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ArcGIS pour les Nuls

1. Introduction à la géomatique
PLAN

 Qu’est-ce qu’un SIG?


 Vocabulaire géographique
 Modèle vectoriel
 Modèle matriciel
 Géoréférence et systèmes de coordonnées
GÉOMATIQUE
contraction des termes géographie et informatique

• Branche de la géographie qui a recours à l’informatique


• L'ensemble des outils et méthodes permettant
d'acquérir, de représenter, d'analyser et d'intégrer
des données géographiques
• Terme né dans les années ’60 au Québec

Géomaticien = Gestionnaire de données spatiales


SIG
Système d’information géographique
• C’est un système d’information composé de :
– Ordinateurs et périphériques
– Logiciels spécialisés
– Données numériques
– Personnel qualifié
– Utilisateurs
Qui gère de l’information de nature géographique

• C’est un système informatique permettant :


– l’acquisition
– la gestion
– l’analyse
– la visualisation de données géographiques numériques
Pour étudier les phénomènes se produisant sur la terre
Pourquoi utiliser un SIG?
Système d’information géographique

• Pour intégrer des données multi-


sources (cartes, photos, images, …)
• Pour faire des requêtes et visualiser
les résultats
• Pour faire de la cartographie
• Pour faire des analyse spatiales
• …
Technologie Expertise
hardware + software “liveware”

Collection de faits et d’observations


Données recueillies sur des choses, des
phénomènes, des lieux …
représentés sous la forme de valeurs
GESTION numériques
DU
TERRITOIRE
SIG
Information Résultat du traitement des données
présenté sous une forme utile à
l’utilisateur

Compréhension d’un phénomène

Connaissance
résultant de l’analyse de
l’information. Valeur ajoutée ++

Prise de décision
Le SIG comme outil d’aide à la décision
Où?
GESTION
Quoi?
DU Pourquoi?
TERRITOIRE Comment?
Scénario futur?…
Composantes d’un SIG
3. logiciel

2. matériel 4. méthodes

5. acteurs

SIG
1. données géographiques 6. territoire
1. Données géographiques
Données numériques localisées dans l’espace selon un système
Coordonnées géographiques (X,Y) ou (X,Y,Z)
Ou
Coordonnées projetées (mètres)
1. Données géographiques
FONCTION CLÉ:
Le SIG a la capacité
de superposer
plusieurs cartes /
jeux de données

Ceci permet de
croiser
géographiquement
les données
Données spatiales
Couches
Une couche de données est un ensemble
d’entités spatiales avec leurs localisation,
topologie (point, ligne, polygone) et attributs

Ces trois couches se superposeront parfaitement dans la mesure où leurs


données respectives sont géoréférencées avec la même précision
Données spatiales
Métadonnées
• Données sur les données
• Description et détails sur le jeu de données.
Devrait contenir l’origine, l’auteur, les détails
de sa structure (codes, lexique,
abbréviations)…
• Permet à d’autres utilisateurs de comprendre
et d’utiliser les données (en vue de partage)
FORMATS DE DONNÉES

Vectoriel
• Shape
– Format propriétaire d’ESRI (ArcView, ArcGIS)
• Geodatabase
– Nouveau format d’ArcGIS, mais encore peu adopté
• Coverage
– Format ancien de ArcInfo
• E00 (ungenerate)
– Format d’Import/Export d’ArcInfo (comme un .zip)
• MID/MIF (MapInfo Interchange File)
– Format d’Import/Export de MapInfo
• DLG (Digital Line Graphs)
– Utilisé pour les cartes topographiques (USGS)
• DXF (Data Exchange Format)
– Format d’Import/Export d’Autocad
FORMATS DE DONNÉES

Shapefile (fichier de formes)


• feux_7211.dbf  données attributaires
• feux_7211.prj  info sur projection
• feux_7211.sbn  fichier index
• feux_7211.sbx  fichier index
• feux_7211.shp  données spatiales (topologie)
• feux_7211.shx  fichier index
*Attention à avoir tous les fichiers pour exporter!
FORMATS DE DONNÉES

Matriciel
• GRID
– Format standard des matrices d’ESRI
• BMP (Bitmap)
– Standard d’image dans les applications MicroSoft Windows
• TIFF (Tag Image File Format)
– Utilisé pour le stockage d’images numériques
• GEOTIFF
– Extension du format TIFF qui contient de l’information sur la
géoréférence des données facilitant ainsi leur échange entre
différents SIG
• GIF, JPEG
– Utilisés pour la transmission d’images sur le WEB
La notion d’échelle
L’échelle est le rapport entre la mesure de la taille d’un objet réel
et la mesure de sa représentation (carte, maquette, etc.)

