Thème
Etude de conception d’une cintreuse
réalisation de ce travail.
partie simulation
contribué à ma formation.
moi.
A ma sœur : Hanane
Fouad.
Sommaire
Sommaire
Introduction générale.............................................................................................................. 1
Chapitre V : Modélisation
Bibliographie............................................................................................................................ x
Annexe ...................................................................................................................................... x
Résumé .......................................................................................................................................... x
LA TABLE DES FIGURES
Chapitre 1 :
Chapitre 2 :
Figure 2.10. : La partie électrique de la cintreuse à 3 galets avec rouleaux presseur manuel
pour tous types de profilés. ................................................................................ 19
Figure 2.17. : Sens de rotation des pignons par la chaîne de transmission. ............................ 22
Figure 2.18. : Vue éclatée de la cintreuse à 3 galets avec rouleaux presseur manuel pour tous
Chapitre 3 :
Figure 3.8. : Les efforts appliqués entre la chaine et les pignons ........................................ 32
Chapitre 5:
Figure 5.7. : Esquisse d’un rectangle sur la face plane du pignon. ......................................... 56
Figure 5.9. : Extrudé de deux cercles qui forme une rondelle. ............................................... 57
Figure 5.10. : Extrudé de deux cercles qui forme une bague .................................................. 57
Figure 6.7. : Application des conditions aux limites sur l'axe 1.............................................. 66
Figure 6.12. : Application des conditions aux limites sur l'axe 2 (flexion)............................. 68
Figure 6.17. : Application des conditions aux limites sur l'axe 2 (flexion)............................. 71
Figure 6.22. : Application des conditions aux limites sur le pignon chaine. .......................... 71
Chapitre II :
Tableau 2.1. : Les différentes formes de galets....................................................................... 18
Chapitre IV :
Tableau 4.1. : Tableau des coefficients d'application ............................................................. 41
Chapitre V :
Tableau 5.1. : Les étapes pour obtenir un volume ................................................................ 51
Chapitre VI
Tableau 6.1. : Résultat d’étude de flexion de tube .................................................................. 65
INTRODUCION GENERALE
A ce titre. Ces machines ont toujours été un moyen indispensable à toute production,
le développement des techniques permet avec le temps l’amélioration et le perfectionnement
de ces machines, rendant l’intervention de l’homme pratiquement limitée (automatisation,..).
Ses ouvrages sont basés surtout sur des barres et des tubes creux d’acier ou de fer de
différents profilés qui permettra l'apparition des formes complexes de l'architecture, la
création de ses formes s'appuie sur le cintrage pour les décorations.
Sachant que le cintrage manuelle est très fatigant et la cadence de production est faible
(lente). Pour cela on propose une cintreuse à 3 galets semi-automatique.
Qui a pour objectif optimisation de cout de main d’œ uvre ainsi que l’optimisation de
temps, gains d’espace dans l’atelier en concevant une cintreuse pouvant portée tous les
différents galets de cintrage, par montage de galet nécessaire à chaque cintrage de différents
profilés.
1
Chapitre 1 Généralité sur le cintrage
1.1. Introduction
C'est un procédé industriel métallurgique planétaire, qu'on peut décrire ainsi :
" S'il n'y a pas un produit cintré, dans votre environnement proche,
... alors, vous êtes très certainement perdus dans la Jungle !..."[1]
Le cintrage est un procédé mécanique de déformation d'un tube ou d'une barre, suivant
un rayon et un angle avec une cintreuse. Le terme cintrage est aussi utilisé pour désigner
globalement la transformation d'un produit cintré [2].
La longueur à débiter pour cintrer est la somme des parties droites et des parties
3
Chapitre 1 Généralité sur le cintrage
2 x xRx
Lpartie.courbe
360
3.1416
Application numérique de notre exemple :
AB= 135
CD= 235
x165
BC= 259
2
Ainsi : LD=135 + 235 + 259 = 629 mm
4
Chapitre 1 Généralité sur le cintrage
Le cintrage se fait avec le concours d'une force de flexion et d'une force contraire; la
force de flexion provoque une force contraire. La nature de la conjugaison de ces forces
détermine la forme du cintrage.
à la main
à l'aide de montages
à l'aide de machines
5
Chapitre 1 Généralité sur le cintrage
6
Chapitre 1 Généralité sur le cintrage
7
Chapitre 1 Généralité sur le cintrage
1.2.3 Méthodes :
Il faut distinguer le cintrage "à chaud", méthode artisanale ou réalisée par induction,
du cintrage "à froid", la méthode industrielle. Dans l'industrie mondiale, on utilise
essentiellement le cintrage à froid [4].
