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L1PC, L1SPI, L1MAT 2016-2017

Université Paris 13

Mécanique du point - Partiel 2

Jeudi 11 Mai 2017 (9h - 12h)

Documents interdits
Calculatrices de l’Institut Galilée autorisées

Durée : 3 heures

Consignes Exemple On suppose que la ie question du partiel est la


— Seule la feuille de réponse (page 11) complétée doit suivante :
être rendue à la fin du temps imparti et servira de
base pour la notation. (i). Le Principe Fondamental de la Dynamique fut décou-
vert par :
— L’énoncé des exercices comportant 10 pages n’est pas
à rendre (les cases à cocher sur le sujet peuvent servir
 a. Tycho Brahe (1546-1601).
de brouillon).
— Il y a une et une seule bonne réponse par question.  b. Galileo Galilei (1564-1642).
— Lorsqu’une valeur numérique décimale est demandée,
 c. Johannes Kepler (1571-1630).
la réponse est tronquée 4 chiffres après la virgule.
 d. Isaac Newton (1643-1727).
Barème
— Toutes les questions sont notées sur 1 point. La note La bonne réponse (d. Isaac Newton) est reportée sur la
finale sur 50 sera ramenée à une note sur 20. feuille de réponse comme indiqué sur le Tableau 1. Pour
— Une réponse unique juste rapporte tous les points de cette question il n’y a que 4 choix possibles, les cases e. et
la question. f. ne sont pas utilisées.
— Une réponse unique fausse ne rapporte pas de point — Répondre d. rapporte 1 point.
pour la question.
— Répondre a. rapporte 0 point.
— Ne pas répondre à une question ou cocher plusieurs
cases pour une même question rapporte une fraction — Répondre a. et d. rapporte 0,25 point.
des points de la question (le nombre de points de la — Ne pas répondre rapporte 0,25 point.
question, c’est à dire 1, divisé par le nombre de choix
possibles).

(i − 1) a.  b.  c.  d.  e.  f. 
(i) a.  b.  c.  d.  e.  f. 
(i + 1) a.  b.  c.  d.  e.  f. 

Table 1 – Exemple d’utilisation de la feuille de réponse

1


Questions courtes avec h = 4,3 m. À l’instant t0 = 0 s, la vitesse V M/0 vaut :


1. On définit un champ f (x, y, z) tel que : V M/0 = v0 →

y0 , (5)
f (x, y, z) = 3 x + 2 y, (1) avec v0 = 2,1 m.s-1 .
dans un repère R0 = (O, −
→, →
x − → −
0 y0 , z0 ). Donner l’expres-
−−→
sion de grad(f ).

 a. 2 −
→ + 3→
− v0 y0
x0 y0
A
 b. 2 x −
→ + 3y→
x 0

y 0

 c. 3 x2 −
→ + 2 y2 →
x −
y0
M
0

→ →

 d. 3 x x + 2 y y
0 0 h z0
 e. 3 −
→ + 2→
x 0

y0
 f. 5 x0 y0
2. Donner les coordonnées du centre de gravité G des O
points A(1, 2) et B(5, 7) affectés des masses mA = 1 kg 0
et mB = 2 kg, respectivement, tous ces points étant
définis dans un même repère R. Figure 1 – Exercice 1 : Schéma cinématique

 a. (2,3333 . . . ; 3,6666 . . . )
 b. (2,6666 . . . ; 6,3333 . . . )
 c. (3,6666 . . . ; 5,3333 . . . )
 d. (5,5 ; 8)
 e. (7 ; 11) Question
 f. (3,5 ; 5,5)

3. À quel instant t1 (en s) la masse ponctuelle M touche-


Le centre de gravité G vérifie :
t-elle le Sol 0 ?
−→ −→
−−→ OA + 2 × OB
OG = . (2)
3

 a. 0,8775 . . .
Exercice 1 : Chute sans frottement
Description On considère la chute d’un objet ponctuel
M de masse m = 1,5 kg représenté sur la Figure 1 jusqu’à
ce qu’il heurte le Sol noté 0. On suppose que l’accélération  b. 0,7700 . . .
de la pesanteur est g = 9,8 m.s-2 .

Repérage Un repère R0 = (O, − →, →


x − → −
0 y0 , z0 ) associé à un ré-
férentiel supposé galiléen est attaché au Sol 0, → −
z0 étant la  c. 0,6624 . . .
verticale ascendante. L’origine O du repère se trouve à la
surface du Sol horizontale et d’équation z = 0.

Paramétrage Le point M est paramétré dans R0 par ses  d. 2,1349 . . .


coordonnées notées (x,y) :
−−→
OM = y →

y0 + z →

z0 . (3)
 e. 0,9367 . . .
Conditions initiales À l’instant t0 = 0 s, le point M est
lancé d’un point A de telle sorte que :
−→
OA = h →

z0 , (4)  f. 0,4387 . . .

2
Le Principe Fondamental de la Dynamique (PFD)  a. 2,2994 . . .
appliqué à M s’écrit :  b. 13,1518 . . .
−mg→

z0 = m (ẏ →

y0 + ż →

z0 ), (6)  c. 59,6319 . . .

