Anda di halaman 1dari 24

Méthodes spécifiques (recherche+etude de cas)

1-LBO

2-L’évaluation par les sociétés du capital-risque

3-L’évaluation optionnelle

4-L’évaluation des entreprises en difficulté

5-L’évaluation d’organisations publiques

de de maître ès sciences (M.Sc.)

FACULTÉ DES SCIENCES

UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE

Sherbrooke, Québec, Canada, août 2007


Sommaire

(1-2 pages)

Présentation en quelques lignes du contenu du mémoire. Viser 1 page, mais ne pas


dépasser 2 pages. Présenter l'objectif des recherches, les résultats obtenus et leur importance.

ii
Remerciements

Merci à Maxime Bargiel, qui a fourni la première ébauche de ce document Word.


Merci a Richard St-Denis, qui a préparé la première version LaTeX du modèle de mémoire et
thèse, dont ce document s'inspire largement.

iii
Table des matières

Sommaire.....................................................................................................ii

Remerciements............................................................................................iii

Table des matières.......................................................................................iv

Liste des abréviations..................................................................................vi

Liste des tableaux.......................................................................................vii

Liste des figures........................................................................................viii

Introduction..................................................................................................1

Contexte 1

Objectifs 1

Méthodologie 1

Résultats 1

Structure du mémoire 1

Chapitre 1 Modélisation de la connaissance................................................2

1.1 Langages/outils de modélisation 2

1.1.1 Sous-titre de 1.1 2

1.2 Étude de Description Logic 2

1.3 Proposition : le procédé @L-is 2

iv
Chapitre 2 Directives lexicales, syntaxiques et typographiques..................3

2.1 Du temps des verbes 3

2.2 Du pronom désignant l'auteur du mémoire 3

2.3 Du pronom désignant le lecteur ou une personne en général 3

2.4 De l'usage des auxiliaires avoir et être et du verbe aller 4

2.5 De la définition des termes 4

2.6 Code source 4

2.7 Formules mathématiques 4

2.8 De la mise en page 5

2.9 Listes 6

Chapitre 3 Figures, tableaux et bibliographie..............................................7

3.1 Figures 7

3.2 Tableaux 9

3.3 Bibliographie 10

Conclusion..................................................................................................12

Contributions 12

Critique du travail 12

Travaux futurs de recherche 12

Perspective 12

Annexe A Démonstrations..........................................................................13

A.1 Ordre d'application des définitions 13

A.1.1 Cas de base 13

v
A.1.1.1 Sous-cas 13

A.1.1.1.1 Sous-sous-cas 13

A.2 Récursivité mutuelle de "ERA" et "AddDefinition" 13

A.3 Quantificateurs dans "ComputeSolution" 13

Annexe B Algorithmes ERA et FCA précédents........................................14

B.1 Algorithme FCA 14

B.2 Algorithme ERA 14

Bibliographie..............................................................................................15

vi
Résumé

Le blé compte parmi les céréales les plus importants au Maroc. Divers stress biotiques
et abiotiques limitent sa productivité et par conséquent, le Maroc n'arrive pas à atteindre
l’autosuffisance. Le changement climatique a aggravé de plus les problèmes.

La septoriose est l’une des principales maladies du Blé au Maroc. Deux espèces de
Septoria s'attaquent au blé, Septoria tritici, responsable de la septoriose des feuilles et
Septoria nodorum, responsable de la septoriose des feuilles et des épis. Elle peut causer des
pertes de rendement allant jusqu’à 40 %.

La gestion de la septoriose repose sur l’utilisation combinée de fongicides et de variétés


résistantes. Cependant, ces deux moyens de lutte sont d’une efficacité imparfaite. En effet, la
fréquence relativement élevée de reproduction sexuée de l’agent pathogène donne lieu à des
niveaux de diversité génétique élevés qui permettent une adaptation rapide à de nouvelles
forces de sélection telles que des variétés résistantes ou des fongicides. Par ailleurs, la
reproduction asexuée permet une propagation rapide des génotypes adaptés à une situation
particulière. Ceci est particulièrement avantageux lorsque le niveau de diversité génétique de
l’hôte est faible ou lorsqu’un fongicide est utilisé de manière fréquente. L’utilisation
conjointe de différents moyens de gestion pourrait ainsi permettre de limiter l’usage de
pesticides et de préserver l’efficacité des gènes de résistance.

