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Rappels Formation Sono

Contenu

Décomposition d’une scène, lexique


Schéma

Déroulement d’un évènement


Matériel
Câbles
HK
Actif/Passif
Micros

Astuces
Décomposition d’une scène, lexique

On décompose la scène en 3 parties :

 Le backline : il comprend tout ce qui est nécessaire à la prise de son (ampli, micros…)

 La sono : elle comprend la diffusion en façade (les enceintes HK chez nous) pour le
public, et les retours sur scène qui permettent aux artistes de s’entendre jouer.

 La régie : c’est ici que le son arrive du backline, est traité puis envoyé dans la sono.
L’élément principal de la régie est la table de mixage.
Tous ces éléments sont câblés les uns avec les autres pour transmettre le signal sonore. On
branche les éléments du backline sur les entrées de la table de mixage (IN) et la sono sur les
sorties (OUT). Pour faciliter les passages de câble entre la régie et la scène (qui traversent le
public !) on utilise un multipair, un boîtier avec plusieurs prises en entrée (IN) et en sortie
(OUT) qui sera disposé sur la scène. Ainsi nous n’avons plus qu’un seul gros câble à passer :

Sur la scène, on distingue le côté « cour » qui est à droite lorsque l’on est face à
a scène, du côté « jardin » qui est lui à gauche.

Pour communiquer entre les différentes équipes (régie, plateau, lumières…) on


utilise des talkies-walkies.
Jardin Cour
SCENE
Ampli
Ampli Basse Micros
Guitare Batterie

Micro
Chant

Micro
Chant

Retour

Multipair

HK HK
PUBLIC PUBLIC

PUBLIC PUBLIC

REGIE
: Diffusion façade (HK). Diffuse le mix général dans
la salle pour le public et le bonheur des voisins.

: Retours. Pour que les musiciens s’entendent sur


scène et râlent (« plus de guitare dans mon retour !! »).

: Backline. Ensemble des équipements nécessaires


à la prise de son (micros, amplis…). Indispensable pour le
Larsen, sinon c’est pas drôle…

: Câblage. Tout se branche dans la vie. (A enrouler


à la fin… )
Déroulement d’un évènement

1) Réception des fiches techniques. Cette fiche (plus ou moins bien construite selon les
groupes…) nous donne des informations sur le groupe que nous allons sonoriser. On
y trouve la liste des instruments, un plan de la disposition des membres sur scène,
des détails sur les retours (combiens, où doivent-ils être placés, etc…) et les micros
dont ils ont besoin.

2) A partir de cette fiche, l’ingé son va réaliser le patch : quel micro va-t-on utiliser pour
quel instrument, sur quelle piste de la console va-t-on le brancher.
Il faut souvent trouver un compromis entre ce qui est demandé dans la fiche et le
matériel dont nous disposons. Grâce à notre console numérique, nous pouvons
préparer le nom des pistes, etc… à l’avance pour gagner du temps.

3) Il faut ensuite établir des plans de scène pour visualiser la configuration des
différents éléments sur la scène selon les groupes (backline, retours, câblage,
diffusion…)

4) Installation. Le jour J, il faut tout installer en procédant dans l’ordre :


Placement des enceintes de retour et de diffusion, montage de la régie, montage de
la batterie, placement des amplis placement des micros, câblage électrique (tous les
dispositifs hors tension !), câblage son, mise sous tension.
Attention à l’ordre de mise sous tension : d’abord la console, puis les enceintes !

5) Line check. Quand tout est câblé, il est temps de vérifier que tout fonctionne. On
« check » chaque micro pour s’assurer qu’il y a bien du signal au bon endroit et régler
les gains d’entrée sur la console. On vérifie aussi que chaque enceinte fonctionne et
on ajuste le volume (après on y touche plus, tout est contrôlé par la table).

6) Balances. Les groupes arrivent avant le concert pour faire des balances pendant
lesquelles nous allons effectuer tous nos réglages (volumes, équaliseurs, effets,
retours…). Grâce à la console numérique, nous pouvons effectuer une sauvegarde de
ces réglages, différents pour chaque groupe, il ne restera plus qu’à charger les
réglages correspondant à tel ou tel groupe pendant le concert.

