juillet avec une température moyenne mensuelle de
(25,87c°).
Le bilan hydrique exprime le processus qui suit une quantité d’eau arrivant au sol par
précipitation ou neige avant de se retourner à l’atmosphère.
L’évapotranspiration potentielle (notée par la suite ETP) est la quantité d’eau qui serait
évaporée ou transpirée à partir d’un bassin versant, si l’eau disponible pour
l’évapotranspiration n’était pas un facteur limitant et sa sous l’action conjuguée de
l’évaporation du sol et de la transpiration de la plante d’un couvert végétal en plein
développement occupant le sol en totalité et sous les conditions optimums d’alimentation en
eau. On considère généralement l’ETP comme une référence climatique traduisant l’incidence
du climat sur le niveau de l’évapotranspiration des cultures.
t a
ETP = 16 (10 ) .K
I
ETP : Evapotranspiration mensuelle (mm) ;
T : Température moyenne mensuelle (C°) ;
I : Indice Thermique annuelle soit la somme des indices de chaleur mensuelle.
12
I = ∑i
1
Avec
1, 514
t
i= .
5
a : L’exposant climatique donné par la formule ;
k : coefficient d’ajustement.
Mois T moyenne mensuelle (c°) Indice i ETP n.c Correction saisonnière ETP c.
J 6,52 1,49 13,47 0,73 9,83
F 7,96 2,02 18,72 0,78 14,60
M 10,28 2,97 28,55 1,02 29,12
A 13,10 4,29 42,60 1,15 48,99
M 18,38 7,17 74,49 1,32 98,32
T 23,25 10,24 109,78 1,33 146,00
J 25,87 12,04 130,93 1,33 174,13
A 25,43 11,73 127,28 1,24 157,82
S 21,24 8,93 94,56 1,05 99,28
O 16,71 6,21 63,65 0,91 57,92
N 10,96 3,28 31,74 0,75 23,80
D 7,90 1,99 18,49 0,70 12,94
12 872,75
I = ∑ i = 72,36
i
Pour corriger les valeurs de l’ETP, il faut les multiplier par un coefficient k qui dépend
de la latitude.
Cette estimation a été faite à partir des données les plus disponibles dans les stations
météorologiques se sont les données des températures moyennes mensuelles interannuelles à
la station de Tébessa, cela veut dire qu’elle représente des résultats fiable de l’ETP dans la
région concernée.
On établit donc un bilan à l’échelle mensuelle.
mois Sept Oct. Nov. Des Jan Fèv Mar Avr Mai Jui Juil Aoù Totale
P (mm) 37.55 27.25 30.95 24.15 25.33 20.36 41.95 29.28 37.42 28.26 12.76 22.86 338.12
T°c 21.24 16.71 10.96 07.90 06.52 07.96 10.28 13.10 18.38 23.25 25.87 25.43 15.63
I 8.93 6.21 3.28 1.99 1.49 2.02 2.97 4.29 7.17 10.24 12.04 11.73 72.36
K 1.05 0.91 0.75 0.70 0.73 0.78 1.02 1.15 1.32 1.33 1.33 1.24 -
ETP c 99.28 57.92 23.80 12.94 9.83 14.60 29.12 48.99 98.32 146.00 174.13 157.82 872.75
P-ETP -61.73 -30.67 7.15 11.21 15.5 5.76 12.83 -19.71 -60.9 -117.74 -161.37 -134.96 -
RFU 0 0 7.15 18.36 29 29 29 9.29 0 0 0 0 -
ETR 37.55 27.25 23.80 12.94 9.83 14.60 29.12 48.99 46.71 28.26 12.76 22.86 314.67
EX 0 0 0 0 4.86 5.76 12.83 0 0 0 0 0 23.45
DA 61.73 30.67 0 0 0 0 0 0 51.61 117.74 161.37 134.96 558.08
Formules de vérification :
∑ ETR + ∑ EX P=
P = 314.67+23.45 = 338.12mm
∑ ETR + ∑ Da ETP =
La zone d’étude est caractérisée par un climat semi aride de type continental (hiver
froid et été chaud), (fortes pluies à l’échelle des temps réduits).