Mots clés: blé, septoriose, septoria tritici, septoria nodorum.

vii
Liste des tableaux

Tableau 1 - Liste des styles définis pour les mémoires et thèses 10

viii
Liste des figures

Figure 1 - Algorithme A*...........................................................................................................8

Figure 2 - Menu pour l'insertion d'une figure...........................................................................12

Figure 3 - Menu pour l'insertion d'une légende d'une figure....................................................12

Figure 4 - Menu pour l'insertion d'un renvoi à une figure........................................................13

Figure 5 - Fenêtre permettant de choisir le type de renvoi.......................................................13

Figure 6 - Définition d'un signet pour une entrée de la bibliographie.....................................15

Figure 7 - Insertion d'un renvoi à une entrée de la bibliographie.............................................16

ix
Introduction

Le blé tendre (Triticum aestivum) et dur (Triticum durum) compte parmi les espèces les
plus cultivées dans le monde et constitue la base de l’alimentation d’une grande partie de
l’humanité, d’où son importance économique.

Au Maroc, le blé est la céréale la plus consommée, sa consommation est estimée à 258
kg/an/personne. Aussi, environ 3 millions d'hectares de blé sont cultivés annuellement, (2
millions d’ha de blé tendre et 1 million de blé dur) localisés essentiellement dans le bour
favorable (P> 300mm) (Balaghi et al., 2013).

Au Maroc, comme partout dans le monde, le blé est sujet à de nombreuses contraintes
abiotiques (gel, températures excessives et sécheresse) et biotiques, notamment Les maladies
cryptogamiques qui occasionnent des pertes substantielles aussi bien en rendement qu'en
qualité des grains, en conditions environnementales favorables pour le pathogène, et quand
les variétés utilisées sont sensibles. Le développement de ces maladies est favorisé par les
méthodes culturales pratiquées : date de semis précoce, forte dose de semis par hectare,
fumure excessive ou insuffisante, monoculture intensive, débris et restes des cultures, et
variétés sensibles (Eyal et al., 1987).

Les maladies cryptogamiques attaquant le blé peuvent être classées en trois groupes :
les maladies telluriques causées par des champignons habitant le sol (fontes de semis,
pourritures racinaires et piétin échaudage), les maladies transmises par les semences
notamment les caries, les charbons et les maladies de l’épi et les maladies foliaires. Ces
dernières sont bien évidemment les plus importantes parce qu’elles détruisent les tissus des
feuilles dont elles réduisent le rendement photosynthétique (Boulif, 2011). Les principales
maladies foliaires du blé au Maroc sont Les rouilles brunes, la maladie de la tache bronzée ou

1
helminthosporienne et la septoriose, qu’est la plus sévère des maladies céréalières, pouvant
annihiler complétement la récolte d’un champ. Il existe deux versions de cette infection, a
chacune son champignon nuisible : Septoria triciti, le plus courant, et Septoria nodorum. Il est
à signaler que l’oïdium ou blanc peut aussi prendre de l’ampleur dans certaines situations,
malgré son apparition généralement tardive (Ezzahiri, 2001). Toutes ces maladies sont à
caractère explosif et peuvent se propager très rapidement sur les variétés sensibles, lorsque
les conditions climatiques leur sont favorables (Ezzahiri, 2001).

L’objectif de notre étude est de faire une mise au point bibliographique sur la septoriose
au Maroc.

2
Chapitre 1

La plante hôte

De nos jours, les céréales en général, le blé (dur et tendre) en particulier constituent la
principale base du régime alimentaire pour les consommateurs marocains. Il présente, un rôle
social, économique et politique dans la plupart des pays dans le monde.