En projetant sur →

y0 et →

z0 , respectivement, on ob-  d. 6,8227 . . .
tient :  e. 9,2940 . . .
ÿ = 0, (7a)  f. 9,4175 . . .
−g = z̈. (7b)
En intégrant l’Éq. (7a) entre t0 et t, on obtient :
L’intégration par rapport au temps de l’Éq. (7b)
donne :
Z t

Z t ẏ − v0 = 0 dt, (14)
t0
ż = − g dt, (8a)
t0 et donc :
ż = − g t. (8b)
ẏ = v0 , (15)
L’intégration par rapport au temps de l’Éq. (8b)
donne : ∀ t. On a donc :


V M/0 = v0 →

y0 − g t →

Z t
z0 . (16)
z−h= − g t dt, (9a)
t0
Par conséquent, à l’instant t1 , on a :
1 2
z =h− gt . (9b) →

q
2
V M/0 = v02 + 2 g h. (17a)

Pour obtenir l’instant final t1 de l’expérience, on
impose z = 0 dans l’Éq. (9b), ce qui donne :
6. Que vaut y (en m) lorsque M touche le Sol 0 ?
1
h − g t21 = 0. (10)  a. 1,3910. . .
2
Par conséquent :  b. 1,9672. . .
s  c. 1,8428. . .
2h
t1 = . (11a)  d. 19,2788. . .
g
 e. 0,9214. . .


4. Que vaut la composante suivant →−
z0 de la vitesse V M/0  f. 4,4834. . .
(en m.s-1 ) lorsque la masse M touche le Sol 0 ?

 a. 6,4915 . . . On intègre l’Éq. (15) entre t0 et t, ce qui donne :


 b. -12,9830 . . . Z t
y= v0 dt, (18a)
 c. -9,1804 . . . t0

 d. 2,1349 . . . y = v0 t. (18b)
 e. -2,1349 . . . Á l’instant t1 , on a :
 f. 9,1804 . . . s
2h

− y = v0 . (19)
La vitesse V M/0 s’écrit : g



V M/0 = ẏ →

y0 + ż →

z0 . (12) 7. La courbe décrite par M dans son mouvement est :

La composante selon → −
z0 est donc ż. D’après  a. une exponentielle
l’Éq. (8b), on a à l’instant t1 :
 b. un logarithme
ż = − g t1 , (13a)  c. un polynôme de degré 1
p
= − 2 g h. (13b)
 d. un polynôme de degré 2

−  e. un polynôme de degré 3
5. Que vaut la norme de la vitesse V M/0 (en m.s-1 )
lorsque la masse M touche le Sol 0 ?  f. une sinusoïde

3
En reprenant les Éqs. (18b) et (9b), on écrit le sys-  d. 63,2100. . .
tème :  e. 271,8030. . .

y = v0 t, (20a)  f. -6,4500. . .
1 2
z =h− gt . (20b) L’énergie potentielle Ep vaut pour ce test :
2
En introduisant la première équation dans la Ep = m g z + C, (24)
deuxième, on obtient :
C ∈ R. Le travail des efforts extérieurs entre t0 et
g t1 vaut donc :
z =h− y2 . (21)
2 (v0 )2 
Wext/M (t0 → t1 ) = − Ep (t1 ) − Ep (t0 ) , (25a)
On obtient un polynôme de degré 2, donc la courbe
= m g h. (25b)
décrite est une parabole.

8. Que vaut l’énergie cinétique (en J) lorsque la masse 11. Que vaut le moment cinétique →

σ M/0 (O) (en m2 .kg.s-1 )
M touche le Sol 0 ? à l’instant t0 ?

 a. 3,1391. . .  a. −28, 4445 . . . −



x 0


 b. 9, 0300 . . . x
 b. 2,2460. . . 0

 c. 5,1170. . .  c. −3, 1500 . . . −→


x 0


 d. 6, 4500 . . . x
 d. 6,9705. . . 0

 e. 7,0631. . .  e. −13, 5450 . . . −



x 0


 f. −58, 2435 . . . x
 f. 14,1263. . . 0

L’énergie cinétique s’écrit : Le moment cinétique →



σ M/0 (O) vaut à l’instant t0 :

→−
1 2
Ec = m V M/0 .

(22) →
− −−→ →

2 σ M/0 (O) = OM ∧ (m V M/0 ), (26a)

− →
− →
− →

= m (y y0 + z z0 ) ∧ (ẏ y0 + ż z0 ), (26b)
À l’instant t1 , on obtient :
= m (y ż − z ẏ) −

x 0 (26c)
1
Ec = m (v02 + 2 g h). (23a)
2 À l’instant t = 0 s,

QUESTION ANNULÉE →

σ M/0 (O) = −m h v0 −
→.
x (27)
0
Bonne réponse : 66,5175 J.


12. Que vaut le moment dynamique δ M/0 (O) (en N.m) à
9. L’énergie mécanique se conserve-t-elle entre t0 et t1 ?
l’instant t0 ?
 a. Oui, car le problème est dissipatif.
 a. 0,00000
 b. Non, car le problème est dissipatif.
 b. -1,50000
 c. Oui, car la norme de vitesse change entre t0 et t1 .
 c. 3,15000
 d. Non, car la norme de vitesse change entre t0 et
 d. -18,96300
t1 .
 e. -1,53837
 e. Oui, car le problème est conservatif.
 f. -0,71429
 f. Non, car le problème est conservatif.

O est fixe par rapport à 0, donc le moment dyna-


Oui, car la seule force s’appliquant sur M est →

conservative. mique δ M/0 (O) vaut :


− d →−

10. Que vaut le travail des forces extérieures Wext/M (t0 → δ M/0 (O) = σ M/0 , (28a)
dt 0
t1 ) (en J) entre t0 et t1 ?
= m (ẏ ż + y z̈ − ż ẏ − z ÿ) −
→.
x 0 (28b)
 a. 3,4186. . .
À l’instant t0 , on a :
 b. 42,1400. . .

