Manuel
Contacts 6
Données du modèle – Introduction 7
Appuis 8
Types d'appuis 8
Appuis ponctuels 8
Appuis flexibles 10
Appuis répartis 14
Appui à frottement 18
Elastique 22
Plastique 22
Elastique 23
Plastique 23
Rotules 29
Bibliothèque des types de rotule 29
Beams 30
Rotules – Introduction 30
Plaques 31
-2-
Chapitre 0
Bras rigides 35
Bras rigides 35
Procédure alternative 38
Procédure alternative 39
Données de flambement 41
Buckling and system lengths 41
Project buckling-data 41
Library buckling-data 45
Buckling system 45
-3-
Données de flambement 57
Procédure alternative de modification des paramètres de longueur de flambement d’un élément sélec-
tionné 61
Absences 63
Absences – Introduction 63
Groupes d'absences 64
Absences d'appuis 66
Pour sélectionner le groupe d'absences à afficher dans la boîte de dialogue Paramètres d'affichage 67
Traction seule 69
-4-
Chapitre 0
Compression seule 70
Effort limite 70
Jeu 72
Contrainte initiale 74
Câble 75
Property modifiers 77
Property modifiers for 1D and 2D members 77
-5-
Contacts
Contacts
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-6-
Chapitre 1
-7-
Appuis
Appuis
Types d'appuis
Appuis ponctuels
Il existe trois types d'appuis ponctuels dans Scia Engineer. Chacun d'eux, cependant, peut se présenter selon un grand
nombre de configurations différentes.
-8-
Chapitre 2
Appui standard
Un appui standard définit un appui idéal, réduit à un seul point. L'utilisateur peut définir le comportement de l'appui dans
chaque direction, c'est-à-dire en translation et en rotation par rapport aux axes du système de coordonnées sélectionné.
L'appui est libre dans la direction donnée. En d'autres termes, il n'implique aucune contrainte
Libre
dans cette direction.
Rigide L'appui est totalement rigide dans la direction donnée.
L'appui est flexible (élastique) dans la direction donnée. L'utilisateur doit définir la rigidité de
Flexible
l'appui.
Rigide – com- Identique à l'appui purement Rigide, mais agissant UNIQUEMENT en compression. Si l'appui est
pression seule soumis à une traction, son effet est nul.
Flexible – com- Identique à l'appui purement Flexible, mais agissant UNIQUEMENT en compression. Si l'appui
pression seule est soumis à une traction, son effet est nul.
La rigidité de l'appui est définie par une fonction non linéaire (diagramme effort - déplacement).
Non linéaire
Pour plus d'informations, consultez le chapitre Paramètres d'un appui non linéaire.
La "raideur" de l'appui est calculée à partir du frottement défini. Voir aussi le chapitre Appui à frot-
Frottement
tement.
Remarque : Si des appuis de type Compression seule (rigides et flexibles) sont utilisés
dans le modèle, un calcul non linéaire est OBLIGATOIRE. Un calcul linéaire peut éga-
lement être exécuté, mais celui-ci ne tiendra alors PAS compte du comportement en Com-
pression seule. Un calcul non linéaire nécessite la définition d'une combinaison de cas de
charge non linéaires. Si cette combinaison non linéaire n'est pas définie, le calcul non
linéaire n'est pas accessible dans la boîte de dialogue du Solveur.
Rx12,Ry12,Rz12
Angle
où Rx définit l'inclinaison par rapport à l'axe X, et Ry, Rz suivant respectivement Y et Z. L'angle est introduit dans
les unités d'angles prédéfinies.
Taille
x, Ces deux paramètres définissent la taille de l'appui. La taille n'est prise en compte que dans le cas d'une dalle.
Taille Elle est utilisée pour calculer la réduction du moment de flexion d'une dalle autour de l'appui.
-9-
Appuis
Bloc de fondation
Un appui peut être défini sous la forme d'un bloc de fondation. L'appui est alors défini par le matériau et les dimensions du
bloc associés aux propriétés du sol.
Un appui de type bloc de fondation se définit à l'aide des paramètres suivants.
Remarque : Un bloc de fondation ne peut être utilisé que si la fonction Sol est sélec-
tionnée dans les paramètres du projet et si le matériau Béton a été défini.
Poteau
Si seule une partie de la structure est modélisée (par exemple, un ou plusieurs étages et non le bâtiment entier), il peut arri-
ver qu'un appui du modèle soit en fait un poteau de la structure complète. Scia Engineer permet à l'utilisateur de modéliser
une telle situation.
L'appui est défini par les paramètres suivants : Le programme calcule automatiquement la raideur de l'appui.
Appuis flexibles
Quelle que soit la direction dans laquelle un appui agit, il est possible de définir une flexibilité (ou une rigidité) spécifique de
l'appui. Pour ce faire, il faut définir un appui standard, et la contrainte nécessaire doit être réglée sur "flexible". Ces réglages
peuvent être réalisés dans le tableau des propriétés de l'appui.
- 10 -
Chapitre 2
Considérons une poutre en porte-à-faux soumise à une charge de forces concentrées exercée sur l'extrémité libre.
L'appui est défini comme flexible en rotation. La flexibilité de l'appui est réglée sur (vue d'en haut) (i) 1 MNm/rad, (ii) 5 MNm/-
rad, (iii) complete rigid fixing (fixation entièrement rigide).
L'image ci-dessous permet de visualiser l'effet de la rigidité sur le déplacement vertical de la poutre en porte-à-faux.
- 11 -
Appuis
Ce type d'analyse n'exige aucun calcul non linéaire. Le calcul statique linéaire permet
d'obtenir des résultats acceptables.
- 12 -
Chapitre 2
Appliquons ensuite une charge verticale exercée dans le sens contraire, à savoir ascendant.
La série d'images ci-dessous permet de visualiser les résultats pour les différentes charges. Les diagrammes de réactions
et de déformations sont également proposés.
- 13 -
Appuis
La première comparaison montre un déplacement vertical pour une charge exercée dans le sens vertical descendant. On
voit que l'appui flexible crée un déplacement vertical partiel.
La deuxième comparaison montre un déplacement vertical pour une charge exercée dans le sens vertical ascendant. Elle
indique qu'aucun des deux appuis intermédiaires n'est "actif" lorsqu'une tension est présente à l'intérieur.
Appuis répartis
Il existe trois types d'appuis répartis dans Scia Engineer. Ils sont similaires aux appuis ponctuels.
- 14 -
Chapitre 2
Semelle de fondation
Un appui réparti peut se présenter sous la forme d'une semelle de fondation. L'appui est alors défini par les propriétés et
par les dimensions de la semelle ainsi que par les propriétés du sol et du remblai.
Ce type d'appui est décrit au chapitre Semelle de fondation; il nécessite l'introduction des paramètres suivants :
- 15 -
Appuis
Remarque : Une semelle de fondation ne peut être utilisée que si la fonction Sol a été
sélectionnée dans les paramètres du projet.
Voile
Très souvent, un élément de structure sera supporté par un voile. Dans ce cas, si seule une partie de la structure est modé-
lisée (par exemple un seul étage), Scia Engineer permet de définir sans difficulté une telle condition d'appui.
Le programme calcule automatiquement la raideur de l'appui à partir des paramètres suivants :
Remarque : Un mur porteur ne peut être utilisé que si le matériau Béton a été spécifié
dans les paramètres du projet.
