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OCDE
OCDE Rapport annuel 2007
Rapport annuel
L’OCDE DANS LE MONDE
2007
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0HOTOS EN HAUTE RÏSOLUTION CONTACTER SILVIATHOMPSON OECDORG
0UBLICATIONS LES TITRES DE PUBLICATIONS EN ITALIQUE SONT EN VENTE VIA LA LIBRAIRIE EN LIGNE DE L/#$% WWWOECDORGLIBRAIRIE
,% 2!00/24 !..5%, $% ,/2'!.)3!4)/. $% #//0³2!4)/. %4 $% $³6%,/00%-%.4 ³#/./-)15%3 /#$% EST PRÏPARÏ PAR LA $IVISION DES AFFAIRES PUBLIQUES
DE LA $IRECTION DES RELATIONS EXTÏRIEURES ET DE LA COMMUNICATION )L EST PUBLIÏ SOUS LA RESPONSABILITÏ DU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL DE L/#$%
!LSO PUBLISHED IN %NGLISH UNDER THE TITLE
/%#$ !NNUAL 2EPORT
¥ /#$%
4OUTE REPRODUCTION COPIE TRANSMISSION OU TRADUCTION DE CETTE PUBLICATION SONT INTERDITES SANS AUTORISATION ÏCRITE PRÏALABLE ,ES DEMANDES DOIVENT ÐTRE ADRESSÏES
Ì 0UBLICATIONS DE L/#$% RIGHTS OECDORG OU PAR FAX ,A PERMISSION DE REPRODUIRE UNE PARTIE DE CET OUVRAGE DOIT ÐTRE DEMANDÏE AU #ENTRE FRAN AIS
DEXPLOITATION DU DROIT DE COPIE RUE DES 'RANDS !UGUSTINS 0ARIS &RANCE CONTACT CFCOPIESCOM
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(PVWFSOBODF
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(PVWFSOBODFQVCMJRVF
1SÊGBDF !LLÏGER LES CHARGES ADMINISTRATIVES
-0$%&FORVFMRVFTNPUT 5NE FONCTION PUBLIQUE VIEILLISSANTE
$ES VILLES COMPÏTITIVES
0RÏSENTATION DES NOUVEAUX 3ECRÏTAIRES
(PVWFSOBODFQSJWÊF
GÏNÏRAUX ADJOINTS DE L/#$%
#ADRE DACTION POUR LINVESTISSEMENT
"UDGET ET lNANCES
!CTIVITÏS HASARDEUSES
³VÏNEMENTS MARQUANTS
0RINCIPES DIRECTEURS Ì LINTENTION
$PVQEFQSPKFDUFVSEFMBOOÊF DES ENTREPRISES MULTINATIONALES
4UJNVMFSMFNQMPJFUMFTSFWFOVT %ÊWFMPQQFNFOUEFTÊDPOPNJFT
OPONFNCSFT
13*/$*1"-&4"$5*7*54 $PPQÊSBUJPOQPVSMFEÊWFMPQQFNFOU
$SPJTTBODFFUTUBCJMJUÊÊDPOPNJRVFT $ROITS DE LHOMME ET DÏVELOPPEMENT
,AIDE AU COMMERCE
$SPJTTBODFÊDPOPNJRVF
3FMBUJPOTNPOEJBMFT
1UEST
CE QUE LA CONCURRENCE
,E "RÏSIL
PAR LES MÏRITES
#OUVRIR LES INCIDENTS MÏDICAUX 4UBUJTUJRVFT
$ÏVELOPPEMENT DURABLE 4UBUJTUJRVFT
4DJFODF
UFDIOPMPHJFFUJOOPWBUJPO )NDICATEURS DU PROGRÒS SOCIAL
,ES NANOTECHNOLOGIES $PNNVOJDBUJPO
,A CYBERFRAUDE
3FMBUJPOTFYUÊSJFVSFTFUDPNNVOJDBUJPO
*OEVTUSJF
#APITAL HUMAIN n UNE PUBLICATION STRATÏGIQUE
#OMBLER LE DÏlCIT DE lNANCEMENT DES 0-% #ENTRES /#$%
-ONDIALISATION ET ÏCONOMIE
DE LA CONNAISSANCE
"HFODFJOUFSOBUJPOBMFEFMÊOFSHJF
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-ALADIE INVALIDITÏ ET TRAVAIL
(SPVQFEBDUJPOàOBODJÍSF
$E LIMMIGRATION Ì LINTÏGRATION
EVDBUJPO 'PSVNQPVSMFQBSUFOBSJBUBWFDM"GSJRVF
,E 0)3! ET LES ÏLÒVES ISSUS DE LIMMIGRATION
%NSEIGNEMENT SUPÏRIEUR "646+&5%&-0$%&
3CÏNARIOS POUR LÏCOLE DE DEMAIN
&OWJSPOOFNFOU -0$%&FOJNBHFT
%XAMEN ENVIRONNEMENTAL DE LA #HINE "DUJWJUÊTDJWJRVFT
%SSAIS DES PRODUITS CHIMIQUES
%JSFDUJPOFYÊDVUJWF
"IOSÏCURITÏ ET CULTURES TRANSGÏNIQUES
2VJGBJURVPJ
4BOUÊ
3ANTÏ DES COßTS EN HAUSSE 3ÊQFSUPJSFEFM0$%&
DIBOHFTFUàTDBMJUÊJOUFSOBUJPOBMF 3ÊVOJPOEV$POTFJMBVOJWFBV
DIBOHFT EFTNJOJTUSFTEF
³CHANGES SUD
SUD
,ES DÏLAIS UN OBSTACLE AUX ÏCHANGES
*/'03."5*0/413"5*26&4
#RÏDITS Ì LEXPORTATION
-F4FDSÊUBSJBUEFM0$%&
"HSJDVMUVSFFUQËDIFSJFT
3OUTIEN PUBLIC Ì LA PÐCHE 0SHBOJHSBNNF
-ARCHÏ DE LA VIANDE
"NCBTTBEFVST
3FQSÊTFOUBOUT
'JTDBMJUÊ
QFSNBOFOUTBVQSÍTEFM0$%&
)NTERDIRE LA DÏDUCTION lSCALE DES POTS
DE
VIN
&ORUM SUR LADMINISTRATION DE LIMPÙT -FTQBZTNFNCSFTEFM0$%&
76&%&/4&.#-&
1SÊGBDF
1SÊGBDF XXXPFDEPSHTFDSFUBJSFHFOFSBM
#E 2APPORT ANNUEL COUVRE MA PREMIÒRE ANNÏE EN TANT QUE 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL DE L/#$%
!U COURS DE CETTE PÏRIODE JE ME SUIS EFFORCÏ DE METTRE EN RELIEF LE RÙLE DE L/RGANISATION
COMME PLAQUE TOURNANTE DE LA MONDIALISATION n UN LIEU DE DIALOGUE ET DE RENCONTRE Oá
LES PAYS MEMBRES ET NON MEMBRES PEUVENT TROUVER LES INSTRUMENTS NÏCESSAIRES POUR
MIEUX GÏRER LA MONDIALISATION -AIS POUR Y PARVENIR IL FAUT SOUVENT OPÏRER DES RÏFORMES
DOULOUREUSES #ES RÏFORMES GÏNÒRENT SOUVENT DES COßTS TRÒS PERCEPTIBLES PAR CERTAINS
GROUPES CLAIREMENT IDENTIlABLES TANDIS QUE LES AVANTAGES SE FONT SENTIR PLUS TARD SONT
INCERTAINS ET PLUS DIFFUS
#OMMENT LES POUVOIRS PUBLICS PEUVENT
ILS METTRE EN UVRE LES RÏFORMES INDISPENSABLES
SANS PERDRE LE SOUTIEN DE LOPINION PUBLIQUE ,/#$% EST UN PARTENAIRE STRATÏGIQUE DES
DÏCIDEURS POUR LES ASPECTS ÏCONOMIQUES DE LA RÏFORME ° L/#$% NOUS PROPOSONS AUX
GOUVERNEMENTS DES ANALYSES DES DONNÏES STATISTIQUES COMPARABLES ET DES ORIENTATIONS
POUR LES AIDER Ì ÏLABORER DES MESSAGES CIBLÏS QUI RENDRONT CES AVANTAGES PLUS ÏVIDENTS
$E FAIT NOUS DISPOSONS DE DONNÏES EMPIRIQUES MONTRANT COMMENT LES PAYS QUI ONT FAIT "OHFM(VSSÎB
PROGRESSER LEUR PROGRAMME DE RÏFORME ONT AMÏLIORÏ LEURS PERFORMANCES ÏCONOMIQUES 4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEFM0$%&
,/#$% EST UNE ORGANISATION UNIQUE EN SON GENRE ELLE EST EN EFFET BIEN PLACÏE POUR
ASSOCIER LES PARTIES PRENANTES Ì PRATIQUEMENT TOUS LES ASPECTS DE LÏLABORATION DES
POLITIQUES !U COURS DE LANNÏE ÏCOULÏE L/RGANISATION A RENFORCÏ SES ACTIVITÏS AVEC LES
DÏCIDEURS Ì TOUS LES NIVEAUX #ELA EST PARTICULIÒREMENT VRAI POUR LES PARLEMENTAIRES
,/#$% SASSURE AUSSI LE CONCOURS DES PARTIES PRENANTES QUE SONT LES ENTREPRISES LES
SYNDICATS ET LA SOCIÏTÏ CIVILE %LLE A ÏGALEMENT AMPLIlÏ SES ACTIVITÏS DE COMMUNICATION
PARCE QUE NOUS SOMMES CONVAINCUS QUE LA PÏDAGOGIE EST UN ÏLÏMENT ESSENTIEL DUNE
RÏFORME STRUCTURELLE COURONNÏE DE SUCCÒS #E 2APPORT ANNUEL CHERCHE DONC Ì PRÏSENTER
EN TERMES SIMPLES DES QUESTIONS COMPLEXES ET INVITE LES LECTEURS Ì POURSUIVRE LEURS
RÏmEXIONS EN SE REPORTANT AUX ÏTUDES ET AUX PUBLICATIONS DE L/#$%
,ES TRAVAUX DE L/#$% SONT PLUS QUE JAMAIS UTILES Ì DE NOMBREUX PAYS NAPPARTENANT
PAS Ì L/RGANISATION !UJOURDHUI L/#$% COOPÒRE AVEC PLUS DE PAYS NON MEMBRES
#EST POURQUOI NOUS CONSIDÏRONS AVEC BEAUCOUP DATTENTION LA POSSIBILITÏ DE SON
ÏLARGISSEMENT
0OUR QUE LA MONDIALISATION BÏNÏlCIE Ì TOUS IL FAUT UNE PLAQUE TOURNANTE 4ELLE EST LA NOUVELLE
MISSION DE L/#$% UNE INSTITUTION DE DIMENSION MONDIALE OUVERTE Ì TOUS LES PAYS ET Ì
TOUTES LES CATÏGORIES DACTEURS POUR DIALOGUER DANS LE CADRE DUN PARTENARIAT ÏLARGI n PARCE
QUE NOUS SOMMES TOUS PARTIES PRENANTES Ì LA MONDIALISATION
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-0$%&FORVFMRVFTNPUT
,A CRÏATION DE L/#$% REMONTE AU 0LAN -ARSHALL !UJOURDHUI L/RGANISATION COMPTE PAYS
MEMBRES TOUS ATTACHÏS Ì LA DÏMOCRATIE ET Ì LÏCONOMIE DE MARCHÏ %LLE OFFRE AUX
GOUVERNEMENTS UN ESPACE DE DIALOGUE QUI LEUR PERMET DE CONFRONTER LEUR EXPÏRIENCE EN
MATIÒRE DE POLITIQUES DE RECENSER LES BONNES PRATIQUES ET DE PROMOUVOIR DES DÏCISIONS ET
DES RECOMMANDATIONS $IALOGUE CONSENSUS EXAMENS ET PRESSIONS PAR LES PAIRS SONT AU CUR
DE L/#$%
,/RGANISATION A POUR VOCATION PREMIÒRE DAIDER LES POUVOIRS PUBLICS ET LA SOCIÏTÏ CIVILE Ì
PROlTER PLEINEMENT DES AVANTAGES DE LA MONDIALISATION TOUT EN RELEVANT LES DÏlS ÏCONOMIQUES
SOCIAUX ET DE GOUVERNANCE QUE CELLE
CI PEUT CRÏER ,/#$% SEFFORCE AVANT TOUT DAPPRÏHENDER
LES PROBLÏMATIQUES NOUVELLES ET DE DÏTERMINER LES MESURES EFlCACES AlN DAIDER LES
RESPONSABLES POLITIQUES
/UTRE LES ANALYSES QUELLE EFFECTUE ET LES CONSEILS QUELLE PRODIGUE DANS UN LARGE ÏVENTAIL DE
DOMAINES ÏCONOMIQUES L/#$% EST UNE DES SOURCES DE DONNÏES STATISTIQUES ÏCONOMIQUES
ET SOCIALES COMPARABLES LES PLUS IMPORTANTES ET LES PLUS lABLES DU MONDE ,ES BASES DE
DONNÏES DE L/#$% COUVRENT DES DOMAINES AUSSI DIVERS QUE LES COMPTES NATIONAUX LES
INDICATEURS ÏCONOMIQUES LES ÏCHANGES LEMPLOI LES MIGRATIONS LÏDUCATION LÏNERGIE ET LA
SANTÏ
,/#$% ÏLABORE DES INSTRUMENTS DES DÏCISIONS ET DES RECOMMANDATIONS RECONNUS AU NIVEAU
INTERNATIONAL POUR PROMOUVOIR DE NOUVELLES RÒGLES DU JEU DANS DE NOMBREUX DOMAINES
COMME LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION DANS LES TRANSACTIONS COMMERCIALES INTERNATIONALES LA
POLITIQUE DE LINFORMATION ET DE LA COMMUNICATION LA lSCALITÏ ET LENVIRONNEMENT ,ES NON
MEMBRES SONT INVITÏS Ì ADHÏRER Ì CES ACCORDS ET TRAITÏS
&AVORISER LE DÏVELOPPEMENT AU
DELÌ DE SES PAYS MEMBRES EST UNE MISSION QUE L/#$% SEST
DONNÏE DÒS LE DÏPART ,/RGANISATION ENTRETIENT DES RELATIONS DYNAMIQUES AVEC QUELQUE
ÏCONOMIES NON MEMBRES MAIS AUSSI AVEC LES ENTREPRISES LES SYNDICATS LA SOCIÏTÏ CIVILE
ET LES PARLEMENTAIRES #ES ACTEURS TIRENT PROlT DES TRAVAUX DE L/#$% TOUT EN Y APPORTANT UNE
PRÏCIEUSE CONTRIBUTION
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EFOBUJPOBMJUÊOÊFSMBOEBJTF
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FMMFPDDVQBJUMFQPTUFEF
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"HFODZ BHFODFBNÊSJDBJOFQPVSMFDPNNFSDF
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1JFS$BSMP1BEPBO
EFOBUJPOBMJUÊJUBMJFOOF
DFUBODJFOQSPGFTTFVS
EÊDPOPNJFÆM6OJWFSTJUÊ-B4BQJFO[BEF3PNFÊUBJU
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EV'POETNPOÊUBJSFJOUFSOBUJPOBM
.BSJ"NBOP
EFOBUJPOBMJUÊKBQPOBJTF
JMÊUBJUBVQBSBWBOU
EJSFDUFVSFYÊDVUJGQBSJOUÊSJNEFM0SHBOJTBUJPO
QPVSMFEÊWFMPQQFNFOUÊOFSHÊUJRVF
EFMB1ÊOJOTVMFDPSÊFOOF
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-0$%&FORVFMRVFTNPUT
#VEHFUFUàOBODFT XXXPFDEPSHBQSPQPTFUBUTàOBODJFST
àOBODFTFSWJDF!PFDEPSH
,E BUDGET DE L/#$% ET LE CONTENU DE SON PROGRAMME DE TRAVAIL SONT DÏTERMINÏS TOUS LES
DEUX ANS PAR LE #ONSEIL DE L/#$% SON ORGANE DÏCISIONNEL ,A PLANIlCATION LA BUDGÏTISATION
ET LA GESTION DE L/RGANISATION SONT ORGANISÏES SELON UN SYSTÒME FONDÏ SUR LES RÏSULTATS
5NE FOIS LE PROCESSUS ACHEVÏ CES RÏSULTATS SONT SUIVIS ET ÏVALUÏS ,E BUDGET POUR
SEST ÏLEVÏ Ì MILLIONS %52 ET LE BUDGET POUR EST DE MILLIONS %52
,ES ÏTATS lNANCIERS DE L/#$% SONT ÏTABLIS CONFORMÏMENT AUX )NTERNATIONAL 0UBLIC 3ECTOR
!CCOUNTING 3TANDARDS )03!3 NORMES COMPTABLES INTERNATIONALES DU SECTEUR PUBLIC
n L/#$% A EN EFFET ÏTÏ LA PREMIÒRE ORGANISATION INTERNATIONALE Ì LES ADOPTER n ET SONT
EXAMINÏES PAR DES AUDITEURS EXTÏRIEURS ,E CONTRÙLE EXTERNE INDÏPENDANT DES COMPTES
ET DE LA GESTION lNANCIÒRE EST ASSURÏ PAR UN #OLLÒGE DES COMMISSAIRES AUX COMPTES #E
#OLLÒGE EST COMPOSÏ DE QUATRE MEMBRES APPARTENANT Ì DES INSTITUTIONS DE CONTRÙLE DES
lNANCES PUBLIQUES DE PAYS MEMBRES NOMMÏS PAR LE #ONSEIL DE L/#$% )L CERTIlE LES
COMPTES PUIS LE #ONSEIL AVALISE LA GESTION DU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL
,ENSEMBLE DES ÏTATS RELATIFS Ì LA SITUATION lNANCIÒRE AUX RÏSULTATS lNANCIERS ET AUX mUX
DE TRÏSORERIE SONT DISPONIBLES SUR LE SITE )NTERNET DE L/#$%
#BSÍNFEFDPOUSJCVUJPOT
0AYS MEMBRE CONTRIBUTION EN 0AYS MEMBRE CONTRIBUTION EN
!LLEMAGNE *APON
!USTRALIE ,UXEMBOURG
!UTRICHE -EXIQUE
"ELGIQUE .ORVÒGE
#ANADA .OUVELLE :ÏLANDE
#ORÏE 0AYS "AS
$ANEMARK 0OLOGNE
%SPAGNE 0ORTUGAL
³TATS 5NIS 2ÏPUBLIQUE SLOVAQUE
&INLANDE 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
&RANCE 2OYAUME 5NI
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)RLANDE 4URQUIE
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)TALIE 4OTAL
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$PVQEFQSPKFDUFVS
EFMBOOÊF
4UJNVMFSMFNQMPJFUMFTSFWFOVT XXXPFDEPSHFNQMPJ
FNQMPZNFOUDPOUBDU!PFDEPSH
%N LES PAYS DE L/#$% ONT ENTÏRINÏ LA 3TRATÏGIE POUR LEMPLOI QUI COMPRENAIT UN
ENSEMBLE DE DIX ORIENTATIONS Ì SUIVRE POUR FAIRE RECULER UN CHÙMAGE ÏLEVÏ #E PLAN
DACTION A FORTEMENT INmUENCÏ LES RESPONSABLES POLITIQUES DES PAYS MEMBRES 0LUS DE
DIX ANNÏES APRÒS IL ÏTAIT NÏCESSAIRE DE RÏÏVALUER LA 3TRATÏGIE Ì LA LUMIÒRE DE LEXPÏRIENCE -&4"7*&;7064
ACQUISE DES CONNAISSANCES NOUVELLES ET DES NOUVEAUX DÏlS %BOTMBRVBTJUPUBMJUÊEFTQBZTEF
M0$%& MFTBMBJSFEFTUSBWBJMMFVST
3I IL Y A DIX ANS LE CHÙMAGE DE MASSE CONSTITUAIT LA PREMIÒRE DES PRÏOCCUPATIONS CJFOSÊNVOÊSÊTBQSPHSFTTÊ
AUJOURDHUI LE PROBLÒME EST DE PARVENIR Ì CRÏER DES EMPLOIS ET Ì RELEVER LES REVENUS $E QMVTWJUFBVDPVSTEFMBEFSOJÍSF
FAIT SOUS LEFFET DU VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION LA PROGRESSION DE LEMPLOI n ET PAS EÊDFOOJFRVFDFMVJEFTUSBWBJMMFVST
GBJCMFNFOUSÊNVOÊSÊT
SEULEMENT LA RÏDUCTION DU CHÙMAGE n EST DEVENUE LA PRIORITÏ 1UELQUE DE LA
POPULATION EN ÊGE DE TRAVAILLER DES PAYS DE L/#$% NE TRAVAILLENT PAS MAIS DANS LEUR TRÒS
GRANDE MAJORITÏ CES PERSONNES NE SONT PAS AU CHÙMAGE )L SAGIT DES JEUNES DES FEMMES
DES PRÏRETRAITÏS ET DES PERSONNES HANDICAPÏES
,A NÏCESSITÏ DE PROMOUVOIR LEMPLOI SE FAIT DAUTANT PLUS PRESSANTE QUE LA MONDIALISATION
SACCÏLÒRE ET EXIGE DE CE FAIT UN AJUSTEMENT RAPIDE DE LA PART DES ENTREPRISES COMME DES
TRAVAILLEURS ° CET ÏGARD LE PROBLÒME ESSENTIEL EST DE FAIRE EN SORTE QUE LES UNS ET LES
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
76&%&/4&.#-&
$PVQEFQSPKFDUFVSEFMBOOÊF
AUTRES SOIENT CAPABLES DE SADAPTER RAPIDEMENT AU CHANGEMENT DAUTANT PLUS QUE LES
FACTEURS QUI POUSSENT Ì LAJUSTEMENT SACCENTUERONT DANS LAVENIR LORSQUE DES PAYS Oá
LA MAIN
DUVRE EST ABONDANTE COMME LA #HINE ET L)NDE SERONT MIEUX INTÏGRÏS DANS
LÏCONOMIE MONDIALE
,A RÏÏVALUATION DE LA 3TRATÏGIE DE L/#$% POUR LEMPLOI PROPOSE QUATRE GRANDES LIGNES
DACTION POUR FAIRE FACE Ì CES NOUVEAUX DÏlS
0REMIÒREMENT LES POLITIQUES MACROÏCONOMIQUES DOIVENT VISER LA STABILITÏ DES PRIX ET
LÏQUILIBRE DES lNANCES PUBLIQUES AlN DE MIEUX TIRER PARTI DES RÏFORMES ET DE MINIMISER %FHBVDIFÆESPJUF
LE RISQUE DASSISTER Ì DES DESTRUCTIONS DEMPLOIS SUITE AUX RÏCESSIONS )JSPLP8BEBFU+BTV,BOP NFNCSFT
EFMB$IBNCSFEFTDPOTFJMMFSTEV+BQPO
$EUXIÒMEMENT LES POUVOIRS PUBLICS DOIVENT RÏFORMER LA lSCALITÏ ET LES PRESTATIONS SOCIALES MPSTEV4ÊNJOBJSFQBSMFNFOUBJSFEFIBVU
DE FA ON Ì VALORISER LE TRAVAIL !IDER LES CHÙMEURS Ì TROUVER UN EMPLOI ET ADOPTER DES OJWFBVEFM0$%&TVSjMBDSPJTTBODFFU
DISPOSITIFS FAVORABLES Ì LA FAMILLE COMME LAIDE Ì LA GARDE DES ENFANTS SONT DES CONDITIONS MFNQMPJvFOPDUPCSF
ESSENTIELLES POUR ENCOURAGER LACTIVITÏ -AIS RÏFORMER LES PRESTATIONS NE SIGNIlE PAS
NÏCESSAIREMENT LES RÏDUIRE $ES SYSTÒMES DE PRESTATIONS BIEN CON US ASSORTIS DUNE AIDE
ACTIVE Ì LA RECHERCHE DUN EMPLOI ET DUN CONTRÙLE DU RESPECT DES OBLIGATIONS RENFORCÏ
PAR DES SANCTIONS MODÏRÏES PEUVENT PERMETTRE DE MAINTENIR EN PLACE DES PRESTATIONS
GÏNÏREUSES TOUT EN PARVENANT Ì UN NIVEAU DEMPLOI ÏLEVÏ ,E SALAIRE MINIMUM PEUT AUSSI
CONTRIBUER UTILEMENT AUX EFFORTS DE VALORISATION DU TRAVAIL SIL EST lXÏ Ì UN NIVEAU
RAISONNABLE ,APPLICATION DE CETTE MÏTHODE DES i OBLIGATIONS MUTUELLES w DEVRAIT ÐTRE
ÏTENDUE Ì DAUTRES PRESTATIONS NON LIÏES Ì LEMPLOI NOTAMMENT LES PRESTATIONS DE MALADIE
DINVALIDITÏ DAIDE SOCIALE ET DE PARENT ISOLÏ
4ROISIÒMEMENT LA RÏGLEMENTATION DES MARCHÏS DU TRAVAIL ET DE PRODUITS A UN GRAND RÙLE
Ì JOUER POUR ENCOURAGER LA CRÏATION DEMPLOIS ET LA MOBILITÏ DE LA MAIN
DUVRE ,A MISE
EN PLACE DE RÏFORMES DANS CES DOMAINES A PARFOIS ÏTÏ CONSIDÏRÏE COMME UNE MENACE
POUR LA SÏCURITÏ DE LEMPLOI MAIS ELLES PEUVENT ÐTRE RÏALISÏES EN PROCÏDANT DE MANIÒRE
Ì INSUFmER UN DYNAMISME ÏCONOMIQUE Ì CES MARCHÏS TOUT EN ASSURANT AUX TRAVAILLEURS
UNE PROTECTION SUFlSANTE
1UATRIÒMEMENT LE CAPITAL HUMAIN REVÐT UNE IMPORTANCE FONDAMENTALE $ES SYSTÒMES
SCOLAIRES QUI PERMETTENT Ì TOUS LES JEUNES DACQUÏRIR LES COMPÏTENCES DE BASE ET QUI
FAVORISENT LINSTAURATION DE LIENS ÏTROITS ENTRE ENSEIGNEMENT ET TRAVAIL CONTRIBUENT Ì FAIRE
RECULER LE CHÙMAGE DES JEUNES %N OUTRE LES TRAVAILLEURS QUALIlÏS ONT DES POSSIBILITÏS
DÏVOLUTION PROFESSIONNELLE BIEN MEILLEURES
)L NY A PAS DE RECETTE UNIQUE POUR AMÏLIORER LES PERFORMANCES EN MATIÒRE DEMPLOI 0ARMI
LES PAYS QUI RÏUSSISSENT DANS CE DOMAINE CERTAINS CONJUGUENT PRESTATIONS SOCIALES PEU
ÏLEVÏES FAIBLE IMPOSITION ET RÏGLEMENTATION RELATIVE Ì LEMPLOI PEU CONTRAIGNANTE $AUTRES
OFFRENT DES PRESTATIONS SOCIALES GÏNÏREUSES MAIS MOBILISENT LES DEMANDEURS DEMPLOI
DE DIVERSES MANIÒRES #ES PAYS CONNAISSENT UN FORT TAUX DEMPLOI ET DE FAIBLES INÏGALITÏS
$FUPVWSBHFQSÊTFOUFMFT
DE REVENU MAIS LE COßT BUDGÏTAIRE EST PLUS ÏLEVÏ %N TOUT ÏTAT DE CAUSE CES DEUX CATÏGORIES
ÊWPMVUJPOTSÊDFOUFTEVNBSDIÊ
DE PAYS SEFFORCENT DINSTAURER UNE FORTE CONCURRENCE SUR LES MARCHÏS DE PRODUITS DOFFRIR EVUSBWBJMFUBOBMZTFMFTFGGFUT
DES INCITATIONS AU TRAVAIL APPROPRIÏES DASSURER LEFlCACITÏ DES DÏPENSES PUBLIQUES ET DE EFQMVTJFVSTQPMJUJRVFT
BJOTJRVF
PROMOUVOIR LA STABILITÏ MACROÏCONOMIQUE MFTQFSTQFDUJWFTFO
,ORS DE LEUR RÏUNION Ì 4ORONTO EN JUIN LES MINISTRES ONT RECONNU QUIL ÏTAIT
INDISPENSABLE DE FAIRE PROGRESSER LES RÏFORMES ET ONT DONC ACCUEILLI AVEC INTÏRÐT LA
RÏÏVALUATION DE LA 3TRATÏGIE POUR LEMPLOI #ES RÏFORMES PEUVENT CERTES SE HEURTER Ì UNE
FORTE RÏSISTANCE MAIS LINACTION NEST PAS UNE SOLUTION ,ES BONS RÏSULTATS AFlCHÏS PAR
CERTAINS PAYS AU COURS DES DIX DERNIÒRES ANNÏES TÏMOIGNENT DES PROGRÒS QUIL EST POSSIBLE
DACCOMPLIR AVEC UNE VOLONTÏ POLITIQUE SUFlSANTE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4
"$5*7*54
13*/$*1"-&4"$5*7*54
$SPJTTBODFÊDPOPNJRVF
$SPJTTBODFFUTUBCJMJUÊ
ÊDPOPNJRVFT
$SPJTTBODFÊDPOPNJRVF XXXPFDEPSHFDPOPNJF
FDPDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% ANALYSE LES MOTEURS DE LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE Ì LONG TERME AINSI QUE LES
mUCTUATIONS AUTOUR DE LA TENDANCE EN ACCORDANT UNE ATTENTION PARTICULIÒRE AUX QUESTIONS
DE POLITIQUE STRUCTURELLE 0OUR AMÏLIORER LEFlCACITÏ DES POLITIQUES ELLE FONDE SON ANALYSE
SUR LES APPROCHES ET LES EXPÏRIENCES MISES EN UVRES DANS LES PAYS MEMBRES
,ES DERNIERS TRAVAUX ONT ÏTÏ CONSACRÏS NOTAMMENT AU POTENTIEL DE CROISSANCE DU SECTEUR
DES SERVICES AUX EFFETS DE LOUVERTURE ET DE LA CONCURRENCE SUR LE DYNAMISME DE LA
CROISSANCE ET AUX MESURES CAPABLES DE RÏPONDRE AUX ENJEUX LIÏS Ì LA MISE EN UVRE DES
RÏFORMES ÏCONOMIQUES
XXXPFDEPSHDSPJTTBODF
$SPJTTBODFEBOTMFTQBZTEFM0$%& FDPDPOUBDU!PFDEPSH
,A CROISSANCE SEST RALENTIE EN AUX ³TATS 5NIS PRINCIPALEMENT EN RAISON DE LACCALMIE
OBSERVÏE SUR LE MARCHÏ DU LOGEMENT %N REVANCHE LE RYTHME DE LACTIVITÏ SEST REDRESSÏ
DANS LA ZONE EURO ET AU 2OYAUME 5NI TOUT EN RESTANT ROBUSTE EN !SIE ,E CHÙMAGE DANS
LENSEMBLE DE LA ZONE /#$% SEST ENCORE CONTRACTÏ POUR ATTEINDRE SON PLUS BAS NIVEAU
DEPUIS LONGTEMPS ET TOMBE Ì ENVIRON ,E RALENTISSEMENT ÏCONOMIQUE SATTÏNUE DANS
NOMBRE DE PAYS ET LA HAUSSE DES PRIX DE LÏNERGIE PÒSE SUR LINmATION $ANS CE CONTEXTE
LES BANQUES CENTRALES ONT DURCI DE MANIÒRE GÏNÏRALE LA POLITIQUE MONÏTAIRE 3UR LE PLAN
BUDGÏTAIRE LE DYNAMISME DES RECETTES lSCALES A CONTRIBUÏ Ì RÏDUIRE LES DÏlCITS
%FHBVDIFÆESPJUF
-F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBM
EFM0$%&
"OHFM(VSSÎB
FU
MF1SFNJFSNJOJTUSFJUBMJFO
3PNBOP1SPEJ
MPSTEFTBWJTJUF
PGàDJFMMFFO*UBMJFFOGÊWSJFS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
° TERME LA PRODUCTION DE LA ZONE /#$% DANS SON ENSEMBLE DEVRAIT CONNAÔTRE UNE -&4"7*&;7064
PROGRESSION Ì PEU PRÒS ÏGALE AU TAUX POTENTIEL AVEC UN MAINTIEN DE LA CONSOMMATION -FTFYQPSUBUJPOTEFTUBUT6OJT
DES MÏNAGES ET UN RÙLE TOUJOURS IMPORTANT POUR LINVESTISSEMENT lXE DES ENTREPRISES WFSTMB$IJOFPOUBVHNFOUÊ
EFBVDPVSTEFMBQSFNJÍSF
GRÊCE Ì UNE AMÏLIORATION DES BILANS DES SOCIÏTÏS #EPENDANT PLUSIEURS RISQUES MAJEURS
NPJUJÊEFDFUUFEÊDFOOJF
FRAGILISENT CES PERSPECTIVES NOMMENT LA NOUVELLE MONTÏE DES PRIX DE LÏNERGIE 0AR AILLEURS
LES TAUX DINTÏRÐT Ì LONG TERME DEMEURENT EXCEPTIONNELLEMENT BAS DEPUIS QUELQUE TEMPS
ET UNE HAUSSE PLUS FORTE QUE PRÏVUE POURRAIT AVOIR DE GRAVES RÏPERCUSSIONS SURTOUT PAR
LE BIAIS DES MARCHÏS DU LOGEMENT %NlN LES DÏSÏQUILIBRES DE BALANCE COURANTE SONT PLUS
MARQUÏS QUE JAMAIS ET PEUVENT NE PAS ÐTRE RÏSORBÏS SANS Ì
COUP
XXXPFDEPSHTUJTFSWJDFTFDUPS
$SPJTTBODFEFTTFSWJDFT EJSLQJMBU!PFDEPSH
,ES SERVICES REPRÏSENTENT DÏSORMAIS PLUS DE DE LACTIVITÏ ÏCONOMIQUE DES PAYS DE
L/#$% )L EST DONC INDISPENSABLE DE DOPER LA PRODUCTIVITÏ ET LA CROISSANCE DANS CE SECTEUR
POUR FAVORISER UNE PERFORMANCE ÏCONOMIQUE GLOBALE SOLIDE ,ES TRAVAUX ACTUELLEMENT
MENÏS PAR L/#$% DANS CE DOMAINE SONT AXÏS SUR LES SERVICES AUX ENTREPRISES UN
XXXPFDEPSHDPODVSSFODF
2VFTUDFRVFMBDPODVSSFODFQBSMFTNÊSJUFT KFSFNZXFTU!PFDEPSH
5NE SAINE CONCURRENCE EST INDISPENSABLE AU BON FONCTIONNEMENT DES MARCHÏS AU BIEN
ÐTRE DES CONSOMMATEURS ET Ì LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE #EPENDANT IL EST LARGEMENT
ADMIS QUE LA POLITIQUE DE LA CONCURRENCE A POUR BUT DE PROTÏGER LA CONCURRENCE ET NON
LES CONCURRENTS 4OUT EN SEFFOR ANT DE PRÏSERVER LA CONCURRENCE NOMBRE DAUTORITÏS ET
DE TRIBUNAUX CHARGÏS DE LA MISE EN UVRE EMPLOIENT SOUVENT LEXPRESSION i CONCURRENCE
PAR LES MÏRITES w POUR EXPLIQUER ET JUSTIlER LEURS POSITIONS SUR LA FA ON DE DISTINGUER LES
PRATIQUES QUI PORTENT ATTEINTE Ì LA CONCURRENCE DE CELLES QUI LA FONT PROGRESSER
3I LEXPRESSION i CONCURRENCE PAR LES MÏRITES w DÏSIGNE LES PRATIQUES LÏGALES AUXQUELLES UNE
ENTREPRISE DOMINANTE PEUT SE LIVRER LES LIMITES DE CE CONCEPT ET LES PRINCIPES DIRECTEURS QUI
SONT CENSÏS LE DÏlNIR RESTENT mOUS $ANS CES CONDITIONS UNE JURISPRUDENCE DISCORDANTE ET
IMPRÏVISIBLE SEST CONSTITUÏE Ì PARTIR DE DIVERSES MÏTHODES ANALYTIQUES 0OURTANT LORSQUE
LES TRIBUNAUX ET LES PROFESSIONNELS SE RÏFÒRENT Ì LA i CONCURRENCE PAR LES MÏRITES w ILS
SUPPOSENT EN GÏNÏRAL QUIL EXISTE UNE INTERPRÏTATION COMMUNE DE CETTE EXPRESSION
)L APPARAÔT DONC DE PLUS EN PLUS NÏCESSAIRE DE RÏEXAMINER ET DE PRÏCISER LES PRINCIPES DE
LÏVALUATION DES PRATIQUES DE LENTREPRISE DOMINANTE ,/#$% A CONTRIBUÏ Ì CE PROCESSUS EN
EXPLIQUANT ET EN ANALYSANT DIVERS CRITÒRES CAPABLES DE DÏTERMINER DE MANIÒRE PRÏVISIBLE
ET MOTIVÏE SI LE COMPORTEMENT DUNE ENTREPRISE DOMINANTE RESPECTE LA i CONCURRENCE PAR -&4"7*&;7064
LES MÏRITES w OU SIL SAGIT DUNE PRATIQUE ANTICONCURRENTIELLE DOMMAGEABLE #ES CRITÒRES -FTUSJCVOBVYE"NÊSJRVFEV/PSE
FUE&VSPQFTPOUQBSGPJTQBSWFOVT
PRENNENT EN COMPTE CERTAINS ÏLÏMENTS LA PRATIQUE DE LENTREPRISE DOMINANTE SUPPOSE
ÆEFTDPODMVTJPOTPQQPTÊFT
T
ELLE UNE RENONCIATION AU BÏNÏlCE %ST
ELLE ÏCONOMIQUEMENT RATIONNELLE 0ARAÔT
ELLE FOKVHFBOUTJEFTTÊSJFTEF
DEVOIR EXCLURE UN CONCURRENT TOUT AUSSI EFlCACE /U LES EFFETS POSITIFS DE CETTE PRATIQUE DPNQPSUFNFOUTJEFOUJRVFTWJPMBJFOU
DANS LINTÏRÐT DES CONSOMMATEURS SONT
ILS SUPÏRIEURS Ì SES EFFETS NÏGATIFS PVOPOMFESPJUEFMBDPODVSSFODF
,A PLUPART DES ANALYSTES CONVIENNENT QUAUCUN DE CES CRITÒRES NEST ADAPTÏ Ì LENSEMBLE
DES SITUATIONS CAR LEURS POINTS FORTS ET LEURS POINTS FAIBLES DIFFÒRENT SELON LES CAS %N
PRÏFÏRANT LANALYSE EXPLICITE Ì LANALYSE IMPLICITE ILS CONTRIBUENT NÏANMOINS Ì CRÏER UN
ENVIRONNEMENT PLUS PRÏVISIBLE DANS LEQUEL LES ENTREPRISES PEUVENT SE CONCURRENCER
ASSURÏES DE LA LÏGALITÏ DE LEURS ACTIONS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
$SPJTTBODFÊDPOPNJRVF
DOMAINE CRUCIAL INmUANT SUR TOUS LES SECTEURS #ES TRAVAUX IDENTIlENT LES MOTEURS DE LA
PRODUCTIVITÏ DANS LES SERVICES ET ANALYSENT LES EFFETS DE LA LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES
DE LA NORMALISATION ET DES RÏGIMES RÏGLEMENTAIRES
XXXPFDEPSHDPODVSSFODF
0VWFSUVSFFUDPODVSSFODF QBUSJDJBIFSJBSEEVCSFVJM!PFDEPSH
° LONG TERME LOUVERTURE ET LA CONCURRENCE STIMULENT LA PERFORMANCE ÏCONOMIQUE ET
AMÏLIORENT LES NIVEAUX DE VIE DANS LEUR ENSEMBLE ,ES RÏGLEMENTATIONS QUI PERMETTENT AUX
FORCES DE LA CONCURRENCE DE JOUER UN PLUS GRAND RÙLE PEUVENT ACCROÔTRE LE 0)" PAR HABITANT
EN ENCOURAGEANT LINVESTISSEMENT EN AMÏLIORANT LA PRODUCTIVITÏ ET EN FAVORISANT LEMPLOI
$ANS SES ANALYSES RÏCENTES L/#$% ÏTUDIE LA DIFFUSION INTERNATIONALE DE LINNOVATION ET
LES DÏCISIONS DIMPLANTATION DES ENTREPRISES MULTINATIONALES #ES TRAVAUX MONTRENT QUE
DES RÏGLEMENTATIONS RESTRICTIVES RALENTISSENT LAJUSTEMENT ET LADOPTION DE NOUVELLES
TECHNOLOGIES #EST LÌ LUN DES FACTEURS QUI EXPLIQUENT LES DIVERGENCES DE CROISSANCE DE LA
PRODUCTIVITÏ CES DIX DERNIÒRES ANNÏES %N EFFET CEST PENDANT CETTE PÏRIODE QUE LÏCONOMIE
DES ³TATS
5NIS A SU PLUS RAPIDEMENT TIRER PARTI DE LA RÏVOLUTION DES TECHNOLOGIES DE
LINFORMATION QUE LA PLUPART DES PAYS EUROPÏENS
3I TOUS LES PAYS DE L/#$% ONT ATTÏNUÏ LES OBSTACLES RÏGLEMENTAIRES Ì LA CONCURRENCE
UN i NOYAU IRRÏDUCTIBLE w DENTRAVES Ì LA CONCURRENCE PERSISTE ET LES DIFFÏRENTS TYPES
DOBSTACLES ET DE CONTRAINTES TENDENT Ì SE COMBINER ,ES RESTRICTIONS NATIONALES SONT
PLUS MARQUÏES LÌ Oá LES OBSTACLES AUX ÏCHANGES ET Ì LINVESTISSEMENT ÏTRANGER SONT PLUS
IMPORTANTS 0AR AILLEURS DES NIVEAUX ÏLEVÏS DE CONTRÙLE EXERCÏ PAR L³TAT ET DOBSTACLES $FUUFÊUVEFQSPQPTFEFTQSBUJRVFT
Ì LA CONCURRENCE SONT ASSOCIÏS Ì DES PROCÏDURES ADMINISTRATIVES PLUS LOURDES ET Ì DES FYFNQMBJSFTEBOTMFTEPNBJOFTEF
POLITIQUES QUI FRAGILISENT LA SOUPLESSE DES MARCHÏS DU TRAVAIL MBHFTUJPOEFTSJTRVFTEFNBSDIÊ
EF
DSÊEJU
PQÊSBUJPOOFMTFUMJÊTBVQBTTJG
XXXPFDEPSHEBGBTTVSBODF
$PVWSJSMFTJODJEFOUTNÊEJDBVY áPSFBOOFNFTTZ!PFDEPSH
,A COUVERTURE APPROPRIÏE DE LA RESPONSABILITÏ DES PROFESSIONNELS DE LA SANTÏ LA JUSTE
COMPENSATION DES INCIDENTS i IATROGÒNES w ET LA PRÏVENTION DES MAUVAISES PRATIQUES
MÏDICALES SONT DUNE IMPORTANCE CAPITALE POUR LE BON FONCTIONNEMENT DES SYSTÒMES DE
SANTÏ ,A PLUPART DES PAYS DE L/#$% SAPPUIENT SUR UNE COMBINAISON DE RESPONSABILITÏ
QUASI
DÏLICTUELLE ET DE POLICES DASSURANCE DE RESPONSABILITÏ MÏDICALE POUR COUVRIR LES
PROFESSIONNELS DE SANTÏ EN CAS DE PRÏJUDICES POUR LEURS PATIENTS #ES SYSTÒMES IMPLIQUENT
EN PRATIQUE QUE LA PREUVE DE LA RESPONSABILITÏ OU DE LA NÏGLIGENCE MÏDICALE SOIT ÏTABLIE
PAR UN TRIBUNAL POUR QUE LES PATIENTS SOIENT DÏDOMMAGÏS
!U COURS DES DERNIÒRES ANNÏES NOMBRE DE CES SYSTÒMES ONT RENCONTRÏ DES DIFlCULTÏS ,ES
PRIMES DES POLICES DASSURANCE RESPONSABILITÏ ONT AUGMENTÏ DANS DE TELLES PROPORTIONS
QUE LES ÏTABLISSEMENTS ET LES MÏDECINS PEUVENT DIFlCILEMENT LES ASSUMER #ETTE HAUSSE
DES COßTS EST IMPUTABLE LE PLUS SOUVENT Ì UNE FORTE AUGMENTATION DE LA FRÏQUENCE ET DES
MONTANTS DES DOMMAGES ET INTÏRÐTS ACCORDÏS PAR LES TRIBUNAUX #ETTE CRISE A ENTRAÔNÏ
DANS CERTAINS PAYS DE L/#$% DES EFFETS INDÏSIRABLES AFFECTANT LA QUALITÏ DES SOINS ET LA
SÏCURITÏ DES PATIENTS ET CONDUISANT Ì UNE HAUSSE DES COßTS DU SYSTÒME DE SANTÏ DANS
SON ENSEMBLE
%N L/#$% A PUBLIÏ !SPECTS FONDAMENTAUX DES ASSURANCES Nª UNE ÏTUDE SANS
-&4"7*&;7064
PRÏCÏDENT DES DIVERS TYPES DE SYSTÒMES DINDEMNISATION ET DE PRÏVENTION DES INCIDENTS
&O
MFTDPÚUTEFMBSFTQPOTBCJMJUÊ
MÏDICAUX DANS LES PAYS MEMBRES #E RAPPORT DÏCRIT AUSSI LES GRANDS ENJEUX AUXQUELS SONT NÊEJDBMFFUEFMBNÊEFDJOFEÊGFOTJWF
CONFRONTÏS NOMBRE DE PAYS POUR PRÏVENIR ASSURER ET COUVRIR LES INCIDENTS MÏDICAUX )L POUSFQSÊTFOUÊEFTEÊQFOTFT
ÏVALUE EN OUTRE LES MESURES CON UES ET MISES EN UVRE DANS PLUSIEURS PAYS DE L/#$% EFTBOUÊBVYUBUT6OJT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHEFWFMPQQFNFOUEVSBCMF
%ÊWFMPQQFNFOUEVSBCMF DBOEJDFTUFWFOT!PFDEPSH
,E DÏVELOPPEMENT DURABLE VA AU DELÌ DE
LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE POUR ENGLOBER
LES PRÏOCCUPATIONS ENVIRONNEMENTALES
ET SOCIALES )L TOUCHE QUASIMENT TOUS LES
DOMAINES DE LA POLITIQUE ÏCONOMIQUE $ANS
CE CONTEXTE LES TRAVAUX MULTIDISCIPLINAIRES
DE L/#$% SUR LE DÏVELOPPEMENT DURABLE -&4"7*&;7064
RASSEMBLENT DES EXPERTS DE DIVERSES 1MVTJFVSTQBZTEFM0$%&
DISCIPLINES DERRIÒRE UN OBJECTIF COMMUN OPUBNNFOUMB'SBODF
MFT1BZT#BTFUMB4VÍEF
,A RÏFORME DES SUBVENTIONS PUBLIQUES POUEÊTPSNBJTEFTNJOJTUSFTFU
DOMMAGEABLES RESTE AU CUR DU PROGRAMME EFTBNCBTTBEFVSTDIBSHÊT
DE L/#$% SUR LE DÏVELOPPEMENT DURABLE #ES EVEÊWFMPQQFNFOUEVSBCMF
SUBVENTIONS PUBLIQUES SONT OMNIPRÏSENTES
DANS LES PAYS DE L/#$% ET COMPTENT
PARMI LES INSTRUMENTS LES PLUS PUISSANTS
DE LA POLITIQUE PUBLIQUE AUJOURDHUI
UTILISÏS #EPENDANT ELLES INTRODUISENT
SOUVENT DES DISTORSIONS ÏCONOMIQUES
ENVIRONNEMENTALES ET SOCIALES AUX
CONSÏQUENCES IMPRÏVUES %N UN
QUATRIÒME ATELIER DE L/#$% SUR LES SUBVENTIONS A RÏUNI DES EXPERTS DE LINDUSTRIE DE
LAGRICULTURE DES PÐCHERIES DE LÏNERGIE ET DES TRANSPORTS POUR EXAMINER LA FA ON DE
SURMONTER LES OBSTACLES POLITIQUES Ì LA RÏFORME DES SUBVENTIONS
2ECONNAISSANT QUE LE DÏVELOPPEMENT DURABLE EST UN ENJEU MONDIAL L/#$% TRAVAILLE EN
ÏTROITE COOPÏRATION AVEC L/RGANISATION DES NATIONS UNIES /.5 ET DAUTRES ORGANISMES
INTERNATIONAUX %LLE PARTICIPE CHAQUE ANNÏE Ì LA #OMMISSION DU DÏVELOPPEMENT DURABLE
DE L/.5 QUI A INSCRIT LÏNERGIE ET LE CHANGEMENT CLIMATIQUE Ì SON PROGRAMME DE TRAVAIL
EN COURS %N UN ATELIER CONJOINT /#$%/.5 A EXAMINÏ LES MEILLEURES PRATIQUES
POUR LES STRATÏGIES NATIONALES EN FAVEUR DU DÏVELOPPEMENT DURABLE $E NOUVEAUX
TRAVAUX VISENT Ì ÏLABORER DES RECOMMANDATIONS POUR AIDER LES PAYS LES MOINS AVANCÏS Ì
INTÏGRER LA NOTION DE i DURABLE w DANS LEURS PLANS DE DÏVELOPPEMENT ET LEURS STRATÏGIES
DE RÏDUCTION DE LA PAUVRETÏ
,ES GOUVERNEMENTS ONT BESOIN DINSTRUMENTS POUR MESURER LEURS PROGRÒS VERS LE
DÏVELOPPEMENT DURABLE ET POUR COMPARER CES PROGRÒS AVEC CEUX DE LEURS VOISINS ,/#$%
TRAVAILLE AVEC L/.5 ET %UROSTAT Ì LÏLABORATION DE CADRES CONCEPTUELS ET DINDICATEURS DU $FSBQQPSUÊUVEJFMFTTVCWFOUJPOT
DÏVELOPPEMENT DURABLE %NSEMBLE CES ORGANISATIONS METTENT AU POINT DES MÏTHODES POUR FUBVUSFTUBYFTDPSSFTQPOEBOUFT
FU
AIDER LES GOUVERNEMENTS Ì MESURER LES SYNERGIES ET LES ARBITRAGES ENTRE LES INCIDENCES FYBNJOFMFYQÊSJFODFRVFMFTQBZT
ÏCONOMIQUES ENVIRONNEMENTALES ET SOCIALES DES POLITIQUES ET DES PROGRAMMES POUQVUJSFSEFTSÊGPSNFTEFMFVS
TZTUÍNFEFTVCWFOUJPOTSÊBMJTÊFT
%N L/#$% POURSUIVRA SES PROJETS SUR LA CONSOMMATION ET LA PRODUCTION DURABLES EBOTMFTTFDUFVSTEFMBHSJDVMUVSF
LA GOUVERNANCE EN MATIÒRE DE DÏVELOPPEMENT DURABLE LÏDUCATION AU DÏVELOPPEMENT EFTQËDIFSJFT
EFMJOEVTUSJFFU
EFTUSBOTQPSUT
DURABLE ET LINVESTISSEMENT ÏTRANGER DURABLE ,ES ATELIERS SUR LE DÏVELOPPEMENT DURABLE
SERONT CONSACRÏS AUX STRATÏGIES MENÏES EN !SIE DANS CE DOMAINE Ì LA PRODUCTION ET Ì
LA COMPÏTITIVITÏ DURABLES ET AUX MÏTHODOLOGIES PERMETTANT LA RÏALISATION DANALYSES SUR
LA NOTION DE i DURABLE w
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
$SPJTTBODFÊDPOPNJRVF
XXXPFDEPSHFDPOPNJF
DPOPNJFQPMJUJRVFEFTSÊGPSNFT FDPDPOUBDU!PFDEPSH
#ERTAINES DES RÏFORMES NÏCESSAIRES POUR DOPER LA CROISSANCE SONT PLUS FACILES Ì
RECOMMANDER QUÌ APPLIQUER %N EFFET LES COßTS SONT GÏNÏRALEMENT CONCENTRÏS EN AVAL
ET NUISENT Ì CERTAINS GROUPES ALORS QUE LES AVANTAGES BIEN QUE PLUS IMPORTANTS NE SE
MATÏRIALISENT SOUVENT QUEN AMONT DE FA ON PLUS DIFFUSE ,EXPÏRIENCE DES PAYS DE L/#$%
EST RICHE DENSEIGNEMENTS SUR LES CONDITIONS Ì METTRE EN PLACE POUR MENER Ì BIEN LES
RÏFORMES ´TRE RÏALISTE ET TRANSPARENT QUANT AUX COßTS ET AUX AVANTAGES DES RÏFORMES ET
MAINTENIR DES lNANCES PUBLIQUES SAINES FACILITENT LEUR MISE EN UVRE )L EST ÏGALEMENT
IMPORTANT DE SENSIBILISER AUX CONSÏQUENCES DE LABSENCE DE RÏFORMES
XXXPFDEPSHEBGNBSDIFTàOBODJFST
.BSDIÊTEFTBDUJGT EBGDPOUBDU!PFDEPSH
%N L/#$% A EXAMINÏ LES FACTEURS Ì LORIGINE DU FAIBLE NIVEAU DES TAUX DINTÏRÐT Ì
LONG TERME ET LA COURBE DES RENDEMENTS RELATIVEMENT PLATE SUR LES GRANDS MARCHÏS AINSI
QUE LÏVOLUTION DES MARCHÏS DES DÏRIVÏS DE CRÏDIT %LLE A AUSSI EXAMINÏ LES MARCHÏS DU -&4"7*&;7064
LOGEMENT LES DÏPENSES ET LA HAUSSE DES NIVEAUX DENDETTEMENT DES MÏNAGES EN PRÐTANT -FDBQJUBMJOWFTUJEBOTMFTGPOET
UNE ATTENTION PARTICULIÒRE AUX NOUVEAUX PRODUITS HYPOTHÏCAIRES $AUTRES TRAVAUX ONT TQÊDVMBUJGTEÊQBTTFQSPCBCMFNFOU
EXAMINÏ LINCIDENCE DES FONDS DE PENSION SUR LES MARCHÏS lNANCIERS LE RÙLE DE LEXPANSION NJMMJBSET64%
RAPIDE DES FONDS SPÏCULATIFS SUR LES MARCHÏS DU CAPITAL RISQUE ET LA RÏFORME DU SYSTÒME
lNANCIER EN #HINE
XXXPFDEPSHEBGNBSDIFTàOBODJFST
.BSDIÊTPCMJHBUBJSFTFUHFTUJPOEFMBEFUUFQVCMJRVF EBGDPOUBDU!PFDEPSH
,ES TRAVAUX DANS CE DOMAINE VISENT Ì ÏTUDIER LES OPÏRATIONS DE GESTION DE LA DETTE
PUBLIQUE ET LEUR INTERFACE AVEC LES MARCHÏS OBLIGATAIRES ,/#$% A RASSEMBLÏ UN ENSEMBLE
DE CONNAISSANCES FAISANT AUTORITÏ SUR LES MEILLEURES PRATIQUES TECHNIQUES STRATÏGIES ET
OPÏRATIONS DANS CE SECTEUR PARTICULIER DE LACTIVITÏ ET DE LA POLITIQUE PUBLIQUES ,ES RÏSULTATS
DE CES TRAVAUX SONT DEVENUS LES NORMES INTERNATIONALES DE FACTO DANS CE DOMAINE TRÒS
SPÏCIALISÏ DE LACTION DE L³TAT ,E DIALOGUE AVEC LES AUTORITÏS SUR LES MARCHÏS ÏMERGENTS
DE LA DETTE A PERMIS AUX GESTIONNAIRES DE LA DETTE DE CES PAYS DE MIEUX CONNAÔTRE LES
PRATIQUES EXEMPLAIRES DE L/#$% SUR DES SUJETS TELS QUE LA GESTION DU RISQUE DE LA DETTE
PUBLIQUE ,A MISE EN UVRE DE CES PRATIQUES NOVATRICES A CONTRIBUÏ Ì SON TOUR Ì UNE PLUS
GRANDE STABILITÏ lNANCIÒRE
%FHBVDIFÆESPJUF
-BNJOJTUSFOÊFSMBOEBJTFEV$PNNFSDF
FYUÊSJFVS
,BSJFO7BO(FOOJQ
MFTFDSÊUBJSFEUBUBMMFNBOEBVQSÍT
EVNJOJTUÍSFEFMDPOPNJFFU
EFMB5FDIOPMPHJF
#FSOE1GBGGFOCBDI
FU
MFNJOJTUSFBEKPJOUCSÊTJMJFOEFT3FMBUJPOT
FYUÊSJFVSFT
4BNVFM1JOIFJSP(VJNBSBFT
MPSTEFMBSÊVOJPOEV$POTFJMEFM0$%&
BVOJWFBVEFTNJOJTUSFTFONBJ
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
4DJFODF UFDIOPMPHJFFUJOOPWBUJPO XXXPFDEPSHTDJFODFGS
TUJDPOUBDU!PFDEPSH
#OMMENT LA RECHERCHE SCIENTIlQUE ET LINNOVATION TECHNOLOGIQUE PEUVENT
ELLES CONTRIBUER
AU MIEUX Ì LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE ,/#$% SEFFORCE DAIDER LES GOUVERNEMENTS Ì -&4"7*&;7064
-BQBSUHMPCBMFEFTEÊQFOTFT
RÏPONDRE Ì CETTE QUESTION 0OUR CELA ELLE EXAMINE LA PERFORMANCE EN MATIÒRE DINNOVATION
EF3%EBOTMFTÊDPOPNJFT
DE DIFFÏRENTS PAYS DE L/#$% DANS DES SECTEURS SPÏCIlQUES TELS QUE LES BIOTECHNOLOGIES OPONFNCSFTEFM0$%&FTUQBTTÊF
LÏNERGIE ET LES SERVICES Ì FORTE INTENSITÏ DE SAVOIR ,/#$% DÏVELOPPE AUSSI DE NOUVELLES EFFOÆFO
APPROCHES POUR ÏVALUER LEFlCACITÏ DES SYSTÒMES NATIONAUX RELATIFS AUX SCIENCES ET Ì
LINNOVATION NOTAMMENT LA 2 $ PRIVÏE LES SYSTÒMES SCIENTIlQUES PUBLICS ET LES LIENS
ENTRE SCIENCE ET INDUSTRIE
XXXPFDEPSHTUJJOOPWBUJPO
XXXPFDEPSHTDJFODFGS
4UJNVMFSMJOOPWBUJPO EJSLQJMBU!PFDEPSH