7) Démontage. Le concert est fini, il est temps de tout démonter ! Dans l’ordre :
Mise hors tension, ici aussi l’ordre est important : d’abord les enceintes, puis la
console ! Rangement des micros, console, enroulage de câbles, rangement des
pieds, enceintes, amplis…
Et bien sûr, la photo finale !!
Matériel
Câbles

Une fiche de câble est ce que l’on trouve à l’extrémité des câbles. Il en existe une multitude.
Voici les différentes fiches que nous utiliserons pour le son.

XLR 3 broches

Le câble XLR 3 broches (plus couramment appelé XLR), est le câble le plus utilisé dans le
domaine du son. Il possède deux grands avantages :
- Une fiche mâle et femelle par câble ce qui permet d’en
utiliser plusieurs bout à bout
- Un signal symétrisé ce qui permet une grande longueur de
câble sans perte de qualité.
Il sera utilisé pour câbler la totalité des micros, les D.I. si elles
sont utilisées, ainsi que les enceintes. Il peut aussi être utilisé pour synchroniser des
lumières via un système DMX, mais nous ne l’utiliserons pas en sono.

Jack 6.35mm

Le Jack 6,35mm est le Jack standard, utilisé principalement pour les guitares et les basses. La
plupart des Jack sont asymétriques et donc sensibles aux
interférences électroniques. C’est pourquoi la longueur
maximale conseillée est de 3m. Il existe aussi des Jack « Stéréo »
(avec deux ronds noirs sur le bout) qui permettent de
transporter un signal symétrique ou un signal stéréo.

RCA
Les câbles RCA sont constitués d’un doigt central, entouré d’un
anneau métallique. Ils sont souvent rouges et noir ou rouge et blanc.
Ils sont utilisés par les DJ ou encore pour brancher un ordinateur à la
table de mixage.
RJ45 (CAT5)

C’est le câble Ethernet branché à votre livebox ou dans les salles info de
l’UTC. Ce câble numérique peut aussi être utilisé en sono pour relier la
console à un multipair numérique (comme entre la régie et le studio
Décibels, vous voyez le câble bleu…). Ainsi le signal sonore analogique est
converti en signal numérique et il n’y a plus qu’un seul petit câble à passer
au lieu de 36 XLR emmêlés !

Speakon

Le Speakon correspond à une fiche composée de deux cercles de


plastiques, avec des encoches sur l’extérieur. Ces encoches sont
espacées à 180° et l’une est plus grosse que l’autre, attention
donc au sens de branchement ! Pour le brancher, enfoncer la
fiche dans la prise, et pivoter à 90°. Un clic doit se produire et il
doit être impossible de retirer le câble en tirant dessus. Ces
câbles sont assez gros pour transporter un signal sonore déjà
amplifié. C’est pourquoi c’est ce qu’on utilise pour le matériel passif. Il peut aussi servir à
transporter du courant électrique pour les luminaires par exemple, mais nous ne disposons
pas de ce matériel ici.

Powercon

Le Powercon est composé de la même manière que le Speakon, à la


seule différence que les encoches extérieures sont espacées de 90°. Un
câble Powercon ne contient qu’une seule fiche mâle, et une prise 220V
de l’autre côté. Il sert à alimenter du matériel actif.
Alim PC

Les câbles d’alimentation type PC sont des câbles avec une prise et une
fiche d’alimentation en trapèze avec trois encoches. Il sert, comme le
Powercon, à alimenter du matériel actif, notamment les retours,
amplis, console, etc....

HYPRA (64A ou 32A)

L’artillerie lourde. Ce gros câble nous permet de nous brancher sur des
prises délivrant 64A ou 32A (des prises de ce types existent dans la
plupart des salles que nous sonorisons) pour alimenter notre Bloc de
puissance et ainsi avoir beaucoup plus de courant que par les prises
traditionnelles. Nous n’utiliserons pas ce type de prises pour le
son car nous ne possédons qu’un seul bloc de puissance, réservé
aux Lights (qui consomment beaucoup plus).

DI (Direct Input)

Boitier dans lequel on rentre un jack et on sort en XLR.