Ce paramètre est défini dans la boîte de dialogue des propriétés de chaque nouvel appui.
Contraintes
L'appui est libre dans la direction donnée. En d'autres termes, il n'implique aucune contrainte
Libre
dans cette direction.
Rigide L'appui est totalement rigide dans la direction donnée.
L'appui est flexible (élastique) dans la direction donnée. L'utilisateur doit définir la rigidité de
Flexible
l'appui.
Rigide – com- Identique à l'appui purement Rigide, mais agissant UNIQUEMENT en compression. Si l'appui est
pression seule soumis à une traction, son effet est nul.
Flexible – com- Identique à l'appui purement Flexible, mais agissant UNIQUEMENT en compression. Si l'appui
pression seule est soumis à une traction, son effet est nul.
- 16 -
Chapitre 2
Géométrie
Système L’appui peut être défini dans un système de coordonnées locales ou globales.
Bord Définit le bord où se trouve l’appui.
Position x1 Définit le point de départ de l’appui.
Position x2 Définit le point final de l’appui.
Définition des coor- La position du point de départ et du point d’arrivée peut être définie en coordonnées abso-
données lues ou relatives.
Origine Définit l’origine du système de coordonnées (au dessus).
Remarque : Un appui réparti sur le bord d’un élément 2D qui a été introduit comme élé-
ment coque ne peut être défini que dans un système de coordonnées globales. Si les
contraintes doivent être définies dans le système de coordonnées local de la dalle,
l'élément 2D doit être défini comme élément 2D plane.
Type
Un type particulier de sol élastique est défini pour la dalle.
Individuel Le sol est défini à l'aide des paramètres C. Ces paramètres, définis par l'utilisateur, sont utilisés pour le cal-
cul (par exemple, des contraintes de contact à la surface de fondation)
Pour ce type d’appui, les interactions entre la structure et les fondations sont gérées par le module SOILIN.
Les paramètres C1z, C2x, C2y sont calculés par le module SOILIN.
Soilin
L'utilisateur choisit les paramètres C qu'il définira et ceux qui seront calculés par le module SOILIN.
Ces paramètres sont définis dans le Solveur (menu Configuration > Solveur). Dans la boîte de dialogue Sol-
veur, les paramètres C ayant la valeur zéro seront calculés par le module SOILIN. Ceux dont la valeur est dif-
Les deux
férente de zéro seront pris en compte.
- 17 -
Appuis
SOILIN
Le module SOILIN peut calculer les paramètres C1z, C2x, C2y. L'utilisateur doit définir les autres paramètres.
Il est également possible de renoncer au calcul automatique de certains paramètres C et de les définir manuellement. Pour
cela, il faut exécuter un réglage spécial des paramètres du sol et définir le type à Les deux (!).
Si certains paramètres ont une valeur égale à zéro, il seront calculés par le logiciel.
Les autres, dont la valeur est différente de zéro, seront considérés comme définis par l'utilisateur.
Le type Les deux est peu courant. Il a été créé pour deux raisons :
1. L'utilisateur utilise le type Soilin mais souhaite définir un frottement différent dans diverses parties de la structure. Dans
ce cas, la boîte de dialogue du solveur ne suffit pas, puisqu'une seule valeur de frottement peut y être définie. Le type Les
deux permet de définir plusieurs sols avec différentes constantes C1x et C1y (en laissant les autres paramètres à zéro).
Lorsque le module SOILIN ets actif, les constantes C1x et C1y non nulles ont une priorité supérieure à celles déterminées
par le solveur et sont prises en compte. Les autres valeurs "zéro" indiquent que les valeurs déterminées par le solveur sont
prises en compte.
2. Il est parfois nécessaire de neutraliser les valeurs de cisaillement plus élevées (C2x, C2y) calculées par le module Soilin.
Cela peut arriver, par exemple, lorsqu'une nouvelle plaque est modélisée sur une ancienne et que cette dernière est définie
comme étant la première couche de sol. Cette solution est correcte et adéquate. Toutefois, comme les modules E du sol et
du béton sont très différents, le module Soilin calcule des paramètres C2 élevés. En conséquence, l'épaisseur de la dalle de
fondation du modèle est plus grande que si les deux dalles avaient été assemblées et définies comme un bloc monolithique
homogène. Dès lors, les paramètres C2 peuvent être réduits artificiellement. Pour ce faire, il suffit d'utiliser le type Les
deux. L'utilisateur définit le sol avec un paramètre C1z à zéro (il sera déterminé par le module Soilin) et d'autres para-
mètres différents de zéro (C2 et frottement). En conclusion, le module Soilin ne fournira que le paramètre C1z.
Appui à frottement
Paramètres
Réaction Vous pouvez sélectionner la réaction qui définit l’effort agissant sur l’appui.
C flex Rigidité de l’appui.
Coefficient de frottement.
Si vous sélectionnez un frottement de type X / Y / Z ou XY / XZ / YZ, il faut définir une valeur pour le coef-
mju ficient de frottement mju.
Si vous sélectionnez un frottement de type X+Y / X+Z / Y+Z, il faut définir deux valeurs de coefficient de
frottement mju.
Cette option est disponible lorsqu’un frottement simple (X, Y, Z) est défini dans deux directions. Elle per-
Indépendant
met de spécifier que le frottement dans une direction est indépendant du frottement dans l’autre direction.
Réaction
X, Y, L’effort limite ultime peut être calculé à partir de la réaction dans une direction donnée. Si vous définissez un
Z appui dans la direction X, l’effort de frottement peut être déterminé par la réaction calculée suivant Y ou Z.
XY, L’effort limite ultime peut être calculé comme un frottement composé. Une seule des options est possible par direc-
XZ, tion. Exemple : si vous définissez un appui dans la direction X, l’effort de frottement peut être déterminé par les
YZ réactions calculées suivant Y et Z. L’effort de frottement est calculé suivant la formule :
- 18 -
Chapitre 2
Les remarques du paragraphe précédent s’appliquent également à cette option. Cependant, une procédure dif-
férente est utilisée pour le calcul de l’effort limite. Exemple : pour des appuis à frottement suivant X, la formule sui-
X+Y, vante est utilisée :
X+Z,
Y+Z
Remarque : Le frottement peut être défini suivant une ou deux directions. Vous ne pouvez
pas définir un frottement dans les trois directions car la « poussée » ne pourrait pas être
déterminée.
Remarque : Une composante de frottement (ex. YZ ou Y+Z) ne peut être définie que sui-
vant une seule direction.
Lorsqu’un appui de frottement (défini selon Y et Z) est introduit dans le modèle, il est identifié par le symbole suivant (pour le
visualiser, les paramètres d’affichage doivent être définis de façon à afficher les données du modèle) :
Exemples :
Considérons un plan XY et un appui qui peut glisser par frottement suivant toutes les directions.
X frottement
C flex x 1E5
mju x 0.20
- 19 -
Appuis
Réaction Z
Y frottement
C flex y 1E5
mju y 0.55
Réaction Z
Z rigide (ou compression seule)
Frottement indépendant Oui
X frottement
C flex x 1E5
mju x 0.20
Réaction YZ
Y flexible
rigidité y 5E5
Z flexible
rigidité z 3.5E6
Les valeurs des ressorts peuvent être prédéfinies à l’aide de l’assistant PIPFAS.