La variabilité des pluies moyennes mensuelles est nettement remarquable, elle est
relativement élevée au mois de mars et faible au mois de juillet.
Les précipitations moyennes annuelle sur une période de 31ans sont estimées à 338
mm et une température moyenne annuelle de l’ordre de 15, 63 C° avec un avec un maximum
au mois de juillet égal à 25.87 C° et un minimum au mois de janvier égal à 6,52°C.
Sur une échelle moyenne, la région est marquée par une forte évapotranspiration réelle
de 314,67mm mobilisant 93,06% des précipitations.
La région a connu une longue période de sécheresse sur laquelle le déficit agricole a
pu atteindre une valeur annuelle de 558,08 mm.
Monbéliard. France.
c- Communication et publications
- Noms des auteurs «titre » titre de la conférence, lieu, date et pp. (Annexe A1).
Titre : Evaluation du risque d’inondation dans les zones semi arides : le cas de la ville de
Tébessa.
-
Auteurs : Baazi Houria1*, Akakba ahmed 2*; Khentouche Adel 3*;Haoues Cherif 4 ,
Kalla Mehdi2*; Derias Tarek 5*
Lieu : Caire ; 17-25 MarS, 2009,
d- Encadrement en graduation
III .3.1 Dépôt de pente : Formé de gélifraction hétérométrique de nature calcaire, grés,
marne.
III . 3.2Tablier d’éboulis.
III .3.3Les glacis :
Formation d'érosion ou d'accumulation dont la pente est inférieure à 8 degré.
Se trouvent principalement sur les piémonts des versants.
III .4. Dynamique du versant : (formes et formation)
Les versants par sa nature lithologique, et sa pente représentent un domaine plus ou
moins actif du point de vue morpho dynamique dans cette partie les versants sont tapissée par
des colluvions on peut distingue les formes qui résultent soit d'une paléo dynamique : glacis,
terrasse, cône de la déjection, plaine alluviale ou par une dynamique récente qui donne des
formes vives.
III .4.1. Cônes de la déjection :
Cône alluviale construit par un torrent ou un oued dont la pente diminue brusquement au
débouché dans un fond de vallée.
III .4.2. Plaine alluviale: (plaine de Tébessa)
Fond des vallées entièrement recouvert par du lit majeur.
III .5. Cadre morpho structural :
Les contraintes présentes au sein du globe terrestre s'expriment en surface par les
formations géomorphologique appelées des plus ou distingue différent types ils évoluent à la
cour du temps.
III .5.1. Les anticlinaux :
L’anticlinal : Présent une convexité ver le haut. Les terrains les plus anciens sont en
son cœur ou et un pli dont le centre est occupée par les couches géologique les plus anciennes.
III .5.2. Synclinaux:
Le synclinal présente une concavité vers le bas la couche la plus récente est en son
cœur et un pli dont le centre est occupé par les couches géologique les plus jeunes
- Synclinal du Tébessa :
Ce synclinale orientée vers le nord –est, sud - ouest occupée par :
les formations de crétacé supérieur et inférieur ainsi les formations de Quaternaires.
III .6. Etude d'érosion :
D’après l'analyse morpho dynamique et les formes produits soit d’un modèle érosif
ancien (variations paléo climatique) soit d’un système d'érosion actuelle (dynamique érosive
récent). On distingue trois classes de l’érosion, selon l’aggravation de ce phénomène ;le
ravinement se présent comme un facteur déterminant dans la répartition des classes :
Classe 1 : (érosion forte) elle représente les Bad Lands et les ravins, elle s’étale
sur les pentes de 4 à 25%, le couvert végétal se présentant sous forme espacée
(éparse).