Leur utilisation est très différente, principalement en semoulerie et en meunerie, pour


produire la semoule à partir du blé dur et la farine à partir du blé tendre, Et aussi le blé utilisé
depuis plusieurs années comme matière première pour la fabrication de biocarburants
(Debiton, 2010).

1.1 La position systématique du blé

Le blé est une monocotylédone appartenant au genre Triticum, tribu des Triticeae
famille des Poaceae.

3
Figure 1: Classification du blé (http://botaniagro.sg86.pagesperso-
orange.fr/Taxonomie/f_poacees.html).

Trois groupes de Triticum sont connus, répartis selon le nombre de leurs chromosomes
(Lesage, 2011):

Le groupe diploïde (2 x 7 chromosomes) comprend Triticum monococcum (engrain)


et T. spontaneum, qui font partie des formes les plus anciennement cultivées, caractérisées
par des épis grêles où les grains restent enveloppés par les glumelles.

Le groupe tétraploïde (4 x 7 chromosomes) comprend T. dicoccoïde (amidonnier


sauvage), T. dicoccum (amidonnier), T. turgidum et T. durum (blé dur), à épis denses dont les
graines riches en gluten servent à fabriquer les pâtes alimentaires.

4
Le groupe héxaploïde (6 x 7 chromosomes), représenté par T. vulgar, ou T. aestivum
(blé tendre) et T. spelta (épeautre), comprend la majorité des blés à épis assez larges et aux
graines riches en amidon nécessaires à la fabrication du pain. Le froment ou blé tendre
(Triticum aestivum), est de loin l'espèce la plus cultivée de ce genre avec le blé dur (T.
durum).

1.2 Cycle de développement

Le cycle de développement du blé est constitué d’une série d’étapes séparées par des
stades repérés, permettant de diviser en deux périodes la vie des céréales. Une période
végétative durant laquelle, la plante ne se différencie que des feuilles et des racines ; une
période reproductrice dominée par l’apparition de l’épi et la formation du grain (Soltner,
2005).

1.2.1 La période végétative :

Elle se caractérise par un développement strictement herbacé et s’étend du semis


jusqu’à la fin de tallage.

a) La germination-levée :

La germination de la graine se caractérise par l’émergence du coléorhize donnant


naissance à des racines séminales et la date de la levée est définie par l’apparition de la
première feuille qui traverse la coléoptile, gaine rigide et protectrice enveloppant la première
feuille. La levée se fait réellement dès la sortie des feuilles à la surface du sol (Soltner, 2005).
Les principaux facteurs édaphiques qui interviennent dans la réalisation de cette phase sont,
la chaleur, l’aération et l’humidité (Eliard, 1974).

b) Le tallage :

Lorsque la plante possède 3 à 4 feuilles, une nouvelle tige, la talle primaire, apparaît à
l’aisselle de la feuille la plus âgée. Après l’émission de la première talle, la plante va émettre

5
des talles primaires, qui prennent naissance à l’aisselle du maître- brin (tige principale), puis,
lorsque le maître- brin a 6 feuilles au moins, des talles secondaires dont les bourgeons seront
alors situées à l’aisselle des feuilles des talles primaires. Le tallage herbacé s’arrête dès
l’évolution de l’apex de la formation d’ébauches de feuilles à celle d’ébauches florales (futurs
épillets) qui sont suffisamment avancées (Gate et Giban, 2003).

1.2.2 La période reproductrice :

Elle comprend la formation et la croissance de l’épi :

a) Phase montaison :

Au cours de cette phase, un certain nombre de talles herbacées vont évoluer vers des
tiges couronnées d'épis, tandis que d'autres commencent à régresser. La croissance en taille et
en matière sèche est alors active. Cette phase se termine au moment de la différenciation des
stigmates. La durée de cette phase est de 29 à 30 jours (Clément-Grandcourt ; Prat, 1971).

b) Phase d’épiaison et de fécondation :