- 20 -
Chapitre 2
l l le type A, à savoir la fonction de sol linéaire avec branches plastiques au début et à la fin, pour la modé-
lisation de sol non consolidé ;
l le type B, à savoir la fonction de sol bilinéaire avec branches plastiques au début et à la fin, pour la modé-
lisation de sol consolidé.
l Au niveau de X, une fonction avec partie linéaire et branche horizontale connectée à son extrémité. La hauteur du
comportement plastique est égale à la réaction totale du ressort A ou B multipliée par le coefficient de frottement (ou
friction). Le type de ressort C (hydraulique) n’a pas d’incidence sur le frottement.
l Au niveau de Rx, une fonction avec partie linéaire et branche horizontale connectée à son extrémité. La hauteur du
comportement plastique est égale à la réaction totale multipliée par le coefficient de frottement.
Le ressort de sol non linéaire peut être utilisé dans une analyse non linéaire des phases de construction. Le déchargement
est pris en charge.
l Déchargement hyper-élastique, c’est-à-dire que la trajectoire de la charge pour le chargement est également suivie
pour le déchargement, même en cas de comportement plastique.
l Déchargement plastique, c’est-à-dire que pendant le déchargement, la branche linéaire ou bilinéaire (pour le type A
ou B) est empruntée immédiatement.
l La zone du type C (liquide) est toujours de type hyper-élastique, pour la loi d’Archimède.
Fonction de type A
U0 Espacement [mm]
Qa Pression active [kN/m]
Qn Pression neutre [kN/m]
Qp Pression passive [kN/m]
C1 Rigidité du sol [kN/m²]
C2 Rigidité du sol [kN/m²]
- 21 -
Appuis
Elastique
Plastique
Fonction de type B
U0 Espacement [mm]
Qa Pression active [kN/m]
Qn Pression neutre [kN/m]
- 22 -
Chapitre 2
Elastique
Plastique
Fonction de type C
Cette fonction est utilisée pour modéliser la réaction de l’eau sur un élément immergé en tout ou en partie. Reportez-vous à
l’illustration ci-dessous ainsi qu’à la description des paramètres.
La décharge élastique est toujours appliquée.
- 23 -
Appuis
U0 Espacement [mm]
Qp Pression d’eau maximale [kN/m]
C1 Rigidité [kN/m]
Cette fonction est basée sur la loi d’Archimède. Lorsqu’un élément est immergé, il est soumis à une force proportionnelle au
volume sous la surface de l’eau.
Le ressort hydraulique est de type « hyper-élastique ». En d’autres termes, il n’y a aucune perte due au déchargement. La
trajectoire du chargement est identique à celle du déchargement.
Frottement
La fonction est liée aux paramètres X et Rx et est utilisée pour modéliser le frottement.
Ressorts bilinéaires dont la valeur maximum (comportement plastique) dépend de l’effort de compression.
Cfriction représente l’élasticité du ressort et, avec l’effort de frottement plastique, est la seule propriété du ressort.
Le programme calcule l’interaction entre le ressort de frottement causé par la torsion et par un effort normal. L’interaction
du frottement est circulaire. Elle implique que la valeur maximale du frottement axial « normal » est réduite par l’interaction
entre les efforts axiaux et la torsion.
- 24 -
Chapitre 2
- 25 -
Appuis
- 26 -
Chapitre 2
7. Fermez la fonction.
8. Fermez le service.
Remarque : Pour utiliser des appuis à frottement, les options de la boîte de dialogue Don-
nées du projet doivent être définies correctement. Les options Non-linéarité et Appui à
frottement doivent être sélectionnées.
Remarque : Consultez aussi les chapitres Données du modèle > Appuis, Appuis ponc-
tuels, en particulier la rubrique Définition d’un nouvel appui .
l appui à rouleau ( ),
l appui rotulé ( ),
l encastrement ( ).
- 27 -
Appuis
Lorsque cette valeur est activée, l’appui est considéré infiniment rigide lorsque le déplacement limite (la der-
Rigide
nière valeur du déplacement défini dans le diagramme) est atteint.
Lorsque cette valeur est activée, l’appui est considéré infiniment libre lorsque le déplacement limite (la der-
Libre
nière valeur du déplacement défini dans le diagramme) est atteint.
Lorsque cette valeur est activée, la flexibilité de l’appui est considérée constante lorsque le déplacement limite
Flexible (la dernière valeur du déplacement défini dans le diagramme) est atteint. La valeur de l’effort est celle définie
pour le dernier déplacement.
- 28 -
Chapitre 3
Rotules
Contraintes
Dans chaque direction (déplacement ou rotation suivant les axes X, Y et Z locaux de l’élément 1D), la rotule peut être des
types suivants :
rigide Aucun degré de liberté n’est défini dans la direction donnée. Les entités sont assemblées dans cette direction.
Un degré de liberté spécifié existe dans la direction donnée. Les deux entités ne sont pas assemblées dans la
libre
direction donnée.
Il existe une flexibilité dans la direction donnée. L’utilisateur doit spécifier la raideur de l’assemblage dans la
flexible
direction donnée.
Le comportement de la rotule est défini par une fonction non linéaire. Une fonction particulière peut être sélec-
non tionnée dans la boîte de dialogue des propriétés d’une rotule. Si la fonction n’est pas encore définie, elle
linéaire devra l’être au moment d’ajouter la rotule au modèle. Le gestionnaire Fonctions non linéaires est accessible
à partir de la boîte de dialogue des propriétés d’une rotule.
Type de rotule
Vous pouvez choisir les types de rotule selon l’EN 12811-1.
Certains types de rotule affectent également les contraintes.
Matériau
Vous pouvez sélectionner le matériau acier ou aluminium du connecteur (rotule).
Image
Vous pouvez ajouter votre propre image pour le type de rotule.
- 29 -
Rotules
Beams
Rotules – Introduction
Pour une structure constituée de plusieurs barres, il faut définir les assemblages entre les entités. Ces assemblages
peuvent être de type rigide, de type libre ou de tout type intermédiaire.
Dans Scia Engineer, un assemblage rigide est réalisé à l'aide de noeuds liés ou de liens transversaux, comme décrit au cha-
pitre Assemblage et déconnexion d'entités. Un assemblage de type intermédiaire peut être réalisé à l'aide de rotules
(décrites dans ce chapitre) ou à l'aide de liaisons rotulées (voir Assemblage et déconnexion d'entités). Les assemblages
libres ne doivent pas être définis ; il suffit de laisser les barres déconnectées.
Les différences entre chaque type d'assemblage sont les suivantes :
l Un noeud lié est un assemblage dans lequel l'extrémité d'une entité est connectée à un point quelconque d'une autre
entité.
l Un lien transversal est un assemblage de deux entités qui se croisent. Les deux éléments restent "non divisés" au droit
de l'assemblage ; ils ne font que le traverser.
l Une rotule peut être définie à une extrémité d'une barre pour un assemblage non rigide.
Contraintes
Dans chaque direction (déplacement ou rotation suivant les axes locaux X, Y et Z de la barre), la rotule peut être :
Rigide Aucun degré de liberté n'est défini dans la direction donnée. Les entités sont assemblées dans cette direction.
Un degré de liberté spécifié existe dans la direction donnée. Les deux entités ne sont pas assemblées dans la
Libre
direction donnée.