Par enroulement, le tube est serré sur la cintreuse (serrage mécanique ou hydraulique)
entre le galet et le mors. Par rotation des deux outils autour de l'axe de cintrage, le tube est
formé à la valeur du rayon du galet.
Cette machine de profilage est utilisée pour les aciers à faible dureté, et un degré d’élasticité
plus grand.
8
Chapitre 1 Généralité sur le cintrage
Comparable à celui par poussée, ce principe fait appel à des machines spécifiques dites
"machines trois galets". Ce procédé est lent mais les machines et l'outillage sont peu coûteux.
Cintrer un tube par roulage c’est de couder le tube le long de sa longueur d’une façon
à former un cercle.
9
Chapitre 1 Généralité sur le cintrage
Dans le cintrage, une partie plus ou moins large de la matière est portée dans une autre
direction par l'intervention d'une force manuelle ou mécanique (force de flexion) appliquée
sur un point déterminé (pliage) ou appliquée continuellement sur plusieurs points tout près,
l'un de l'autre, (cintrer et torsader).
10
Chapitre 1 Généralité sur le cintrage
11
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
2.1. Description :
Lorsque l'on cintre un tube, la paroi extérieure s'amincit (on l'appelle l'extrados). La
matière s'allonge et perd de l'épaisseur. La matière doit présenter un pourcentage
d'allongement suffisant. Au contraire de l'extrados, la paroi intérieure (appelée intrados)
s'épaissit par compression de la matière. Ce phénomène peut conduire à l'apparition de plis
dans le cintre ; c'est un des défauts les plus courants [5].
Certaines règles sont donc à respecter afin d’éviter la rupture de la paroi extérieur et
intérieure.
13
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
Pour limiter la diminution d'épaisseur et pour limiter les plis, chose qui est inévitable
dans les trois méthodes de cintrages précédentes, on utilise le cintrage par roulage qui se fait
par la cintreuse à 3 galets, qui existe sous différents type.
Cintreuse à 3 galets
Les cintreuses à 3 galets vous permettent de cintrer les barres et les tubes à différents
angles et rayons et à différents profilés. Ce type de cintreuses peut s'adapter à tout besoin de
production dans le domaine de la menuiserie métallique et PVC [5].
14
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
Cintreuse avec galet presseur supérieur hydraulique dispose d'un afficheur numérique
de positionnement pour une visibilité optimale.
La cintreuse à 3 galets hydraulique a trois arbres motorisés pour plus de puissance. Capable
de cintrer des tubes d'acier plein de 35mm (3 ") jusqu'à 75mm.
Cette machine est parfaite pour les ateliers de production qui fabriquent des cerceaux
d’escalier en spirale, et bien d’autres applications.
15
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
Cintreuse motorisée avec galet presseur manuel, capables de cintrer des tubes d'acier
creux et doux jusqu'à un 40 mm de diamètre et jusqu’à 80 de diamètre mm pour
l’aluminium.
Ces machines robustes sont livrées en standard avec les deux galets inférieurs entraînés
électriquement. La descente du galet presseur se fait manuellement à l'aide de la manivelle.
Cette machine est parfaite pour le cintrage de tuyaux, tubes creux, fer plat et autres profilés
16
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
Cette cintreuse peut courber tout type de profilés: tube creux rond, carré, rectangulaire,
profilé U, profilé T, cornière, platine plate, sur chant... aussi pour fabriquer serre-joints,
serres de culture, rampes, tables, chaises, portes, fenêtres... réalisant une infinité de formes
circulaires sur tout type de profilés, idéal pour le cintrage des tubes d’acier creux < à 80mm.
Elle peut aussi faire des bourrelets et de torsader des tube d’acier de petit diamètre.
17
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
Afin de réaliser les différents types de profilés, il suffit juste de changer les galets qui
prennent la forme des barres ou des tubes à cintrer.
18
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
2.3. Organes de la cintreuse à 3 galets avec rouleaux presseur manuel pour tous types
de profilés
1 vis
2 redresseurs latéraux
3 galet supérieur
4 galets entraîneurs
5 moto réducteur
6 socle
7 carter mobile / accès engrenages
Figure 2.9 La partie mécanique de la cintreuse à 3 galets avec rouleaux presseur manuel
pour tous types de profilés
1 sélecteur général
2 interrupteur START noir
3 interrupteur arrêt rouge
4 voyant blanc de mise sous tension
5 arrêt d’urgence
6 pédale de défilement vers la gauche
7 pédale défilement vers la droite
Figure 2.10 La partie électrique de cintreuse à 3 galets avec rouleaux presseur manuel pour
tous types de profilés
19
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
Réglez vos galets en fonction du profilé choisi, voir tableau les différents formes de
galets
Desserrez les écrous à l’aide de la clé à baïonnette.