Classe 2 : (érosion moyenne) représente les pentes moyennes inférieure à12%,
ou le taux de recouvrement végétal est fiable comprise entre 10 et 20 %
(maquis),
Classe 3 : (érosion faible) les formes de cette classe s’étendent sur les altitudes
les plus élevées ou les forets et les maquis denses, les formations de cette
classe reposant sur les calcaires marneux.
Classe de l'érosion très faible : s'étend sur les pentes accentuées les plus
protégées par la couverture végétale.
7. Les causes de l’érosion :
Facteur climatique, facteur topographique, facteurs géologiques et pédologiques, couvert végétal, action
anthropique.
L’étude du transport solide occupe une place très importante et très vaste dans le domaine de
l’hydrologie de surface et de régularisation des débits, les matériaux premiers du débit solide est principalement
l’érosion continentale.
En Algérie de Nord, l’aspect le plus important de l’érosion est l’érosion pluviale et plus précisément l’érosion
par ruissellement, les terrains étant nus, pour une raison et pour une autre (défrichement, jachère, labour,…) le
ruissellement dû aux eaux de pluie et surtout à la suite d’averses torrentielles décape progressivement les
horizons supérieurs du sol, jusqu’à atteindre parfois la roche mère.
Le but sur l’étude d’érosion est d’estimée la perte annuelle de sol et évaluée l’état de milieu naturel pour
intervenir par mieux opération d’aménagement d’une part, et déterminé la durée de vie des ouvrages
hydrauliques (barrage, retenue collinaire,…) d’autre part.
Les matériaux arrachés au sol atteignant le réseau hydrographique, ils sont ensuite
transportés par le courant de l’oued et constituent ainsi le transport solide.
III .8-1. Les modes des transports
Le transport solide d’un cours d’eau peut être divis en trois parties :
a. Transport par charriage : Est consiste des galets qui entraînent par
glissement au fond lit s’ils ne se déposent pas ils sont entraînées dans les
ouvrages.
b. Transport par suspension : Concerne les éléments qui sont maintenues sur
turbulence on trouve évidement une majorité d’élément très fins.
III .9. Evaluation du transport solide :
Beaucoup des formules ont été étalier pour l’estimation du taux d’abrasion:
-Formule de Sogreah :
Ta = 350. R0.15
Ta = 613.81 T/km2
La dynamique fluviale est un phénomène complexe, elle apparaît dans les régions où les conditions climatiques
sont agressives.
La nature lithologique du matériel rocheux à caractère meuble ainsi que l’absence relative de la couverture
végétale dans certaines zones aident encore plus au développement de ce phénomène, cette dynamique favorise
l’évolution de certaines formes géomorphologiques.
L’apparition et la concentration des formes géomorphologique dépendent par les conditions précédentes.
IV- PERI
IV-1 PERI : consiste à faire un zoning des périmètres exposés aux risques des inondations, de
sorte qu’elle présente un outil de gestion et d’aide à la décision. L’étude qui suit, vise à identifier
les zones inondables par une approche hydro climatologique à l’aide de l’analyse statistique des
éléments climatiques et géomorphologique par la détermination du lit mineur où les eaux sont en
permanence et du lit majeur qui est l'espace occupé par un cours d'eau lors d'une inondation. Hors
du lit majeur, le risque d’inondation fluviale est nul (ce qui n’exclut pas le risque d’inondation par
ruissellement pluvial, en zone urbanisée notamment). Le PERI: est un Plan d’exposition aux
Risques d'Inondations. Il vise à cibler les zones exposées aux risques des inondations, des
personnes ainsi que leurs biens. C’est une présentation du degré de risque (débit probable et sa
propagation d’une part et le recensement des dégâts humains et matériels).
Un P.E.R doit fournir les informations, tant sur les risques potentiels et les techniques de
prévention que sur la réglementation de l’occupation et de l’utilisation du sol. Il doit aussi
permettre de limiter les dommages, résultats des effets des catastrophes naturelles et
d’améliorer la sécurité des personnes et des biens.