Il existe une flexibilité dans la direction donnée. L'utilisateur doit spécifier la raideur de l'assemblage dans la
Flexible
direction donnée.
Le comportement de la rotule est défini par une fonction non linéaire. Une fonction particulière peut être sélec-
Non tionnée dans la boîte de dialogue Propriétés d'une rotule. Si la fonction n'est pas encore définie, elle devra
linéaire l'être au moment d'ajouter la rotule au modèle. Le gestionnaire Fonctions non linéaires est accessible à par-
tir de la boîte de dialogue Propriétés d'une rotule.
- 30 -
Chapitre 3
Plaques
Rotules dans les dalles
Un assemblage de deux dalles peut être modélisé comme une dalle fixée où vous pouvez insérer
une rotule pour créer un assemblage articulé. Deux configurations de rotule sont autorisées pour une dalle :
- 31 -
Rotules
Assemblage La rotation n'est pas interdite dans la rotule et les deux dalles peuvent pivoter librement autour de la
libre rotule.
Assemblage La rigidité en rotation de la rotule est spécifiée. Par conséquent, le moment de flexion est par-
flexible tiellement transmis par la rotule.
Quelle que soit la configuration, tous les déplacements sont transmis d'une dalle à l'autre.
Paramètres
Nom Définit le nom de la rotule.
Définit la configuration de la rotule :
Libre
phix Rigide
Les éléments assemblés dans la rotule sont totalement fixes. Il n'y a aucune rotule.
Flexible
Exemple
Définissons deux dalles rectangulaires identiques. En fait, chaque dalle est constituée de deux dalles carrées
fixées fermement l'une à l'autre. Cette configuration a été choisie dans le but d'insérer la rotule. Les deux extrémités
des dalles sont fixées.
Insérons maintenant une rotule dans l'une des deux dalles, au milieu de la portée. Le modèle est illustré à la figure
ci-dessous.
- 32 -
Chapitre 3
Soumettons les dalles à une charge uniformément répartie agissant perpendiculairement à la dalle.
Le moment de flexion qui en résulte démontre clairement l'effet engendré par la rotule.
La dalle du haut (figure ci-dessus) comprend la rotule au milieu de la portée. A cet endroit, le moment de flexion est nul. La
dalle du bas (figure ci-dessus) ne comprend pas de rotule. Par conséquent, le milieu de la portée est l'endroit
où le moment de flexion atteint son maximum.
Les résultats peuvent aussi être observés sur la figure suivante, illustrant les diagrammes du
moment de flexion sur une section longitudinale de la dalle.
- 33 -
Rotules
- 34 -
Chapitre 4
Bras rigides
Bras rigides
Une liaison rigide est une dépendance de déplacement ou de rotation entre un nœud maître et un nœud esclave. Elle
dépend de la position des deux nœuds et du type de liaison rigide sélectionnée.
Une liaison rigide donne les résultats suivants :
1. La déformation des deux nœuds, dans la direction de la ligne les reliant, sera identique.
2. L'orientation de la ligne reliant les deux nœuds après le calcul dépend du type de liaison sélectionné.
Les différents types de liaisons rigides sont les suivants :
Rigide - Rigide
La rotation des deux nœuds est identique. Cette rotation détermine la direction de la liaison entre les deux nœuds après le
calcul.
Rigide - Articulé
La rotation de la liaison entre les nœuds est identique à la rotation du nœud maître.
Scia Engineer permet de définir deux types de bras rigides :
Bras rigide standard (entre deux nœuds)
Bras rigide linéique (entre un nœud et le bord)
Ce second type peut être utilisé pour relier un nœud au bord d'une dalle voisine.
- 35 -
Bras rigides
- 36 -
Chapitre 5
Cette procédure peut être appliquée pour n'importe quelle entité du modèle. La procédure décrite ci-dessus peut être uti-
lisée pour modifier des appuis standard, des blocs ou des semelles de fondation, des poteaux porteurs et tous les autres
types d'appui. Elle s'applique également pour la modification des propriétés d'une rotule.
Cette procédure permet également de modifier les types de données de certaines entités du modèle. Par exemple, un
appui standard peut être modifié en poteau porteur, une semelle de fondation en un appui réparti standard, etc.
La boîte de dialogue des propriétés donne accès aux différents gestionnaires de base de données liés aux entités sélec-
tionnées.
Une autre approche pour modifier une seule entité consiste à afficher la table des propriétés de l'entité avec le dessin expli-
catif des paramètres.
- 37 -
Modifier les données de modèles existantes
2. L'icône Déplacer données additionnelles ( ) devient accessible dans la barre d'outils Manipulations géo-
métriques.
3. Cliquez sur l'icône.
4. Définissez la destination des entités déplacées.
5. Toutes les entités sélectionnées sont déplacées vers la nouvelle position (à savoir vers un point donné ou sur une
barre donnée).
6. Appuyez sur Echap pour fermer la fonction.
La fonction de déplacement de données additionnelles est également accessible par l'intermédiaire du menu contextuel.
Procédure alternative
1. Sélectionnez les données du modèle à déplacer.
2. Positionnez le pointeur en dehors de toute entité sur l'écran.
3. Cliquez sur le bouton droit de la souris pour afficher le menu contextuel.
4. Sélectionnez la fonction Déplacer données additionnelles.
5. Suivez les étapes finales de la procédure ci-dessus.
Il existe une troisième procédure, applicable lorsque le déplacement ne concerne qu'une seule entité.
- 38 -
Chapitre 5
Copier qui, dans les précédentes versions, était réservées aux entités structurelles (élé-
ments 1D et 2D).
2. L'icône Copier les données additionnelles ( ) devient accessible dans la barre d'outils Manipulations géo-
métriques.
3. Cliquez sur l'icône.
4. Définissez la destination des entités copiées.
5. Toutes les entités sélectionnées sont copiées à un nouvel emplacement (à savoir à un point donné ou sur un élément
1D donné).
6. Si nécessaire, sélectionnez d'autres destinations.
7. Appuyez sur Echap pour fermer la fonction.
La fonction de copie de données additionnelles est également accessible par l'intermédiaire du menu contextuel.
Procédure alternative
1. Sélectionnez les données du modèle à copier.
2. Positionnez le pointeur en dehors de toute entité sur l'écran.
3. Cliquez sur le bouton droit de la souris pour afficher le menu contextuel.
4. Sélectionnez la fonction Copier données additionnelles.
5. Suivez les étapes finales de la procédure ci-dessus.
Il existe aussi une alternative à la procédure ci-dessus. La procédure alternative est utile si une seule entité doit être copiée.
- 39 -
Modifier les données de modèles existantes
- 40 -
Chapitre 6
Données de flambement
The buckling-data represent a rather complex set of data. In order to specify the required buckling-data correctly, it is impor-
tant to understand the logic of the program. The buckling-data can be specified on several levels. How many levels are used
for the definition of buckling-data in a particular project depends on the type and complexity of the analysed structure and
sometimes also on preferences of the user.
The levels can be described as:
Pproject buckling-data
These data always exist, if the user does not define them themselves, the application default values are used for the defi-
nition of buckling systems in the library buckling-data.
Library buckling-data
These data always exist, if the user does not define them themselves, the application default values for the library buckling-
data are used in the calculations.