,ES TRAVAUX DE L/#$% SUR LINNOVATION METTENT EN ÏVIDENCE LES BONNES PRATIQUES POUR
LACTION PUBLIQUE ,ES EXAMENS NATIONAUX DE LA POLITIQUE DINNOVATION COMPORTENT DES
RECOMMANDATIONS PLUS DÏTAILLÏES ,ES EXAMENS DU ,UXEMBOURG ET DE LA 3UISSE ONT ÏTÏ
PUBLIÏS EN CEUX DU #HILI DE LA #HINE DE LA .OUVELLE
:ÏLANDE ET DE L!FRIQUE DU 3UD
PARAÔTRONT EN
,ÏDITION DES 0ERSPECTIVES DE LA SCIENCE DE LA TECHNOLOGIE ET DE LINDUSTRIE FAIT UN
TOUR DHORIZON COMPLET DES GRANDES TENDANCES DE LA SCIENCE DE LA TECHNOLOGIE ET DE
LINNOVATION #ETTE ÏDITION PRÐTE UNE ATTENTION PARTICULIÒRE AU RÙLE CROISSANT DE CERTAINES
ÏCONOMIES NON MEMBRES DE /#$%
%N L/#$% A ÏGALEMENT ACHEVÏ DES ÏTUDES SUR LES PROCESSUS DE CRÏATION DE DIFFUSION
ET DEXPLOITATION DU SAVOIR DANS TROIS DOMAINES SPÏCIFIQUES LÏNERGIE LES PRODUITS
PHARMACEUTIQUES ET LES SERVICES Ì FORTE INTENSITÏ DE SAVOIR #ES ÏTUDES ONT PERMIS LA
PRODUCTION DE RECOMMANDATIONS VISANT Ì RÏDUIRE DES OBSTACLES SPÏCIlQUES Ì LINNOVATION
$AUTRES ÏTUDES ONT PORTÏ SUR LA PÏNURIE DE TRAVAILLEURS DANS CERTAINES PROFESSIONS HAUTEMENT
QUALIlÏES LES CARRIÒRES DE LA RECHERCHE ET LES FEMMES DANS LES PROFESSIONS SCIENTIlQUES
,/#$% A ENTAMÏ DES TRAVAUX SUR LES NANOTECHNOLOGIES VOIR ENCADRÏ P ET SUR LÏVALUATION
DE LA POLITIQUE DE LA SCIENCE ET DE LINNOVATION ,OBJECTIF DE CE DERNIER AXE DE RÏmEXION EST
DAMÏLIORER LEFlCACITÏ DE LINVESTISSEMENT PUBLIC EN SCIENCE ET EN INNOVATION
6ODIFSDIFVSEFM6OJWFSTJUÊ
UFDIOJRVFEF#SBOEFOCVSH
FO"MMFNBHOFSÊBMJTFVOF
FYQÊSJFODFEBOTVOFDIBNCSF
BOÊDIPÐEF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
4DJFODF
UFDIOPMPHJFFUJOOPWBUJPO
XXXPFDEPSHFOWOBOPTFDVSJUF
XXXPFDEPSHTUJTUQPMJDZ
-FTOBOPUFDIOPMPHJFT TUJDPOUBDU!PFDEPSH
-&4"7*&;7064
-FTOBOPUFDIOPMPHJFTTPOUEÊKÆ
QSÊTFOUFTEBOTDFSUBJOTQSPEVJUT
DPNNFSDJBMJTÊT
DPNNF
MFTWFSSFTBVUPOFUUPZBOUT
MFTSFWËUFNFOUTQSPUFDUFVSTFU
MFTMVOFUUFTEFTPMFJM
$EPUIS PEU LES NANOTECHNOLOGIES SUSCITENT UN INTÏRÐT CROISSANT AUPRÒS DU PUBLIC #ES
TECHNOLOGIES UTILISENT DES PARTICULES ET DES MATÏRIAUX MESURANT ENTRE ET NANOMÒTRES
NANOMÒTRE REPRÏSENTE MILLIARDIÒME DE MÒTRE %LLES SONT SUSCEPTIBLES DOFFRIR UN
LARGE ÏVENTAIL DAVANTAGES ÏCONOMIQUES ,E DÏBAT EST SURTOUT CENTRÏ SUR DES APPLICATIONS
FUTURES MAIS AUJOURDHUI LE MONTANT ESTIMÏ DES DÏPENSES PUBLIQUES ANNUELLES EN 2 $
DÏPASSE MILLIARDS 53$ ET UN CERTAIN NOMBRE DE PRODUITS SONT DÏJÌ SUR LE MARCHÏ
4OUTEFOIS ILS POSENT DE NOUVEAUX PROBLÒMES DACTION PUBLIQUE AUX GOUVERNEMENTS
&IDÒLE Ì SON APPROCHE MULTIDISCIPLINAIRE L/#$% TRAVAILLE SUR DES POLITIQUES ET DES
INSTRUMENTS DESTINÏS Ì FAVORISER LE DÏVELOPPEMENT DES NANOTECHNOLOGIES DE LA MANIÒRE
LA PLUS EFlCIENTE ET LA PLUS EFlCACE POSSIBLE 5N SOLIDE CADRE DE GOUVERNANCE ET DE SÏCURITÏ
EST NÏCESSAIRE
° CETTE lN L/#$% A RÏCEMMENT LANCÏ UN NOUVEAU PROGRAMME POUR RÏPONDRE AUX
CONSÏQUENCES DES NANOTECHNOLOGIES SUR LA SÏCURITÏ #E PROGRAMME A POUR OBJET DE
PROMOUVOIR LA COOPÏRATION INTERNATIONALE EN MATIÒRE DE SÏCURITÏ DES NANOMATÏRIAUX
MANUFACTURÏS POUR LA SANTÏ HUMAINE ET SUR LENVIRONNEMENT )L PRÏCONISE LA CONDUITE
DESSAIS ET LÏVALUATION DU RISQUE DES NANOMATÏRIAUX MANUFACTURÏS
$ES TRAVAUX COMPLÏMENTAIRES SUR LA POLITIQUE DE LA SCIENCE ET DE LA TECHNOLOGIE SONT
AXÏS SUR LA CRÏATION DE CADRES FAVORABLES Ì LINNOVATION DANS LES NANOTECHNOLOGIES #ES
EFFORTS COORDONNÏS ET QUI SE RENFORCENT MUTUELLEMENT DEVRAIENT PERMETTRE DE CRÏER LES
CONDITIONS OPTIMALES POUR LE DÏVELOPPEMENT DE CET ENSEMBLE DE NOUVELLES TECHNOLOGIES
SI PROMETTEUSES
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0 $ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHCJPUFDIOPMPHJF
#JPUFDIOPMPHJF JBJOHJMMFTQJF!PFDEPSH
,ES BIOTECHNOLOGIES REVÐTENT TOUJOURS PLUS DIMPORTANCE EN TANT QUE TECHNOLOGIES
GÏNÏRIQUES COMME LILLUSTRE DE MANIÒRE EXHAUSTIVE LA PUBLICATION /%#$ "IOTECHNOLOGY
3TATISTICS 4OUTEFOIS LA PLUPART DES DONNÏES NATIONALES PORTENT TOUJOURS SUR LES INTRANTS
DES BIOTECHNOLOGIES PLUTÙT QUE SUR LEURS EXTRANTS ET LEURS IMPLICATIONS 0OUR COMPENSER
CE DÏSÏQUILIBRE L/#$% SEFFORCE DE DÏVELOPPER DES MACRO
ET DES MICRO
DONNÏES RELATIVES
AUX INCIDENCES ÏCONOMIQUES ET NON ÏCONOMIQUES DE CES TECHNOLOGIES
,ES BIOTECHNOLOGIES ET LA GÏNÏTIQUE n PARFOIS COMBINÏES Ì DAUTRES TECHNOLOGIES COMME
LES NANOTECHNOLOGIES ET LES TECHNOLOGIES DE SEMI
CONDUCTEURS n SONT DE PLUS EN PLUS DES
MOTEURS DE LINNOVATION 5NE MEILLEURE COMPRÏHENSION DES BASES GÏNÏTIQUES DE LA MALADIE
ET LIDENTIlCATION DES CHOIX POLITIQUES FAVORISERONT LINNOVATION ET AMÏLIORERONT LA SANTÏ
DES POPULATIONS ,ES GOUVERNEMENTS DES PAYS MEMBRES DE L/#$% ONT ADOPTÏ LE PREMIER
DUNE SÏRIE DE TROIS INSTRUMENTS DE TYPE i NORMES NON CONTRAIGNANTES w INTERNATIONALES
#ET INSTRUMENT CONCERNE LES LICENCES DES INVENTIONS GÏNÏTIQUES BREVETÏES
%NlN LES EFFORTS MENÏS DE LONGUE DATE POUR CRÏER UN RÏSEAU MONDIAL DE CENTRES DE
RESSOURCES BIOLOGIQUES DE HAUTE QUALITÏ DANS LE CADRE DE LINFRASTRUCTURE BIOSCIENTIlQUE
ONT ENlN ÏTÏ COURONNÏS DE SUCCÒS
XXXPFDEPSHQSPTQFDUJWF
UVEFTQSPTQFDUJWFT NJDIBFMPCPSOF!PFDEPSH
,E 0ROGRAMME INTERNATIONAL DE L/#$% SUR LAVENIR DISPENSE AUX GOUVERNEMENTS DES -&4"7*&;7064
PAYS MEMBRES DES CONSEILS ET DES ANALYSES SUR LES ENJEUX Ì LONG TERME ET LES AIDE Ì &O
MFTUBUT6OJT
PLANIlER LEUR STRATÏGIE ,E 0ROGRAMME INTERNATIONAL SUR LAVENIR TRAVAILLE ACTUELLEMENT UPUBMJTBJFOUFOWJSPOEF
MFOTFNCMFEFTEÊQFOTFTQSJWÊFT
SUR TROIS GRANDS AXES ,E PREMIER i ,A BIOÏCONOMIE Ì LHORIZON w A ÏTÏ LANCÏ EN
FO3%FOCJPUFDIOPMPHJFT
)L EXAMINERA LÏVOLUTION PROBABLE DES PRINCIPAUX SECTEURS DES BIOTECHNOLOGIES TOUT EN SÊBMJTÊFTQBSMFTQBZTEFM0$%&
ÏVALUANT LES IMPLICATIONS POSSIBLES Ì PLUS LONG TERME POUR LES ÏCONOMIES ET LES SOCIÏTÏS )L
PROPOSERA ÏGALEMENT DES RECOMMANDATIONS Ì LINTENTION DES RESPONSABLES POLITIQUES ,E
&ORUM MONDIAL SUR LÏCONOMIE DU SPATIAL CONSTITUE LE DEUXIÒME AXE )L VISE NOTAMMENT
Ì MESURER LES ACTIVITÏS ET LES IMPACTS DE LÏCONOMIE DU SECTEUR SPATIAL ,E TROISIÒME AXE
i ,AVENIR DES INFRASTRUCTURES MONDIALES w EST PRESQUE ACHEVÏ IL PRODUIRA UN ENSEMBLE
DE RECOMMANDATIONS DACTION PUBLIQUE POUR AMÏLIORER LINVESTISSEMENT DANS LES
INFRASTRUCTURES ET LEUR GESTION NOTAMMENT EN MATIÒRE DE TRANSPORTS FERROVIAIRES ROUTIERS
ET URBAINS DÏLECTRICITÏ ET DEAU
XXXPFDEPSHTUJGNT
'PSVNNPOEJBMEFMBTDJFODF HTGPSVN!PFDEPSH
0ARALLÒLEMENT Ì LEXAMEN DES OPPORTUNITÏS DE COOPÏRATION INTERNATIONALE DANS CERTAINES
DISCIPLINES SCIENTIlQUES LE &ORUM MONDIAL DE LA SCIENCE &-3 SINTÏRESSE DE PLUS EN
PLUS AUX ENJEUX ÏCONOMIQUES ET SOCIAUX !INSI EN MAI LE &3- A ORGANISÏ UNE
CONFÏRENCE SUR LES DÏlS SCIENTIlQUES POUR LA RECHERCHE SUR LÏNERGIE ,E &3- A ÏGALEMENT
TENU UN ATELIER CONSACRÏ Ì LÏTUDE DE LA POLITIQUE SCIENTIlQUE DANS LE BUT DAMÏLIORER
LES INDICATEURS ET LES MODÒLES PRÏDICTIFS RELIANT LES INVESTISSEMENTS EN 2 $ AVEC LEURS
-&4"7*&;7064
IMPACTS SOCIAUX ET ÏCONOMIQUES EN AVAL 0AR AILLEURS LES TRAVAUX DU &-3 SUR LA SISMOLOGIE
&O
MB$IJOFFTUEFWFOVF
ET SA CONTRIBUTION Ì LA SOCIÏTÏ ONT UN INTÏRÐT DIRECT POUR LA COLLECTIVITÏ ,A CRÏATION DUNE MFQSFNJFSFYQPSUBUFVS
CARTE MONDIALE DES RISQUES SISMIQUES PERMETTRAIT DE CONNAÔTRE POUR TOUT POINT DU GLOBE NPOEJBMEFQSPEVJUTEF5*$
LES DOMMAGES PROBABLES CAUSÏS SUR LES PERSONNES ET LES BIENS EFWBOUMFTUBUT6OJT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
4DJFODF
UFDIOPMPHJFFUJOOPWBUJPO
XXXPFDEPSHTUJDSPTTCPSEFSGSBVE
-BDZCFSGSBVEF BOESFXXZDLPGG!PFDEPSH
!UJOURDHUI )NTERNET OFFRE AUX CONSOMMATEURS DAVANTAGE DE POSSIBILITÏS ET SIMPLIlE
LACHAT DE BIENS ET DE SERVICES -AIS IL PERMET AUSSI AUX ESCROCS DAGIR Ì TRAVERS LE MONDE
5N GRAND NOMBRE DE PROCÏDÏS FRAUDULEUX COMME LA VENTE PYRAMIDALE NE SONT QUE LA
SIMPLE TRANSPOSITION EN LIGNE DESCROQUERIES QUI ONT COURS DEPUIS LONGTEMPS DANS LE
MONDE RÏEL -AIS ON ASSISTE AUJOURDHUI Ì LÏMERGENCE DATTAQUES PRÏOCCUPANTES DUN
TYPE NOUVEAU QUI SEXERCENT AU MOYEN DE TECHNIQUES SOPHISTIQUÏES DINGÏNIERIE SOCIALE
ET DE TECHNOLOGIES AVANCÏES
,i HAME ONNAGE w PAR COURRIEL PAR EXEMPLE CONSISTE Ì USURPER LIDENTITÏ DORGANISATIONS
OU DE COMMER ANTS LÏGITIMES ET BIEN CONNUS ,ES INTERNAUTES SONT ALORS DIRIGÏS VERS DES
SITES FALSIlÏS Oá ILS SONT INCITÏS Ì FOURNIR DES INFORMATIONS CONlDENTIELLES OU lNANCIÒRES
,ANNÏE DERNIÒRE ON A PU VOIR LÏMERGENCE DUNE NOUVELLE PRATIQUE Li HARPONNAGE w
#ETTE PRATIQUE UTILISE DES INFORMATIONS EXACTES SUR LINTERNAUTE PAR EXEMPLE SON NOM
ET SON ADRESSE POSTALE DANS LE COURRIEL Di HAME ONNAGE w CE QUI RENFORCE SA CRÏDIBILITÏ
$APRÒS DES ESTIMATIONS RÏCENTES Li HAME ONNAGE w ET LES AUTRES FRAUDES SUR )NTERNET
COßTENT CHAQUE ANNÏE MILLIARDS 53$ AUX CONSOMMATEURS AMÏRICAINS %N !LLEMAGNE
LES CHIFFRES OFlCIELS SONT DE PLUS DE MILLIONS %52 UN CHIFFRE QUI NE COMPTABILISE QUE
LES CAS DÏCLARÏS Ì LA POLICE ET AYANT FAIT LOBJET DUNE ENQUÐTE
,E CYBERESPACE IGNORANT LES FRONTIÒRES NATIONALES LES AUTORITÏS CHARGÏES DE FAIRE RESPECTER
LA LOI DOIVENT COOPÏRER POUR APPRÏHENDER LES FRAUDEURS EN LIGNE %N L/#$% A ADOPTÏ $FUUFjCPÏUFÆPVUJMTBOUJTQBNv
DES LIGNES DIRECTRICES POUR RENFORCER LA COLLABORATION ENTRE LES AUTORITÏS DE PROTECTION TBQQVJFTVSVOMBSHFÊWFOUBJM
DU DROIT Ì LA CONSOMMATION 5N RAPPORT RÏCENT DE L/#$% SUR LA MISE EN UVRE DE CES EFTPMVUJPOT
OPUBNNFOU
LIGNES DIRECTRICES MONTRE QUE LES PAYS MEMBRES ONT RÏALISÏ UN EFFORT CONSIDÏRABLE POUR MBSÊHMFNFOUBUJPOFUMBSÊQSFTTJPO
MODERNISER LEUR SYSTÒME DE RÏPRESSION -AIS DES PROBLÒMES SUBSISTENT COMME LA MFTJOJUJBUJWFTEVTFDUFVSQSJWÊ
MFTNFTVSFTUFDIOJRVFT
NOTIlCATION ET LE PARTAGE DES INFORMATIONS %N OUTRE SI LON VEUT QUE LES CONSOMMATEURS
MFTJOJUJBUJWFTEBOTMÊEVDBUJPOFU
AIENT CONlANCE DANS LE MARCHÏ EN LIGNE ILS DEVRAIENT POUVOIR OBTENIR RÏPARATION DE LA MBTFOTJCJMJTBUJPO
MBNÊUSPMPHJF
PART DES COUPABLES POUR LES PERTES ENCOURUES ,E DÏVELOPPEMENT DE PRINCIPES COMMUNS EVjTQBNvFUMBDPPQÊSBUJPO
SERA VÏRITABLEMENT AU CUR DES FUTURS TRAVAUX DE L/#$% DANS CE DOMAINE JOUFSOBUJPOBMF
-&4"7*&;7064
&O
BVYUBUT6OJT
MFT
WJDUJNFTEVTVSQBUJPOEJEFOUJUÊPOU
QFSEVIFVSFTFONPZFOOFQPVS
UFOUFSEFSÊTPVESFMFVSQSPCMÍNF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
%N LE &3- RÏmÏCHIRA SUR LES MOYENS DE PRÏVENIR LA FRAUDE SCIENTIlQUE PAR EXEMPLE
LES CAS DE FABRICATION OU DE FALSIlCATION DE DONNÏES ET DE PROMOUVOIR LINTÏGRITÏ DANS LA
RECHERCHE 0ARMI LES AUTRES THÒMES Ì LORDRE DU JOUR CITONS LE RÙLE DES MATHÏMATIQUES
DANS LINDUSTRIE LAVENIR DES COLLECTIONS SCIENTIlQUES DANS LES MUSÏES ET LHÏRITAGE
SCIENTIlQUE DE L!NNÏE POLAIRE INTERNATIONALE
XXXPFDEPSHTUJTUBUJTUJRVFT
"NÊMJPSFSMFTTUBUJTUJRVFTTVSMBTDJFODFFUMBUFDIOPMPHJF BMFTTBOESBDPMFDDIJB!PFDEPSH
5NE POLITIQUE EFlCACE REPOSE SUR DES DONNÏES DE QUALITÏ %N LE &ORUM i #IEL BLEU )) w -&4"7*&;7064
D/TTAWA SEST PENCHÏ SUR LA NÏCESSITÏ DE DÏVELOPPER DE NOUVEAUX INDICATEURS SUR LA -F%BOFNBSLFTUMFQSFNJFS
SCIENCE ET LA TECHNOLOGIE )L A AINSI DÏGAGÏ PLUSIEURS IDÏES MAÔTRESSES DE TRAVAUX FUTURS QBZTEFM0$%&FOUFSNFTEF
POUR L/#$% NOTAMMENT LA NÏCESSITÏ DE FAIRE PORTER LES MESURES ET LES ANALYSES SUR LES QÊOÊUSBUJPOEVIBVUEÊCJU BWFD
BCPOOÊTQPVSIBCJUBOUT
PRODUITS ET DES IMPACTS DE LA SCIENCE ET DE LINNOVATION PLUTÙT QUE SUR LES INTRANTS 0AR
AILLEURS LES INFORMATIONS DISPONIBLES POURRAIENT ÐTRE MIEUX EXPLOITÏES SI LACCÒS AUX
i MICRO DONNÏES w ÏTAIT RENDU POSSIBLE %N OUTRE LA RECHERCHE SUR LINNOVATION DOIT ÐTRE
DAVANTAGE AXÏE SUR LES POLITIQUES PUBLIQUES AlN DE DONNER UN FONDEMENT ANALYTIQUE
PLUS SOLIDE Ì LA POLITIQUE DE LA SCIENCE ET DE LA TECHNOLOGIE
XXXPFDEPSHTUJUJD
XXXPFDEPSHGVUVSFJOUFSOFU
-FT5*$ÆMBDSPJTÊFEFTDIFNJOT BOESFXXZDLPGG!PFDEPSH
,E WEB EXISTE DÏJÌ DEPUIS DEUX DÏCENNIES ET SE TROUVE Ì LA CROISÏE DES CHEMINS SOUS
LEFFET DE TROIS TENDANCES ÏTROITEMENT LIÏES I LA CONVERGENCE DE LA TÏLÏPHONIE DE LA VIDÏO
ET DES DONNÏES SUR UNE MÐME PLATE
FORME n )NTERNET II LÏMERGENCE D)NTERNET EN TANT
QUÏLÏMENT CLÏ DE LINFRASTRUCTURE ÏCONOMIQUE ET SOCIALE n UN RÙLE QUI SAMPLIlERA AVEC LA
GÏNÏRALISATION DAPPAREILS ET DE CAPTEURS EN RÏSEAU ET III LA GÏNÏRALISATION CROISSANTE DE
MENACES EXERCÏES SUR LA SÏCURITÏ ET DE PRATIQUES FRAUDULEUSES DE PLUS EN PLUS SÏRIEUSES
ET SOPHISTIQUÏES VOIR ENCADRÏ P
,/#$% A LANCÏ UN PROGRAMME PLURIDISCIPLINAIRE INTITULÏ i ,E &UTUR D)NTERNET w AlN
DANALYSER CETTE ÏVOLUTION ET DE COMPRENDRE COMMENT LES POLITIQUES DOIVENT ÐTRE ADAPTÏES
5NE RÏUNION MINISTÏRIELLE SE TIENDRA EN ET DES RÏUNIONS PRÏPARATOIRES ONT DÏJÌ EU
LIEU SUR LES CONTENUS NUMÏRIQUES ET i ,A PROCHAINE GÏNÏRATION DE RÏSEAUX w
$E RÏCENTES ÏTUDES ONT ANALYSÏ LES IMPLICATIONS DES NOUVELLES TECHNOLOGIES LA GESTION
DE L)NTERNET NOMS DE DOMAINE ÏCHANGE DE TRAlC LA PROTECTION DES INFRASTRUCTURES
DINFORMATIONS CRITIQUES LAPPLICATION TRANSNATIONALE DE NORMES EN MATIÒRE DE VIE PRIVÏE
LACCÒS AUX INFORMATIONS EN PROVENANCE DU SECTEUR PUBLIC ET LES DÏLOCALISATIONS LIÏES AUX
TECHNOLOGIES DE LINFORMATION ET DES COMMUNICATIONS 4)#
,ES 0ERSPECTIVES DES TECHNOLOGIES DE LINFORMATION PRÏSENTENT DES ANALYSES DES PRINCIPALES
TENDANCES DANS LES DIFFÏRENTS SECTEURS DES 4)# ET LES IMPLICATIONS DES NOUVELLES ÏVOLUTIONS
DE LA TECHNOLOGIE ,OUVRAGE PROPOSE AUSSI UNE CARTOGRAPHIE MONDIALE DES 4)# AU MOMENT
$FUPVWSBHFEÊDSJUMBEZOBNJRVFFU
Oá DES ÏCONOMIES NON MEMBRES DE L/#$% COMME DE LA #HINE ET L)NDE SADJUGENT UNE MFTUFOEBODFTSÊDFOUFTEVNBSDIÊ
PART CROISSANTE DE LA PRODUCTION ET DE LUTILISATION DE CES TECHNOLOGIES #ETTE ANALYSE EBOTMFTTFDUFVSTEFCJFOTFU
REPOSE SUR LES INDICATEURS DES 4)# DE L/#$% RÏGULIÒREMENT MIS Ì JOUR EFTFSWJDFTMJÊTBVY5*
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
*OEVTUSJF
*OEVTUSJF XXXPFDEPSHTUJQPMJUJRVFTJOEVTUSJFMMFT
KPIOESZEFO!PFDEPSH
#OMPRENDRE LE COMPORTEMENT ÏCONOMIQUE AUX NIVEAUX MICRO
ÏCONOMIQUE ET SECTORIEL
EST UN ASPECT ESSENTIEL DE LÏLABORATION DES POLITIQUES PUBLIQUES ,ES TRAVAUX DE L/#$%
SUR LINDUSTRIE VIENNENT COMPLÏTER LES ANALYSES MACRO
ÏCONOMIQUES RÏALISÏES PAR SES
AUTRES ORGANES ET AIDENT LES GOUVERNEMENTS Ì ÏLABORER DES POLITIQUES QUI STIMULENT LE
DÏVELOPPEMENT DE LINDUSTRIE ET DES ENTREPRISES
XXXPFDEPSHTUJNFTVSFSQFSGJOE
*OEVTUSJFFUFOUSFQSJTFT KPIOESZEFO!PFDEPSH
,ES GOUVERNEMENTS DES PAYS DE L/#$% ONT Ì CUR DAMÏLIORER LES PERFORMANCES ET LA
COMPÏTITIVITÏ DE LEUR INDUSTRIE ET DE SAISIR LES ENJEUX DE LA MONDIALISATION VOIR ENCADRÏ
P ° CETTE lN L/#$% A ENTREPRIS PLUSIEURS ÏTUDES PORTANT SUR LES RÏPERCUSSIONS
DES NOUVEAUX MODÒLES ÏCONOMIQUES MONDIAUX DES ENTREPRISES MULTINATIONALES DANS
LE SECTEUR MANUFACTURIER SUR LÏVOLUTION DES RELATIONS ENTRE LES SERVICES ET LINDUSTRIE
ET ENlN SUR LES RETOMBÏES EN TERMES DEMPLOI ET DE PRODUCTIVITÏ DE LA SOUS
TRAITANCE
INTERNATIONALE
XXXPFDEPSHTUJEQJ
"DUJGTJOUFMMFDUVFMTFUDSÊBUJPOEFWBMFVS TUJDPOUBDU!PFDEPSH
,/RGANISATION SEFFORCE EN OUTRE DE MIEUX CERNER LA CONTRIBUTION DES ACTIFS INTELLECTUELS
2 $ PROPRIÏTÏ INTELLECTUELLE CAPITAL HUMAIN LOGICIELS NOUVELLES CAPACITÏS
ORGANISATIONNELLES Ì LA CRÏATION DE VALEUR BÏNÏlCES PART DE VALEUR REVENUS PRODUCTIVITÏ
ET CROISSANCE ,E BUT ÏTANT DE JETER UN REGARD NOUVEAU SUR LES ACTIFS INTELLECTUELS $ANS
CETTE OPTIQUE UNE ÏTUDE PASSERA EN REVUE DES ANALYSES RÏALISÏES AU NIVEAU DE LENTREPRISE
PORTANT SUR LES ACTIFS INTELLECTUELS ET LEFlCACITÏ DE LEUR GESTION #ETTE ÏTUDE TRAITERA
ESSENTIELLEMENT DE LA COMMUNICATION DINFORMATIONS ET DE LA GOUVERNANCE DES PETITES
ENTREPRISES PUBLIQUES Ì FORTE INTENSITÏ DACTIFS INTELLECTUELS #ES TRAVAUX COMPRENDRONT
ÏGALEMENT DES ESTIMATIONS AU NIVEAU DES COMPTES NATIONAUX DES ACTIFS INTELLECTUELS
ACCUMULÏS AINSI QUE DES ANALYSES COMPTABLES COMPARATIVES DE LA CROISSANCE %NlN
LÏTUDE ENVISAGERA LES ACTIFS INTELLECTUELS AU NIVEAU DE LA RÏGION OU DE LA GRAPPE DANS
LAGGLOMÏRATION INDUSTRIELLE ET LES IMPLICATIONS SUR LA POLITIQUE DE LINNOVATION %LLE SERA
ACHEVÏE EN
XXXPFDEPSHTUJDPOUSFGBDPO
$POUSFGBÉPOFUQJSBUBHF XPMGHBOHIVCOFS!PFDEPSH
,ES TRAVAUX SUR LA CONTREFA ON ET LE PIRATAGE RÏVÒLENT LE NOMBRE CROISSANT DE PRODUITS
CONCERNÏS PAR CE PHÏNOMÒNE 0LUS ALARMANT ENCORE CETTE ACTIVITÏ SÏTEND DÏSORMAIS AUX
%FHBVDIFÆESPJUF
-F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEFM0$%&
"OHFM(VSSÎB
BWFDMFNJOJTUSF
EFM*OEVTUSJFFUEV$PNNFSDFUVSD
"MJ$P LVO
MPSTEVOFWJTJUFFO5VSRVJF
FOPDUPCSF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
CATÏGORIES DE PRODUITS RELEVANT DE LA SANTÏ ET DE LA SÏCURITÏ %NlN LE RÙLE AVÏRÏ QUE JOUE
LE CRIME ORGANISÏ DANS LA CONTREFA ON ET LE PIRATAGE DONT IL EST LE TOUT PREMIER BÏNÏlCIAIRE
SUR LE PLAN lNANCIER EST TOUT AUSSI INQUIÏTANT 3UR LE FRONT JURIDIQUE DES LOIS RÏPRIMENT LA
CONTREFA ON ET LE PIRATAGE MAIS TOUTE LA DIFlCULTÏ RÏSIDE POUR LES GOUVERNEMENTS Ì LES
FAIRE RESPECTER $ES MESURES ONT ÏTÏ PRISES POUR SENSIBILISER LE PUBLIC MÐME SI BEAUCOUP
RESTE Ì FAIRE DANS DE NOMBREUX PAYS 5N ACCORD MULTILATÏRAL SUR LAPPLICATION DES DROITS DE
PROPRIÏTÏS INTELLECTUELS $0) REPOSANT SUR L!CCORD SUR LES DROITS DE PROPRIÏTÏ INTELLECTUELLE
QUI TOUCHENT AU COMMERCE !$0)# ET PRENANT POUR MODÒLE LES AUTRES RÒGLES EXISTANTES
PEUT DEVENIR UN INSTRUMENT ESSENTIEL POUR LUTTER CONTRE LA CONTREFA ON ET LE PIRATAGE
XXXPFDEPSHTUJBDJFS
"DJFS XPMGHBOHIVCOFS!PFDEPSH
%N LE 'ROUPE Ì HAUT NIVEAU DE L/#$% SUR LACIER '(. EST CONVENU QUE LA PERSISTANCE
DE DIVERGENCES SÏRIEUSES ENTRE LES PARTICIPANTS CONCERNANT CERTAINS DOMAINES CLÏS REND
POUR LHEURE IMPOSSIBLE LA CONCLUSION DUN ACCORD SUR LES SUBVENTIONS DANS LE SECTEUR
XXXPFDEPSHDGFTNFàOBODJOH
$PNCMFSMFEÊàDJUEFàOBODFNFOUEFT1.& TNFEJWJTJPO!PFDEPSH
,ES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES 0-% JOUENT UN RÙLE CLÏ DANS LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE
LA CRÏATION DEMPLOIS LINNOVATION ET LINTÏGRATION SOCIALE 4OUTEFOIS LES DIFlCULTÏS DACCÒS
AU lNANCEMENT QUELLES RENCONTRENT DANS LA PLUPART DES PAYS EMPÐCHENT UNE PROPORTION
CONSIDÏRABLE DENTREPRENEURS DE CRÏER OU DE DÏVELOPPER LEUR ENTREPRISE $ANS LES PAYS DE
L/#$% CES DIFlCULTÏS TOUCHENT EN PARTICULIER LES 0-% INNOVANTES AUXQUELLES LES FORMES
TRADITIONNELLES DE lNANCEMENT COMME LES CRÏDITS BANCAIRES OU LES GARANTIES DE L³TAT LEUR
SONT DIFlCILEMENT ACCESSIBLES 3UR LES MARCHÏS EN DÏVELOPPEMENT ET ÏMERGENTS CE DÏlCIT
DE lNANCEMENT EST ENCORE PLUS RÏPANDU ET PÏNALISE TOUTES LES CATÏGORIES DE 0-%
,A CONFÏRENCE MONDIALE DE L/#$% INTITULÏE i -IEUX lNANCER LENTREPRENEURIAT ET LA CROISSANCE
DES 0-% w QUI SEST TENUE Ì "RASILIA EN MARS A RASSEMBLÏ LA COMMUNAUTÏ DES BAILLEURS
LES 0-% ET LES GOUVERNEMENTS 5N RAPPORT RÏDIGÏ Ì LOCCASION DE CETTE CONFÏRENCE A ANALYSÏ
LE i DÏlCIT DE lNANCEMENT DES 0-% w AUSSI BIEN EN TERMES DE CRÏDIT QUE DAPPORT DE FONDS
PROPRES #E RAPPORT A RÏVÏLÏ QUE LES DÏFAILLANCES DU MARCHÏ PÏNALISENT DAVANTAGE LES 0-% QUE
LES AUTRES TYPES DENTREPRISES $E MÐME LES OBSTACLES AUX mUX lNANCIERS INTERNATIONAUX LES
RIGIDITÏS STRUCTURELLES ET UNE RÏGLEMENTATION INEFlCACE ONT EN PROPORTION DES RÏPERCUSSIONS
PLUS IMPORTANTES SUR LES 0-% QUE SUR LES ENTREPRISES PLUS GRANDES #ES CONTRAINTES SONT $FSBQQPSUFYBNJOFMFEÊàDJUEF
àOBODFNFOUEFT1.&EVQPJOUEF
ENCORE PLUS FRAPPANTES DANS LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT Oá UNE ADMINISTRATION PESANTE
WVFEFTDSÊEJUTFUEVàOBODFNFOU
UNE BUREAUCRATIE EXCESSIVE ET DES PRATIQUES EN MATIÒRE DINFORMATION lNANCIÒRE ACCENTUENT EFTGPOETQSPQSFT
EBOTMFTQBZT
LES INÏGALITÏS DE REVENUS ET FREINENT LES GAINS DE PRODUCTIVITÏ NFNCSFTFUOPONFNCSFT
EFM0$%&*MQSÊDPOJTFBVTTJ
,ES GOUVERNEMENTS PARTICIPENT ACTIVEMENT Ì LA RÏDUCTION DU DÏlCIT DE lNANCEMENT EFTNFTVSFTQPVSTUJNVMFSMFTáVY
DU SECTEUR DES 0-% EN PARTICULIER DANS LES SITUATIONS DE DÏFAILLANCE DU MARCHÏ ET DE àOBODJFSTFOEJSFDUJPOEFT1.&FU
MARCHÏS INCOMPLETS ,ES MESURES EN FAVEUR DES 0-% DOIVENT ÐTRE CIBLÏES AVEC SOIN VISER EFTFOUSFQSFOFVST
UN FONCTIONNEMENT EFlCACE DES MARCHÏS TOUT EN INCITANT LE SECTEUR PRIVÏ Ì JOUER UN RÙLE
ACTIF DANS LE lNANCEMENT DES 0-% ,A STRATÏGIE DES POUVOIRS PUBLICS DOIT ÐTRE DÒS LE DÏPART
ÏLABORÏE ET MISE EN UVRE EN CONCERTATION AVEC LES 0-%
,ES 0RINCIPES DACTION DE "RASILIA DE L/#$% SUR LE FINANCEMENT DES 0-% ET DE -&4"7*&;7064
LENTREPRENEURIAT ADOPTÏS LORS DE LA #ONFÏRENCE RECOMMANDENT Ì L/#$% DE POURSUIVRE -FTUSPJTRVBSUTEFTQBZT
SES TRAVAUX SUR LES MOYENS QUE SES MEMBRES PEUVENT METTRE EN UVRE POUR AMÏLIORER LE EFM0$%&FTUJNFOURVJMFYJTUF
VOEÊàDJUEFGPOETQSPQSFT
lNANCEMENT DES 0-% EN PARTICULIER DES 0-% INNOVANTES ET Ì FORTE CROISSANCE PAR LES PRÐTS
ET LES APPORTS DE FONDS PROPRES
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
*OEVTUSJF
DE LACIER $ANS CETTE PERSPECTIVE LE '(. EXAMINERA AU SEIN DU #OMITÏ DE LACIER LES
POSSIBILITÏS DE DÏlNIR DES APPROCHES COMMUNES SUR LES QUESTIONS EN SUSPENS ET REPRENDRA
LES NÏGOCIATIONS AU SEIN DU '(. DÒS QUUN ACCORD AURA ÏTÏ DÏGAGÏ
XXXPFDEPSHTUJTIJQCVJMEJOH
$POTUSVDUJPOOBWBMF XPMGHBOHIVCOFS!PFDEPSH
3UITE Ì LA i SUSPENSION w DES NÏGOCIATIONS DUN NOUVEL ACCORD SUR LA CONSTRUCTION NAVALE
EN SEPTEMBRE IL SAGISSAIT AVANT TOUT DE RÏTABLIR LE 'ROUPE DE TRAVAIL DU #ONSEIL DE
L/#$% SUR LA CONSTRUCTION NAVALE QUI SEST RÏUNI SOUS SA NOUVELLE FORME EN JUILLET
3A PRIORITÏ EST DE RENFORCER SON PARTENARIAT AVEC LES ÏCONOMIES NON MEMBRES AYANT
DIMPORTANTES ACTIVITÏS DE CONSTRUCTION NAVALE 3ES EFFORTS ONT AINSI ABOUTI Ì LORGANISATION
DUN ATELIER lN AUQUEL ONT PARTICIPÏ LES REPRÏSENTANTS DE LA #HINE DE L)NDE ET
DU 6IETNAM ENTRE AUTRES PAYS
XXXPFDEPSHDGFQNF
1SPNPVWPJSMFOUSFQSFOFVSJBUFUMBDSPJTTBODFEFT1.& NBSJFáPSFODFFTUJNF!PFDEPSH
,/#$% AIDE LES GOUVERNEMENTS Ì ÏLABORER DES POLITIQUES VISANT Ì PROMOUVOIR
LENTREPRENEURIAT ET LES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES 0-% POUR AINSI SURMONTER LES
OBSTACLES ET TIRER PROlT DE LA MONDIALISATION %N L/#$% A ÏTUDIÏ LA FA ON DONT LES
GOUVERNEMENTS LES ENTREPRISES MULTINATIONALES ET LES 0-% POURRAIENT COLLABORER EN VUE
DAMÏLIORER LACCÒS DES 0-% AUX MARCHÏS INTERNATIONAUX ,ES CONCLUSIONS DE CETTE ÏTUDE
ONT ÏTÏ PRÏSENTÏES LORS DE LA #ONFÏRENCE MONDIALE /#$% !0%# #OOPÏRATION ÏCONOMIQUE
XXXPFDEPSHTUJNFTVSFS
NPOEJBMJTBUJPO
XXXPFDEPSHTUJFYUFSOBMJTBUJPO
.POEJBMJTBUJPOFUÊDPOPNJFEFMBDPOOBJTTBODF KPIOESZEFO!PFDEPSH
3I LA MONDIALISATION SACCENTUE TOUJOURS PLUS LÏLABORATION DES POLITIQUES RESTE UNE ACTIVITÏ
MAJORITAIREMENT NATIONALE ET LOCALE ,/#$% AIDE LES RESPONSABLES POLITIQUES Ì CONCEVOIR DES
POLITIQUES NATIONALES EFlCACES ET COHÏRENTES AU SERVICE DE LA COMPÏTITIVITÏ ET Ì LES METTRE
EN UVRE DANS UNE ÏCONOMIE MONDIALISÏE
,ES TRAVAUX DE L/#$% SUR LES CHAÔNES DE VALEUR MONDIALES RÏVÒLENT QUE LES PAYS MEMBRES
SE SPÏCIALISENT DANS LES ACTIVITÏS Ì PLUS FORTE VALEUR AJOUTÏE ALORS QUE LES ACTIVITÏS Ì FAIBLE
VALEUR AJOUTÏE MIGRENT DE PLUS EN PLUS VERS LES PAYS Ì MOINDRE COßT DE MAIN
DUVRE 0AR
CONSÏQUENT LA MONDIALISATION DES ACTIVITÏS ENTRAÔNE UNE HAUSSE DE LA PRODUCTIVITÏ DES
ENTREPRISES 3I LES RÏPERCUSSIONS SUR LEMPLOI EN TERMES ABSOLUS SONT CONSIDÏRABLES SELON
CERTAINES ÏTUDES ELLES SEMBLENT MODÏRÏES LORSQUON LES COMPARE Ì LA MOBILITÏ GLOBALE DE LA
MAIN
DUVRE SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL #E PHÏNOMÒNE EST Dß EN GRANDE PARTIE AUX PROGRÒS
-&4"7*&;7064
TECHNOLOGIQUES ET Ì LÏVOLUTION DE LA DEMANDE DES CONSOMMATEURS
-FTFOUSFQSJTFTNVMUJOBUJPOBMFT
)L APPARAÔT EN OUTRE QUE SI LA MONDIALISATION DES ACTIVITÏS DE 2 $ SE CONCENTRE PRINCIPALEMENT BNÊSJDBJOFTEVTFDUFVS
NBOVGBDUVSJFSSÊBMJTFOUMBNPJUJÊ
SUR LA ZONE /#$% LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT ATTIRENT DE PLUS EN PLUS LES CENTRES DE 2 $
EFMFVSDIJGGSFEBGGBJSFT
$ANS CE CONTEXTE LAVANTAGE COMPARATIF EST UN CONCEPT mUCTUANT ET ALÏATOIRE ET LES ÆMÊUSBOHFS
FUMBNPJUJÊEF
GOUVERNEMENTS DOIVENT SATTACHER EN PREMIER LIEU Ì INSTAURER UN ENVIRONNEMENT FAVORABLE MFVSTFNQMPZÊTSÊTJEFIPST
Ì LINVESTISSEMENT Ì LINNOVATION ET Ì LEXPÏRIMENTATION EFTGSPOUJÍSFTOBUJPOBMFT
5NE CONFÏRENCE INTITULÏE i ,A MONDIALISATION ET LÏCONOMIE DE LA CONNAISSANCE w A ÏTÏ
ORGANISÏE EN COOPÏRATION AVEC LE MINISTÒRE FRAN AIS DE L³CONOMIE DES &INANCES ET DE
L)NDUSTRIE EN OCTOBRE %LLE A MIS EN ÏVIDENCE LES LIENS QUI UNISSENT LINNOVATION LE
CHANGEMENT STRUCTUREL ET LA CROISSANCE DE LA PRODUCTIVITÏ DUNE PART Ì LINTENSIlCATION DES
INTERDÏPENDANCES ÏCONOMIQUES INTERNATIONALES DE LAUTRE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
DANS LA ZONE DE L!SIE 0ACIlQUE QUI SEST TENUE Ì !THÒNES EN NOVEMBRE ET AU COURS -&4"7*&;7064
DE LAQUELLE LE i 0LAN DACTION D!THÒNES POUR LA SUPPRESSION DES OBSTACLES Ì LACCÒS DES -FT1.&QBSUJDJQFOUMBSHFNFOU
0-% AUX MARCHÏS INTERNATIONAUX w A ÏTÏ ADOPTÏ #E 0LAN FORMULE DES RECOMMANDATIONS ÆMÊDPOPNJFNPOEJBMFFMMFT
SFQSÊTFOUFOUFOWJSPOEV
VISANT Ì RENFORCER LINTERNATIONALISATION DES 0-% ET Ì COORDONNER LA SUITE DES TRAVAUX
1*#MPDBMFUOBUJPOBM FUEFT
DE L/RGANISATION DANS CE DOMAINE %N ÏGALEMENT L/#$% A PUBLIÏ UNE ÏTUDE FYQPSUBUJPOT
APPROFONDIE EN DEUX VOLUMES INTITULÏE ,E DÏlCIT DE lNANCEMENT DES 0-% PRINCIPES ET RÏALITÏS
VOIR ENCADRÏ P
$ES PROGRÒS CONSIDÏRABLES ONT ÏTÏ ACCOMPLIS DANS LANALYSE DES MOYENS Ì METTRE EN
UVRE POUR RENFORCER LE RÙLE DES 0-% DANS LES CHAÔNES DE VALEUR MONDIALES $ES ÏTUDES
DE CAS ONT AINSI ÏTÏ RÏALISÏES DANS LES INDUSTRIES DE LAUTOMOBILE DU MATÏRIEL SCIENTIlQUE
ET DE PRÏCISION DES LOGICIELS DU TOURISME ET DU CINÏMA 5N RAPPORT DE SYNTHÒSE QUI MET
EN LUMIÒRE LES RÏSULTATS ET LES CONCLUSIONS DE CES ÏTUDES SERA PRÏSENTÏ EN MAI LORS
DUNE CONFÏRENCE INTERNATIONALE Ì 4OKYO ORGANISÏE EN COOPÏRATION AVEC LE MINISTÒRE
JAPONAIS DE L³CONOMIE DU #OMMERCE ET DE L)NDUSTRIE
XXXPFDEPSHDGFMFFEGS
1SPNPVWPJSMFEÊWFMPQQFNFOUÊDPOPNJRVFMPDBM TFSHJPBS[FOJ!PFDEPSH
,INNOVATION RÏGIONALE EST UN MOTEUR ESSENTIEL DE LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE CARACTÏRISÏ
TOUTEFOIS PAR DE FORTES DISPARITÏS RÏGIONALES ° TITRE DEXEMPLE LE NOMBRE MÏDIAN DES
DÏPÙTS DE BREVETS DANS PAYS EUROPÏENS SÏLEVAIT Ì PAR MILLION DHABITANTS EN
-AIS ALORS QUUNE RÏGION EN COMPTABILISAIT AUTRES EN ENREGISTRAIENT MOINS DE
5NE NOUVELLE ÏTUDE DE L/#$% EST EN COURS ET FORMULERA DES RECOMMANDATIONS SUR LA
CONCEPTION DES STRATÏGIES DINNOVATION ET SUR LES MOYENS DE LES ADAPTER Ì LÏCHELON
LOCAL
0LUSIEURS SÏMINAIRES ET CONFÏRENCES PORTANT SUR LE RENFORCEMENT DES CAPACITÏS ONT ÏTÏ
ORGANISÏS EN )LS AVAIENT POUR VOCATION DAIDER LES SPÏCIALISTES DES ADMINISTRATIONS
NATIONALES ET LOCALES DES PAYS D%UROPE CENTRALE ET ORIENTALE Ì CONCEVOIR LEURS STRATÏGIES
DE DÏVELOPPEMENT LOCAL #ERTAINES DE CES MANIFESTATIONS PORTAIENT SUR LA CONTRIBUTION DES
ENTREPRISES SOCIALES Ì LA CROISSANCE DURABLE DANS LES PAYS D%UROPE $AUTRES ONT PERMIS
LA PRÏPARATION DUN MANUEL SUR LÏVALUATION PRÏALABLE DES STRATÏGIES DE DÏVELOPPEMENT
ÏCONOMIQUE LOCAL QUI SERA PUBLIÏ EN
,ES SALARIÏS MODESTES ACCÒDENT SOUVENT DIFlCILEMENT Ì LA FORMATION PROFESSIONNELLE
3I PEU DE POLITIQUES NATIONALES SATTAQUENT Ì CE PROBLÒME LÏCHELON LOCAL SE RÏVÒLE ÐTRE
UN TERRAIN FERTILE ET RICHE DENSEIGNEMENTS POUR LEXPÏRIMENTATION ET LINNOVATION DES
POLITIQUES PUBLIQUES %N L/#$% A PUBLIÏ !MÏLIORER LES COMPÏTENCES 6ERS DE NOUVELLES
POLITIQUES QUI EXPOSE LES MOYENS PAR LESQUELS LES PAYS ET LES LOCALITÏS PEUVENT FORMER LES
JEUNES ET AMÏLIORER LES COMPÏTENCES DE LEUR MAIN DUVRE ADULTE
XXXPFDEPSHDGFUPVSJTNF
5PVSJTNF BMBJOEVQFZSBT!PFDEPSH
,INNOVATION TOURISTIQUE EST UN PHÏNOMÒNE RELATIVEMENT RÏCENT ET ENCORE MAL CONNU
,E RAPPORT DE L/#$% INTITULÏ )NNOVATION AND 'ROWTH IN 4OURISM PUBLIÏ EN MONTRE
COMMENT LES PAYS DE L/#$% PEUVENT RENOUER AVEC LA CROISSANCE DANS CE SECTEUR EN -&4"7*&;7064
RESTANT COMPÏTITIFS ET EN CONCEVANT DES PRODUITS ET DES CONCEPTS ORIGINAUX -FTTFDUFVSTEVUPVSJTNFFU
EFMBSFTUBVSBUJPODPOGPOEVT
,ES RÏPERCUSSIONS ÏCONOMIQUES DE LA SÏCURITÏ SUR LES TRANSPORTS ET LE TOURISME DEMEURENT SFQSÊTFOUFOUQSÍTEFEF
MFNQMPJUPUBMEBOTMFTQBZT
AU CENTRE DES PRIORITÏS DES PAYS DE L/#$% ,/RGANISATION SEMPLOIE Ì ANALYSER LES COßTS ET
EFM0$%&
LES INCIDENCES SUR LACTION DES POUVOIRS PUBLICS DE LA MISE EN UVRE DE NOUVELLES MESURES
DE SÏCURITÏ #ES DERNIÒRES SEFFORCENT DE CONCILIER IMPÏRATIFS EN MATIÒRE DE SÏCURITÏ ET
LIBERTÏ DES TRANSPORTS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
&NQMPJFUDPIÊTJPOTPDJBMF
&NQMPJ
DPIÊTJPOTPDJBMF
FUFOWJSPOOFNFOU
&NQMPJFUDPIÊTJPOTPDJBMF XXXPFDEPSHFNQMPJ
FNQMPZNFOUDPOUBDU!PFDEPSH
,EMPLOI CONSTITUE LA PRINCIPALE COMPOSANTE DU 0)" ET LA PREMIÒRE SOURCE DE REVENU -&4"7*&;7064
DES MÏNAGES ,/#$% ANALYSE LES VARIATIONS DU CHÙMAGE ET DE LEMPLOI SELON LÊGE LE %BOTMFTQBZTEFM0$%&
QSÍT
SEXE LE STATUT TRAVAIL Ì TEMPS PARTIEL TEMPORAIRE ET INDÏPENDANT LA RÏGION AINSI QUE EFEFTQFSTPOOFTFOÄHF
EFUSBWBJMMFSWJWFOUEBOTEFT
LES CONDITIONS DE TRAVAIL COMME LE SALAIRE 3ES TRAVAUX SUR LE CHÙMAGE CONCERNENT LES
NÊOBHFTPÜQFSTPOOF
PROGRAMMES POUR UN MARCHÏ DU TRAVAIL ACTIF ET LE SERVICE PUBLIC DE LEMPLOI OBEFNQMPJ
,ES TRAVAUX DE L/#$% SUR LES POLITIQUES SOCIALES COUVRENT UN LARGE ÏVENTAIL DE MESURES
SOCIALES DÏDUCATION ET DE SANTÏ QUI SONT PRISES DANS UN CONTEXTE EN ÏVOLUTION CONSTANTE
DÏTERMINÏ PAR DES FACTEURS SOCIODÏMOGRAPHIQUES LA SITUATION DU MARCHÏ DU TRAVAIL ET
LE PROGRÒS TECHNIQUE %LLE SEFFORCE DE TROUVER DES BONNES PRATIQUES ADAPTÏES Ì LA NATURE
ÏVOLUTIVE DES SOCIÏTÏS
XXXPFDEPSHFNQMPJ
&NQMPJFUNPOEJBMJTBUJPO FNQMPZNFOUDPOUBDU!PFDEPSH
,E COMMERCE INTERNATIONAL ET LINVESTISSEMENT DIRECT ÏTRANGER ONT FORTEMENT CONTRIBUÏ
Ì LÏLÏVATION DU NIVEAU DE VIE DANS LE MONDE ENTIER -AIS CERTAINS CRAIGNENT QUE LA
i MONDIALISATION w NENTRAÔNE DES PERTES DEMPLOIS ET UN CREUSEMENT DES INÏGALITÏS
$ANS CERTAINS PAYS DE L/#$% LES GAINS DE PRODUCTIVITÏ SE SONT CONVERTIS EN BÏNÏlCES
SUPPLÏMENTAIRES ET NON EN HAUSSE DE SALAIRES #E PHÏNOMÒNE SOULÒVE AINSI LA QUESTION
DE SAVOIR SI LE POUVOIR DE NÏGOCIATION DES TRAVAILLEURS A DIMINUÏ PAR RAPPORT Ì CELUI
DENTREPRISES DE PLUS EN PLUS MONDIALISÏES ,ÏDITION DES 0ERSPECTIVES DE LEMPLOI DE
L/#$% EXAMINERA CES POINTS EN DÏTAIL
!LORS QUAUPARAVANT LA MONDIALISATION SE CANTONNAIT PRINCIPALEMENT Ì LAGRICULTURE ET Ì
LINDUSTRIE ELLE PREND AUJOURDHUI DE LAMPLEUR ET TOUCHE DÏSORMAIS UN GRAND NOMBRE DE
SERVICES !UTRE CARACTÏRISTIQUE ESSENTIELLE DU PHÏNOMÒNE UN NOMBRE CROISSANT DE PAYS
SINTÒGRENT DANS LÏCONOMIE MONDIALE NOTAMMENT LES GRANDS PAYS DISPOSANT DUNE MAIN
DUVRE ABONDANTE COMME LA #HINE ET L)NDE ,ES ENTREPRISES TRÒS PRODUCTIVES PEUVENT
PROSPÏRER SUR LES MARCHÏS MONDIAUX MÐME EN VERSANT DES SALAIRES BIEN SUPÏRIEURS Ì
CEUX PER US DANS LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT -AIS CES ENTREPRISES DEVRONT ÐTRE RÏACTIVES
LEURS SALARIÏS DEVRONT ÐTRE PRÐTS Ì CHANGER DEMPLOI ET DE MÏTIER ,A 3TRATÏGIE DE L/#$% POUR
LEMPLOI RÏVISÏE PUBLIÏE EN PRÏSENTE UN ENSEMBLE DE BONNES PRATIQUES QUI PEUVENT
CONSTITUER Ì CET ÏGARD UN MODÒLE UTILE VOIR LE #OUP DE PROJECTEUR DE LANNÏE P
XXXPFDEPSHFMTTPDJBMWJFJMMJTTFNFOU
7JFJMMJTTFNFOUEFMBQPQVMBUJPO TPDJBMDPOUBDU!PFDEPSH
,E DÏl DU VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION APPARAÔT DE PLUS EN PLUS MENA ANT 0OUR LE
RELEVER IL EST NÏCESSAIRE DAUGMENTER SENSIBLEMENT LES TAUX DEMPLOI ° LHEURE ACTUELLE
PLUS DUN TIERS DE LA POPULATION DES PAYS DE L/#$% EN ÊGE DE TRAVAILLER NEXERCE PAS
DACTIVITÏ %N PARTICULIER UN TROP GRAND NOMBRE DE TRAVAILLEURS ÊGÏS QUITTENT LE MARCHÏ DU
TRAVAIL DE FA ON PRÏMATURÏE ,E RAPPORT INTITULÏ 6IVRE ET TRAVAILLER PLUS LONGTEMPS EXAMINE
LES MESURES REQUISES POUR AMÏLIORER LES PERSPECTIVES DEMPLOI DE CES TRAVAILLEURS )L
SOULIGNE LIMPORTANCE DES RÏFORMES CAPABLES DÏVITER QUE CES DERNIERS NE SOIENT POUSSÏS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHFMTJOWBMJEJUF
.BMBEJF
JOWBMJEJUÊFUUSBWBJM FNQMPZNFOUDPOUBDU!PFDEPSH
6OKPVSOBMJTUFUSBWBJMMFÆMBJEF
EVOTZTUÍNFÆSFDPOOBJTTBODF
WPDBMFJOUÊHSÊÆTPOPSEJOBUFVS
QPSUBCMFEBOTMFTFSWJDF
TQÊDJBMJTÊEBOTMBSÊÊEVDBUJPO
EFMBDPMPOOFWFSUÊCSBMF
EVOIÔQJUBMBV3PZBVNF6OJ
-&4"7*&;7064
-FTHPVWFSOFNFOUTEFTQBZT
EFM0$%&EÊQFOTFOUFONPZFOOF
QSÍTEFEFVYGPJTQMVTQPVS
MFTQSFTUBUJPOTEFNBMBEJFFU
EJOWBMJEJUÊRVFQPVS
MFTJOEFNOJUÊTEFDIÔNBHF
"IEN TROP NOMBREUX SONT CEUX QUI QUITTENT LE MARCHÏ DU TRAVAIL POUR DES RAISONS DE
SANTÏ $ANS LE MÐME TEMPS BEAUCOUP DE PERSONNES ATTEINTES DUNE MALADIE INVALIDANTE
SOUHAITERAIENT TRAVAILLER MAIS SE VOIENT REFUSER LA POSSIBILITÏ DE LE FAIRE #E PROBLÒME Ì LA
FOIS SOCIAL ET ÏCONOMIQUE TOUCHE LA QUASI
TOTALITÏ DES PAYS DE L/#$% )L SOULIGNE AUSSI UN
PARADOXE mAGRANT COMMENT SE FAIT
IL QUEN MOYENNE LÏTAT DE SANTÏ SAMÏLIORE PARTOUT
ET QUE POURTANT UN NOMBRE CROISSANT DE PERSONNES QUITTENT LA VIE ACTIVE POUR VIVRE DES
PRESTATIONS POUR AFFECTION DE LONGUE DURÏE OU INVALIDITÏ
$ANS LE CADRE DUNE NOUVELLE ÏTUDE INTITULÏE -ALADIE INVALIDITÏ ET TRAVAIL SURMONTER LES
OBSTACLES L/#$% EXAMINE LES FACTEURS SUSCEPTIBLES DEXPLIQUER CE PARADOXE ,E PREMIER
RAPPORT CONCERNE LA .ORVÒGE LA 0OLOGNE ET LA 3UISSE #ES TROIS PAYS CONSACRENT ENTRE
ET DE LEUR 0)" Ì LA MALADIE ET Ì LINVALIDITÏ ET CE POURCENTAGE EST EN HAUSSE ,ES
EFFORTS DÏPLOYÏS DANS CES PAYS POUR EMPÐCHER LES PERSONNES CAPABLES DE TRAVAILLER DE
SE RETIRER DE LA VIE ACTIVE ET DE DÏPENDRE DES PRESTATIONS DE MALADIE OU DINVALIDITÏ SONT
TRÒS INSUFlSANTS )L FAUT DONC AGIR PLUS EFlCACEMENT POUR AIDER LES BÏNÏlCIAIRES DE CES
PRESTATIONS Ì REVENIR SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL
"EAUCOUP DE CEUX QUI ONT DES PROBLÒMES DE SANTÏ PEUVENT ET SOUHAITENT TRAVAILLER ,ES
MESURES VISANT Ì ÏVITER QUILS NE QUITTENT LE MARCHÏ DU TRAVAIL ET Ì FACILITER LEUR RÏINSERTION
SONT BÏNÏlQUES Ì TOUS POINTS DE VUE %LLES LEUR PERMETTENT DÏCHAPPER Ì LEXCLUSION ET
DE PERCEVOIR UN REVENU PLUS ÏLEVÏ TOUT EN SOUTENANT LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE ET EN