Le dossier du P.E.R comprend les documents suivants :
- le présent rapport de présentation.
- Le plan de zonage
- Le règlement
- Les annexes sont constituées par :
- La carte d’aléas
- La carte de vulnérabilité
Aléa
Rouge Rouge Rouge ou Orange
fort
Orange Orange Jaune
moyen
Orange Jaune Jaune
Faible
on distingue que l’étude des inondations se fait sur deux niveaux d’analyse :
Le premier consiste à faire une étude hydrogéomorphologique déterminant les zones à
risque d’une manière générale au niveau du bassin versant le long de l’Oued. Le second
concerne le zonage des risques au niveau du périmètre urbain.
IV-3.Carte des lits majeurs d’Oued segui
Cette approche donne des résultats pertinents au niveau du bassin versant de Tébessa. C’est
pourquoi, nous optons pour la deuxième méthode applicable à une échelle plus fine (ville de Tébessa).
Cette méthode est basée sur la topographie et les données hydroclimatiques de la zone
d’étude. La zone inondable d’Oued Segui est située dans la périphérie de la ville de Tébessa
comme une zone d’extension urbaine c’est pourquoi, le phénomène « inondation » à paru
récemment.
Cette approche montre que les études d’extension urbaine n’ont pas pris en considération
les zones à risque ce qui fait que ces constructions créent des obstacles à l’écoulement au
niveau lit majeur de l’Oued Segui. En plus des conditions de la dynamique du milieu soumis à
l’inondation, les surfaces imperméables et les volumes urbanisés sont des facteurs qui
aggravent la propagation de l’inondation.
La méthode expérimentale consiste à faire une intervention le long de l’oued (revenir sur la zone
d’inondation du 12/12/ 2003 prises comme une crue de référence) comme suit :
L’Enquête sur terrain vise à déterminer.les niveaux d’aléa selon la hauteur d’eau sous
inondation par la crue de référence (hauteur < 0.5m : aléa moyens ou faibles ; hauteur > ou =
0.5m aléa forts)
Niveau de l’eau
Niveau de protection
Niveau de l’eau Niveau de l’eau
Niveau de
protection
a. Définition d’aléa :
La carte délimite des zones caractérisées par une valeur d’aléa. Trois valeurs sont
possibles :
aléa fort : déclenché par la couleur rouge
aléa moyenne : potentielle se représente par la couleur orange
aléa faible : faible ou pas de danger peut être représentée par une couleur
blanc
Dans la pratique, la valeur de l’aléa d’inondation est déterminée par la combinaison de
deux facteurs : la récurrence d’une inondation (période de retour ou occurrence) et son
importance (profondeur de submersion). Dans la réalisation de notre carte d’aléa on à
respecter les caractéristiques suivants :
La carte des aléas étant le résultat d'une démarche d'expert reflétant en principe la
réalité du terrain, elle n'est pas négociable. Le zonage réglementaire élaboré sous la
responsabilité des services de l'Etat est présenté dans le tableau ci-après suivant une base de
réflexion à engager avec des partenaires locaux en fonction des particularités de terrain. C'est
à cette étape qu'intervient la concertation avec les élus :
Dans un PPR, les zones d'aléa fort et le plus souvent moyen sont traduites (sauf
exception) en zones inconstructibles (rouges).
Les zones d'aléa faible sont traduites en zones constructibles assorties de faibles
contraintes (bleues + l'initiale du risque) dont le respect concerne les particuliers (règles
d'urbanisme, règles de construction).
Si les zones d'aléa moyen d'un PPR ne correspondent à aucune zone constructible du
PLU de la commune considérée, elles sont traduites en zones rouges.) Où la collectivité
publique ou privée doit réaliser les travaux de protection définis par les études.