Elle est exprimée de façon numérique généralement fractionnaire

Une unité sur la carte = Une unité sur le terrain


Ex.: 1/50 000 1cm sur la carte = 50 000 cm ou 50 m sur le terrain
Ex.: 1 : 1 000 000 1 m sur la maquette = 1 000 000 m ou 1000 km en réel

grand territoire…
Une carte à petite échelle représente un

Une carte à grande échelle représente un petit territoire


La notion d’échelle
Échelle numérique
Toujours exprimée par une fraction et le numérateur est toujours 1.
Le dénominateur indique le facteur de réduction.
1/50 000 ou 1: 50 000 ou 1 On favorise
50 000 l’échelle
Échelle graphique graphique
L’ensemble de lignes droites représentant sur la carte l’échelle numérique.
Cette échelle est divisée en différentes unités de mesure et parfois en deux parties :
à gauche du zéro, le talon de l’échelle et à droite du zéro, l’échelle.
SIG
Deux modèles
de structures
de données
géographiques

structure vectorielle structure matricielle


MODÈLE VECTORIEL
 Structure qui permet de manipuler et de
représenter les données graphiques d’après les
coordonnées de points individuels auxquels on
peut ajouter des attributs.
 On distingue trois principaux types de
composantes: point, ligne, polygone
 Définis par la géométrie euclidienne à
2 dimensions Y

X
MODÈLE VECTORIEL
Composante Représentation Représentation
graphique dans un fichier Base de données reliées aux éléments vectoriels

point id,x,y
Identificateur Attribut #1 Attribut #2
ligne id, N (id) (Nom) (Population)
x1,y1
x2,y2
...
xN,yN 1 Montréal 1 800 000
x1,y1 est différent
de xN,yN
2 Westmount 25 000

polygone id, N
x1,y1 ... ... ...
x2,y2
...
xN,yN
x1,y1 est
identique à xN,yN 1 élément dans la carte
=
1 ligne dans la table
id : identificateur
N: nombre de points définissants l’objet
MODÈLE VECTORIEL
En mode vecteur les primitives géométriques se ramènent à un tableau
de coordonnées X,Y définissant les vertex et nœuds des formes.
vecteur

vertex
MODÈLE VECTORIEL
TOPOLOGIE
La topologie est une description
des relations spatiales des
objets entre eux. Ex. :

‘est à côté de’ ‘inclu’


‘intersecte’

Entités distinctes Entités occupant Entités qui se


Source: Goodchild et al. (1996) tout l’espace superposent
MODÈLE VECTORIEL

 Distribution irrégulière des entités spatiales


 Représentation géométrique des entités
 Frontières explicites
 Localisation précise et unique
 Attributs et entités reliés par un numéro
d’identification
 Représentation très efficace de la topologie
MODÈLE MATRICIEL

 Structure qui permet de manipuler et de


représenter l'information cartographique à
partir d'une matrice de cellules (pixels)
qui possèdent certains attributs de teinte et
de couleur.
 L’espace géographique se trouve subdivisé de
façon régulière en cellules de même forme et
de même dimension.
 La localisation est définie par la position
en ligne et en colonne dans la matrice, les
coordonnées géographiques ou projetées
d’un point de référence et la dimension
de la cellule (informations contenues Matrice (raster)
dans le “header”) 0 0 0 0 0 0 0 0
 La valeur numérique attribuée à chaque 0 0 1 1 1 0 0 0
cellule correspond à la valeur d’attribut 0 0 1 1 1 0 0 0
(un seul) 0 0 0 1 1 0 0 0
 Les démarcations se produisant aux 0 0 0 0 2 2 2 0
limites des ensembles de cellules de
0 0 0 2 2 2 2 0
même valeur ne correspondent pas
nécessairement aux frontières des entités 0 0 0 0 2 2 2 0

sur le terrain 0 0 0 0 0 2 2 0

Table de couleurs Table d’attributs (légende …)

Valeurs de la Couleur Valeurs de la Attribut


matrice (r,v,b) matrice
0 (255,255,255) 0

1 (128,128,128) 1 Municipalité "A"


2 (64,64,64) 2 Municipalité "B"
Essentiellement une matrice de valeurs ou une image (ou raster)
formée de pixels (une valeur par pixel)

Modélisation de l’information continue (structures difficilement


identifiable à l’œil, champs)
Photos, élévation, température, etc…
Exemples de données matricielles

image satellite
photo. aérienne MNA
modèle numérique d’altitude

Cartes scannées
Exemples de données matricielles
 Une image = •Image1 - Température
un fichier = •Image2 - Élévation
une variable = •Image3 - Photo
une couche