RENFOR ANT LA VIABILITÏ DE LA PROTECTION SOCIALE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
&NQMPJFUDPIÊTJPOTPDJBMF
HORS DU MARCHÏ DU TRAVAIL PAR DES DISPOSITIFS DE RETRAITE ANTICIPÏE OU DE PRESTATIONS SOCIALES -&4"7*&;7064
MAL CON UES OU PAR LEUR AFFECTATION Ì DES POSTES DE TRAVAIL INADAPTÏS Ì LEUR ÊGE %BOTMFTQBZTEFM0$%&
MFUBVY
EFOBUBMJUÊNPZFOFTUUPNCÊ
!MÏLIORER LA SITUATION DES JEUNES FACE Ì LEMPLOI CONSTITUE UN AUTRE DÏl MAJEUR $ANS EFFOGBOUTQBSGFNNF
LES PAYS DE L/#$% LE TAUX DE CHÙMAGE DES JEUNES EST PRÒS DE TROIS FOIS SUPÏRIEUR Ì FOÆFO
CELUI DES ADULTES $E PLUS DES JEUNES ÊGÏS ENTRE ANS ET ANS NE SONT NI DANS
LE SYSTÒME ÏDUCATIF NI EN ACTIVITÏ CE QUI PEUT CONSTITUER POUR EUX UN HANDICAP SOCIAL
ET lNANCIER DURABLE -AIS BIEN SOUVENT CEUX QUI TRAVAILLENT OCCUPENT DES EMPLOIS SANS
RAPPORT AVEC LEUR FORMATION INITIALE SUSCITANT CHEZ EUX UN VIF SENTIMENT DE FRUSTRATION ET
REPRÏSENTANT UN GASPILLAGE DE COMPÏTENCES 0OUR AIDER LES PAYS Ì AMÏLIORER LES CONDITIONS
DANS LESQUELLES SEFFECTUE LE PASSAGE DE LÏCOLE Ì LA VIE ACTIVE L/#$% A LANCÏ UNE ÏTUDE
INTITULÏE $ES EMPLOIS POUR LES JEUNES
XXXPFDEPSHFMTTPDJBMWJFJMMJTTFNFOU
3ÊGPSNFSMFTTZTUÍNFTEFSFUSBJUF TPDJBMDPOUBDU!PFDEPSH
,ES PAYS DE L/#$% VOIENT AUJOURDHUI LEURS DÏPENSES SOCIALES PROGRESSER Ì NOUVEAU APRÒS
SÐTRE EFFORCÏS DE LES ENDIGUER PENDANT PLUSIEURS ANNÏES #ETTE ÏVOLUTION TIENT NOTAMMENT
AU VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION ,E NOMBRE DE PERSONNES ÊGÏES VA CROISSANT DANS TOUS
XXXPFDEPSHFMTNJHSBUJPOTJOUFHSBUJPO
%FMJNNJHSBUJPOÆMJOUÊHSBUJPO NJHSBUJPODPOUBDU!PFDEPSH
$ANS BEAUCOUP DE PAYS DE L/#$% LIMMIGRATION EST CONSIDÏRÏE COMME UN MOYEN DE
PALLIER LES EFFETS NÏGATIFS DU VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION 0OUR QUE CETTE SOLUTION
FONCTIONNE IL EST NÏCESSAIRE DE FAIRE EN SORTE QUE LES FAMILLES DIMMIGRÏS n DONT BON
NOMBRE NE SONT ARRIVÏES QUE RÏCEMMENT n LEURS ENFANTS ET LES FUTURS ARRIVANTS SOIENT
i INTÏGRÏS w DANS LA SOCIÏTÏ DES PAYS DE L/#$% #ETTE QUESTION EST EXAMINÏE DANS LE CADRE
DUNE SÏRIE DÏTUDES PAR PAYS QUE L/#$% CONSACRE Ì LINSERTION DES IMMIGRÏS ET DE LEURS
ENFANTS SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL
,A SITUATION Ì CET ÏGARD VARIE SENSIBLEMENT DUN PAYS ET DUNE CATÏGORIE DIMMIGRÏS
Ì LAUTRE ,ES PERSONNES QUI MIGRENT POUR RAISONS HUMANITAIRES ET DANS LE CADRE DU
REGROUPEMENT FAMILIAL TENDENT Ì MOINS BIEN SINSÏRER SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL QUE
CELLES QUI ONT FAIT LOBJET DUNE SÏLECTION DIRECTE )L LEUR FAUT GÏNÏRALEMENT PLUS DE TEMPS
POUR VOIR LEUR SITUATION SE RAPPROCHER DE CELLE DE LA POPULATION AUTOCHTONE CE QUI DANS
CERTAINS CAS PEUT NE JAMAIS SE PRODUIRE ,ES TAUX DEMPLOI SONT PARTICULIÒREMENT BAS
CHEZ LES FEMMES IMMIGRÏES DE PAYS Oá LACTIVITÏ FÏMININE EST FAIBLE 3E POSE AUSSI DE
FA ON GÏNÏRALE LE PROBLÒME DE LA SURQUALIlCATION BEAUCOUP DIMMIGRÏS OCCUPENT DES
$FUPVWSBHFNFUFOÊWJEFODFMFT
EMPLOIS POUR LESQUELS LEUR NIVEAU DE FORMATION EST APPAREMMENT TROP ÏLEVÏ ,A SITUATION
QSJODJQFTFUGBDUFVSTJNQPSUBOUT
EST DAUTANT PLUS COMPLEXE QUE LEMPLOI DES IMMIGRÏS EST GÏNÏRALEMENT PLUS SENSIBLE GBWPSJTBOUMJOUÊHSBUJPOBVOJWFBV
Ì LA CONJONCTURE ÏCONOMIQUE QUE CELUI DES AUTOCHTONES 4OUTEFOIS LES IMMIGRÏS QUI MPDBM*MQSÊTFOUFVOFTÊSJFEF
ONT ACQUIS UNE EXPÏRIENCE PROFESSIONNELLE AU DÏBUT DE LEUR VIE ACTIVE PARVIENNENT PLUS SFDPNNBOEBUJPOTDPODSÍUFT
FACILEMENT Ì SINSÏRER DANS LEMPLOI Ì PLUS OU MOINS LONG TERME ÆNFUUSFFOVWSFBVOJWFBVMPDBM
FUOBUJPOBM
$ANS BEAUCOUP DE PAYS D%UROPE LINTÏGRATION DES ENFANTS DIMMIGRÏS NÏS DANS LE PAYS
DACCUEIL RETIENT PARTICULIÒREMENT LATTENTION "ON NOMBRE DENTRE EUX ARRIVENT MAINTENANT
SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL ET ONT DAVANTAGE DE DIFlCULTÏ Ì TROUVER UN EMPLOI QUE LES JEUNES
NÏS DANS LE PAYS QUI NE SONT PAS ISSUS DE LIMMIGRATION #ETTE SITUATION EST IMPUTABLE EN
PARTIE Ì UN NIVEAU DINSTRUCTION INFÏRIEUR ET Ì LA DISCRIMINATION MAIS AUSSI AU FAIT QUILS -&4"7*&;7064
%BOTCPOOPNCSFEFQBZT
NE BÏNÏlCIENT PAS DES RÏSEAUX OU DES CONTACTS INFORMELS PAR LE BIAIS DESQUELS BEAUCOUP
EFM0$%&
MFUBVYEFDIÔNBHF
DEMPLOIS SONT POURVUS ,ES MESURES VISANT Ì METTRE LES PERSONNES DORIGINE IMMIGRÏE EFTFOGBOUTEJNNJHSÊTFTUCJFO
EN RELATION AVEC DES EMPLOYEURS POTENTIELS n NOTAMMENT Ì TRAVERS DES DISPOSITIFS DE TVQÊSJFVSÆDFMVJEFTFOGBOUT
PARRAINAGE OU DE FORMATION EN ENTREPRISE n SEMBLENT PARTICULIÒREMENT EFlCACES EBVUPDIUPOFT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
LES PAYS DE L/#$% ENTRAÔNANT AINSI UNE AUGMENTATION DES DÏPENSES CONSACRÏES AUX
RETRAITES ET Ì DAUTRES PRESTATIONS SOCIALES NOTAMMENT CELLES RELATIVES Ì LA MALADIE ET
Ì LINVALIDITÏ VOIR ENCADRÏ P ,ÏDITION DE LOUVRAGE INTITULÏ ,ES PENSIONS DANS LES
PAYS DE L/#$% MONTRE QUUNE MAJORITÏ DE CES PAYS A BEAUCOUP PROGRESSÏ DANS LA RÏFORME
DES SYSTÒMES DE RETRAITE #EPENDANT CERTAINS DENTRE EUX DOIVENT ENCORE AGIR POUR QUE
CEUX QUI TRAVAILLENT AUJOURDHUI PUISSENT UN JOUR PERCEVOIR LA PENSION POUR LAQUELLE ILS
COTISENT ACTUELLEMENT
XXXPFDEPSHFMTTPDJBMGBNJMMF
4PVUFOJSMFTGBNJMMFT TPDJBMDPOUBDU!PFDEPSH
"EAUCOUP DE PAYS SEFFORCENT DE RÏORIENTER LES DÏPENSES VERS LES FAMILLES ET LES ENFANTS
POUR PLUSIEURS RAISONS 0REMIÒREMENT LES TAUX DE FÏCONDITÏ SONT EXTRÐMEMENT FAIBLES DANS
UN GRAND NOMBRE DE PAYS DE L/#$% NOTAMMENT EN !SIE DE L%ST ET EN %UROPE MÏRIDIONALE
ET CENTRALE ,ES POUVOIRS PUBLICS ESPÒRENT QUEN SOUTENANT LES FAMILLES DE FA ON PLUS
EFlCACE ILS ENCOURAGERONT LES PARENTS Ì AVOIR DAVANTAGE DENFANTS $EUXIÒMEMENT INCITER
DAVANTAGE DE FEMMES Ì EXERCER UNE ACTIVITÏ RÏMUNÏRÏE PEUT FAIRE CROÔTRE LE 0)" ET FAIRE
RECULER LA PAUVRETÏ %NlN IL FAUT ÏVITER QUE LA PAUVRETÏ ET LAPPARTENANCE Ì UN MILIEU
DÏFAVORISÏ DANS LENFANCE NENGENDRENT PAUVRETÏ ET SITUATION DE HANDICAP Ì LÊGE ADULTE
,/#$% A ENTREPRIS LÏLABORATION DUNE BASE DE DONNÏES SUR LES POLITIQUES FAMILIALES POUR
PERMETTRE AUX POUVOIRS PUBLICS DE PROlTER DE LEXPÏRIENCE DES AUTRES PAYS ,ES INDICATEURS
QUELLE CONTIENT ET BEAUCOUP DAUTRES RELATIFS AUX POLITIQUES SOCIALES ET AU DÏVELOPPEMENT
SOCIAL SONT PUBLIÏS DANS LÏDITION DE 0ANORAMA DE LA SOCIÏTÏ
XXXPFDEPSHHFOEFS
1SPNPVWPJSMÊHBMJUÊFOUSFIPNNFTFUGFNNFT NBSLQFBSTPO!PFDEPSH
,ES POLITIQUES QUI VISENT Ì RÏDUIRE LES DISPARITÏS ENTRE HOMMES ET FEMMES FAVORISENT LA
CROISSANCE LEMPLOI ET LE NIVEAU DE VIE ,/#$% SINTÏRESSE AUX RAISONS POUR LESQUELLES IL
EXISTE DES INÏGALITÏS ENTRE LES SEXES ET AUX MOYENS DE DÏlNIR DES MESURES QUI PROlTENT -&4"7*&;7064
AUX HOMMES COMME AUX FEMMES ,A MAJORITÏ DES TRAVAUX DE L/#$% SEFFECTUE SELON UNE .PJOTEVORVBSUEFT
ANALYSE PAR SEXE NOTAMMENT CEUX CONSACRÏS AUX RETRAITES AUX POLITIQUES FAMILIALES Ì SFQSÊTFOUBOUTQPMJUJRVFTEFTQBZT
LÏDUCATION AUX ÏCHANGES Ì LENTREPRENEURIAT ET Ì LAIDE AU DÏVELOPPEMENT ,A PUBLICATION EFM0$%&TPOUEFTGFNNFT
INTITULÏE 7OMEN AND -EN IN /%#$ COUNTRIES CONTIENT TOUT UN ÏVENTAIL DE STATISTIQUES ET
DINDICATEURS ISSUS DES NOMBREUSES ACTIVITÏS DE L/#$%
XXXPFDEPSHFMTNJHSBUJPOT
(ÊSFSMFTNJHSBUJPOTJOUFSOBUJPOBMFT NJHSBUJPODPOUBDU!PFDEPSH
,ES MIGRATIONS INTERNATIONALES DEMEURENT PARMI LES PREMIÒRES PRIORITÏS DES POUVOIRS
PUBLICS DANS BON NOMBRE DE PAYS DE L/#$% SURTOUT AU VUE DES DÏlS QUE POSENT
NOTAMMENT LES MIGRATIONS CLANDESTINES ET LINSERTION DES IMMIGRÏS SUR LE MARCHÏ DU
TRAVAIL VOIR ENCADRÏ P 0AR AILLEURS CERTAINS PAYS EN DÏVELOPPEMENT Oá LA MAIN
DUVRE
EST ABONDANTE SAPPUIENT LARGEMENT SUR LES ENVOIS DE FONDS DE LEURS RESSORTISSANTS
ÏMIGRÏS POUR SOUTENIR LA CONSOMMATION LOCALE ET LE DÏVELOPPEMENT $E LEUR CÙTÏ LES -&4"7*&;7064
-JNNJHSBUJPOÆMPOHUFSNF
PAYS DÏVELOPPÏS AYANT PEU DE MAIN
DUVRE SONT TRIBUTAIRES DE LAFmUX DE CES MIGRANTS
WFSTMFTQBZTEFM0$%&FTU
POUR COMPENSER LES DÏPARTS EN RETRAITE DES TRAVAILLEURS DE LA GÏNÏRATION DU BABY
BDUVFMMFNFOUTVQÊSJFVSF
BOOM 4OUTEFOIS LA PLUPART DES PAYS DE L/#$% SONT PEU DÏSIREUX DACCEPTER LA VENUE ÆUSPJTNJMMJPOTEFQFSTPOOFT
DIMMIGRÏS PEU QUALIlÏS %N ET EN L/#$% ENTREPRENDRA UN IMPORTANT PROJET QBSBO
QUI CONSISTERA Ì EXAMINER COMMENT LES MOUVEMENTS MIGRATOIRES DE TRAVAILLEURS DE TOUS
NIVEAUX DINSTRUCTION PEUVENT BÏNÏlCIER AUX PAYS DORIGINE COMME AUX PAYS DACCUEIL
,ES MIGRATIONS DE PROFESSIONNELS DE LA SANTÏ EN PARTICULIER DEVIENNENT DE PLUS EN PLUS
PRÏOCCUPANTES LA DEMANDE CROISSANTE DES PAYS DE L/#$% EN MÏDECINS ET INlRMIERS
EST PARFOIS SATISFAITE PAR DES PERSONNES VENUES DE PAYS QUI NE PEUVENT SE PERMETTRE DE
PERDRE LES MAIGRES RESSOURCES DONT ILS DISPOSENT DANS CE DOMAINE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
EVDBUJPO
EVDBUJPO XXXPFDEPSHFOTFJHOFNFOU
CBSCBSBJTDIJOHFS!PFDEPSH
3OUS LEFFET DE LÏVOLUTION DE LA CONJONCTURE ÏCONOMIQUE ET SOCIALE LÏDUCATION JOUE UN
RÙLE DE PLUS EN PLUS CENTRAL DANS LA RÏUSSITE DES NATIONS ET DES PERSONNES %LLE REPRÏSENTE
EN OUTRE UNE PART CONSIDÏRABLE DES DÏPENSES DANS TOUS LES PAYS 4OUTE LA DIFlCULTÏ POUR
LES GOUVERNEMENTS EST DE SASSURER QUE LOFFRE DE FORMATIONS RÏPOND AUX BESOINS DUNE
SOCIÏTÏ FONDÏE SUR LE SAVOIR ET EN CONSTANTE MUTATION ,/#$% AIDE LES PAYS MEMBRES Ì
ASSURER UNE FORMATION DE QUALITÏ POUR TOUS QUI CONTRIBUE Ì LÏPANOUISSEMENT PERSONNEL
Ì UNE CROISSANCE ÏCONOMIQUE DURABLE ET Ì LA COHÏSION SOCIALE
XXXPFDEPSHFOTFJHOFNFOU
1FUJUFFOGBODF
HSBOETEÊàT BCSBSIBTBO!PFDEPSH
,ORSQUILS SONT DE QUALITÏ LES PROGRAMMES DACCUEIL ET DÏDUCATION DE LA PETITE ENFANCE
PERMETTENT DASSURER LA FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE %N L/#$% A PUBLIÏ
0ETITE ENFANCE GRANDS DÏlS )) LE DEUXIÒME GRAND OUVRAGE RÏSULTANT DES TRAVAUX DE RECHERCHE
QUE L/RGANISATION CONSACRE Ì LA POLITIQUE DACCUEIL ET DÏDUCATION DES TOUT JEUNES
ENFANTS
#ETTE PUBLICATION PRÏSENTE DES DONNÏES LONGITUDINALES QUI SUIVENT LES MÐMES PERSONNES
AU lL DU TEMPS ET RÏVÒLENT LES AVANTAGES Ì LONG TERME QUE LES ENFANTS RETIRENT DE CE
TYPE DE DISPOSITIF DU POINT DE VUE DE LEUR ÏPANOUISSEMENT PERSONNEL AINSI QUE DE LEUR
DÏVELOPPEMENT SOCIAL ET COGNITIF #ES AVANTAGES SE RÏPERCUTENT ULTÏRIEUREMENT SUR L³TAT
SOUS FORME DE RECETTES ACCRUES ET DE MOINDRES DÏPENSES POUR LES PROGRAMMES SOCIAUX
SANITAIRES ET DE SOUTIEN SCOLAIRE
3INSPIRANT DE LEXAMEN DES POLITIQUES DE PAYS MEMBRES DE L/#$% 0ETITE ENFANCE
GRANDS DÏFIS )) TÏMOIGNE ÏGALEMENT DAPPROCHES NOVATRICES DANS LA CONCEPTION DE
%FHBVDIFÆESPJUF
%BWJE8BSE
QSÊTJEFOU
EFM"NFSJDBO$PVODJM
PG&EVDBUJPO
.BSJKLWBOEFS8FOEF
QSÊTJEFOUFEFMB$POGÊSFODF
HÊOÊSBMFEFM*.)&
QSÊTJEFOUF
EV$PNJUÊEJSFDUFVSEFM*.)&FU
QSPGFTTFVSBV$)&14
6OJWFSTJUÊ
EF5XFOUF
BVY1BZT#BT
BWFD
'SBOÉPJT(PVMBSE
NJOJTUSFGSBOÉBJT
EÊMÊHVÊÆM&OTFJHOFNFOU
TVQÊSJFVSFUÆMB3FDIFSDIF
MPSTEFMB$POGÊSFODFHÊOÊSBMF
FOTFQUFNCSF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXQJTBPFDEPSH
-F1*4"FUMFTÊMÍWFTJTTVTEFMJNNJHSBUJPO BOESFBTTDIMFJDIFS!PFDEPSH
-&4"7*&;7064
-FTÊMÍWFTJTTVTEFMJNNJHSBUJPO
POUEFTBTQJSBUJPOTCFBVDPVQQMVT
HSBOEFTRVFMFVSTDBNBSBEFT
BVUPDIUPOFTFONBUJÍSFEÊUVEFT
FUJMTPOUEFVYGPJTQMVTEF
DIBODFTEFTQÊSFSPCUFOJSVO
EJQMÔNFEFOJWFBVVOJWFSTJUBJSF
,E TOUT DERNIER RAPPORT THÏMATIQUE DU 0ROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS
DES ÏLÒVES 0)3! INTITULÏ 7HERE )MMIGRANT 3TUDENTS 3UCCEED MET EN LUMIÒRE LES DIFlCULTÏS
AUXQUELLES LES SYSTÒMES DÏDUCATION SONT CONFRONTÏS POUR INTÏGRER LES POPULATIONS
IMMIGRÏES DANS LES SOCIÏTÏS DACCUEIL )L RÏVÒLE QUEN !LLEMAGNE EN !UTRICHE EN "ELGIQUE
AU $ANEMARK AUX ³TATS
5NIS ET EN .ORVÒGE PLUS DUN TIERS DES JEUNES IMMIGRÏS DE LA
DEUXIÒME GÏNÏRATION OBTIENNENT EN MATHÏMATIQUES DES RÏSULTATS INFÏRIEURS AU NIVEAU
NÏCESSAIRE POUR BIEN LES UTILISER ET CE MALGRÏ LE FAIT QUÌ LÊGE DE ANS ILS AIENT TERMINÏ
LEUR SCOLARITÏ DANS LE PAYS HÙTE #E RAPPORT MONTRE AUSSI QUE DANS DE NOMBREUX PAYS
LES ÏLÒVES ISSUS DE FAMILLES IMMIGRÏES SONT DÏSAVANTAGÏS DÒS LE DÏPART #ES ÏLÒVES
SONT EN GÏNÏRAL ORIENTÏS VERS DES ÏTABLISSEMENTS SCOLAIRES Oá LES ATTENTES EN MATIÒRE
DE PERFORMANCE SONT PLUS FAIBLES #ES ÏTABLISSEMENTS ACCUEILLENT SOUVENT UNE FORTE
PROPORTION DÏLÒVES DÏFAVORISÏS ET DANS CERTAINS PAYS LES CLASSES DE CES ÏTABLISSEMENTS
SONT SOUVENT PERTURBÏES
$ANS TOUS LES PAYS EXAMINÏS EXCEPTÏ QUATRE AU MOINS DES ENFANTS IMMIGRÏS
DE LA DEUXIÒME GÏNÏRATION FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS SCOLAIRES Oá LES IMMIGRÏS
REPRÏSENTENT PLUS DE DE LEFFECTIF 0AR COMPARAISON DANS TOUS LES PAYS SAUF DEUX
MOINS DE DES ENFANTS AUTOCHTONES SE TROUVENT DANS CETTE SITUATION $ANS UN CERTAIN
NOMBRE DE PAYS LES ENFANTS IMMIGRÏS DE LA DEUXIÒME GÏNÏRATION OBTIENNENT DES
RÏSULTATS ENCORE AUSSI MAUVAIS QUE CEUX DE LA PREMIÒRE %N REVANCHE DANS QUELQUES PAYS
CONNAISSANT UN FORT TAUX DIMMIGRATION LEURS PERFORMANCES SONT BEAUCOUP PLUS PROCHES
DE CELLES DES ENFANTS AUTOCHTONES ET COMPARABLES Ì LA MOYENNE NATIONALE #E CONSTAT
LAISSE SUPPOSER QUE LA POLITIQUE GOUVERNEMENTALE PEUT FAIRE UNE DIFFÏRENCE
)L RESSORT ÏGALEMENT DU 0)3! QUE COMPARÏS Ì LEURS CAMARADES AUTOCHTONES LES ENFANTS
IMMIGRÏS FONT PART DUNE MOTIVATION Ì APPRENDRE LES MATHÏMATIQUES ÏGALE SINON PLUS
GRANDE #ECI DÏMONTRE QUE CES ÏLÒVES ONT UNE APPROCHE GÏNÏRALEMENT TRÒS POSITIVE ENVERS
LÏCOLE ET ONT UN POTENTIEL CONSIDÏRABLE DONT LES ÏTABLISSEMENTS SCOLAIRES DOIVENT TIRER
PARTI PLUS EFlCACEMENT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
EVDBUJPO
LIGNES DIRECTRICES DÏlNISSANT LES PRATIQUES EXEMPLAIRES 3ELON LE RAPPORT DES NIVEAUX
DINVESTISSEMENT PLUS ÏLEVÏS PEUVENT REMÏDIER AUX PRINCIPALES INSUFlSANCES ET INÏGALITÏS
EN MATIÒRE DE QUALITÏ DE SERVICES )L EST ÏGALEMENT RECOMMANDÏ Ì L³TAT DASSURER AU -&4"7*&;7064
MOINS DEUX ANNÏES DÏCOLE MATERNELLE AVANT LE DÏBUT DE LA SCOLARITÏ OBLIGATOIRE ET DE %FQVJT
MFTFGGFDUJGTEBOT
CONlER Ì UN SEUL MINISTÒRE LES MISSIONS DÏLABORATION DES POLITIQUES ET DE DÏlNITION MFOTFJHOFNFOUTVQÊSJFVSPOU
BVHNFOUÊEFFONPZFOOF
DES PROGRAMMES DANS CE DOMAINE ,ES AUTRES RECOMMANDATIONS VISENT NOTAMMENT Ì
EBOTMB[POF0$%&
RENFORCER LE LIEN ENTRE LA PETITE ENFANCE ET LE SYSTÒME SCOLAIRE Ì TIRER PARTI DES MÏTHODES
PARTICIPATIVES POUR AMÏLIORER LA QUALITÏ DE LÏDUCATION ET Ì UTILISER UN PROGRAMME NATIONAL
CLAIREMENT DÏlNI MAIS SOUPLE
XXXPFDEPSHFEVUFSUJBSZ
&OTFJHOFNFOUTVQÊSJFVSRVBMJUÊ
ÊRVJUÊFUFGàDJFODF SJDIBSEZFMMBOE!PFDEPSH
0OUR LA PREMIÒRE FOIS LES MINISTRES DE L%NSEIGNEMENT SUPÏRIEUR DE L/#$% SE SONT RÏUNIS
EN ET ONT EXAMINÏ LE THÒME GÏNÏRAL SUIVANT i %NSEIGNEMENT SUPÏRIEUR QUALITÏ
ÏQUITÏ ET EFlCIENCE w ,A RÏUNION SEST DÏROULÏE Ì !THÒNES SUR LINVITATION DU GOUVERNEMENT
DE LA 'RÒCE ET ÏTAIT PRÏSIDÏE PAR LA MINISTRE GRECQUE DE L³DUCATION
,ENSEIGNEMENT SUPÏRIEUR SEST CONSIDÏRABLEMENT DÏVELOPPÏ ET DIVERSIlÏ AU COURS DES
DERNIÒRES DÏCENNIES ET LES MINISTRES ONT FAIT PART DES LE ONS TIRÏES DE CERTAINES DES
NOMBREUSES RÏFORMES STRUCTURELLES QUILS ONT ENTREPRISES ,ENSEIGNEMENT SUPÏRIEUR NE
SE RÏSUME PAS AUX FORMATIONS DISPENSÏES DANS LES UNIVERSITÏS ET LES CLASSEMENTS NE
SONT PAS DES OUTILS lABLES POUR MESURER LA VALEUR DUN ÏTABLISSEMENT ,ES MINISTRES ONT
CONVENU QUIL FALLAIT SINTÏRESSER PLUS PARTICULIÒREMENT Ì LA PERTINENCE ET Ì LA QUALITÏ DE
LOFFRE AINSI QUÌ LA QUALITÏ DE LA PÏDAGOGIE #ET ASPECT EST PARTICULIÒREMENT URGENT ÏTANT
DONNÏ LIMPORTANCE STRATÏGIQUE QUE LENSEIGNEMENT SUPÏRIEUR REVÐT POUR LA CROISSANCE
ÏCONOMIQUE DANS LES SOCIÏTÏS DAUJOURDHUI FONDÏES SUR LE SAVOIR ET ÏTANT DONNÏ LE COßT
CONSIDÏRABLE DE CE SECTEUR 4OUS LES DOCUMENTS RELATIFS Ì LA RÏUNION ONT ÏTÏ PUBLIÏS DANS
LÏDITION
D!NALYSE DES POLITIQUES DÏDUCATION
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXQJTBPFDEPSH
5JSFSMFNFJMMFVSQBSUJEFMÊEVDBUJPO BOESFBTTDIMFJDIFS!PFDEPSH
,ES GOUVERNEMENTS COMPTENT SUR DES INFORMATIONS lABLES POUR PRENDRE DES DÏCISIONS AU
SUJET DU SYSTÒME ÏDUCATIF DE LEUR PAYS ,A PUBLICATION ANNUELLE 2EGARDS SUR LÏDUCATION OFFRE
UN SUPPORT STATISTIQUE PERMETTANT AUX PAYS LES PLUS DÏVELOPPÏS DU MONDE DEXAMINER
ET DE DÏTERMINER LEUR ACTION DANS CE DOMAINE ,ÏDITION DE CONTIENT DE NOUVEAUX
ÏLÏMENTS DINFORMATION SUR LENSEIGNEMENT SUPÏRIEUR AINSI QUE SUR LES TENDANCES
DÏMOGRAPHIQUES LE TEMPS DINSTRUCTION ET LA MOBILITÏ DES ÏTUDIANTS )L COMPREND
ÏGALEMENT UNE ANALYSE COMPLÏMENTAIRE TIRÏE DE LENQUÐTE DU 0ROGRAMME INTERNATIONAL
POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÏLÒVES 0)3!
XXXPFDEPSHFEVDFSJGS
4DÊOBSJPTQPVSMÊDPMFEFEFNBJO EBWJEJTUBODF!PFDEPSH
,ÏCOLE DAUJOURDHUI AURA UNE INCIDENCE SUR LA VIE DES PERSONNES ET LA SANTÏ DE SOCIÏTÏS
TOUTES ENTIÒRES PENDANT LES DÏCENNIES Ì VENIR 0OURTANT LES DÏCISIONS PRISES EN MATIÒRE
DÏDUCATION VISENT AVANT TOUT Ì RÏSOUDRE LES PROBLÒMES IMMÏDIATS URGENTS OU Ì UTILISER
DES PRATIQUES CLASSIQUES AVEC PLUS DEFlCIENCE PLUTÙT QUÌ CONSTRUIRE LE LONG TERME ,A
MÏTHODE DES SCÏNARIOS EST UNE SOLUTION PROMETTEUSE POUR RÏTABLIR LÏQUILIBRE
5NE NOUVELLE PUBLICATION INTITULÏE 2EPENSER LENSEIGNEMENT DES SCÏNARIOS POUR AGIR PRÏSENTE
LES SYNTHÒSES DE SPÏCIALISTES ET DES LE ONS TRÒS PRATIQUES POUR CONSTRUIRE ET UTILISER LES
SCÏNARIOS $E NOMBREUX EXEMPLES SONT EMPRUNTÏS AU MONDE EXTÏRIEUR Ì LÏDUCATION
COMME LE MILIEU DES ENTREPRISES ET LE DOMAINE DE LENVIRONNEMENT Oá LA PRISE DE
DÏCISIONS EST SYSTÏMATIQUEMENT ÏTAYÏE PAR UN EXAMEN DES PERSPECTIVES Ì LONG TERME
#ET OUVRAGE DÏCRIT ÏGALEMENT LA RÏALISATION DE RÏmEXIONS PROSPECTIVES EN !NGLETERRE
EN .OUVELLE
:ÏLANDE AU #ANADA ET AUX 0AYS
"AS &ACE Ì LA COMPLEXITÏ ET AUX MUTATIONS
DU MONDE CES PROJETS AUDACIEUX ONT POUR BUT DÏLARGIR LES HORIZONS DES DIRIGEANTS DANS
LE SECTEUR DE LÏDUCATION
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
EVDBUJPO
%N LE 0)3! A ACHEVÏ LE TROISIÒME CYCLE SUR TROIS ANS DE SON ENQUÐTE SUR LES
CONNAISSANCES ET LES COMPÏTENCES DES JEUNES DE ANS DANS LE MONDE 5N MILLION DÏLÒVES
DANS PLUS DE PAYS ONT PARTICIPÏ Ì CE JOUR Ì CET EXERCICE ,ES RÏSULTATS DU CYCLE
DU 0)3! SERONT PUBLIÏS EN DÏCEMBRE
,ES ÏVALUATIONS DU 0)3! PRÏVUES POUR ET PERMETTRONT AUX PAYS DE SUIVRE
Ì INTERVALLES RÏGULIERS LES PROGRÒS ACCOMPLIS VERS LA RÏALISATION DES GRANDS OBJECTIFS DE LA
FORMATION )LS RÏVÒLERONT AUSSI LES PAYS QUI ACCUSENT UN RETARD #ES ENQUÐTES PERMETTRONT
DEXPLIQUER COMMENT LES RESSOURCES DU SYSTÒME SCOLAIRE LES POLITIQUES ET LES PRATIQUES
INTERAGISSENT AVEC LES MILIEUX DORIGINE DES ÏLÒVES ET INmUENT SUR LES PERFORMANCES DE
CES DERNIERS %FHBVDIFÆESPJUF
-F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEFM0$%&
,/#$% A PARTICIPÏ Ì TOUS LES TRAVAUX PRÏPARATOIRES EN VUE DE LA RÏUNION DES MINISTRES DE "OHFM(VSSÎB
FUMBNJOJTUSFHSFDRVF
L³DUCATION DES PAYS DU ' DE ORGANISÏE Ì -OSCOU ET INTITULÏE i ,ÏDUCATION POUR EFMEVDBUJPOFUEFT$VMUFT
UNE SOCIÏTÏ DE LINNOVATION DU 88)E SIÒCLE w .BSJFUUB(JBOOBLPV
MPSTEFMBSÊVOJPO
EFTNJOJTUSFTEFMEVDBUJPO
,ES MINISTRES ONT DÏBATTU DES SYSTÒMES DE QUALIlCATION PROFESSIONNELLE DE LINTÏGRATION ET FOKVJO
DE LA RESPONSABILISATION DES MIGRANTS ET DES IMMIGRÏS AINSI QUE DES MÏTHODES PERMETTANT
DÏVALUER LA QUALITÏ DE LENSEIGNEMENT DE BASE
XXXPFDEPSHFEVFRVJUF
RVJUÊEFWBOUMÊEVDBUJPO TJNPOàFME!PFDEPSH
,A COHÏSION SOCIALE DEMEURE AU CENTRE DE LA POLITIQUE DE LÏDUCATION DES PAYS DE L/#$%
ET LA QUESTION DE LÏQUITÏ DEVANT LÏDUCATION A FAIT LOBJET DUNE VASTE ÏTUDE Ì L/#$%
%N SEULES DES &INLANDAISES DE ANS MAÔTRISAIENT TRÒS MAL LA LECTURE
0OURTANT DE TOUS LES ÏLÒVES DE LA ZONE /#$% SE TROUVAIENT DANS CETTE SITUATION CE QUI
LAISSE SUPPOSER QUE LÏCHEC OU LE DÏCROCHAGE SCOLAIRE PEUVENT ÐTRE ÏVITÏS
5NE NOUVELLE ÏTUDE DE L/#$% SUR LÏQUITÏ DEVANT LÏDUCATION FONDÏE SUR LES TRAVAUX
CONDUITS DANS DIX PAYS SERA PUBLIÏE EN #ET OUVRAGE PORTE SUR LÏCHEC ET LE DÏCROCHAGE
SCOLAIRES ET SUR LA FA ON DONT CES PHÏNOMÒNES DÏPENDENT DES FACTEURS LIÏS Ì LORIGINE
SOCIALE TELS QUE LE STATUT DIMMIGRÏ ,E CHOIX DE LÏTABLISSEMENT ET LA RÏPARTITION DES ÏLÒVES
PAR lLIÒRE LES PROBLÒMES DE RESSOURCES ET LES LIENS ENTRE LA FAMILLE ET LÏCOLE SONT AUTANT DE
QUESTIONS EXAMINÏES DANS CE RAPPORT )L COMPREND ÏGALEMENT DES PROPOSITIONS CONCRÒTES
POUR AMÏLIORER LES PERFORMANCES DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS DES PAYS DE L/#$%
XXXPFDEPSHFEVFRVJQFNFOUT
FWBMVBUJPORVBMJUF
RVJQFNFOUTÊEVDBUJGT IBOOBIWPOBIMFGFME!PFDEPSH
,A TROISIÒME ÏDITION DU &LORILÒGE DÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT EXEMPLAIRES DU 0ROGRAMME
POUR LA CONSTRUCTION ET LÏQUIPEMENT DE LÏDUCATION 0%" A ÏTÏ PUBLIÏE EN #ET OUVRAGE
EXAMINE COMMENT LA CONCEPTION LUTILISATION ET LA GESTION DES INFRASTRUCTURES PHYSIQUES
PEUVENT CONTRIBUER Ì LA QUALITÏ DE LENSEIGNEMENT 0AR DES PHOTOGRAPHIES POLYCHROMES
DES PLANS ET DES TEXTES DESCRIPTIFS CE RECUEIL TRAITE DE LA FONCTIONNALITÏ DE BÊTIMENTS
OU TERRAINS RÏCEMMENT CONSTRUITS OU RÏNOVÏS CHOISIS POUR LEUR CARACTÒRE NOVATEUR DANS
LE DOMAINE DE LA SßRETÏ DE LA VIABILITÏ DES MODES DE lNANCEMENT DES BESOINS LOCAUX
ET DE LA SOUPLESSE DE CONCEPTION
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
&OWJSPOOFNFOU XXXPFDEPSHFOWJSPOOFNFOU
FOWDPOUBDU!PFDEPSH
5N ENVIRONNEMENT SAIN EST UNE CONDITION SINE QUA NON DUNE ÏCONOMIE FORTE ET PROSPÒRE
DEUX ÏLÏMENTS NÏCESSAIRES AU DÏVELOPPEMENT DURABLE ,/#$% OFFRE AUX PAYS UN CADRE
PRIVILÏGIÏ POUR CONFRONTER LEURS EXPÏRIENCES ET ÏLABORER DES RECOMMANDATIONS CONCRÒTES
EN VUE DE CONCEVOIR ET DE METTRE EN UVRE DES POLITIQUES QUI PERMETTENT DE FAIRE FACE
AUX PROBLÒMES DENVIRONNEMENT DE FA ON EFlCACE ET ÏCONOMIQUEMENT RATIONNELLE
3I LES PAYS DE L/#$% ONT PU RÏGLER UN CERTAIN NOMBRE DE PROBLÒMES DENVIRONNEMENT
BEAUCOUP DAUTRES PERSISTENT OU APPARAISSENT %T COMME LEUR COMPLEXITÏ VA CROISSANT
ILS SOUHAITENT UNE ACTION CONCERTÏE AU NIVEAU INTERNATIONAL COMME POUR LE CHANGEMENT
CLIMATIQUE OU LADOPTION DENSEMBLES DE MESURES COORDONNÏES ENTRE LES RÏGIONS ETOU
LES SECTEURS COMME POUR LA BIODIVERSITÏ LA POLLUTION AGRICOLE LES TRANSPORTS ,/#$% AIDE
LES GOUVERNEMENTS DE SES PAYS MEMBRES Ì FAIRE FACE Ì CES PROBLÒMES
XXXPFDEPSHFOWUBYFT
FDPOPNJFQPMJUJRVF
5BYFTMJÊFTÆMFOWJSPOOFNFOU FOWDPOUBDU!PFDEPSH
,ES TAXES LIÏES Ì LENVIRONNEMENT SONT DE PLUS EN PLUS RÏPANDUES DANS LES PAYS DE L/#$%
ET LEUR EFlCACITÏ ENVIRONNEMENTALE A ÏTÏ AMPLEMENT DÏMONTRÏE #EPENDANT ELLES
POURRAIENT ÐTRE UTILISÏES PLUS LARGEMENT Ì CONDITION DÐTRE BIEN CON UES ET APPLIQUÏES
EN TENANT CORRECTEMENT COMPTE DES POSSIBLES RÏPERCUSSIONS SUR LA COMPÏTITIVITÏ
INTERNATIONALE ET LA RÏPARTITION DES REVENUS 5NE ÏTUDE DE L/#$% QUI FAIT AUTORITÏ PORTE
SUR LEXPÏRIENCE QUELLE A ACQUISE DE CES TAXES LIÏES Ì LENVIRONNEMENT 0ARUE EN
ELLE SOULIGNE LES EFFETS ENVIRONNEMENTAUX ET ÏCONOMIQUES DE LEUR APPLICATION %N OUTRE
DES ORIENTATIONS Y SONT DONNÏES POUR SURMONTER LES OBSTACLES Ì LA MISE EN UVRE DE
CES TAXES EN PARTICULIER LOPPOSITION DES SECTEURS CONCERNÏS ET DE LOPINION PUBLIQUE
EN GÏNÏRAL
6OFDPMPOJFEFQJOHPVJOTE"EÊMJF
JOTUBMMÊFTVSVOÊQFSPOSPDIFVY
BVEFTTVTEÊUFOEVFTEFHMBDF
GPOEVFGBDFÆMBDBMPUUFHMBDJBJSF
EFMBNFSEF3PTTFO"OUBSDUJRVF
-FTTDJFOUJàRVFTUJSFOUMBTPOOFUUF
EBMBSNFMBDBMPUUFHMBDJÍSF
FO"OUBSDUJRVFNFOBDFEFGPOESF
FOSBJTPOEVDIBOHFNFOU
DMJNBUJRVF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
&OWJSPOOFNFOU
XXXPFDEPSHFOWFYBNFOTQBZT
&YBNFOFOWJSPOOFNFOUBMEFMB$IJOF FOWDPOUBDU!PFDEPSH
%N L/#$% A RÏALISÏ LE PREMIER
EXAMEN ENVIRONNEMENTAL DE LA #HINE
)L SAPPUIE SUR PLUS DE DIX ANS DE
COOPÏRATION ENVIRONNEMENTALE ENTRE
L/RGANISATION ET CE PAYS #ETTE
COOPÏRATION A NOTAMMENT DONNÏ
LIEU Ì DES ACTIVITÏS CONJOINTES SUR
LINFORMATION ET LES INDICATEURS
ENVIRONNEMENTAUX ET Ì UN DIALOGUE
SUR LA RÏFORME FISCALE ÏCOLOGIQUE
ET LE FINANCEMENT DES DÏPENSES
DENVIRONNEMENT #EST AINSI QUE
LA #HINE A REPRIS DANS SA LÏGISLATION
ENVIRONNEMENTALE CERTAINES APPROCHES
DE L/#$% TELLES QUE LES PRINCIPES
i POLLUEUR PAYEUR w ET i UTILISATEUR
PAYEUR w PAR EXEMPLE DANS LE CADRE
DES REDEVANCES ENVIRONNEMENTALES ET
DE LA TARIlCATION DE LEAU
'RÊCE Ì CE PARTENARIAT LES PAYS DE L/#$% ONT PU SE FAIRE UNE IDÏE DES GRANDS DÏlS
AUXQUELS EST CONFRONTÏE LA #HINE DANS LE DOMAINE DE LENVIRONNEMENT ET DES MESURES
QUI SONT PRISES POUR LES RELEVER $ES EXPERTS DE NEUF PAYS DE L/#$% !LLEMAGNE #ANADA
#ORÏE ³TATS
5NIS )TALIE *APON .ORVÒGE 2OYAUME
5NI ET 3UÒDE ONT REJOINT LÏQUIPE
DEXAMEN DE L/#$% #ELLE
CI A RENCONTRÏ DES REPRÏSENTANTS DES AUTORITÏS CHINOISES DES
INDUSTRIELS ET DES ORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES ET SEST RENDUE DANS PLUSIEURS
PROVINCES ET MUNICIPALITÏS
,EXAMEN CONFIRME QUE LE DÏVELOPPEMENT ÏCONOMIQUE LINDUSTRIALISATION ET
LURBANISATION RAPIDES SONT Ì LORIGINE DE PRESSIONS CROISSANTES SUR LENVIRONNEMENT QUI
ONT DIMPORTANTS EFFETS DOMMAGEABLES SUR LE PLAN SANITAIRE ET CONTRIBUENT Ì LÏPUISEMENT
DES RESSOURCES NATURELLES !INSI CERTAINES VILLES CHINOISES AFlCHENT DES NIVEAUX DE
POLLUTION ATMOSPHÏRIQUE PARMI LES PLUS ÏLEVÏS DU MONDE ET UN TIERS DES COURS DEAU
DU PAYS SONT GRAVEMENT POLLUÏS %N OUTRE LA DÏGRADATION DE LENVIRONNEMENT ET LES
MAUVAISES CONDITIONS DE TRAVAIL ENGENDRENT DES MALADIES ET DES DOMMAGES CORPORELS
0ARALLÒLEMENT LEXAMEN SOULIGNE LES EFFORTS ENTREPRIS PAR LES AUTORITÏS CHINOISES POUR
FAVORISER DES MODÒLES DE DÏVELOPPEMENT PLUS ÏQUILIBRÏS EN PROMOUVANT DES CONCEPTS
COMME LA i SOCIÏTÏ HARMONIEUSE w ET LE i DÏVELOPPEMENT SCIENTIlQUE w
,EXAMEN QUI SERA PUBLIÏ EN ÏNONCE RECOMMANDATIONS INCITANT LES
AUTORITÏS CHINOISES Ì RENFORCER LAPPLICATION DE LA RÏGLEMENTATION ENVIRONNEMENTALE
NOTAMMENT AU NIVEAU INFRANATIONAL Ì MOBILISER DES FINANCEMENTS AU PROFIT DES
INFRASTRUCTURES ENVIRONNEMENTALES ET Ì PRENDRE EN COMPTE LES PRÏOCCUPATIONS
DENVIRONNEMENT DANS LES POLITIQUES AGRICOLES ÏNERGÏTIQUES ET INDUSTRIELLES )L SOULIGNE EN $FUPVWSBHFFYBNJOFMFTFGGPSUT
EFMB$IJOFQPVSTBUJTGBJSF
OUTRE QUIL EST DANS LINTÏRÐT COMMUN DE LA #HINE ET DES PAYS MEMBRES ET NON MEMBRES
ÆTFTFOHBHFNFOUTFONBUJÍSF
DE L/#$% DE SATTAQUER AUX GRANDS PROBLÒMES DENVIRONNEMENT ET QUE LA #HINE EST EFOWJSPOOFNFOU FUGBJU
NETTEMENT PLUS ENGAGÏE DANS LA COOPÏRATION INTERNATIONALE EN MATIÒRE DENVIRONNEMENT EFTSFDPNNBOEBUJPOTTVS
DEPUIS QUELQUES ANNÏES MFTQSPHSÍTÆSÊBMJTFS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHFOWDDGS
$IBOHFNFOUDMJNBUJRVF DMJNBUFDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% AIDE LES GOUVERNEMENTS Ì ÏLABORER DES MESURES POUR RÏDUIRE LES ÏMISSIONS DE
GAZ Ì EFFET DE SERRE '%3 AU MOINDRE COßT %LLE LEUR PROPOSE DES MOYENS POUR PRENDRE EN
COMPTE LADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE DANS LENSEMBLE DES DOMAINES DACTION
%N CONCERTATION AVEC L!GENCE INTERNATIONALE DE LÏNERGIE L/#$% ANALYSE DES ASPECTS -&4"7*&;7064
IMPORTANTS QUI SONT AU PROGRAMME DES NÏGOCIATIONS DE LA #ONVENTION
CADRE SUR LES -B4VÍEFBSÊEVJUEF
CHANGEMENTS CLIMATIQUES NOTAMMENT LES SYSTÒMES DÏCHANGE DE DROITS DÏMISSION TFTÊNJTTJPOTEFEJPYZEF
DES '%3 LE MÏCANISME POUR UN DÏVELOPPEMENT PROPRE LE DÏVELOPPEMENT ET LA DIFFUSION DE EFTPVGSFHSÄDFÆVOFUBYF
TECHNOLOGIES AINSI QUE LA DÏFORESTATION !PRÒS AVOIR ORGANISÏ EN UN ATELIER DEXPERTS TVSMBUFOFVSFOTPVGSFEFT
DBSCVSBOUTFUDPNCVTUJCMFT
SUR LES AVANTAGES DES POLITIQUES RELATIVES AU CHANGEMENT CLIMATIQUE L/RGANISATION PUBLIE
CETTE ANNÏE DES ÏTUDES SUR LES MOYENS DE MESURER LES EFFETS DU CHANGEMENT CLIMATIQUE
SUR LA MONTÏE DU NIVEAU DE LA MER ET SUR LE SECTEUR AGRICOLE
,ORS DE LEUR RÏUNION EN AVRIL LES MINISTRES DE L%NVIRONNEMENT ET DU $ÏVELOPPEMENT
DES PAYS DE L/#$% ONT ADOPTÏ LA i $ÏCLARATION SUR LA PRISE EN COMPTE DE LADAPTATION AU
CHANGEMENT CLIMATIQUE DANS LA COOPÏRATION POUR LE DÏVELOPPEMENT w !lN DY DONNER
SUITE L/#$% COORDONNE LA DIFFUSION DE PRATIQUES OPTIMALES POUR INTÏGRER CETTE ADAPTATION
DANS LA PLANIlCATION DU DÏVELOPPEMENT ET DANS LAIDE AU DÏVELOPPEMENT %LLE A AUSSI
ENGAGÏ DES TRAVAUX SUR LES ASPECTS ÏCONOMIQUES DE CETTE ADAPTATION
XXXPFDEPSHFOWPVUSFBDI
-FOWJSPOOFNFOUEBOTMFTÊDPOPNJFTÊNFSHFOUFTFUFOUSBOTJUJPO FOWDPOUBDU!PFDEPSH
%N SA QUALITÏ DE SECRÏTARIAT DU 'ROUPE DÏTUDE CHARGÏ DE LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME
DACTION ENVIRONNEMENTALE POUR L%UROPE CENTRALE ET ORIENTALE L/#$% APPORTERA PLUSIEURS
CONTRIBUTIONS Ì LA CONFÏRENCE MINISTÏRIELLE i 5N ENVIRONNEMENT POUR L%UROPE w QUI AURA
LIEU Ì "ELGRADE EN OCTOBRE $ANS CETTE OPTIQUE L/#$% PRÏSENTERA UN RAPPORT ÏVALUANT
LES PROGRÒS RÏALISÏS PAR LES PAYS D%UROPE ORIENTALE DU #AUCASE ET D!SIE CENTRALE %/#!#
PAR RAPPORT AUX OBJECTIFS DE LA STRATÏGIE ENVIRONNEMENTALE ADOPTÏE LORS DE LA PRÏCÏDENTE
CONFÏRENCE MINISTÏRIELLE Ì +IEV EN ,A PRODUCTION DE CE RAPPORT EST LOCCASION DUN
AMBITIEUX PROCESSUS DE COORDINATION SUR LES QUESTIONS DENVIRONNEMENT AUQUEL PARTICIPENT
LES PAYS D%/#!# ET LES INSTITUTIONS INTERNATIONALES QUI UVRENT DANS LA RÏGION $AUTRES
RAPPORTS SERONT PRÏSENTÏS PAR L/#$% SUR LE lNANCEMENT DES DÏPENSES DENVIRONNEMENT LA
DISTRIBUTION DE LEAU ET LASSAINISSEMENT LA RÏFORME DES ORGANISMES CHARGÏS DE FAIRE RESPECTER
LA RÏGLEMENTATION ENVIRONNEMENTALE LES PERMIS ENVIRONNEMENTAUX ET LES PARTENARIATS
,/#$% A RÏALISÏ SON PREMIER %XAMEN ENVIRONNEMENTAL DE LA #HINE DANS LE CADRE DU
PROGRAMME DEXAMEN PAR PAYS CONSACRÏ AUX EFFORTS DÏPLOYÏS PAR SES MEMBRES ET CERTAINS
NON
MEMBRES POUR ATTEINDRE LEURS OBJECTIFS ENVIRONNEMENTAUX VOIR ENCADRÏ P
XXXPFDEPSHFIT
4ÊDVSJUÊEFTQSPEVJUTDIJNJRVFT FITDPOU!PFDEPSH
,ACCEPTATION MUTUELLE DES DONNÏES !-$ SUR LES ESSAIS DES PRODUITS CHIMIQUES
EST LE PRINCIPAL INSTRUMENT EMPLOYÏ PAR L/#$% POUR PROTÏGER LA SANTÏ HUMAINE ET
LENVIRONNEMENT CONTRE LES DANGERS DES PRODUITS CHIMIQUES TOUT EN PRÏVENANT LES
OBSTACLES NON TARIFAIRES AUX ÏCHANGES $ANS LE CADRE DE L!-$ LES RÏSULTATS DESSAIS
OBTENUS DANS UN PAYS ADHÏRENT SONT ACCEPTÏS PAR LES AUTRES PAYS ADHÏRENTS #E DISPOSITIF
PERMET DÏVITER LA RÏPÏTITION INUTILE DES ESSAIS AVEC Ì LA CLÏ UNE ÏCONOMIE GLOBALE DE
MILLIONS 53$ PAR AN POUR LES GOUVERNEMENTS ET LINDUSTRIE CHIMIQUE $E PLUS EN PLUS
DE PAYS NON MEMBRES DE L/#$% SOUSCRIVENT Ì L!-$ ,!FRIQUE DU 3UD LA 3LOVÏNIE ET
)SRAÑL Y PARTICIPENT DÏJÌ Ì PART ENTIÒRE L)NDE ET L!RGENTINE Y ONT ADHÏRÏ Ì TITRE PROVISOIRE
ET DAUTRES PAYS NON MEMBRES DEVRAIENT SUIVRE SOUS PEU
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
&OWJSPOOFNFOU
XXXPFDEPSHCJPUSBDL
4ÊDVSJUÊEFTUFDIOPMPHJFTNPEFSOFT JDHC!PFDEPSH
&IN L/#$% A LANCÏ UN NOUVEAU PROGRAMME POUR PROMOUVOIR LA COOPÏRATION
INTERNATIONALE EN MATIÒRE DE SÏCURITÏ SANITAIRE ET ENVIRONNEMENTALE DES NANOMATÏRIAUX
MANUFACTURÏS VOIR ENCADRÏ P
,A MAJORITÏ DES PAYS DE L/#$% EST DOTÏE DUN SYSTÒME DE SURVEILLANCE RÏGLEMENTAIRE DES
PRODUITS ISSUS DES BIOTECHNOLOGIES MODERNES NOTAMMENT DES ORGANISMES GÏNÏTIQUEMENT
MODIlÏS QUI SONT DESTINÏS Ì ÐTRE INTRODUITS DANS LENVIRONNEMENT ,/#$% TRAVAILLE
SUR LHARMONISATION INTERNATIONALE DE CETTE SURVEILLANCE LE BUT ÏTANT DASSURER UNE
ÏVALUATION APPROPRIÏE DES ASPECTS RELATIFS Ì LA SANTÏ ET Ì LA SÏCURITÏ DE LENVIRONNEMENT
TOUT EN PRÏVENANT LES OBSTACLES NON TARIFAIRES AUX ÏCHANGES DE PRODUITS ISSUS DES CES
TECHNOLOGIES VOIR ENCADRÏ P
XXXPFDEPSHBHSFOWGS
&OWJSPOOFNFOUFUBHSJDVMUVSF XJMGSJEMFHH!PFDEPSH
,AGRICULTURE CONSOMME ÏNORMÏMENT DEAU ET POLLUE BEAUCOUP %N LES TRAVAUX DE
L/#$% SUR LAGRICULTURE ET LENVIRONNEMENT ONT PORTÏ SUR LAMÏLIORATION DE LA GESTION DE
LEAU DANS LE SECTEUR AGRICOLE 3I LE SOUTIEN DES PRIX DU MARCHÏ DES PRODUITS AGRICOLES
&TTBJTEFTQSPEVJUTDIJNJRVFTUFNQTFUBSHFOU
XXXPFDEPSHFIT
ÊDPOPNJTÊT
BOJNBVYÊQBSHOÊT JDHC!PFDEPSH
,ES INFORMATIONS SUR LES DANGERS QUE
REPRÏSENTENT LES PRODUITS CHIMIQUES
POUR LENVIRONNEMENT ET LA SANTÏ SONT
INDISPENSABLES AUX PAYS MEMBRES DE
L/#$% 3I LA PLUPART DE CES INFORMATIONS
EST OBTENUE AU MOYEN DESSAIS IL EXISTE
UNE AUTRE MÏTHODE PROMETTEUSE QUI FAIT
APPEL Ì DES SIMULATIONS INFORMATIQUES
APPELÏES RELATIONS QUANTITATIVES
STRUCTURE ACTIVITÏ OU 1 3!2 #ELLE CI
PEUT LIVRER DES INFORMATIONS SUR LES -&4"7*&;7064
DANGERS DES PRODUITS CHIMIQUES EN -FDPÚUEFTFTTBJTEFTÊDVSJUÊ
RÏDUISANT LE TEMPS LE COßT ET LES BESOINS BVYRVFMTFTUTPVNJTVOQFTUJDJEF
EN ANIMAUX ACTUELLEMENT NÏCESSAIRES BWBOUEËUSFDPNNFSDJBMJTÊTÊMÍWF
ÆFOWJSPONJMMJPOT64%
3I LON RECOURT AUJOURDHUI RELATIVEMENT
PEU AUX 1 3!2 DANS LE CADRE DE LA
RÏGLEMENTATION DES PRODUITS CHIMIQUES
L/#$% ÏTUDIE LES POSSIBILITÏS DE METTRE
EN UVRE CES MÏTHODES DANS LENSEMBLE
DES PAYS MEMBRES
,/#$% A ÏLABORÏ DES i PRINCIPES RÏGISSANT
LA VALIDATION DES MODÒLES DE 1 3!2 Ì DES lNS RÏGLEMENTAIRES w DE MÐME QUE DES
ORIENTATIONS Ì LINTENTION DES GOUVERNEMENTS EN VUE DUNE MISE EN UVRE COHÏRENTE ET
TRANSPARENTE DE CES PRINCIPES 5NE SÏRIE DOUTILS PERMETTANT UNE APPLICATION PRATIQUE DES
MODÒLES PAR LADMINISTRATION ET LINDUSTRIE DANS DES CONTEXTES RÏGLEMENTAIRES PARTICULIERS
EST EN COURS DE DÏVELOPPEMENT ET SERA DISPONIBLE EN
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHCJPUSBDL
#JPTÊDVSJUÊFUDVMUVSFTUSBOTHÊOJRVFT JDHC!PFDEPSH
0OUR LES GOUVERNEMENTS LES ASPECTS TOUCHANT Ì LA SÏCURITÏ DES CULTURES GÏNÏTIQUEMENT
MODIlÏES QUI SE MULTIPLIENT DE PAR LE MONDE REPRÏSENTENT UN ENJEU DE PLUS EN PLUS
IMPORTANT 0ARALLÒLEMENT LES ALIMENTS DESTINÏS Ì LA CONSOMMATION HUMAINE ET ANIMALE
PROVENANT DE CES CULTURES SONT LARGEMENT COMMERCIALISÏS
,/#$% TRAVAILLE DEPUIS SUR LES QUESTIONS DE BIOSÏCURITÏ ,E BUT EST DAIDER LES PAYS Ì
-&4"7*&;7064
IDENTIlER LES RISQUES POTENTIELS DE CES PRODUITS DE FAVORISER LA CONNAISSANCE RÏCIPROQUE
NJMMJPOTEBHSJDVMUFVSTPOUQMBOUÊ
DES DISPOSITIFS RÏGLEMENTAIRES DES DIFFÏRENTS PAYS ET DE RÏDUIRE LES RISQUES DOBSTACLES EBOTQBZT
NJMMJPOTEIFDUBSFT
NON TARIFAIRES AUX ÏCHANGES EFDVMUVSFTUSBOTHÊOJRVFTBVUPSJTÊFT
FO
DPOUSFNJMMJPOTEIFDUBSFT
,ES TRAVAUX ACTUELS VISENT EN PRIORITÏ Ì ASSURER UNE HARMONISATION DES INFORMATIONS FO