− →

 c. 14,7000. . . δ M/0 (O) = 0 . (29)

4
Exercice 2 : Ensemble de barres
M
L1 1 2 L2
Description On étudie un problème bidimensionnel com-
posé de deux barres rigides de masses négligeables notées 1
y0
et 2 et d’un point M de masse m = 5 kg situé à l’articula-
x1 x2
tion de ces deux barres, tel que représenté sur la Figure 2.
La barre 1 est articulée avec le Bâti 0 au point O et la barre ϕ
2 est articulée avec le Bâti 0 au point A. Le poids de M est y1 θ


noté P et l’accélération de la pesanteur est g = 9, 8 m.s-2 . A
O z x0
y2 0
L0
Figure 2 – Exercice 2 : Schéma cinématique

Repérage On définit un repère R0 = (O, − →, →


x − → −
0 y0 , z ) as- Questions


socié à un référentiel supposé galiléen, y0 étant la verticale
13. Écrire la relation de Chasles suivante en fonction du
ascendante. L’origine O du repère se trouve à la surface du
paramétrage et la projeter dans R0 .
Sol horizontale et d’équation y = 0. On définit également
un repère R1 = (O, − →, →
x − → −
1 y1 , z ) de telle sorte que : −−→ −→ −−→
OM = OA + AM . (35)
−−→
→ = OM ,

x (30) Indiquer le système d’équations obtenu en projection
1 −−→ sur −
→:
x
OM 0

et un repère R2 = (O, −
→, →
x − → −  a. −L1 cos(θ) = L0 − L2 cos(ϕ)
2 y2 , z ) de telle sorte que :

−−→  b. L1 cos(θ) = L0 − L2 cos(ϕ)



→= AM
x 2 −−→ . (31)  c. L1 cos(θ) = L0 − L2 sin(ϕ)
AM

 d. L1 sin(θ) = L0 + L2 sin(ϕ)
 e. L1 cos(θ) = L0 + L2 cos(ϕ)
 f. L1 sin(θ) = L0 + L2 cos(ϕ)

La fermeture de boucle géométrique s’écrit :


−−→ −→ −−→
OM = OA + AM . (36)
Paramétrage Les différentes longueurs sont définies
Cette équation est réécrite en utilisant le paramé-
comme suit :
trage :
−→ →
L0 = OA · −
x0 , (32a)
−−→ L1 −
→=L −
x1
→ −

0 x0 + L2 x2 . (37)
L1 = OM , (32b)

−−→ En projetant sur −
→ et →
x 0

y0 , on obtient respective-
L2 = AM ,

(32c) ment :

Les valeurs numériques de ces paramètres sont : L0 = 4 m, L1 cos(θ) = L0 + L2 cos(ϕ), (38a)


L1 = 3 m, et L2 = 2 m. On note que le point M se trouve L1 sin(θ) = L2 sin(ϕ), (38b)
dans la partie du plan telle que y > 0. La force exercée par
1/M s’écrit : 14. Indiquer le système d’équations obtenu en projection

− sur →

y0 :
F 1/M = F1/M −
→,
x 1 (33)
 a. L1 sin(θ) = L2 sin(ϕ)
avec F1/M ∈ R et la force exercée par 2/M s’écrit :
 b. L1 sin(θ) = L2 cos(ϕ)


F 2/M = F2/M −
→,
x 2 (34)  c. L1 cos(θ) = L2 sin(ϕ)
avec F2/M ∈ R.  d. L1 sin(θ) = −L2 sin(ϕ)

5
 e. L1 sin(θ) = −L2 cos(ϕ) 18. L’isolement de M indique :
 f. L1 cos(θ) = −L2 sin(ϕ)
 a. 1 équation pour 1 inconnue.
15. Élever au carré les équations des deux questions pré-  b. 2 équations pour 1 inconnue.
cédentes et en calculer la somme. En déduire la valeur
de cos(ϕ).  c. 1 équation pour 2 inconnues.

 a. 0,7500  d. 2 équations pour 2 inconnues.

 b. -0,5625  e. 2 équations pour 3 inconnues.


 c. 0,0625  f. 3 équations pour 2 inconnues.
 d. 0,1250
Il y a deux inconnues (F1/M et F2/M ) et deux équa-
 e. 0,3125 tions données par le Principe Fondamental de la
 f. -0,6875 Dynamique (PFD) en projection selon − → et →
x 0

y0 .
16. En déduire la valeur de ϕ (en rad) parmi les choix
suivants : 19. Écrire l’équation vectorielle résultant de l’équilibre
mécanique du problème. Indiquer sa projection selon
 a. -2,1682. . . −
→.
x 0
 b. 2,1682. . .
 a. F1/M sin(θ) + F2/M sin(ϕ) = 0
 c. 1,4454. . .
 b. F1/M cos(θ) + F2/M cos(ϕ) = 0
 d. 2,3288. . .
 c. F1/M sin(θ) + F2/M cos(ϕ) = 0
 e. -0,7227. . .
 d. F1/M cos(θ) − F2/M sin(ϕ) = 0
 f. 2,8745. . .
 e. F1/M sin(θ) − F2/M sin(ϕ) = 0
En calculant (38a)2 + (38b)2 , on obtient :  f. F1/M cos(θ) − F2/M cos(ϕ) = 0
(L1 )2 = (L2 )2 + (L0 )2 + 2 L0 L2 cos(ϕ), (39)
L’application du PFD à M donne :
On obtient :

− → − →
− →

P + F 1/M + F 2/M = 0 , (44a)
(L1 )2 − (L2 )2 − (L0 )2
cos(ϕ) = , (40a) −m g →

y +F −
→+F
x →=→

x

0, (44b)
2 L0 L2 0 1/M 1 2/M 2

cos(ϕ) = . . . (40b)
En projetant sur −
→ et →
x0

y0 , on obtient :
On sait que sin(ϕ) > 0, donc
F1/M cos(θ) + F2/M cos(ϕ) = 0, (45a)
ϕ = ... (41) −m g + F1/M sin(θ) + F2/M sin(ϕ) = 0. (45b)