 Souvent plusieurs bandes par images


Les images couleurs, par exemple, sont
composées d’une bande de rouge, une
bande de vert et une bande de bleu
Précision défini par la résolution – «cell size»

Vectoriel Matriciels

Quickbird (0.6m) Landsat ETM+ Landsat ETM+ (30m)


Pansharpened (15m)
Codage des valeurs numériques

2 8 16 256
Niveaux de gris

BIT : Binary Digit valeur binaire 0 ou 1


Codage sur 1 bit : 21 : 2 niveaux [0 1]
Codage sur 4 bit : 24 : 16 niveaux [0,1,2 .. 15]
Codage sur 8 bit : 28 : 256 niveaux [0,1,2 .. 255]
Codage sur 16 bit : 216 : 65536 niveaux [0,1,2 .. 65535]
QUEL MODÈLE UTILISER?
 Les modèles vectoriel et matriciel offrent deux
représentations distinctes et complémentaires du
monde réel, chacun devant être adapté à
l’application particulière de l’utilisateur
 Deux critères principaux doivent guider le choix du
modèle :
 le type d’analyse à réaliser
 l’échelle d’étude
Massif forestier dans une carte d’occupation du sol
VECTORIEL MATRICIEL

Forme vectorielle = liste de points(X,Y) Grille = grid = matrice

Table de données associée au vecteur Pas de table : 1 valeur par cellule de la matrice
2 2 2 2 2 2 2 2 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 1 1 1 1 1 1 1
2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 3 3 1 1 1 1
2 2 2 2 2 2 2 2 2 3 3 3 3 3 3 1 1 1
2 2 2 2 2 2 2 2 3 3 3 1 1 1 1 1 1 1
2 2 2 2 2 2 1 1 3 3 3 1 1 1 1 1 1 1
2 2 2 2 2 1 1 1 3 3 3 1 1 1 1 1 1 1
2 2 2 2 1 1 1 3 3 3 3 1 1 1 1 1 1 1
2 2 2 2 1 1 1 3 3 3 3 1 1 1 1 1 1 1
2 2 2 2 1 1 1 3 3 3 3 3 3 1 1 1 1 1
2 2 2 2 1 1 1 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3
3 3 2 2 1 1 1 1 1 3 3 3 3 3 3 3 1 1
3 3 2 2 2 2 1 1 1 1 1 1 3 3 3 1 1 1
3 3 2 2 2 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

1 couche vecteur = n champs = n attributs = n informations 1 couche raster = 1 seule information / pixel
Massif forestier dans une carte d’occupation du sol
VECTORIEL MATRICIEL
Structure objet Pas de structure objet
représentation explicite des objets Représentation implicite des objets

En cliquant on peut accéder En cliquant on ne peut accéder


au polygone de l’objet forêt qu’à la valeur d’un pixel
Et à tous ses attributs L’objet forêt n’existe pas
en tant que tel
Massif forestier dans une carte d’occupation du sol
VECTORIEL MATRICIEL

Pas de représentation explicite de l’espace Représentation explicite de l’espace


Massif forestier dans une carte d’occupation du sol
VECTORIEL MATRICIEL

Vecteur : éditable modifiable


X
raster : pas modifiable point à point
Massif forestier dans une carte d’occupation du sol
VECTORIEL MATRICIEL

rasterisation

VECTEUR vectorisation « RASTER »


QUEL MODÈLE UTILISER?
Vectoriel Matriciel
 localisation liée à la dimension de la
 localisation précise des données cellule.
 description topologique exhaustive  aucune description topologique
 gère les réseaux  structure inadéquate pour les réseaux
 présentation graphique supérieure  représentation graphique liée à la
dimension de la cellule (pixel). Lorsque la
 volume réduit des données (espace taille de la cellule est importante, on
disque) observe un effet d’escalier sur la
représentation graphique.
 structure plus ou moins complexe
 volume important des données (espace
 mise à jour aisée (édition facile) disque)
 la réalisation d’opérations nécessitant la  mise à jour complexe (édition longue et
superposition de plusieurs planches pénible)
d’information requiert des calculs  structure simple
complexes  superposition aisée des diverses
planchesd’information
 mal adapté aux analyses et simulations  très bien adapté aux analyses et
 convient généralement mieux aux études simulations (analyse de coût/poids)
à échelle locale  convient mieux à l’édude synoptique de
phénomènes régionaux ou globaux
PEUT-ON COMBINER LES 2?
• Routes (vectorielle)
• Zonage (vectorielle)
• Limites administratives (vectorielle)
• Hydrographie (vectorielle)
• Élévation (matricielle)
• Photo du terrain (matricielle)
RÉFÉRENTIEL GÉOGRAPHIQUE