UTILISÏES DANS LÏVALUATION DE LA SÏCURITÏ ENTRE LES PAYS DE FA ON Ì ÏVITER LES DOUBLES
EMPLOIS )LS SONT EN GRANDE PARTIE AXÏS SUR LA COMPILATION DENSEMBLES COMMUNS DE
DONNÏES SCIENTIlQUES UTILISABLES PAR LES AUTORITÏS DE RÏGULATION
#ES ENSEMBLES DE DONNÏES SONT PUBLIÏS SOUS FORME DE i DOCUMENTS DE CONSENSUS w
QUI CONCERNENT DES PLANTES LARGEMENT CULTIVÏES COMME LE MAÕS LE COLZA OLÏAGINEUX
ET LE RIZ #ERTAINS DE CES DOCUMENTS PORTENT SUR LA SÏCURITÏ POUR LENVIRONNEMENT ET
DÏCRIVENT PAR EXEMPLE LES POSSIBILITÏS DE CROISEMENT DUNE PLANTE DONNÏE AVEC DES
ESPÒCES APPARENTÏES $AUTRES DOCUMENTS METTENT LACCENT SUR LA SÏCURITÏ ALIMENTAIRE
EN IDENTIlANT LES PRINCIPAUX ÏLÏMENTS NUTRITIFS ET LES PRODUITS TOXIQUES GÏNÏRALEMENT
PRÏSENTS DANS LES CULTURES
&IN L/#$% AVAIT PUBLIÏ DOCUMENTS DE CONSENSUS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
&OWJSPOOFNFOU
ENCOURAGE LESSOR DE LA PRODUCTION LES SUBVENTIONS AUX RÏSEAUX DIRRIGATION ET LA BAISSE
DES TARIFS DE LEAU POUR LES AGRICULTEURS VONT ÏGALEMENT Ì LENCONTRE DUNE UTILISATION
RATIONNELLE DE LEAU %N OUTRE RÏDUIRE LE COßT DES PRÏLÒVEMENTS EN EAU POUR LES AGRICULTEURS
ACCÏLÒRE LÏPUISEMENT DES NAPPES PHRÏATIQUES
$EVANT LA HAUSSE DE LA DEMANDE DEAU PROVENANT DE LAGRICULTURE DE LINDUSTRIE COMME DES
MÏNAGES LES GOUVERNEMENTS ACCORDENT PLUS DIMPORTANCE Ì LA GESTION DES RESSOURCES EN EAU
ET DE LENVIRONNEMENT )L SUBSISTE TOUTEFOIS UN DÏCALAGE ENTRE CETTE PRIORITÏ ET LES MESURES
EN PLACE DOá UNE INCOHÏRENCE DES INCITATIONS ENVERS LES AGRICULTEURS ,A SURCONSOMMATION
DEAU ET LA POLLUTION SEN TROUVENT AGGRAVÏES 5N CONSTAT ESSENTIEL SE DÏGAGE DES TRAVAUX
DE L/#$% LES STRUCTURES INSTITUTIONNELLES SONT NÏCESSAIRES POUR PERMETTRE DACCROÔTRE LE
RENDEMENT DUTILISATION DES RESSOURCES ET DE RÏDUIRE LA POLLUTION AU MOYEN DE SOLUTIONS
DAVANTAGE FONDÏES SUR LE JEU DU MARCHÏ #ES SOLUTIONS CONSISTENT NOTAMMENT Ì i TROUVER
LE JUSTE PRIX w DE LEAU 0LUSIEURS ASPECTS RESTENT CEPENDANT MAL CONNUS LE NIVEAU DES
SUBVENTIONS LIÏES Ì LUTILISATION DE LEAU DANS LAGRICULTURE LES POLITIQUES LES MIEUX Ì MÐME
DE SUSCITER UNE UTILISATION DURABLE DE LEAU SELON LA SITUATION ET LES DROITS DE PROPRIÏTÏ EN
VIGUEUR DANS CHAQUE PAYS AINSI QUE LE DEGRÏ APPROPRIÏ DE GOUVERNANCE DE LA GESTION DE
LEAU 4OUS CES THÒMES FONT ACTUELLEMENT LOBJET DE TRAVAUX Ì L/#$%
XXXPFDEPSHTESPVOEUBCMF
5BCMFSPOEFTVSMFEÊWFMPQQFNFOUEVSBCMF SJDIBSEEPPSOCPTDI!PFDEPSH
,A 4ABLE RONDE SUR LE DÏVELOPPEMENT DURABLE Ì L/#$% RÏUNIT DES MINISTRES ET DES HAUTS
RESPONSABLES DORGANISATIONS INTERNATIONALES DORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES DU
SECTEUR PRIVÏ ET DES ENSEIGNANTS )LS ABORDENT DES ENJEUX SPÏCIlQUES DU PROGRAMME DU
DÏVELOPPEMENT DURABLE ET ÏTUDIENT DES MESURES CONCRÒTES Ì LONG TERME
-&4"7*&;7064
%N JUIN LA 4ABLE RONDE A EXAMINÏ LES PRIORITÏS EN MATIÒRE DE 2 $ AINSI QUE LES PROJETS -BNPJUJÊEFM"1%BMMPVÊF
RELATIFS AUX TECHNOLOGIES DES ÏNERGIES FUTURES CAPABLES DE SATISFAIRE LA DEMANDE DÏNERGIE BV/ÊQBMFTUEFTUJOÊF
BVYBDUJWJUÊTFYQPTÊFT
DE MANIÒRE PLUS SßRE ET PLUS PROPRE )LS SE SONT RETROUVÏS EN JANVIER POUR DISCUTER
BVYSJTRVFTDMJNBUJRVFT
DE LÏCONOMIE DE LEXPLOITATION ILLÏGALE DU BOIS ,ORS DE CETTE RÏUNION LES PARTICIPANTS Ì
LA 4ABLE RONDE ONT ÏTUDIÏ LES MOYENS DE SOUTENIR LES EFFORTS INTERNATIONAUX DANS LA LUTTE
CONTRE LES ACTIONS ILLÏGALES DU SECTEUR FORESTIER ET LES MESURES CAPABLES DE RENFORCER LA
GESTION DURABLE DES FORÐTS
%FHBVDIFÆESPJUF
-F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEV#VSFBV
FVSPQÊFOEFMFOWJSPOOFNFOU
+PIO)POUFMF[
FUMBNJOJTUSF
TVÊEPJTFEFM&OWJSPOOFNFOU
-FOB4PNNFTUBE
ÆMBDPOGÊSFODF
EFQSFTTFMPSTEFMBSÊVOJPOEFT
NJOJTUSFTEFM&OWJSPOOFNFOUFU
EV%ÊWFMPQQFNFOUFOBWSJM
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
4BOUÊ XXXPFDEPSHTBOUF
IFBMUIDPOUBDU!PFDEPSH
0OUR QUE LES INDIVIDUS PUISSENT SÏPANOUIR DANS LEUR VIE FAMILIALE ET PROFESSIONNELLE ET EN
TANT QUE CITOYENS ET CONSOMMATEURS ILS DOIVENT ÐTRE EN BONNE SANTÏ ,AMÏLIORATION DE LA
SANTÏ CONSTITUE UNE PRÏOCCUPATION MAJEURE DES PAYS DE L/#$% CAR ELLE PEUT CONTRIBUER
Ì RENFORCER LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE ET FAVORISER LE BIEN
ÐTRE
,/#$% ÏTUDIE LES POLITIQUES DE LA SANTÏ LES RÏSULTATS EN MATIÒRE DE SANTÏ AINSI QUE
LES SYSTÒMES DE SANTÏ ET LEUR lNANCEMENT %LLE EXAMINE AUSSI LES PROBLÒMES LIÏS
Ì LENVIRONNEMENT TELS QUE LES EFFETS DES PRODUITS CHIMIQUES SUR LA SANTÏ ÏVALUE
LAPPLICATION DES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DOMAINE DES SOINS DE SANTÏ ET ANALYSE LES
QUESTIONS DE SANTÏ QUI CONCERNENT LES PAYS NON MEMBRES DE L/#$%
XXXPFDEPSHTBOUFFDPTBOUF
4VJWJFUÊWBMVBUJPOEFTQFSGPSNBODFTEFTTZTUÍNFTEFTBOUÊ IFBMUIDPOUBDU!PFDEPSH
,ES DÏPENSES DE SANTÏ REPRÏSENTAIENT ENVIRON DU 0)" EN AU MOMENT DE LA
CRÏATION DE L/#$% !UJOURDHUI ELLES SÏLÒVENT EN MOYENNE Ì DANS LENSEMBLE
DE LA ZONE /#$% ET DÏPASSENT DANS PLUSIEURS GRANDS PAYS VOIR ENCADRÏ P ,ES
PROGRÒS DE LA MÏDECINE DANS LE TRAITEMENT ET LA PRÏVENTION DES MALADIES EXPLIQUENT EN
GRANDE PARTIE LA HAUSSE DES COßTS DE SANTÏ ,ES INNOVATIONS RÏCENTES DANS LE DOMAINE
DE LIMAGERIE DE LA BIOTECHNOLOGIE ET DE LA PHARMACOLOGIE SEMBLENT INDIQUER QUE CETTE
ÏVOLUTION SE POURSUIVRA PROBABLEMENT
$ES SYSTÒMES DE SANTÏ ET DES SOINS DE MEILLEURE QUALITÏ ONT PERMIS LAUGMENTATION DE
LA LONGÏVITÏ ET LAMÏLIORATION DE LÏTAT DE SANTÏ MAIS DES PROBLÒMES PERSISTENT QUANT
Ì LEURS PERFORMANCES ,ES MALADES EXIGENT DES SOINS QUI RÏPONDENT Ì LEURS BESOINS ET
Ì LEURS PRÏFÏRENCES $ES SOINS DE SANTÏ DUNE QUALITÏ INSUFlSANTE SONT Ì LORIGINE DE -&4"7*&;7064
-FTQÊSBODFEFWJFÆMBOBJTTBODF
DÏCÒS HANDICAPS ET AUTRES SÏQUELLES PRÏJUDICIABLES Ì LA SANTÏ QUI NAURAIENT PAS Dß SE
FTUTVQÊSJFVSFÆBOT
PRODUIRE ET NE FONT QUAJOUTER AUX COßTS $E PLUS DANS DE NOMBREUX PAYS DES DISPARITÏS FO"VTUSBMJF
FO&TQBHOF
SUBSISTENT ENTRE LES DIVERSES CATÏGORIES SOCIOÏCONOMIQUES SUR LE PLAN DE LÏTAT DE SANTÏ FO'SBODF
FO*TMBOEF
BV+BQPO
ET DE LACCÒS AUX SOINS FO4VÍEFFUFO4VJTTF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
4BOUÊ
%N RAISON DES PRESSIONS ET DES CONTRAINTES CONSTANTES QUEXERCENT LES COßTS SUR LES -&4"7*&;7064
lNANCES PUBLIQUES LENSEMBLE DES PAYS DE L/#$% SEFFORCE DOPTIMISER LUTILISATION DES %BOTMBNBKPSJUÊ
RESSOURCES CONSACRÏES Ì LEURS SYSTÒMES DE SANTÏ -AIS CES EFFORTS SONT FREINÏS PAR LE EFTQBZTEFM0$%&
FOUSFVOUJFST
FUMBNPJUJÊEFTEÊDÍTTPOU
MANQUE DINFORMATION ET LINSUFlSANCE DES MOYENS TECHNIQUES CAPABLES DÏVALUER ET DE
JNQVUBCMFTBVYNBMBEJFT
COMPARER LES PERFORMANCES DE CES SYSTÒMES ,ES PAYS ONT EN EFFET BESOIN DE DONNÏES DE DBSEJPWBTDVMBJSFT
RÏFÏRENCE INTERNATIONALES lABLES POUR POUVOIR AMÏLIORER CES PERFORMANCES Ì PLUSIEURS
NIVEAUX ,ES TRAVAUX DE L/#$% PERMETTENT DE DISPOSER DE MEILLEURS OUTILS POUR ÏTUDIER
ET ÏVALUER LES SYSTÒMES DE SANTÏ DANS LE BUT DAMÏLIORER LEUR EFlCACITÏ DANS TOUS LES
PAYS MEMBRES
XXXPFDEPSHTBOUF
"NÊMJPSFSMFTQFSGPSNBODFTEFTTZTUÍNFTEFTBOUÊ IFBMUIDPOUBDU!PFDEPSH
,ES SYSTÒMES DE SANTÏ DES PAYS DE L/#$% CONSERVENT DE FA ON TRÒS ÏTONNANTE UN
CARACTÒRE ARTISANAL CAR ILS SAPPUIENT SUR LAPPRENTISSAGE POUR LA FORMATION SUR LES
CONTACTS PERSONNELS POUR LA DIFFUSION DES BONNES PRATIQUES ET SUR DES lCHIERS ET DES
SYSTÒMES DINFORMATION NON COORDONNÏS POUR COMMUNIQUER LINFORMATION %N OUTRE IL
EST PARTICULIÒREMENT DIFlCILE DE DÏlNIR ET DAPPLIQUER DES POLITIQUES DE SANTÏ RATIONNELLES
DANS UNE ÏCONOMIE MONDIALE DE PLUS EN PLUS INTERDÏPENDANTE ,ACTION DUN PAYS SUR
XXXPFDEPSHTBOUFFDPTBOUF
4BOUÊEFTDPÚUTFOIBVTTF IFBMUIDPOUBDU!PFDEPSH
,ES DÏPENSES DE SANTÏ DES PAYS DE L/#$% CONTINUENT DE CROÔTRE ET SI LES TENDANCES
ACTUELLES PERSISTENT LES POUVOIRS PUBLICS DEVRONT AUGMENTER LES IMPÙTS RÏDUIRE LES
DÏPENSES DANS DAUTRES DOMAINES OU DEMANDER AUX ASSURÏS DE PRENDRE EN CHARGE UNE
PART PLUS IMPORTANTE DU COßT DE LA SANTÏ POUR POUVOIR CONSERVER LE SYSTÒME DE SANTÏ
EXISTANT
3ELON ³CO 3ANTÏ /#$% ENTRE ET LES DÏPENSES DE SANTÏ ONT PROGRESSÏ PLUS
VITE QUE LE 0)" DANS TOUS LES PAYS DE L/#$% Ì LEXCEPTION DE LA &INLANDE %N ELLES
REPRÏSENTAIENT EN MOYENNE DU 0)" DANS LENSEMBLE DE CES PAYS MAIS EN ELLES
ONT ATTEINT PRÒS DE #E SONT LES ³TATS 5NIS QUI CETTE MÐME ANNÏE ONT CONSACRÏ LA
PART LA PLUS GRANDE DU 0)" Ì LA SANTÏ SOIT
$ANS LA PLUPART DES PAYS DE L/#$% LESSENTIEL DU COßT DE LA SANTÏ EST lNANCÏ PAR LIMPÙT
ET LES COTISATIONS SOCIALES OBLIGATOIRES )L EST INDISPENSABLE POUR LES POUVOIRS PUBLICS DE
TROUVER LES MOYENS DE lNANCER DURABLEMENT LES SYSTÒMES DE SANTÏ CAR IL EST PROBABLE QUE $FUUFÊEJUJPOSFQSÊTFOUFMBTPVSDF
TUBUJTUJRVFMBQMVTEÊUBJMMÊFTVS
LES NOUVELLES TECHNOLOGIES MÏDICALES FORT COßTEUSES ET LE VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION
MFTTPJOTEFTBOUÊFUMFTTZTUÍNFT
FERONT ENCORE CROÔTRE LES DÏPENSES DE SANTÏ EFTBOUÊEFTQBZTEFM0$%&
3I LA PART DES DÏPENSES DE SANTÏ QUI EST lNANCÏE SUR FONDS PUBLICS A DIMINUÏ DANS DES
PAYS TELS QUE LA 0OLOGNE LA (ONGRIE ET LA 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE Oá ELLE ÏTAIT RELATIVEMENT
FORTE EN ELLE A AUGMENTÏ DANS DES PAYS Oá ELLE ÏTAIT AUTREFOIS PEU IMPORTANTE
COMME LA #ORÏE LES ³TATS
5NIS LE -EXIQUE ET LA 3UISSE %N #ORÏE PAR EXEMPLE LA PART
DES DÏPENSES PUBLIQUES DE SANTÏ DE EN A ATTEINT UN PEU PLUS DE EN
!UX ³TATS
5NIS ELLE EST PASSÏE DE Ì DURANT CETTE MÐME PÏRIODE 3I DANS CE PAYS
-&4"7*&;7064
LE SECTEUR PRIVÏ CONTINUE DOCCUPER LA PREMIÒRE PLACE DANS LE lNANCEMENT DE LA SANTÏ
&ONPZFOOF
EFTEÊQFOTFT
LES DÏPENSES PUBLIQUES PAR HABITANT Y SONT ENCORE PLUS ÏLEVÏES QUE DANS LA MAJORITÏ DES EFTBOUÊEFTQBZTEFM0$%&
AUTRES PAYS DE L/#$% #ETTE SITUATION TIENT AU FAIT QUE LES DÏPENSES GLOBALES DE SANTÏ Y FOPOUÊUÊàOBODÊFT
SONT BEAUCOUP PLUS IMPORTANTES QUE DANS DAUTRES PAYS QBSMUBU
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
LA FORMATION ET LE RECRUTEMENT DES TRAVAILLEURS DE LA SANTÏ PAR EXEMPLE CONDITIONNE
LA CAPACITÏ DUN AUTRE PAYS DE RÏPONDRE Ì SES BESOINS FUTURS EN MATIÒRE DE SANTÏ $E
MÐME LES POLITIQUES NATIONALES DE TARIlCATION ET DE REMBOURSEMENT DES PRODUITS
PHARMACEUTIQUES PEUVENT AVOIR UNE INCIDENCE SUR LE COßT ET LOFFRE DE MÏDICAMENTS
AU DELÌ DES FRONTIÒRES NATIONALES AINSI QUE SUR LE BIEN PUBLIC MONDIAL QUE CONSTITUE
LINNOVATION DANS LE DOMAINE MÏDICAL
!CCROÔTRE LEFlCACITÏ EN COORDONNANT MIEUX LA FOURNITURE DES SERVICES DE SANTÏ ET EN
UTILISANT DAVANTAGE LES TECHNOLOGIES DE LINFORMATION ASSURER POUR LAVENIR UNE OFFRE
SUFlSANTE DE PROFESSIONNELS DE LA SANTÏ NOTAMMENT POUR LES SOINS DE LONGUE DURÏE
ORIENTER LACTION DES POUVOIRS PUBLICS VERS LA PRÏVENTION DES MALADIES QUI PEUVENT
ÐTRE ÏVITÏES ET METTRE EN PLACE DES POLITIQUES BIEN CON UES DE TARIlCATION DES PRODUITS
PHARMACEUTIQUES SONT AUTANT DEFFORTS INDISPENSABLES Ì LINSTAURATION DE SYSTÒMES DE
SANTÏ DYNAMIQUES RÏACTIFS ET EFlCACES
,/#$% SATTACHE Ì ÏTUDIER CES QUESTIONS ET ENJEUX FONDAMENTAUX QUI SELON LES
PAYS MEMBRES DOIVENT RETENIR EN PRIORITÏ LATTENTION DES POUVOIRS PUBLICS ET DONT
$FUUFQVCMJDBUJPOBOBMZTF
LA RÏSOLUTION PEUT ÐTRE FACILITÏE PAR UNE ANALYSE ÏCONOMIQUE CIBLÏE EFFECTUÏE DANS MFTGPSDFTFUMFTGBJCMFTTFT
UNE OPTIQUE INTERNATIONALE ,ES TRAVAUX EN COURS DE L/#$% PORTENT NOTAMMENT SUR EVTZTUÍNFEFTBOUÊTVJTTFFU
LA COORDINATION DES SOINS DANS LES PAYS MEMBRES POUR PLUS DEFlCACITÏ LES ASPECTS GPSNVMFEFTSFDPNNBOEBUJPOT
ÏCONOMIQUES DE LA PRÏVENTION SURTOUT CELLE DE LOBÏSITÏ LES POLITIQUES DE TARIlCATION QPVSSÊQPOESFBVYEÊàTBVYRVFMT
TPOUDPOGSPOUÊFTMFTBVUPSJUÊT
DES PRODUITS PHARMACEUTIQUES LES POLITIQUES CONCERNANT LES TRAVAILLEURS DE LA SANTÏ ET LE
TVJTTFT
RÙLE DE MIGRATIONS DE PROFESSIONNELS DE LA SANTÏ AINSI QUE LUTILISATION DES TECHNOLOGIES
DE LINFORMATION POUR RENFORCER LEFlCACITÏ DES SYSTÒMES DE SANTÏ ,ES RESPONSABLES
POLITIQUES SERONT INFORMÏS DES BONNES PRATIQUES ET POURRONT LES INTÏGRER DANS DES LIGNES
DIRECTRICES DESTINÏES Ì LADMINISTRATION NATIONALE
XXXPFDEPSHFOWTPDJBMFOWIFBMUI
&OWJSPOOFNFOUFUTBOUÊ FOWDPOUBDU!PFDEPSH
,ÏTAT DE LENVIRONNEMENT A UNE FORTE INCIDENCE SUR LA SANTÏ HUMAINE %T POUR LA PRÏSERVER
LES PAYS MEMBRES DE L/#$% METTENT EN PLACE DES POLITIQUES DE LENVIRONNEMENT )LS SONT
EN PARTICULIER PRÏOCCUPÏS PAR LA SANTÏ DES ENFANTS QUI SONT SOUVENT DAVANTAGE EXPOSÏS Ì LA
POLLUTION ATMOSPHÏRIQUE ET Ì DAUTRES FACTEURS DE PRESSION LIÏS AUX CONDITIONS AMBIANTES
#ES ENFANTS SONT AUSSI PLUS SUSCEPTIBLES DAVOIR DES PROBLÒMES DE SANTÏ SOUS LEFFET DE CES
FACTEURS 0OURTANT BIEN SOUVENT LES BESOINS SPÏCIlQUES DES ENFANTS NE SONT PAS PRIS EN -&4"7*&;7064
-FUBVYEFWBDDJOBUJPOEFT
COMPTE DANS LES ÏTUDES UTILISÏES POUR DÏTERMINER LES PRIORITÏS DE LACTION GOUVERNEMENTALE
QFSTPOOFTÄHÊFTDPOUSFMBHSJQQF
CE Ì QUOI L/#$% SEMPLOIE Ì REMÏDIER 5N PROJET A PAR AILLEURS ÏTÏ CONSACRÏ Ì LA COORDINATION FTUTVQÊSJFVSÆFO"VTUSBMJF
DES POLITIQUES DE LENVIRONNEMENT ET DE LA SANTÏ DANS LE BUT DASSURER UNE MEILLEURE PRISE FO$PSÊF
BVY1BZT#BTFU
EN CHARGE DES PROBLÒMES DE SALUBRITÏ DE LENVIRONNEMENT BV3PZBVNF6OJ
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
DIBOHFT
DIBOHFTFUàTDBMJUÊ
JOUFSOBUJPOBMF
DIBOHFT XXXPFDEPSHFDIBOHFT
UBEDPOUBDU!PFDEPSH
,A LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES ET DES INVESTISSEMENTS CONTRIBUE Ì LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE
ET Ì LINTÏGRATION DUN NOMBRE CROISSANT DE PAYS Ì LÏCONOMIE MONDIALE ,ES TRAVAUX DE
L/#$% FOURNISSENT DES ANALYSES Ì LAPPUI DE LA LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES ET PERMETTENT
DE MIEUX COMPRENDRE LES GRANDS ENJEUX DE LA POLITIQUE COMMERCIALE
,ANALYSE DES POLITIQUES COMMERCIALES RÏALISÏE PAR L/#$% EN CONlRME LES AVANTAGES
DUNE LIBÏRALISATION ACCRUE ET RECENSE LES MOYENS QUI FACILITENT LA TRANSITION VERS UNE PLUS
GRANDE OUVERTURE DES MARCHÏS
XXXPFDEPSHFDIEFWFMPQQFNFOU
DIBOHFTFUBKVTUFNFOUTUSVDUVSFM UBEDPOUBDU!PFDEPSH
5NE ÏTUDE COMPLÏMENTAIRE Ì CELLE DE INTITULÏE ,ES ÏCHANGES ET LAJUSTEMENT
STRUCTUREL LES ENJEUX DE LA MONDIALISATION A ÏTÏ CONSACRÏE AUX SECTEURS DE LAGRICULTURE DES
TÏLÏCOMMUNICATIONS ET DE LA CHIMIE ,E RAPPORT MONTRE QUE LES RÒGLES ET LES ENGAGEMENTS
MULTILATÏRAUX PEUVENT FACILITER LAJUSTEMENT STRUCTUREL )L FAUT POUR CELA OFFRIR UN CADRE
Ì LA LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES ET DES INVESTISSEMENTS QUI FAVORISE LES RÏFORMES ET LA
PROMOTION DE BONNES PRATIQUES RÏGLEMENTAIRES #E RAPPORT ÏTUDIE ÏGALEMENT LES EFFETS
DES RÏGLEMENTATIONS ET DES SUBVENTIONS NATIONALES $ES TRAVAUX SONT EN COURS SUR LE
DÏROULEMENT DU PROCESSUS DAJUSTEMENT DANS CERTAINS PAYS NON MEMBRES 5N PROJET
DÏTUDE SUR LA MONDIALISATION ET LAJUSTEMENT STRUCTUREL QUI DOIT SACHEVER EN
PERMETTRA DEXAMINER LES EFFETS DE LA MONDIALISATION LES SERVICES AUX ENTREPRISES ET
LINNOVATION )L DÏTERMINERA ÏGALEMENT COMMENT LES ÏCHANGES ET LINVESTISSEMENT DIRECT
ÏTRANGER INmUENT SUR LAJUSTEMENT DU MARCHÏ DU TRAVAIL
%FHBVDIFÆESPJUF
-FEJSFDUFVSHÊOÊSBMEFM0.$
1BTDBM-BNZ
MF4FDSÊUBJSFHÊOÊSBM
EFM0$%&
"OHFM(VSSÎB
FU
MBSFQSÊTFOUBOUFBNÊSJDBJOF
BV$PNNFSDF
4VTBO4DIXBC
MPST
EFMBSÊVOJPOBOOVFMMFEV$POTFJM
EFM0$%&BVOJWFBVEFTNJOJTUSFT
FONBJ
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEFDIEJBMPHVF
DIBOHFTTVETVE UBEDPOUBDU!PFDEPSH
,ES ÏCHANGES ENTRE PAYS EN DÏVELOPPEMENT OU ÏCHANGES SUD SUD OFFRENT BEAUCOUP DE
POSSIBILITÏS DE RETOMBÏES POSITIVES 0OURTANT LES OBSTACLES QUILS RENCONTRENT SONT SOUVENT
-&4"7*&;7064
PLUS IMPORTANTS QUE CEUX QUI SOPPOSENT AUX AUTRES TYPES DÏCHANGES
&ONPZFOOF MFTESPJUTEFEPVBOF
$APRÒS LES ESTIMATIONS LES OBSTACLES TARIFAIRES AUX ÏCHANGES DE MARCHANDISES ENTRE BQQMJRVÊTBVYÊDIBOHFTFOUSF
QBZTFOEÊWFMPQQFNFOUTPOUQMVT
PAYS EN DÏVELOPPEMENT SONT PRÒS DE TROIS FOIS PLUS ÏLEVÏS EN MOYENNE QUE CEUX QUI
EFEFVYGPJTTVQÊSJFVSTÆDFVY
TOUCHENT LES ÏCHANGES NORD NORD %N OUTRE LES COßTS LIÏS Ì LA DISTANCE PÒSENT FORTEMENT QSBUJRVÊTQBSMFTQBZT
SUR LES ÏCHANGES SUD SUD !INSI UNE AUGMENTATION DE DU TRAJET TEND Ì RÏDUIRE DE JOEVTUSJBMJTÊT
ENVIRON LES ÏCHANGES NORD NORD CONTRE POUR LES ÏCHANGES SUD SUD ,ES TRAVAUX
DE L/#$% INDIQUENT QUUNE DIMINUTION DES DROITS DE DOUANE APPLIQUÏS ENTRE PAYS EN
DÏVELOPPEMENT POURRAIT AVOIR DES EFFETS CONSIDÏRABLES SUR LES mUX DES ÏCHANGES
,ES ÏCHANGES DE SERVICES ENTRE PAYS EN DÏVELOPPEMENT SEFFECTUENT SURTOUT Ì LÏCHELLE
RÏGIONALE CE QUI PEUT EXPLIQUER LINTÏRÐT POUR LA LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES DE SERVICES
DANS LES ACCORDS COMMERCIAUX RÏGIONAUX /N ESTIME QUE LES EXPORTATIONS TRANSFRONTALIÒRES
DE SERVICES SUD
SUD REPRÏSENTENT ENVIRON DES EXPORTATIONS MONDIALES DE SERVICES
)L EXISTE ENCORE DES POSSIBILITÏS DACCROISSEMENT DES EXPORTATIONS DE SERVICES DES PAYS
EN DÏVELOPPEMENT EN GÏNÏRAL ET DES ÏCHANGES DE SERVICES ENTRE PAYS EN DÏVELOPPEMENT
EN PARTICULIER ,ES ANALYSES DE L/#$% METTENT EN ÏVIDENCE LIMPORTANCE DES OBSTACLES
RELEVANT DE LACTION PUBLIQUE ET CONCLUENT QUE LES ÏCHANGES DE SERVICES POURRAIENT
SE DÏVELOPPER DANS TOUS LES SECTEURS SI LES RESTRICTIONS QUI PÒSENT SUR LES ENTREPRISES
ÏTRANGÒRES DÏSIREUSES DÏTABLIR UNE PRÏSENCE COMMERCIALE DANS UN AUTRE PAYS ÏTAIENT
ASSOUPLIES #ES ANALYSES INDIQUENT AUSSI QUE DIMPORTANTS EFFORTS DE LIBÏRALISATION
SERONT NÏCESSAIRES POUR AMÏLIORER LES PERFORMANCES DANS LE CAS DES SECTEURS DE SERVICES
ACTUELLEMENT FERMÏS Ì TOUTE CONCURRENCE ÏTRANGÒRE
$ANS LENSEMBLE LES ESTIMATIONS DE L/#$% MONTRENT QUE LES AVANTAGES SUSCEPTIBLES DE
RÏSULTER DE LA LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES SUD
SUD POURRONT ÐTRE AU MOINS ÏQUIVALENTS
Ì CEUX QUOBTIENDRAIENT LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT DUN MEILLEUR ACCÒS AUX MARCHÏS
DES PAYS DE L/#$% #EST POURQUOI IL EST IMPORTANT POUR LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT DE
PRENDRE UNE PART ACTIVE AUX NÏGOCIATIONS SUR LA LIBÏRALISATION MULTILATÏRALE DES ÏCHANGES
QUI SE DÏROULENT Ì L/-# DANS LE CADRE DU 0ROGRAMME DE $OHA POUR LE DÏVELOPPEMENT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
DIBOHFT
XXXPFDEPSHFDITFSWJDFTGS
DIBOHFTEFTFSWJDFT UBEDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% A POURSUIVI LES TRAVAUX ET LE DIALOGUE ENGAGÏS POUR ENCOURAGER LA LIBÏRALISATION
DES ÏCHANGES DE SERVICES ,E PROJET DE L/#$% ET DE LA #ONFÏRENCE DES .ATIONS UNIES SUR
LE COMMERCE ET LE DÏVELOPPEMENT SUR LA GESTION DU PROCESSUS DES OFFRES ET DES REQUÐTES
DANS LE CADRE DES NÏGOCIATIONS CONCERNANT L!CCORD GÏNÏRAL SUR LE COMMERCE DES SERVICES
A ÏTÏ PRÏSENTÏ LORS DUN ATELIER QUI SEST TENU Ì 'ENÒVE EN JUIN #ELUI
CI A PERMIS DE
RÏPONDRE AUX PRÏOCCUPATIONS DES PAYS EN DÏVELOPPEMENT ET DAPPORTER DES INFORMATIONS
PLUS COMPLÒTES SUR LES PRINCIPAUX ASPECTS DES NÏGOCIATIONS SUR LES SERVICES
%N OCTOBRE L/#$% A PUBLIÏ ,IBERALISATION AND 5NIVERSAL !CCESS TO "ASIC 3ERVICES
4ELECOMMUNICATIONS 7ATER AND 3ANITATION &INANCIAL 3ERVICES AND %LECTRICITY OUVRAGE DANS LEQUEL
ELLE CHERCHE Ì DÏTERMINER SI ET COMMENT LA LIBÏRALISATION PEUT RÏPONDRE AUX OBJECTIFS
DACCÒS UNIVERSEL EN MATIÒRE DE SERVICES ET QUELLES SONT LES POLITIQUES COMPLÏMENTAIRES
NÏCESSAIRES ,A PUBLICATION A ÏTÏ LANCÏE Ì 'ENÒVE EN NOVEMBRE Ì LOCCASION DUNE
RÏUNION SPÏCIALE SUR LACCÒS UNIVERSEL AUX SERVICES 5NE ÏTUDE SANS PRÏCÏDENT SUR LES
OBSTACLES AUX ÏCHANGES QUE CRÏENT LES SERVICES LOGISTIQUES ET LES DÏLAIS A ÏGALEMENT ÏTÏ
ACHEVÏE EN VOIR ENCADRÏ CI
DESSOUS
XXXPFDEPSHFDITFSWJDFTGS
-FTEÊMBJTVOPCTUBDMFBVYÊDIBOHFT IJMEFHVOOOPSEBT!PFDEPSH
,ES DISTRIBUTEURS MODERNES IMPOSENT Ì LEURS FOURNISSEURS DES DÏLAIS DE LIVRAISON QUI NE
DOIVENT PAS DÏPASSER UNE SEMAINE ALORS QUE DANS CERTAINS PAYS D!FRIQUE IL SÏCOULE
PLUS DE SEMAINES ENTRE LE MOMENT Oá LES MARCHANDISES QUITTENT LE LIEU DE PRODUCTION
ET CELUI Oá ELLES SONT CHARGÏES SUR LE BATEAU QUI LES AMÒNERA SUR LES MARCHÏS Oá ELLES
SERONT VENDUES ,E PROBLÒME EST DOUBLE POUR LES EXPORTATEURS QUI UTILISENT DES INTRANTS
IMPORTÏS LE DÏLAI DE LIVRAISON PEUT ATTEINDRE SIX Ì HUIT MOIS EN RAISON DE LA LENTEUR DES
PROCÏDURES ADMINISTRATIVES DE LA FAIBLESSE DES INFRASTRUCTURES ET DE LINADÏQUATION DES
TRANSPORTS ET DES SERVICES LOGISTIQUES #ES RETARDS PÒSENT SUR LES COßTS COMMERCIAUX
ENCOURUS PAR LES ENTREPRENEURS DES PAYS EN DÏVELOPPEMENT QUI DOIVENT SOUVENT RENONCER
Ì RÏPONDRE Ì DES APPELS DOFFRE EN RAISON DE LEUR INCAPACITÏ Ì SATISFAIRE AUX CRITÒRES DE
lABILITÏ DE LA LIVRAISON -&4"7*&;7064
*MGBVUKPVSTFONPZFOOFQPVS
$ANS LA GESTION MODERNE DE LA CHAÔNE DAPPROVISIONNEMENT QUI PRÏVAUT AUJOURDHUI FYQPSUFSEFTNBSDIBOEJTFTFO
UN ÏVENTAIL DE PRODUITS DE PLUS EN PLUS LARGE EST SOUMIS AU FACTEUR TEMPS $ANS LES QSPWFOBODFEFTQBZTEFM0$%&
SECTEURS Ì FORTE INTENSITÏ DE MAIN
DUVRE COMME LHABILLEMENT ET LÏLECTRONIQUE GRAND DPOUSFKPVSTQPVSM"GSJRVF
TVCTBIBSJFOOF
PUBLIC TRÒS CONCURRENTIELS LES DÏLAIS DE PRODUCTION DOIVENT ÐTRE COURTS ET LES DÏLAIS DE
LIVRAISON RESPECTÏS ,ES PRODUITS POUR LESQUELS LE FACTEUR TEMPS EST IMPORTANT SONT AUSSI
CEUX QUI PRÏSENTENT UNE FORTE RENTABILITÏ SUR LE MARCHÏ ,ES ENTREPRENEURS DES PAYS EN
DÏVELOPPEMENT QUI NE PARVIENNENT PAS Ì RESPECTER LES DÏLAIS LAISSENT AINSI ÏCHAPPER DE
NOMBREUSES OPPORTUNITÏS
)L EST SOUVENT POSSIBLE DE RÏDUIRE SENSIBLEMENT LA DURÏE DE TRAITEMENT DES IMPORTATIONS
ET DES EXPORTATIONS Ì MOINDRE COßT PAR DES RÏFORMES DES SERVICES DOUANIERS PORTUAIRES
LOGISTIQUES ET DE TRANSPORT #EPENDANT COMME CES SERVICES FONT TOUS PARTIE DUNE lLIÒRE
LOGISTIQUE LES RÏFORMES DOIVENT SINSCRIRE DANS UN ENSEMBLE COHÏRENT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHFDIEJBMPHVFGS
DPOPNJFTÊNFSHFOUFT UBEDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% VIENT DACHEVER UN RAPPORT SUR LES ÏCHANGES ET LA CROISSANCE EN #HINE DANS LE
CADRE DUN PROJET DANALYSE DES ÏCHANGES DE PLUSIEURS GRANDES ÏCONOMIES NON MEMBRES
%LLE Y EXAMINE LÏVOLUTION DE LA LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES EN #HINE ET LAPPLICATION DES
ENGAGEMENTS PRIS Ì LÏGARD DE L/RGANISATION MONDIALE DU COMMERCE /-# %LLE ANALYSE
ÏGALEMENT LE RÙLE DE LA #HINE DANS LES ACTIVITÏS INTERNATIONALES DE TRANSFORMATION SON
ÏVOLUTION DANS LA CHAÔNE DE VALEUR MONDIALE ET SES EFFETS SUR LES PRIX MONDIAUX ,E RAPPORT
CONCLUT QUE LA MISE EN UVRE COMPLÒTE DES ENGAGEMENTS PRIS PAR LA #HINE Ì LÏGARD DE
L/-# ET LA LIBÏRALISATION TOTALE DES ÏCHANGES DE BIENS ET DE SERVICES GÏNÒRERONT DES
GAINS SUBSTANTIELS POUR CE PAYS TOUT EN INmUANT DE FA ON LIMITÏE SUR LES ÏCONOMIES DES
PAYS DE L/#$%
,ANALYSE DES ÏCHANGES DE LÏCONOMIE RUSSE A MIS EN LUMIÒRE LE POTENTIEL QUE PRÏSENTERAIT -&4"7*&;7064
POUR ELLE SON ADHÏSION Ì L/-# ET UNE INTÏGRATION PLUS POUSSÏE Ì LÏCONOMIE MONDIALE -B$IJOFQPVSSBJUEFWFOJS
#ETTE ANALYSE A AUSSI PERMIS DE METTRE EN ÏVIDENCE LES OBSTACLES QUI EMPÐCHENT UNE MFQSFNJFSFYQPSUBUFVSNPOEJBM
EJDJ
INTÏGRATION ÏCONOMIQUE OPTIMALE EN PARTICULIER DANS LES DOMAINES DE LACCÒS AUX
MARCHÏS DE LA LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES DE SERVICES DES NORMES ET DES DROITS DE
PROPRIÏTÏ INTELLECTUELLE
,E "RÏSIL ET L)NDE FONT ACTUELLEMENT LOBJET DE DEUX ÏTUDES %LLES PERMETTRONT DÏVALUER LES
PRINCIPAUX DÏlS ET LES OPPORTUNITÏS QUI SE PRÏSENTENT POUR LES ÏCONOMIES ET LES RÏGIMES
COMMERCIAUX DE CES PAYS AINSI QUE LEUR INTÏGRATION Ì LÏCONOMIE MONDIALE ET LES EFFETS
QUELLE POURRA AVOIR SUR LES PAYS DE L/#$%
XXXPFDEPSHUBEYDSFEGS
$SÊEJUTÆMFYQPSUBUJPO YDSFETFDSFUBSJBU!PFDEPSH
,ES TRAVAUX DE L/#$% SUR LES CRÏDITS Ì LEXPORTATION COMPORTENT GÏNÏRALEMENT DEUX
DIMENSIONS UN RÏSEAU DÏCHANGES DINFORMATIONS SUR LES SYSTÒMES DE CRÏDITS Ì
LEXPORTATION ET DES FORUMS POUR LÏTABLISSEMENT ET LE SUIVI DES RÒGLES !LORS QUE CES ACTIVITÏS
ESSENTIELLES SE POURSUIVENT LES SPÏCIALISTES DES CRÏDITS Ì LEXPORTATION DOIVENT RELEVER DE
NOUVEAUX DÏlS IL LEUR FAUT PAR EXEMPLE CRÏER DES PRODUITS DE lNANCEMENT DES EXPORTATIONS
CONFORMES AUX LOIS DU MARCHÏ ÏTABLIR DES RELATIONS AVEC DE NOUVEAUX FOURNISSEURS DE CRÏDITS
Ì LEXPORTATION BÏNÏlCIANT DUN SOUTIEN PUBLIC DANS LES GRANDES ÏCONOMIES ÏMERGENTES ET
GARANTIR LA SOUTENABILITÏ DE LA DETTE DES PAYS Ì FAIBLES REVENUS AINSI QUE DES POLITIQUES DE
PRÐT RESPONSABLE EN FAVEUR DE CES PAYS #ES ENJEUX NOUVEAUX EXIGENT UN RENFORCEMENT DES
DIRECTIVES ET DES RÒGLES EN VIGUEUR ET UNE DÏMARCHE TRANSPARENTE DOUVERTURE
,/#$% PROCÒDE Ì UN EXAMEN DE LA 2ECOMMANDATION SUR DES APPROCHES COMMUNES
CONCERNANT LENVIRONNEMENT ET LES CRÏDITS Ì LEXPORTATION BÏNÏlCIANT DUN SOUTIEN PUBLIC
Ì LA LUMIÒRE DE LEXPÏRIENCE ACQUISE %LLE A ADOPTÏ lN UNE NOUVELLE RECOMMANDATION
CONTRE LA CORRUPTION DANS LES CRÏDITS Ì LEXPORTATION BÏNÏlCIANT DUN SOUTIEN PUBLIC ,ES
RÒGLES APPLICABLES DEPUIS AU SECTEUR DES AÏRONEFS SONT AUSSI EN COURS DEXAMEN
,E "RÏSIL LUN DES PRINCIPAUX ACTEURS MONDIAUX DANS CE SECTEUR PARTICIPE AUX NÏGOCIATIONS
$ES CONSULTATIONS DE LA SOCIÏTÏ CIVILE SONT PRÏVUES DANS LE CADRE DE TOUS CES EXAMENS
$FUUFQVCMJDBUJPOPGGSFVOF
,/#$% MET AUSSI LACCENT SUR LOUVERTURE EN DIRECTION DES ÏCONOMIES NON MEMBRES EFTDSJQUJPOEÊUBJMMÊFEFTTZTUÍNFT
EFDSÊEJUÆMFYQPSUBUJPO
"EAUCOUP DENTRE ELLES ONT PARTICIPÏ EN QUALITÏ DOBSERVATEUR AD HOC Ì LA RÏUNION DE L/#$%
CÊOÊàDJBOUEVOTPVUJFOQVCMJD
SUR LES CRÏDITS Ì LEXPORTATION EN NOVEMBRE ,OBJECTIF EST DÏTABLIR UN DIALOGUE DURABLE EBOTMFTQBZTEFM0$%&FU
ET UN ENGAGEMENT PERMANENT QUI CONDUIRONT Ì LA MISE EN PLACE DE RÒGLES DU JEU PLUS EBOTDFSUBJOFTÊDPOPNJFT
ÏQUITABLES POUR TOUS LES ACTEURS DE CE SECTEUR OPONFNCSFT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
DIBOHFT
XXXPFDEPSHFDIEJBMPHVFGS
DIBOHFTFUEÊWFMPQQFNFOU UBEDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% CONTINUE DE RECHERCHER LES MOYENS DEXPLOITER LES ÏCHANGES AU SERVICE DU
DÏVELOPPEMENT ET A APPORTÏ SA CONTRIBUTION AUX TRAVAUX DE L³QUIPE SPÏCIALE DE L/-#
CHARGÏE DE LAIDE AU COMMERCE VOIR ENCADRÏ P
%LLE A AUSSI PUBLIÏ $YNAMISER LES ÏCHANGES LES ENJEUX DU DÏVELOPPEMENT DANS LE SYSTÒME
COMMERCIAL MULTILATÏRAL QUI SOULIGNE LA VALEUR ÏCONOMIQUE DUNE LIBÏRALISATION MULTILATÏRALE
AMBITIEUSE ET LES POSSIBILITÏS DAVANTAGES MUTUELS QUE PRÏSENTE LE SYSTÒME COMMERCIAL
POUR LES PAYS DÏVELOPPÏS ET EN DÏVELOPPEMENT
5N PROJET DE GRANDE ENVERGURE SUR LES ÏCHANGES SUD SUD CEST Ì DIRE LES ÏCHANGES ENTRE
PAYS EN DÏVELOPPEMENT A ÏTÏ lNALISÏE VOIR ENCADRÏ P )L FAISAIT PARTIE DES SUJETS Ì
LORDRE DU JOUR DU &ORUM MONDIAL SUR LES ÏCHANGES CONSACRÏ AUX DIMENSIONS MULTIPLES
DE LACCÒS AUX MARCHÏS ET DU DÏVELOPPEMENT QUI SEST TENU Ì -EXICO EN OCTOBRE
XXXPFDEPSHFDIGBDJMJUBUJPOGS
'BDJMJUBUJPOEFTÊDIBOHFT UBEDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% A ORGANISÏ UN FORUM RÏGIONAL INTITULÏ i /PTIMISER LES RETOMBÏES DE LA FACILITATION
DES ÏCHANGES EN TERMES DE DÏVELOPPEMENT w DANS LE CADRE DE SES TRAVAUX SUR LA FACILITATION
-&4"7*&;7064
DES ÏCHANGES PAR LA SIMPLIlCATION ET LHARMONISATION DES PROCÏDURES COMMERCIALES -F$IJMJFUMB3VTTJFTPOU
MFTEFVYTFVMFTÊDPOPNJFTFO
#E FORUM QUI SEST DÏROULÏ AU #AMEROUN EN SEPTEMBRE A FOURNI UN CADRE PROPICE
EÊWFMPQQFNFOUEBOTMFTRVFMMFT
AU DIALOGUE NATIONAL ET RÏGIONAL SUR LES QUESTIONS LIÏES AUX NÏGOCIATIONS Ì L/-# ET AU MFTQSJYEFTBQQFMTOBUJPOBVY
RENFORCEMENT DES CAPACITÏS DANS CE DOMAINE )L A RASSEMBLÏ PARTICIPANTS VENUS DE MPOHVFEJTUBODFTPOUQMVTÊMFWÊT
PAYS D!FRIQUE DE L/UEST ET D!FRIQUE CENTRALE ET DORGANISATIONS COMPÏTENTES BVKPVSEIVJRVFO
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
"HSJDVMUVSFFUQËDIFSJFT XXXPFDEPSHBHSJDVMUVSFGS
UBEDPOUBDU!PFDEPSH
$E NOMBREUX GOUVERNEMENTS INTERVIENNENT ACTIVEMENT DANS LES SECTEURS DE LAGRICULTURE
DE LALIMENTATION ET DE LA PÐCHE MAIS PAS TOUJOURS DE LA FA ON LA PLUS EFlCIENTE ET LA PLUS
EFlCACE ,/#$% FOURNIT DES INFORMATIONS DES ANALYSES ET DES CONSEILS SUR DES POLITIQUES
CONCRÒTES ET NOVATRICES DE RÏFORME ET DE DÏVELOPPEMENT FONDÏES SUR LA LIBÏRALISATION -&4"7*&;7064
DES ÏCHANGES $FTEJYEFSOJÍSFTBOOÊFT
M"VTUSBMJFBSÊEVJUEFNPJUJÊ
4OUT AU LONG DE L/#$% A RÏGULIÒREMENT APPORTÏ SON SOUTIEN AUX NÏGOCIATIONS SUR TBDPOTPNNBUJPOEFBVQBS
LE 0ROGRAMME DE $OHA POUR LE DÏVELOPPEMENT 0$$ DANS LE CADRE DE L/RGANISATION IFDUBSFJSSJHVÊ
BMPSTRVF
MONDIALE DU COMMERCE /-# AINSI QUAUX RESPONSABLES POLITIQUES DES PAYS MEMBRES TBQSPEVDUJPOBHSJDPMF
BBVHNFOUÊ
QUI SEFFORCENT DE TROUVER DES SOLUTIONS EFlCACES ET ÏQUITABLES AUX PROBLÒMES QUE
RENCONTRE LE SECTEUR #OMPTE TENU DES REVERS QUONT CONNUS LES NÏGOCIATIONS AU COURS
DE LANNÏE LESPACE DE DIALOGUE QUE CONSTITUE L/#$% Oá DES QUESTIONS POLITIQUES ET DES
PROBLÒMES TECHNIQUES ÏPINEUX PEUVENT ÐTRE EXAMINÏS Ì LÏCART DE LAGITATION MÏDIATIQUE
QUI ENTOURE LES POURPARLERS SEST RÏVÏLÏ PARTICULIÒREMENT PRÏCIEUX
XXXPFDEPSHBHSFDIBOHF
DIBOHFTFUBHSJDVMUVSF UBEDPOUBDU!PFDEPSH
,ES ACTIVITÏS DOUVERTURE ONT OCCUPÏ UNE PLACE DE PREMIER PLAN DANS LES TRAVAUX DE L/#$%
SUR LES ÏCHANGES ET LAGRICULTURE EN %LLES SONT DESTINÏES Ì RÏUNIR DES RESPONSABLES
ET DES CHERCHEURS DES PAYS MEMBRES ET NON MEMBRES DE L/#$% POUR ENCOURAGER LE
DIALOGUE ET RENFORCER LA COMPRÏHENSION MUTUELLE $ES RENCONTRES DE CETTE NATURE ONT EU
LIEU AU 3ÏNÏGAL ET EN !RGENTINE EN %LLES SE SONT RÏVÏLÏES EXTRÐMEMENT FRUCTUEUSES
POUR FAIRE AVANCER LE DÏBAT SUR DES QUESTIONS IMPORTANTES DANS LE CADRE DES NÏGOCIATIONS
SUR LE 0$$ ET ONT ATTIRÏ UN GRAND NOMBRE DE HAUTS RESPONSABLES DES RÏGIONS Oá ELLES SE
SONT TENUES
$VMUVSFEFCMÊEBOTVODIBNQ
QSÍTEF5FVMPO
QSPWJODF
EF.BOJUPCBBV$BOBEB
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
"HSJDVMUVSFFUQËDIFSJFT
XXXPFDEPSHBHSQFDIF
4PVUJFOQVCMJDÆMBQËDIF BOUIPOZDPY!PFDEPSH
%FTBDUJWJTUFTÊDPMPHJTUFT
CSBOEJTTFOUEFTQBODBSUFT
SFQSÊTFOUBOUMFUIPOSPVHFEVTVE
MPSTEVOFNBOJGFTUBUJPODPOUSF
MBQËDIFEFTQÍDFTFOEBOHFS
$EPUIS LEUR OUVERTURE EN DANS LE CADRE DE L/RGANISATION MONDIALE DU
COMMERCE /-# LES NÏGOCIATIONS SUR LE SOUTIEN PUBLIC Ì LA PÐCHE ONT BEAUCOUP
PROGRESSÏ ,ES DÏBATS PORTENT SUR LE CONTRÙLE AUQUEL IL FAUDRAIT SOUMETTRE LES SUBVENTIONS
QUI CONTRIBUENT Ì LA SURCAPACITÏ ET Ì LA SURPÐCHE CE QUI REmÒTE LA DÏTERMINATION DE LA
COMMUNAUTÏ INTERNATIONALE Ì SATTAQUER AUX EFFETS NÏGATIFS DES SUBVENTIONS ,IMPORTANCE
DU SECTEUR DE LA PÐCHE A ÏGALEMENT ÏTÏ RECONNUE COMPTE TENU DES PRIORITÏS EN MATIÒRE DE
DÏVELOPPEMENT DE LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETÏ ET DES PROBLÒMES DE SÏCURITÏ ALIMENTAIRE
,ES PRINCIPAUX POINTS ABORDÏS LORS DES NÏGOCIATIONS SONT NOTAMMENT LA FORME QUE LE
CONTRÙLE DES SUBVENTIONS DOIT REVÐTIR ET LA NATURE QUE LE TRAITEMENT SPÏCIAL ET DIFFÏRENCIÏ
DOIT ACQUÏRIR EN CAS DACCORD )L EST IMPORTANT DY PARVENIR CAR LA RÏGULATION DES SOUTIENS
PUBLICS EST INDISPENSABLE AUX ÏCHANGES ET Ì LA VIABILITÏ DES PÐCHES MONDIALES
,A NÏCESSITÏ DE RÏDUIRE ET DE MIEUX CIBLER LES SYSTÒMES DE SUBVENTIONS A ÏTÏ SOULIGNÏE
DANS UN RÏCENT RAPPORT DE L/#$% INTITULÏ ,ES AIDES lNANCIÒRES AU SECTEUR DE LA PÐCHE n ,EURS
RÏPERCUSSIONS SUR LE DÏVELOPPEMENT DURABLE %N LA PÐCHE A BÏNÏlCIÏ DUN SOUTIEN
lNANCIER DE MILLIARDS 53$ DANS LES PAYS DE L/#$% SOIT ENVIRON DE LA VALEUR
BRUTE DES CAPTURES MARINES
#E RAPPORT CONCLUT QUE CERTAINS TYPES DE TRANSFERTS JOUENT UN RÙLE IMPORTANT MAIS LIMITÏ
DANS LA GESTION DES PÐCHES ,ES DÏPENSES CONSACRÏES Ì LA RECHERCHE Ì LA GESTION Ì LA
SURVEILLANCE ET Ì CERTAINS TYPES DINFRASTRUCTURES COLLECTIVES SONT GÏNÏRALEMENT NÏCESSAIRES
POUR PROMOUVOIR UNE PÐCHE DURABLE ET RESPONSABLE 4OUTEFOIS DAUTRES TYPES DE TRANSFERTS
TENDENT Ì CRÏER DES INCITATIONS ÏCONOMIQUES PERVERSES POUR LES PÐCHEURS MÐME DANS DES
PÐCHERIES CONSIDÏRÏES COMME BIEN GÏRÏES )L IMPORTE DONC DAMÏLIORER LA TRANSPARENCE DES
PROGRAMMES DE SUBVENTIONS ET DADOPTER UNE APPROCHE INTÏGRÏE ET GLOBALE POUR ÏVALUER -&4"7*&;7064
-BRVBDVMUVSFSFQSÊTFOUF
LENSEMBLE DES COßTS ET AVANTAGES POTENTIELS DANS LE CADRE DE LACTION DES POUVOIRS PUBLICS
BVKPVSEIVJEFMBQSPEVDUJPO
SUR LA PÐCHE $ANS PLUSIEURS PAYS DE L/#$% LEXPÏRIENCE MONTRE QUUNE RÏDUCTION DES UPUBMFEVTFDUFVSEFMBQËDIF
SOUTIENS lNANCIERS ASSORTIE DE RÏFORMES APPROPRIÏES DE LA GESTION PEUVENT ACCROÔTRE LA EFTQBZTEFM0$%&FUEF
RENTABILITÏ LA RÏSILIENCE ET LA VIABILITÏ DU SECTEUR DE LA PÐCHE MBQSPEVDUJPONPOEJBMF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHBHSNBSDIF
.BSDIÊEFMBWJBOEF MJOEBGVMQPOJ!PFDEPSH
-&4"7*&;7064
-FTQSPCMÍNFTEF
TÊDVSJUÊBMJNFOUBJSFTPOU
MBSBJTPOQSFNJÍSFEFTOPSNFT
TVSMFTQSPEVJUTBMJNFOUBJSFT
RVFTJNQPTFOUMFTFOUSFQSJTFT
QSJWÊFT
,ES TRAVAUX DE L/#$% SUR LÏCONOMIE ALIMENTAIRE SOULIGNENT LES CHANGEMENTS QUI SONT
EN TRAIN DINTERVENIR DANS LE COMPORTEMENT DE LA lLIÒRE #ETTE ÏVOLUTION SILLUSTRE PAR
LA CONCENTRATION RAPIDE DU SECTEUR DES MÏCANISMES DE DÏTERMINATION DES PRIX DE PLUS
EN PLUS ÏLABORÏS ET LE REMPLACEMENT DES MARCHÏS AU COMPTANT PAR DIFFÏRENTES FORMES
DARRANGEMENTS CONTRACTUELS )L EN RÏSULTE QUE LORGANISATION ET LA GESTION DES DIFFÏRENTS
MAILLONS DE LA lLIÒRE CHANGENT ELLES AUSSI $ANS CE CONTEXTE IL EST ESSENTIEL DE DÏTERMINER
DANS QUELLE MESURE LA CONCENTRATION ACCRUE ET DONC LAUGMENTATION DU POUVOIR DU MARCHÏ
SE TRADUISENT PAR UNE BAISSE DES REVENUS DES PARTENAIRES COMMERCIAUX PLUS FAIBLES
,A PUBLICATION INTITULÏE ,ES SUPERMARCHÏS ET LA lLIÒRE VIANDE TRAITE DE CES QUESTIONS Ì TRAVERS
DES ÏTUDES DE CAS DANS QUATRE PAYS 0AYS
"AS #ANADA &RANCE ET 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE )L
EN RESSORT QUE LES DÏTAILLANTS RETIRENT EN GÏNÏRAL PEU DE BÏNÏlCES DE LA VENTE DE VIANDE
ET QUE LES PRIX SE RÏPERCUTENT DIFFÏREMMENT ENTRE LES MAILLONS DE LA lLIÒRE SELON LES PAYS
ET LES TYPES DE VIANDE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
"HSJDVMUVSFFUQËDIFSJFT
%N ÏGALEMENT LES PAYS MEMBRES DE L/#$% ONT POURSUIVI LEUR RÏFLEXION SUR
PLUSIEURS DOSSIERS NOTAMMENT LES PRÏFÏRENCES TARIFAIRES LÏROSION DES PRÏFÏRENCES ET