Elle est marquée par la méiose pollinique, l’éclatement de la graine avec l’émergence
de l’épi. C’est au cours de cette phase que s’achève la formation des organes floraux et
s’effectue la fécondation (Soltner, 2005). La vitesse de croissance de la plante est maximale.
Cette phase correspond à l'élaboration d'une grande quantité de la matière sèche, cette phase
dépend étroitement de la nutrition minérale et de la transpiration qui influence le nombre final
de grains par épi (Soltner, 2005).

c) La maturation du grain :

Au cours de cette phase, l’embryon se développe et l’albumen se charge de substances


de réserve. On observe une augmentation du volume du poids des graines. La phase se
termine par le stade laiteux. Ensuite, le poids frais des grains continue à augmenter alors que
celui des tiges et des feuilles diminue. La phase se termine par le stade pâteux. Puis les grains
deviennent durs et leur couleur devient jaunâtre (Boufnar-Zaghoune et Zaghouane, 2006).

6
1.3 L’importance économique du blé au Maroc :

La production du blé est une activité agricole majeure qui a une implication importante
sur l'économie nationale du Maroc. En moyenne, environ 3 millions hectares du blé sont
cultivés annuellement au Maroc avec 2 millions hectares du blé tendre et 1 million hectares
du blé dur (USDA, 2014). La superficie moyenne occupée par les fermes est moins que 5ha,
impliquant que la plupart de production du blé est entreprise par des pauvres fermiers avec de
petites participations. Environ 94% de la superficie totale et 74% de la production se trouve
dans les zones pluviales (Dahan et al., 2012). La production totale du blé en 2015 atteint 8
Mt, cette valeur a connu une augmentation par rapport à l’année 2014, dont la quantité était
de 5 Mt.

Le Maroc est parmi un les plus grands importateurs du blé. Chaque année, l’importation
du blé dépasse les 1 Mt. A l’année 2015, la quantité importée du blé est arrivée à 2,8 Mt dont
2,3 Mt est du blé tendre, 0,5 Mt est du blé dur (USDA, 2015). La consommation interne est
estimée actuellement à 258 kg par personne, qui est parmi les valeurs les plus hautes dans le
monde (USDA, 2015). Cette augmentation est due à la fois à la diversification des produits
du blé, et à la croissance démographique (USDA, 2015). La consommation totale est estimée
à 8,7 Mt dont un tiers vient de l’importation.

7
Chapitre 2 : la septoriose :

2.1 Introduction :

Le blé tendre (Triticum aestivum) et le blé dur (T. durum) sont vulnérables à l'attaque
par différents pathogènes (Shaner, 1987). Certains de ces pathogènes ont une large gamme
d'occurrence tandis que d'autres peuvent être très localisés; certains sont extrêmement
préjudiciables à la production végétale tandis que d'autres endommagent relativement peu en
dépit d'occurrence répandue (McIntosh, 1998).

Sous les conditions Marocaines le blé est soumis à l'attaque par beaucoup d’agents
pathogènes capables de causer une réduction considérable du rendement en grains et en
qualité (Lyamani, 1990). Des études d'évaluation de pertes de rendement ont montré que les
maladies foliaires principales réduisent le rendement en grains de 30% dans des conditions
normales de croissance, tandis qu’on peut observer l'échec total de la récolte quand les
infections sont combinées avec la sécheresse (Amri et al., 1998). Les enquêtes effectuées sur
les maladies du blé depuis 1987 ont prouvé que plusieurs maladies sont produites au Maroc
mais les plus préjudiciables sont les septorioses, la tâche bronzée, la rouille des feuilles, la
rouille striée et la pourriture des racines (Ramdani et Ibriz, 2000). Tandis que la cécidomyie
ou l’insecte mouche de Hesse est la plus destructive du blé au Maroc (Lhaloui et al., 2000).

Deux espèces de Septoria s'attaquent au blé, Septoria tritici (téléomorphe:


Mycophaerella graminicola), responsable de la septoriose des feuilles et Septoria nodorum
(téléomorphe: Leptosphaeria nodorum), responsable de la septoriose des feuilles et des épis.