17. En reprenant le système formé par les réponses aux 20. Indiquer la projection selon →

y0 de l’équation vectorielle
Questions (13) et (14), déterminer la valeur de θ (en calculée dans la Question (19).
rad).
 a. 2,0469. . .  a. m g − F1/M sin(θ) + F2/M cos(ϕ) = 0

 b. 0,5053. . .  b. −m g − F1/M sin(θ) + F2/M cos(ϕ) = 0

 c. 1,0654. . .  c. m g + F1/M sin(θ) + F2/M sin(ϕ) = 0


 d. 0,6410. . .  d. −m g + F1/M sin(θ) + F2/M sin(ϕ) = 0
 e. 1,1986. . .  e. m g − F2/M sin(θ) + F1/M sin(ϕ) = 0
 f. 0,6369. . .  f. −m g − F2/M sin(θ) + F1/M sin(ϕ) = 0

En reprenant l’Éq. (38a), on obtient : 21. Résoudre le système en éliminant F2/M pour obtenir
la valeur de F1/M .
L0 + L2 cos(ϕ)
cos(θ) = , (42a)
L1  a. 0
cos(θ) = . . . (42b)  b. −mg cos(ϕ)
sin(ϕ−θ)

Par conséquent,  c. −m cos(ϕ)


sin(ϕ−θ)

θ = ... (43)  d. mg sin(ϕ−θ)


cos(ϕ)

6
m sin(ϕ−θ)
 e. cos(ϕ)
 a. −m g L1 sin(θ)
−g cos(ϕ)  b. m g L1 sin(θ)
 f. sin(ϕ)
 c. m g L1 cos(θ)
Pour éliminer F2/M , on calcule :
 d. −m g L1 cos(θ)
(45a) × sin(ϕ) − (45b) × cos(ϕ), (46)  e. −m g L1 tan(θ)
ce qui donne :  f. m g L1 tan(θ)

F1/M − sin(θ) cos(ϕ) + cos(θ) sin(ϕ) −

Le moment Mpes/M (O) s’écrit :
+ m g cos(ϕ) = 0, (47)

→ −−→ →−
soit encore : Mpes/M (O) = OM ∧ P , (52a)
= (L −
→) ∧ (−m g →
x 1 1

y ), 0 (52b)
F1/M sin(ϕ − θ) + m g cos(ϕ) = 0. (48) = −m g L1 cos(θ). (52c)
On a donc :


−mg cos(ϕ) 25. Calculer le moment Mpes/M (A) de l’action de la pe-
F1/M = . (49) santeur sur M au point A.
sin(ϕ − θ)
 a. −m g L2 sin(ϕ)
22. En déduire la valeur de F2/M .
 b. −m g L2 cos(ϕ)
mg cos(θ)
 a. sin(ϕ−θ)  c. m g L2 tan(ϕ)
mg cos(θ)
 b. sin(ϕ)  d. m g L2 cos(ϕ)
mg sin(ϕ−θ)
 c. cos(θ)  e. m g L2 sin(ϕ)

 d. mg sin(ϕ)  f. −m g L2 tan(ϕ)
cos(θ)

 e. mg sin(ϕ − θ) −

Le moment Mpes/M (A) s’écrit :
 f. mg sin(ϕ)

→ −−→ →−
Mpes/M (A) = AM ∧ P , (53a)
L’Éq. (45a) donne :
= (L −
→) ∧ (−m g →
x 2 2

y ), 0 (53b)
cos(θ) = −m g L2 cos(ϕ), (53c)
F2/M = − F1/M , (50a)
cos(ϕ) = ... (53d)
mg cos(θ)
= . (50b)
sin(ϕ − θ)
Exercice 3 : Goutière
23. Donner la valeur de l’énergie potentielle Ep de M , sa-
Description On étudie un problème bidimensionnel re-
chant que la référence de l’énergie potentielle de pe-
présenté sur la Figure 3 composé d’une Goutière 0 à l’in-
santeur est prise au point O :
térieur de laquelle glisse un point M de masse m = 2 kg.


 a. −m g L1 cos(θ) Le poids de M est noté P et l’accélération de la pesanteur
est g = 9, 8 m.s-2 . Entre les instants t0 et t1 , le point M
 b. −m g L1 sin(θ) _
se trouve sur l’arc AB, on suppose alors un contact sans
 c. 0 frottement entre 0 et 1. Après que le point M dépasse le
 d. m g L1 cos(θ) point B, on considère un frottement sec (de Coulomb) de
coefficient de frottement f = 0.2.
 e. m g L1 sin(θ)
 f. m g L2 cos(θ) Repérage Un repère R0 = (O, − →, →
x − → −
0 y0 , z ) associé à un
référentiel supposé galiléen est attachée à la Goutière 0, → −
y0
L’énergie potentielle s’écrit : étant la verticale ascendante. L’origine O du repère se trouve
au centre de la partie circulaire de la Goutière 0. On définit
Ep = m g L1 sin(θ). (51) également un repère Rθ = (O, − →, −
u → → −
r uθ , z ) de telle sorte que :

−−→

→ → = OM .