LES INCIDENCES QUE POURRAIT AVOIR LA POURSUITE DE LA PROLIFÏRATION DES ACCORDS BILATÏRAUX
ET RÏGIONAUX SUR LACTION PUBLIQUE 5NE ÏTUDE IMPORTANTE INTITULÏE 2ÏFORME DES POLITIQUES
AGRICOLES ET COMMERCIALES n 2ÏPERCUSSIONS POTENTIELLES AU NIVEAU MONDIAL AU NIVEAU NATIONAL ET
SUR LES MÏNAGES A ÏTÏ ACHEVÏE ET PUBLIÏE #ETTE ÏTUDE PERMET DEXPLIQUER LA NATURE ET LA
RÏPARTITION DES BÏNÏlCES QUI PEUVENT ÐTRE ATTENDUS DUNE RÏFORME %LLE DÏCRIT ÏGALEMENT
LES CIRCONSTANCES DANS LESQUELLES CERTAINS TYPES DE MÏNAGES SONT SUSCEPTIBLES DÐTRE LÏSÏS
%LLE ENTAME AUSSI UNE RÏmEXION SUR LES INTERVENTIONS PUBLIQUES QUI POURRAIENT ATTÏNUER
LES MANQUES Ì GAGNER ET DONC RENDRE POSSIBLES LES GAINS SUBSTANTIELS QUI DÏCOULERAIENT
PROBABLEMENT DES RÏFORMES
,ES TRAVAUX SUR LES POLITIQUES NATIONALES SONT RESTÏS AXÏS SUR LA DÏlNITION DE MESURES
EFlCIENTES ÏQUITABLES ET COMPATIBLES AVEC LINTÏGRATION CROISSANTE DU COMMERCE MONDIAL
)LS ONT PORTÏ PLUS PRÏCISÏMENT SUR LES COßTS DE LAPPLICATION DE MESURES ÏTROITEMENT
CIBLÏES ET DÏCOUPLÏES LES PLUS SUSCEPTIBLES DÐTRE Ì LA FOIS RENTABLES ET PROPICES AUX
ÏCHANGES TOUJOURS EN RESPECTANT LES OBJECTIFS RELATIFS NOTAMMENT Ì LENVIRONNEMENT AU
MONDE RURAL ET AUX REVENUS 5NE ÏTUDE SUR CE THÒME A ÏTÏ PUBLIÏE VERS LA lN DE LANNÏE
$E RÏCENTS TRAVAUX AFlNENT LA DÏlNITION DES MESURES DAJUSTEMENT ET DE COMPENSATION
NÏCESSAIRES POUR ACCOMPAGNER ET FACILITER LES INITIATIVES DE RÏFORME
XXXPFDEPSHBHSTPVUJFO
4VJWJEVTPVUJFOFUEFMBQSPUFDUJPO UBEDPOUBDU!PFDEPSH
$IMPORTANTS ÏVÏNEMENTS ONT EU LIEU EN EN CE QUI CONCERNE LA MESURE DU SOUTIEN ET
DE LA PROTECTION DONT BÏNÏlCIE LAGRICULTURE ESTIMATION DU SOUTIEN AUX PRODUCTEURS %30
ET INDICATEURS DÏRIVÏS ,A NOUVELLE CLASSIlCATION QUI A ÏTÏ ADOPTÏE AMÏLIORERA LE MOMENT
VENU LA PRÏCISION ET LA PERTINENCE DE LANALYSE SUSCEPTIBLE DÐTRE RÏALISÏE ,%30 PAR
PRODUITS A ÏTÏ ABANDONNÏE AU PROlT DUN NOUVEL INDICATEUR LES TRANSFERTS AU TITRE DUN
PRODUIT DONNÏ QUI PORTE SUR UN ÏVENTAIL RÏDUIT DINSTRUMENTS DACTION )L REmÒTE AINSI
LÏVOLUTION DES POLITIQUES DE CES DERNIÒRES ANNÏES ,ES INDICATEURS DE SOUTIEN ONT ÏTÏ
MIS Ì JOUR POUR DE NOMBREUX PAYS NON MEMBRES DONT LA #HINE LE "RÏSIL ET LA &ÏDÏRATION -&4"7*&;7064
"VYQSJYBDUVFMTEVQÊUSPMFCSVU
DE 2USSIE %NlN UNE ÏTUDE APPROFONDIE DES ORIENTATIONS DE LACTION PUBLIQUE AU -EXIQUE
MBQSPEVDUJPOEFCJPDBSCVSBOUT
A ÏTÏ RÏALISÏE Ì LA DEMANDE DU GOUVERNEMENT MEXICAIN %LLE A PERMIS LA FORMULATION OFTUQBTWJBCMFEVQPJOUEFWVF
DE RECOMMANDATIONS EN FAVEUR DE LA POURSUITE ET DU RENFORCEMENT DES RÏFORMES DE LA ÊDPOPNJRVFEBOTMBNBKPSJUÊ
POLITIQUE AGRICOLE AU -EXIQUE EFTQBZTEFM0$%&
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
'JTDBMJUÊ XXXPFDEPSHàTDBMJUF
DUQBDPOUBDU!PFDEPSH
,ES RESPONSABLES POLITIQUES SAPPUIENT SUR LES SYSTÒMES lSCAUX POUR RÏSOUDRE LEURS
PROBLÒMES SOCIAUX ET ÏCONOMIQUES AINSI QUE POUR AUGMENTER LES RECETTES lSCALES ,ES
TRAVAUX DE L/#$% SUR LA lSCALITÏ COUVRENT UN LARGE ÏVENTAIL DE DOMAINES NOTAMMENT
LA FRAUDE lSCALE LES PRATIQUES lSCALES DOMMAGEABLES LE COMMERCE ÏLECTRONIQUE ET
LES TAXES ENVIRONNEMENTALES ,/#$% PRODUIT DES STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU
INTERNATIONAL ET SASSOCIE AU CONTRÙLE ET Ì LÏVALUATION DES POLITIQUES ,ES ANALYSES TRAITENT
DES SYSTÒMES lSCAUX NATIONAUX AINSI QUE DE LEURS EFFETS SUR LES MARCHÏS DU TRAVAIL DU
CAPITAL ET DES PRODUITS
XXXPFDEPSHDUQBG
-BSÊGPSNFEFMJNQÔUTVSMFTTPDJÊUÊT DUQBDPOUBDU!PFDEPSH
,E NIVEAU DES RECETTES DE LIMPÙT SUR LES SOCIÏTÏS EST RESTÏ ÏLEVÏ MALGRÏ DE FORTES BAISSES
DES TAUX DIMPOSITION 4OUTEFOIS ON PEUT CRAINDRE QUE LES SYSTÒMES ACTUELS DIMPOSITION
DES SOCIÏTÏS NE FAVORISENT LE lNANCEMENT PAR LEMPRUNT AU DÏTRIMENT DU RECOURS AUX
FONDS PROPRES #ETTE SITUATION MENACE LA STABILITÏ MACROÏCONOMIQUE EN AUGMENTANT LE
RISQUE DE FAILLITES ET EN OFFRANT DES POSSIBILITÏS DÏVASION lSCALE INTERNATIONALE #ETTE
QUESTION REVÐT DEPUIS PEU UNE IMPORTANCE CROISSANTE DANS LES STRATÏGIES DES POUVOIRS
PUBLICS SUITE Ì LINTÏRÐT QUELLE A SUSCITÏ AUX ³TATS
5NIS %LLE PRÏOCCUPE DÏSORMAIS
LA "ELGIQUE QUI ENVISAGE DÏTENDRE AUX FONDS PROPRES LABATTEMENT lSCAL ACTUELLEMENT
APPLICABLE Ì LENDETTEMENT CE QUI PERMETTRAIT DOBTENIR LA i NEUTRALITÏ w ENTRE CES DEUX
MODES DE lNANCEMENT ,AUTRE SOLUTION SERAIT DE PARVENIR Ì LA NEUTRALITÏ EN SUPPRIMANT
LABATTEMENT ALLOUÏ AU TITRE DES DETTES
,ANALYSE DE L/#$% MONTRE QUE CES RÏFORMES FONDAMENTALES SONT SUSCEPTIBLES DE
PRÏSENTER DES AVANTAGES MAIS COMPORTENT AUSSI DES COßTS POTENTIELS ,ES PRINCIPAUX
AVANTAGES SONT LUTILISATION ACCRUE DES FONDS PROPRES ET LA RÏDUCTION DE LINCIDENCE DES
PRÐTS TRANSFRONTALIERS EFFECTUÏES Ì DES lNS DÏVASION lSCALE 4OUTEFOIS PERSONNE NA $FUPVWSBHFÊWBMVFMFGàDBDJUÊ
ENCORE CON U UN SYSTÒME DIMPÙT SUR LES SOCIÏTÏS QUI SOIT Ì LABRI DE LÏVASION lSCALE EFTUBYFTMJÊFTÆMFOWJSPOOFNFOU
$ES CHANGEMENTS AUSSI IMPORTANTS PEUVENT POSER DE GRAVES PROBLÒMES DE TRANSITION MFTSFDIFSDIFTSÊDFOUFTTVSMFVST
NOTAMMENT DES PERTES DE RECETTES PUBLIQUES SI LES DÏDUCTIONS SONT ÏTENDUES AUX FONDS JNQBDUTFOWJSPOOFNFOUBVYFU
PROPRES OU LA MENACE DE FAILLITE POUR LES ENTREPRISES TRÒS ENDETTÏES SI LA DÏDUCTION DES ÊDPOPNJRVFT
FUMFVSQPUFOUJFM
EBOTMFDBTEVOFVUJMJTBUJPO
INTÏRÐTS EST SUPPRIMÏE 0AR CONSÏQUENT LA DÏCISION SUR LOPPORTUNITÏ DENTREPRENDRE DE
QMVTMBSHF
TELLES RÏFORMES ET AU CAS Oá ELLES SERAIENT ENTREPRISES SUR LA SOLUTION Ì CHOISIR EST DIFlCILE
$E PLUS LES RÏPONSES VARIERONT PROBABLEMENT DUN PAYS Ì LAUTRE
XXXPFDEPSHDUQQGE
1SPHSÍTBDDPNQMJTEBOTMBMVUUFDPOUSFMFTQSBUJRVFTàTDBMFTEPNNBHFBCMFT DUQBDPOUBDU!PFDEPSH
,A SUPPRESSION DES PRATIQUES lSCALES DOMMAGEABLES EST UN DÏl DIFlCILE Ì RELEVER MAIS -&4"7*&;7064
DEUX RAPPORTS DE L/#$% PUBLIÏS EN MONTRENT QUE DES PROGRÒS SONT EN COURS 5N .BMHSÊMFTCBJTTFTEFTUBVY
RÏCENT RAPPORT DÏTAPE Ì CE SUJET PRÏCISE QUE PARMI LES RÏGIMES lSCAUX PRÏFÏRENTIELS EJNQPTJUJPOEBOTMFTQBZT
EFM0$%& MFTSFDFUUFTEFMJNQÔU
POTENTIELLEMENT DOMMAGEABLES IDENTIlÏS DANS LES PAYS DE L/#$% EN ONT
TVSMFTTPDJÊUÊTTPOUQBTTÊFT
ÏTÏ ABOLIS ONT ÏTÏ MODIlÏS AlN DEN ÏLIMINER LES CARACTÏRISTIQUES POTENTIELLEMENT EFÆEV1*#
DOMMAGEABLES SONT APPARUS COMME NÏTANT PAS DOMMAGEABLES ET SEUL A ÏTÏ JUGÏ FONPZFOOFBVDPVST
DOMMAGEABLE !PRÒS LA PUBLICATION DE CE RAPPORT LE RÏGIME DOMMAGEABLE A ÏTÏ ABOLI EFTEFSOJÍSFTBOOÊFT
,ÏVALUATION EFFECTUÏE EN PAR LE &ORUM MONDIAL SUR LA lSCALITÏ #OOPÏRATION lSCALE
VERS DES RÒGLES DU JEU ÏQUITABLES EXPOSE LES PRATIQUES SUIVIES EN MATIÒRE DE TRANSPARENCE
ET DÏCHANGE DE RENSEIGNEMENTS DANS ÏCONOMIES #E RAPPORT EST LE PREMIER DU GENRE
ET IL SERA MIS Ì JOUR CHAQUE ANNÏE )L CONSTITUERA UNE RÏFÏRENCE PRÏCIEUSE POUR LES PAYS
DANS LÏVALUATION DU NIVEAU DE TRANSPARENCE DE LEURS PARTENAIRES COMMERCIAUX
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
'JTDBMJUÊ
XXXPFDEPSHDUQDG
XXXPFDEPSHDUQNFNBQ
3ÍHMFNFOUEFTEJGGÊSFOETàTDBVYJOUFSOBUJPOBVY DUQBDPOUBDU!PFDEPSH
,ES DIFFÏRENDS lSCAUX INTERNATIONAUX SE PRODUISENT LORSQUE DEUX ADMINISTRATIONS
lSCALES SONT EN DÏSACCORD SUR LE RÏGIME Ì APPLIQUER Ì DES TRANSACTIONS TRANSFRONTALIÒRES
PARTICULIÒRES ,ES DIFFÏRENDS NON RÏSOLUS ET LA DOUBLE IMPOSITION QUI EN RÏSULTE PEUVENT
CONSTITUER UN OBSTACLE IMPORTANT AUX ÏCHANGES ET AUX INVESTISSEMENTS TRANSFRONTALIERS
3I LES PROCÏDURES EXISTANTES DE RÒGLEMENT DES DIFFÏRENDS QUI RÏSULTENT DES DISPOSITIONS
DES CONVENTIONS lSCALES RELATIVES Ì LA i PROCÏDURE AMIABLE w ONT ÏTÏ EFlCACES POUR LE -&4"7*&;7064
RÒGLEMENT DE LA GRANDE MAJORITÏ DES AFFAIRES ON ASSISTE Ì UNE AUGMENTATION DU NOMBRE 1MVTEFDPOWFOUJPOT
DE DIFFÏRENDS NON RÏGLÏS àTDBMFTCJMBUÊSBMFTBVOJWFBV
NPOEJBMTPOUGPOEÊFTTVS
%N RÏPONSE Ì CES PRÏOCCUPATIONS CROISSANTES L/#$% PROPOSE DES AMÏLIORATIONS Ì MF.PEÍMFEF$POWFOUJPOàTDBMF
LA PROCÏDURE AMIABLE ACTUELLE AINSI QUUN MANUEL POUR DES PROCÏDURES AMIABLES EFM0$%&
EFlCACES -%-!0 #ES MESURES PERMETTRONT DE METTRE EN LUMIÒRE LES BONNES PRATIQUES
LES OBSTACLES COMMUNS ET LES SOLUTIONS ENVISAGEABLES ET AIDERONT LES CONTRIBUABLES Ì
PARTICIPER Ì LA PROCÏDURE AMIABLE ,/RGANISATION RECOMMANDE ÏGALEMENT UNE PROCÏDURE
DARBITRAGE OBLIGATOIRE DANS LES CAS QUI RESTENT NON RÏSOLUS AU BOUT DE DEUX ANS
XXXPFDEPSHDUQBG
5BYFTTVSMBWBMFVSBKPVUÊF DUQBDPOUBDU!PFDEPSH
$ES TAXES SUR LA VALEUR AJOUTÏE SONT DÏSORMAIS EN VIGUEUR DANS PRÒS DE PAYS ET
REPRÏSENTENT EN MOYENNE PLUS DE DES RECETTES lSCALES DANS LES DIFFÏRENTS PAYS DE
L/#$% 4OUTEFOIS IL EST DEVENU DE PLUS EN PLUS DIFlCILE DAPPLIQUER CES TAXES AU NIVEAU
INTERNATIONAL NOTAMMENT AUX SERVICES ET AUX BIENS INCORPORELS %N UN RAPPORT
XXXPFDEPSHDUQBOUJDPSSVQUJPO
*OUFSEJSFMBEÊEVDUJPOàTDBMFEFTQPUTEFWJO DUQBDPOUBDU!PFDEPSH
,A 2ECOMMANDATION DE L/#$% SUR LA DÏDUCTIBILITÏ lSCALE DES POTS
DE
VIN VERSÏS Ì DES
AGENTS PUBLICS ÏTRANGERS SEFFORCE DE METTRE lN AUX DEMANDES VISANT Ì CONSIDÏRER CES
VERSEMENTS COMME DES DÏPENSES DÏDUCTIBLES #ETTE 2ECOMMANDATION SEST AVÏRÏE TRÒS
EFlCACE DEPUIS SON INSTAURATION EN ET LA GRANDE MAJORITÏ DES PARTIES Ì LA #ONVENTION
DE L/#$% SUR LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION INTERDISENT DÏSORMAIS LA DÏDUCTIBILITÏ DES POTS
DE
VIN VERSÏS Ì DES AGENTS PUBLICS ÏTRANGERS $ANS DE NOMBREUX CAS LES PAYS SONT ALLÏS
ENCORE PLUS LOIN ET ONT INTERDIT LA DÏDUCTIBILITÏ DE LENSEMBLE DES POTS
DE
VIN
,A MISE EN UVRE DE LA 2ECOMMANDATION A CONSTITUÏ UN MESSAGE CLAIR INDIQUANT QUE
LA CORRUPTION NE SERAIT PLUS CONSIDÏRÏE COMME UN ÏLÏMENT ORDINAIRE OU NÏCESSAIRE DES
TRANSACTIONS COMMERCIALES MAIS AU CONTRAIRE COMME UN DÏLIT PÏNAL PASSIBLE DE GRAVES
SANCTIONS 0OUR PERMETTRE UNE DÏTECTION EFlCACE L/#$% A PUBLIÏ LE -ANUEL DE SENSIBILISATION Ì
LA CORRUPTION Ì LINTENTION DES CONTRÙLEURS DES IMPÙTS QUI EST DÏSORMAIS DISPONIBLE EN LANGUES
#E MANUEL AIDE LES AUTORITÏS lSCALES Ì IDENTIlER LES PAIEMENTS SUSPECTS POUVANT CONSTITUER
DES POTS
DE
VIN AlN DÏVITER QUE CEUX
CI NE FASSENT LOBJET DE DÏDUCTIONS ET DE FAIRE EN
SORTE QUILS SOIENT AU CONTRAIRE DÏCLARÏS AUX AUTORITÏS CHARGÏES DE LAPPLICATION DE LA LOI
,E MANUEL AIDE PAR AILLEURS LES PAYS Ì RENFORCER LEURS LIGNES DIRECTRICES DAUDIT INTERNE SUR
LA SENSIBILISATION AUX VERSEMENTS ILLICITES ET LEUR DÏTECTION
-&4"7*&;7064
,/#$% PROMEUT LA MISE EN UVRE DE LA 2ECOMMANDATION AINSI QUE LE -ANUEL /#$% 5PVTMFTQBZTOJOUFSEJTFOUQBT
DE SENSIBILISATION Ì LA CORRUPTION Ì LINTENTION DES CONTRÙLEURS DES IMPÙTS DANS LE CADRE DE SON MBEÊEVDUJPOàTDBMFEFMFOTFNCMF
VASTE RÏSEAU DE PARTENARIAT lSCAL AVEC LES ÏCONOMIES NON MEMBRES DANS LENSEMBLE DU EFTQPUTEFWJO
MONDE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
DE L/#$% A MIS EN LUMIÒRE LES PROBLÒMES TELS QUE LA DOUBLE IMPOSITION LEXONÏRATION
INVOLONTAIRE ET LES INCERTITUDES POUR LES ADMINISTRATIONS COMME POUR LES ENTREPRISES
%N L/#$% A ENTREPRIS UN VASTE PROJET LES 0RINCIPES DIRECTEURS INTERNATIONAUX POUR
LAPPLICATION DE LA TAXE SUR LA VALEUR AJOUTÏE ET LA TAXE SUR LES PRODUITS ET SERVICES AlN
DATTÏNUER LE PLUS POSSIBLE CES PROBLÒMES ,ES 0RINCIPES DIRECTEURS PORTERONT NOTAMMENT
SUR LA QUESTION DE SAVOIR QUEL PAYS A LE DROIT DIMPOSER UNE TRANSACTION SUR LES DISPOSITIFS
DE REMBOURSEMENT AUX ENTREPRISES ET SUR LES PRESTATIONS FAISANT LOBJET DE CONTRATS
GLOBAUX COMPLEXES )LS COUVRIRONT AUSSI DES SECTEURS SPÏCIlQUES TELS QUE LES SERVICES
lNANCIERS ET LES TÏLÏCOMMUNICATIONS ,ES 0RINCIPES DIRECTEURS SERONT PUBLIÏS SOUS
FORME ÏLECTRONIQUE Ì MESURE QUE CHAQUE SECTION SERA ACHEVÏE ,A PREMIÒRE UNE SÏRIE
DE PRINCIPES TRÒS GÏNÏRAUX A ÏTÏ PUBLIÏE EN
XXXPFDEPSHDUQBG
'PSVNTVSMBENJOJTUSBUJPOEFMJNQÔU DUQBDPOUBDU!PFDEPSH
,A ÒME RÏUNION DU &ORUM SUR LADMINISTRATION DE LIMPÙT &!) SEST DÏROULÏE Ì 3ÏOUL EN
SEPTEMBRE %LLE A RASSEMBLÏ LES DIRIGEANTS DES ADMINISTRATIONS lSCALES ET DAUTRES
HAUTS FONCTIONNAIRES DE LA PLUPART DES PAYS MEMBRES DE L/#$% AINSI QUE D!FRIQUE DU 3UD
DU #HILI DE #HINE ET D)NDE 0ARMI LES PRINCIPAUX THÒMES DE DISCUSSION ABORDÏS ON PEUT
MENTIONNER LES PROBLÒMES POSÏS PAR LE NON
RESPECT DES LÏGISLATIONS lSCALES AU NIVEAU
INTERNATIONAL ET LES SOLUTIONS POSSIBLES POUR PERMETTRE AUX ADMINISTRATIONS lSCALES DE
PRENDRE DES MESURES PLUS EFlCACES NOTAMMENT EN RENFOR ANT LA COOPÏRATION
,ES PARTICIPANTS AU &!) DE 3ÏOUL SE SONT ENGAGÏS Ì RECOURIR Ì DES INITIATIVES RÏGIONALES
NATIONALES ET MULTILATÏRALES POUR DAVANTAGE FAIRE RESPECTER LES LÏGISLATIONS lSCALES TOUT
EN TRAVAILLANT DANS LE CADRE EXISTANT DES ACCORDS BILATÏRAUX )LS SONT ÏGALEMENT CONVENUS %FHBVDIFÆESPJUF
DÏTUDIER LA NÏCESSITÏ DE DISPOSER DE NOUVEAUX INSTRUMENTS POUR FACILITER LA DÏTECTION -FTEFVYDPNNJTTBJSFT
.BSL&WFSTPO
SFTQPOTBCMF
DU NON
RESPECT DES OBLIGATIONS lSCALES AU NIVEAU INTERNATIONAL
EFM*OUFSOBM3FWFOV4FSWJDF
$ANS CE CONTEXTE ILS ONT IDENTIlÏ QUATRE DOMAINES DANS LESQUELS LES TRAVAUX SERAIENT BVYUBUT6OJT
FU+FPO(PPOQZP
EJSFDUFVSHÊOÊSBMEFTJNQÔUT
APPROFONDIS OU DANS LESQUELS DE NOUVEAUX TRAVAUX SERAIENT ENTREPRIS SOUS LES AUSPICES
DPSÊFO
MPSTEV'PSVNEFM0$%&
DE L/#$% TVSMBENJOJTUSBUJPOEFMJNQÔU
Æ4ÊPVMFOTFQUFNCSF
POURSUITE DE LÏLABORATION DU RÏPERTOIRE SUR LES DISPOSITIFS DE PLANIlCATION lSCALE
AGRESSIVE AlN DIDENTIlER LES TENDANCES ET LES MESURES PERMETTANT DE METTRE EN ÏCHEC
CES DISPOSITIFS
EXAMEN DU RÙLE DES INTERMÏDIAIRES lSCAUX PAR EXEMPLE LES CABINETS DAVOCATS ET
DEXPERTS COMPTABLES LES AUTRES CONSEILLERS lSCAUX ET INSTITUTIONS lNANCIÒRES DANS
LA PROMOTION DE LA DISCIPLINE lSCALE UNE ÏTUDE SUR CE SUJET DEVRAIT ÐTRE ACHEVÏE DICI
lN
ÏTUDE DE LAPPLICATION DES 0RINCIPES DE GOUVERNEMENT DENTREPRISE DE L/#$% DE
DANS LA MESURE Oá ILS RELÒVENT DU LIEN ENTRE LA lSCALITÏ ET LA BONNE GOUVERNANCE
AMÏLIORATION DE LA FORMATION DES FONCTIONNAIRES DES IMPÙTS SUR LES QUESTIONS DE
-&4"7*&;7064
lSCALITÏ INTERNATIONALE NOTAMMENT PAR LE DÏTACHEMENT DE FONCTIONNAIRES DUNE %BOTMFTQBZTOPSEJRVFT
ADMINISTRATION Ì LAUTRE EFTDPOUSJCVBCMFTSFÉPJWFOU
EFTGPSNVMBJSFTEFEÊDMBSBUJPO
LES PARTICIPANTS AU &!) EXAMINERONT LES PROGRÒS RÏALISÏS DANS CHACUN DE CES DOMAINES EJNQÔUQSÊSFNQMJTFU
Ì LOCCASION DE LEUR PROCHAINE RÏUNION QUI SERA ORGANISÏE PAR L!FRIQUE DU 3UD EN EFOUSFFVYMFTDPOTJEÍSFOU
JANVIER DPNNFFYBDUT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
(PVWFSOBODFQVCMJRVF
(PVWFSOBODF
(PVWFSOBODFQVCMJRVF XXXPFDEPSHHPVWFSOBODF
HPWDPOUBDU!PFDEPSH
³TABLIR ET PRÏSERVER LA CONlANCE DU PUBLIC EST LUN DES DÏlS MAJEURS DUNE ADMINISTRATION
MODERNE 5NE GOUVERNANCE PUBLIQUE EFlCACE ET AVISÏE CONTRIBUE Ì RENFORCER LA DÏMOCRATIE
ET LES DROITS DE LHOMME Ì FAVORISER LA PROSPÏRITÏ ÏCONOMIQUE ET LA COHÏSION SOCIALE Ì
RÏDUIRE LA PAUVRETÏ ET Ì RENFORCER LA PROTECTION DE LENVIRONNEMENT POUR UNE UTILISATION
DURABLE DES RESSOURCES NATURELLES %LLE PERMET AUSSI DASSEOIR LA CONlANCE DANS LES
POUVOIRS PUBLICS ET LADMINISTRATION $EPUIS PLUSIEURS DÏCENNIES LES PAYS DE L/#$%
SEMPLOIENT Ì RENFORCER LEFlCACITÏ LA RESPONSABILITÏ LA TRANSPARENCE ET LA RÏCEPTIVITÏ DE
LADMINISTRATION AU REGARD DES BESOINS DES CITOYENS
XXXPFDEPSHHPVWFSOBODF
.PCJMJTFSMFTDJUPZFOT DISJTUJBOWFSHF[!PFDEPSH
0OUR RENFORCER LA CONlANCE DU PUBLIC DANS LES INSTITUTIONS IL EST CAPITAL DE FAVORISER LA
TRANSPARENCE LACCESSIBILITÏ ET LA SOUPLESSE DE LADMINISTRATION ,ES PAYS DISPOSENT DE
DIVERS INSTRUMENTS POUR ASSOCIER LE PUBLIC AU PROCESSUS DÏLABORATION DE LACTION PUBLIQUE
MAIS DES RISQUES DE MAINMISE PAR CERTAINS GROUPES DINTÏRÐT ET DEXCLUSION DE CERTAINS
SEGMENTS DE LA SOCIÏTÏ SUBSISTENT %N ET L/#$% ÏTUDIERA LES MOYENS DONT
DISPOSENT LES POUVOIRS PUBLICS POUR FAVORISER LENGAGEMENT DES CITOYENS ET POUR ÏLARGIR
ET INTÏGRER DAVANTAGE LE PROCESSUS DÏLABORATION DE LACTION PUBLIQUE
XXXPFDEPSHHPWJOEJDBUPST
*OEJDBUFVSTEVOFHPVWFSOBODFBWJTÊF OJDLNBOOJOH!PFDEPSH
,ES POUVOIRS PUBLICS DOIVENT POUVOIR SAPPUYER SUR DES DONNÏES COMPARATIVES DE QUALITÏ
POUR ANALYSER ET ÏVALUER LES RÏFORMES DE LA GESTION PUBLIQUE MAIS AUSSI APPRENDRE DES
AUTRES PAYS #ES DONNÏES SONT RARES 0OUR COMBLER CE DÏlCIT L/#$% RÏUNIT DES DONNÏES
COMPARATIVES SUR LES DOMAINES CLÏS DE LA GESTION PUBLIQUE EN SAPPUYANT SUR DES
DÏlNITIONS PRÏCISES ET COHÏRENTES #ETTE BASE DE DONNÏES SERA CONSTAMMENT ÏTOFFÏE CES
PROCHAINES ANNÏES
%FHBVDIFÆESPJUF
-F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEFM0$%&
"OHFM(VSSÎB
MFQSÊTJEFOU
EVHSPVQFCSJUBOOJRVF7PEBGPOF
+PIO#POE
FUMFNBJSFEF4IBOHIBJ
)BO;IFOH
MPSTEFMBFSÊVOJPO
BOOVFMMFEFM*OUFSOBUJPOBM
#VTJOFTT-FBEFST"EWJTPSZ$PVODJM
*#-"$
Æ4IBOHIBJ $IJOF
FOOPWFNCSF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHHPWFUIJDT
5SBOTQBSFODFFUJOUÊHSJUÊ KBOPTCFSUPL!PFDEPSH
,A TRANSPARENCE ET LINTÏGRITÏ DU SERVICE PUBLIC SONT ESSENTIELLES POUR ÏTABLIR LA CONlANCE
DU PUBLIC ,/#$% A ÏLABORÏ DES LIGNES DIRECTRICES SUR LES MOYENS DINSTAURER DES CADRES -&4"7*&;7064
CAPABLES DE GARANTIR LINTÏGRITÏ ET NOTAMMENT DE GÏRER LES CONmITS DINTÏRÐTS POUR AINSI %BOTTFVMFNFOUEFT
QBZTNFNCSFTEFM0$%&
PRÏVENIR LA CORRUPTION 5N RAPPORT DE MONTRE QUE LES PAYS APPLIQUENT CES LIGNES
MBMÊHJTMBUJPOFYJHFRVFMFT
DIRECTRICES POUR EXAMINER ET ACTUALISER SI BESOIN EST LEUR POLITIQUE VISANT LES CONmITS HSPVQFTEFQSFTTJPOGBTTFOUÊUBU
DINTÏRÐTS ,/#$% ÏTUDIE AUSSI COMMENT UTILISER LES PRINCIPES DE GOUVERNANCE POUR EFMFVSTDPOUBDUTBWFD
LUTTER CONTRE LA CORRUPTION DANS LES MARCHÏS PUBLICS TOUT EN CONCILIANT LES IMPÏRATIFS DE EFTGPODUJPOOBJSFT
TRANSPARENCE DINTÏGRITÏ ET DE CONTRÙLE AVEC LE SOUCI DEFlCACITÏ
XXXPFDEPSHHPWCVEHFUGS
CBSSZBOEFSTPO!PFDEPSH
MBCPSBUJPOEVCVEHFUFUEÊQFOTFTQVCMJRVFT KPOCMPOEBM!PFDEPSH
,A DISCIPLINE BUDGÏTAIRE LAFFECTATION DES RESSOURCES ET LES GAINS DEFlCACITÏ DANS LES
ACTIVITÏS DES ADMINISTRATIONS CONDITIONNENT LES PERFORMANCES ÏCONOMIQUES NATIONALES
%N UN EXAMEN PAR LES PAIRS DE L/#$% SUR LÏLABORATION DU BUDGET A ÏTÏ MENÏ
EN !UTRICHE AU "AHREÕN EN (ONGRIE ET Ì 3INGAPOUR %N LES TRAVAUX COMPRENDRONT
LEXAMEN DE LA 4URQUIE ET DE L5KRAINE AINSI QUE LÏLABORATION DE LIGNES DIRECTRICES ET DE
RAPPORTS COMPARATIFS PORTANT SUR LA BUDGÏTISATION AXÏE SUR LES PERFORMANCES LES DÏPENSES -&4"7*&;7064
lSCALES ET LA PARTICIPATION DES CITOYENS Ì LÏLABORATION DU BUDGET 4FMPOMFTFTUJNBUJPOTEFDFSUBJOT
QBZTEFM0$%&
MFSFTQFDU
,A BASE DE DONNÏES DE L/#$% SUR LA BUDGÏTISATION REFONDUE EN LIVRE DES DONNÏES EFMBSÊHMFNFOUBUJPODPÚUF
NORMALISÏES ET COMPARATIVES SUR LES INSTITUTIONS ET LA PRATIQUE BUDGÏTAIRES DE PLUS DE BVYFOUSFQSJTFTFOUSFFU
PAYS EV1*#
XXXPFDEPSHSFGPSNFSFH
KPTFGLPOWJU[!PFDEPSH
"MMÊHFSMFTDIBSHFTBENJOJTUSBUJWFT áFNNJOHPMTFO!PFDEPSH
2ÏDUIRE LES CHARGES ADMINISTRATIVES OU ÏLIMINER LA i PAPERASSERIE w EST UNE PRIORITÏ
POLITIQUE DANS DE NOMBREUX PAYS DE L/#$% ,ES FORMALITÏS PÒSENT PARTICULIÒREMENT LOURD
SUR LES PETITES ENTREPRISES ET PEUVENT FREINER LENTREPRENEURIAT 1UE PEUVENT FAIRE LES
POUVOIRS PUBLICS POUR ALLÏGER LES CHARGES QUI PÒSENT SUR LES CITOYENS ET LES ENTREPRISES
0ARMI LES STRATÏGIES POSSIBLES IL FAUT lXER DES OBJECTIFS QUANTITATIFS POUR RÏDUIRE LES CHARGES
ADMINISTRATIVES REVOIR ET CODIlER LES TEXTES EN VIGUEUR COORDONNER LEFFORT DES DIFFÏRENTS
NIVEAUX DADMINISTRATION ET TRANSFORMER LES SERVICES LOGISTIQUES PAR LES TECHNOLOGIES DE
LINFORMATIQUE ET DES COMMUNICATIONS POUR ALLÏGER LES CHARGES DÏCLARATIVES DES CITOYENS
ET DES ENTREPRISES
$ES PROGRAMMES PUBLICS INTÏGRÏS PERMETTENT UNE PLUS GRANDE ÏCONOMIE DE MOYENS
ET PLUS DE TRANSPARENCE ET DE RESPONSABILITÏ 5NE ENQUÐTE RÏALISÏE EN SUR LES
POLITIQUES ET LES PROGRAMMES APPLIQUÏS DANS LES PAYS DE L/#$% ³LIMINER LA PAPERASSERIE
$ES STRATÏGIES NATIONALES POUR SIMPLIlER LES FORMALITÏS ADMINISTRATIVES MONTRE EN QUOI CETTE
DÏMARCHE GLOBALE EST UNE ÏVOLUTION CAPITALE DE CES DERNIÒRES ANNÏES $E PLUS L/#$%
ÏLABORE DES INSTRUMENTS CAPABLES DE QUANTIlER LES CHARGES ADMINISTRATIVES QUI VONT AU
DELÌ DUNE MESURE REmÏTANT DES OPINIONS ET QUI RENFORCENT LA PRISE DE DÏCISION FONDÏE
SUR DES DONNÏES PROBANTES
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
(PVWFSOBODFQVCMJRVF
XXXPFDEPSHHPWHSI
&NQMPJFUHFTUJPOQVCMJDT OJDLNBOOJOH!PFDEPSH
,ES SERVICES PUBLICS SONT FORTEMENT INCITÏS Ì RÏDUIRE LEURS COßTS ET Ì SUIVRE LÏVOLUTION
DE LA SOCIÏTÏ $ANS CE CONTEXTE L/#$% A ÏTUDIÏ LES EFFORTS NATIONAUX ENTREPRIS POUR
PRÏPARER LES EFFECTIFS AU VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION VOIR ENCADRÏ CI
DESSOUS $E MÐME
LES AUTORITÏS DÏCENTRALISENT LA GRILLE DES SALAIRES ET REPENSENT LES RELATIONS ENTRE SPHÒRE
POLITIQUE ET FONCTION PUBLIQUE DANS LE CADRE DUNE POLITIQUE DEFlCACITÏ DU SECTEUR PUBLIC
,ES PAYS MEMBRES CHERCHENT Ì ÏVALUER LES EFFETS DES PRINCIPAUX CHANGEMENTS QUILS ONT
APPORTÏS Ì LA GESTION DES FONCTIONNAIRES ,/#$% A LANCÏ UNE NOUVELLE SÏRIE DEXAMENS PAR
LES PAIRS DES POLITIQUES NATIONALES DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES SÏRIE INAUGURÏE
PAR LEXAMEN DE LA "ELGIQUE lN
XXXPFDEPSHHPWFHPW
"ENJOJTUSBUJPOÊMFDUSPOJRVF FEXJOMBV!PFDEPSH
,ADMINISTRATION ÏLECTRONIQUE EST UN INSTRUMENT CAPABLE DAPPORTER PLUS DE TRANSPARENCE
DE RESPONSABILITÏ DEFlCIENCE ET DEFlCACITÏ AU SECTEUR PUBLIC ,ES ÏCHANGES DINFORMATIONS
ET DE SERVICES CONTRIBUENT NOTAMMENT Ì RENDRE MOINS BUREAUCRATIQUES LES RAPPORTS ENTRE
LADMINISTRATION DUNE PART ET LES CITOYENS ET LES ENTREPRISES DAUTRE PART ,/#$% ÏTUDIE
LES EFFETS DE CES ÏCHANGES SUR LA PRESTATION DE SERVICES LES CHARGES ADMINISTRATIVES POUR LES
USAGERS ET LEFlCACITÏ DES SERVICES LOGISTIQUES ,A PROCHAINE ÏTAPE CONSISTERA NOTAMMENT Ì
FAIRE LE POINT DE LUTILISATION DES SERVICES EN LIGNE ET Ì ÏLABORER DES MÏTHODES POUR MESURER
LIMPACT DE LADMINISTRATION ÏLECTRONIQUE %N L/#$% A EXAMINÏ LADMINISTRATION
ÏLECTRONIQUE EN (ONGRIE AUX 0AYS
"AS ET EN 4URQUIE LES ÏTUDES DE LA "ELGIQUE DU 0ORTUGAL
ET DE L)RLANDE SERONT RÏALISÏES EN
XXXPFDEPSHHPWISN
6OFGPODUJPOQVCMJRVFWJFJMMJTTBOUF FMTBQJMJDIPXTLJ!PFDEPSH
,E VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION OBLIGE LES AUTORITÏS Ì REVOIR LE FONCTIONNEMENT DE
LEUR SECTEUR PUBLIC ,AUGMENTATION DU NOMBRE DE PERSONNES ÊGÏES OU INOCCUPÏES PAR
TRAVAILLEUR IMPOSE UN REDÏPLOIEMENT SECTORIEL DES RESSOURCES HUMAINES ET UN EFFORT DE
PRODUCTIVITÏ DES ADMINISTRATIONS
,ES EFFECTIFS DU SECTEUR PUBLIC SONT DAVANTAGE CONCERNÏS PAR CE PHÏNOMÒNE QUE LENSEMBLE
DE LA POPULATION ACTIVE OCCUPÏE CE QUI ALOURDIT LA CHARGE BUDGÏTAIRE ET RÏDUIT LA CAPACITÏ
DES POUVOIRS PUBLICS DE MAINTENIR LE VOLUME ET LA QUALITÏ DES SERVICES RENDUS 0OURTANT
CETTE SITUATION OFFRE AUSSI UNE OCCASION STRATÏGIQUE DE RÏDUIRE LES EFFECTIFS DU SECTEUR
PUBLIC LORSQUIL LE FAUT DOPÏRER DES CHANGEMENTS STRUCTURELS DANS LES CONDITIONS DEMPLOI -&4"7*&;7064
NOTAMMENT POUR PLUS DE mEXIBILITÏ ET DE REDÏPLOYER LES RESSOURCES HUMAINES VERS LES &ONPZFOOF
EFTFGGFDUJGT
EVTFDUFVSQVCMJDQSFOESPOU
DOMAINES QUI CONNAISSENT DES BESOINS CROISSANTS PAR EXEMPLE LES SERVICES SOCIAUX ET
MFVSSFUSBJUFDFTQSPDIBJOFT
DE SOINS Ì LONG TERME AUX PERSONNES ÊGÏES BOOÊFT
,/#$% ENCOURAGE VIVEMENT LES PAYS Ì EXAMINER LES EFFETS DU VIEILLISSEMENT SUR LA
PRESTATION DES SERVICES PUBLICS AINSI QUE SUR LA SITUATION GÏNÏRALE DES MARCHÏS lNANCIERS
ET DU TRAVAIL 4OUTEFOIS PEU DE PAYS DE L/#$% SONT PRÐTS Ì RELEVER LE DÏl ,/RGANISATION
RECOMMANDE AUX PAYS DE CHOISIR DES MOYENS DAUGMENTER LA PRODUCTIVITÏ ET DE
RÏDUIRE LES COßTS GÏNÏRAUX DANS LE SERVICE PUBLIC TOUT EN TIRANT PARTI DES POSSIBILITÏS DE
RESTRUCTURATION QUOFFRE LE DÏPART Ì LA RETRAITE DUN GRAND NOMBRE DE FONCTIONNAIRES
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHHPW
EFWFMPQQFNFOUSFHJPOBM
%FTWJMMFTDPNQÊUJUJWFT NBSJPQF[[JOJ!PFDEPSH
%FHBVDIFÆESPJUF
-FEJSFDUFVSEFT3FMBUJPOT
FYUÊSJFVSFTFUEFMB
DPNNVOJDBUJPOEFM0$%&
$ISJT#SPPLT
MFQSÊTJEFOU
EV$PNJUÊDPOTVMUBUJGFYUFSOF
EV1SFNJFSNJOJTUSFTVSMFTWJMMFT
FUMFTDPMMFDUJWJUÊTBV$BOBEB
.JDIBFM)BSDPVSU
FUMFNBJSF
EF.BESJE &TQBHOF
"MCFSUP3VJ[(BMMBSEÓO
MPSTEV
QBOFMj7JMMFTFUNPOEJBMJTBUJPOv
BV'PSVNEFM0$%&EF
-&4"7*&;7064
4FVMFTEFTWJMMFTMFTQMVT
SJDIFTEVNPOEFOFTFTJUVFOU
QBTBVYUBUT6OJT -POESFT
1BSJTFU%VCMJO
!UJOURDHUI PLUS DE LA MOITIÏ DE LA POPULATION DES PAYS DE L/#$% VIT DANS LES ZONES
URBAINES ,ES MÏGAPOLES COMME 4OKYO ET -EXICO AINSI QUE LES GRANDES AGGLOMÏRATIONS
COMME (ELSINKI -ADRID -ONTRÏAL ET 3TOCKHOLM SONT SOUVENT QUALIlÏES DE i MOTEURS DE
LA CROISSANCE NATIONALE w %LLES REPRÏSENTENT UNE PART IMPORTANTE DE LÏCONOMIE NATIONALE
JUSQUÌ POUR "UDAPEST (ELSINKI ET 3ÏOUL ET AFlCHENT UN 0)" PAR HABITANT ET UN
NIVEAU DE PRODUCTIVITÏ SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE NATIONALE #EPENDANT LES VILLES CONCENTRENT
AUSSI DES POCHES IMPORTANTES DE CHÙMAGE ET DE PAUVRETÏ ET ELLES SONT CONFRONTÏES Ì DES
PROBLÒMES TELS QUE LES ENCOMBREMENTS LA POLLUTION ET LA DÏLINQUANCE
,ES RESPONSABLES POLITIQUES REPENSENT LES STRATÏGIES QUI VISENT Ì CONCILIER LES AVANTAGES
ÏCONOMIQUES DES VILLES ET LES PROBLÒMES CORRÏLATIFS 6ILLES COMPÏTITIVITÏ ET MONDIALISATION EST
UN RAPPORT DE SYNTHÒSE QUI SAPPUIE SUR LES EXAMENS QUE L/#$% CONSACRE AUX GRANDES
MÏTROPOLES ° PARTIR DUNE BASE DE DONNÏES INTERNATIONALE SANS ÏQUIVALENT PORTANT SUR
RÏGIONS TRÒS URBANISÏES IL PROPOSE DES INDICATEURS SUR LES PERFORMANCES DES GRANDES
VILLES DANS LEURS PAYS RESPECTIFS ,E RAPPORT TRAITE AUSSI DES PRINCIPAUX DILEMMES
NOTAMMENT LA COMPÏTITIVITÏ ET LA COHÏSION SOCIALE LES RELATIONS ENTRE LES DIFFÏRENTS
NIVEAUX DE LADMINISTRATION ET LES lNANCES DES VILLES
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
(PVWFSOBODFQVCMJRVF
XXXPFDEPSHHPW
EFWFMPQQFNFOUSFHJPOBM
%ÊWFMPQQFNFOUUFSSJUPSJBM NBSJPQF[[JOJ!PFDEPSH
,ES RÏGIONS FONT PARTIE INTÏGRANTE DE LÏCONOMIE NATIONALE ,/#$% ÏTUDIE LES MOYENS DONT
DISPOSENT LES POUVOIRS PUBLICS POUR RENFORCER LES PERFORMANCES RÏGIONALES ET ASSURER LA
COHÏSION ÏCONOMIQUE ET SOCIALE AINSI QUUN DÏVELOPPEMENT ÏQUILIBRÏ Ì LÏCHELLE NATIONALE
0UBLIÏ EN ,E NOUVEAU PARADIGME RURAL SOULIGNE LES IMPÏRATIFS QUIMPOSENT AUX
AUTORITÏS LE DÏCLIN DE LAGRICULTURE COMME SOURCE DEMPLOIS DANS LES RÏGIONS RURALES ET LES
NOUVELLES POSSIBILITÏS QUOFFRENT LES SECTEURS NON TRADITIONNELS )L RECENSE AUSSI LES MOYENS
DONT LE SECTEUR PUBLIC PEUT SE SERVIR POUR ASSURER DES SERVICES PUBLICS DE QUALITÏ DANS LES
ZONES RECULÏES ,ES EXAMENS DE LA &RANCE ET DE LA &INLANDE ONT CONlRMÏ LIMPORTANCE
CROISSANTE DES POLITIQUES RÏGIONALES AXÏES SUR LINNOVATION DANS CES DEUX PAYS 5NE ÏTUDE
SUR LA CONTRIBUTION DES STRATÏGIES RÏGIONALES Ì LINTÏGRATION ET AU DÏVELOPPEMENT DE LA
RÏGION MÏSO
AMÏRICAINE A ÏTÏ PUBLIÏE EN ,ES TRAVAUX ULTÏRIEURS EXAMINERONT LES
MOYENS DONT DISPOSENT LES POUVOIRS PUBLICS POUR RENFORCER LES ÏCONOMIES RÏGIONALES ET
ACCENTUER LA COORDINATION DES POLITIQUES CENTRALES ET RÏGIONALES XXXPFDEPSHHPWPVUSFBDI
XXXPFDEPSHNFOBHPWFSOBODF
NBSUJOGPSTU!PFDEPSH
1BSUBHFSMFYQÊSJFODFBDRVJTF NFOBHPWFSOBODF!PFDEPSH
,)NITIATIVE SUR LA GOUVERNANCE ET LINVESTISSEMENT Ì LAPPUI DU DÏVELOPPEMENT AU -OYEN
/RIENT ET EN !FRIQUE DU .ORD A PERMIS DE METTRE EN PLACE UN RÏSEAU RÏGIONAL UNIQUE
QUI ASSOCIE LES PAYS ARABES ET CEUX DE L/#$% POUR EXAMINER LES QUESTIONS ESSENTIELLES
QUE SOULÒVE LA RÏFORME DE LA GOUVERNANCE PUBLIQUE 'RÊCE AU DIALOGUE MENÏ AVEC LEURS
PAIRS DES PAYS DE L/#$% SUR LES POLITIQUES Ì SUIVRE LES SPÏCIALISTES DE LACTION PUBLIQUE
DANS LES PAYS ARABES ONT CON U UN ENSEMBLE DE PLANS DACTION NATIONAUX POUR RÏFORMER
LA GOUVERNANCE #ES PLANS DACTION ONT ÏTÏ APPROUVÏS AU NIVEAU MINISTÏRIEL Ì 3HARM
EL
3HEIKH EN MAI
%N #HINE LES RÏFORMES NÏCESSITENT DE PLUS EN PLUS UNE ORGANISATION RÏGLEMENTAIRE -&4"7*&;7064
COMPATIBLE AVEC CELLE DUNE ÏCONOMIE DE MARCHÏ ,/#$% EXAMINERA PROCHAINEMENT LA %BOTFOWJSPOMBNPJUJÊEFTQBZT
RÏFORME RÏGLEMENTAIRE EN #HINE NOTAMMENT LES MOYENS DACTION LES INSTRUMENTS ET EFM0$%&
MF1BSMFNFOUOBQBT
UPVUFMBUJUVEFQPVSNPEJàFSMF
LES INSTITUTIONS AU SERVICE DUNE RÏGLEMENTATION DE QUALITÏ %N OUTRE ELLE A RÏCEMMENT
QSPKFUEFCVEHFUEFM&YÊDVUJG
ÏTENDU SA COOPÏRATION AVEC LA #HINE AU DOMAINE DU DÏVELOPPEMENT RÏGIONAL 0ARMI LES
OBJECTIFS PRIORITAIRES IL FAUT CITER LA RÏPARTITION DE LA CROISSANCE SUR LENSEMBLE DU TERRITOIRE
LA MAÔTRISE DU FOSSÏ QUI SE CREUSE ENTRE LES ZONES URBAINES ET LES ZONES RURALES ET LE
REDRESSEMENT DE LA COMPÏTITIVITÏ DES RÏGIONS EN DÏCLIN %N ET L/RGANISATION
RENFORCERA ENCORE SA COOPÏRATION AVEC LA #HINE EN ANALYSANT LES ÏVOLUTIONS RÏGIONALES
LES POLITIQUES DE DÏVELOPPEMENT RÏGIONAL ET LES MÏCANISMES DE GOUVERNANCE ,ES AUTRES
ACTIVITÏS PRINCIPALES ENTREPRISES AVEC LE "RÏSIL ET LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE PORTENT SUR LA
MODERNISATION DU SECTEUR PUBLIC ET LA RÏFORME RÏGLEMENTAIRE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
(PVWFSOBODFQSJWÊF XXXPFDEPSHEBGGS
EBGDPOUBDU!PFDEPSH
,ES TRAVAUX DE L/#$% SUR LA GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR PRIVÏ EXAMINENT LE CADRE
POLITIQUE ET INSTITUTIONNEL DANS LEQUEL LES ENTREPRISES EXERCENT LEUR ACTIVITÏ ,EFlCACITÏ
ET LINTÏGRITÏ DES ENTREPRISES DES INSTITUTIONS ET DES MARCHÏS lNANCIERS SONT CAPITALES
POUR LA BONNE SANTÏ ET LA STABILITÏ DE NOS ÏCONOMIES
XXXPFDEPSHJOWFTUJTTFNFOU
*OWFTUJTTFNFOU QJFSSFQPSFU!PFDEPSH
%N L/#$% A MENÏ Ì BIEN DES TRAVAUX SUR UN CERTAIN NOMBRE DOUTILS DESTINÏS
Ì STIMULER LINVESTISSEMENT INTERNATIONAL %N COLLABORATION AVEC DES PARTENAIRES
NON MEMBRES ELLE A DÏlNI UN #ADRE DACTION POUR LINVESTISSEMENT UN INSTRUMENT
INÏDIT DAIDE Ì LA RÏFORME VOIR ENCADRÏ P %N OUTRE L/RGANISATION A ADOPTÏ UN i /UTIL
DE SENSIBILISATION AU RISQUE w DESTINÏ Ì ENCOURAGER UN INVESTISSEMENT RESPONSABLE DANS
LES ZONES Oá LA GOUVERNANCE EST DÏlCIENTE VOIR ENCADRÏ P %NlN ELLE A MIS AU POINT
COURANT UN ENSEMBLE DE PRINCIPES Ì LINTENTION DES INVESTISSEURS INTERNATIONAUX
QUI OPÒRENT AU NIVEAU DES INFRASTRUCTURES #ES PRINCIPES SERONT EXPÏRIMENTÏS DANS UN
CERTAIN NOMBRE DE DOMAINES ESSENTIELS NOTAMMENT LE SECTEUR DE LEAU
,ES %XAMENS DE L/#$% DES POLITIQUES DE LINVESTISSEMENT DE LA #HINE ET DE LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE
CONDUITS EN PRÙNENT UNE PLUS GRANDE TRANSPARENCE ET OUVERTURE DES POLITIQUES MENÏES
PAR CES PAYS ,ES TRAVAUX DE L/#$% ONT ÏGALEMENT PORTÏ SUR LE RÒGLEMENT DES DIFFÏRENDS ENTRE
INVESTISSEURS ET POUVOIRS PUBLICS ET SUR LES MOYENS Ì METTRE EN UVRE POUR RELEVER LES NORMES
INTERNATIONALES RELATIVES AUX STATISTIQUES SUR LINVESTISSEMENT DIRECT ÏTRANGER )$%
&ORTE DE SON EXPÏRIENCE DE PLUSIEURS DÏCENNIES EN MATIÒRE DINSTRUMENTS ET DE SURVEILLANCE
PAR LES PAIRS DANS LE DOMAINE DE LINVESTISSEMENT L/#$% SINTÏRESSE Ì PRÏSENT AU RISQUE ET -&4"7*&;7064
&O
MF3PZBVNF6OJÊUBJU
AU COßT ÏVENTUEL DUN RETOUR AU PROTECTIONNISME MOTIVÏ PAR LA MONTÏE DE LINSÏCURITÏ OU
MFQSFNJFSCÊOÊàDJBJSFE*%&
PAR DAUTRES CONSIDÏRATIONS STRATÏGIQUES 'RÊCE Ì LINSTAURATION DUN PROCESSUS DE DIALOGUE BVNPOEF
UBOEJTRVFMB'SBODF
OUVERT Ì TOUS ELLE ENTEND AIDER LES GOUVERNEMENTS Ì DÏGAGER UNE CONCEPTION COMMUNE ÊUBJUMFQSFNJFSJOWFTUJTTFVS
DES PRATIQUES LES MOINS RESTRICTIVES CAPABLES DE SERVIR LEURS INTÏRÐTS NATIONAUX ÆMÊUSBOHFS
%FHBVDIFÆESPJUF
-F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEFM0$%&
"OHFM(VSSÎB
FUMFHPVWFSOFVSEF
MB#BORVFE*UBMJF
.BSJP%SBHIJ
MPSTEVF'PSVNTVSMBTUBCJMJUÊ
àOBODJÍSFEFM0$%&
FOTFQUFNCSF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
(PVWFSOBODFQSJWÊF
XXXPFDEPSHDPSSVQUJPOGS
BOUJDPSSVQUJPODPOUBDU!PFDEPSH
-VUUFDPOUSFMBDPSSVQUJPO QBUSJDLNPVMFUUF!PFDEPSH
,A #ONVENTION DE L/#$% SUR LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION EST UN INSTRUMENT JURIDIQUE DE
PORTÏE INTERNATIONALE QUI QUALIlE DE DÏLIT LA CORRUPTION DAGENTS PUBLICS ÏTRANGERS AUX
lNS DE GAGNER UN MARCHÏ 5N GROUPE DE REPRÏSENTANTS DE CHACUN DES ³TATS SIGNATAIRES -&4"7*&;7064
DE LA #ONVENTION ÏVALUE LES LÏGISLATIONS ET LES PRATIQUES ANTI
CORRUPTION DES DIFFÏRENTS %FQVJTMFOUSÊFFOWJHVFVSEFMB
PAYS ET FORMULE DES RECOMMANDATIONS CAPABLES DE RÏALISER DES PROGRÒS NOTABLES 0OUR LE $POWFOUJPOEFM0$%&TVSMBMVUUF
MOMENT PAYS ONT FAIT LOBJET DUNE ÏVALUATION ET TOUS LES SIGNATAIRES DE LA #ONVENTION DPOUSFMBDPSSVQUJPO
MFOPNCSF
AURONT ÏTÏ SOUMIS Ì EXAMEN DICI MARS EFORVËUFTFUEFQPVSTVJUFT
KVEJDJBJSFTTVSEFTBGGBJSFT
,/#$% CONTINUE DE TISSER DES LIENS AVEC LES GRANDES ÏCONOMIES ÏMERGENTES POUR EFDPSSVQUJPOÆMÊUSBOHFSTPOU
STIMULER DAVANTAGE LEFFORT DE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION ENGAGÏE Ì LÏCHELLE MONDIALE FOGPSUFQSPHSFTTJPO
%LLE UVRE EN OUTRE AU RENFORCEMENT DE LA LÏGISLATION ET DES INSTITUTIONS DE LUTTE CONTRE LA
CORRUPTION DANS DE NOMBREUX PAYS DONT LA RÏGION D!SIE ET DU 0ACIlQUE L%UROPE DE L%ST
ET L!SIE CENTRALE ET DÏSORMAIS L!MÏRIQUE LATINE
XXXPFDEPSHEBGBGGBJSFTEFOUSFQSJTFT
DPSQPSBUFBGGBJST!PFDEPSH
"NÊMJPSFSMFHPVWFSOFNFOUEFOUSFQSJTF HSBOULJSLQBUSJDL!PFDEPSH
,/#$% AGIT POUR ENCOURAGER UNE MISE EN UVRE EFFECTIVE DE SES 0RINCIPES DE
GOUVERNEMENT DENTREPRISE LA PUBLICATION DUNE MÏTHODOLOGIE DÏVALUATION QUE LES
ADMINISTRATIONS NATIONALES PEUVENT UTILISER POUR DÏTERMINER DANS QUELLE MESURE LES
0RINCIPES SONT APPLIQUÏS CONSTITUE UNE ÏTAPE IMPORTANTE 0AR AILLEURS LEFlCACITÏ DU
CADRE RÏGLEMENTAIRE SUSCITE DE PLUS EN PLUS LATTENTION #ET ASPECT SERA ABORDÏ PAR LES
MEMBRES DE L/RGANISATION AINSI QUE DANS LE CADRE DES TABLES RONDES RÏGIONALES SUR LE
XXXPFDEPSHEBGJOWFTUJTTFNFOUQà
$BESFEBDUJPOQPVSMJOWFTUJTTFNFOU QJFSSFQPSFU!PFDEPSH
,E #ADRE DACTION POUR LINVESTISSEMENT #!) A VOCATION DE SOUTENIR LE DÏVELOPPEMENT ET
LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETÏ ET DE PROMOUVOIR UNE PARTICIPATION RESPONSABLE DE TOUS LES PAYS
Ì LÏCONOMIE MONDIALE )L RÏSULTE DUNE PROFONDE VOLONTÏ MULTILATÏRALE JAMAIS MANIFESTÏE
JUSQUALORS POUR AMÏLIORER LES CONDITIONS DINVESTISSEMENT DANS LE MONDE #E #!) SOUMET
AUX POUVOIRS PUBLICS QUELQUE QUESTIONS RELEVANT DE DOMAINES DE COMPÏTENCE