Réglez tout d’abord les galets entraîneurs, puis le galet supérieur (libre).
Pour dévisser l’écrou du galet libre utilisez la clé de à baïonnette et appuyer à l’aide d’un
tournevis sur la goupille ressort située sur le dispositif de réglage de profondeur (fig. 2.11)
Positionner le profilé sur les galets (fig.2.12), serrer progressivement la vis (fig.2.13)
sans jamais forcer.
Effectuer la mise sous tension de la machine en mettant le sélecteur ( fig.2.10) sur
« ON », appuyer sur l’interrupteur de mise en marche ( fig.2.10), sélectionner le sens de
défilement du profilé, pédale de gauche (fig.2.10) vers la gauche, pédale de droite vers
la droite.
Il est conseillé de cintrer progressivement le profilé à l’aide de la vis (fig.2.13 et fig.
2.14) afin de vérifier si l’angle de cintrage correspond à votre plan.
Dans le cadre d’une utilisation en série nous vous recommandons de noter
systématiquement toutes les valeurs au fur et à mesure du cintrage en fonction du
nombre de passe que nous effectuons. (A défaut les profilés seront différents).
Pendant le cintrage le profilé situé à l’intérieur des galets à tendance à frotter
fermement sur les parois des galets; particulièrement sur le galet supérieur.
20
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
21
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
Pignons
entraineurs (2)
Pignons
entraineurs (1)
La chaîne de
Pignon transmission
moteur
22
Chapitre 2 Différents types et organes d’une cintreuse à 3 galets de profilés
Figure 2.18. Vue éclatée de la cintreuse à 3 galets avec rouleaux presseur manuel pour tous
types de profilés
23
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
3.1. Introduction
Depuis quelques années, l'industrie des chaînes mécaniques n'a pas subi de
transformation essentielle. Les chaînes mécaniques existent en effet depuis plusieurs dizaines
d'années et sont maintenant stabilisées dans leur conception et leurs principales applications
[8].
3.2.1 Utilisation
Les chaînes mécaniques sont utilisées pour remplir deux principales fonctions :
3.2.2 Application
Aussi sont-elles présentes, sous leurs diverses formes et pour l'une ou l'autre de ces
fonctions, dans tous les secteurs de l'activité industrielle. On peut citer :
25
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
Si les chaînes mécaniques trouvent les applications les plus diverses dans toutes les
branches de l'industrie, c'est qu'elles réunissent une riche palette de qualités :
Une fiabilité assurée avec une installation bien conçue et entretenue, même dans un
environnement difficile ;
L’importance limitée des efforts dans les paliers (tension initiale presque nulle) ;
Nuisances sonores ;
Entretien (lubrification);
Mise sous carter du montage pour retenir le lubrifiant et éviter les projections (ce
qui n’est pas le cas pour les courroies)
26
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
3.4. Amélioration
Chacun de ces types de chaînes est en continuelle évolution afin d'accroître leurs
performances, leurs durées de vie et d'améliorer leur adaptation à des utilisations spécifiques
ou nouvelles. Ainsi, les progrès réalisés dans les processus de fabrication (précision
dimensionnelle et géométrique) et dans les matériaux utilisés et leurs traitements
(caractéristiques mécaniques et métallurgiques, résistance à la corrosion, etc.) permettent
l'accroissement des efforts, des vitesses et des puissances, transmis dans des conditions
toujours plus difficiles.
Ces améliorations, associées à une réduction de prix de revient par l'automatisation poussée
des processus de fabrication, ont principalement porté sur les chaînes à rouleaux qui voient
leur domaine d'utilisation s'étendre.
Parallèlement, l'utilisation des chaînes à blocs ne s'est pas développée et celle des chaînes à
maillons coudés est en régression au profit des chaînes à rouleaux, en raison de leurs
performances et prix de revient relatifs.
Les chaînes à rouleaux sont constituées d'une succession de deux types de maillons
différents disposés alternativement: les maillons intérieurs et les maillons extérieurs
27
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
Les maillons intérieurs sont formés de deux plaques dites intérieures en acier,
traité ou non, dans lesquelles sont emmanchées deux pièces tubulaires appelées douilles,
généralement en acier cémenté.
- dans le cas le plus général, les douilles reçoivent une autre pièce tubulaire libre en
rotation appelée rouleau, d'où le nom donné à cette famille de chaînes.
- lorsque le rouleau a un diamètre supérieur à la largeur des plaques, il est appelé galet
et permet à la chaîne de rouler sur une surface dans les applications de manutention; le galet
peut être lisse ou épaulé.