24. Calculer le moment Mpes/M (O) de l’action de la pe- x 1 −−→ (54)
santeur sur M au point O. OM

7
 a. R θ̇ −

_
Paramétrage Le rayon R de l’arc AB de la Goutière 0 ur
est défini par :
 b. −R θ̇ −

ur
−→
R = OA , (55)  c. θ̇ −


_  d. −θ̇ −


avec R = 5 m. Lorsque M parcours l’arc AB, son mouve-
ment est paramétré par l’angle θ défini par :  e. R θ̇ −

θ = (−
→, −
x →
0 ur ). (56)  f. −R θ̇ −

On note que θ = π au point A et θ = 3 π/2 au point B.


On a :
Lorsque le point M a dépassé le point B, son mouvement
est paramétré par son abscisse x dans le repère R0 : −−→
OM = R −

ur (60)
−−→ →
x = BM · −
x0 . (57) donc :


La force exercée par 0/M s’écrit : V M/0 = R θ̇ −
→.
uθ (61)


F 0/M = F0/M −
→,
u r (58)
28. Donner l’énergie mécanique Em (en J) à l’instant ini-
avec F0/M ∈ R. tial t0 en considérant que le point de référence point
de calcul de l’énergie potentielle est O.
Conditions aux limites À l’instant t0 , le point M est en


A et a une vitesse initiale V M/0 vérifiant :  a. 3


V M/0 = −V0 →

y0 , (59)  b. 5

 c. 6
avec V0 = 3 m.s-1 .
 d. 8
y0
 e. 9

 f. 12
A O z x0
L’énergie mécanique Em s’écrit :
ur θ
Em = Ep + Ec . (62)

R M uθ L’énergie potentielle Ep est nulle à l’instant t0 car :


−→ →
OA · −
y0 = 0. (63)

B Il ne reste donc que la contribution de l’énergie ci-


0 nétique Ec :
1
Em = m V02 , (64)
Figure 3 – Exercice 3 : Schéma cinématique 2

Questions 29. Appliquer le Théorème de l’Énergie Mécanique (TEM)



− →

26. Quel doit être le signe de F0/M pour que le maintient entre t0 et t1 pour obtenir la vitesse V 1 = V M/0
du contact entre 0 et M soit assuré ? lorsque le point M arrive au niveau du point B.

 a. positif  a. 2 gR →

y0
 b. négatif
 b. V0 →

y0

 c. V02 + 2 gR →

p
La normale à 0 au niveau du contact avec M est y0
−−
→. F
u r 0/M doit donc être négatif pour assurer le √
maintient du contact en A.  d. 2 gR −→
x 0


−  e. V0 −

x 0
27. Donner l’expression de la vitesse V M/0 en fonction de
 f. V02 + 2 gR −

p
θ. x 0

8
Le problème étant conservatif entre t0 et t1 , la  b. −f g V0
conservation de l’énergie mécanique entre ces deux
 c. m g ẋ
instants impose :
 d. −m g ẋ
1 →−
2 1
−mgR + m V 1 = m V02 , (65)
2 2  e. f m g ẋ
Par conséquent,  f. −f m g ẋ


q
V 1 = V02 + 2 gR. (66)
La puissance P0/M s’écrit :

À l’instant t1 le point M est en B donc d’après la →


− →


− P0/M = F 0/M · V M/0 , (71a)
trajectoire connue de M , V 1 est porté par −
→ et :
x 0
= −f m g ẋ, (71b)


q
V 1 = V02 + 2 gR −→.
x 0 (67)
33. Appliquer le Théorème de l’Énergie Mécanique (dans
le cas d’un problème dissipatif) entre t1 et t > t1 . En
30. Écrire le Théorème de l’Énergie Mécanique (TEM)
déduire la norme de la vitesse (en m.s-1 ) à l’instant
entre t0 et t < t1 pour obtenir l’équation différentielle
t1 + 1 s.
caractéristique du mouvement de M entre les instants
t0 et t1 .
 a. 10,1440. . .
p
 a. R θ̇ = V0 + gR sin(θ)
p  b. 6,4240. . .
 b. R θ̇ = V02 − 2 gR tan(θ)
p  c. 9,3640. . .
 c. R θ̇ = V0 − 2 gR cos(θ)
p  d. 10,3440. . .
 d. R θ̇ = V02 − 2 gR sin(θ)
p  e. 0,5440. . .
 e. R θ̇ = V02 − gR sin(θ)
p  f. 8,3840. . .
 f. R θ̇ = V02 + gR sin(θ)

Pour ce problème dissipatif, le TEM s’écrit :


Le problème étant conservatif entre t0 et t, la
conservation de l’énergie mécanique impose : dEm
= P0/M , (72)
1 1 dt
mgR sin(θ) + m R2 θ̇2 = m V02 , (68)
2 2 soit encore :
Par conséquent, on a : d 1
( m ẋ2 ) = −f m g ẋ, (73a)
p dt 2
V02 − 2 gR sin(θ) m ẋ ẍ = −f m g ẋ, (73b)
θ̇ = . (69)
R
On a donc :
→ de la force →
31. Donner la composante selon −
x

F 0/M (en
0
ẍ = −f g, (74)
N) pour t > t1 .
Par conséquent,
 a. -0,4000
q
 b. -3,9200 ẋ = V02 + 2gR − f g (t − t1 ), (75)
 c. -1,9600
 d. -19,6000 34. Donner la valeur de l’intervalle de temps t2 − t1 (en s)
 e. 19,6000 pendant lequel le point M glisse avant de s’arrêter.

 f. 0,4000  a. 5,2775. . .

−  b. 59,0000. . .
F 0/M s’écrit :

−  c. 54,5918. . .
F 0/M = −f m g −
→ + mg→
x 0

y0 , (70)
 d. 20,2744. . .
32. Donner l’expression de la puissance P0/M pour t > t1 .  e. 2,7285. . .
 a. f g V0  f. 2,5637. . .