1870 2370 /
Cette phase a été caractérisée par une croissance relativement lente de la population, elle
passait de 2370 en 1870 à 21480 en 1954 (un taux de croissance de 2,66%), le faible taux de
croissance de cette phase est dit à la migration de nombreux résidents vers la rive sud de la
wilaya sous l’influence du colonialisme français, ainsi que la pression d’autres facteurs
sociaux.
9 Deuxième phase (1954-1966) :
Dans cette phase le nombre de la population de la ville passe à 62.639 hab (année 1977),
Tébessa est promu comme wilaya pendant la division administrative de l’année 1974, qui a
été daïra de la wilaya de Annaba, mais ceci n’a pas un grand impact dans l’éducation de la
ville et le taux de croissance urbaine estimé à 3,56% et qui resté faible au cours de cette
période, comparativement à la moyenne nationale de 5,40%, Ceci est dû à la politique de la
révolution agricole de 1974 qui a abouti à la germination de la population rurale puisque
Tébessa est une région essentiellement agricole.
9 Quatrième phase (1977-1987) :
Le nombre d’habitant atteint 107.559 hab au cours de l’année 1987 avec un taux de
croissance égale à 5,55% ce qui est relativement élevé, mais plus grand que le taux national
urbain pour la même période 5,46%, parce que la wilaya à bénéficier de plusieurs projets de
développement et conditions susceptibles d’attirer la population telles que la disponibilité de
logement et des structures de soins et le travail en particulier.
Sans oublier l’apparition de l’agglomération secondaire « Ali Mehani », à environ 8 km
à l’ouest du centre-ville à proximité de Constantine comme un premier noyau dans la zone
d’extension habités par 2676 hab en 1987.
9 Cinquième phase (1987-1998) :
- équipements de transport :
Tableau 19 : Répartition des équipements de transport
Lignes de Gares de
Équipements de
transport en Station de bus Station de taxis chemin de
transport
commun fer
Nombre 17 05 09 01
Source : DPAT, 2008
VI .5 - L’étude économique :
L’étude économique de la société est structurale et nous permet de connaitre les
potentiels humains et leurs contribution aux activités économiques ainsi que le niveau de vie
réel, à la lumière de ceci on peut identifier les ingrédients de base pour la promotion de la
société et de son évolution économique.
L’étude de la structure de la population urbaine de Tébessa reflète la situation
économique réelle de la ville et à travers cette étude on peut programmer et inscrire des
projets dans l’avenir.
- Équipements touristique :
On note l’existence d’une :
- Auberges de jeunes
- (17) hôtels non classés.
Conclusion :
Tébessa est une ville de l’Est Algérien située sur une plaine dans une zone semi-aride, avec
des potentialités énormes en matière de ressources naturelles et humaines avec un effectif de
population de 200.156 habitants répartis sur une superficie de 184 km2 ce qui implique une
densité de 1088 hab/km2.
Le périmètre urbain résulte de l’extension linéaire sur les grands axes de communication à
cause de l’accessibilité et l’offre des services, et les terrains sont facilement utilisables mais
situés sur des zones inondables.
Le problème du développement de cette ville résulte de l’incohérence entre la planification
urbaine et la dynamique des milieux physiques. De ce fait, la ville est soumise au risque
d’inondation dont l’ampleur menace les personnes et leurs biens.
C’est pourquoi, il est recommandé de revoir la planification urbaine de manière à diminuer les
enjeux et protéger les personnes et leurs biens.
REFERENCES
[1]Bover. S, 2001, Les inondations du Gardon d’Anduze de la période moderne à nos jours,
Mémoire de maitrise, Université de Provence Aix Marseille1, 55p.
[1]Jean. L, Gérald .G., Marcel M., 2005, Contribution de l’hydro géomorphologie à l’évaluation
du risque d’inondation : le cas du midi médirranéen français, C.R.Géosciences 337 ,1121-1130.
[3] Ministère de l’équipement des transports et du tourisme Français, 2001, Cartographie des
zones inondables ‘Approche Hydro géomorphologique), 97p.