Les maillons extérieurs sont formés de deux plaques dites extérieures en acier,
traité ou non, reliées par deux axes généralement en acier cémenté; ils sont rivés ou fixés par
tout autre moyen: goupilles, écrous, etc.
Les maillons extérieurs sont formés de deux plaques dites extérieures en acier,
traité ou non, reliées par deux axes généralement en acier cémenté; ils sont rivés ou fixés par
tout autre moyen: goupilles, écrous, etc.
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Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
Un maillon extérieur spécial dit de jonction (figure 3.2) permet, le cas échéant, de
relier les deux extrémités de la chaîne. Il en existe deux types, autres que le maillon à river
identique aux autres maillons extérieurs de la chaîne :
- le maillon à ressort, dont les extrémités des axes munies d'une gorge reçoivent
différents types de clips.
Les chaînes à rouleaux de précision à pas court sont plus spécialement utilisées dans
les transmissions de puissance ou en manutention légère. Pour la manutention lourde ou des
applications à faible vitesse, les chaînes ont généralement des pas plus longs et sont souvent
équipées de plaques spéciales à attaches ou d'axes creux pour la fixation d'aménagements
variés.
Les chaînes à blocs reçoivent des maillons extérieurs semblables à ceux des chaînes à
rouleaux, mais les maillons intérieurs sont constitués de pièces massives.
Ce type de chaîne est généralement utilisé pour exercer un effort important de traction,
dans les bancs d'étirage par exemple.
Les chaînes à maillons coudés sont formées d'un seul type de maillons: les plaques,
coudées à mi-longueur, portent une douille à une extrémité et un axe à l'autre.
30
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
Remarque : les maillons coudés sont également utilisés dans les chaînes à rouleaux pour
rabouter une chaîne fermée sans fin ayant un nombre impair de pas.
Les chaînes à mailles jointives ne sont constituées que de plaques s'articulant sur des
axes et la combinaison des plaques sur deux maillons consécutifs est variable selon les types
de chaînes.
Ces chaînes sont principalement utilisées en levage où la charge est appliquée à leur
extrémité à l'aide d'une chape et, par construction, ne peuvent engrener sur un pignon, sauf
dans les deux variantes particulières suivantes :
- les chaînes à axes débordants, l'engrènement et le passage des efforts se faisant par
les extrémités des axes
- les chaînes Galle, dont l'axe épaulé, appelé alors fuseau, réserve une portion
centrale sans plaque pour l'engrènement
31
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
L’effort s’exerçant sur le brin tendu pour le passage de la puissance à transmettre, appelé
effort utile Fu , n’est pas le seul effort intervenant dans le système : chaque maillon engrené
est, de plus, soumis à une force centrifuge dont la résultante Fc s’exerce sur les deux brins;
enfin, le poids des maillons non engrenés induit sur les deux brins un effort dit caténaire Fp.
32
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
Par définition, la puissance P transmise est égale à : P=Cω avec C= Fu Dp/2 cos(α/ 2-θ) d’où
v = pzi Ni/60
Fu =P/V
Sur la partie engrenée de la chaîne, chaque élément dl de masse dm, animé d’un mouvement
circulaire de rayon Dp /2 et de vitesse angulaire ω, est soumis à une force centrifuge (figure
a) : dFc = dmω²(Dp /2)
L’effort centrifuge Fc appliqué aux extrémités de chacun des brins est la résultante des forces
élémentaires agissant sur chacune des moitiés des secteurs engrenés, c’est-à-dire en première
approximation sur un angle de π/2 :
On sait qu’un fil pesant, homogène et sans raideur, suspendu entre deux points M et N
prend une forme d’équilibre selon une courbe mathématique appelée chaînette. Une chaîne,
dans ces mêmes conditions, se présente sous une forme polygonale proche de la chaînette
théorique.
33
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
En se reportant à la figure (b) relative au cas simple où M et N sont sur une horizontale,
l’effort à l’extrémité des brins est égal à :
h = ½ √(B’²-B²)
Cet effort, qui s’exerce aux deux extrémités du brin mou, passe intégralement dans le brin
tendu puisqu’il crée un couple s’ajoutant
Finalement, le brin tendu est donc soumis aux trois efforts cités :
Fo = Fu + Fc + Fp
Fm = Fc + Fp
La relation (Δ) pourra être appliquée même si le brin mou n’est pas horizontal, introduisant
ainsi une erreur du second ordre.
Sauf en cas de surtension de la chaîne ou de grande longueur de brin, l’effort caténaire est
généralement faible. Dans bien des cas, l’effort caténaire pourra être purement et simplement
négligé.