Member buckling-data
These data must be defined by the user, otherwise they do not exist and the project buckling-data and library buckling-data
are used instead.
The order of the levels listed above is not random. On the contrary, it is very important.
Project buckling-data
Project buckling-data are always available in any type of project. If the user does not define them themselves, the application
default values are used in the calculations. The application default values can be reviewed and changed using the pro-
cedure to specify the project buckling-data that is described later in this paragraph.
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Données de flambement
These project buckling-data are used as default values for every new buckling system defined in the library buckling-data.
The project buckling-data are defined separately for each material used in the project. In other words, there are separate
project buckling-data for steel members, for aluminium members, for timber members, etc. Even though the number and
type of the data may vary for individual materials and individual national codes, the principle of their input is always the same.
It is important to keep in mind that the application defaults were defined without any know-
ledge of the project in which they are applied. Scia Engineer is so versatile program that
can be used for countless types of projects that it is practically impossible to come up with
application default values that would suit all possible practical projects. Therefore, it is the
USER who MUST review the application default values and define appropriate project
buckling-data. Alternatively, if the character of the structure is such that project buckling-
data are not practical and that member buckling-data must be defined for every member,
the application default values may be kept unchanged as they will be overwritten by the
member buckling-data. But once again, it is the USER who MUST make this decision and
who is RESPONSIBLE for correct and full definition of buckling-data.
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Chapitre 6
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Données de flambement
The pictures above demonstrate the buckling-related project-data for steel members and Czech standard. However, in
general, the buckling-related project-data are code-independent. Detailed explanation of individual parameters can be
found in the Steel Code Check manual. Nevertheless, to explain the relation between the project buckling-data, library buck-
ling-data and member buckling-data, they will be briefly summarised here as well.
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Chapitre 6
Library buckling-data
Buckling system
Library buckling-data are stored in the Buckling data database (library) manager. One “item” in the library represents a set
of data that define one buckling system.
The buckling system may consist of one or more 1D members. In general, the buckling system comprises all 1D members
that are located in one line, are connected together in the end-nodes, have the same orientation of the local x-axis and have
the same orientation of the principal axes of the cross-section. Please note that the cross-section of individual members can
be different.
The previous paragraph can be best explained through a few simple examples.
First, let us consider a simple frame in figure below.
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Données de flambement
Column Composition
Most left B1 + B5 + B6
The most left column consists of three separately input 1D members. These
members are connected together to form a solid three-storey column.
The buckling system consists of three parts as there are four places along the
length of the column where restraints can be located.
However, the user may alter this arrangement and reduce the number
restraints.
Second left B2 + B7
The second column from the left is made of two separately input 1D members.
These members are connected together to form a solid three-storey column.
The buckling system, however, consists of three parts as, once again, there are
four places along the length of the column where restraints can be located.
However, the user may alter this arrangement and reduce the number
restraints.
Second right B3 + B11
The second column from the right is composed of two separately input 1D mem-
bers. These members are connected together to form a solid two- storey
column.
The buckling system consists of two parts as there are three places along the
length of the column where restraints can be located.
However, the user may alter this arrangement and reduce the number
restraints.
Most right B4
The buckling system consists of one part as there are two places where
restrains can be located.
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Chapitre 6
To see the buckling system of a member, you need to select the member and in the Property window click the three-dot but-
ton [...] at item Buckling and relative lengths.
If several members located in one line meet the required conditions (listed earlier in the text) and form one buckling system,
it does not matter which particular member is selected. When you click the above-mentioned three-dot button, the program
automatically finds the appropriate buckling system and shows it in the buckling-data library manager.
Let us look at the buckling systems of individual columns from the table above.
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Données de flambement
Second
left
Here again the buckling system has three parts, each of them cor-
responding to one storey.
Second
right
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Chapitre 6
Most right
The buckling system has just one part, as the frame has just one sto-
rey on the right side.
Now, let us have a look at the lowest (also longest) horizontal beam.
It has been input as a single beam. Then, function Connect nodes / edges to members was used to link the beam with the
columns (without this the model and thus also the buckling system would not reflect the reality). When we click the three-dot
button [...] at item Buckling and relative lengths in the Property window, we can see that, even though the beam is modelled
using a single 1D member, the buckling system consists of three parts.
In the second example, let us have a column composed of two 1D members. The lower member is made of an I-section, the
upper one of an equal angle.
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Données de flambement
+
Note: The red-green-blue arrows in the pictures represent the cross-section local axes, not the principal axes.
If the angle is oriented as in the picture above, the condition of the coincidence of principal axes is not met and the program is
not able to merge the two members into one buckling system. Therefore, the lower part of the column has its one buckling
system consisting of one part and also the upper part of the column has its own buckling system consisting of one part.
On the other hand, if the angle is rotated by 45°, the principal axes of both parts of the column gets into same direction and
the program can generate one buckling system for the whole column. See the pictures below.
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Chapitre 6
Please note, that the major axes of the two cross-sections must coincide and also the minor axes of the two cross-sections
must have the same orientation. If the direction of the major axis of one cross-section coincides with the direction of the
minor axis of the second cross-section, the condition is not met and the two members do not form one buckling system.
And finally, let us consider a column that is composed of two separately inputted 1D members of the same cross-section.
The orientation of the cross-section is the same for both members. But, the direction of the local x-axis is different. While in
the lower member it goes upwards, in the upper member it goes downwards.
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Données de flambement
= +
For such a configuration, the program is not able to create one buckling system and creates separate buckling systems: one
for the upper part and one for the lower part of the column.
Similarly, if a hinge is defined between the two parts of the column, two separate buckling
systems are created – one for the upper part and one for the lower part of the column.
These default values for the buckling system will not be described in detail. These default
values are used just to have “something” assigned. These default values do not take into
account specifics of a particular member. Therefore, the user MUST ALWAYS review the
buckling system of each defined member and make proper settings.
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Chapitre 6
When you start the function for the input of a new column Structure > 1D member > Column, the program opens a dialogue
with the properties of the member. The dialogue contains the item Buckling and relative lengths, but the item is disabled.
The same applies to all functions for input of 1D members: member, beam, column.
The reason is simple. It is rather irrelevant to define the buckling system before all the members in the structure has been
defined, before they have been connected, before the supports and other boundary conditions have been specified.
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Données de flambement
Therefore, first input the whole structure including the boundary conditions. Make sure that all the members in the structure
have been properly connected and that all the defined members have their local axes defined as intended. And only then
turn your attention to buckling systems.
The procedure to specify the buckling system is very simple (even though the definition of all the buckling parameters may
be rather difficult and we will discuss it in a separate chapter). But, talking in terms of the procedure (i.e. how to do it), it is a
simple task.
The procedure to define the buckling system
1. Create the (complete) model of the structure.
2. Select the member for which the buckling system is to be defined.
3. In the Property window click the three-dot button [...] at item Buckling and relative lengths.
4. If, prior to clicking the three-dot button, the buckling system was set to Default, the program opens the Buckling-data data-
base manager and automatically creates a new buckling system with the required number of parts. This new buckling sys-
tem is also automatically selected in the list of defined buckling systems.
5. If, prior to clicking the three-dot button, the buckling system for that particular member has been already defined, the pro-
gram opens the Buckling-data database manager and automatically selects the corresponding buckling system in the list of
defined buckling systems.