DIFFÏRENTS DÏTERMINANT POUR UNE ACTION POLITIQUE DE QUALITÏ ET POUR ATTIRER ET MAXIMISER
LES INVESTISSEMENTS
,E #!) INCARNE LES VALEURS COMMUNES QUE SONT LA PRIMAUTÏ DU DROIT LA TRANSPARENCE LA NON
DISCRIMINATION LA PROTECTION DES DROITS DE PROPRIÏTÏ LINTÏGRITÏ DANS LA SPHÒRE PUBLIQUE ET AU
SEIN DES ENTREPRISES ET LA COOPÏRATION INTERNATIONALE ,ES MINISTRES DES PAYS DE L/#$% ONT
APPROUVÏ LE #!) EN ET ILS ONT IMMÏDIATEMENT INVITÏ L/RGANISATION LES GOUVERNEMENTS
DES PAYS NON MEMBRES ET DAUTRES ORGANISATIONS INTERGOUVERNEMENTALES Ì EN PROMOUVOIR
LUTILISATION
$E NOMBREUX PAYS SE SERVENT DORES ET DÏJÌ DU #!) Ì TOUS LES ÏCHELONS DE LADMINISTRATION
Ì DES lNS DAUTOÏVALUATION DEXAMEN PAR LES PAIRS ET DE HIÏRARCHISATION DES PRIORITÏS EN -&4"7*&;7064
MATIÒRE DE RÏFORME %N EFFET IL STRUCTURE LES PRINCIPES DE LA COOPÏRATION DANS LE DOMAINE 6OFTPJYBOUBJOFEÊDPOPNJFT
DE LINVESTISSEMENT ENTRE L/#$% ET DES INITIATIVES RÏGIONALES EN !FRIQUE EN !SIE
0ACIlQUE NFNCSFTFUOPONFNCSFT
EFM0$%&POUDPMMBCPSÊBWFD
ET EN %UROPE DU 3UD
%ST )L PEUT ÏGALEMENT FONCTIONNER EN SYNERGIE AVEC LES ORIENTATIONS DE
MB#BORVFNPOEJBMFFUEBVUSFT
L/#$% Ì LINTENTION DES PAYS DONNEURS POUR PROMOUVOIR LINVESTISSEMENT PRIVÏ AU SERVICE JOTUJUVUJPOTJOUFSOBUJPOBMFTÆ
DU DÏVELOPPEMENT )L SERVIRA ENlN DE SUPPORT AU DIALOGUE Ì VENIR ENTRE LES GOUVERNEMENTS MÊMBCPSBUJPOEV$BESFEBDUJPO
DUNE PART ET ENTRE LES ENTREPRISES ET LA SOCIÏTÏ CIVILE DAUTRE PART QPVSMJOWFTUJTTFNFOU
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHEBGJOWFTUJTTFNFOU
QSJODJQFTEJSFDUFVST
"DUJWJUÊTIBTBSEFVTFT QJFSSFQPSFU!PFDEPSH
!DOPTÏ EN JUIN L/UTIL DE SENSIBILISATION AU RISQUE DE L/#$% DESTINÏ AUX ENTREPRISES
DANS LES ZONES Ì DÏlCIT DE GOUVERNANCE A ÏTÏ MIS AU POINT GRÊCE Ì UN VASTE PROCESSUS DE
CONSULTATION AUQUEL ONT PARTICIPÏ DE MULTIPLES PARTIES PRENANTES #ET INSTRUMENT EST LE SEUL
Ì AVOIR ÏTÏ APPROUVÏ Ì UN NIVEAU MULTILATÏRAL )L FOURNIT DES ORIENTATIONS AUX ENTREPRISES
OPÏRANT DANS DES PAYS Oá LES POUVOIRS PUBLICS SONT INCAPABLES OU PEU SOUCIEUX DASSUMER
LEURS RESPONSABILITÏS
,ES ENTREPRISES MULTINATIONALES QUI INVESTISSENT DANS CES PAYS SONT CONFRONTÏES Ì DES
RISQUES GRAVES DE CORRUPTION ET DE VIOLATIONS DES DROITS DE LHOMME AINSI QUÌ DES DILEMMES
ÏTHIQUES GÏNÏRALEMENT INCONNUS DANS DES PAYS Oá LADMINISTRATION EST PLUS FORTE ,/UTIL DE
SENSIBILISATION AU RISQUE DE L/#$% EST CON U POUR PERMETTRE AUX ENTREPRISES DIDENTIlER CES
RISQUES ET POUR LES AIDER Ì RÏmÏCHIR SUR LA MANIÒRE DE LES SURMONTER AU MIEUX
,/UTIL DE SENSIBILISATION AU RISQUE POSE DES QUESTIONS NON DIRECTIVES AUX ENTREPRISES ET
RÏPOND AUX OBJECTIFS ET AUX PRINCIPES DÏlNIS DANS LES 0RINCIPES DIRECTEURS DE L/#$% Ì
LINTENTION DES ENTREPRISES MULTINATIONALES )L TIENT COMPTE DES TRAVAUX CONDUITS PAR L/#$%
DANS DAUTRES DOMAINES NOTAMMENT EN MATIÒRE DE GOUVERNANCE PUBLIQUE ET DAIDE AU
DÏVELOPPEMENT AU SERVICE DE LA PRÏVENTION DES CONmITS !U COURS DE LA PROCHAINE PHASE DES
REPRÏSENTANTS DES ENTREPRISES ET DAUTRES GROUPES DE PARTIES PRENANTES POURRONT INFORMER
L/#$% DES MOYENS DONT LES ENTREPRISES DISPOSENT CONCRÒTEMENT POUR UTILISER CET OUTIL
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
(PVWFSOBODFQSJWÊF
GOUVERNEMENT DENTREPRISE ° CET ÏGARD LA NOUVELLE MÏTHODOLOGIE APPORTERA UN NOUVEL
ÏCLAIRAGE %LLE SERA AUSSI UTILE POUR LES TRAVAUX SUR LES FONDS SPÏCULATIFS ET LES FONDS DE
PLACEMENT EN CAPITAL
RISQUE MAIS AUSSI POUR LES PROBLÒMES QUI SE POSENT LORSQUE LES
DROITS DE VOTE ACCORDÏS AUX ACTIONNAIRES NE SONT PAS PROPORTIONNELS Ì LEUR PARTICIPATION
DANS LE CAPITAL DES FONDS CONCERNÏS 0AR AILLEURS L/#$% COLLABORE AVEC LE SECTEUR PRIVÏ
Ì LÏTABLISSEMENT DUN GUIDE DUTILISATION DES 0RINCIPES DE GOUVERNEMENT DENTREPRISE
Ì LUSAGE DES CONSEILS DADMINISTRATION )L FACILITERA LA DIFFUSION DES 0RINCIPES DANS LES
PAYS MEMBRES COMME DANS LES ÏCONOMIES NON MEMBRES
,E GOUVERNEMENT DENTREPRISE SUSCITE UN INTÏRÐT GRANDISSANT ET LE SECTEUR DES ENTREPRISES
PUBLIQUES ASPIRE Ì PLUS DEXIGENCE Y COMPRIS LES ENTREPRISES EN COURS DE PRIVATISATION
OU DÏJÌ PRIVATISÏES ,/#$% RÏPOND Ì CETTE ATTENTE EN RENFOR ANT SES TRAVAUX SUR LA
TRANSPARENCE DES ENTREPRISES PUBLIQUES ET LE PROCESSUS DE PRIVATISATION #ES TRAVAUX
SAPPUIENT SUR LES ,IGNES DIRECTRICES DE L/#$% SUR LE GOUVERNEMENT DENTREPRISE DES
ENTREPRISES PUBLIQUES QUI SOULIGNENT ÏGALEMENT LA NÏCESSITÏ DAPPLIQUER DES RÒGLES DU
JEU ÏQUITABLES SUR LES MARCHÏS Oá DES ENTREPRISES PUBLIQUES ET DES ENTREPRISES PRIVÏES
SONT EN CONCURRENCE 5N CERTAIN NOMBRE DE RÏSEAUX RÏGIONAUX ONT ÏTÏ RÏCEMMENT
CRÏÏS POUR AIDER LES ÏCONOMIES NON MEMBRES Ì ENGAGER DES RÏFORMES PRODUCTIVES DES
ENTREPRISES PUBLIQUES
XXXPFDEPSHEBGFEVDBUJPOàOBODJFSF
EVDBUJPOàOBODJÍSF EBGDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% A PARTICIPÏ Ì LA RÏUNION DES MINISTRES DES &INANCES DES PAYS DU ' QUI SEST TENUE
EN JUIN Ì 3AINT
0ÏTERSBOURG ,ES MINISTRES SE SONT FÏLICITÏS DES TRAVAUX MENÏS PAR
L/#$% SUR LÏDUCATION lNANCIÒRE ET ILS ONT APPELÏ Ì LÏLABORATION DE LIGNES DIRECTRICES SUR
LES MEILLEURES PRATIQUES DANS LE DOMAINE DE LÏDUCATION lNANCIÒRE
1SJODJQFTEJSFDUFVSTÆMJOUFOUJPOEFTFOUSFQSJTFT XXXPFDEPSHEBGJOWFTUJTTFNFOU
QSJODJQFTEJSFDUFVST
NVMUJOBUJPOBMFTTJYBOTBQSÍT QJFSSFQPSFU!PFDEPSH
,ES 0RINCIPES DIRECTEURS DE L/#$% Ì LINTENTION DES ENTREPRISES MULTINATIONALES DÏlNISSENT
AU NIVEAU MONDIAL UN CADRE PRÙNANT UNE CONDUITE RESPONSABLE DES ENTREPRISES 3I POUR LES
ENTREPRISES LE RESPECT DES 0RINCIPES DIRECTEURS SE FAIT SUR UNE BASE VOLONTAIRE EN REVANCHE
LES POUVOIRS PUBLICS DES PAYS SIGNATAIRES SE SONT ENGAGÏS Ì FAIRE CONNAÔTRE ET Ì FAIRE RESPECTER
CES 0RINCIPES DIRECTEURS PAR LES ENTREPRISES OPÏRANT SUR ET Ì PARTIR DE LEUR TERRITOIRE
,A PERTINENCE DES 0RINCIPES DIRECTEURS A ÏTÏ DÏMONTRÏE DE FA ON SPECTACULAIRE ,A PROCÏDURE
DES i CIRCONSTANCES SPÏCIlQUES w MÏCANISME DE MÏDIATION GÏRÏ PAR LES 0OINTS DE CONTACT
NATIONAUX 0#. A PERMIT DE RÏDUIRE LES TENSIONS ET DE FORGER LA CONlANCE ENTRE LES
ENTREPRISES DE STATURE INTERNATIONALE ET LES SOCIÏTÏS DES PAYS DACCUEIL ,ES 0#. ONT AINSI
TRAITÏ PAS MOINS DE DOSSIERS DE i CIRCONSTANCES SPÏCIlQUES w DEPUIS LE RENFORCEMENT
DES 0RINCIPES DIRECTEURS EN ,ES ORGANISMES PUBLICS SAPPUIENT DE PLUS EN PLUS SUR LES
0RINCIPES DIRECTEURS POUR COMMUNIQUER LEURS ATTENTES AUX ENTREPRISES 6INGT
QUATRE PAYS
ONT FAIT RÏFÏRENCE AUX 0RINCIPES DIRECTEURS POUR LES CRÏDITS Ì LEXPORTATION ET LES GARANTIES
DINVESTISSEMENT AINSI QUÌ LOCCASION DE CAMPAGNES DE PROMOTION DES ÏCHANGES ET DE
LINVESTISSEMENT
%N UN CERTAIN NOMBRE DE PAYS DU -OYEN /RIENT D!SIE DE L%ST ET D!MÏRIQUE DU 3UD
SE SONT PORTÏS CANDIDAT Ì LA $ÏCLARATION DE L/#$% SUR LINVESTISSEMENT INTERNATIONAL ET LES
ENTREPRISES MULTINATIONALES DONT FONT PARTIE LES 0RINCIPES DIRECTEURS ,/#$% A ÏGALEMENT
LANCÏ EN #HINE UN NOUVEAU PROJET DESTINÏ Ì PROMOUVOIR UNE CONDUITE RESPONSABLE DES
ENTREPRISES
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
%ÊWFMPQQFNFOU
EFTÊDPOPNJFTOPONFNCSFT
XXXPFDEPSHEFWFMPQQFNFOU
$PPQÊSBUJPOQPVSMFEÊWFMPQQFNFOU EBDDPOUBDU!PFDEPSH
EFWDPOUBDU!PFDEPSH
0LUS DE DE LAIDE PUBLIQUE AU DÏVELOPPEMENT DANS LE MONDE PROVIENT DES PAYS
DONNEURS DE L/#$% ,E #OMITÏ DAIDE AU DÏVELOPPEMENT #!$ DE L/#$% OFFRE UN
CADRE PRIVILÏGIÏ Oá LES PRINCIPAUX DONNEURS BILATÏRAUX UVRENT ENSEMBLE POUR ACCROÔTRE
LEFlCACITÏ DE LEURS EFFORTS COMMUNS EN FAVEUR DUN DÏVELOPPEMENT DURABLE ,E #ENTRE
DE DÏVELOPPEMENT DE L/#$% EFFECTUE DES ANALYSES COMPARATIVES DES PROBLÒMES DE
DÏVELOPPEMENT ET JOUE LE RÙLE DINTERFACE ENTRE LES PAYS MEMBRES DE L/#$% ET LES
ÏCONOMIES ÏMERGENTES ET EN DÏVELOPPEMENT XXXPFDEPSHEFWGS
XXXGPSVNQBSUFOBSJBUBGSJRVFPSH
EFWDPOUBDU!PFDEPSH
%ÊWFMPQQFNFOUFO"GSJRVF BQGDPOUBDU!PFDEPSH
,INmUENCE GRANDISSANTE DES GÏANTS D!SIE SUR LÏVOLUTION DE LÏCONOMIE MONDIALE ET PLUS
PARTICULIÒREMENT SUR L!FRIQUE A FAIT LOBJET DE TRAVAUX APPROFONDIS QUI ONT DONNÏ LIEU
AU RAPPORT INTITULÏ ,ESSOR DE LA #HINE ET DE L)NDE 1UELS ENJEUX POUR L!FRIQUE ,E #ENTRE DE
DÏVELOPPEMENT ET LA "ANQUE AFRICAINE DE DÏVELOPPEMENT ONT POURSUIVI LÏTUDE DES PROGRÒS -&4"7*&;7064
.ËNFTJMFTEPOOFVSTSFTQFDUFOU
DE LA SITUATION ÏCONOMIQUE EN !FRIQUE DANS LEUR PUBLICATION ANNUELLE CONJOINTE INTITULÏE
MFVSTFOHBHFNFOUTEJDJ
0ERSPECTIVES ÏCONOMIQUES EN !FRIQUE #ETTE ÏDITION MET LACCENT SUR LES INFRASTRUCTURES DES MBJEFOFTFSBRVFMÊHÍSFNFOU
TRANSPORTS PERMETTANT AINSI DE SOULIGNER LA PRÏSENCE DE LA #HINE ET DE L)NDE COMME QMVTHÊOÊSFVTFRVBVDPVST
PARTENAIRES MAJEURS DES PAYS D!FRIQUE EFTBOOÊFTFU
%N OCTOBRE LE &ORUM POUR LE PARTENARIAT AVEC L!FRIQUE &0! A RASSEMBLÏ DES
REPRÏSENTANTS POLITIQUES DE HAUT NIVEAU DES PAYS D!FRIQUE ET DE L/#$% POUR ÏVALUER
LES PROGRÒS RÏALISÏS EN MATIÒRE DE DÏVELOPPEMENT EN !FRIQUE EN VERTU DES ENGAGEMENTS
DU 0ARTENARIAT VOIR LE &0! P
%FHBVDIFÆESPJUF
-F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEFM0$%&
"OHFM(VSSÎB
FUMFNJOJTUSF
EFT5SBOTQPSUTTVEBGSJDBJO
+FGGSFZ5IBNTBORB3BEFCF
MPST
EVF'PSVNJOUFSOBUJPOBM
TVSMFTQFSTQFDUJWFTÊDPOPNJRVFT
EFM"GSJRVFFOKVJO
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
$PPQÊSBUJPOQPVSMFEÊWFMPQQFNFOU
XXXPFDEPSHEFWGS
XXXPFDEPSHEFWFMPQQFNFOU
DPIFSFODFEFTQPMJUJRVFT
$PIÊSFODFEFTQPMJUJRVFT EBDDPOUBDU!PFDEPSH
,AIDE NE PEUT RÏPONDRE Ì ELLE SEULE AUX BESOINS DU MONDE EN DÏVELOPPEMENT ,ES PAYS
DE L/#$% SONT CONSCIENTS DE LA NÏCESSITÏ DAMÏLIORER LA COHÏRENCE DE LEURS POLITIQUES
DANS LES SECTEURS QUI ONT UN IMPACT SUR LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT 0LUSIEURS ÏTUDES
DE L/#$% ACHEVÏES EN PORTENT SUR LES RELATIONS QUI EXISTENT ENTRE LES ÏCHANGES
LES MIGRATIONS ET LES POLITIQUES DAIDE DANS LES PAYS DE L/#$% AINSI QUE LEUR INCIDENCE
SUR LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT 3I UN GRAND NOMBRE DE PAYS DE L/#$% SONT DÏTERMINÏS
Ì SOUTENIR DES OBJECTIFS DE DÏVELOPPEMENT MUTUELLEMENT AVANTAGEUX BEAUCOUP RESTE
ENCORE Ì FAIRE POUR ASSURER UNE COHÏRENCE DES POLITIQUES CAPABLE DE MAXIMISER LES
RETOMBÏES POSITIVES POUR LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT
XXXPFDEPSHEFWGS
XXXPFDEPSHDBEHPVWFSOBODF
(PVWFSOBODF EBDDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% COLLABORE AVEC DAUTRES ORGANISATIONS INTERNATIONALES COMME LA "ANQUE MONDIALE
ET 4RANSPARENCE INTERNATIONALE POUR AMÏLIORER LES RÒGLES DE LA GOUVERNANCE DANS LE
MONDE Y COMPRIS DANS LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT 0UBLIÏE EN LÏTUDE INTITULÏE
,ES INDICATEURS DE GOUVERNANCE USAGES ET ABUS MONTRE QUE LES RESPONSABLES POLITIQUES
DOIVENT FAIRE PREUVE DE PRUDENCE LORSQUILS UTILISENT LES INDICATEURS DE GOUVERNANCE
XXXPFDEPSHDBEHPVWFSOBODF
%SPJUTEFMIPNNFFUEÊWFMPQQFNFOU EBDDPOUBDU!PFDEPSH
,ES QUESTIONS RELATIVES AUX DROITS DE LHOMME ET AU DÏVELOPPEMENT CONVERGENT DEPUIS
QUELQUES ANNÏES /N ASSISTE NON SEULEMENT Ì UNE PRISE DE CONSCIENCE DES LIENS ESSENTIELS
QUI EXISTENT ENTRE VIOLATION DES DROITS DE LHOMME PAUVRETÏ EXCLUSION VULNÏRABILITÏ
ET CONmITS MAIS IL EST AUSSI DE PLUS EN PLUS ADMIS QUE LES DROITS DE LHOMME JOUENT UN
RÙLE CAPITAL DANS LA VOLONTÏ DUN CHANGEMENT SOCIAL LAMÏLIORATION DES RELATIONS ENTRE
L³TAT ET LA SOCIÏTÏ ET LACCÒS AUX SERVICES
,/#$% VEUT PROMOUVOIR UNE MEILLEURE ANALYSE DES MOYENS DINTÏGRER LES DROITS DE
LHOMME DE FA ON PLUS STRATÏGIQUE DANS LES POLITIQUES ET PRATIQUES DE DÏVELOPPEMENT
,OUVRAGE INTITULÏ ,INTÏGRATION DES DROITS DE LHOMME DANS LE DÏVELOPPEMENT PUBLIÏ EN
PASSE EN REVUE LES APPROCHES ADOPTÏES PAR LES DONNEURS ET LES RAISONS QUI LES INCITENT
Ì UVRER POUR LES DROITS DE LHOMME
,E #!$ EXAMINE LES NOUVELLES POSSIBILITÏS QUI PERMETTRONT DINTÏGRER LES DROITS
DE LHOMME EN VUE DES RÏFORMES AMBITIEUSES EN COURS DANS LE SYSTÒME DAIDE
INTERNATIONALE ,E #!$ ENCOURAGE AUSSI LE DIALOGUE ET LA COOPÏRATION INTERDISCIPLINAIRES
ENTRE SPÏCIALISTES DES DROITS DE LHOMME ET PROFESSIONNELS DU DÏVELOPPEMENT ,E
PROJET i -ETAGORA w ACCUEILLI PAR L/#$% ÏLABORE DES OUTILS DE MESURE QUI FACILITERONT
LÏLABORATION DES POLITIQUES ET LÏVALUATION
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHDBE
"VHNFOUBUJPOEFMBJEF EBDDPOUBDU!PFDEPSH
%N LES DONNEURS DU #!$ SONT CONVENUS DE RELEVER LAIDE DE MILLIARDS 53$ Ì
MILLIARDS 53$ DICI ET DE DOUBLER LAIDE POUR L!FRIQUE /á EN EST
ON AUJOURDHUI
%N LAIDE A POUR LA PREMIÒRE FOIS FRANCHI LA BARRE DES MILLIARDS 53$ MAIS
LAUGMENTATION ENREGISTRÏE SEXPLIQUE ESSENTIELLEMENT PAR LEFFORT EXCEPTIONNEL
DALLÒGEMENT DE LA DETTE AU PROlT DE L)RAK ET DU .IGERIA ET PAR LA RECONSTRUCTION EN )RAK ET
-&4"7*&;7064
EN !FGHANISTAN ,AIDE AU PROlT DE L!FRIQUE A PROGRESSÏ MAIS POUR LHEURE LES PRÏVISIONS 4FMPOMFTFTUJNBUJPOT
DES DONNEURS SONT ENCORE LOIN DE LOBJECTIF Ì ATTEINDRE MBQPQVMBUJPOFO"GSJRVF
EFM0VFTU
RVJDPNQUBJU
,ES TRAVAUX DE L/#$% SEMBLENT INDIQUER QUE LES DONNEURS ONT PEUT
ÐTRE TORT DE PRÏFÏRER NJMMJPOTEIBCJUBOUT
LES DONS AUX PRÐTS CAR CES DERNIERS ENCOURAGENT LA RESPONSABILITÏ BUDGÏTAIRE ET PEUVENT FO
TÊMÍWFSBJU
CONTRIBUER DAVANTAGE Ì LA STABILITÏ ET Ì LA CROISSANCE FUTURES "ON NOMBRE DE PAYS ÏLABORENT ÆNJMMJPOTEJOEJWJEVT
DES POLITIQUES ET DES STRATÏGIES NATIONALES DE DÏVELOPPEMENT RIGOUREUSES ,ES DONNEURS FO
DOIVENT lNANCER CES POLITIQUES ET STRATÏGIES POUR AIDER LES PAYS Ì ATTEINDRE LES /BJECTIFS
DU MILLÏNAIRE POUR LE DÏVELOPPEMENT DICI
XXXPFDEPSHDBEFDIBOHFT
-BJEFBVDPNNFSDF EBDDPOUBDU!PFDEPSH
,A $ÏCLARATION MINISTÏRIELLE DE (ONG +ONG DE L/RGANISATION MONDIALE DU COMMERCE /-#
DE APPELLE AU RENFORCEMENT DE LAIDE AU COMMERCE )L EST EN EFFET NÏCESSAIRE DAIDER
LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT EN PARTICULIER LES PAYS LES MOINS DÏVELOPPÏS Ì SE DOTER DE LA
CAPACITÏ DU CÙTÏ DE LOFFRE ET DE LINFRASTRUCTURE LIÏE AU COMMERCE DONT ILS ONT BESOIN POUR
TIRER PROlT DES ACCORDS DE L/-# ET DES ÏCHANGES COMMERCIAUX EN PLEIN ESSOR
,AIDE DES DONNEURS EN FAVEUR DU RENFORCEMENT DES CAPACITÏS COMMERCIALES OU i AIDE AU
COMMERCE w NEST PAS NOUVELLE %LLE DOIT CEPENDANT ÐTRE PLUS EFlCACE SI LON VEUT QUE TOUS LES
PAYS TIRENT AVANTAGE DUNE PLUS GRANDE OUVERTURE DES ÏCHANGES ,ES ÏTUDES DE CAS RÏALISÏES
PAR L/#$% SOULIGNENT QUE LAIDE AU COMMERCE DOIT SERVIR DE CATALYSEUR POUR STIMULER Ì LA FOIS
LINVESTISSEMENT INTÏRIEUR ET LINVESTISSEMENT ÏTRANGER DANS LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT
3ELON UNE PUBLICATION DE L/#$% EN PRÒS DE MILLIARDS 53$ ÏTAIENT CONSACRÏS Ì
LAMÏLIORATION DES CAPACITÏS COMMERCIALES DANS LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT #ELA REPRÏSENTE
DE LAIDE PUBLIQUE AU DÏVELOPPEMENT TOTALE Ì LEXCLUSION DES ALLÏGEMENTS DE DETTE
,ES APPORTS DAIDE DEVANT ÐTRE AUGMENTÏS DE MILLIARDS 53$ SUPPLÏMENTAIRES DICI $FUPVWSBHFSFOTFJHOFTVSMF
CES RESSOURCES DEVRAIENT ENCORE SACCROÔTRE #EPENDANT LA PLUPART DES ÏVALUATIONS SEMBLENT NPOUBOURVFMFTQBZTEFM0$%&
INDIQUER QUE LES PROGRAMMES DAIDE AU COMMERCE NE SONT PAS UN BON INVESTISSEMENT DPOTFOUFOUBVUJUSFEFMBJEF
BVDPNNFSDFEBOTMFTQBZT
,³QUIPE SPÏCIALE DE L/-# CHARGÏE DE LAIDE POUR LE COMMERCE ESTIME QUE LA $ÏCLARATION
FOEÊWFMPQQFNFOU*MQSÊDPOJTF
DE 0ARIS SUR LEFlCACITÏ DE LAIDE DÏlNIT BIEN LES PROBLÒMES ET LES RÙLES QUI INCOMBENT AUX MBSFTQPOTBCJMJUÊNVUVFMMF
BÏNÏlCIAIRES ET AUX DONNEURS #ETTE $ÏCLARATION EST POURTANT LOIN DÐTRE SYSTÏMATIQUEMENT BVOJWFBVMPDBMQPVSSFOGPSDFS
APPLIQUÏE MJNQBDUEFMBJEFBVDPNNFSDF
%N NOVEMBRE L/#$% A ORGANISÏ Ì $OHA UN DIALOGUE DE FOND AVEC LES PAYS NON MEMBRES
,ES PARTICIPANTS ONT EXAMINÏ LES ENSEIGNEMENTS TIRÏS DES MESURES PRISES POUR SOUTENIR LA
RÏFORME DES POLITIQUES ÏLIMINER LES GOULETS DÏTRANGLEMENT ENTRAVANT LE DÏVELOPPEMENT DU
SECTEUR PRIVÏ AMÏLIORER LA FACILITATION DES ÏCHANGES ET CONCEVOIR DES PROGRAMMES DAIDE AU -&4"7*&;7064
)PSNJTMFTBMMÊHFNFOUT
COMMERCE ,/#$% A CONCLU EN RÏAFlRMANT SA VOLONTÏ DAMÏLIORER LE SUIVI DES ENGAGEMENTS
EFEFUUF
MBQBSUEFjMBJEF
PRIS EN MATIÒRE DAIDE AU COMMERCE MAIS AUSSI DINTÏGRER LES QUESTIONS COMMERCIALES DE BVDPNNFSDFvSFQSÊTFOUF
FA ON PLUS EFlCACE DANS LES PROGRAMMES DAIDE DE RENFORCER LEXPERTISE SUR LE TERRAIN ET FONPZFOOFVORVBSUEFM"1%
DANS LES CAPITALES ET DÏLABORER DES OUTILS DE GESTION DES PROGRAMMES DAIDE AU COMMERCE UPUBMFEFQVJTM6SVHVBZ3PVOE
AXÏE SUR LES RÏSULTATS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
$PPQÊSBUJPOQPVSMFEÊWFMPQQFNFOU
XXXPFDEPSHDBEFGàDBDJUF
&GàDBDJUÊEFMBJEF EBDDPOUBDU!PFDEPSH
%N APPROUVANT LA $ÏCLARATION DE 0ARIS SUR LEFlCACITÏ DE LAIDE PLUS DE PAYS ONT
FAIT DE LEFlCACITÏ DE LAIDE LA PRIORITÏ ABSOLUE DE LEUR PROGRAMME DACTION EN FAVEUR DU
DÏVELOPPEMENT ,E #!$ A ÏTÏ CHARGÏ DE NÏGOCIER LACCORD ET DEN SUIVRE LA MISE EN UVRE
DANS PLUS DE PAYS EN DÏVELOPPEMENT EN #ETTE DÏMARCHE A FAVORISÏ LE RESPECT DES
ENGAGEMENTS PRIS Ì 0ARIS ET A RENFORCÏ LIMPACT DE LAIDE SUR LE DÏVELOPPEMENT
XXXPFDEPSHDBEHPVWFSOBODF
%ÊWFMPQQFNFOUEFTDBQBDJUÊT EBDDPOUBDU!PFDEPSH
,E RESPECT DES ENGAGEMENTS ÏNONCÏS DANS LA $ÏCLARATION DE 0ARIS NÏCESSITE UN CHANGEMENT
SYSTÏMIQUE RADICAL DANS LA FA ON DONT LES DONNEURS ET LES PARTENAIRES CON OIVENT LE
RENFORCEMENT DES CAPACITÏS )LS NE PEUVENT PLUS CONSIDÏRER CELUI
CI COMME UN SIMPLE
TRANSFERT DE CONNAISSANCES ORGANISATIONNELLES OU TECHNIQUES DU .ORD VERS LE 3UD #E DOIT
ÐTRE DÏSORMAIS UN PROCESSUS ENDOGÒNE FERMEMENT CONDUIT PAR LES PAYS PARTENAIRES LES
DONNEURS AYANT UN RÙLE DE SOUTIEN !PRÒS AVOIR ÏTUDIÏ LEXPÏRIENCE ACQUISE AU COURS DE
ANNÏES LE 2ÏSEAU DU #!$ SUR LA GOUVERNANCE A PUBLIÏ UN OUVRAGE INTITULÏ 2ELEVER LE DÏl
POSÏ PAR LE RENFORCEMENT DES CAPACITÏS ³VOLUER VERS DE BONNES PRATIQUES #E CADRE ANALYTIQUE
DONNE DES ORIENTATIONS ET AIDE Ì ADAPTER Ì CHAQUE PAYS LES EFFORTS FUTURS DANS LE DOMAINE
DU RENFORCEMENT DES CAPACITÏS MENÏ SOUS LA DIRECTION DES PARTENAIRES
XXXPFDEPSHDBE
WBMVFSMFTFGGPSUTEBJEF EBDDPOUBDU!PFDEPSH
,E #!$ EXAMINE RÏGULIÒREMENT LES POLITIQUES ET PROGRAMMES DE COOPÏRATION POUR LE
DÏVELOPPEMENT DE CHACUN DE SES MEMBRES #ES EXAMENS AIDENT LES GOUVERNEMENTS
Ì AMÏLIORER LÏLABORATION DE LEURS POLITIQUES Ì ADOPTER DES PRATIQUES OPTIMALES ET Ì SE
CONFORMER AUX NORMES ET PRINCIPES CONVENUS )LS METTENT AUSSI EN ÏVIDENCE LES MOYENS
DE TIRER DES ENSEIGNEMENTS DE LEXPÏRIENCE DAUTRES PAYS %N LE 0ORTUGAL LE 2OYAUME
5NI LES 0AYS
"AS LA 'RÒCE ET LES ³TATS
5NIS ONT AINSI ÏTÏ SOUMIS Ì CET EXAMEN
XXXPFDEPSHDBEFYBNFOTQBJST
"VEFMÆEV$"% EBDDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% SOUVRE DE PLUS EN PLUS AU NOMBRE CROISSANT DE DONNEURS QUI DANS LE PASSÏ NONT
PAS PARTICIPÏ Ì LACTION DE L/RGANISATION EN FAVEUR DU DÏVELOPPEMENT #ETTE DÏMARCHE
VISE Ì STIMULER LES BONNES PRATIQUES ET LÏCHANGE DE CONNAISSANCES DANS DES DOMAINES
PRIORITAIRES COMME LEFlCACITÏ DE LAIDE LHARMONISATION ET LALIGNEMENT DE LAIDE Y
COMPRIS LE DÏLIEMENT DE LAIDE AINSI QUE LA NOTIlCATION DE DONNÏES ET LE SUIVI STATISTIQUE
,ES CHEFS DES GROUPES DINFORMATION DU #!$ COORDONNÏS PAR L/#$% RESSERRENT LES LIENS
ENTRE LES ORGANISMES DAIDE ET RENFORCENT LEUR CAPACITÏ Ì SOUVRIR Ì LOPINION PUBLIQUE DES
PAYS ET Ì LENSEMBLE DE LA COMMUNAUTÏ DES DONNEURS
XXXPFDEPSHTBIGS
-F$MVCEV4BIFMFUEFM"GSJRVFEFM0VFTU $4"0
TBIFMDPOUBDU!PFDEPSH
,E #3!/ UVRE POUR INSTAURER UN LIEN ENTRE LES PAYS D!FRIQUE DE L/UEST ET LES PAYS DE
L/#$% EN FACILITANT ANIMANT ET DIRIGEANT DES ÏCHANGES CONSTRUCTIFS ET OUVERTS %N
SES TRAVAUX PORTERONT ESSENTIELLEMENT SUR LES PERSPECTIVES DE DÏVELOPPEMENT Ì MOYEN ET
Ì LONG TERME LES MIGRATIONS ET LA COOPÏRATION TRANSFRONTALIÒRE LÏVOLUTION DU MONDE RURAL
ET LA SÏCURITÏ ALIMENTAIRE LA PAIX ET LA SÏCURITÏ DES HOMMES EN !FRIQUE DE L/UEST
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
3FMBUJPOTNPOEJBMFT XXXPFDEPSHDDONGS
DDONDPOU!PFDEPSH
,A STRATÏGIE DES RELATIONS MONDIALES DE L/#$% REPOSE SUR LE CRITÒRE DE LAVANTAGE MUTUEL
AINSI QUE SUR LES PARTENARIATS ET LE PARTAGE PAR L/RGANISATION DE SES MÏTHODES ET DE SES
CONNAISSANCES ,A COOPÏRATION AVEC LES NON
MEMBRES FAIT PARTIE INTÏGRANTE DES TRAVAUX
COURANTS QUE MÒNE L/#$% DANS DIVERS DOMAINES QUI VONT DE LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE
ET LAGRICULTURE Ì LINVESTISSEMENT EN PASSANT PAR LA GOUVERNANCE ,E #ADRE DES RELATIONS
DE L/#$% AVEC LES NON
MEMBRES VISE Ì ASSURER LA COHÏRENCE ENTRE LES TRAVAUX DE FOND
DE L/RGANISATION ET LES BESOINS DE LA COMMUNAUTÏ INTERNATIONALE
#E CADRE TÏMOIGNE DE LA PRISE DE CONSCIENCE SUIVANTE LES RELATIONS DE L/#$% AVEC LES
ÏCONOMIES NON MEMBRES SONT ENCORE PLUS ESSENTIELLES DANS LE MONDE INTERDÏPENDANT
DAUJOURDHUI QUELLES NE LÏTAIENT Ì LÏPOQUE Oá L/RGANISATION A ÏTÏ CRÏÏE 4OUT AU
LONG DE LANNÏE ET DÏBUT LES PAYS DE L/#$% SE SONT ACTIVEMENT PRÏPARÏS Ì
LÏLARGISSEMENT FUTUR DE L/RGANISATION )L FALLAIT NOTAMMENT ADOPTER UN MÏCANISME
DESTINÏ Ì IDENTIlER LES PAYS MEMBRES POTENTIELS ,ES RELATIONS AVEC LES NON
MEMBRES SONT
ET RESTERONT UNE PRIORITÏ DE L/#$% QUELS QUE SOIENT LES CHANGEMENTS QUI INTERVIENDRONT
DANS LA COMPOSITION DE SES MEMBRES
%FHBVDIFÆESPJUF
-FNJOJTUSFEV$PNNFSDF
QBLJTUBOBJT
)VNBZVO"LIUBS,IBO
FUMFEJSFDUFVSHÊOÊSBMEFM0.$
1BTDBM-BNZ
MPSTEFMBSÊVOJPO
EV$POTFJMEFM0$%&BVOJWFBV
EFTNJOJTUSFTFONBJ
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
3FMBUJPOTNPOEJBMFT
XXXPFDEPSHDDONGS
4USBUÊHJFNPOEJBMF DDONDPOU!PFDEPSH
,ES RELATIONS MONDIALES DE L/#$% SONT STRUCTURÏES SELON DES APPROCHES RÏGIONALES DES
PROGRAMMES NATIONAUX ET DES FORUMS MONDIAUX CONSACRÏS Ì DES THÒMES SPÏCIlQUES
0AR AILLEURS DE NOMBREUX PAYS NON MEMBRES SONT DIRECTEMENT ASSOCIÏS AUX TRAVAUX DE
DIVERS COMITÏS DE L/#$% EN QUALITÏ DE PARTICIPANT Ì PART ENTIÒRE OU DOBSERVATEUR ,E
CADRE STRATÏGIQUE DES RELATIONS MONDIALES DE L/#$% SARTICULE AUTOUR DE TROIS OBJECTIFS
PRINCIPAUX FAVORISER LE FONCTIONNEMENT HARMONIEUX DE LÏCONOMIE MONDIALE CONTRIBUER
Ì LA PROSPÏRITÏ DE TOUS ET ENCOURAGER LE PARTAGE DES CONNAISSANCES POUR AMÏLIORER LACTION
DES POUVOIRS PUBLICS
,/#$% UVRE EN FAVEUR DE LA COHÏRENCE DES POLITIQUES AU NIVEAU INTERNATIONAL DANS LE
CADRE DE SA CONTRIBUTION AU FONCTIONNEMENT HARMONIEUX DE LÏCONOMIE MONDIALE VOIR
LE CHAPITRE SUR LA #OOPÏRATION POUR LE DÏVELOPPEMENT P ° CETTE lN ELLE VEILLE Ì CE QUE LES
POLITIQUES QUI POURSUIVENT UN OBJECTIF UNIQUE TEL QUE LACCÒS UNIVERSEL Ì LEAU POTABLE
NE SOIENT PAS ENTRAVÏES PAR DAUTRES MESURES PORTANT PAR EXEMPLE SUR LINTERDICTION
DIMPORTER OU DEXPORTER DES SYSTÒMES DE lLTRATION DE LEAU %N OUTRE L/#$% ASSOCIE
DE GRANDES ÏCONOMIES DE MARCHÏ ÏMERGENTES AINSI QUE DAUTRES ACTEURS IMPORTANTS
XXXPFDEPSHDDONCSFTJM
-F#SÊTJM DDONDPOU!PFDEPSH
,A PUBLICATION DE ,ÏTUDE ÏCONOMIQUE DU "RÏSIL PRÏSENTÏE LORS DUNE CONFÏRENCE DE PRESSE
Ì 2IO DE *ANEIRO EN NOVEMBRE A ÏTÏ LE TEMPS FORT DE LA COOPÏRATION ENTRE L/#$% ET
LE "RÏSIL EN #ETTE ÏTUDE RÏVÒLE QUE LE "RÏSIL A ACCOMPLI DES PROGRÒS CONSIDÏRABLES
CES DERNIÒRES ANNÏES VERS LA STABILITÏ MACROÏCONOMIQUE ET LA RESTRUCTURATION DE SON
ÏCONOMIE ,A PRODUCTIVITÏ A AUGMENTÏ MÐME SI LES PERFORMANCES DU PAYS EN TERMES
DE CROISSANCE DU 0)" ENVIRON PAR AN DEPUIS DOIVENT ÐTRE AMÏLIORÏES POUR
COMBLER LÏCART CROISSANT DES REVENUS AVEC LA ZONE /#$% #ONSOLIDER LAJUSTEMENT
MACROÏCONOMIQUE STIMULER LINNOVATION DANS LE SECTEUR DES ENTREPRISES ET RENFORCER
LUTILISATION DE LA MAIN
DUVRE DANS LE SECTEUR FORMEL lGURENT AU NOMBRE DES PRINCIPALES
ACTIONS Ì ENTREPRENDRE
,E RAPPORT IDENTIlE TROIS ENJEUX PRINCIPAUX QUE LES POUVOIRS PUBLICS DEVRONT RELEVER POUR
ACCROÔTRE LE POTENTIEL DE CROISSANCE DU "RÏSIL
LA QUALITÏ DE LAJUSTEMENT BUDGÏTAIRE DEVRA ÐTRE AMÏLIORÏE POUR SOUTENIR LA
CONSOLIDATION MACROÏCONOMIQUE ET DOIT REPOSER AVANT TOUT SUR UNE RÏDUCTION DES
DÏPENSES COURANTES NOTAMMENT AU TITRE DES RETRAITES PLUTÙT QUE SUR UN NOUVEL
ACCROISSEMENT DES RECETTES
LE SECTEUR DES ENTREPRISES DEVRA SE MONTRER PLUS INNOVANT n LE FAIT QUE LINTENSITÏ DE $FUUFÊEJUJPOTPVMJHOF
LA 2
$ AU "RÏSIL DOIT ÐTRE MULTIPLIÏE PAR QUATRE POUR ATTEINDRE LA MOYENNE DE L/#$% MFTQSPHSÍTSÊBMJTÊTQBS
QUI SÏLÒVE Ì ENVIRON DU 0)" ILLUSTRE LA NÏCESSITÏ DAGIR DANS CE DOMAINE MF#SÊTJMWFSTVOFTUBCJMJUÊ
NBDSPÊDPOPNJRVFFUEFCPOOFT
LUTILISATION DE LA MAIN
DUVRE DEVRA ÐTRE AMÏLIORÏE PAR ACCUMULATION DE CAPITAL QFSTQFDUJWFTEFDSPJTTBODF
HUMAIN DANS LE CADRE DUNE FORMATION THÏORIQUE ET EN COURS DEMPLOI ET PAR UNE &MMFGBJUEFTSFDPNNBOEBUJPOT
QPVSDPOTPMJEFSDFTQFSTQFDUJWFT
RÏDUCTION DE LAMPLEUR DES ACTIVITÏS NON DÏCLARÏES %N CE QUI CONCERNE LE NIVEAU
DINSTRUCTION LE "RÏSIL SE TROUVE DISTANCÏ PAR RAPPORT Ì SES PRINCIPAUX PARTENAIRES
COMMERCIAUX
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
AUX TRAVAUX QUELLE MÒNE DANS DES DOMAINES SPÏCIlQUES DE LACTION DES POUVOIRS PUBLICS
TELS QUE LINVESTISSEMENT OU LAGRICULTURE %LLE MET AUSSI Ì PROlT SES ÏTUDES COMPARATIVES
ET SES ACTIVITÏS DE DIALOGUE SUR LES POLITIQUES Ì SUIVRE POUR ATTÏNUER LES RISQUES DE TENSION
ET PRÏVENIR LES CONmITS
,/#$% FAVORISE LE PARTAGE DE LA PROSPÏRITÏ EN AIDANT LES NON
MEMBRES Ì SINTÏGRER Ì
LÏCONOMIE MONDIALE %LLE CONTRIBUE EN OUTRE Ì AMÏLIORER LES PERSPECTIVES ÏCONOMIQUES
ET LES NIVEAUX DE VIE DE CES PAYS EN LEUR PERMETTANT DE PARTICIPER AU DIALOGUE SUR LES
POLITIQUES Ì SUIVRE AINSI QUÌ DES ACTIVITÏS CONNEXES ET DEN TIRER AVANTAGE
%NlN L/RGANISATION SAPPUIE SUR LES EXPÏRIENCES DIVERSES DES ÏCONOMIES NON MEMBRES
AFIN DANTICIPER LÏMERGENCE DE NOUVEAUX ENJEUX IMPORTANTS RELEVANT DE SA
MISSION %LLE VEILLE EN OUTRE Ì DIFFUSER LES BONNES PRATIQUES PERTINENTES AUPRÒS DES
ÏCONOMIES NON MEMBRES
XXXPFDEPSHDDONSFHJPOBMGS
1SPHSBNNFTSÊHJPOBVYFUOBUJPOBVY DDONDPOU!PFDEPSH
,ES TRAVAUX AVEC LES ÏCONOMIES NON MEMBRES SARTICULENT AUTOUR DAPPROCHES RÏGIONALES
ET DE PROGRAMMES PAR PAYS
,ES INITIATIVES RÏGIONALES CONCERNENT NOTAMMENT L%UROPE LE #AUCASE ET L!SIE CENTRALE
L!SIE L!MÏRIQUE LATINE LE -OYEN
/RIENT ET L!FRIQUE DU .ORD -%.! ET L!FRIQUE
#ETTE DERNIÒRE INITIATIVE VIENT Ì LAPPUI DU .OUVEAU PARTENARIAT POUR LE DÏVELOPPEMENT
DE L!FRIQUE .%0!$ %N %UROPE DU 3UD
%ST UN PROGRAMME INFRARÏGIONAL SOUTIENT LES
OBJECTIFS DU 0ACTE DE STABILITÏ DANS CETTE RÏGION ,A COOPÏRATION AVEC LE "RÏSIL LA #HINE ET
LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE SEFFECTUE DANS LE CADRE DES PROGRAMMES PAR PAYS
XXXPFDEPSHDDONGPSVNTNPOEJBVY
'PSVNTNPOEJBVY DDONDPOU!PFDEPSH
,ES DIX &ORUMS MONDIAUX DE L/#$% OFFRENT UN ESPACE DE DIALOGUE AU SEIN DUQUEL SONT
ABORDÏES DES QUESTIONS DE DIMENSION MONDIALE AUXQUELLES UN PAYS OU UNE RÏGION
NE SAURAIT RÏPONDRE SEUL DÏVELOPPEMENT DURABLE ÏCONOMIE DE LA CONNAISSANCE
BIOTECHNOLOGIES ET COMMERCE ÏLECTRONIQUE GOUVERNANCE ÏCHANGES INVESTISSEMENT
INTERNATIONAL lSCALITÏ INTERNATIONALE AGRICULTURE CONCURRENCE ET ÏDUCATION ,E E &ORUM
A DÏBUTÏ EN JUILLET ET PORTERA SUR LE DÏVELOPPEMENT ,A PREMIÒRE MANIFESTATION
ORGANISÏE DANS CE CADRE UN ATELIER INFORMEL A RASSEMBLÏ UNE CENTAINE DEXPERTS AlN DE
%FHBVDIFÆESPJUF
-FQSÊTJEFOUEFM*OTUJUVUJOUFSOBUJPOBM
EFTFOUSFQSJTFTNVMUJOBUJPOBMFT
DIJOPJTFT
8BOH.BPMJO
FU
MF4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEVDPNJUÊ
PSHBOJTBUFVSEFMB$POGÊSFODFTVS
MBjEÊDMBSBUJPOTVSMFEÊWFMPQQFNFOU
ÊDPOPNJRVFNPOEJBMv
;IBOH9JBPZV
BWFDMBODJFO4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMBEKPJOU
EFM0$%&
,JZPUBLB"LBTBLB
MPST
EVOFWJTJUFÆM0$%&FOEÊDFNCSF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
3FMBUJPOTNPOEJBMFT
RECENSER LES PRINCIPAUX THÒMES DU PREMIER CYCLE THÏMATIQUE DU &ORUM DUNE DURÏE DE
TROIS ANS ET DÏDIÏ AU lNANCEMENT DU DÏVELOPPEMENT #ET ATELIER A ÏGALEMENT PERMIS
DE LANCER $%&).% UN RÏSEAU MONDIAL DE GROUPES DE RÏmEXION ACTIFS DANS LE DOMAINE DU
lNANCEMENT DU DÏVELOPPEMENT QUI APPORTERA DES CONTRIBUTIONS DE FOND AU PROCESSUS
DU &ORUM MONDIAL
XXXPFDEPSHDDONGS
1BSUFOBSJBUTBWFDEBVUSFTPSHBOJTBUJPOTJOUFSOBUJPOBMFT DDONDPOU!PFDEPSH
,ES PARTENARIATS AVEC DAUTRES ORGANISATIONS INTERNATIONALES PERMETTENT Ì L/#$% DE
FAIRE PROlTER LES NON MEMBRES DE SON SAVOIR FAIRE DANS LE DOMAINE DES INSTITUTIONS ET
DES POLITIQUES Ì SUIVRE #ES PARTENARIATS PERMETTENT AUSSI DE SASSURER QUE LES POINTS DE
VUE DES NON MEMBRES SONT PRIS EN COMPTE DANS SON PROGRAMME DE RELATIONS MONDIALES
)LS CONTRIBUENT EN OUTRE Ì ÏVITER LA RÏPÏTITION DE TRAVAUX ,/#$% A PASSÏ DES ACCORDS DE
PARTENARIAT AVEC LA "ANQUE MONDIALE LA #ONFÏRENCE DES .ATIONS UNIES SUR LE COMMERCE
ET LE DÏVELOPPEMENT LA "ANQUE INTERAMÏRICAINE DE DÏVELOPPEMENT LA "ANQUE ASIATIQUE
DE DÏVELOPPEMENT ET L/RGANISATION MONDIALE DE LA SANTÏ
XXXPFDEPSHHPWTJHNB
1SPHSBNNF4*(." TJHNBDPOUBDU!PFDEPSH
,E 0ROGRAMME DE SOUTIEN Ì LAMÏLIORATION DES INSTITUTIONS PUBLIQUES ET DES SYSTÒMES
DE GESTION 3IGMA EST UNE INITIATIVE CONJOINTE DE L5NION EUROPÏENNE 5% ET DE L/#$%
PRINCIPALEMENT lNANCÏE PAR L5% %LLE SOUTIENT LES RÏFORMES DES SYSTÒMES CENTRAUX DE
GESTION DANS LES NOUVEAUX ³TATS MEMBRES DE L5% DANS LES PAYS CANDIDATS Ì L5% ET
DANS LES PAYS DES "ALKANS OCCIDENTAUX !U NOMBRE DE SES PRINCIPALES ACTIVITÏS lGURAIENT
EN LASSISTANCE DES PAIRS EN MATIÒRE DE CONTRÙLE INTERNE DES FONDS PUBLICS ET
DÏVALUATION DES CAPACITÏS DE GESTION DU CADRE RÏGLEMENTAIRE UN SOUTIEN LÏGISLATIF ET
INSTITUTIONNEL AUX MARCHÏS PUBLICS LA RÏFORME DE LA FONCTION PUBLIQUE ET LE RENFORCEMENT
DE LÏLABORATION ET DE LA COORDINATION DES POLITIQUES 3IGMA A RÏALISÏ DES ÏVALUATIONS
NATIONALES DE LA GOUVERNANCE QUI SINSCRIVENT DANS LE CADRE DES RAPPORTS DÏTAPE RÏGULIERS
DE LA #OMMISSION EUROPÏENNE 5NE ÏVALUATION DE LA GOUVERNANCE EN 5KRAINE A ÏTÏ
lNANCÏE PAR DES DONS EN PROVENANCE DE LA 3UÒDE ET DU 2OYAUME
5NI
%FHBVDIFÆESPJUF
-F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEFM0$%&
"OHFM(VSSÎB
FUMFNJOJTUSF
EFT'JOBODFTJOEJFO
1BMBOJBQQBO$IJEBNCBSBN
MPSTEFTBWJTJUFÆ1BSJTFOKVJO
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
4UBUJTUJRVFT
4UBUJTUJRVFT XXXPFDEPSHTUBUJTUJRVFT
TUBUDPOUBDU!PFDEPSH
,ES DÏCISIONS INFORMÏES REPOSENT SUR DES INFORMATIONS lABLES ,ES STATISTIQUES SONT Ì LA
BASE DE TOUS LES TRAVAUX DANALYSE DE L/#$% DE SORTE QUE LEUR PRÏCISION ET LEUR ACTUALITÏ
JOUENT UN RÙLE CAPITAL DANS LA RÏPUTATION DEXCELLENCE DONT BÏNÏlCIE L/RGANISATION
,/#$% COMPILE DES STATISTIQUES RELATIVES Ì SES PAYS MEMBRES ET Ì CERTAINES AUTRES
ÏCONOMIES NOTAMMENT DES INDICATEURS RELEVANT DE DOMAINES ALLANT DE LA PRODUCTION
ET DE LINFLATION Ì LA SANTÏ ET AU DÏVELOPPEMENT #ES INFORMATIONS SONT RENDUES
PUBLIQUES Ì TRAVERS TOUTE UNE SÏRIE DE PUBLICATIONS ET DE BASES DE DONNÏES STATISTIQUES
SPÏCIALISÏES
%N PLUS DE RECUEILLIR ET DE DIFFUSER DES DONNÏES L/#$% SEMPLOIE EN COLLABORATION AVEC
SES PAYS MEMBRES ET DAUTRES ORGANISATIONS INTERNATIONALES Ì ÏLABORER DES NORMES
STATISTIQUES INTERNATIONALES ET Ì AMÏLIORER LA QUALITÏ ET LA COMPARABILITÏ DES STATISTIQUES
QUELLE RE OIT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
4UBUJTUJRVFT
XXXPFDEPSHTUBUJTUJRVFTJOEJDBUFVST
XXXPFDEPSHTUESFTFBSDIUJNFMJOFTT
XXXPFDEPSHTUEJOEJDBUFVSTFUDPOKPODUVSF
*OEJDBUFVSTÆDPVSUUFSNF TUBUDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% PUBLIE DES INDICATEURS MENSUELS ET TRIMESTRIELS RELATIFS AUX COMPTES NATIONAUX Ì
LA PRODUCTION AUX INDICATEURS COMPOSITES AVANCÏS AUX PRIX DE DÏTAIL ET Ì LA PRODUCTION
AUX lNANCES AU COMMERCE INTERNATIONAL ET Ì LA BALANCE DES PAIEMENTS #ES INDICATEURS
SONT DISPONIBLES EN LIGNE SUR #$
2/- ET EN VERSION IMPRIMÏE ,A SÏRIE MENSUELLE DES
0RINCIPAUX INDICATEURS ÏCONOMIQUES 0)% CONSTITUE LA PRINCIPALE BASE DE DONNÏES DE L/#$%
SUR LES INDICATEURS Ì COURT TERME %LLE COMPREND DES SÏRIES STATISTIQUES POUR TOUS LES
PAYS MEMBRES ET DES INDICATEURS SUR DAUTRES ÏCONOMIES COMME L!FRIQUE DU 3UD
LE "RÏSIL LA #HINE LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE L)NDE ET L)NDONÏSIE
XXXPFDEPSHTUBUJTUJRVFT
*OEJDBUFVSTEVQSPHSÍTTPDJBM TUBUDPOUBDU!PFDEPSH
,A QUALITÏ DE VIE EST UN SUJET QUI INTÏRESSE TOUTES LES SOCIÏTÏS ,A NÏCESSITÏ DAVOIR
UNE VUE DENSEMBLE PLUS PRÏCISE DU PROGRÒS INTÏGRANT Ì LA FOIS LES ASPECTS SOCIAUX
ENVIRONNEMENTAUX ET ÏCONOMIQUES EST DE PLUS EN PLUS ADMISE ,E DÏVELOPPEMENT DUN
PAYS SE MESURE SOUVENT ESSENTIELLEMENT AU MOYEN DINDICATEURS ÏCONOMIQUES PAR
EXEMPLE LE 0)" QUI FOURNIT CERTES DIMPORTANTES INDICATIONS SUR LACTIVITÏ ÏCONOMIQUE
MAIS NA PAS ÏTÏ CON U POUR ÏVALUER Ì LUI SEUL LE PROGRÒS DES NATIONS
)L EST AUJOURDHUI LARGEMENT RECONNU QUIL EST ESSENTIEL DE RENDRE ACCESSIBLE Ì TOUS DES
INFORMATIONS TRANSVERSALES DE QUALITÏ SUR LA PERFORMANCE DE LA SOCIÏTÏ POUR ASSURER UNE
PRISE DE DÏCISION Ì LA FOIS RÏACTIVE ET RESPONSABLE Ì TOUS LES NIVEAUX #ELA DIT EN CETTE ÒRE
DE SURABONDANCE SANS PRÏCÏDENT DE LINFORMATION LA COMPRÏHENSION GÏNÏRALE REQUISE
POUR UN DÏBAT PUBLIC INFORMÏ NEST SOUVENT PAS ACQUISE
&ACE Ì CETTE SITUATION PARTOUT DANS LE MONDE DES ORGANISATIONS AU NIVEAU INFRANATIONAL
NATIONAL OU INTERNATIONAL ET ISSUES DU SECTEUR PUBLIC DU SECTEUR PRIVÏ DE LA SOCIÏTÏ CIVILE
DU MONDE UNIVERSITAIRE OU DES MÏDIAS ÏLABORENT DES INDICATEURS GLOBAUX DU PROGRÒS DE
LA VIABILITÏ DU BIEN ÐTRE OU DE LA QUALITÏ DE VIE DES SOCIÏTÏS
$E NOMBREUX DÏlS SE FONT JOUR Ì MESURE QUE LES TRAVAUX AVANCENT %N RAISON DE LA
MONDIALISATION LA MESURE ET LÏVALUATION DE LENSEMBLE DES PROGRÒS ENREGISTRÏS DANS
UN PAYS REQUIÒRENT DES APPROCHES QUI VONT AU
DELÌ DES FRONTIÒRES NATIONALES $E SON
CÙTÏ LA SOCIÏTÏ CIVILE EST DE PLUS EN PLUS LA PREMIÒRE Ì RÏCLAMER n VOIRE Ì CONSTRUIRE n DES
ENSEMBLES DINDICATEURS DU PROGRÒS 4OUS CES FACTEURS SONT AUTANT DE PRESSIONS QUI
SEXERCENT SUR TOUTES LES COMPOSANTES DE LA SOCIÏTÏ POUR LES INCITER Ì TROUVER DE NOUVEAUX
MODES DE COLLABORATION POUR MIEUX COMPRENDRE ET MESURER LE PROGRÒS DES SOCIÏTÏS *USQUÌ -&4"7*&;7064
PRÏSENT LE SUJET NA ENCORE PAS DONNÏ LIEU Ì UN DÏBAT i MONDIAL w ©MÊDIFMMFNPOEJBMF