Permet de symétriser le signal et donc de pouvoir par la suite
tirer de longs XLR sans risques d’interférences. Elles peuvent
être actives ou passives. Les actives présentant une possibilité
d’inverser la phase mais nécessitent une alimentation
(phantom ou pile).
Système HK Actor (branchement)

A l’utc, nous disposons d’une façade comprenant deux « têtes » et quatre « subs » (caissons
de basse). Les deux têtes et deux des subs sont actifs (voir définition actif/passif ci-dessous), et
les deux subs restants sont passifs.
Le son arrive d’abord en XLR dans les têtes, qui font office de filtre passe haut et passe bas.
Le passe haut va être amplifié et émis par les têtes. Le passe bas repart dans les premiers
subs actif, pour être amplifié et émis à son tour. Le sub fait aussi office de relais et renvoie le
son déjà amplifié dans le second sub passif.

Le cadre orange est le


système DDO qui gère
les filtres passe haut et
passe bas. Dans le cas
du système complet (2
têtes 4 subs), il faut
choisir le programme
n°5
Les deux boutons ronds
servent à régler le
niveau d’amplification.
Il faut que les diodes
soient vertes et AU
MAXIMUM oranges.
Actif/Passif

Le matériel actif possède un circuit intégré permettant de traiter un son non amplifié.
Il est donc alimenté en électricité (via un Powercon ou un câble d’alimentation type PC) ET
en son (généralement via un XLR ou un Jack 6,35mm).
Le matériel passif quant à lui, ne possède pas de circuit intégré. Il émet directement le son
envoyé. Par conséquent, il est nécessaire d’amplifier ce signal sonore avant de l’envoyer.

Dans le cas du système HK Actor il y a : 2 têtes actives, 2 caissons de basse (sub) actifs et 2
sub passifs.
Les têtes vont filtrer les fréquences (hautes, mediums, basses) pour ne diffuser que les
hautes. Les fréquences restantes sont envoyées aux subs. Les premiers (actifs) filtrent à
nouveau pour diffuser, sans amplifier, les medium. Enfin les basses sont amplifiées par les
subs actifs puis envoyées, aux derniers subs (passifs).

Micros

Les microphones sont des capteurs permettant de convertir le son en signal


électrique. Tous les micros sont équipés d’une membrane qui vibre en réponse aux
fluctuations de la pression de l’air. La technologie utilisée pour transformer ces vibrations
en signal électrique dépend de la nature du microphone : électrodynamique,
électrostatique, à électret, à ruban…
Un microphone se distingue par trois caractéristiques, que nous détaillerons ensuite :
 Sa nature, évoquée plus haut.
 Sa réponse en fréquence.
 Sa directivité

Nature du microphone
Chez Décibels, nous ne possédons que trois types de microphones : beaucoup
d’électrodynamiques, deux électrostatiques et un à électret. Nous ne détaillerons donc que
ces trois catégories.

 Le micro électrodynamique (ou tout simplement dynamique) utilise une


technologie basée sur un système bobine-aimant pour convertir les vibrations
en électricité. La bobine est fixée à la membrane et l’aimant au corps du
micro. En vibrant, la bobine va induire une fluctuation du champ magnétique
de l’aimant… et hop ça créé un courant dans la bobine (C’est la loi Lenz-
Faraday1)! Ce courant est récupéré par le câble XLR en sortie du microphone.
Ce type de microphone est très largement répandu, et nous en possédons un
grand nombre dans l’association, tel que le bien connu Shure SM58.

Figure 1: Schéma d'un microphone électrodynamique

 Le micro électrostatique (ou statique) utilise un composant appelé


condensateur. Il est constitué de deux plaques face à face séparées par de
l’air. Quand la distance entre ces deux plaques varie, une grandeur appelée
capacité varie. Si on colle une des deux plaques à la membrane du micro, on
obtient une variation de cette capacité proportionnelle à la vibration de la
membrane ! Génial ! Mais il reste un problème : aucun courant électrique
n’est généré par un tel système. C’est pour ça que ce type de microphone
nécessite une alimentation externe appelée alimentation fantôme.
Le système utilisé dans un micro statique est beaucoup léger qu’un système
bobine-aimant, ce qui le rend beaucoup plus performant dans les aigus et
plus sensibles et plus fragiles (et donc plus cher). Ils sont essentiellement
utilisés en studio.