[5] Kalla M et Dridi H. Pollution des eaux souterraines contre la pollution on utilisant des cartes
de vulnérabilité par la méthode DRASTIC et son application sur le bassin de Tébessa., Taez
2000 ; 294-310.
Livres :
-Azzedine Mebarki, Ressources en eau et aménagement en Algérie,
Le bassin du kebir rhumel, O.P.U, Alger, 1984.
- Charles Ollier et Maurice Poirée, Assainissement agricole
(Drainage par tuyaux ou fossés, Aménagement des cours d’eau)
Edition Copyright OPA, Paris, 2000.
Thèses de magistères :
- ZEBIRI ABDELHAMID
« Etude du Fonctionnement Fluviatile et risque d’inondation dans le -Rummel Boumerzoug-
amont et aval de Constantine »,
Thèse de magistère, faculté de sciences de la terre, université de Constantine, 2000-2001.
Documents Officielles :
Equipe de recherche :
…………………………
1- KALLA MEHDI Professeur
3- DERIAS TAREK Maitre assistant –A-
4- BAAZI HOURIA Maitre assistante –A-
5- AKAKBA AHMED Maitre assistant –A-
6- KHENTOUCHE A Maitre assistant –A-
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
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FICHE DE CLASSEMENT
(A)
FICHE DE CLASSEMENT
(B)
The Organizing Committee of the First International Symposium on the Petroleum and other Geological Resources
in the Tethys Realm (17-25 March, 2009, Cairo University) has the pleasure of inviting the conference member:
Drs. Baazi Houria, Akakba ahmed, Khentouche Adel; Kalla Mehdi; Dridi Hadda
Evaluation du risque d’inondation dans les zones semi arides : le cas de la ville de Tébessa.
Baazi Houria1*, Akakba ahmed 2*; Khentouche Adel 3*; Kalla Mehdi2*; Dridi Hadda 4*
1Chargée de cours, Université de Batna, Département de génie civil, Algérie.
1Maitre assistant, Université de Batna, Département des sciences de la terre, Algérie
3Maitre assistant, Université de Batna, Département des sciences de la terre, Algérie
4 Professeur, Université de Batna, Département des sciences de la terre Algérie.
5Maitre de conférence, Université de Batna, Département des sciences de la terre Algérie
Baazi Houria1*, Akakba ahmed 2*; Khentouche Adel 3*;Haoues Cherif 4 , Kalla Mehdi2*; Derias Tarek 5*
1
Maitre assistant Catégorie A, Université de Batna, Département de génie civil, Algérie.
2
Maitre assistant Catégorie A Université de Batna, Département des sciences de la terre, Algérie
3
Maitre assistant Catégorie A, Université de Batna, Département des sciences de la terre, Algérie
4
Maitre assistant Catégorie B, Université de Batna, Département des sciences de la terre, Algérie
5
Professeur, Université de Batna, Département des sciences de la terre Algérie.
6
Maitre assistant Catégorie A, Université de Batna, Département des sciences de la terre Algérie
*Laboratoire de recherches " Risques Naturelles et Aménagement du Territoire" LRNAT
Université de Batna (Algérie)–faculté des sciences
Résumé : L’objectif de cette étude est l’identification des zones inondables de Tébessa à partir de la méthode
hydro géomorphologique. L’analyse morphologique des terrains a révélé un comportement hydrologique
favorable au ruissellement des eaux ; cependant, du fait du climat nettement semi aride, les précipitations
torrentielles génèrent des crues facilement déviées de leurs lit. Les limites externes du lit majeur dans les secteurs
exposés aux inondations ont été déterminées. Grâce a l’analyse des photos aériennes, prospection sur terrain
(enquêtes) et une estimation fréquentielles des averses décennales et centennales.