34
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
Considérons comme précédemment un pignon menant de z dents entraînant une chaîne dont
le maillon AB est en fin d’engrènement, c’est-à-dire un instant avant que l’articulation B ne
soit en prise avec le pignon, l’articulation A supportant donc encore la totalité de l’effort Fo du
brin tendu.
Si l’on considère l’articulation A , la tension Fo du brin tendu de la chaîne est équilibrée par
deux réactions :
F1 = F0 sinφ / sin(α+φ )
Et G1 = F0 sinα/ sin(α+φ )
35
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
α étant l’angle entre deux dents du pignon et ϕ l’angle, dit de pression, entre la réaction
d’appui et la direction du maillon,
Les rapports sinφ / sin(α+φ ) et sinα/ sin(α+φ ) étant inférieurs à 1, on voit que les efforts Fn et
Gn décroissent exponentiellement lorsque les articulations s’éloignent du point
d’engrènement.
En reprenant le même calcul à partir du point de désengrènement sur le brin mou, en appelant
Fm l’effort sur ce brin, on aura :
F’n’ = Fm (sinφ / sin(α+φ ))n
Et G’n’ = Fm (sinφ / sin(α+φ ))n-1 . sinα/ sin(α+φ )
N’étant le rang de l’articulation considérée, à partir du point de désengrènement.
Il existe une articulation pour laquelle Fn = F’n’, point d’équilibre où la chaîne exerce alors un
effort purement radial sur le pignon :
F0 = (sinφ / sin(α+φ ))n = Fm (sinφ / sin(α+φ ))n’
D’où
Fm/F0 = (sinφ / sin(α+φ ))n-n’
Sachant que α = 2π/z et en se donnant pour φ la relation φ = π/6 –α/2, on peut établir les
valeurs de (n –n ’) en fonction du nombre de dents z du pignon. Pour quelques valeurs du
rapport Fm/F0, on obtient le graphique de la figure ci dessous.
Le nombre d’articulations en prise sur un pignon de z dents étant (n + n ’), on peut en déduire
n c’est-à-dire, pour toute valeur de (n –n ’), la position de l’articulation en équilibre.
En supposant constant l’angle de pression φ , la longueur du bras de levier de toutes les
réactions est constant pour un nombre de dents donné et égal à :
36
Chapitre 3 La transmission de puissance par chaîne
Le couple moteur (ou résistant) est donc le produit de cette longueur par la somme algébrique
des réactions G dues à l’effort dans le brin tendu et dans le brin mou :
C = LB sinα/ (sin(α+φ )). (F0 Σ i=1, n-1 (sinφ / sin(α+φ ))i –Fm Σ i=1, n’-1 (sinφ / sin(α+φ ))i)
Si l’on considère maintenant ce qui se passe lorsque l’articulation B décrit l’arc BB’A en
repérant sa position par rapport à son origine B par un angle au centre θ, alors on a :
F1 = F0 sin(φ +α-θ)/ sin(α+φ )
qui varie de F1max = F0 pour θ=0 à F1min = F0 sinφ / sin(α+φ ) pour θ=α
Et G1 = sinθ/ sin(α+φ )
qui varie de G1min = 0 pour θ=0 à G1max = F0 sinα/ sin(α+φ ) pour θ=α
37
Chapitre 4 Calcul et dimensionnement
P=0,75 KW
Z1=Z2=Z3=13 dents
Roue (1)
Roue (2)
Z2, N2
Z3, N3
Lachaîne
Pignon
Z1, N1
39
Chapitre 4 Calcul et dimensionnement
On a: i = Z1/Z2 = N2/N1
i= 13/13 = 1
i : rapport de transmission.
Donc :
N1 = N2 = N3 = 17,5 tr/min
4.2.2 Calcul de la puissance corrigée (Pc) pour une chaîne à un rang de maillons [14]:
40
Chapitre 4 Calcul et dimensionnement
On a :
Pc’ = P x Ka
Pc’ : puissance corrigée pour une chaîne à un rang de maillons.
P : puissance du moteur d’entrainement.
Ka : coefficient d'application ou facteur de service.
On obtient :
Pc’ = 0,75 x 1,2
4.2.3 Calcul de la puissance corrigée pour une chaîne à deux rangées de maillons (Pc) :
Chaîne à plusieurs rangées de maillons : sélectionner le coefficient approprié dans
le tableau des coefficients de transmission pour plusieurs chaînes (Tableau 4.2).
41
Chapitre 4 Calcul et dimensionnement
Tableau 4.2. Coefficient de transmission pour chaînes à plusieurs rangées de maillons [15].