Comment peut on réaliser des cartes planes à partir


du globe terrestre en volume ?
Les modèles de forme de la terre au cours
des âges
Pythagore Antiquité Huyghens 17e Aujourd’hui

+75 m
39,939 km (axe y)
vs
40,075 km (axe x)

-111 m
terre plate sphère ellipsoïde géoïde
temps

Géodésie
Le géoïde terrestre
Représentation de la terre par un « patatoïde » en creux et en bosses

Le géoïde représente la surface équipotentielle du champ de gravité de la terre


qui coïncide avec le niveau moyen des océans

Géodésie
Précision liée au type de modélisation du
globe
Géoïde
Ellipsoïde global Ellipsoïde local

- précis + précis

Géodésie
Les ellipsoïdes terrestres
Différents ellipsoïdes sont utilisés en cartographie (« datum »)

Ellipsoïde local
Exemple: North American Datum
(NAD 1983)

WGS 84 : World Geographic System 1984

Ellipsoïdes
 Prendre un ellipsoïde de référence avec un
point décalé du centre de la terre « offset ».
 Plusieurs datum peuvent ainsi être associés au
même ellipsoïde, et ainsi à plusieurs régions
terrestres différentes.
 Le datum indique un nouveau centre
arbitraire de la terre.
 C’est un ‘modèle de surface terrestre
régional’ de la terre ou un ellipsoïde local.
 Souvent basé sur une plaque tectonique
Un ellipsoïde et 2 datums Source: Manifold - http://www.georeference.org/doc/manifold.htm

Les ellipsoïdes locaux (« datum »)


Les ellipsoïdes locaux (« datum »)
NAD83 vs
WGS84
Au
Québec:
décalage
horizontal
de 1,5 m et
décalage
vertical de
1,5 m

Les ellipsoïdes locaux (« datum ») les plus communs


 NAD 27 (pieds) North American Datum 1927 | Basé sur l’ellipsoïde de Clarke 1866

 NAD 83 (mètres) North American Datum 1983 | Basé sur l’ellipsoïde Geodesic
Reference System GRS 80 (précision satellitaire). Utilisé pour les cartes
topographiques en Amérique du Nord (incluant le Québec et le Canada). Point de
référence: le centre de la terre.

 WGS84 (mètres) World Geodetic


System 1984 | Basé sur l’ellipsoïde
Geodesic Reference System GRS 80
(précision satellitaire). Le plus
commun des datum, tous les GPS
ont ce datum par défaut.

Les ellipsoïdes locaux (« datum ») les plus communs


Ellipsoïdes locaux (« datum »)
 Une même ellipsoide peut être utiliser pour plusieurs datum
(ex. GRS 1980).
 Les coordonnées Lat/long calculées selon un datum ne sont
valides qu’avec ce datum. (Des coordonnées calculées en NAD 27 ne sont pas valides en NAD 83).
 Si on veut visualiser des coordonnées dans un autre datum, la
position sera recalculée (reprojetée) et ainsi de nouvelles
coordonnées seront générées.
 Il est impossible de travailler dans un projet sur ArcGIS avec des
données de datum différents.

Ellipsoïdes locaux (« datum »)


SYSTÈMES DE COORDONNÉES
la « localisation
géographique » se fait à
Deuxpartir
types:d’un
• Géographique
système de
• Projetée (ou plane)
coordonnées

Le système de coordonnées cartésien


SYSTÈME GÉOGRAPHIQUE

Longitude = méridiens | Latitude = parallèles


SYSTÈME GÉOGRAPHIQUE

Longitude = méridiens | Latitude = parallèles


RÉFÉRENTIEL GÉOGRAPHIQUE
La projection cartographique
est une transformation géométrique
permettant de représenter sous la
forme d’une carte plane
la réalité 3D du globe terrestre
SYSTÈME PROJETÉ

Globe terrestre Projection Carte plane

Les coordonnées planes obtenues par


transformations mathématiques
permettent des mesures directes sur la carte

Vers une projection cartographique


Vers une projection cartographique
y
longitude

x
latitude

Espace 3D : ellipsoïde terrestre espace 2D : plan cartographique

La projection est la correspondance analytique entre :


1 point (latitude, longitude) de la surface de l’ellipsoïde terrestre et
1 point homologue du plan cartographique (X , Y)

X = f(latitude, longitude)
Y = g(latitude, longitude)
f et g sont deux fonctions continues qui définissent la projection.