9
À l’instant t2 , on a ẋ = 0, donc  d. µ y →−
y0


 e. µ ẏ y
q 0
V02 + 2 gR − f g (t2 − t1 ) = 0 (76)
 f. −µ ẏ →

y0
et,


p La force de frottement visqueux F V /M s’écrit :
V02 + 2gR
t2 − t1 = . (77) →
− →

fg F V /M = −µ V M/0 , (80a)
= −µ ẏ →

y ,
0 (80b)
Exercice 4 : Chute avec frottement visqueux
36. Appliquer le Principe Fondamental de la Dynamique
Description On étudie le problème bidimensionnel de la (PFD) au point M en projection sur → −
y 0 . En déduire
chute d’un point M de masse m = 3 kg lâché d’une hauteur l’équation différentielle du mouvement.
h = 5 m par rapport au Sol 0, comme cela est représenté
sur la Figure 4. Le point M est soumis non seulement à la  a. −m g + µ ẏ = m ÿ


gravité mais aussi à une force de frottement visqueux F V /M
caractérisée par le coefficient de frottement visqueux µ = 10  b. −m g − µ ẏ = m ÿ


N.s.m-1 . On note P le poids de M . L’accélération de la pe-  c. m g + µ ẏ = m ÿ
santeur est g = 9.8 m.s-2 .
 d. −m g − µ ÿ = m ÿ

Repérage Un repère R0 = (O, − →, →


x − → −
0 y0 , z0 ) associé à un ré-
 e. −m g + µ ÿ = m ÿ


férentiel galiléen est attachée au Sol 0, y0 étant la verticale  f. −m g + µ y = m ÿ
ascendante, et → −
z0 la normale au plan du problème 2D.
Le PFD appliqué à M s’écrit
paramétrage Le point M est paramétré par son ordonnée

− → −
y: P + F V /M = m →

a M/0 . (81)
−−→ −
y = OM · →
y0 . (78) En projetant sur →

y 0 on obtient :

Conditions initiales À l’instant t0 = 0 s, on a −m g − µ ẏ = m ÿ. (82)

y = h, (79a) 37. Réécrire l’équation différentielle linéaire en posant v =


ẏ = 0. (79b) ẏ. Quel est l’ordre de cette équation différentielle ?

 a. 0
A  b. 1
 c. 2
M  d. 3
h y0 Le changement de variable donne :

−m g − µ v = m v̇, (83)
z0 x0 ce qui fait clairement apparaître une EDL d’ordre 1.
O
0 38. Résoudre l’équation différentielle homogène associée
à l’équation différentielle du mouvement. Donner la
forme de v(t) (défini dans la Question (37)) satisfai-
Figure 4 – Exercice 4 : Schéma cinématique sant l’équation différentielle homogène.

Questions  a. C cos(−mt/µ), C∈R


35. Donner l’expression de la force de frottement vis-  b. C cos(−µt/m), C∈R


queusx F V /M .
 c. C e−µt/m , C∈R
 a. µ ÿ →

y0  d. C e mµt
, C∈R
 b. −µ ÿ →−
y0  e. C emt/µ , C∈R
 c. −µ y → −
y
0  f. C eµt/m , C∈R

10
On commence par résoudre l’équation différentielle  d. −294, 0000 . . .
homogène associée s’écrivant :
 e. −30, 6122 . . .
v̇ µ
=− , (84)  f. −0, 9800 . . .
v m
En reconnaissant la dérivée de ln |v|, on obtient : Lorsque t tend vers l’infini, la vitesse v(t) tend vers :
d µ mg
ln |v| = − . (85) v(t) = − . (92)
dt m µ
En intégrant sur le temps, on obtient :
µ 41. Intégrer l’expression de v(t) pour obtenir y(t). En dé-
ln |v| = − t + C1 , (86) duire la position y(t) (en m) à l’instant t = 0, 5 s.
m
avec C1 ∈ R. En prenant, l’exponentielle, on ob-  a. 4, 7589 . . .
tient :
 b. 5, 9147 . . .
v(t) = C2 e−µt/m . (87)
 c. 3, 7750 . . .
C2 ∈ R.
 d. 6, 5974 . . .
39. En utilisant le résultat de la question précédente, cal-  e. 5, 7154 . . .
culer la solution de l’équation différentielle générale
du mouvement. En déduire v(t) (en m.s-1 ) à l’instant  f. 4, 2454 . . .
t = 0, 5 s (en supposant que le point M n’a pas encore
touché le Sol 0 à cet instant). La position y(t) se calcule comme suit :
 a. −23, 8470 . . . Z t
y(t) − h = v(t) dt, (93a)
 b. −2, 3847 . . . t0
m g t −µt/m
Z
 c. −2, 8351 . . . = e

− 1 dt, (93b)
µ t0
 d. −238, 4705 . . .
m g  m  −µt/m t  t 
=− e + t t0 , (93c)
 e. −0, 8111 . . . µ µ t0

 f. −2, 9400 . . . or t0 = 0 s, donc :