On a :
D’où :
Pc = Pc’/Kr
On obtient :
Pc = 0.9/1,7
Pc = 0,53 kW
42
Chapitre 4 Calcul et dimensionnement
On a :
am= a/p
On obtient:
am1 = 180/25,40
am1 = 7,09
On prendra:
am1 = 8
Et on obtient aussi :
am2 = 280/25,4
am2 = 11,03
43
Chapitre 4 Calcul et dimensionnement
On prendra:
am2 = 12
On a :
Lm = Lm1+1/2 Lm2
Avec :
Z1 : nombre de dents du pignon.
Z2 : nombre de dents de la roue (1).
On obtient :
Lm = ((13+13)/2 + 2 (8) + [(13-13)/2π]2/8)+1/2((13+13)/2 + 2 (12) + [(13-13)/2π]2 /12)
Lm = 47,5
On prendra:
Lm = 48
On a :
L = Lmx p
On obtient :
L = 48x 25,40
L = 1219,2 mm
44
Chapitre 4 Calcul et dimensionnement
On a :
Dpi = p Zi / π
Le pignon (1) :
Dp1 = p Z1 / π
D’où,Dp1 = 25,40x 13 /π
Dp1 = 105,15 mm
La roue (2) :
Dp2= p Z2 / π
D’où,Dp2= 25,40x 13 /π
Dp1’= 105,15mm
La roue (3) :
On a :
Z1=Z2=Z3
On obtient :
θ1 = 180 – 2 sin-1 [(105,15–105,15) / (2 x180)]
θ1 = 180°> 120°
45
Chapitre 4 Calcul et dimensionnement
On a :
v = (p x Zi xNi) / 60
On obtient :
v = (25,40 x 13 x 17,5) / 60
v= 96,31 mm/s
v = 0,097 m/s
Fg:effort global.
46
Chapitre 4 Calcul et dimensionnement
Effort utile
On a :
Fu = Pc’/ v1
Pc’ : Puissance corrigée pour une chaîne à double rangées de maillons (W).
On obtient :
Fu = 0,53 x 103/ 0,097
Fu = 5463.92N
Effort centrifuge
On a :
Fc= m.v2
On obtient :
Fc= 5,28x (0,097)2
Fc= 0,05N
D’où :
Fg= 5463,92+ 0,05
Fg = 5463,97N
Fu + Fc≤Fadmissible/ Ks
Fu : effort utile.
Fc : effort dû à la force centrifuge.
Ks : facteur de sécurité souhaité.
Fadmissible : effort admissible (Voir tableau en annexe 2).
47
Chapitre 4 Calcul et dimensionnement
On obtient :
Ks = 106000/ 5463,97
Ks = 19,40
Le facteur de sécurité ici est de 19,40donc notre chaîne est largement sécurisée.
48
Chapitre 5 Modélisation
5.1. Introduction
La conception du différentiel a été réalisée par une conception CAO sous le logiciel
Solidworks version 2014.
Par conséquent, ce chapitre a été introduit par une première partie donnant une vision
générale sur le logiciel CAO/DAO «solidworks ».
Ensuite, une deuxième partie qui traite la méthode de la conception en 3D du
différentiel en donnant les détails ainsi que les différentes étapes de conception.
Basée sur des fonctions, en effet un modèle Solidworks est formé d’éléments
individuels appelés fonctions. Ce sont des fonctions géométriques telles que les bossages, les
enlèvements de matière, les perçages, les congés, les chanfreins. [18]
5.3. Historique
Créé en 1993 par l'éditeur américain éponyme, Solidworks a été acheté le 24 juin 1997
par la société Dassault Systèmes.
Parmi les plus grandes organisations utilisant Solidworks, on peut citer Michelin,
AREVA, PatekPhilippe, MegaBloks, Axiome, ME2C,SACMO, Le Boulch, Robert Renaud et
le Ministère de l'Éducation nationale français. [19]
5.4. Fonctionnement
Solidworks est un modeleur 3D utilisant la conception paramétrique. Il génère 3 types
de fichiers relatifs à trois concepts de base : la pièce, l'assemblage et la mise en plan. Ces
fichiers sont en relation. Toute modification à quelque niveau que ce soit est répercutée vers
tous les fichiers concernés.
50
Chapitre 5 Modélisation
Un dossier complet contenant l'ensemble des relatifs à un même système constitue une
maquette numérique. De nombreux logiciels viennent compléter l'éditeur Solidworks. Des
utilitaires orientés métiers (tôlerie, bois, BTP...), mais aussi des applications de simulation
mécanique ou d'image de synthèse travaillent à partir des éléments de la maquette virtuelle.