ﺗﻬﺪف هﺬﻩ اﻟﻮرﻗﺔ اﻟﺒﺤﺜﻴﺔ إﻟﻰ ﺗﻘﻴﻴﻢ ﺣﺠﻢ اﻟﺨﻄﺮ اﻟﻤﻤﻜﻦ وﺗﺤﺪیﺪ أﻡﺎآﻦ اﻟﻐﻤﺮ اﻟﻨﺎﺗﺠﺔ ﻋﻦ ﻇﺎهﺮة اﻟﻔﻴﻀﺎﻧﺎت ﻓﻲ اﻟﻤﻨﺎﻃﻖ ﺷﺒﻪ اﻟﺠﺎﻓﺔ
(ﺏﺎﻻﻋﺘﻤﺎد ﻋﻠﻰ اﻟﻄﺮیﻘﺔ اﻟﻬﻴﺪرو ﺝﻴﻮﻡﻮرﻓﻮﻟﻮﺝﻴﺔhydrogéomorphologie)
اﻟﻔﻴﺰیﺎﺋﻴﺔ واﺳﺘﺨﺪاﻡﺎت اﻷرض وﻓﻖ دراﺳﺔ إﺣﺼﺎﺋﻴﺔ ﻧﻮﻋﻴﺔ وآﻤﻴﺔ ﺗﻌﺘﻤﺪ ﻋﻠﻰ اﻟﺘﺤﻠﻴﻞ اﻟﺘﺴﻠﺴﻠﻲ,ﺏﺤﻴﺚ یﺘﻢ ﺗﺤﻠﻴﻞ اﻟﻤﻌﻄﻴﺎت اﻟﻤﻨﺎﺧﻴﺔ
, اﻟﺘﻜﻮیﻨﺎت اﻟﻠﻴﺘﻮﻟﻮﺝﻴﺔ, اﻻرﺗﻔﺎﻋﺎت اﻟﻤﺘﺒﺎیﻨﺔ,واﻟﻤﺘﺮاﺏﻂ ﻟﻠﻤﻌﻄﻴﺎت اﻧﻄﻼﻗﺎ ﻡﻦ اﻟﺪراﺳﺔ اﻟﻤﻮرﻓﻮﻟﻮﺝﻴﺔ ﻟﻠﻤﻨﻄﻘﺔ واﻟﺘﻲ ﺗﺒﺮز دور اﻻﻧﺤﺪار واﻻﻧﺒﺴﺎط
. اﻟﺸﺒﻜﺔ اﻟﻬﻴﺪروﻏﺮاﻓﻴﺔ ﻓﻲ ﺗﺄهﻴﻞ ﻡﻮﺽﻊ ﻡﺪیﻨﺔ ﺗﺒﺴﻪ ﻡﺮﻓﻮﻟﻮﺝﻴﺎ ﻟﺤﺪوث ﺧﻄﺮ اﻟﻔﻴﻀﺎﻧﺎت
اﻟﺮیﺎح( یﺴﻤﺢ ﻟﻨﺎ ﺏﻤﻌﺮﻓﺔ ﺧﺼﺎﺋﺺ و, اﻟﺤﺮارة,ﻡﻴﻜﺎﻧﻴﺰﻡﺎت ﻋﻨﺎﺹﺮ اﻟﻤﻨﺎخ وﺗﺤﺪیﺪ ﻧﻮﻋﻴﺔ اﻷﻡﻄﺎر اﻟﺘﺤﻠﻴﻞ اﻹﺣﺼﺎﺋﻲ ﻟﻌﻨﺎﺹﺮ اﻟﻤﻨﺎخ )اﻟﺘﺴﺎﻗﻂ
وآﻴﻔﻴﺔ ﺗﺸﻜﻴﻠﻬﺎ وﺣﺠﻢ ﺗﺄﺙﻴﺮهﺎ ﻟﻨﺼﻞ إﻟﻰ ﺗﺤﺪیﺪ اﻷﻡﻄﺎر اﻟﻔﺠﺎﺋﻴﺔ اﻟﻮاﺏﻠﻴﺔ آﻤﺴﺒﺐ رﺋﻴﺴﻲ ﻟﻈﺎهﺮة اﻟﻔﻴﻀﺎﻧﺎت ﻓﻲ اﻟﻤﻨﻄﻘﺔ وﻟﺪراﺳﺔ وﺗﺤﻠﻴﻞ هﺬﻩ
اﻷﻡﻄﺎر اﺳﺘﻌﻤﻠﻨﺎ ﻃﺮق وﻗﻮاﻧﻴﻦ ﻧﻈﺮیﺔ إﺣﺼﺎﺋﻴﺔ ﺗﺘﻮاﻓﻖ ﻡﻊ ﺧﺼﺎﺋﺺ ﻡﻨﻄﻘﺔ اﻟﺪراﺳﺔ ﺏﺤﻴﺚ ﻗﻤﻨﺎ ﺏﺤﺴﺎب ﻓﺘﺮة اﻟﻌﻮدة ﻟﻸﻡﻄﺎر اﻟﻘﺼﻮى اﻟﻴﻮﻡﻴﺔ
.اﻟﻤﺤﺘﻤﻠﺔ وﺣﺴﺎب اﻟﺼﺒﻴﺒﺎت اﻟﻘﺼﻮى اﻟﻤﺤﺘﻤﻠﺔ اﻟﻨﺎﺗﺠﺔ ﻋﻨﻬﺎ
أﻡﺎ اﻟﻤﻨﺎﻃﻖ اﻟﻤﻌﺮﺽﺔ ﻟﻠﻐﻤﺮ یﺘﻢ ﺗﺤﺪیﺪهﺎ ﺏﺎﺳﺘﻌﻤﺎل اﻟﺼﻮر اﻟﺠﻮیﺔ ﻟﺘﺤﺪیﺪ ﺳﺮیﺮ اﻟﻮادي اﻟﻔﻴﻀﻲ ﺏﺎﻟﺘﻮازي ﻡﻊ اﻟﺘﺤﻘﻴﻖ اﻟﻤﻴﺪاﻧﻲ ﻹﻋﺎدة رﺳﻢ ﺣﺪود