 Le microphone à électret est très similaire au micro statique mais diffère au


niveau de la fabrication de la membrane : on lui applique une polarisation
permanente qui permet de limiter le rôle de l’alimentation fantôme dans son
fonctionnement (bien qu’elle soit toujours nécessaire).
De ce fait, ce type de micro est moins cher qu’un statique et peut être une
bonne alternative pour la sonorisation live d’une voix lead.

Réponse en fréquence
La technologie utilisée pour obtenir un signal électrique induit des différences dans la
réponse en fréquence obtenue. La courbe de réponse d’un micro doit être analysée pour
déterminer son utilisation. Prenons l’exemple du SM58, dont la courbe est présentée plus
bas. On voit que la réponse du micro est globalement linéaire entre 100 et 6000 Hz. Sachant

1
La loi de Lenz-Faraday expliquée à l’université de Yale : http://oyc.yale.edu/physics/phys-201/lecture-11
que la musique chantée varie entre 300 et 1200 Hz2, ce type de micro est largement
suffisant pour sonoriser une voix live. En revanche, la première corde à vide d’une guitare
basse produit un son à 41,203 Hz, qui serait mal capté par ce type de micro.

Figure 2 : Courbe de réponse en fréquence du SM58

Directivité
La directivité d’un microphone est sa faculté à capter un son dans une direction donnée. Les
constructeurs délivrent toujours les résultats de directivité sous la forme suivante :

Figure 3: Directivité du SM58 à 1000 Hz

Il faut imaginer la tête du microphone au centre du cercle, et le corps suivant l’axe vertical
vers le bas. Cette directivité nous montre par exemple une forte réponse lorsque le son vient
d’en face de la tête du micro, mais diminue sur les côté et devient très faible voire nulle
lorsque le son provient de derrière. Ce genre de directivité est très adapté au chant pour
capter uniquement la voix du chanteur et non les instruments autour. Il faut donc tenir
compte de la directivité dans le choix d’un micro pour sonoriser.

2
Pour les fréquences fondamentales seulement, car la voix possède des harmoniques à des fréquences
beaucoup plus hautes , dont on tiendra compte dans les enregistrements en studio !
Pour sonoriser…
 Une voix : Le mastodonte de la sonorisation live reste le Shure SM58, comme
expliqué dans les divers exemples précédents. On possède également
quelques équivalents un peu moins chers : le PG57 et le PG58, à utiliser s’il n’y
a plus de de SM58. En studio, on préfèrera un micro statique pour la voix
lead : le Groove Tubes 5sc.

Shure SM58 Groove Tube 5sc

 Une guitare : S’il s’agit d’une guitare électrique, utiliser les Sennheiser e906.
Ce sont des microphones bidirectionnels qui se suspendent par le câble XLR
collé à la grille de l’ampli, au plus proche du haut-parleur. Autrement, un
Shure SM57 à directivité cardioïde fera l’affaire. Il faut également placer le
micro très proche de la grille et sur un côté du haut-parleur.

Sennheiser E906 Shure SM57

 Des cuivres, bois… : Les Sennheiser MD421 délivrent un son chaud qui
convient parfaitement à la sonorisation des cuivres en live ou en studio. Il est
très polyvalent et peut être aussi utilisé pour la batterie, etc… Attention au
chant, ce micro ne convient pas à un chant trop dynamique (rock par
exemple). C’est un micro dynamique très performant et assez coûteux.

Sennheiser MD 421
 La grosse caisse d’une batterie : Une seule référence chez Décibels : le Shure
Beta 52. Il possède une très bonne réponse en basse fréquence lorsqu’il est
placé très proche de la source. Il peut aussi être utilisé pour repiquer un ampli
de basse

Shure Beta 52

 Les toms d’une batterie : Les Audix D2 sont équipés d’attaches spécialement
prévues pour les toms.

Audix D2

 La Charley (Hi-Hat) d’une batterie : On utilisera en le micro statique Shure


SM81 (fragile). Sinon un SM57.