[18]
5.4.1. Pièce
La pièce est l'objet 3D monobloc. La modélisation d'une telle entité dépendra du choix
de l'utilisateur. Comme de nombreux logiciels similaires, SolidWorks permet d'aboutir à un
même résultat apparent par des voies souvent différentes. C'est lors de la retouche de ces
fichiers ou de leur exploitation qu'on appréciera la bonne méthode.
Une pièce est la réunion d'un ensemble de fonctions volumiques avec des relations
d'antériorité, des géométriques, des relations booléennes (ajout retrait)... Cette organisation est
rappelée sur l'arbre de construction. Chaque ligne est associée à une fonction qu'on peut
renommer à sa guise. [18]
5.4.1.1. Etapes pour obtenir un volume
Définir une origine Choisir un plan Tracer une esquisse Générer un volume
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Chapitre 5 Modélisation
5.4.2. Assemblages
Les assemblages sont obtenus par la juxtaposition de pièces. La mise en position de
pièces est définie par un ensemble de contraintes d'assemblage associant, deux entités
respectives par une relation géométrique (coïncidence, tangence, coaxialité...). Dans une
certaine mesure, ces associations de contraintes s'apparentent aux liaisons mécaniques entre
les pièces. Le mécanisme monté, s'il possède encore des mobilités, peut être manipulé
virtuellement. On peut alors aisément procéder à des réglages à l'aide des différents outils
disponibles (déplacement de composants, détection de collision ou d'interférence, mesure des
jeux, etc.) [18]
Pour faire des mises en plan, il est tout d’abord nécessaire d’avoir des fonds de plan
pour y projeter les dessins. Ces fonds de plans sont en format (A4, A3,…), une orientation
(portrait ou paysage) et contiennent éventuellement un cartouche [18].
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Chapitre 5 Modélisation
Un certain nombre de fonds de plan de base sont proposés à l’origine, mais il est
préférable, avant de commencer, de personnaliser les fonds en plan que l’on utilisera par la
suite. [18]
Ouvrir Solidworks
la norme ISO afin de crée notre pièce a partir d’un modèle existant, en fin on remplir
le tableau propose par solidworks qui consiste à définir notre couronne.
On click sur l’ongle favoris et on choisi le les dimensions et le nombre de dents du pignon, on
valide les données puis on exécute.
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Chapitre 5 Modélisation
A fin de créer la rainure sur le pignon, nous devons repécter les étapes suivantes :
1. On esquisse un cercle sur la face plane du pignon (afin d’avoir le diamètre souhaité)
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Chapitre 5 Modélisation
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Chapitre 5 Modélisation
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Chapitre 5 Modélisation
Onsélectionne le plan de face, puis on dessine deux cercles avec cotation en suite on click sur
On sélectionne le plan de face, puis on esquisse deux cercles avec cotation en suite on click
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Chapitre 5 Modélisation
On sélectionne le plan de face, puis créer une esquisse et dessiner : un cercle avec
cotation en suite on click sur la fonction Base / Bossage extrudé On donne la valeur
du bossage et click sur ok voire figure. 5.12
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Chapitre 5 Modélisation
Puis on esquisse les autres cercles pour donner la forme finale à l’arbre voire la figure. 5.13
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Chapitre 5 Modélisation
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Chapitre 5 Modélisation
Figure 5.18. Forme complette de la cintreuse à 3 galets avec rouleaux presseur manuel pour
tous types de profilés.
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
La figure 1 montre la localisation de fixation (géométrie fixe) de tube et la figure 6.2 illustre
la pression applique le lange de tub ce qui nous a permis d’entamés la prochaine étape qui est
la création du maillage.
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
Cette étude nous a permis de déterminer la force nécessaire pour cintrer un tube
d’acier inoxydable de diamètre D = 80 mm est d’épaisseur e = 5 mm et F qui est égale à
484 N = F max
En premier lieu on a défini le matériau comme on la fait précédemment, qui est l’acier
non allié (A60) puis les conditions aux limites
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
Géométrie
fixe
Force
appliquée
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
D’après les figures (6.9, 6.10 et 6.11) et les résultats illustré dans le tableau on
remarque qu’il y une large différence entre la contrainte obtenue on appliquant la force sur
l’axe 1 et la limite d’élasticité. Pour atteindre cette limite on multiplie la force fois 19.82 c’est
un coefficient de sécurité supplémentaire et on remarque aussi que le déplacement est de
l’ordre de [mm] donc l’axe 1 va résistée.