6. Moreover, the Buckling-data database manager automatically applies a filter that ensures that only the buckling systems
with the appropriate number of parts are listed in the list of defined buckling systems. This way, you are not confused by a
(possibly) great number of other (at this moment irrelevant) buckling systems defined in the project.
7. In order to adjust all the parameters of the buckling system, click button [Edit].
8. The program opens a special editing dialogue where all the parameters of the buckling system can be properly defined.
9. When ready, close the editing dialogue and close the Buckling-data database manager.
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Chapitre 6
Now, when the principle of the project buckling-data and library buckling-data has been explained and when the procedures
for input of these data have been introduced, we can proceed to the explanation of the meaning of individual buckling para-
meters.
In the following text, we will talk about steel structures, but the same principle applies to all
other materials. Also the meaning of individual parameters is the same or analogous for all
materials. However, possible differences for individual materials will be explained at the
end of the paragraph.
The dialogue is divided into two separate tab-sheets: Base settings and Buckling data.
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Données de flambement
Base settings
The numbers in the picture represent references to the corresponding items in the Setup dialogue described earlier in the
text.
As you can see, most of the items have a counterpart in the Setup dialogue. When a new buckling system is being created,
these items read the values adjusted in the Setup dialogue and offer them here. Alternatively, as in the case of sway para-
meters, the value explicitly says that the adjustment from the Setup dialogue will be considered. The parameters that are not
listed in the Setup dialogue are set to application defaults.
Buckling data
The layout of this part of the dialogue can vary depending on the code and also depending on the settings made in the Base
settings tab.
For example, if ky factor and kz factor (number 6 and 7 in the Base settings tab) are set to Calculate, the cells are disabled –
see below..
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Chapitre 6
However, if, for example, ky factor (number 6 in the Base settings tab) is set to factor and kz factor (number 7 in the Base set-
tings tab) is set to length, the dialogue is different.
The cell under ky is enabled and ky factor can be input manually here. Parameter kz was replaced by lz and the buckling
length can be directly specified – see below.
IMPORTANT: The algorithm behind the automatic calculation of factors ky and kz is rather
complex. When the program calculates the value of the factor, it performs a set of veri-
fication tests and tries to determine reliability of the calculated value. This is extremely impor-
tant to remember especially in a situation that one factor (let us say ky) is set to “calculate”
and the other one (let us say kz) to “factor”. If, under such configuration, the program
decides that the calculated value of the factor (ky) is not reliable, it uses in calculations the
input value for the other factor (kz) instead. Therefore, IT IS EXTREMELY IMPORTANT
TO KNOW THAT THE CALCULATED VALUES OF FACTORS ARE ONLY
RECOMMENDED VALUES AND THAT THE FINAL RESPONSIBILITY IS ON THE
USER. The best approach is to review the calculated values of the factors (supposing that
option “calculate” has been used) and then input manually values that the user considers to
be correct. In that case, the program has no possibility to perform any “hidden” operations.
Données de flambement
La boîte de dialogue Données de flambement s’utilise pour définir les paramètres de flambement d’une partie d’un système
de flambement (c’est-à-dire chaque élément 1D).
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Données de flambement
Vous remarquerez qu’en attribuant des données de flambement depuis le service Acier,
SEULS les éléments en acier peuvent être sélectionnés. Le principe est le même pour les
autres services.
Les données de flambement ont pour avantage de ne faire référence qu’à un seul élé-
ment. Elles peuvent par conséquent être affichées dans un tableau d’éléments du Docu-
ment. Il n’en va pas de même pour la bibliothèque des données de flambement, laquelle
fait référence à un système de flambement composé de plusieurs éléments.
Le premier paramètre est explicite, c’est pourquoi nous aborderons uniquement les deux autres.
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Chapitre 6
Le système de flambement par défaut est utilisé si aucun système n’a été défini pour un élément. Comme précisé pré-
cédemment, une vérification est toujours nécessaire. L’utilisateur doit faire preuve de prudence et veiller à définir cor-
rectement toutes les données de flambement pour chaque élément du projet.
Elément secondaire
Il s’agit d’un des paramètres de relation du système de flambement d’un élément. Si cette option est activée, l’élément
n’influence pas le système de flambement des poutres attachées. Ceci s’applique uniquement dans directions yy et zz.
Cette option n’influence PAS le système de flambement de l’élément pour lequel l’option est sélectionnée.
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Données de flambement
B) Sway structure
L = system length
E = Young modulus of elasticity
I = moment of inertia i
Ci = stiffness in node i
Mi = moment in node i
Φi = rotation in node i
Values Mi and Φi are determined as approximate values using internal forces and deformations calculated from load cases
that generate shape of deformation similar to buckling shapes (see [4], pp. 113 and [5], pp. 112). Load cases used for this
purpose contain a unit loads that generate horizontal displacement of the structure. The formulas applied give good results
for frame structures with a perpendicular rigid or semi-rigid connection of beams. The results are ONLY recommended and
it up to the user to evaluate their application in a particular project.
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Chapitre 6
En plus de la procédure décrite ci-dessus, il existe une autre approche pour modifier la longueur de flambement affectée.
Cette approche ne permet pas de créer une nouvelle définition de longueur de flambement, mais de modifier de façon très
simple et conviviale la définition existante. Cette modification s’effectue entièrement dans une fenêtre graphique distincte,
qui affiche le schéma de la structure avec l’élément sélectionné en surbrillance ainsi que des symboles graphiques repré-
sentant les contraintes de flambement.
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Données de flambement
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Chapitre 7
Absences
Absences – Introduction
Il arrive fréquemment dans la pratique que certaines parties d'une structure ne soient pas toujours présentes et actives. Ce
sera par exemple le cas pour une poutre en béton venant d'être coulée et qui n'est donc pas encore capable de reprendre
des charges. Il se peut également que des diagonales de contreventement soient absentes dans les premières phases de
construction de la structure. Les exemples de ce type sont très nombreux.
La question qui se pose est la suivante : comment l'ingénieur doit-il tenir compte de pareils cas ?
Scia Engineer apporte une solution sous la forme de l'objet Absence. Il correspond au fait qu'un certain élément est absent
du modèle pour un cas de charge déterminé.
Remarque : Le premier et le second point sont en fait considérés comme une seule étape
de la définition des absences.
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Absences
Remarque : Seul le calcul linéaire peut être exécuté sur un modèle comportant des
absences.
Groupes d'absences
Les éléments absents sont rassemblés en Groupes d'absences.
La gestion des groupes d'absences s'effectue dans le Gestionnaire de groupes d'absences. Ce gestionnaire est l'un
des nombreux gestionnaires de base de données de Scia Engineer.
Le gestionnaire permet d'effectuer toutes les opérations standard applicables aux bases de données : (i) création d'un nou-
veau groupe, (ii) édition d'un groupe, (iii) activation (affichage) d'un groupe donné, (iv) suppression d'un groupe, etc.
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Chapitre 7
Remarque 1 : Si aucun groupe d'absences n'a été défini auparavant, l'étape 4 ci-dessus
est précédée de l'ouverture du Gestionnaire de groupes d'absences, dans lequel vous pou-
vez définir les groupes d'absences souhaités.
Remarque 3 : Les groupes d'absences présentent une certaine analogie avec les cas de
charge, et la manière de travailler avec ces deux concepts dans Scia Engineer est similaire.