MFTJOJUJBUJWFT
EFNFTVSFEVQSPHSÍTEFTTPDJÊUÊT
%N COOPÏRATION AVEC LA #OMMISSION EUROPÏENNE L/RGANISATION DE LA #ONFÏRENCE TFDPNQUFOUQBSDFOUBJOFT
ISLAMIQUE LES .ATIONS UNIES ET LA "ANQUE MONDIALE ET AVEC LE CONCOURS DE 0!2)3
0ARTENARIAT STATISTIQUE AU SERVICE DU DÏVELOPPEMENT Ì LAUBE DU 88)E SIÒCLE L/#$% A
LANCÏ UN PROJET MONDIAL POUR MESURER ET ENCOURAGER LE PROGRÒS DES SOCIÏTÏS ,ES TRAVAUX
SARTICULENT AUTOUR DE CONFÏRENCES RÏGIONALES ET CULMINERONT AVEC LE DEUXIÒME &ORUM
MONDIAL i 3TATISTIQUES CONNAISSANCES ET ACTIONS PUBLIQUES w QUI SE TIENDRA Ì )STANBUL EN
JUIN VOIR Ì LADRESSE WWWOECDORGOECDWORLDFORUM
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
$ES CHIFFRES SUR LE 0)" LES INDICATEURS COMPOSITES AVANCÏS LES TAUX DE CHÙMAGE LES PRIX
Ì LA CONSOMMATION ET LE COMMERCE INTERNATIONAL SONT PUBLIÏS CHAQUE MOIS 0LUSIEURS
AMÏLIORATIONS ONT ÏTÏ APPORTÏES Ì LA BASE DE DONNÏES SUR LES 0%) EN AlN DE GARANTIR
LA QUALITÏ CONSTANTE DES STATISTIQUES !INSI DES INFORMATIONS MÏTHODOLOGIQUES PLUS
DÏTAILLÏES PRÏCISANT LES MODALITÏS DÏLABORATION PAR LES OFlCES STATISTIQUES NATIONAUX
DES INDICATEURS lGURANT DANS LA BASE DE DONNÏES DES 0)% SONT DÏSORMAIS FOURNIES
,/#$% CONTRIBUE Ì LA MISE AU POINT DORIENTATIONS ET DE RECOMMANDATIONS INTERNATIONALES
DANS PLUSIEURS DOMAINES DES STATISTIQUES ÏCONOMIQUES Ì COURT TERME %N ELLE A MIS
EN PLACE LA 0REMIÒRE PUBLICATION DE DONNÏES ET RÏVISIONS ULTÏRIEURES ,ES ÏCONOMISTES
PEUVENT AINSI EFFECTUER UNE ANALYSE DES MODÒLES ÏCONOMÏTRIQUES EN SE FONDANT SUR DES
DONNÏES EN TEMPS RÏEL ,ES STATISTICIENS PEUVENT ÏGALEMENT ÏTUDIER LAMPLEUR ET LE SENS
DES CORRECTIONS APPORTÏES AUX PRINCIPALES STATISTIQUES Ì COURT TERME PUBLIÏES PAR LES
OFlCES NATIONAUX ,/#$% COLLABORE AUSSI AVEC LA #OMMISSION EUROPÏENNE Ì LÏLABORATION
DE NORMES INTERNATIONALES POUR LES ENQUÐTES DE CONJONCTURE AUPRÒS DES ENTREPRISES ET
DES CONSOMMATEURS
XXXPFDEPSHTUEDPNQUFTOBUJPOBVY
$PNQUFTOBUJPOBVYFUTUBUJTUJRVFTàOBODJÍSFT TUBUDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% EST LUN DES PRINCIPAUX ORGANISMES QUI COLLECTENT ET DIFFUSENT DES DONNÏES
DÏTAILLÏES SUR LES COMPTES NATIONAUX PERMETTANT DES COMPARAISONS INTERNATIONALES
0LUSIEURS MILLIERS DE SÏRIES SONT DISPONIBLES POUR CHAQUE PAYS MEMBRE SUR PAPIER ET EN
LIGNE #ES SÏRIES COUVRENT NOTAMMENT LES COMPOSANTES DU 0)" ET DE LA DÏPENSE LEMPLOI
DES DONNÏES DÏTAILLÏES PAR SECTEUR DACTIVITÏ AINSI QUE LES COMPTES DES ADMINISTRATIONS
PUBLIQUES DES MÏNAGES ET LES COMPTES lNANCIERS ,ES STATISTIQUES lNANCIÒRES SONT
COMPLÏTÏES PAR DES BASES DE DONNÏES PLUS SPÏCIALISÏES SUR DES SUJETS COMME LA DETTE DE
LADMINISTRATION CENTRALE LES INVESTISSEURS INSTITUTIONNELS ET LA RENTABILITÏ DES BANQUES
,/#$% PREND UNE PART ACTIVE Ì LA RÏVISION EN COURS DU 3YSTÒME DE COMPTABILITÏ
NATIONALE 3#. QUI DOIT EN PRINCIPE ÐTRE ACHEVÏE EN ,ES EXPERTS DE L/RGANISATION
ONT CONTRIBUÏ Ì LÏLABORATION DE RECOMMANDATIONS SUR DE NOMBREUSES QUESTIONS DONT LES
RÏGIMES DE PENSION LA 2 $ LES BAUX ET LES LICENCES ET LES APPORTS DE MAIN
DUVRE
,ES RÏUNIONS ANNUELLES DE L/#$% SUR LES COMPTES NATIONAUX ET LES STATISTIQUES
lNANCIÒRES REPRÏSENTENT POUR LES EXPERTS NATIONAUX ET INTERNATIONAUX UNE OCCASION
UNIQUE DE DÏBATTRE DES PROBLÒMES DE MESURE ET DES MOYENS DAMÏLIORER LA COMPARABILITÏ $FSBQQPSUQPSUFTVSMFTWPMVNFT
INTERNATIONALE DE CES STATISTIQUES %N UNE ATTENTION PARTICULIÒRE A ÏTÏ ACCORDÏE Ì FUMFTQSJY
MFTDPNQBSBCJMJUÊT
LACTUALISATION DU 3#. Ì LIMPORTANCE DE LA REMISE ET DE LUTILISATION DE TABLEAUX POUR JOUFSOBUJPOBMFT
MBQSPEVDUJPO
MFTVUJMJTBUJPOTàOBMFT
LÏLABORATION DES COMPTES NATIONAUX AUX RESSOURCES HUMAINES ET AUX QUALIlCATIONS
MFTDPNQUFTEFTNÊOBHFT
REQUISES POUR LÏTABLISSEMENT DE CES COMPTES NATIONAUX Ì LA MÏTHODOLOGIE DES COMPTES EFTFOUSFQSJTFT
MFTDPNQUFT
lNANCIERS ET AUX PRATIQUES NATIONALES POUR CE QUI EST DE LEUR CONSOLIDATION QVCMJDTFUàOBODJFST
%N L/#$% A PAR AILLEURS PUBLIÏ UN MANUEL ÏLECTRONIQUE INTITULÏ 5NDERSTANDING .ATIONAL
!CCOUNTS POUR CONTRIBUER AU PROGRAMME DOUVERTURE Ì LÏCHELLE MONDIALE Ì LINTENTION
DES JEUNES ÏCONOMISTES XXXPFDEPSHTUBUJTUJRVFTQSPEVDUJWJUF
XXXPFDEPSHTUBUJTUJRVFTQSJYFUQQB
XXXPFDEPSHTUBUJTUJRVFTFDIBOHFT
1SJYFUTUBUJTUJRVFTÊDPOPNJRVFTTUSVDUVSFMMFT TUBUDPOUBDU!PFDEPSH
,ES STATISTIQUES SUR LA PRODUCTIVITÏ SONT LA PIÒCE MAÔTRESSE DES INDICATEURS ÏCONOMIQUES
ÏLABORÏS Ì L/#$% $ES MESURES DE LA PRODUCTIVITÏ DE LA MAIN
DUVRE ET DE LA PRODUCTIVITÏ
TOTALE DES FACTEURS SONT DISPONIBLES POUR UN GRAND NOMBRE DE PAYS MEMBRES ,/#$%
CALCULE ÏGALEMENT DES PARITÏS DE POUVOIR DACHAT 00! LESQUELLES SONT Ì LA BASE DE LA
PLUPART DES COMPARAISONS INTERNATIONALES DU 0)" DU 0)" PAR HABITANT ET DE LA PRODUCTIVITÏ
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
4UBUJTUJRVFT
DE LA MAIN
DUVRE $ES INDICES DES PRIX Ì LA CONSOMMATION SONT PAR AILLEURS PUBLIÏS
RÏGULIÒREMENT ET DES TRAVAUX SUR LES INDICES DES PRIX DES LOGEMENTS ONT ÏTÏ LANCÏS
EN
$E NOUVELLES STATISTIQUES STRUCTURELLES SUR LES ENTREPRISES ONT VU LE JOUR EN %LLES
ENGLOBENT POUR LA PREMIÒRE FOIS DES INDICATEURS DE LA DÏMOGRAPHIE DES ENTREPRISES ET UN
ENSEMBLE INTÏGRÏ DE STATISTIQUES VENTILÏES PAR TAILLE DENTREPRISES 5N ENSEMBLE DINDICATEURS
DE LENTREPRENARIAT ET DE SES MOTEURS EST PAR AILLEURS EN COURS DÏLABORATION
XXXPFDEPSHTUEQBZTON
$PPQÊSBUJPOBWFDMFTOPONFNCSFT TUBUDPOUBDU!PFDEPSH
,/#$% COLLABORE AVEC DAUTRES ÏCONOMIES EN VUE DAMÏLIORER LA PRODUCTION DE STATISTIQUES
lABLES ET COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL #ETTE ACTIVITÏ EST DE PLUS EN PLUS CENTRÏE
SUR LES GRANDS PAYS NON MEMBRES NOTAMMENT L!FRIQUE DU 3UD LE "RÏSIL LA #HINE
LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE L)NDE ET L)NDONÏSIE %N LES TRAVAUX ONT ÏTÏ AXÏS SUR LA MISE
EN PLACE DE CADRES DE QUALITÏ LA MESURE DE LÏCONOMIE NON OBSERVÏE LA RÏVISION DU 0)" ET -&4"7*&;7064
-FTQSPàMTTUBUJTUJRVFTQBSQBZTÊUBCMJT
LA QUALITÏ GÏNÏRALE DES COMPTES NATIONAUX 5NE VERSION SIMPLIlÏE DU SYSTÒME DENQUÐTES
QBSM0$%&DPOUJFOOFOUJOEJDBUFVST
DE CONJONCTURE DE L/#$% A ÏTÏ EXPORTÏE AVEC SUCCÒS EN #HINE ET DANS PLUSIEURS PAYS DPNQBSBCMFTGPVSOJTTBOUVOBQFSÉV
D!MÏRIQUE LATINE DPNQMFUEFTÊWPMVUJPOTÊDPOPNJRVFT
TPDJBMFTFUFOWJSPOOFNFOUBMFT
%N L/#$% A MIS AU POINT DES INDICATEURS COMPOSITES AVANCÏS POUR L!FRIQUE DU 3UD
LE "RÏSIL LA #HINE LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE L)NDE ET L)NDONÏSIE ,E PROGRAMME %UROSTAT
/#$% SUR LES 00! COUVRE PLUSIEURS ÏCONOMIES NON MEMBRES DONT LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE
4OUJOURS EN COLLABORATION AVEC LA #OMMISSION EUROPÏENNE DES 00! SONT ÏGALEMENT
ÏTABLIES POUR LA RÏGION OCCIDENTALE DES "ALKANS
XXXPFDEPSHTUBUJTUJDT
JOGPSNBUJPOTZTUFN
3ÊGPSNFEVTZTUÍNFEJOGPSNBUJPOTUBUJTUJRVF TUBUDPOUBDU!PFDEPSH
,E SYSTÒME CENTRAL DE DONNÏES DE L/RGANISATION /%#$3TAT COUVRE DÏSORMAIS LINTÏGRALITÏ
DES PRINCIPALES SÏRIES STATISTIQUES DE L/#$% )L EST DE PLUS EN PLUS UTILISÏ POUR GÏNÏRER
AUTOMATIQUEMENT DES DONNÏES EN LIGNE ET DES PUBLICATIONS IMPRIMÏES ,/#$% A PAR
AILLEURS RESTRUCTURÏ SES MÏTADONNÏES ET EN A AMÏLIORÏ LA QUALITÏ GRÊCE Ì LAPPLICATION DES
PRINCIPES DÏlNIS EN LA MATIÒRE %N /%#$3TAT SERVIRA DE BASE POUR UNE RÏORIENTATION
DU SYSTÒME DE DIFFUSION DE TOUTES LES STATISTIQUES PRODUITES PAR L/#$% DANS LEQUEL
LACCENT SERA MIS SUR LES MÏTADONNÏES ET LA COHÏRENCE ENTRE LES DIVERS PRODUITS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
$PNNVOJDBUJPO
3FMBUJPOTFYUÊSJFVSFTFUDPNNVOJDBUJPO XXXPDEFPSH
0ENDANT LANNÏE ÏCOULÏE LA $IRECTION DES RELATIONS EXTÏRIEURES ET DE LA COMMUNICATION
A SU PAR SON ACTION AUPRÒS DES RESPONSABLES POLITIQUES DES REPRÏSENTANTS DES MILIEUX
DAFFAIRES DES UNIVERSITAIRES DES DIRIGEANTS SYNDICAUX DE LA SOCIÏTÏ CIVILE DES MÏDIAS ET
DU GRAND PUBLIC ASSURER UNE GRANDE VISIBILITÏ Ì L/RGANISATION #ETTE ANNÏE A ÏTÏ MARQUÏE
PAR LARRIVÏE DU NOUVEAU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL LE LANCEMENT DUNE SÏRIE DE PUBLICATIONS
STRATÏGIQUES ET LE RENFORCEMENT DES RELATIONS AVEC LES PARLEMENTS
XXXPFDEPSHFEJUJPOT
1VCMJDBUJPOT PFDEQVCMJTIJOH!PFDEPSH
,ES PUBLICATIONS SONT LE PREMIER VÏHICULE DE DIFFUSION DE LA PRODUCTION INTELLECTUELLE DE
L/#$% 3ES STATISTIQUES ET SES ANALYSES AIDENT LES RESPONSABLES POLITIQUES Ì ÏVALUER LA
PERFORMANCE DE LEURS PAYS DANS UN CONTEXTE INTERNATIONAL ET Ì DÏTERMINER LES PRATIQUES
OPTIMALES FACE Ì DES PROBLÒMES COMMUNS $ES UNIVERSITAIRES DU MONDE ENTIER UTILISENT
LA SOURCE DINFORMATIONS QUOFFRE L/#$% POUR ÏTAYER LEURS TRAVAUX DE RECHERCHE ET
DENSEIGNEMENT TANDIS QUE LES MILIEUX DAFFAIRES SAPPUIENT SUR LES PRINCIPES DIRECTEURS
ET LES CONVENTIONS DE L/#$%
,ES TÏLÏCHARGEMENTS DEPUIS LA BIBLIOTHÒQUE EN LIGNE 3OURCE/#$% ONT AUGMENTÏ DE
EN POUR ATTEINDRE MILLIONS DÏLÏMENTS #ETTE AUGMENTATION EST LARGEMENT DUE
AU PROGRAMME 3TAT,INK QUI PERMET AUX LECTEURS DACCÏDER FACILEMENT Ì DES TABLEAUX %XCEL
CONTENANT LES DONNÏES UTILISÏES DANS DE NOMBREUSES PUBLICATIONS DE L/#$%
%FHBVDIFÆESPJUF
.JLZVOH-FF
NFNCSFEF
M"TTFNCMÊOBUJPOBMFDPSÊFOOF
FU+PIO5BOOFS
NFNCSFEV
$POHSÍTBNÊSJDBJOFUQSÊTJEFOU
EFMB$PNNJTTJPOEFMDPOPNJF
FUEFMB4ÊDVSJUÊEFM"TTFNCMÊF
QBSMFNFOUBJSFEFM05"/
MPSTEFMBSÊVOJPOEFM05"/
FOGÊWSJFS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
3FMBUJPOTFYUÊSJFVSFTFUDPNNVOJDBUJPO
%N COLLABORATION AVEC LES AGENTS COMMERCIAUX ET LES #ENTRES /#$% VOIR ENCADRÏ P DE
NOUVEAUX EFFORTS ONT ÏTÏ RÏALISÏS POUR AUGMENTER LA PÏNÏTRATION DES MARCHÏS EXISTANTS
AINSI QUE POUR ATTEINDRE DE NOUVELLES RÏGIONS ,/#$% A ORGANISÏ UNE PREMIÒRE CONFÏRENCE
SPÏCIlQUEMENT DESTINÏE Ì SES PARTENAIRES COMMERCIAUX BASÏS EN !SIE 3OURCE/#$%
REJOINT DES CONSORTIUMS DE BIBLIOTHÒQUES EN !LLEMAGNE EN !UTRICHE ET EN )RLANDE ET DES
ESSAIS SONT EN COURS DANS DES STRUCTURES AU #AUCASE $E NOUVEAUX AGENTS COMMERCIAUX
ONT ÏTÏ RECRUTÏS EN &ÏDÏRATION DE 2USSIE AINSI QUE DANS LES ³TATS BALTES ET 3OURCE/#$%
EST DÏSORMAIS ACCESSIBLE DANS DES UNIVERSITÏS DE -OSCOU
,A LIBRAIRIE EN LIGNE DE L/#$% FACILITE CONSIDÏRABLEMENT LA COMMANDE DE LIVRES EN LIGNE
LES DISTRIBUTEURS PEUVENT DÏSORMAIS COMMANDER EN LIGNE ET LES ENTREPRISES PEUVENT ÏTABLIR
UN COMPTE ,/RGANISATION A ÏGALEMENT CRÏÏ UN PROGRAMME DIMPRESSION Ì LA DEMANDE
GRÊCE AUQUEL LA PLUPART DES LIVRES PUBLIÏS DEPUIS NE SERONT PLUS JAMAIS EN RUPTURE
DE STOCK SAUF POUR LES OUVRAGES REMPLACÏS PAR UNE ÏDITION PLUS RÏCENTE
XXXPFDEPSHMFTFTTFOUJFMT
$BQJUBMIVNBJOmVOFQVCMJDBUJPOTUSBUÊHJRVF PFDEQVCMJTIJOH!PFDEPSH
#OMMENT LE SAVOIR DÏTERMINE T IL NOTRE VIE
!UJOURDHUI PLUS QUE JAMAIS LES ÏCONOMIES REPOSENT SUR LE POUVOIR DE LA CONNAISSANCE
$ANS CETTE NOUVELLE ÏCONOMIE MONDIALISÏE LES APTITUDES LES QUALIlCATIONS ET LES
COMPÏTENCES DES INDIVIDUS n QUE CONSTITUE LE CAPITAL HUMAIN n SONT DES FACTEURS QUI
PÒSENT DE PLUS EN PLUS SUR LA CROISSANCE ÏCONOMIQUE #E CAPITAL HUMAIN EST NÏCESSAIRE
AUX ÏCONOMIES DÏVELOPPÏES POUR ALIMENTER LA CROISSANCE IL LEST AUSSI AUX INDIVIDUS POUR
RÏALISER PLEINEMENT LEUR POTENTIEL
0OURTANT DANS DE NOMBREUX PAYS CERTAINS ENFANTS RESTENT EN MARGE DES SYSTÒMES
ÏDUCATIFS SURTOUT CEUX ISSUS DES FAMILLES LES PLUS PAUVRES ,ES CAPACITÏS PHÏNOMÏNALES
DAPPRENTISSAGE DES JEUNES ENFANTS PENDANT LES ANNÏES PRÏSCOLAIRES SONT SOUVENT
GASPILLÏES ,ORSQUILS SONT SCOLARISÏS LES ENFANTS SONT PARFOIS CONFRONTÏS Ì UN ENSEIGNEMENT
DE MAUVAISE QUALITÏ OU ALORS SONT EXCLUS DES ENSEIGNEMENTS QUI LEUR SERAIENT LES PLUS
BÏNÏlQUES -ÐME Ì LÊGE ADULTE CEUX QUI BÏNÏlCIERAIENT LE PLUS DUNE FORMATION SONT
SOUVENT LES MOINS SUSCEPTIBLES DE LA RECEVOIR
$ÏBUT L/#$% A ÏLARGI LE SPECTRE DE SON PROGRAMME DE PUBLICATIONS AVEC LE
LANCEMENT DUNE NOUVELLE SÏRIE DOUVRAGES INTITULÏE i ,ES ESSENTIELS DE L/#$% w ,E
PREMIER LIVRE DE CETTE COLLECTION ,E #APITAL HUMAIN EXAMINE LE LIEN QUI EXISTE ENTRE
ÏDUCATION ET CROISSANCE ÏCONOMIQUE ET EXPLIQUE COMMENT PEUVENT FAIRE LES SOCIÏTÏS
POUR QUE LES BIENFAITS DE LÏDUCATION SOIENT RÏPARTIS AUSSI LARGEMENT QUE POSSIBLE #E
TRAVAIL SAPPUIE SUR DES RECHERCHES ET DES ANALYSES MENÏES DANS LES PAYS MEMBRES
DE L/#$% ET EXAMINE QUELQUES
UNS DES PRINCIPAUX ENJEUX ACTUELS DU DÏVELOPPEMENT DE
LENFANT DE LÏDUCATION ET DE LAPPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE )L ANALYSE AUSSI LEUR
IMPORTANCE AU REGARD DES GRANDES ÏVOLUTIONS ÏCONOMIQUES ET SOCIALES
#ETTE SÏRIE VEUT OFFRIR AU LECTEUR NÏOPHYTE UNE INTRODUCTION AUX TRAVAUX DE L/#$%
CONSACRÏS AUX GRANDES QUESTIONS DACTUALITÏ ,ARGEMENT INSPIRÏS DES ANALYSES DES
DONNÏES ET DES PUBLICATIONS DÏJÌ EXISTANTES CES LIVRES ÏVITENT LA TERMINOLOGIE TECHNIQUE
$ES EXEMPLES DE LA VIE RÏELLE SONT UTILISÏS DANS LA MESURE DU POSSIBLE POUR ILLUSTRER LES
PROBLÒMES AUXQUELS SONT CONFRONTÏES LES SOCIÏTÏS ,ES PROCHAINS TITRES Ì PARAÔTRE SERONT
VRAISEMBLABLEMENT CONSACRÏS Ì LÏVOLUTION DU CLIMAT AU VIEILLISSEMENT DES SOCIÏTÏS ET
Ì LA CORRUPTION
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
XXXPFDEPSHDFOUSFTGS
$FOUSFT0$%& SJDBSEPMVJTUFKBEB!PFDEPSH
%FHBVDIFÆESPJUF
-F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEFM0$%&
"OHFM(VSSÎB
FUMF1SÊTJEFOU
NFYJDBJO
'FMJQF$BMEFSÓO
)JOPKPTB
MPSTEV'PSVN
JOUFSOBUJPOBMTVSMFTQPMJUJRVFT
QVCMJRVFTEFEÊWFMPQQFNFOU
BV.FYJRVFFOGÊWSJFS
,ES QUATRE #ENTRES /#$% DE "ERLIN -EXICO 4OKYO ET 7ASHINGTON ASSURENT LA VENTE ET LE
MARKETING DES PUBLICATIONS LE SERVICE CLIENTÒLE LES RELATIONS PUBLIQUES LES CONTACTS AVEC
LA PRESSE ET LE TRAITEMENT DES QUESTIONS GÏNÏRALES #ES CENTRES TRAVAILLENT DANS LES LANGUES
ET LES FUSEAUX HORAIRES CORRESPONDANT Ì LEURS POSITIONS GÏOGRAPHIQUES RESPECTIVES
%N LE #ENTRE DE "ERLIN A ORGANISÏ EN COOPÏRATION AVEC UN LARGE ÏVENTAIL DE
PARTENAIRES PLUSIEURS MANIFESTATIONS DE HAUT NIVEAU SUR DIFFÏRENTS THÒMES NOTAMMENT LA
MONDIALISATION ET LINVESTISSEMENT DIRECT ÏTRANGER LÏDUCATION ET LES MIGRATIONS LÏNERGIE
LE TRANSPORT ET L!FRIQUE 5NE SÏRIE DE DÏBATS SUR LA GOUVERNANCE INTERNATIONALE ONT RÏUNI
DES HOMMES POLITIQUES DES UNIVERSITAIRES DES PARTENAIRES SOCIAUX ET DES REPRÏSENTANTS
DE LA SOCIÏTÏ CIVILE 0AR AILLEURS LE #ENTRE A CRÏÏ UN CONSORTIUM DUNIVERSITÏS LACCÒS Ì LA
BIBLIOTHÒQUE EN LIGNE 3OURCE/#$% A AINSI PLUS QUE DOUBLÏ
,E #ENTRE /#$% DE -EXICO A CO
ORGANISÏ AVEC SUCCÒS LE &ORUM INTERNATIONAL SUR
LES POLITIQUES PUBLIQUES DU DÏVELOPPEMENT AU -EXIQUE QUI SEST TENU Ì -EXICO EN
FÏVRIER ,E #ENTRE A ÏGALEMENT DÏVELOPPÏ LE 0ROGRAMME LATINO
AMÏRICAIN DACCÒS
AUX INFORMATIONS DE L/#$% ET MEMBRES Y SONT DÏSORMAIS AFlLIÏS %NlN IL A AMÏLIORÏ
SON SITE WEB EN ESPAGNOL
,E #ENTRE /#$% DE 4OKYO A ORGANISÏ UNE SÏRIE DE &ORUMS SUR LES POLITIQUES PUBLIQUES
CONSACRÏS Ì DES ENJEUX MAJEURS NOTAMMENT LINNOVATION ET LA CROISSANCE LA RÏFORME
lSCALE LA LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES ET LE GOUVERNEMENT DENTREPRISE ,E &ORUM DE JUILLET
A MARQUÏ LANNÏE Oá LE #ADRE DACTION POUR LINVESTISSEMENT #!) DE L/#$% A ÏTÏ
PRÏSENTÏ Ì LA COMMUNAUTÏ DES INVESTISSEURS D!SIE 4OUJOURS EN LE #ENTRE DE 4OKYO
A ORGANISÏ EN COLLABORATION AVEC L!0%# UN SÏMINAIRE SUR LE #!) AU 6IETNAM
,E #ENTRE /#$% DE 7ASHINGTON SERT DE CENTRE DINFORMATION POUR LES MARCHÏS DES ³TATS
5NIS ET DU #ANADA )L MÒNE UN CERTAIN NOMBRE DACTIONS DE COMMUNICATION AVEC LEXTÏRIEUR
EN ORGANISANT DES SÏMINAIRES AVEC DES REPRÏSENTANTS DE L/#$% ET DES EXPERTS DE LA
RÏGION DE 7ASHINGTON AINSI QUE DES SESSIONS DE FORMATION Ì LINTENTION DES CHERCHEURS
)L GÒRE AUSSI UNE BIBLIOTHÒQUE PUBLIQUE DE RÏFÏRENCE DE PUBLICATIONS DE L/#$% %NlN
LE #ENTRE DE 7ASHINGTON ASSURE LA LIAISON ENTRE LES ORGANES LÏGISLATIFS ET EXÏCUTIFS DU
GOUVERNEMENT DES ³TATS
5NIS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
3FMBUJPOTFYUÊSJFVSFTFUDPNNVOJDBUJPO
XXXPFDEPSHNFEJBGS
.FEJB OFXTDPOUBDU!PFDEPSH
,ES MÏDIAS ONT SUIVI AVEC GRAND INTÏRÐT LES PÏRIODES QUI ONT PRÏCÏDÏ ET SUIVI LINVESTITURE
DU NOUVEAU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL REHAUSSANT AINSI LE PROlL DE L/RGANISATION AUPRÒS DES
JOURNALISTES MAIS AUSSI AUPRÒS DES GOUVERNEMENTS ET DE LA SOCIÏTÏ CIVILE $ES INTERVIEWS
DU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL DONNÏES AVANT ET PENDANT LES VISITES OFlCIELLES DANS PLUSIEURS
PAYS n *APON #ORÏE %SPAGNE ET 4URQUIE n ONT PLACÏ L/#$% SOUS LES FEUX DE LACTUALITÏ
#ES VISITES ONT AJOUTÏ DE LA SUBSTANCE Ì UNE COUVERTURE DÏJÌ ABONDANTE DANS LA PRESSE
ÏCRITE ET AUDIOVISUELLE DES ÏTUDES ET RAPPORTS DE L/#$% %LLE CONTRIBUE Ì RENFORCER LA
NOTORIÏTÏ DE L/RGANISATION AUPRÒS DU GRAND PUBLIC ET Ì AMÏLIORER LA COMPRÏHENSION DE
SES TRAVAUX SUR LES GRANDS ENJEUX DE LA PLANÒTE 0ENDANT LANNÏE UN CERTAIN NOMBRE
DÏTUDES ONT PARTICULIÒREMENT CAPTÏ LATTENTION DES MÏDIAS NOTAMMENT DES PUBLICATIONS
PÏRIODIQUES ET DES TRAVAUX TELS QUE LA RÏÏVALUATION DE LA 3TRATÏGIE DE L/#$% POUR LEMPLOI
ET L³TUDE ÏCONOMIQUE DE LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE
XXXPDEFPSH
-FTJUFEFM0$%& XFCNBTUFS!PFDEPSH
!VEC PLUS DE MILLIONS DE VISITES PAR AN LE SITE )NTERNET DE L/#$% CONSTITUE LE PREMIER
POINT DACCÒS PUBLIC AUX TRAVAUX DE L/RGANISATION %N LA SALLE DE PRESSE VIRTUELLE
DE L/#$% DISPOSE DUNE NOUVELLE FONCTIONNALITÏ LES INTERNAUTES SONT AUTOMATIQUEMENT
INFORMÏS DES DERNIÒRES NOUVEAUTÏS 5NE ZONE RÏSERVÏE AUX DOCUMENTS AUDIOVISUELS
WWWOECDORGAUDIOVIDEO A ÏGALEMENT ÏTÏ CRÏÏE %LLE COMPREND DES RAPPORTS DE L/#$%
SUR DES ENJEUX ÏCONOMIQUES DACTUALITÏ %NlN DES DÏBATS EN LIGNE ANIMÏS PAR DES
ÏCONOMISTES DE L/#$% ONT ÏTÏ ORGANISÏS PERMETTANT AINSI DINTENSIlER LES INTERACTIONS
AVEC LE PUBLIC WWWOECDORGASKTHEECONOMISTS
,ES INTERNAUTES DÏCOUVRIRONT EN UN NOUVEL ENVIRONNEMENT GRAPHIQUE ET UN SYSTÒME
DE NAVIGATION SIMPLIlÏ SUR LE SITE WEB DE L/#$% 0OUR CEUX QUI SINTÏRESSENT AUX TRAVAUX
DE L/#$% SUR DES PAYS MAJEURS QUI NE SONT PAS ENCORE MEMBRES DES SITES SONT DÏSORMAIS
CONSACRÏS Ì LA #HINE WWWOECDORGCHINA Ì LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE WWWOECDORGRUSSIA
ET AU "RÏSIL WWWOECDORGBRAZIL
XXXPFDEPSHSFMBUJPOTQVCMJRVFT
QBSMFNFOUBJSFT
3FMBUJPOTQBSMFNFOUBJSFT NFHHBOEJTTMZ!PFDEPSH
,ES RELATIONS AVEC LES PARLEMENTAIRES SONT INDISPENSABLES POUR AIDER LES RESPONSABLES
POLITIQUES Ì MENER DES RÏFORMES 0OUR CE FAIRE L/#$% RENFORCE DEPUIS QUELQUES ANNÏES
SES LIENS AVEC DES LÏGISLATEURS /UTRE SES RELATIONS ÏTABLIES DE LONGUE DATE AVEC LES
ASSEMBLÏES PARLEMENTAIRES DU #ONSEIL DE L%UROPE ET DE L/4!. L/#$% ORGANISE CHAQUE
ANNÏE DEUX SÏMINAIRES PARLEMENTAIRES DE HAUT NIVEAU LUN EN FÏVRIER ET LAUTRE EN OCTOBRE
° LOCCASION DE SES MISSIONS Ì LÏTRANGER LE 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL !NGEL 'URRÓA SENTRETIENT
RÏGULIÒREMENT AVEC LES PARLEMENTS NATIONAUX %N OCTOBRE IL EST INTERVENU Ì LA
#OMMISSION DES AFFAIRES ÏTRANGÒRES DE L!SSEMBLÏE NATIONALE FRAN AISE
XXXPFDEPSHTPDJFUFDJWJMF
3FMBUJPOTBWFDMBTPDJÊUÊDJWJMF NFHHBOEJTTMZ!PFDEPSH
,/#$% TRAVAILLE AVEC LA SOCIÏTÏ CIVILE DEPUIS SA CRÏATION NOTAMMENT PAR LINTERMÏDIAIRE DU
#OMITÏ CONSULTATIF ÏCONOMIQUE ET INDUSTRIEL AUPRÒS DE L/#$% ")!# ET DE LA #OMMISSION
SYNDICALE CONSULTATIVE AUPRÒS DE L/#$% 45!# VOIR ENCADRÏ P $EPUIS QUELQUES
TEMPS MAINTENANT LA COOPÏRATION DE L/#$% AVEC LA SOCIÏTÏ CIVILE SÏTEND Ì DAUTRES
ORGANISATIONS DE LA SOCIÏTÏ CIVILE %N L/#$% A TRAVAILLÏ AVEC /NE 7ORLD 4RUST POUR
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
PRÏPARER LE 'LOBAL !CCOUNTABILITY 2EPORT UNE ÏVALUATION DE LA RESPONSABILITÏ GLOBALE
DE STRUCTURES INTERNATIONALES ORGANISATIONS INTERGOUVERNEMENTALES ORGANISATIONS
NON GOUVERNEMENTALES ET ENTREPRISES TRANSNATIONALES
,E PROGRAMME DE VISITES DE L/#$% ACCUEILLE CHAQUE ANNÏE QUELQUE PERSONNES ISSUES
DE LA SOCIÏTÏ CIVILE DES MILIEUX UNIVERSITAIRES DES SYNDICATS ET DES GOUVERNEMENTS
$PNJUÊDPOTVMUBUJGÊDPOPNJRVFFUJOEVTUSJFM
BVQSÍTEFM0$%& #*"$
XXXCJBDPSH
CJBD!CJBDPSH
#VSFBVFYÊDVUJG
0RÏSIDENT #HARLES 0 (EETER ASSOCIÏ PRINCIPAL $ELOITTE 4OUCHE 53! ,,0
³TATS
5NIS
6ICE PRÏSIDENTS EORGE . !DDY ASSOCIÏ $AVIES 7ARD 0HILLIPS 6INEBERG ,,0
'
#ANADA 'UY DE 0ANAlEU CONSEILLER PRINCIPAL #ALYON &RANCE
,UDOLF VON 7ARTENBERG DIRECTEUR GÏNÏRAL ET MEMBRE DU #ONSEIL
EXÏCUTIF &ÏDÏRATION DE LINDUSTRIE ALLEMANDE "$) !LLEMAGNE
"RUNO ,AMBORGHINI VICE PRÏSIDENT /LIVETTI 3P! )TALIE
+EIKICHI (ONDA CONSEILLER SPÏCIAL .#2 *APAN ,TD *APON
%FHBVDIFÆESPJUF
*IN 2OY 2YU PRÏSIDENT DIRECTEUR GÏNÏRAL 0OONGSAN #ORPORATION -F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEFM0$%&
#ORÏE %RIK "ELFRAGE VICE PRÏSIDENT CONSEILLER Ì LA PRÏSIDENCE "OHFM(VSSÎB MF4FDSÊUBJSFHÊOÊSBM
3%" 3UÒDE EV#*"$ 5BEBIJSP"TBNJ FUMFQSÊTJEFOU
EV#*"$ $IBSMFT1)FFUFS MPSTEF
MBSÊVOJPOEF$PNNJTTJPOEFMJBJTPO
4FDSÊUBJSFHÊOÊSBM4ADAHIRO !SAMI EV#*"$FOEÊDFNCSF
$PNNJTTJPOTZOEJDBMFDPOTVMUBUJWF
BVQSÍTEFM0$%& 56"$
XXXUVBDPSH
UVBD!UVBDPSH
$PNJUÊEBENJOJTUSBUJPO
0RÏSIDENT *OHN 3WEENEY PRÏSIDENT DE L!MERICAN &EDERATION OF ,ABOR AND
#ONGRESS OF )NDUSTRIAL /RGANIZATIONS !&,
#)/ ³TATS
5NIS
6ICE PRÏSIDENTS UC #ORTEBEECK PRÏSIDENT DE LA #ONFÏDÏRATION DES SYNDICATS
,
CHRÏTIENS DE "ELGIQUE #3# "ELGIQUE 4SUYOSHI 4AKAGI PRÏSIDENT
DE LA #ONFÏDÏRATION DES SYNDICATS DU *APON 2%.'/ *APON
4INE !URVIG (UGGENBERGER VICE PRÏSIDENTE DE LA #ONFÏDÏRATION
DES SYNDICATS DU $ANEMARK ,/ $+ $ANEMARK %FHBVDIFÆESPJUF
-F4FDSÊUBJSFHÊOÊSBMEV56"$
+PIO&WBOT
FUMFQSÊTJEFOUEV56"$
+PIO4XFFOFZ
MPSTEFMBSÊVOJPO
BOOVFMMFEFTNJOJTUSFTEFM0$%&
4FDSÊUBJSFHÊOÊSBM*OHN %VANS FONBJ
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
13*/$*1"-&4"$5*7*54
3FMBUJPOTFYUÊSJFVSFTFUDPNNVOJDBUJPO
XXXPFDEPSHGPSVNGS
'PSVNEFM0$%& PFDEGPSVN!PFDEPSH
,E &ORUM DE L/#$% EST LOCCASION POUR DES REPRÏSENTANTS DES MILIEUX DAFFAIRES DES
POUVOIRS PUBLICS DES SYNDICATS DES UNIVERSITAIRES ET DE LA SOCIÏTÏ CIVILE DE DÏBATTRE SUR
LES QUESTIONS LES PLUS IMPORTANTES DE LAGENDA POLITIQUE )L CONSTITUE AUSSI LUN DES TEMPS
FORTS DE LA COMMUNICATION DE L/#$% AVEC LES PARTIES PRENANTES /UVERT AU PUBLIC LE
&ORUM SE TIENT JUSTE AVANT LA RÏUNION ANNUELLE DES MINISTRES DE L/#$%
0LUS DE PERSONNES VENUES DE PAYS ONT PARTICIPÏ AU &ORUM DE L/#$%
INTITULÏ i ³QUILIBRER LA MONDIALISATION w ,E 0REMIER MINISTRE GREC +OSTAS +ARAMANLIS QUI
PRÏSIDAIT LA RÏUNION MINISTÏRIELLE EST INTERVENU AU &ORUM ET LE MINISTRE DES &INANCES
ET DE L³CONOMIE 'EORGE !LOGOSKOUlS A RENDU COMPTE DES DÏBATS DU &ORUM LORS DE LA
RÏUNION MINISTÏRIELLE
,E &ORUM DE L/#$% i )NNOVATION CROISSANCE ET ÏQUITÏ w AURA LIEU Ì 0ARIS ET
CETTE ANNÏE ENCORE Ì LA MÐME PÏRIODE QUE LA RÏUNION ANNUELLE DES MINISTRES LES ET
MAI XXXPFDEPSHBQSPQPT
XXXPCTFSWBUFVSPDEFPSH
XXXPFDEPSHQVCMJDBUJPOTTZOUIFTFT
XFCNBTUFS!PFDEPSH
PCTFSWFS!PFDEPSH
*OGPSNFSMFHSBOEQVCMJD TVFLFOEBMMCJMJDLJ!PFDEPSH
,E MAGAZINE PUBLIC DE L/#$% ,/BSERVATEUR DE L/#$% LIVRE LES DONNÏES ET LES PERSPECTIVES
DE L/#$% AUPRÒS DUN LARGE LECTORAT )L EST TIRÏ Ì EXEMPLAIRES EN ET LE TRAlC EN
LIGNE DES VERSIONS ANGLAISE ET FRAN AISE SÏLÒVE Ì ENVIRON VISITES PAR MOIS 0ARMI
LES GRANDS DOSSIERS DE CETTE ANNÏE lGURENT UN NUMÏRO SPÏCIAL CONSACRÏ Ì LEAU PRÏPARÏ
Ì LOCCASION DU E &ORUM MONDIAL DE LEAU Ì -EXICO EN MARS AINSI QUUN NUMÏRO SPÏCIAL
SUR LÏNERGIE COMPRENANT LES CONTRIBUTIONS DE PLUSIEURS MINISTRES DE L/#$% /UTRE LES
EXPERTS DE L/RGANISATION L/BSERVATEUR A INVITÏ DE HAUTS RESPONSABLES GOUVERNEMENTAUX
Ì RÏDIGER DES ARTICLES NOTAMMENT LE 0REMIER MINISTRE GREC +OSTAS +ARAMANLIS ET LE
MINISTRE BRITANNIQUE DE LA &ORMATION PERMANENTE ET DE L%NSEIGNEMENT SUPÏRIEUR
"ILL 2AMMELL
,ES 3YNTHÒSES DE L/#$% OFFRENT UN RÏSUMÏ CLAIR ET CONCIS DES ENJEUX POLITIQUES MONDIAUX
ACTUELS ET DES EXAMENS ÏCONOMIQUES DE DIFFÏRENTS PAYS 0ARMI UN LARGE ÏVENTAIL DE THÒMES
TRAITÏS EN lGURENT LEAU LINVESTISSEMENT ET LE DÏVELOPPEMENT LA POLITIQUE RURALE ET
LA LUTTE CONTRE LA CYBERCRIMINALITÏ
,OUVERTURE ET LA TRANSPARENCE SONT INDISPENSABLES POUR GAGNER ET MAINTENIR LA CONlANCE
DU PUBLIC DANS LA COOPÏRATION MULTINATIONALE ET DANS LES CHOIX DACTION PUBLIQUE QUI EN
DÏCOULENT ° CET ÏGARD LE 2APPORT ANNUEL DE L/#$% EST UN INSTRUMENT CLÏ POUR EXPLIQUER
LA NATURE ET LACTION DE L/#$% %N SOMME CEST LA SEULE PUBLICATION QUI EN UN VOLUME
EMBRASSE LE TRAVAIL DE L/#$% DANS SON ENSEMBLE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
"HFODFJOUFSOBUJPOBMF
EFMÊOFSHJF XXXJFBPSH
JOGP!JFBPSH
,!GENCE INTERNATIONALE DE LÏNERGIE !)% CONSEILLE LES PAYS MEMBRES DE L/#$% SUR
LÏLABORATION DE POLITIQUES ÏNERGÏTIQUES QUI FAVORISENT LA SÏCURITÏ DES APPROVISIONNEMENTS
LE DÏVELOPPEMENT ÏCONOMIQUE ET LA VIABILITÏ DE LENVIRONNEMENT ,!)% GÒRE EN OUTRE UN
MÏCANISME POUVANT ÐTRE MIS EN UVRE Ì TOUT MOMENT POUR FAIRE FACE AUX PERTURBATIONS
DES APPROVISIONNEMENTS SUR LES MARCHÏS PÏTROLIERS !U COURS DE LANNÏE ÏCOULÏE LA
SÏCURITÏ ÏNERGÏTIQUE NA CESSÏ DÐTRE UNE GRANDE PRIORITÏ )L Y A EN EFFET LIEU DE CRAINDRE QUE
LES APPROVISIONNEMENTS EN ÏNERGIE NE SOIENT PAS SUFlSANTS lABLES ET Ì DES PRIX ABORDABLES
EN RAISON DE LA mAMBÏE DES PRIX DE LÏNERGIE DES CONTRAINTES AU NIVEAU DE LOFFRE DE
LA CROISSANCE ININTERROMPUE DE LA DEMANDE DE LAUGMENTATION DES IMPORTATIONS DES
TENSIONS POLITIQUES ET DE LA MONTÏE DES SENTIMENTS NATIONALISTES
#OMPTE TENU DE LACCÏLÏRATION RÏCENTE DE LA HAUSSE DES ÏMISSIONS DE GAZ Ì EFFET DE SERRE
LES APPELS Ì RÏDUIRE LES REJETS LIÏS Ì LA PRODUCTION ET Ì LA CONSOMMATION DÏNERGIE SE
SONT FAITS PLUS PRESSANTS 3UITE Ì LA DEMANDE FORMULÏE EN PAR LE ' DE CONTRIBUER
Ì LEXÏCUTION DU 0LAN DACTION DE 'LENEAGLES SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE LÏNERGIE
PROPRE ET LE DÏVELOPPEMENT DURABLE L!)% A COMMUNIQUÏ AU SOMMET DU ' TENU EN
JUILLET Ì 3AINT
0ÏTERSBOURG SES CONCLUSIONS SUR LES SCÏNARIOS TECHNOLOGIQUES
POSSIBLES LES MESURES DAMÏLIORATION DE LEFlCACITÏ ÏNERGÏTIQUE ET DAUTRES STRATÏGIES
DE LUTTE CONTRE LES ÏMISSIONS NOTAMMENT CELLE DU CHARBON PROPRE
,ES PAYS NON MEMBRES DE L/#$% AFlCHENT DES PROPORTIONS CROISSANTES DE LA DEMANDE
ET DES APPROVISIONNEMENTS ÏNERGÏTIQUES AINSI QUE DES ÏMISSIONS ³TANT DONNÏ QUE
LES DÏlS ÏNERGÏTIQUES TRANSCENDENT LES FRONTIÒRES IL EST DE PLUS EN PLUS URGENT DE
RENFORCER ET DINTENSIlER LA COOPÏRATION AVEC LES PAYS NON MEMBRES DE L!)% ,!GENCE
COLLABORE ACTIVEMENT AVEC LES PRINCIPAUX PAYS PRODUCTEURS ET CONSOMMATEURS DANS
LE CADRE DINITIATIVES ALLANT DE LA CONSTITUTION DE RÏSERVES PÏTROLIÒRES DURGENCE Ì LA
MISE EN PLACE DE RÏGIMES DÏCHANGES DE DROITS DÏMISSION
XXXPJMNBSLFUSFQPSUPSH
-FTNBSDIÊTEVQÊUSPMFFUMBTÊDVSJUÊEBQQSPWJTJPOOFNFOU PNS!JFBPSH
,A PUBLICATION DE L!)% INTITULÏE /IL -ARKET 2EPORT /-2 EST CONSIDÏRÏE COMME UNE
SOURCE DE RÏFÏRENCE POUR SE PROCURER DES ANALYSES DES DONNÏES ET DES BILANS SUR
LES MARCHÏS PÏTROLIERS MONDIAUX %LLE COUVRE LES APPROVISIONNEMENTS MONDIAUX
LA DEMANDE LES STOCKS DES PAYS DE L/#$% LACTIVITÏ DE RAFFINAGE LE TRANSPORT
DHYDROCARBURES PAR PÏTROLIERS ET LES PRIX #E RAPPORT MENSUEL EST ACCESSIBLE Ì LA
PRESSE ET AUX ABONNÏS DÒS SA PUBLICATION ET AU PUBLIC DEUX SEMAINES PLUS TARD SUR LE
SITE )NTERNET DE L/-2 #E SITE CONTIENT EN OUTRE PLUS DE GRAPHIQUES ET TABLEAUX
SUR LES MARCHÏS PÏTROLIERS ,E 3ERVICE DE DONNÏES MENSUELLES SUR LE PÏTROLE ASSURE LA
DIFFUSION DE DONNÏES VENTILÏES PAR PRODUIT ET PAR PAYS EN CE QUI CONCERNE LA DEMANDE -&4"7*&;7064
AINSI QUE PAR GISEMENT POUR LES APPROVISIONNEMENTS %N JUILLET L!)% A LANCÏ LA &O
MFTEFVYUJFSTEFMBVHNFOUBUJPO
PUBLICATION SEMESTRIELLE -EDIUM 4ERM /IL -ARKET 2EPORT EFMBEFNBOEFEFQÊUSPMFQSPWFOBJFOU
EV.PZFO0SJFOUFUEFMB$IJOF
OFSHJFFUDIBOHFNFOUDMJNBUJRVF
,!)% ANALYSE ET PROPOSE DES MESURES Ì INTÏGRER DANS LES POLITIQUES CLIMATIQUES
POUR TOUT UN ÏVENTAIL DE DOMAINES DEPUIS LES RÏPERCUSSIONS DES ÏCHANGES DE DROITS
DÏMISSION DE #/ SUR LA COMPÏTITIVITÏ JUSQUAUX LIENS ENTRE LA SÏCURITÏ ÏNERGÏTIQUE ET
LES OBJECTIFS DES POLITIQUES CLIMATIQUES EN PASSANT PAR LE RÙLE DES POLITIQUES DEFlCACITÏ
ÏNERGÏTIQUE 0ARMI LES TRAVAUX DE L!)% SUR LE 0LAN DACTION DE 'LENEAGLES DU ' lGURENT
DES ANALYSES DE LEFlCACITÏ ÏNERGÏTIQUE DANS LES SECTEURS Ì UTILISATION lNALE Ì SAVOIR
LES BÊTIMENTS LES APPAREILS ÏLECTROMÏNAGERS LINDUSTRIE ET LE SECTEUR DES TRANSPORTS
TERRESTRES ,A PUBLICATION INTITULÏE ,IGHTS ,ABOURS ,OST ÏTUDIE LES POLITIQUES EN FAVEUR
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"*&
DE LÏCLAIRAGE Ì FAIBLE CONSOMMATION DÏNERGIE TANDIS QUE LOUVRAGE /PTIMISING 2USSIAN
.ATURAL 'AS ÏVALUE LES MOYENS DE RÏDUIRE LE TORCHAGE DU GAZ QUI FONT ÏGALEMENT BAISSER
LES ÏMISSIONS DE GAZ Ì EFFET DE SERRE ET AUGMENTER LES VOLUMES DE GAZ DISPONIBLES
,ÏDITION DE LA PUBLICATION 7ORLD %NERGY /UTLOOK DE L!)% PRÏSENTE DES PRÏVISIONS
ÏNERGÏTIQUES MONDIALES JUSQUEN ET ATTIRE LATTENTION SUR LE SCÏNARIO DE
RÏFÏRENCE FONDÏ SUR LHYPOTHÒSE DE POLITIQUES INCHANGÏES EU ÏGARD Ì LA DEMANDE
AUX APPROVISIONNEMENTS Ì LINVESTISSEMENT ET AUX ÏMISSIONS DE #/ #ETTE ÏDITION
COMPORTE DES CHAPITRES SPÏCIALEMENT AXÏS SUR LES RÏPERCUTIONS MACROÏCONOMIQUES
DES PRIX ÏLEVÏS DE LÏNERGIE DES BIOCARBURANTS DE LÏNERGIE NUCLÏAIRE ET LE "RÏSIL ELLE
MET AUSSI EN RELIEF UN SCÏNARIO DE POLITIQUES ALTERNATIVES DÏMONTRANT QUE LAVENIR
ÏNERGÏTIQUE DE LA PLANÒTE POURRAIT SAMÏLIORER SI LES GOUVERNEMENTS DU MONDE ENTIER
METTAIENT EN UVRE LES POLITIQUES ET LES MESURES ACTUELLEMENT ENVISAGÏES
MFDUSJDJUÊFUHB[
,!)% A LANCÏ EN LA PREMIÒRE ÏDITION DUNE PUBLICATION ANNUELLE INTITULÏE $FUUFÊEJUJPOQSÊTFOUFEFVYWJTJPOT
GVUVSFTEFMÊOFSHJFMVOFPCTPMÍUF
'AS -ARKET 2EVIEW QUI BROSSE UN PANORAMA GÏNÏRAL DES ÏVOLUTIONS DU MARCHÏ MONDIAL
WVMOÊSBCMFFUQPMMVBOUF
MBVUSF
DU GAZ NATUREL DICI Ì ,ES TRAVAUX DANALYSE PORTANT SUR LA RÏFORME DES MARCHÏS QSPQSF
JOUFMMJHFOUFFUDPNQÊUJUJWF
SE POURSUIVENT AU FUR ET Ì MESURE QUE LA LIBÏRALISATION DE CES DERNIERS PROGRESSE DANS &MMFQSPQPTFBVTTJEFTBOBMZTFTTVS
LES SECTEURS DU GAZ ET DE LÏLECTRICITÏ $EUX PUBLICATIONS ,EARNING FROM THE "LACKOUTS ET MBIBVTTFEFTQSJYEFMÊOFSHJF
MFT
,ESSONS FROM ,IBERALISED %LECTRICITY -ARKETS SINSPIRENT DE LEXPÏRIENCE ACQUISE Ì CE JOUR JOWFTUJTTFNFOUTQÊUSPMJFSTFU
,A lABILITÏ DES APPROVISIONNEMENTS ÏLECTRIQUES ET LA SÏCURITÏ DES APPROVISIONNEMENTS HB[JFST
MÊOFSHJFOVDMÊBJSF
MFT
CJPDBSCVSBOUT
MFTDPNCVTUJCMFT
GAZIERS CONTINUENT Ì FAIRE PARTIE DES PRIORITÏS VISÏES
VUJMJTÊTBVRVPUJEJFOFUMF#SÊTJM
5FDIOPMPHJFEFMÊOFSHJF
,!)% MET EN AVANT CE QUE LA TECHNOLOGIE DE LÏNERGIE PEUT APPORTER POUR PRÏSERVER LA
SÏCURITÏ ÏNERGÏTIQUE ET LIMITER LES ÏMISSIONS DE GAZ Ì EFFET DE SERRE ,ÏTUDE APPROFONDIE
INTITULÏE %NERGY 4ECHNOLOGY 0ERSPECTIVES ÏLABORÏE POUR DONNER SUITE AU 0LAN DACTION
DE 'LENEAGLES DU ' PRÏSENTE DES SCÏNARIOS PERMETTANT DE RAMENER LES ÏMISSIONS
DE #/ Ì LEURS NIVEAUX DE Ì LHORIZON EN METTANT Ì PROlT UN ENSEMBLE DE
TECHNOLOGIES ACTUELLES ET NOUVELLES 1UANT Ì LA PUBLICATION 0ROSPECTS FOR (YDROGEN AND -&4"7*&;7064
&UEL #ELLS ELLE ÏVALUE LE POTENTIEL FUTUR DE CERTAINES TECHNOLOGIES SPÏCIlQUES $IBRVFBOOÊF
MFTQSPCMÍNFTEF
TBOUÊMJÊTÆMVUJMJTBUJPOEFCJPNBTTF
3FMBUJPOTBWFDMFTQBZTOPONFNCSFTEFM"*& USBEJUJPOOFMMFDPNNFDPNCVTUJCMF
DBVTFOUEBWBOUBHFEFEÊDÍTRVF
,!)% RENFORCE SES LIENS AVEC LA #HINE L)NDE LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE ET TOUS LES PAYS MBNBMBSJB
DE L!SIE DU 3UD
%ST PAR DES EFFORTS DE COLLABORATION NOTAMMENT TECHNOLOGIQUE ,E
RAPPORT #HINAS 0OWER 3ECTOR 2EFORMS EXAMINE LA POLITIQUE CHINOISE DANS LE SECTEUR
DE LÏLECTRICITÏ ,!)% A ÏGALEMENT PUBLIÏ EN OCTOBRE UN EXAMEN DE LA POLITIQUE
ÏNERGÏTIQUE DE L5KRAINE DANS LE CADRE DE SES EFFORTS DE RENFORCEMENT DES CAPACITÏS
EN MATIÒRE DE POLITIQUE ÏNERGÏTIQUE DE TOUS LES PAYS DE LEX
5NION SOVIÏTIQUE
D%UROPE CENTRALE ET ORIENTALE ,!)% EST MEMBRE DU CONSEIL EXÏCUTIF DU 3ECRÏTARIAT
DU &ORUM INTERNATIONAL DE LÏNERGIE ET JOUE UN RÙLE ESSENTIEL DANS LE DIALOGUE ENTRE
PAYS PRODUCTEURS ET CONSOMMATEURS
4UBUJTUJRVFTEFMÊOFSHJF TUBUT!JFBPSH
,!)% RESTE LA RÏFÏRENCE MONDIALE POUR LA QUALITÏ LEXHAUSTIVITÏ ET LACTUALITÏ DE SES
DONNÏES SUR LÏNERGIE %LLE CON OIT DES OUTILS POUR FACILITER LA PRÏPARATION ET LA MISE Ì
DISPOSITION DE STATISTIQUES lABLES DANS LE MONDE ENTIER CE QUI LUI PERMET DE MIEUX
FAIRE CONNAÔTRE LES STATISTIQUES ÏNERGÏTIQUES DANS LES ADMINISTRATIONS NATIONALES
%NRICHIR LES COMPÏTENCES ET LEXPÏRIENCE DES STATISTICIENS DE LÏNERGIE ET RECONSTRUIRE
LA MÏMOIRE INSTITUTIONNELLE DE LORGANISATION SONT DES PRIORITÏS DE PREMIER PLAN ,A
i *OINT /IL $ATA )NITIATIVE w */$) CRÏÏE Ì LINITIATIVE DE SIX ORGANISATIONS INTERNATIONALES
SOUS LIMPULSION INITIALE DE L!)% A PERMIS DATTIRER LATTENTION DES MINISTRES ET DES
ACTEURS DU MARCHÏ SUR LIMPORTANCE QUE REVÐTENT DES STATISTIQUES lABLES Ì JOUR ET
COMPLÒTES POUR SUIVRE LÏVOLUTION DU MARCHÏ PÏTROLIER
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
"HFODFQPVSMÊOFSHJF
OVDMÊBJSF XXXOFBGS
OFB!OFBGS
,!GENCE POUR LÏNERGIE NUCLÏAIRE !%. EST UNE AGENCE SPÏCIALISÏE DE L/#$% %LLE A
POUR MISSION DAIDER SES PAYS MEMBRES Ì MAINTENIR ET Ì DÏVELOPPER PAR LINTERMÏDIAIRE
DE LA COOPÏRATION INTERNATIONALE LES BASES SCIENTIlQUES TECHNOLOGIQUES ET JURIDIQUES
INDISPENSABLES Ì UNE UTILISATION SßRE RESPECTUEUSE DE LENVIRONNEMENT ET ÏCONOMIQUE
DE LÏNERGIE NUCLÏAIRE Ì DES lNS PACIlQUES 3ES PAYS MEMBRES EN %UROPE EN
!MÏRIQUE DU .ORD ET DANS LA RÏGION !SIE
0ACIlQUE REPRÏSENTENT ENVIRON DE LA
PUISSANCE DE PRODUCTION ÏLECTRONUCLÏAIRE INSTALLÏE DANS LE MONDE
,ES TRAVAUX ET LES ACTIVITÏS DE COLLABORATION DE L!%. PORTENT SUR LES DOMAINES
SUIVANTS SßRETÏ ET RÏGLEMENTATION NUCLÏAIRES GESTION DES DÏCHETS RADIOACTIFS
PROTECTION RADIOLOGIQUE ET SANTÏ PUBLIQUE SCIENCES NUCLÏAIRES ÏCONOMIE RESSOURCES
ET TECHNOLOGIE NUCLÏAIRES ET AFFAIRES JURIDIQUES ,!GENCE PUBLIE CHAQUE ANNÏE PRÒS
DE OUVRAGES SUR CES SUJETS DONT LA PLUPART PEUVENT ÐTRE TÏLÏCHARGÏS GRATUITEMENT
DU SITE )NTERNET DE L!%.