m g  m −µt/m  
Une solution particulière de l’Éq. (83) est : y(t) = h − e −1 +t . (94)
µ µ
−m g
v= . (88)
µ
Exercice 5 : Système masse-ressort
La solution générale s’écrit :
Description On étudie le mouvement plan d’un point B
mg de masse m = 0,6 kg glissant sur un Sol 0 incliné par rap-
v = C2 e−µt/m − . (89) port à l’horizontale, tel que représenté sur la Figure 5. Ce
µ
point est relié à l’extrémité d’un Ressort R de longueur à
Sachant que pour t0 = 0 s, on a v = 0 : vide l0 = 0,2 m et de raideur k = 50 N.m-1 . L’autre ex-
mg trémité de ce Ressort R est reliée à un point A. Les points
C2 = , (90) A et B sont en appui sur le Sol 0, le contact étant supposé
µ
sans frottement. Le point A subit une sollicitation extérieure
la solution du problème mécanique est : (non représentée sur la Figure 5) imposant un déplacement
linéaire de ce point sur le Sol 0. Dans cet exercice, on cherche
m g −µt/m 
v(t) = e −1 . (91) à déterminer le mouvement du point B en appliquant le
µ Théorème de l’Énergie Cinétique (TEC) à ce point. L’accé-
lération de la pesanteur est notée g = 9, 8 m.s-2 .
40. En supposant que h est grand, donner la valeur vers
laquelle tend v(t) (en m.s-1 ) pour t  m
µ.
Repérage Deux repères R0 = (O, − →, →
x − → − ∗
0 y0 , z ) et R0 =

→∗ → −∗ →
 a. −2, 9400 . . . (O, x0 , y0 , −
z ) associé à des référentiels supposés galiléens
sont attachés au Sol 0. → −
z est la normale au plan du pro-
 b. −4, 4100 . . . →
− →

blème 2D, y0 est la verticale ascendante et y0∗ est la normale
 c. −35, 2800 . . . extérieure à la surface du Sol 0.

11
Paramétrage La position des points A et B est paramé- →

La vitesse V B/0 s’écrit :
trée par les scalaires λa et λb définis par :

− −

−→ − → V B/0 = λ̇b x∗0 (99)
λa = OA · x∗0 , (95a)
−→ − →
λb = OB · x∗0 . (95b) L’énergie cinétique Ec s’écrit :

L’angle θ est défini par : 1 → − →



Ec = m V B/0 . V B/0 , (100a)
2
→, −
θ = (−
x
→∗ 1
0 x0 ), (96) = m (λ̇b )2 . (100b)
2
avec θ = π/8.


43. Calculer le poids P de B en fonction des vecteurs de

R0 .
Conditions aux limites On donne λa (t) comme une

→ →
−
fonction de temps :  a. − m g sin(θ) x∗0 + cos(θ) y0∗

→ →
−
λa = A0 t, (97)  b. m g sin(θ) x∗0 + cos(θ) y0∗

→ →
−
∀ t avec A0 = 0.5 m.s-1 . À l’instant initial t0 = 0 s, on a :  c. − m g cos(θ) x∗0 + sin(θ) y0∗

→ →
−
λb = l0 , (98a)  d. m g cos(θ) x∗0 + sin(θ) y0∗

→ →
−
λ̇b = 0. (98b)  e. m g cos(θ) x∗0 − sin(θ) y0∗

→ →
−
 f. m g − cos(θ) x∗0 + sin(θ) y0∗



Le poids P s’écrit :


P = −mg→

λb y0 , (101a)

→ →
−
= − m g sin(θ) x∗0 + cos(θ) y0∗ . (101b)
λa
44. Calculer la puissance Ppes/B due à l’action de la pe-

y0* y0 B santeur sur le point B dans R0 .

x0* 0  a. m g cos(θ) λ̇b


A
O
θ  b. −m g cos(θ) λ̇b
 c. m g sin(θ) λ̇b
z x0  d. −m g sin(θ) λ̇b
 e. m g tan(θ) λ̇b
Figure 5 – Exercice 5 : Oscillateur forcé sur un plan incliné  f. −m g tan(θ) λ̇b

La puissance Ppes/B s’écrit :


Questions

− →−
42. Calculer l’énergie cinétique Ec du point B en fonction Ppes/B = P . V B/0 , (102a)
des paramètres du mouvement. = −m g sin(θ) λ̇b . (102b)

 a. 1
m (λ̈b )2 45. Calculer la puissance PR/B due à l’action du Ressort
2
R sur le point B dans R0 .
1
 b. m (λ̇b − λ̇a )2 −

2
 a. k (λb − λa − l0 ) x∗0
1 −

 c. 2 m (λ̇b )2  b. −k (λb − λa − l0 ) x∗0


 c. −k (λb − λa ) x∗0
 d. m (λ̇b )2
−→
 d. k (λb − λa ) x∗0
1
 e. 2 m g (λ̇b )2 −

 e. −k (λb − l0 ) x∗0
p −

 f. 1
2 m λ̇b  f. k (λb − l0 ) x∗0

12

−  e. C1 cos(ω0 t)
La force F R/B exercée par le Ressort R s’écrit :

− −
→  f. C1 cos(ω0 t) + C2 sin(ω0 t)
F R/B = −k (λb − λa − l0 ) x∗0 , (103)

La puissance PR/B de cette force s’écrit :



− →
− L’équation différentielle homogène est :
PR/B = F R/B . V B/0 , (104a)
λ̈b + ω02 λb = 0. (110)
= −k (λb − λa − l0 ) λ̇b . (104b)
La solution de cette équation est de la forme :
QUESTION ANNULEE
λb (t) = C1 cos(ω0 t) + C2 sin(ω0 t), (111)
46. Appliquer le Théorème de l’Énergie Cinétique (TEC)
au point B. Donner l’équation différentielle du mou- avec C1 ∈ R et C2 ∈ R.
vement obtenue. Réarranger les termes de cette équa-
tion différentielle pour faire apparaître une équation
différentielle
p linéaire d’ordre 2 de pulsation propre 48. Donner une solution particulière de l’équation différen-
ω0 = k/m. tielle recherchée sous la forme d’un polynôme d’ordre
1 en t.
 a. λ̈b + ω02 λb = −g sin(θ) + ω02 A0 t
 b. λ̈b + ω02 λb = g sin(θ) + ω02 l0 − ω02 A0 t
 a. −g sin(θ) + ω02 l0 + ω02 A0 t
 c. λ̈b + ω02 λb = g sin(θ) + ω02 l0 + ω02 A0 t
 d. λ̈b + ω02 λb = −g sin(θ) + ω02 l0 + ω02 A0 t  b. −g sin(θ) + ω02 A0 t
 e. ω02 λ̈b + λb = −g sin(θ) + ω02 l0 − ω02 A0 t
 c. − g sin(θ)
ω2
+ l0 + A0 t
 f. ω02 λ̈b + λb = g sin(θ) − ω02 l0 0

