Il était une fois un bûcheron et sa femme qui avaient sept enfants, tous des

garçons ! Ils étaient si pauvres qu’ils avaient beaucoup de mal à les nourrir,
d’autant plus qu’aucun des enfants n’étaient en âge de travailler.
Et puis le dernier surtout leur donnait du souci, ils le croyaient fragile et
un peu bête, car il était tout petit et ne parlait jamais. A sa naissance, il n’était
pas plus gros qu’un pouce et c’est pour cela qu’on l’avait appelé le Petit Poucet.
Un soir, alors que les sept frères étaient couchés, le bûcheron discuta
avec sa femme, assis au coin du feu.
« C’est la misère, lui dit-il. Il n’y a plus rien à manger depuis des mois ! Je
ne veux pas voir mes enfants mourir devant mes yeux. J’ai beaucoup réfléchi : il
n’y a qu’une solution, il faut les perdre dans la forêt ! »

Il était une fois un bûcheron et sa femme qui avaient sept enfants, tous des
garçons ! Ils étaient si pauvres qu’ils avaient beaucoup de mal à les nourrir,
d’autant plus qu’aucun des enfants n’étaient en âge de travailler.
Et puis le dernier surtout leur donnait du souci, ils le croyaient fragile et
un peu bête, car il était tout petit et ne parlait jamais. A sa naissance, il n’était
pas plus gros qu’un pouce et c’est pour cela qu’on l’avait appelé le Petit Poucet.
Un soir, alors que les sept frères étaient couchés, le bûcheron discuta
avec sa femme, assis au coin du feu.
« C’est la misère, lui dit-il. Il n’y a plus rien à manger depuis des mois ! Je
ne veux pas voir mes enfants mourir devant mes yeux. J’ai beaucoup réfléchi : il
n’y a qu’une solution, il faut les perdre dans la forêt ! »

Il était une fois un bûcheron et sa femme qui avaient sept enfants, tous des
garçons ! Ils étaient si pauvres qu’ils avaient beaucoup de mal à les nourrir,
d’autant plus qu’aucun des enfants n’étaient en âge de travailler.
Et puis le dernier surtout leur donnait du souci, ils le croyaient fragile et
un peu bête, car il était tout petit et ne parlait jamais. A sa naissance, il n’était
pas plus gros qu’un pouce et c’est pour cela qu’on l’avait appelé le Petit Poucet.
Un soir, alors que les sept frères étaient couchés, le bûcheron discuta
avec sa femme, assis au coin du feu.
« C’est la misère, lui dit-il. Il n’y a plus rien à manger depuis des mois ! Je
ne veux pas voir mes enfants mourir devant mes yeux. J’ai beaucoup réfléchi : il
n’y a qu’une solution, il faut les perdre dans la forêt ! »
 Est-ce que les animaux sauvages sont méchants ?

Les animaux sauvages ne sont pas « méchants ». Ils ne veulent pas faire mal. Ils

tuent pour manger, tout simplement. Si parfois ils griffent ou attaquent des

gens, c’est pour se défendre, ou protéger leurs petits. Ils nous font alors très

peur. Souvent même, un animal crie pour nous avertir. Pour dire : « vous

approchez trop près de chez moi. Partez vite ! » On dit qu’une bête est sauvage

pour expliquer qu’elle vit en liberté dans la nature.

Est-ce que les animaux sauvages sont méchants ?

Les animaux sauvages ne sont pas « méchants ». Ils ne veulent pas faire mal. Ils

tuent pour manger, tout simplement. Si parfois ils griffent ou attaquent des

gens, c’est pour se défendre, ou protéger leurs petits. Ils nous font alors très

peur. Souvent même, un animal crie pour nous avertir. Pour dire : « vous

approchez trop près de chez moi. Partez vite ! » On dit qu’une bête est sauvage

pour expliquer qu’elle vit en liberté dans la nature.

Est-ce que les animaux sauvages sont méchants ?

Les animaux sauvages ne sont pas « méchants ». Ils ne veulent pas faire mal. Ils

tuent pour manger, tout simplement. Si parfois ils griffent ou attaquent des

gens, c’est pour se défendre, ou protéger leurs petits. Ils nous font alors très

peur. Souvent même, un animal crie pour nous avertir. Pour dire : « vous

approchez trop près de chez moi. Partez vite ! » On dit qu’une bête est sauvage

pour expliquer qu’elle vit en liberté dans la nature.

 Danseur sur glace à Paris
Le patineur s’élance sur la glace, le corps fléchi. Une musique
s’élève, et s’amplifie. Il glisse alors avec grâce, suit la cadence,
file, ralentit, repart, saute et arrondit le dos. Il tourne sur lui
même un long moment. Il réussit une merveilleuse exhibition : le
public parisien est ébloui et il applaudit longuement le patineur.
Enfin, sur une dernière pirouette, il se place au centre de la piste
et salue.

Danseur sur glace à Paris

Le patineur s’élance sur la glace, le corps fléchi. Une musique
s’élève, et s’amplifie. Il glisse alors avec grâce, suit la cadence,
file, ralentit, repart, saute et arrondit le dos. Il tourne sur lui
même un long moment. Il réussit une merveilleuse exhibition : le
public parisien est ébloui et il applaudit longuement le patineur.
Enfin, sur une dernière pirouette, il se place au centre de la piste
et salue.

Danseur sur glace à Paris

Le patineur s’élance sur la glace, le corps fléchi. Une musique
s’élève, et s’amplifie. Il glisse alors avec grâce, suit la cadence,
file, ralentit, repart, saute et arrondit le dos. Il tourne sur lui
même un long moment. Il réussit une merveilleuse exhibition : le
public parisien est ébloui et il applaudit longuement le patineur.
Enfin, sur une dernière pirouette, il se place au centre de la piste
et salue.