Système projeté
Types de projections en fonction des déformations liées à la projection

projection tangente projection sécante


Zone la plus précise, sans distorsion
en fonction de la position
en fonction de la surface de projection
de la surface de projection

conique cylindrique Azimutale/plane

Système projeté
Les déformations
Les projections sont des tentatives de
représenter la surface « ronde » de la terre sur
une surface plane (3D vs 2D). Différentes
formes de distorsion découlent de ce
procédé : forme, distance, direction, surface…
mais pas toutes pour tous ces points. En dépit
des problèmes reliés à la distorsion, toutes les Projections conformes
projections conservent un élément important,
c'est-à-dire la précision de la Elles préservent les formes et les angles
mais pas les rapports de surfaces
localisation.

Projections équivalentes
Elles préservent les rapports de surfaces
mais pas les formes et les angles

Système projeté
Pourquoi utiliser une projection?
Trois principales raisons en faveur de l’utilisation d’une projection
 Car c’est plus esthétique. La carte a l’air plus “normale”

 Pour permettre la mesure des distances et des aires sur les cartes papiers

 Pour permettre de facilement mesurer des éléments linéaires lors d’analyses

Système projeté
Le point de référence

Source : http://www.colorado.edu/geography/gcraft/notes/mapproj/gif/threepro.gif

Système projeté
Lambert préserve
les formes

Albers préserve
les surfaces

Source: http://www.colorado.edu/geography/gcraft/notes/mapproj/mapproj_f.html

Peut devenir un problème en SIG…


Exemples de projections
Projection cylindrique de Mercator

• Très populaire, à la base de la cartographie de presque tous les pays


• Grande distorsion aux pôles

Exemples de projections
Universel Transverse de Mercator (UTM)

Exemples de projections
 Le globe est divisé en 60 zones de 6° de longitude de
large (360 km à l’équateur).
 Les numéros de zones croissent d'ouest en est à partir du
méridien 180°, allant de 1 à 60.
 Chacune des zones est centrée sur un méridien de façon à
ce qu'il y ait 3° de chaque côté de ce méridien central.

 Les longitudes Eastings sont données en mètres en


prenant pour origine le méridien central, celui-ci est
considéré comme ayant une coordonnée en x de
500000m. Si l'on est à l'ouest de ce méridien central on soustrait de
500000 la distance (en mètres) à laquelle on se trouve du méridien. Si
l'on est à l'est de ce méridien central on additionne à 500000 la distance
(en mètres) à laquelle on se trouve du méridien.

 Les latitudes Northings sont données en mètres en


prenant pour origine l'équateur. Pour l'hémisphère nord, la
valeur de y à l'équateur est 0 et on additionne la distance (en mètres) à
laquelle on se trouve de l'équateur. Pour l'hémisphère sud, la valeur de y à
l'équateur est 10 000 000 et on soustrait de cette valeur, la distance à
laquelle on se trouve de l'équateur.

Universel Transverse de Mercator (UTM)


Modifié Transverse de Mercator (MTM)
 Il s'agit d'un système de projection utilisé seulement au Québec.

 Le territoire québécois est divisé en 8 zones de 3° de longitude de large (180 km).

 Les zones sont numérotées de 3 à 10 débutant aux Iles-de-la-Madeleine et se terminant


en Abitibi.
 Chacune des zones est centrée sur un méridien de façon à ce qu'il y ait 1,5° de
chaque côté de ce méridien.
 L'origine en x est située sur le méridien central et possède une valeur de 304800m;
Eastings.
 L'origine en y est située sur l'équateur et possède une valeur de 0 pour l'hémisphère
nord; Northings.

 Le calcul des positions relatives des objets s'effectue de la même façon que pour le
système UTM.

Exemples de projections
Coniques: très utiles pour l’hémisphère nord
 Albers conique
 Lambert conique conforme : utile pour représenter les
grands territoires, surtout en Amérique du Nord

Projections coniques
Azimutales: très utiles pour les pôles
 Lambert azimutale

Projections azimutales
Paramètres d’une projection
type d’ellipsoïde et ses caractéristiques

type de projection : cylindrique, conique …

points ou courbes origines de la projection

méridien et parallèle centrés sur la projection

facteur d’échelle (dilater / serrer)

offset est = false easting = décalage en X de manière à toujours avoir


des coordonnées positives
dans la zone couverte par la projection
offset nord = false northing = décalage en Y

Principaux paramètres définissant une projection


Exemples de projections

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