La septoriose est une maladie qui attaque principalement le blé depuis le stade de la
germination jusqu’à celui de la maturité. Et dans certaines circonstances, elle infecte non

8
seulement les feuilles, mais aussi les épis (Septoria nodorum) (Laffont, 1985). Les deux
espèces peuvent réduire le rendement de 31 à 53% (Babadoost et Herbert, 1984; Polley et
Thomas, 1991). Elles participent à la destruction d’environ 2 % du blé mondial, et causent
des millions de tonnes de grains et des billions de dollars de pertes chaque année (Zahri et al.,
2008).

Des attaques sévères de septorioses sont observées au Maroc en années humides et


pluvieuses, depuis l'introduction des variétés semi-naines et précoces (1969). Les pertes de
rendement peuvent aller jusqu'à 40%. C'est surtout Septoria tritici qui est la plus abondante
sur le blé tendre. Alors qu'il y a des indications que Septoria nodorum prédomine sur les
nouvelles variétés du blé dur (Ezzahiri, 2001 ; Zahri et al. 2008).

2.2 Position systématique de l’agent pathogène :

Le genre Septoria comprend 1000 espèces de champignons, la plupart parasitent les


plantes, et approximativement 10 espèces sont de parasites des graminées et notamment les
céréales.

2.2.1 Septoria tritici :

a) Taxonomie et biologie :

Il s’agit d’un champignon ascomycètes caractérisé par un cycle de vie incluant une
forme sexuée (Téléomorphe) et une forme asexuée (Anamorphe). La première est appelée
Mycosphaerella graminicola, mise en évidence par Seterson en 1976 en Nouvelle Zélande. Il
appartient à la classe des Loculoascomycètes, ordre des Dothidéales (Goodwin et al., 2004) a
été récemment revu. L’analyse phylogénétique de plusieurs gènes montre que le genre
Mycosphaerella appartient désormais à l’ordre des Capnodiales, (Schoch, et al., 2008,
Torriani et al., 2008).

Il présente le genre le plus large chez les Dothideales. Hoorme et al. (2002) rapportent
que les pseudothèces sont bruns sombres, la plupart du temps circulaires, légèrement

9
immergés dans la gaine de la feuille, ayant une taille de 70 à 100 μm (Fig. 1C). Les asques
mesurent 42 μm de long et chaque asque contient 8 ascospores. Ces dernières ont deux
cellules inégales irrégulières et de taille variable (Fig. 1D).

La deuxième a été désignée par Septoria tritici. Cette forme est décrite pour la première
fois en 1842 par Desmazièrs (Halama, 1996). Récemment, les espèces du genre Septoria
attaquant les céréales ont été regroupées sous le genre Zymoseptoria (Quaedvlieg et al.,
2011).

L’espèce Zymoseptoria tritici appartient à la classe des Deutéromycètes, ordre des


Sphaeropsidales, famille des Sphaerioïdacées (Nasraoui, 2006). Elle est caractérisée par des
pycnides de forme globuleuses, de couleur qui devient de plus en plus foncée suivant leur
stade de maturité, et encastrés dans les tissus de l’épiderme et du mésophile (Fig.1A). Ils
libèrent les pycnidiospores. Ces dernières sont filiformes, droites, légèrement recourbées,
elles sont divisées par 3 à 7 cloisons transversales et qui sont enfermées dans des pycnides
ayant une taille de 60 à 200 μm (Fig. 1B) (Eyal, 1999 ; Hoorme et al., 2002).

Fig. 1. Biologie de Z. tritici. A : Structure d’un pycnide (Kema et al., 1996a). B :


pycnidiospores (Kema et al., 1996b).C : Pseudothéce (Eyal et al., 1987). D : Détail d’un
asque contenant les ascospores (Halama 1996).

10
A B

C D

Fig. 1. Biologie de Z. tritici. A : Structure d’un pycnide (Kema et al., 1996a). B :


pycnidiospores (Kema et al., 1996b).C : Pseudothéce (Eyal et al., 1987). D : Détail d’un
asque contenant les ascospores (Halama 1996).