ﺳﻨﻮات ﻡﻤﺎ یﻌﻄﻴﻨﺎ ﺗﺼﻮر أآﺜﺮ وﺽﻮح ﻓﻲ ﺣﺎﻟﺔ وﻗﻮع ﻓﻴﻀﺎن ﻧﺎﺗﺞ ﻋﻦ ﺹﺒﻴﺐ ﻡﺤﺘﻤﻞ اﻟﻌﻮدة10 ﻡﻨﻄﻘﺔ اﻟﻐﻤﺮ اﻟﻨﺎﺗﺠﺔ ﻋﻦ ﺹﺒﻴﺐ ﻡﺤﺘﻤﻞ آﻞ
. ﺳﻨﺔ100ﻟـ
ANNEXE 03
Encadrement en Post Graduation
BILAN EN TERME DE VALORISATION DES RESULTATS DE RECHERCHE
Tableau des résultats scientifiques obtenus durant la période (*) :de 01/01/2009 A 31/12/2009
)
(*) période d’agrémént du projet
Internationales
Internationales
INGENIEUR
Mémoires en
Régionales
graduation
Nationales
Nationales
Magistère
Doctorat
Autres
Code de 1 1
Projet :…GO1320080064…………………….…………… (LMD)
…..
intitulé : ANALYSE DE LA
DYNAMIQUE DES
ECOULEMENTS DE LA
RESSOURCE HYDRIQUE DU BV
DE OUED KSOB AUX RISQUES
DE POLLUTION
Autres remarques :
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Remarque importante
Le rapport doit être déposé, en un seul
exemplaire selon le canevas ci-dessus,
au service de la recherche (VRPG)
Et en même temps envoyé on-line sur
le site (http://www.cnepru-mesrs.dz)
lors de l’ouverture de la session
ordinaire