Shure SM81
 La caisse claire d’une batterie : On peut éventuellement utiliser un
Sennheiser MD421 comme pour les cuivres, ou un SM57 également.

 Les Overheads d’une batterie ou micros d’ambiance : On utilisera les AKG


C535 à électret.

AKG C535

Bien sûr l’utilisation de ces micros dans telle ou telle situation reste
relativement objective ! Libre à vous, après un peu d’expérience, de tenter de
nouvelles choses, le résultat peut parfois être agréablement surprenant !
Astuces

Bon, tout ça c’est beaucoup de blabla, le meilleur moyen d’apprendre c’est en live !

La sonorisation c’est aussi savoir gérer les imprévus, les groupes qui ne savent pas ce qu’ils
veulent, les informations contradictoires, les Larsens, etc… ;)

Voici quelques astuces utiles que nous avons pu tirer de notre expérience sur les
évènements.

Larsens
L’ennemi numéro un de l’ingé son ! Quelques explication : l’effet larsen (feedback en anglais)
c’est quand le son tourne en boucle et produit un sifflement continu qui augmente en
intensité pour le bonheur de nos oreilles. Il peut être de n’importe quelle fréquence selon la
salle, l’origine du larsen, etc… Cela se produit lorsque le micro capte le son de l’enceinte, qui
le diffuse à nouveau pour être capté par le micro, ceci à l’infini…

Vous l’aurez deviné le Larsen est très mauvais pour nos oreilles et pour le matériel, il y a
quelques techniques pour l’éviter :

- Ne pas mettre un micro devant une enceinte


- Vérifier que les micros sont bien coupés pendant les changements de plateau
- Bien régler les gains : lorsqu’on règle le gain des micros il faut que le signal entame
bien le orange jusqu’à -6 ou -12db sur le vu-mètre (ce sera la formation n°2).
- Couper la fréquence de Larsen sur la table avec un équaliseur
- Utiliser des compresseurs (effets sur la table)
- Certains micros captent plus le Larsen que d’autres -> utiliser les bons micros
- Réfléchir à la disposition de la scène, disposer des absorbants (rideaux…) au préalable
pour éviter que le son ne « rebondisse » jusqu’aux micros

Enfin, quand si Larsen part très vite (dans les aigus par exemple), il faut avoir le réflexe de
baisser ou couper immédiatement le micro.

Quand ça marche pas…


Souvent, quand vous avez tout installé, que vous passez au line-check et que vous envoyez le
son, ba ça marche pas… Dans ce cas, il faut savoir localiser le problème.

Si vous n’avez pas de signal sur la table, le problème vient des entrées :

- Le micro n’est pas branché ou est branché sur la mauvaise piste


- Le micro a un bouton ON/OFF qui n’es pas sur ON
- Vous avez oublié l’alimentation fantôme sur le micro ou la DI
- Il y a un « cut » de -20dB sur la DI ou sur la table
- Le câble est défectueux

S’il y a du signal mais que vous n’entendez rien, le problème vient des sorties :

- L’enceinte ne sont pas allumées / pas branchées


- L’enceinte est mal branchée
- La piste est « mute » ou le volume au minimum
- Le câble est défectueux
- Le haut-parleur est mort (là c’est la merde…)

Grader son sang-froid


Souvent, vous allez avoir à faire avec des groupes amateur qui ne savent pas bien ce qu’ils
veulent, qui ne sont pas conscient du boulot que l’on fait derrière, des chanteuses qui se
baladent avec le micro devant les enceintes, des danseuses qui viennent vous voir en vous
donnant des informations contradictoires sur la musique à passer, des spectateurs alcoolisés
qui vous disent «met plus fort la guitare ! », des imprévus, le concert qui commence dans
une heure et y a rien qui marche…

Face à tout ça, il est important de garder son sang-froid, vous savez ce que vous faites et il y
a une solution à chaque problème que l’on va rencontrer. On essaye toujours de faire mieux,
de faire des trucs de fou, des fois ça se passe pas comme prévu c’est pas grave, on n’est pas
des pros, on n’est pas payés pour faire ça et on est tous là pour apprendre et pour
s’amuser ! ;)

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