 d. ω02 l0 + ω02 A0 t
Le Théorème de l’Énergie Cinétique (TEC) s’écrit :

dEc g sin(θ)
Ppes/B + PR/B = , (105)  e. ω02
+ l 0 − A0 t
dt
soit encore,  f. g sin(θ)
+ l0 + A0 t
ω0

−mg sin(θ)λ̇b − k (λb − λa − l0 ) λ̇b = mλ̇b λ̈b .


(106)
On obtient :
En divisant par λ̇b , on obtient :
g sin(θ)
λb (t) = − + l0 + A0 t, (112)
−mg sin(θ) − k (λb − λa − l0 ) = mλ̈b . (107) ω02

En réarrangant les termes de l’Éq. (107) et en rem-


plaçant λa par sa valeur donnée dans l’Éq. (97), on 49. En déduire la solution du problème mécanique. Don-
obtient : ner la constante C1 défini dans la Question (47).
mλ̈b + kλb = −mg sin(θ) + kl0 + kA0 t. (108)

Soit encore :  a. − g cos(θ)


ω0

λ̈b + ω02 λb = −g sin(θ) + ω02 l0 + ω02 A0 t, (109a)


p  b. − g sin(θ)
ω0
ω0 = k/m. (109b)
g sin(θ)
 c. ω02
47. Donner la solution générale de l’équation différentielle
homogène associée (avec C1 ∈ R et C2 ∈ R).
g sin(θ)
 d. ω0
 a. C1 cos(t/ω0 )
 b. C1 cos(t/ω0 ) + C2 sin(t/ω0 )  e. − cos(θ)
 ω2 0
 c. ω0 cos(C1 t) + sin(C2 t)
cos(θ)
 d. C1 sin(ω0 t)  f. ω0

13
La solution générale de λb (t) est de la forme : 50. Donner la constante C2 définie dans la Question (47).

A0 cos(θ)
g sin(θ)  a. ω0
λb (t) = C1 cos(ω0 t) + C2 sin(ω0 t) −
ω02  b. − A0
ω0
+ l0 + A0 t,
 c. − A0
ω2 0
et la dérivée λ̇b (t) s’écrit : A0 cos(θ)
 d. ω02

λ̇b (t) = ω0 − C1 sin(ω0 t) + C2 cos(ω0 t) + A0 .  e. A0
A0
Les Éqs. (98a) et (98b) imposent respectivement :  f. ω0

g sin(θ)
C1 = , (113a)
ω02
A0
C2 = − . (113b)
ω0
Par conséquent :

g sin(θ) A0
λb (t) = cos(ω0 t) − sin(ω0 t)
ω02 ω0
g sin(θ)
− + l0 + A0 t.
ω02

Si θ = 0, on obtient :
A0
λb (t) = − sin(ω0 t) + l0 + A0 t. (114)
ω0

14
15
L1PC, L1SPI, L1MAT 2016-2017
Université Paris 13

Feuille de réponse

Nom : 
Prénom : 
N◦ de carte : 

1. a.  b.  c.  d.  e.  f.  31. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
2. a.  b.  c.  d.  e.  f.  32. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
3. a.  b.  c.  d.  e.  f.  33. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
4. a.  b.  c.  d.  e.  f.  34. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
5. a.  b.  c.  d.  e.  f.  35. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
6. a.  b.  c.  d.  e.  f.  36. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
7. a.  b.  c.  d.  e.  f.  37. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
8. a.  b.  c.  d.  e.  f.  38. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
9. a.  b.  c.  d.  e.  f.  39. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
10. a.  b.  c.  d.  e.  f.  40. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
11. a.  b.  c.  d.  e.  f.  41. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
12. a.  b.  c.  d.  e.  f.  42. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
13. a.  b.  c.  d.  e.  f.  43. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
14. a.  b.  c.  d.  e.  f.  44. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
15. a.  b.  c.  d.  e.  f.  45. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
16. a.  b.  c.  d.  e.  f.  46. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
17. a.  b.  c.  d.  e.  f.  47. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
18. a.  b.  c.  d.  e.  f.  48. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
19. a.  b.  c.  d.  e.  f.  49. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
20. a.  b.  c.  d.  e.  f.  50. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
21. a.  b.  c.  d.  e.  f.  51. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
22. a.  b.  c.  d.  e.  f.  52. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
23. a.  b.  c.  d.  e.  f.  53. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
24. a.  b.  c.  d.  e.  f.  54. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
25. a.  b.  c.  d.  e.  f.  55. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
26. a.  b.  c.  d.  e.  f.  56. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
27. a.  b.  c.  d.  e.  f.  57. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
28. a.  b.  c.  d.  e.  f.  58. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
29. a.  b.  c.  d.  e.  f.  59. a.  b.  c.  d.  e.  f. 
30. a.  b.  c.  d.  e.  f.  60. a.  b.  c.  d.  e.  f. 

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