Par exemple, vous ne pouvez afficher qu'un seul groupe d'absences à la fois.
Remarque : Le paramètre Groupe peut être modifié soit dans la liste déroulante située en
haut du service Absences, soit ultérieurement lors de la modification d'une absence exis-
tante dans la Fenêtre des propriétés.
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Absences
Absences d'appuis
Une absence d'appui se définit par les paramètres suivants :
Remarque : Le paramètre Groupe peut être modifié soit dans la liste déroulante située en
haut du service Absences, soit ultérieurement pendant l'édition d'une absence existante
dans la fenêtre des propriétés.
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Chapitre 7
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Absences
Remarque : Si le paramètre Groupe d'absence a été modifié (les absences éditées ont
été placées dans un autre groupe), l'absence ainsi modifiée disparaît de l'affichage puis-
qu'un seul groupe d'absences peut être affiché à la fois.
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Chapitre 8
Traction seule
Les poutres en traction seule (poutres qui ne supportent aucune compression) présentent le diagramme contrainte-
déformation suivant :
Lorsqu’une telle poutre est introduite dans le modèle, elle est identifiée par le symbole suivant (pour le visualiser, les para-
mètres d’affichage doivent être définis de façon à afficher les données du modèle) :
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Non-linéarité d'une barre
Remarque : La précision du calcul peut être influencée par le paramètre Itérations maxi-
mums de la boîte de dialogue Configuration du solveur.
Compression seule
Les barres en compression seule (barres qui ne supportent aucune compression) présentent le diagramme contrainte-
déformation suivant :
Lorsqu’une telle poutre est introduite dans le modèle, elle est identifiée par le symbole suivant (pour le visualiser, les para-
mètres d’affichage doivent être définis de façon à afficher les données du modèle) :
Effort limite
Cette fonctionnalité peut être utile dans le cas où une barre est capable de supporter une contrainte de traction (ou de com-
pression) jusqu’à une certaine limite. Cette limite est définie par la valeur limite de l’effort normal en valeur absolue. Lorsque
la limite est franchie, deux types de comportements peuvent se produire : (i) la barre perd sa stabilité et sa capacité portante
tombe à zéro ou (ii) il y a passage à un comportement plastique.
Les diagrammes contrainte-déformation suivants montrent les options disponibles :
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Chapitre 8
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Non-linéarité d'une barre
Lorsqu’une barre de type non linéaire est introduite dans le modèle, elle est identifiée par le symbole suivant (pour le visua-
liser, les paramètres d’affichage doivent être définis de façon à afficher les données du modèle) :
Paramètres
Direction Vous pouvez sélectionner Traction limite ou Compression limite.
Flambement : Si cet effort limite est franchi, la barre perd sa stabilité et ne reprend plus aucune charge.
Type Comportement plastique : Si cet effort limite est franchi, la barre suit le diagramme contrainte-déformation
plastique.
Effort
Spécifie la valeur de l’effort limite.
limite
Jeu
Les structures réelles peuvent connaître différents assemblages et conditions d’appui. Ainsi, une barre peut être fixée de
façon non rigide mais jouer un rôle actif après un changement initial de longueur. Le comportement d’une telle barre est
défini par la valeur absolue de la déformation initiale. La barre ne commence à supporter la charge que lorsque son élon-
gation ou son raccourcissement atteint la valeur introduite. Il y trois options disponibles :
aucune traction
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Chapitre 8
aucune compression
L’algorithme appliqué a été conçu pour de grandes structures. Toutes les barres sont testées et traitées simultanément à
chaque étape de l’itération. La procédure est itérative et converge vers la solution précise. Les barres introduites dans le
modèle peuvent être éliminées par la suite si leurs déformations sont inférieures à la valeur introduite pour la déformation ini-
tiale. La vitesse de convergence est élevée et ne dépend pas du nombre de barres. Huit à dix itérations suffisent pour une
structure arbitraire.
Lorsqu’une barre de type non linéaire est introduite dans le modèle, elle est identifiée par le symbole suivant (pour le visua-
liser, les paramètres d’affichage doivent être définis de façon à afficher les données du modèle) :
Paramètres
Définit l’un des trois types suivants : (i) compression seule, (ii) traction seule, (iii) deux directions. Voir les
Type
diagrammes ci-dessus.
Déplacement Spécifie la valeur de la déformation initiale avant que la barre ne joue un rôle actif.
Position Spécifie si la déformation est permise à partir du début ou de la fin de la barre.
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Non-linéarité d'une barre
Contrainte initiale
Dans les structures élancées, l’effort normal dans une barre peut avoir un effet important sur la rigidité de l’ensemble de la
structure et de ses différentes parties. En général, l’effort de traction augmente la rigidité de la structure ; l’effort de com-
pression la réduit.
Vous pouvez définir des contraintes initiales pour chaque barre. Ces efforts sont considérés comme constants sur toute la
barre.
L’effet de cette contrainte initiale peut être pris en compte dans TOUTES les combinaisons linéaires ou AUCUNE d'entre
elles. En outre, le calcul du flambement et des fréquences propres peut tenir compte de contraintes initiales.
Lorsqu’une barre de type non linéaire est introduite dans le modèle, elle est identifiée par le symbole suivant (pour le visua-
liser, les paramètres d’affichage doivent être définis de façon à afficher les données du modèle) :
Paramètres
Effort normal Spécifie la valeur initiale de l’effort normal appliqué à la barre.
Théorie
La contrainte initiale peut être définie de deux façons : soit (i) comme un cas de charge, ou une combinaison non linéaire, ou
(ii) comme un effort normal appliqué à certains éléments. Pour la seconde approche, les efforts sont transformés en retrait
ou en élongation des barres. Cette situation est analysée afin d’obtenir une solution équilibrée. Les résultats de ce calcul
sont ensuite traités de la même manière que pour la première approche.
En principe, la contrainte initiale est visualisée comme un résultat de la charge appliquée avant le cas de charge ou la com-
binaison non linéaire. Toutefois, la géométrie définie par l’utilisateur est supposée rester identique. La solution initiale uti-
lisée est donc obtenue sur base de la géométrie définie (inchangée). La procédure suivante varie selon (i) qu'il s'agit d'un
calcul linéaire ou non et (ii) selon l’ordre (premier, deuxième ou troisième) (le premier ordre est un calcul linéaire géo-
métrique, le second ordre se trouve dans la boîte de dialogue sous l’option Timoshenko et le troisième ordre sous le nom
Newton-Raphson).
1. Calcul linéaire
La contrainte initiale n’est utilisée que pour déterminer l’impact de l’état de contrainte sur la rigidité de la structure (matrice
de rigidité géométrique). Il est avantageux d'utiliser, par exemple, l’état de contrainte résultant de la charge permanente
pour l'analyse de tous les cas de charge définis sur la structure ou pour l’analyse dynamique. Comme la partie droite de
l’équation reste inchangée, le principe de superposition peut être appliqué (avec la possibilité de calculer les combinaisons
critiques) et l’effet important de la non-linéarité géométrique peut être pris en compte. La contrainte initiale et les défor-
mations ne sont pas ajoutées aux résultats (sinon les combinaisons ne seraient pas créées).