2.2.2 Septoria nodorum :

a) Taxonomie et biologie :

Il s’agit d’un champignon ascomycètes caractérisé par un cycle de vie incluant une
forme sexuée (Téléomorphe) et une forme asexuée (Anamorphe). Leptosphaeria nodorum se
caractérise par des périthèces subépidermiques, globuleux, bruns sombres et contenant des
asques qui portent des ascospores à quatre cellules hyalines elliptiques (Sanderson, 1978). Il

11
appartient à la classe des Dothideomycetes, ordre des Pleosporales et la famille des
Phaeosphaeriaceae .

2.2.3 Les différences morphométriques entre S. tritici et S. nodorum :

Les différences morphométriques entre les deux espèces (Septoria tritici et S. nodorum)
sont présentées dans les tableaux 1 et 2 (Eyal, 1999). (Sous microscope, les spores présentent
des différences morphologiques très marquées).

Forme sexuée Pseudopérithèce Ascospore Nombre de


en µm µm cellules
Mycosphaerella 70-100 10-15*2-3 2
graminicola

Leptosphaeria 120-200 23-32*4-6 4


nodorum

Tableau 1 : différences morphométriques entre Mycosphaerella graminicola et


Leptosphaeria nodorum.

12
Annexe A
Algorithmes ERA et FCA précédents

A.1 Algorithme FCA

A.2 Algorithme ERA

13
Bibliographie

Il est préférable d'éviter les références à des documents du Web quand cela est possible
(à cause de leur instabilité). On peut trier la bibliographie par auteur. Cette bibliographie
comprend des exemples de livre, chapitre de livre, article de revue, article de conférence,
rapport technique, document web.

Livre, monographie

[1] Abrial, J.-R. : The B-Book. Cambridge University Press, 1996.

Article d'actes de conférence

[2] Bherer, H., Desharnais, J., Frappier, M., St. Denis, R.: Investigating Discrete
Controllability with Kleene Algebra, in Relational and Kleene-Algebraic Methods in
Computer Science (7th International Seminar on Relational Methods in Computer
Science / 2nd International Workshop on Applications of Kleene Algebra),
Berghammer, R.; Möller, B.; Struth, G. (Eds.), Lecture Notes in Computer Science
3051, Springer-Verlag, 2004, pp 74-85.

Articles de revue

[3] Evans, N., Treharne, H., Laleau, R., Frappier, M.: Applying CSP||B to Information
Systems, Software and Systems Modeling, 17 pages, à paraître.

[4] Fraikin, B., Frappier, M., Laleau, R.: State-Based versus Event-Based Specifications
for Information Systems: a Comparison of B and EB3, Software and Systems
Modeling, 4(3), July 2005, pp 236-257.

Ouvrage colectif

14
[5] Frappier, M., Habrias, H. (Eds) : Software Specification Methods : An Overview
Using a Case Study, Hermes Science Publishing, London, England, 2006.

Rapport Technique

[6] Frappier, M., Laleau, R.: Proving the Refinement of Scenarios into Object-Oriented
Models. Rapport technique CEDRIC n°277, Institut d'Informatique d'Entreprise,
Conservatoire National des Arts et Métiers, Évry, et Rapport technique n° 272,
Département de mathématiques et d'informatique, Université de Sherbrooke, Québec,
Canada, août 2001.

Article d'un ouvrage collectif

[7] Gervais, F., Frappier, M., St-Denis, R.: EB3. in Software Specification Methods: An
Overview Using a Case Study, M. Frappier, H. Habrias, Eds., Hermes Science
Publishing, London, England, avril 2006.

Livre (autre exemple)

[8] Hoare, C.A.R. : Communicating Sequential Processes, Prentice-Hall, Englewood


Cliffs, NJ, 1985.

Documents web

[9] JUnit.org. http://www.junit.org.

[10] Object Management Group: Unified Modeling Language: Superstructure v. 2.1.1,


http://www.omg.org/cgi-bin/apps/doc?formal/07-02-03.pdf

15

Anda mungkin juga menyukai