Géométrie
fixe
Force
appliquée
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
D’après les figures (6.14, 6.15 et 6.16) et les résultats illustré dans le tableau on
remarque qu’il y une large différence entre la contrainte obtenue on appliquant un demi de la
force (484/2) sur les deux axes (axe 2 et axe 3) vue qu’on a deux appuis galets et la limite
d’élasticité. Pour atteindre cette limite on multiplie la force fois 61.46 c’est un coefficient de
sécurité supplémentaire et on remarque aussi que le déplacement est de l’ordre de [mm]
donc l’axe 2 et l’axe 3 qui sont identiques vont résistés.
En premier lieu on a défini le matériau comme on la fait précédemment, qui est l’acier
non allié (A60) puis les conditions aux limites.
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
Moment
de torsion
Géométrie
fixe
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
D’après les figures (6.19, 6.20 et 6.21) et les résultats illustré dans le tableau on
remarque qu’il y une différence entre la contrainte obtenue on appliquant le moment de
torsion sur l’axe 2 et la limite d’élasticité. Pour atteindre cette limite on multiplie la force fois
1.09 c’est un coefficient de sécurité supplémentaire et on remarque aussi que le déplacement
est de l’ordre de [mm] donc l’axe 2 et l’axe 3 qui sont identiques vont résistés.
Force
appliquée
Géométrie
fixe
Figure 6.22. Application des conditions aux limites sur le pignon chaine
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
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Chapitre 6 Simulation et discussion des résultats
D’après les figures (6.24, 6.25 et 6.26) et les résultats illustré dans le tableau on
remarque qu’il y une large différence entre la contrainte obtenue on appliquant la force sur la
dent et la limite d’élasticité. Pour atteindre cette limite on multiplie la force fois 1.85 c’est un
coefficient de sécurité supplémentaire et on remarque aussi que le déplacement est de l’ordre
de [mm] donc les pignons chaine vont résistés.
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CONCLUSION GENERALE
CONCLUSION GENERALE
Ce travail est une partie d’un projet qui consiste à l’étude et conception d’une
cintreuse à 3 galets avec rouleaux presseur manuel pour tous types de profilés.
L’essaye de flexion sur un tube d’acier inxydable ayant un plus grand degré d’élasticité et un
diamètre maximum, nous a guidé à dimensionner les pièces de la machine et calculer la
charge et leurs Resistances.
Les résultats d’analyse de simulation que nous avons obtenus nous on permit de
valider notre modèle vu que la contrainte σmax à laquelle est soumises nos pièces est
Ce travail, nous a permis d’avoir un avant-gout de la vie d’un ingénieur vue que à
chaque étape de conception, on fait avoir l’imagination de fonctionnement de la machine
avant sa réalisation, ce qui nous a permis d’avoir l’aider pour combiner les déférentes pièces
de notre machine, et aussi à travers ce projet nous avons pu comprendre le mode de
fonctionnent de différents type de cintrage est ses objectifs.
Ce projet est une étape préliminaire, pour pouvoir aborder l’étude et la conception de
n’importe quel mécanisme mécanique.
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REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE
REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE
[1] :www.european-aluminium.eu/wp-content/uploads/2011/08/Laluminium-dans-les
batiments.pdf consulté en juin 2015
[2] : www.nargesa.com/cintreuses, consulté en juin 2015
[3] : NDIACK, Mbodj : Etude et conception d’un outil de pliage 2004 DEUA.
[4] : www.pro-dis.fr/Cintreuses, consulté en 25 juillet 2015.
[5] : ARCHICHE Mokrane et CHALAL Hocine : Etude et conception d’une cintreuse pour
une poignée de cuisinière. 2008 ING CM.
[6] : www.machine-outil.com/t90-cintreuse-a-3-galets, consulté en aout 2015.
[7] : http://www.alcocintrage.com, consulté en aout 2015.
[8] : www.brampton-renold.com/.../TransmissionChainSprockets/Transmission, consulté le
10 aout 2015
[9] : Cours: élément de machine 1er année Master (IMAO), université de Bejaia
[10] : Jean Goulet et Pierre Boutin : Aide-mémoire RDM, 8éme édition.
[11] : bernarderic4926.perso.sfr.fr/dr/Les_engrenages.pdf consulté en aout 2015
Université de Liège.
ANNEXE 1
ANNEXE
ANNEXE 2
ANNEXE
ANNEXE 3
Résumé :
Summary:
The objective of this project is the study, design and dimensioning of a bender roller
made of 3 rollers with manual presser rollers for all types of profiles.
The design of the bender was made after the theoretical and numerical study of all
these organs using the CAD software " solidworks ". And before any modeling loads and
strength of the important parts of our machine were calculated by the finite element method
using the same software.