2. Calcul non-linéaire
Pour tous les calculs non linéaires, les résultats d’une solution non linéaire comprennent aussi les déformations et
contraintes résultant de la charge initiale (c’est-à-dire pas uniquement l’effet de l’état de contrainte sur la rigidité de la struc-
ture).
a) Le premier et le second ordre
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Chapitre 8
La contrainte initiale est utilisée pour modifier la rigidité de la structure. Le calcul est effectué avec la charge d’une com-
binaison non linéaire donnée et les résultats du cas de charge initial sont ensuite ajoutés aux résultats obtenus, y compris les
déformations et les réactions.
b) le troisième ordre
Il faut tenir compte de la manière dont la charge initiale a été calculée. La procédure utilisée pour traiter l’état initial dépend
du fait que ce dernier ait été calculé au troisième ordre ou non.
L’important est de savoir si l’équilibre a été calculé sur la géométrie originale ou déformée.
La forme initiale doit correspondre à celle pour laquelle l’équilibre a été calculé.
aa) L’état initial a été calculé au 1er et au 2nd ordre
La contrainte initiale est utilisée pour la rigidité géométrique dans le calcul. La forme initiale n’est pas modifiée. Lorsque le cal-
cul est terminé, la déformation initiale est ajoutée aux résultats de la combinaison non linéaire. Soulignons que cette
approche n'est pas compatible pour les câbles et les membranes. Dans tous les cas, si le calcul du 3e ordre est exécuté,
mieux vaut l’appliquer à la détermination de l’état initial.
bb) L’état initial a été calculé au 3e ordre
Les déformations de l’état initial sont ajoutées à la géométrie, ce qui signifie que l’analyse est effectuée sur une structure
déformée. La charge initiale est appliquée dans le calcul comme une ancienne charge (comme pour l’analyse des phases
de construction). Après avoir exécuté le calcul, il faut ajouter les déformations initiales aux déformations de la combinaison
non linéaire analysée afin d'obtenir la forme finale de la structure. L'utilisateur n'est pas conscient du fait que le calcul a été
effectué sur une structure modifiée. L’analyse des contraintes dans le calcul de 3e ordre est similaire à l’analyse des phases
de construction.
Par conséquent, dans les calculs non linéaires (contrairement au calcul linéaire), le résultat de l’état initial est déjà inclus
dans les résultats (y compris les déformations initiales). Afin de déterminer les efforts détaillés dans les barres, il faut utiliser
(i) les efforts finaux comprenant les résultats du cas de charge initial et (ii) la charge finale sur les barres (y compris la charge
initiale).
Câble
Vous pouvez modéliser deux types de câbles : (i) le câble droit (élément précontraint) et (ii) le câble détendu.
Câbles droits
Pour un câble droit, seul l’effort de précontrainte doit être défini.
Remarque : Les paramètres sont à définir dans la boîte de dialogue Données du projet,
onglet Combinaisons. Les options Contrainte initiale, Non-linéarité, Non-linéarité
des barres et calcul 2nd ordre doivent être sélectionnées.
Câbles détendus
Outre l’effort de précontrainte, des paramètres supplémentaires doivent être définis pour un câble détendu. Le câble est
soumis à une charge supplémentaire : il s’agit soit (i) de son poids propre, soit (ii) d’une charge répartie agissant suivant un
angle donné et orientée suivant l’axe de rotation de la barre. Ces paramètres sont utilisés pour déterminer la détente du
câble dans une direction donnée. Les calculs sont effectués sur la structure « déformée ». La déformation finale d’un câble
est donc calculée à partir de sa forme « détendue » et non à partir d’une barre droite idéale.
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Non-linéarité d'une barre
Remarque : Les paramètres sont à définir dans la boîte de dialogue Données du projet,
onglet Combinaisons. Les options Contrainte initiale, Non-linéarité et calcul 2nd
ordre doivent être sélectionnées. Evitez de sélectionnez l’option Non- linéarité des
barres car elle ralentirait inutilement le calcul.
Remarque : La méthode de Newton-Raphson est la seule qui peut être utilisée pour ce
type d’analyse. La méthode de Timoshenko NE doit PAS être appliquée à l’analyse des
câbles détendus.
Lorsqu’une barre de type non linéaire est introduite dans le modèle, elle est identifiée par le symbole suivant (pour le visua-
liser, les paramètres d’affichage doivent être définis de façon à afficher les données du modèle) :
Paramètres
Si ce paramètre est activé, la barre n’est pas détendue. Seule la valeur initiale de précontrainte est prise
Droit
en compte.
Poids
Si ce paramètre est activé, la barre est soumise à son poids propre.
propre
Effort nor-
Spécifie la valeur de l’effort normal de précontrainte.
mal
Spécifie la valeur de l’effort supplémentaire.
Pn
Ce paramètre est ignoré si Poids propre est activé.
Spécifie la direction de l’effort supplémentaire.
Alpha x
Ce paramètre est ignoré si Poids propre est activé.
Fondements techniques
Aucun élément fini particulier n'est utilisé pour ce type d'analyse. L'élément barre régulier est utilisé ; toutefois, sa rigidité en
flexion est extrêmement faible. Les petits efforts tranchants qui apparaissent pendant le calcul itératif sont supprimés.
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Chapitre 9
Property modifiers
Types of modifiers
Two types of Property modifiers available:
- for 1D members,
- for 2D members.
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Property modifiers
The display of the modifier and its labels are managed with the view parameters in the group Model:
- Other model data: displays the modifier,
- Labels of other model data: displays the labels.
The display of the modifier and its labels are managed with the view parameters in the group Model:
- Other model data: displays the modifier,
- Labels of other model data: displays the labels.
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Chapitre 9
- Bending : Only the bending properties are displayed. The "not-displayed" properties are not affected.
- Axial : Only the properties for axial stiffness are displayed. The "not-displayed" properties are not affected.
- Percentage : Reduction percentages for “Axial” and “Bending” are displayed.
Stiffness factors 1D
With a Stiffness factor 1D library item, the user defines how the stiffness is modified for a 1D member. For each definition
set, the user can set a description to recognize easily the considered data set.
In case of 1D members, the program requires coefficients for all the properties of a cross section:
Ax ,Ay, Az, Ix, Iy and Iz. Then, the modified properties are computed as:
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Property modifiers
Iz =PB/100
Axial stiffness[%] = PA
Bending stiffness[%] = PB
Stiffness factors 2D
With a Stiffness factor 2D library item, the user defines how the stiffness is modified for a 2D member. For each definition
set, the user can set a description to recognize easily the considered data set.
In case of 2D members, the program requires coefficients for all the properties of orthotropy:
D11 ,D12, D22, D33, D44, D55, d11, d12, d22 ad d33. Then, the modified properties are computed as:
Property_(solver) = Coefficient x Property_(2d member)
Four different logics are available to define the values of the properties, depending form the definition type: Standard; Ben-
ding; Axial; Percentage
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Chapitre 9
- The fields D11, D12, D22, D33, D44, D55, d11, d12, d22, d33 (which are read only) displays the coefficients which are
computed from “Axial” and “Bending” as bellow:
D11 =PB/100
D12 =PB/100
D22 =PB/100
D33 =PB/100
D44 =1
D55 =1
d11 =PA/100
d12 =PA/100
d22 =PA/100
d33 =PA/100
Axial stiffness[%] = PA
Bending stiffness[%] = PB
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Property modifiers
- Regarding the dynamic analysis, the stiffness affects all linear load cases in the same way.
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