6OBQQSPWJTJPOOFNFOUFOÊOFSHJFTÚSFUEVSBCMF
,ÏNERGIE NUCLÏAIRE OCCUPE UNE PLACE PRIVILÏGIÏE EN TANT QUE SOURCE DÏNERGIE PROPRE
CAR ELLE NE PRODUIT POUR AINSI DIRE PAS DÏMISSIONS DE #/ RESPONSABLES DU CHANGEMENT
CLIMATIQUE ,ES RESSOURCES EXISTENT EN QUANTITÏS SUFlSANTES POUR ALIMENTER LES
CENTRALES NUCLÏAIRES PENDANT DES CENTAINES VOIRE DES MILLIERS DANNÏES EN FONCTION
DES TECHNOLOGIES UTILISÏES %N OUTRE LA MOITIÏ DE LA PRODUCTION MONDIALE DURANIUM
PROVIENT DES PAYS MEMBRES DE L/#$% !USTRALIE ET #ANADA
,ENSEMBLE DES AUTORITÏS DE SßRETÏ ET DES EXPLOITANTS ONT POUR OBJECTIF PRIORITAIRE -&4"7*&;7064
DE FAIRE EN SORTE QUE LES CENTRALES NUCLÏAIRES FONCTIONNENT DE FA ON SßRE #EST DANS -FTSFTTPVSDFTFOVSBOJVNQFVWFOU
CETTE OPTIQUE QUE L!%. A PROCÏDÏ Ì UN EXAMEN INTERNATIONAL PAR LES PAIRS DUN SÊQPOESFÆOPTCFTPJOTQFOEBOUEFT
DFOUBJOFT
WPJSFEFTNJMMJFSTEBOOÊFT
INCIDENT SURVENU EN %SPAGNE ,ES CONCLUSIONS ONT ÏTÏ PUBLIÏES DANS LOUVRAGE INTITULÏ
,EARNING FROM .UCLEAR 2EGULATORY 3ELF
!SSESSMENT ,A SßRETÏ NUCLÏAIRE SERA ÏGALEMENT AU
CENTRE DU &ORUM i SßRETÏ ET RÏGLEMENTATION w DE L!%. EN JUIN
5NE SOLUTION ÏCONOMIQUE POUR ASSURER LA TRANSITION ENTRE LES SYSTÒMES ÏNERGÏTIQUES
DAUJOURDHUI ET DE DEMAIN ET EN PÏRIODE DE DEMANDE CROISSANTE DÏNERGIE CONSISTE
Ì PROLONGER LA DURÏE DE VIE DES CENTRALES NUCLÏAIRES ,E PLUS SOUVENT LES CENTRALES
ACTUELLEMENT EN SERVICE ONT ÏTÏ CON UES POUR DURER ANS DURÏE DE VIE QUE LON
PEUT PORTER GÏNÏRALEMENT Ì ANS EN TOUTE SÏCURITÏ ,A PUBLICATION DE L!%. 'ESTION
ET PROLONGATION DE LA DURÏE DE VIE DES CENTRALES NUCLÏAIRES EXPLIQUE POURQUOI
,ES TRAVAUX RÏCENTS DE L!%. EN RADIOPROTECTION RESTENT AXÏS SUR LE FUTUR SYSTÒME
INTERNATIONAL DE PROTECTION RADIOLOGIQUE NOTAMMENT EN CONTRIBUANT Ì LÏLABORATION
DES FUTURES RECOMMANDATIONS DE LA #OMMISSION INTERNATIONALE DE PROTECTION
RADIOLOGIQUE #)02 %N TROIS CONFÏRENCES RÏGIONALES ORGANISÏES PAR L!%. ONT
PERMIS DE RÏALISER DIMPORTANTES AVANCÏES DANS CE PROCESSUS
(FTUJPOEFTEÊDIFUTSBEJPBDUJGTFUEÊNBOUÍMFNFOU
,!%. A ÏTÏ PARTICULIÒREMENT ACTIVE DANS CE DOMAINE AU COURS DE LANNÏE PASSÏE $ES
EXPERTS INTERNATIONAUX ONT ÏTUDIÏ ET ANALYSÏ DIFFÏRENTS CYCLES DU COMBUSTIBLE AlN
DEN ÏVALUER LES RÏPERCUSSIONS QUALITATIVES ET QUANTITATIVES SUR LES PERFORMANCES DE
PLUSIEURS CONCEPTS DE STOCKAGE DES DÏCHETS RADIOACTIFS ,EURS CONCLUSIONS PUBLIÏES
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"&/
DANS LOUVRAGE #YCLES DU COMBUSTIBLE NUCLÏAIRE AVANCÏS ET GESTION DES DÏCHETS RADIOACTIFS
DÏMONTRENT QUE LES CYCLES DU COMBUSTIBLE AVANCÏS OFFRENT PLUSIEURS OPTIONS
STRATÏGIQUES POUR LA GESTION DES RESSOURCES EN URANIUM ET LOPTIMISATION DES SITES
ET DES CAPACITÏS DE STOCKAGE DES DÏCHETS TOUT EN GARDANT PRATIQUEMENT CONSTANTS
LIMPACT RADIOLOGIQUE DES STOCKAGES ET LE POIDS lNANCIER DE LENSEMBLE DU CYCLE DU
COMBUSTIBLE
5N EXAMEN INTERNATIONAL PAR LES PAIRS DU i $OSSIER !RGILE w PORTANT SUR LE
STOCKAGE DES DÏCHETS DANS LA FORMATION DU #ALLOVO
/XFORDIEN EN &RANCE A ÏTÏ PUBLIÏ
SOUS LE TITRE 3ßRETÏ DU STOCKAGE GÏOLOGIQUE DES DÏCHETS RADIOACTIFS (!6, EN &RANCE ,!%. A
PROCÏDÏ Ì UN AUTRE EXAMEN PAR LES PAIRS RELATIF Ì ,A 2 $ EN &RANCE SUR LA SÏPARATION ET
LA TRANSMUTATION DES RADIONUCLÏIDES Ì VIE LONGUE #ES DEUX EXAMENS ONT ÏTÏ MENÏS DANS
LE CADRE DU RAPPORT QUE LE GOUVERNEMENT FRAN AIS DEVAIT PRÏSENTER AU 0ARLEMENT AU
TITRE DE LA LOI "ATAILLE DE
5NE CONFÏRENCE INTERNATIONALE MAJEURE CONSACRÏE Ì LAMÏNAGEMENT DE DÏPÙTS DES
DÏCHETS DANS DES FORMATIONS GÏOLOGIQUES SE TIENDRA Ì "ERNE EN OCTOBRE ET
PERMETTRA DE DISCUTER DE SON ÏVOLUTION
%NlN LE DÏMANTÒLEMENT SINTENSIlE DANS DE NOMBREUX PAYS MEMBRES Ì MESURE
QUAUGMENTE LE NOMBRE DE CENTRALES EN lN DE VIE 0OUR RÏPONDRE AUX BESOINS DES PAYS
MEMBRES DANS CE DOMAINE L!%. VIENT DE PUBLIER TROIS RAPPORTS #HOISIR DES STRATÏGIES
DE DÏMANTÒLEMENT DES INSTALLATIONS NUCLÏAIRES &INANCEMENT DU DÏCLASSEMENT ÏTHIQUE MISE
EN UVRE ET INCERTITUDES ET ,IBÏRATION DES SITES DES INSTALLATIONS NUCLÏAIRES
*OJUJBUJWFTJOUFSOBUJPOBMFTQPVSQSÊQBSFSMBWFOJSEVOVDMÊBJSF
,!%. CONTINUE Ì ASSURER LE SECRÏTARIAT TECHNIQUE DU &ORUM INTERNATIONAL
'ÏNÏRATION )6 ')& Oá SONT ÏTUDIÏS LES SYSTÒMES NUCLÏAIRES DE DEMAIN ET LES PROGRÒS
NÏCESSAIRES POUR EN ASSURER LE DÏPLOIEMENT Ì LHORIZON 3IX PAYS ET %URATOM Y
PARTICIPENT ACTIVEMENT Ì CE JOUR ,A &ÏDÏRATION DE 2USSIE ET LA #HINE ONT MANIFESTÏ
UN GRAND INTÏRÐT POUR CE PROGRAMME ET ONT RÏCEMMENT SIGNÏ LA CHARTE DU &ORUM
,ES PREMIERS RÏSULTATS MONTRENT DÏJÌ QUUN PROTOTYPE DE RÏACTEUR RAPIDE REFROIDI AU
SODIUM LUN DES SIX SYSTÒMES QUE LON ENVISAGE DE DÏVELOPPER POURRAIT FONCTIONNER
VERS
%N OUTRE lN L!%. A ÏTÏ CHOISIE PAR DIX PAYS POUR ASSURER LE SECRÏTARIAT TECHNIQUE -&4"7*&;7064
DE LÏTAPE DU -ULTINATIONAL $ESIGN %VALUATION 0ROGRAMME -$%0 n 0ROGRAMME -ÊMFDUSJDJUÊOVDMÊBJSFFTUQBSGPJT
MULTINATIONAL DÏVALUATION DES CONCEPTIONS #E PROGRAMME A POUR BUT DE METTRE EN NPJOTDIÍSFRVFDFMMFQSPEVJUF
ÆMBGPJTQBSMFTDFOUSBMFTÆDIBSCPO
COMMUN LES RESSOURCES ET LES CONNAISSANCES ACCUMULÏES PAR LES AUTORITÏS DE SßRETÏ
FUÆHB[
NUCLÏAIRE NATIONALES LORSQUELLES ÏVALUENT LES NOUVELLES CONCEPTIONS DE RÏACTEUR EN
VUE DAMÏLIORER Ì LA FOIS LEFlCACITÏ ET LEFlCIENCE DE LA PROCÏDURE /N ESPÒRE OBTENIR
EN LES PREMIERS RÏSULTATS DE LÏTAPE NOTAMMENT POUR CE QUI EST DES SYSTÒMES
DE CONTRÙLE COMMANDE ET DES PRESCRIPTIONS RELATIVES AUX ACCIDENTS ET AUX SYSTÒMES
DURGENCE DE REFROIDISSEMENT DU CUR
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
$POGÊSFODFFVSPQÊFOOF XXXDFNUPSHJOEFYGSIUN
EFTNJOJTUSFTEFT5SBOTQPSUT XXXPFDEPSHUSBOTQPSU
FDNUDPOUBDU!PFDEPSH
$FOUSFDPOKPJOU0$%&$&.5
EFSFDIFSDIFTVSMFTUSBOTQPSUT
,A #ONFÏRENCE EUROPÏENNE DES MINISTRES DES 4RANSPORTS #%-4 EST UNE ORGANISATION
INTERGOUVERNEMENTALE QUI PERMET AUX MINISTRES RESPONSABLES DES TRANSPORTS TERRESTRES
DE COOPÏRER DANS LE DOMAINE DE LÏLABORATION DES POLITIQUES ,A #%-4 COMPTE PAYS
MEMBRES AINSI QUE PAYS MEMBRES ASSOCIÏS ET PAYS OBSERVATEUR %LLE EST RATTACHÏE
ADMINISTRATIVEMENT Ì L/#$% ET PARTICIPE Ì DE NOMBREUSES ACTIVITÏS MENÏES AU SEIN
DE L/RGANISATION ,A #%-4 UVRE POUR METTRE EN PLACE UN SYSTÒME DE TRANSPORTS
EFlCACE ET RESPECTUEUX DES NORMES DENVIRONNEMENT ET DE SÏCURITÏ %LLE RÏmÏCHIT
ÏGALEMENT AUX ÏVOLUTIONS Ì LONG TERME DANS LE SECTEUR DES TRANSPORTS NOTAMMENT
AUX RÏPERCUSSIONS DUNE MONDIALISATION ACCRUE ,E #ENTRE CONJOINT /#$%
#%-4 DE
RECHERCHE SUR LES TRANSPORTS RENFORCE CES ACTIVITÏS
3ÊVOJPONJOJTUÊSJFMMF
° LOCCASION DE LEUR RÏUNION Ì $UBLIN EN MAI LES MINISTRES DES 4RANSPORTS ONT
APPROUVÏ LA CRÏATION DU &ORUM INTERNATIONAL DES TRANSPORTS QUI SERA COMPOSÏ DUN
GROUPE BEAUCOUP PLUS LARGE DE PAYS MEMBRES ,ES MEMBRES FONDATEURS DU &ORUM SONT
TOUS LES PAYS MEMBRES ET MEMBRES ASSOCIÏS DE LA #%-4 )L EST ÏGALEMENT PRÏVU QUE
DAUTRES PAYS Y PARTICIPENT Ì LAVENIR #E &ORUM ANNUEL PERMETTRA AUX MINISTRES DES
4RANSPORTS DE DÏBATTRE DE THÒMES DIMPORTANCE STRATÏGIQUE ET DE PORTÏE MONDIALE
CONCERNANT TOUS LES MODES DE TRANSPORT ET COMPTERA SUR LA PARTICIPATION DACTEURS
NON GOUVERNEMENTAUX DE PREMIER PLAN )L A POUR OBJECTIF DATTIRER LATTENTION DE
PERSONNALITÏS INmUENTES AU NIVEAU INTERNATIONAL SUR LE RÙLE ESSENTIEL QUE JOUENT LES
TRANSPORTS DANS LÏCONOMIE ET LA SOCIÏTÏ TOUT EN FACILITANT LINTÏGRATION DES TRANSPORTS
ET DE LA LOGISTIQUE DANS LES GRANDS PROCESSUS DÏLABORATION DES POLITIQUES
5SBOTQPSUTFUFOWJSPOOFNFOU
5N RAPPORT SUR LÏTAT DAVANCEMENT DE LA MISE EN UVRE DES RECOMMANDATIONS DE
RELATIVES AUX RÏDUCTIONS DES ÏMISSIONS DE #/ DES VOITURES NEUVES A ÏTÏ SOUMIS AUX
MINISTRES ,ES MESURES LES PLUS EFlCACES SEMBLENT ÐTRE CELLES QUI VISENT Ì RÏDUIRE LA
CONSOMMATION DE CARBURANT DES VÏHICULES ,ES MINISTRES ONT ACCEPTÏ DACCORDER LA -FTBDDJEFOUTEFMBSPVUFTPOUMB
PRIORITÏ Ì CES MESURES RELATIVEMENT PEU COßTEUSES ET POURTANT PLUS EFlCACES AU LIEU QSFNJÍSFDBVTFEFNPSUBMJUÊQBSNJ
DE SORIENTER VERS DES OPTIONS PLUS ONÏREUSES Ì LIMPACT PLUS LIMITÏ )LS ONT ÏGALEMENT MFTKFVOFTEFBOTEBOTMFT
QBZTEFM0$%&$FSBQQPSUEPOOF
CHOISI DE PRIVILÏGIER DES POLITIQUES TELLES QUE LA TAXATION DES VÏHICULES EN FONCTION DES
VOFWVFEFOTFNCMFEVSJTRVF
ÏMISSIONS DE #/ LA RÏGLEMENTATION DE LEFlCACITÏ ÏNERGÏTIQUE DES PNEUS ET DAUTRES QSPQSFBVYKFVOFTDPOEVDUFVST
COMPOSANTES DES VÏHICULES LINSTALLATION DE SYSTÒMES EMBARQUÏS DAUTO
ÏVALUATION EFTFTQSJODJQBMFTDBVTFTFUEFT
DE LA CONDUITE ET LAMÏLIORATION DE LA GESTION DES mOTTES DE VÏHICULES NPZFOTDPODSFUTEFTZBUUBRVFS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
$&.5
5SBOTQPSUTVSCBJOTEVSBCMFT
,ES MINISTRES ONT ÏGALEMENT EXAMINÏ LES OBSTACLES Ì LA MISE EN UVRE DES POLITIQUES
DE TRANSPORTS URBAINS DURABLES ET ONT RECENSÏ LES MOYENS LES PLUS EFlCACES DAGIR AU
NIVEAU GOUVERNEMENTAL )LS ONT AFlRMÏ QUE LES ADMINISTRATIONS NATIONALES DOIVENT
APPORTER LEUR AIDE AUX AUTORITÏS LOCALES OU RÏGIONALES AU FUR ET Ì MESURE QUE CELLES
CI
ÏLABORENT DES STRATÏGIES DE TRANSPORTS URBAINS DURABLES LES ÏVALUENT ET PROCÒDENT AU
SUIVI DES RÏSULTATS OBTENUS
4ÊDVSJUÊSPVUJÍSF
%N DÏPIT DUN CERTAIN NOMBRE DÏVOLUTIONS POSITIVES LOBJECTIF VISANT Ì RÏDUIRE DE MOITIÏ
LA MORTALITÏ ROUTIÒRE DANS LA PÏRIODE COMPRISE ENTRE ET NE SERA PAS ATTEINT
SI LES TENDANCES ACTUELLES PERSISTENT 5N RAPPORT PRÏSENTÏ AUX MINISTRES PROPOSE DES
ACTIONS Ì MENER EN PRIORITÏ AlN QUE CET OBJECTIF REDEVIENNE RÏALISABLE .OMBRE DE CES
ACTIONS SONT DÏCRITES DANS LES OUVRAGES PARUS EN INTITULÏS ,A GESTION DE LA VITESSE
ET *EUNES CONDUCTEURS LA VOIE DE LA SÏCURITÏ
XXXDFNUPSHKUSDJOEFYGSIUN
3FDIFSDIFTVSMFTUSBOTQPSUT KUSDDPOUBDU!PFDEPSH
,E #ENTRE CONJOINT /#$%
#%-4 DE RECHERCHE SUR LES TRANSPORTS UVRE POUR LE
DÏVELOPPEMENT ÏCONOMIQUE ET CONTRIBUE AUX AMÏLIORATIONS STRUCTURELLES DES PAYS
DE L/#$% ET DE LA #%-4 Ì LA FAVEUR DES PROGRAMMES DE RECHERCHE EN COOPÏRATION
SUR LES TRANSPORTS
,ES THÒMES TRAITÏS EN PORTAIENT NOTAMMENT SUR LA CONGESTION DE LA CIRCULATION
DANS LES RÏGIONS MÏTROPOLITAINES ET SUR LINVESTISSEMENT DANS LES INFRASTRUCTURES DE
TRANSPORT #ITONS AUSSI DAUTRES TRAVAUX DE RECHERCHE SUR LES OBJECTIFS AMBITIEUX Ì
REMPLIR EN MATIÒRE DE SÏCURITÏ ROUTIÒRE ,ES EXAMENS PAR LES PAIRS DES PERFORMANCES
NATIONALES EN MATIÒRE DE SÏCURITÏ ROUTIÒRE ONT DONNÏ UN APER U DES PRINCIPAUX
PROBLÒMES CONSTATÏS ET DES PROGRÒS RÏALISÏS DANS LE SENS DES OBJECTIFS DE SÏCURITÏ
ROUTIÒRE DANS PAYS MEMBRES
%N OCTOBRE LE #ENTRE A ORGANISÏ LE E 3YMPOSIUM SUR LÏCONOMIE DES TRANSPORTS
ET LA POLITIQUE Ì "ERLIN !CCUEILLI PAR LE MINISTÒRE FÏDÏRAL ALLEMAND DES 4RANSPORTS DE
LA #ONSTRUCTION ET DES !FFAIRES URBAINES CE 3YMPOSIUM A OFFERT UN LIEU DE RENCONTRE
POUR ÏTUDIER LE RÙLE DU SECTEUR DES TRANSPORTS DANS LA COOPÏRATION ÏCONOMIQUE
INTERNATIONALE
XXXDFNUPSHTUBUDPOKPODU
4UBUJTUJRVFT XXXDFNUPSHPOMJOFHMPTTBSJFT
,A #%-4 PRODUIT DES STATISTIQUES ANNUELLES SUR LES TENDANCES OBSERVÏES DANS LE SECTEUR
DES TRANSPORTS AINSI QUE DES STATISTIQUES ANNUELLES SUR LES ACCIDENTS DE LA ROUTE
%LLE GÒRE ÏGALEMENT UNE BASE DE DONNÏES SUR LÏVOLUTION Ì COURT TERME DU SECTEUR
-&4"7*&;7064
DES TRANSPORTS TERRESTRES MISE Ì JOUR TOUS LES TRIMESTRES ,A COLLECTE DE DONNÏES -BNPSUBMJUÊSPVUJÍSFEBOT
SUR LINVESTISSEMENT EN INFRASTRUCTURES DE TRANSPORTS EST EN TRAIN DÐTRE MODIlÏE MFTQBZTE&VSPQFPDDJEFOUBMF
ET LA #%-4 PUBLIERA DÏSORMAIS DES DONNÏES TOUS LES ANS AU LIEU DE LE FAIRE TOUS LES NFNCSFTEFMB$&.5CBJTTFUPVT
CINQ ANS MFTBOTEFQVJT
QFSNFUUBOU
BJOTJEFTBVWFSQMVT
,A #%-4 A ÏGALEMENT PRÏPARÏ EN COLLABORATION AVEC %UROSTAT ET LA #OMMISSION EFWJFTIVNBJOFT
ÏCONOMIQUE DES .ATIONS UNIES POUR L%UROPE UNE VERSION ÏLECTRONIQUE DU QUESTIONNAIRE
COMMUN UTILISÏ POUR RECUEILLIR DES STATISTIQUES DE TRANSPORT ,ES DÏlNITIONS DES
TERMES STATISTIQUES EMPLOYÏS SONT RÏGULIÒREMENT MISES Ì JOUR ET PARAISSENT DANS LE
'LOSSAIRE DES STATISTIQUES DE TRANSPORT DISPONIBLE EN LIGNE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
-BMVUUFDPOUSF
MFCMBODIJNFOUEFDBQJUBVYFU
MFàOBODFNFOUEVUFSSPSJTNF XXXGBUGHBàPSH
DPOUBDU!GBUGHBàPSH
,E 'ROUPE DACTION lNANCIÒRE '!&) EST UN ORGANISME INTERNATIONAL QUI A POUR
MISSION DÏLABORER ET DE PROMOUVOIR DES MESURES QUI PEUVENT ÐTRE PRISES PAR LES
POUVOIRS PUBLICS POUR PRÏMUNIR LE SYSTÒME lNANCIER MONDIAL CONTRE LE BLANCHIMENT DE
CAPITAUX ET LE lNANCEMENT DU TERRORISME ,ES 2ECOMMANDATIONS ÏDICTÏES PAR LE '!&)
CONTIENNENT DES MESURES RELEVANT DE LA JUSTICE PÏNALE ET DE LA RÏGLEMENTATION QUE LES
AUTORITÏS NATIONALES DEVRAIENT METTRE EN UVRE POUR LUTTER CONTRE CE PHÏNOMÒNE #ES
2ECOMMANDATIONS PRÏCONISENT ÏGALEMENT LA COOPÏRATION INTERNATIONALE ET INCITENT LES
INSTITUTIONS lNANCIÒRES ET DAUTRES ACTEURS TELS QUE LES CASINOS LES AGENTS IMMOBILIERS
LES AVOCATS OU LES COMPTABLES Ì PRENDRE DES MESURES PRÏVENTIVES EN LA MATIÒRE ,ES
2ECOMMANDATIONS DU '!&) SONT RECONNUES COMME LA RÏFÏRENCE MONDIALE DES MESURES
DE LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT ET LE lNANCEMENT DU TERRORISME
,E '!&) POURSUIT ACTUELLEMENT LE TROISIÒME CYCLE DÏVALUATIONS MUTUELLES DE SES
MEMBRES AlN DÏVALUER SILS ONT ADOPTÏ ET MIS EFlCACEMENT EN UVRE LES LÏGISLATIONS
RÏGLEMENTATIONS ET AUTRES MESURES NÏCESSAIRES %N LE '!&) A AINSI ACHEVÏ
LÏVALUATION DE L%SPAGNE DES ³TATS
5NIS DE L)RLANDE DE L)SLANDE DU 0ORTUGAL ET DE
LA 3UÒDE )L A ÏGALEMENT APPROUVÏ UNE ÏVALUATION DU $ANEMARK PRÏPARÏE PAR LE &ONDS
MONÏTAIRE INTERNATIONAL %N JUIN LE '!&) A ACCORDÏ LE STATUT DOBSERVATEUR Ì LA
#ORÏE QUI DEVIENDRA MEMBRE Ì PART ENTIÒRE UNE FOIS LÏVALUATION MUTUELLE DE SON
SYSTÒME DE LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET LE lNANCEMENT DU TERRORISME
RÏALISÏE #ETTE STRATÏGIE DOUVERTURE Ì DES PAYS IMPORTANTS CONSTITUE UN ÏLÏMENT CLÏ
DE LA CONSTITUTION DUN RÏSEAU MONDIAL
,EXAMEN DES TYPOLOGIES n OU LÏTUDE DES MÏTHODES ET DES TENDANCES DU BLANCHIMENT
DE CAPITAUX ET DU lNANCEMENT DU TERRORISME n JOUE UN RÙLE FONDAMENTAL POUR GARANTIR -&4"7*&;7064
-B$PSÊFWJFOUEPCUFOJSMFTUBUVU
LA PERTINENCE DES NORMES DU '!&) ,ES RAPPORTS SUR LES TYPOLOGIES DU '!&) PUBLIÏS
EPCTFSWBUFVSBVQSÍTEV("'*
EN PORTAIENT NOTAMMENT SUR LES TECHNIQUES DE BLANCHIMENT FONDÏES SUR LES
ÏCHANGES LES NOUVEAUX MOYENS DE PAIEMENT ET LE DÏTOURNEMENT DES STRUCTURES
DE SOCIÏTÏ 0AR AILLEURS LE '!&) ENCOURAGE ET CONFORTE LES TRAVAUX DES ORGANISMES
RÏGIONAUX DE TYPE '!&) %N FÏVRIER IL A AINSI ORGANISÏ UNE RÏUNION PLÏNIÒRE AVEC
LE 'ROUPE ANTI
BLANCHIMENT DE L!FRIQUE ORIENTALE ET AUSTRALE '!"!/! LA DEUXIÒME
DE CE TYPE Ì ASSOCIER UN ORGANISME RÏGIONAL DE TYPE '!&) 0ARMI LES THÒMES ABORDÏS
ON PEUT CITER LES FA ONS DE METTRE EN PLACE DES INFRASTRUCTURES EFlCACES DE LUTTE CONTRE
LE BLANCHIMENT ET LE lNANCEMENT DU TERRORISME DANS LES ÏCONOMIES ÏMERGENTES OU
ENCORE LES CONSÏQUENCES DE LA MISE EN PLACE DE MESURES DE LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT
ET LE lNANCEMENT DU TERRORISME DANS DES ÏCONOMIES FONDÏES SUR LES RÒGLEMENTS EN
NUMÏRAIRES ,E '!&) A ÏGALEMENT PROCÏDÏ Ì UN EXERCICE CONJOINT SUR LES TYPOLOGIES
AVEC LE 'ROUPE %URASIE LORGANISME RÏGIONAL DE TYPE '!&) POUR L!SIE CENTRALE
%N OUTRE LE '!&) A RECONNU COMME ORGANISME RÏGIONAL DE TYPE '!&) LE 'ROUPE
INTERGOUVERNEMENTAL ANTI
BLANCHIMENT DARGENT EN !FRIQUE DE L/UEST ')!"!
,E '!&) EST UN ORGANISME INTERGOUVERNEMENTAL INDÏPENDANT DONT LE SECRÏTARIAT
EST SITUÏ AU SIÒGE DE L/#$% ,ES MEMBRES DU '!&) SONT L!FRIQUE DU 3UD
L!LLEMAGNE L!RGENTINE L!USTRALIE L!UTRICHE LA "ELGIQUE LE "RÏSIL LE #ANADA
LA #OMMISSION EUROPÏENNE LE #ONSEIL DE COOPÏRATION DU 'OLFE LE $ANEMARK
L%SPAGNE LES ³TATS
5NIS LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE LA &INLANDE LA &RANCE LA 'RÒCE
(ONG
+ONG #HINE L)RLANDE L)SLANDE L)TALIE LE *APON LE ,UXEMBOURG LE -EXIQUE
LA .ORVÒGE LA .OUVELLE
:ÏLANDE LE 0ORTUGAL LE 2OYAUME DES 0AYS
"AS LE 2OYAUME
5NI 3INGAPOUR LA 3UÒDE LA 3UISSE ET LA 4URQUIE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
'1"
'PSVNQPVSMFQBSUFOBSJBU
BWFDM"GSJRVF XXXGPSVNQBSUFOBSJBUBGSJRVFPSH
BQGDPOUBDU!PFDEPSH
$ANS UN MONDE TOUJOURS PLUS INTERDÏPENDANT LE PROGRÒS ÏCONOMIQUE ET SOCIAL TOUT
COMME LA PAIX ET LA STABILITÏ INTERNATIONALES SONT NÏCESSAIREMENT TRIBUTAIRES DUNE
MONDIALISATION MIEUX PARTAGÏE ,ES PROGRÒS RÏALISÏS DANS LENSEMBLE DE LA COMMUNAUTÏ
MONDIALE SONT LA SOMME n ET LE RÏSULTAT n DES PROGRÒS ACCOMPLIS DANS CHAQUE RÏGION ET
CONTINENT /R L!FRIQUE RESTE CONFRONTÏE Ì DES DÏlS PERSISTANTS
#ONSCIENTS DES ENJEUX LES RESPONSABLES AFRICAINS ONT CON U EN UN CADRE STRATÏGIQUE
POUR UNE TRANSFORMATION ET UN RENOUVEAU DU CONTINENT REPOSANT SUR LA CAPACITÏ Ì SUBVENIR
Ì SES PROPRES BESOINS LA BONNE GOUVERNANCE AINSI QUE LAPPROPRIATION ET LA CONDUITE PAR
L!FRIQUE DE SON PROGRAMME DACTION POUR LE DÏVELOPPEMENT #ETTE INITIATIVE LE .OUVEAU
PARTENARIAT POUR LE DÏVELOPPEMENT DE L!FRIQUE .%0!$ EST DEVENUE LE PRINCIPAL VECTEUR
DE LA RÏmEXION MENÏE EN !FRIQUE SUR LE DÏVELOPPEMENT DU CONTINENT ET UN POINT DE
RÏFÏRENCE ESSENTIEL POUR LE DIALOGUE ENTRE L!FRIQUE ET LA COMMUNAUTÏ INTERNATIONALE
$E NOMBREUX ACTEURS ONT SALUÏ LA CRÏATION DU .%0!$ NOTAMMENT LES PAYS DU ' QUI ONT
DÏCIDÏ DINTÏGRER L!FRIQUE AUX PROGRAMMES DE LEURS 3OMMETS ANNUELS #ET ENGAGEMENT
-&4"7*&;7064
A ÏTÏ ÏLARGI ET RENFORCÏ EN NOVEMBRE LORSQUE Ì LISSUE DU 3OMMET DU ' Ì ³VIAN LE
4FVMEFTNJMMJPOT
DIALOGUE Ì HAUT NIVEAU ENTRE LE ' ET LE .%0!$ A ÏTÏ ÏTENDU Ì AUTRES PAYS AFRICAINS AINSI E"GSJDBJOTJOGFDUÊTQBSMF7*)
QUAUX PRINCIPAUX PARTENAIRES RÏGIONAUX BILATÏRAUX ET MULTILATÏRAUX DU DÏVELOPPEMENT SFÉPJWFOUMFTNÊEJDBNFOUT
DE L!FRIQUE FONDANT AINSI LE &ORUM POUR LE PARTENARIAT AVEC L!FRIQUE &0! #E &ORUM EST BOUJSÊUSPWJSBVYOÊDFTTBJSFT
DEVENU UNE TRIBUNE DE PREMIER PLAN Oá LES PROBLÒMES RENCONTRÏS LES PRIORITÏS DÏlNIES
ET LES ENGAGEMENTS PRIS POUR LE DÏVELOPPEMENT DE L!FRIQUE PEUVENT ÐTRE EXAMINÏS ET
FAIRE LOBJET DUN SUIVI AU PLUS HAUT NIVEAU )L A POUR MISSION DE CATALYSER LACTION ET DE
COORDONNER LE SOUTIEN APPORTÏ AUX PRIORITÏS AFRICAINES ET AU .%0!$ )L DOIT ÏGALEMENT
PERMETTRE Ì L!FRIQUE DE PROGRESSER SUR LA VOIE DE LA RÏALISATION DES /BJECTIFS DU MILLÏNAIRE
POUR LE DÏVELOPPEMENT )L SATTACHE PRINCIPALEMENT Ì SUIVRE LES PROGRÒS ACCOMPLIS Ì
RECENSER LES OBSTACLES ET Ì SIGNALER LES PRIORITÏS CONCERNANT LES ACTIONS DE SUIVI Ì METTRE
EN UVRE PAR SES MEMBRES
,ORS DE LEUR RÏUNION Ì ,ONDRES EN OCTOBRE LES MEMBRES DU &0! ONT DÏCIDÏ DE CRÏER
UNE 5NITÏ DE SOUTIEN POUR LEURS TRAVAUX DE SUIVI ET DANALYSE ,ES MEMBRES DE L/#$% ONT
ENSUITE ACCEPTÏ DACCUEILLIR LE NOUVEAU SECRÏTARIAT TOUT EN SASSURANT QUE LES MEMBRES
DU &0! DIRIGENT LES TRAVAUX DE FOND DU &ORUM ,5NITÏ DE SOUTIEN QUI TRAVAILLE AVEC LE
SECRÏTARIAT DE L5NION AFRICAINE.%0!$ POUR PRÏPARER LES RÏUNIONS DU &ORUM EXAMINE
LES PROGRÒS ACCOMPLIS EN MATIÒRE DE DÏVELOPPEMENT SUR LE CONTINENT ÏVALUE LA MISE
EN UVRE ET LES RÏSULTATS CONCRETS DES ENGAGEMENTS PRIS PAR LES PAYS AFRICAINS ET LES
PARTENAIRES AU DÏVELOPPEMENT DE L!FRIQUE ET FAVORISE LE PARTAGE DES ENSEIGNEMENTS
TIRÏS DE LEXPÏRIENCE ET LÏCHANGE DINFORMATIONS -&4"7*&;7064
1MVTEFNJMMJPOTE"GSJDBJOT
,ORS DE SA ÒME RÏUNION QUI SEST TENUE Ì -OSCOU EN OCTOBRE SOUS LÏGIDE DE LA OPOUQBTBDDÍTÆMÊMFDUSJDJUÊ
PRÏSIDENCE RUSSE DU ' LE &0! A LANCÏ SON SYSTÒME DE SUIVI Ì i FEUX DE SIGNALISATION w
DANS UNE SÏRIE DE RAPPORTS SYNTHÏTIQUES DESTINÏS Ì ÏVALUER LES PROGRÒS RÏALISÏS EN !FRIQUE
PAR RAPPORT AUX OBJECTIFS lXÏS DANS LES DOMAINES DES INFRASTRUCTURES DU 6)(SIDA ET DU
DÏVELOPPEMENT AGRICOLE ,ES PARTICIPANTS SE SONT AUSSI PENCHÏS SUR LES COMPOSANTES DES
DISCUSSIONS DU ' CONCERNANT L!FRIQUE Ì SAVOIR LÏNERGIE LA PAUVRETÏ ET LES MALADIES
INFECTIEUSES )LS ONT AUSSI FAIT LE POINT SUR LA STRUCTURE GÏNÏRALE DU lNANCEMENT DU
DÏVELOPPEMENT ET ONT RECENSÏ LES PROCHAINES GRANDES ÏTAPES DE LACTION Ì MENER PAR LA
COMMUNAUTÏ INTERNATIONALE ,ES RÏUNIONS ULTÏRIEURES DU &0! SUIVRONT LES PROGRÒS RÏALISÏS
EN LA MATIÒRE ,A PROCHAINE RÏUNION DU &ORUM SE TIENDRA EN !LLEMAGNE EN MAI ET
PORTERA ESSENTIELLEMENT SUR LA CROISSANCE DURABLE EN !FRIQUE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5
%&-0$%&
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
-0$%&FOJNBHFT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5%&-0$%&
-0$%&FOJNBHFT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0 $ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
"DUJWJUÊTDJWJRVFT
,E 3ECRÏTARIAT DE L/#$% REGROUPE PLUS DE COLLÒGUES ORIGINAIRES DE TOUS LES
PAYS MEMBRES DE L/RGANISATION #EST AUSSI UNE COMMUNAUTÏ DINDIVIDUS POSSÏDANT
UNE FORMATION ET UNE EXPÏRIENCE DANS UN LARGE ÏVENTAIL DE DOMAINES COMME LÏCONOMIE
LES STATISTIQUES LES SCIENCES POLITIQUES LE DROIT LA SCIENCE LES COMMUNICATIONS LES
TECHNOLOGIES DE LINFORMATION LA LOGISTIQUE ET LES LANGUES %N DEHORS DE LEURS JOURNÏES
DE TRAVAIL LES AGENTS DU 3ECRÏTARIAT DE L/#$% SE CONSACRENT Ì TOUTES SORTES DACTIVITÏS
CIVIQUES DONT QUELQUES
UNES SONT MISES EN EXERGUE CI
DESSOUS
(SPVQFQPVSMBMVUUFDPOUSFMBGBJNEFM0$%& IVOHFSHSPVQ!PFDEPSH
&ONDÏ EN PAR DES AGENTS DE L/RGANISATION AVEC LAPPUI DU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL LE
'ROUPE POUR LA LUTTE CONTRE LA FAIM DE L/#$% PEUT SE TARGUER DE COMPTER ACTUELLEMENT
QUELQUE MEMBRES QUI LUI VERSENT UNE CONTRIBUTION ,E 'ROUPE RE OIT AUSSI DES DONS
PONCTUELS ET ORGANISE OCCASIONNELLEMENT DES ACTIVITÏS POUR LEVER DES FONDS )L EST ADMINISTRÏ
PAR DES VOLONTAIRES ET LINTÏGRALITÏ DES FONDS RECUEILLIS SERT AU lNANCEMENT DE PROJETS
%N LE 'ROUPE A lNANCÏ PROJETS DE DÏVELOPPEMENT SITUÏS EN !SIE EN !FRIQUE ET
EN !MÏRIQUE LATINE )L PRIVILÏGIE LES PROJETS AYANT UN IMPACT SUR LE LONG TERME CIBLANT DES
GROUPES TRÒS DÏMUNIS ET VULNÏRABLES ET VISANT NOTAMMENT Ì AMÏLIORER LES CONDITIONS
SANITAIRES LÏDUCATION ET LA FORMATION ,AUTONOMISATION DES FEMMES CONSTITUE UNE AUTRE
PRIORITÏ MAJEURE DU 'ROUPE
,E 'ROUPE EST EN CONTACT RÏGULIER AVEC LES ASSOCIATIONS OU LES PERSONNES CHARGÏES DE
METTRE EN UVRE ET DE SUPERVISER LES PROJETS )L EFFECTUE AUSSI DANS LA MESURE DU POSSIBLE
DES VISITES SUR LE TERRAIN
1UJUFT.BJOTm)BOETGPS)PQF XXXQNIIPSH
#RÏÏE EN LASSOCIATION 0TITES -AINS n (ANDS FOR (OPE A POUR OBJECTIF DAPPORTER
UNE AIDE MATÏRIELLE ET UN SOUTIEN MORAL Ì DES ORPHELINS DES ENFANTS ABANDONNÏS ET DES
MÒRES CÏLIBATAIRES AYANT DE JEUNES ENFANTS EN 2OUMANIE ,ASSOCIATION AIDE ÏGALEMENT
DES PERSONNES Ì RISQUE Ì "UCAREST EN lNAN ANT DES STRUCTURES DACCUEIL POUR LES ENFANTS
NOTAMMENT LES JEUNES HANDICAPÏS
6OBUFMJFSEFDPVUVSFEBOT
MF4VEEFM*OEFàOBODÊQBS
MF(SPVQFQPVSMBMVUUFDPOUSF
MBGBJNEFM0$%&
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5%&-0$%&
"DUJWJUÊTDJWJRVFT
%N LASSOCIATION A CONTINUÏ DAIDER Ì lNANCER LA CONSTRUCTION DUNE MAISON QUI
ACCUEILLERA DES ENFANTS ABANDONNÏS Ì 6ALEA 0LOPULUI UN VILLAGE DES #ARPATES %LLE A
lNANCÏ LACHAT DE DEUX LAVE
LINGES ET A ENVOYÏ DES JOUETS ET DES VÐTEMENTS DESTINÏS Ì
DES ENFANTS DÏFAVORISÏS
,ASSOCIATION A RÏCEMMENT NOUÏ DES CONTACTS AVEC QUELQUES ASSOCIATIONS DE "UCAREST
PARTAGEANT LES MÐMES OBJECTIFS %LLE A ÏGALEMENT PARRAINÏ DES ENFANTS EN FOURNISSANT DES
DENRÏES ALIMENTAIRES ,ACTION DE LASSOCIATION EST AUJOURDHUI RENFORCÏE PAR LA PRÏSENCE
DE DEUX DE SES MEMBRES EN 2OUMANIE
0TITES -AINS n (ANDS FOR (OPE ORGANISE RÏGULIÒREMENT DES VENTES DE CHARITÏ
WBMFSJFDJTTF!PFDEPSH
-FT&OGBOUTEF(VJOÊF NBVSFFOQVDIFV!PFDEPSH
,ASSOCIATION ,ES %NFANTS DE 'UINÏE A ÏTÏ CRÏÏE EN JUIN SOUS LÏGIDE DE LA ,IGUE
FRAN AISE DE LENSEIGNEMENT %LLE AIDE LA POPULATION DE 3IGUIRI EN 'UINÏE EN DONNANT
AUX ENFANTS AUX JEUNES AUX FEMMES ET AUX PARENTS LA POSSIBILITÏ DAMÏLIORER LEUR CADRE
SCOLAIRE ET SANITAIRE 0OUR CE FAIRE ELLE MET Ì LEUR DISPOSITION UN CENTRE SOCIAL ET CULTUREL
ET DISPENSE UNE FORMATION DANS CES DOMAINES
%N LASSOCIATION A ORGANISÏ QUATRE ATELIERS ANGLAIS MODELAGE EXPRESSION LIBRE ET
THÏÊTRE AUXQUELS ONT PARTICIPÏ PLUS DUNE CENTAINE DÏCOLIERS -ALHEUREUSEMENT LA PLACE
ÏTAIT LIMITÏE ET CHAQUE JOUR UNE FOULE DENFANTS SE PRESSAIENT AUX FENÐTRES DES SALLES DE
CLASSE POUR OBSERVER LE DÏROULEMENT DES ACTIVITÏS
5NE i PAUSE PETIT
DÏJEUNER w A ÏTÏ ORGANISÏE AVEC LAIDE DE LA SOCIÏTÏ .ESTLÏ DES VOLONTAIRES
ONT DISTRIBUÏ DES BOISSONS CHOCOLATÏES ET DES BEIGNETS CONFECTIONNÏS PAR UNE JEUNE
FEMME DE 3IGUIRI 0OUR BEAUCOUP DENFANTS CE PETIT
DÏJEUNER CONSTITUAIT LE SEUL REPAS DE
LA JOURNÏE ,ASSOCIATION A FOURNI LIVRES POUR CRÏER UNE SECTION DANS LA BIBLIOTHÒQUE
LOCALE $EUX JEUNES BIBLIOTHÏCAIRES FORMÏS ET RÏMUNÏRÏS PAR ,ES %NFANTS DE 'UINÏE GÒRENT
CETTE SECTION
%N LES ACTIVITÏS DE LASSOCIATION PORTERONT SUR LAMÏLIORATION DE LA BIBLIOTHÒQUE DE LA SALLE
DE LECTURE DU CENTRE ET DU TERRAIN DE JEUX LORGANISATION DATELIERS DE LECTURE AINSI QUE DUN
CARNAVAL POUR LES ENFANTS DE 3IGUIRI #HACUN PEUT AIDER EN ADHÏRANT Ì LASSOCIATION EN FAISANT
DES DONS EN ARGENT OU EN NATURE DICTIONNAIRES CARTABLES OU SACS PROMOTIONNELS SI POSSIBLE
CONTENANT DES TROUSSES GARNIES DE STYLOS DE CRAYONS PAPIER ET DE CRAYONS DE COULEUR
"-03"
,!,/2! !SSOCIATION LOISIRS RENCONTRES ATELIERS FAIT FONCTION DE RÏSEAU SOCIAL CULTUREL
ET ÏDUCATIF AU SERVICE DES MEMBRES DE L/RGANISATION ET DES DÏLÏGATIONS AINSI QUE DE LEUR
CONJOINTCOMPAGNON ORIGINAIRES DES PAYS MEMBRES ET DUN GRAND NOMBRE DÏCONOMIES
NON MEMBRES QUI VIVENT ET TRAVAILLENT Ì 0ARIS ,!,/2! PROPOSE FRÏQUEMMENT Ì SES
ADHÏRENTS DES VISITES CULTURELLES DE LIEUX INTÏRESSANTS Ì 0ARIS DES COURS DE LANGUE ET
DAUTRES MATIÒRES DES ACTIVITÏS SPORTIVES ET SOCIALES
5N DES TEMPS FORTS DE LANNÏE A ÏTÏ LA GARDEN
PARTY ESTIVALE DE L!,/2! QUI A
NOTAMMENT PERMIS DE SOUHAITER LA BIENVENUE AU NOUVEAU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL !NGEL 'URRÓA
AINSI QUÌ -ME 'URRÓA #ETTE MANIFESTATION SEST DÏROULÏE EN JUIN AU #HÊTEAU DE LA -UETTE
QUI VIENT DÐTRE RÏNOVÏ ,ES MEMBRES DE L!,/2! ET LEURS INVITÏS ONT PRIS PLAISIR Ì PARTAGER
UN BARBECUE DANS UNE AMBIANCE DÏCONTRACTÏE SUR LA TERRASSE DU #HÊTEAU BAIGNÏE DU
SOLEIL DUN CRÏPUSCULE DE JUIN EXCEPTIONNEL
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0 $ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
%JSFDUJPOFYÊDVUJWF XXXPDEFPSH
,A $IRECTION EXÏCUTIVE %8$ GÒRE LES ACTIFS DE L/#$% AINSI QUE SES RESSOURCES HUMAINES
lNANCIÒRES ET DOCUMENTAIRES %8$ EST RESPONSABLE DE LINFRASTRUCTURE ET DE LA FOURNITURE
DES PRINCIPAUX SERVICES AU SEIN DE L/RGANISATION NOTAMMENT LA SÏCURITÏ LES TECHNOLOGIES
DE LINFORMATION ET DES COMMUNICATIONS LA GESTION lNANCIÒRE LES SERVICES DE CONFÏRENCES
LINGUISTIQUES ET DE LA DOCUMENTATION
3ÊGPSNFEFM0$%&
%N LA $IRECTION EXÏCUTIVE CONTINUERA DE MENER SON PROGRAMME DE RÏFORME NOTAMMENT
LA RÏNOVATION DU SITE DE ,A -UETTE VOIR ENCADRÏ P LE PROGRAMME DE LA GESTION
BUDGÏTAIRE ET lNANCIÒRE ET LEXAMEN DES POLITIQUES DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES
%LLE SEFFORCERA ÏGALEMENT DAMÏLIORER LEFlCACITÏ DE LA FOURNITURE DE SERVICES
XXXPFDEPSHHSI
(FTUJPOEFTSFTTPVSDFTIVNBJOFT ISNF3FDSVJU!PFDEPSH
,E 3ERVICE DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES (2- EST RESPONSABLE DU RECRUTEMENT
DU SOUTIEN AUX MANAGERS DE LA GESTION DU PERSONNEL DE LA FORMATION DES ACTIVITÏS DE
BIEN
ÐTRE AINSI QUE DUN LARGE ÏVENTAIL DE SERVICES ADMINISTRATIFS DE RECRUTEMENT ET DE
CONSEILS DE HAUTE QUALITÏ %N (2- AVAIT POUR PRIORITÏ DE CONCEVOIR EN CONSULTATION
AVEC LES PAYS MEMBRES LES HAUTS RESPONSABLES DE L/RGANISATION ET LES AGENTS UN
ENSEMBLE DE RÏFORMES DES POLITIQUES DU PERSONNEL ET DE PRÏSENTER CES RÏFORMES DEVANT
LE 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL ET LE #ONSEIL
&O
M0$%&BPSHBOJTÊ
KPVSTEFDPOGÊSFODFTBVTJÍHF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5%&-0$%&
%JSFDUJPOFYÊDVUJWF
XXXPFDEPSHBQSPQPTFUBUTàOBODJFST
(FTUJPOEFTSFTTPVSDFTàOBODJÍSFT àOBODFTFSWJDF!PFDEPSH
,ES ÏTATS FINANCIERS SONT ÏTABLIS PAR LE 3ERVICE DES FINANCES CONFORMÏMENT AUX
)NTERNATIONAL 0UBLIC 3ECTOR !CCOUNTING 3TANDARDS NORMES COMPTABLES INTERNATIONALES
DU SECTEUR PUBLIC ET SONT DßMENT CERTIlÏS PAR LE #OLLÒGE DES COMMISSAIRES AUX COMPTES
DE L/RGANISATION ,ES ÏTATS COMPORTENT DÏSORMAIS UN RAPPORT DE GESTION QUI COUVRE LE
SYSTÒME DE CONTRÙLE INTERNE $ES COPIES DES ÏTATS SONT DISPONIBLES SUR LE SITE )NTERNET
DE L/#$%
,E 3ERVICE DES lNANCES A ÏGALEMENT ÏTABLI ET PUBLIÏ UN MANUEL ÏLECTRONIQUE DES lNANCES
ET DE LADMINISTRATION INCORPORANT LES PRINCIPALES POLITIQUES ET PROCÏDURES lNANCIÒRES
ET ADMINISTRATIVES DE L/RGANISATION )L PROCÒDE Ì UNE ÏVALUATION CONTINUE DES RISQUES
ET DES PROCESSUS DE CONTRÙLE DE L/RGANISATION CONFORMÏMENT AUX MEILLEURS PRINCIPES
DE GOUVERNANCE $ES RÏFORMES IMPORTANTES DES SYSTÒMES DE RETRAITE DE L/RGANISATION
ONT ÏGALEMENT ÏTÏ MISES EN UVRE NOTAMMENT EN MATIÒRE DE PRATIQUES lNANCIÒRES DE
GESTION ET DE GOUVERNANCE
XXXPFDEPSHQDNGS
4FSWJDFEFTBDIBUTFUEFHFTUJPOEFTDPOUSBUT QDNJOGP!PFDEPSH
,/RGANISATION CONTINUE Ì MENER UNE POLITIQUE DACHATS TRANSPARENTE ET CONCURRENTIELLE
AlN DOBTENIR EN PERMANENCE DES BIENS ET DES SERVICES DE HAUTE QUALITÏ AUX MEILLEURS
PRIX %N LA RÏNOVATION DU SITE DE ,A -UETTE A CONSTITUÏ UNE PRIORITÏ PARTICULIÒRE
5NE RÏORGANISATION RESTREINTE DE LUNITÏ CENTRALE DES ACHATS A ÏTÏ MISE EN UVRE LE
3ERVICE DES lNANCES SERA CHARGÏ DE SA SUPERVISION TANDIS QUE LES SERVICES DE GESTION
DES CONTRATS OPÏRATIONNELS SPÏCIlQUES SONT TEMPORAIREMENT GÏRÏS DE MANIÒRE SÏPARÏE
EN ATTENDANT LA REDÏlNITION DÏlNITIVE DE LEURS RÙLES
4ÊDVSJUÊSFOGPSDÊF
%N FACE Ì LA MENACE PERSISTANTE DU TERRORISME INTERNATIONAL LA SÏCURITÏ A ÏTÏ
RENFORCÏE POUR LES MISSIONS ET LES RÏUNIONS Ì LÏTRANGER GRÊCE Ì UNE ANALYSE APPROFONDIE
DES RISQUES ET Ì DES INSTRUCTIONS DÏTAILLÏES SUR DE NOMBREUSES DESTINATIONS 5NE MEILLEURE
COORDINATION AVEC LES SERVICES DE SÏCURITÏ NATIONAUX A PERMIS DASSURER UNE PROTECTION
COMPLÒTE DES RÏUNIONS QUI SE TIENNENT EN DEHORS DU SITE ° 0ARIS LES INSTALLATIONS DE
SÏCURITÏ ONT ÏTÏ RENFORCÏES GRÊCE Ì LA POSE DE NOUVELLES FENÐTRES ANTIFRAGMENTATION ET
DE DOUBLES PORTES AUTOMATIQUES
&OUSFUJFOEFTCÄUJNFOUT
JOGSBTUSVDUVSFFUTFSWJDFTEJOGPSNBUJPO
-ALGRÏ LA RÏNOVATION IMPORTANTE DES BÊTIMENTS ET DE LINFRASTRUCTURE DU SIÒGE ACTUELLEMENT
EN COURS LES SERVICES ONT ÏTÏ MAINTENUS %N EFFET DES ÏQUIPEMENTS DE CONFÏRENCES
RÏDUITS UN NOUVEAU CENTRE INFORMATIQUE ET DAUTRES SERVICES DE SOUTIEN n NOTAMMENT
LES ARCHIVES ET LA REPRODUCTION DES DOCUMENTS n ONT ÏTÏ FOURNIS Ì PARTIR DU #HÊTEAU ET
DU BÊTIMENT &RANQUEVILLE RÏCEMMENT RÏNOVÏS
,ES PRÏPARATIFS SONT EN COURS POUR LA LIVRAISON ET DE LAMÏNAGEMENT DU NOUVEAU CENTRE
DE CONFÏRENCE Ì LAUTOMNE ,E BÊTIMENT PRINCIPAL DE BUREAUX A ÏTÏ FERMÏ EN
MARS ET LA PREMIÒRE PHASE DU DÏSAMIANTAGE A ÏTÏ MENÏE Ì BIEN #E BÊTIMENT DOIT
ROUVRIR lN
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
1SPKFUEVTJUF
-BSÊOPWBUJPOEVCÄUJNFOU
QSJODJQBMBWBODFÆHSBOEQBT
0LUSIEURS ÏTAPES IMPORTANTES ONT ÏTÏ FRANCHIES EN ALORS QUE LA RÏNOVATION DU SIÒGE
DE L/#$% Ì 0ARIS SEST POURSUIVIE CONFORMÏMENT AU CALENDRIER ET AU BUDGET lXÏS
° PARTIR DE JANVIER LES AGENTS ONT RÏINTÏGRÏ LE #HÊTEAU RÏNOVÏ Oá LES SYSTÒMES CENTRAUX
DES TECHNOLOGIES DE LINFORMATION ET DES COMMUNICATIONS AVAIENT ÏTÏ TRANSFÏRÏS AVEC
SUCCÒS PENDANT LES VACANCES DE lN DANNÏE %N MARS LES DERNIERS AGENTS RESTANT DANS LE
BÊTIMENT PRINCIPAL ONT DÏMÏNAGÏ
,ES ACTIVITÏS DE CONFÏRENCES DE L/RGANISATION ONT ÏTÏ TRANSFÏRÏES AU #HÊTEAU SOUS UNE
FORME RESTREINTE AU COURS DE CETTE PHASE DE TRANSITION #E DÏMÏNAGEMENT A PERMIS
DE FERMER LE BÊTIMENT PRINCIPAL POUR DÏSAMIANTAGE EN PRÏVISION DE SA RESTRUCTURATION
EN ET ,ES APPELS DOFFRES POUR CETTE PHASE lNALE DU PROJET ONT ÏTÏ MENÏS Ì
BIEN AU PRINTEMPS
,E NOUVEAU CENTRE DE CONFÏRENCE LENTRÏE PRINCIPALE ET LE NOUVEAU RESTAURANT DE
L/RGANISATION SERONT ACHEVÏS ET OUVRIRONT EN $ES APPELS DOFFRES SONT EN COURS
POUR ÏQUIPER ET PRÏPARER LE SITE RÏNOVÏ AlN DASSURER LA MISE EN SERVICE DES NOUVELLES
INSTALLATIONS PLUS TARD DANS LANNÏE
$APRÒS LE CALENDRIER LE PROJET DEVRAIT ÐTRE ACHEVÏ lN DATE Ì LAQUELLE LE MILLIER DAGENTS
QUI OCCUPENT TEMPORAIREMENT DES BUREAUX SITUÏS DANS LE QUARTIER DE ,A $ÏFENSE Ì 0ARIS
RÏINTÏGRERONT ,A -UETTE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5%&-0$%&
%JSFDUJPOFYÊDVUJWF
(FTUJPOEFTTZTUÍNFTEJOGPSNBUJPOFUEFDPNNVOJDBUJPO
,E 3ERVICE DES TECHNOLOGIES ET RÏSEAUX DINFORMATION ASSURE HEURES SUR LE BON
FONCTIONNEMENT DES SYSTÒMES QUI PERMETTENT LANALYSE ET LÏLABORATION DES POLITIQUES
LES TRAVAUX DES COMITÏS LA GESTION DE L/RGANISATION ET LA DIFFUSION DE LINFORMATION
%N LE NOUVEAU SERVICE EN LIGNE A AMÏLIORÏ LES ÏCHANGES ENTRE LES DÏLÏGUÏS AUX
COMITÏS ET LE 3ECRÏTARIAT #E SERVICE A AUSSI FAVORISÏ UNE UTILISATION ACCRUE DE DES
INFORMATIONS DES COMITÏS PAR LES DÏLÏGUÏS NATIONAUX 0AR AILLEURS LE #ENTRE INFORMATIQUE
A PU ÐTRE TRANSFÏRÏ AVEC SUCCÒS DANS UN NOUVEAU LIEU SANS PERTURBATIONS MAJEURES %NlN
DE NOUVELLES MESURES ONT ÏTÏ PRISES POUR PROTÏGER L/RGANISATION CONTRE LES MENACES
CYBERNÏTIQUES ET SUR LA SÏCURITÏ
,E NOUVEAU 3YSTÒME DINFORMATION STATISTIQUE PERMET DAMÏLIORER LA QUALITÏ ET LA
RAPIDITÏ DE DIFFUSION DES PRODUITS STATISTIQUES DE L/#$% 0LUSIEURS NOUVEAUX SYSTÒMES
ONT ÏTÏ INTRODUITS POUR AIDER LES AGENTS DE L/#$% Ì COLLABORER AUX TRAVAUX DES COMITÏS
Ì ORGANISER DES MANIFESTATIONS ET Ì GÏRER LEURS TÊCHES QUOTIDIENNES $E PLUS LES TRAVAUX
POUR LÏLABORATION DUN NOUVEAU CADRE INTÏGRÏ DE GESTION BUDGÏTAIRE ET lNANCIÒRE ONT
DÏBUTÏ
$POGÊSFODFTFUTFSWJDFTMJOHVJTUJRVFT
%N L/#$% A ORGANISÏ JOURS DE CONFÏRENCES AU SIÒGE 4OUTES LES GRANDES
CONFÏRENCES PRÏVUES AU SIÒGE DE L/#$% ONT ÏTÏ ASSURÏES MALGRÏ LA RÏDUCTION IMPORTANTE
DES SALLES DISPONIBLES $E NOUVEAUX SYSTÒMES DAUDIO ET DE VIDÏO CONFÏRENCE Y ONT
CONTRIBUÏ GRÊCE Ì LA CRÏATION DE SALLES DE RÏUNION ET DE SALLES DÏCOUTE MODULABLES
%N L/#$% A TRADUIT QUELQUE PAGES DE DOCUMENTS ET DE PUBLICATIONS !U COURS
DE CETTE PÏRIODE LINTERPRÏTATION DANS DIVERSES LANGUES A ÏTÏ ASSURÏE POUR SESSIONS
DUNE DEMI
JOURNÏE AU SIÒGE ET UN SOUTIEN A ÏTÏ FOURNI Ì UN NOMBRE CROISSANT DE
MANIFESTATIONS DE PRESTIGE Ì LÏTRANGER 5NE NOUVELLE VERSION ACTUALISÏE ET ÏLARGIE DU
'LOSSAIRE DE LÏCONOMIE DE L/#$% BILINGUE QUI CONTIENT TERMES ET EXPRESSIONS
COUVRANT UN LARGE ÏVENTAIL DE DOMAINES A ÏTÏ PUBLIÏE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0 $ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
2VJGBJURVPJ XXXPFDEPSHBQSPQPT
3ITUÏ Ì 0ARIS LE 3ECRÏTARIAT RÏALISE DES ÏTUDES ET DES ANALYSES Ì LA DEMANDE DES PAYS
MEMBRES DE L/#$% #ES PAYS SE RENCONTRENT ET ÏCHANGENT DES INFORMATIONS DANS DES
COMITÏS SPÏCIALISÏS SUR DES QUESTIONS CLÏS LE POUVOIR DE DÏCISION REVENANT AU #ONSEIL
DE L/#$%
,E #ONSEIL DISPOSE DE FONCTIONS STRATÏGIQUES LÏGISLATIVES ET DE GOUVERNANCE )L SE COMPOSE
DES 2EPRÏSENTANTS PERMANENTS QUI SE RÏUNISSENT RÏGULIÒREMENT AU NOM DE TOUS LES PAYS
MEMBRES SOUS LA HOULETTE DU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL
%N LE #ONSEIL A ADOPTÏ PLUSIEURS RÏFORMES IMPORTANTES QUI INmUERONT LARGEMENT
SUR L/RGANISATION Ì LAVENIR 0ARMI CES CHANGEMENTS CITONS UNE RÏVISION DU SYSTÒME
DE GOUVERNANCE QUI COMPORTE UNE EXTENSION DE LA PROCÏDURE DE PRISE DE DÏCISION PAR
LINTERMÏDIAIRE DU VOTE Ì LA MAJORITÏ QUALIlÏE ET LINTRODUCTION DUN MÏCANISME CAPABLE
DIDENTIlER LES PAYS SUSCEPTIBLES DE REJOINDRE L/#$% AINSI QUE LES PAYS AVEC LESQUELS
LA COOPÏRATION EST Ì RENFORCER ,A PROCÏDURE DÏVALUATION APPROFONDIE DES PRINCIPAUX
COMITÏS ENGAGÏE EN A ÏTÏ MAINTENUE EN
5NE FOIS PAR AN LE #ONSEIL SE RÏUNIT AU NIVEAU DES MINISTRES %N LA RÏUNION
MINISTÏRIELLE SEST TENUE AU 1UAI D/RSAY SOUS LA PRÏSIDENCE DE LA 'RÒCE AUTOUR DU THÒME
i !SSURER LA PROSPÏRITÏ w $IX PAYS NON MEMBRES Y ONT PARTICIPÏ 3UITE Ì CETTE RÏUNION
UNE CÏRÏMONIE DE PASSATION DE POUVOIRS SEST DÏROULÏE AU COURS DE LAQUELLE LE NOUVEAU
3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL !NGEL 'URRÓA A PRIS SES FONCTIONS
,/#$% COMPTE ENVIRON COMITÏS GROUPES DE TRAVAIL ET GROUPES DEXPERTS AU TOTAL
#HAQUE ANNÏE QUELQUE HAUTS FONCTIONNAIRES DES ADMINISTRATIONS NATIONALES
PARTICIPENT Ì DES RÏUNIONS DE COMITÏS DE L/#$% POUR EXAMINER LES TRAVAUX EFFECTUÏS
PAR LE 3ECRÏTARIAT Y CONTRIBUER ET EN SUGGÏRER DE NOUVEAUX
,ES COMITÏS SONT LE #OMITÏ DE POLITIQUE ÏCONOMIQUE LE #OMITÏ DEXAMEN DES
SITUATIONS ÏCONOMIQUES ET DES PROBLÒMES DE DÏVELOPPEMENT LE #OMITÏ DES POLITIQUES
DENVIRONNEMENT LE #OMITÏ DES PRODUITS CHIMIQUES LE #OMITÏ DAIDE AU DÏVELOPPEMENT
LE #OMITÏ DE LA GOUVERNANCE PUBLIQUE LE #OMITÏ DES POLITIQUES DE DÏVELOPPEMENT
TERRITORIAL LE #OMITÏ DES ÏCHANGES LE #OMITÏ DE LINVESTISSEMENT LE #OMITÏ DES
ASSURANCES ET DES PENSIONS PRIVÏES LE #OMITÏ DES MARCHÏS lNANCIERS LE #OMITÏ DES
AFFAIRES lSCALES LE #OMITÏ DE LA CONCURRENCE LE #OMITÏ DE LA POLITIQUE SCIENTIlQUE
-BSÊVOJPOBOOVFMMFEFTFYQFSUT
EVEÊWFMPQQFNFOUEVSBCMFÆM0$%&
FOTFQUFNCSF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5%&-0$%&
2VJGBJURVPJ
ET TECHNOLOGIQUE LE #OMITÏ DE LA POLITIQUE DE LINFORMATION DE LINFORMATIQUE ET DES
COMMUNICATIONS LE #OMITÏ DE LA POLITIQUE Ì LÏGARD DES CONSOMMATEURS LE #OMITÏ
DE LINDUSTRIE DE LINNOVATION ET DE LENTREPRENARIAT LE #OMITÏ DE LACIER LE #OMITÏ
DU TOURISME LE #OMITÏ DE LEMPLOI DU TRAVAIL ET DES AFFAIRES SOCIALES LE #OMITÏ DE
LÏDUCATION LE #OMITÏ DE LAGRICULTURE LE #OMITÏ DES PÐCHERIES LE #OMITÏ DES STATISTIQUES
ET LE #OMITÏ DES RELATIONS EXTÏRIEURES
,!GENCE INTERNATIONALE DE LÏNERGIE VOIR ENCADRÏ P ET L!GENCE DE L/#$% POUR LÏNERGIE
NUCLÏAIRE VOIR ENCADRÏ P TRAITENT DES QUESTIONS DÏNERGIE ,ES TRAVAUX ORDONNÏS PAR LE
#ONSEIL SONT RÏALISÏS PAR LES DIFFÏRENTES $IRECTIONS DU 3ECRÏTARIAT DE L/#$%
XXXPFDEPSHDBE
%JSFDUJPOEFMBDPPQÊSBUJPOQPVSMFEÊWFMPQQFNFOU %$%
EBDDPOUBDU!PFDEPSH
,A $IRECTION DE LA COOPÏRATION POUR LE DÏVELOPPEMENT SOUTIENT LE #OMITÏ DAIDE AU
DÏVELOPPEMENT #!$ DE L/#$% ET LENSEMBLE DE L/RGANISATION DANS SON TRAVAIL EN
CONTRIBUANT Ì LÏLABORATION ET Ì LA COORDINATION DES POLITIQUES AINSI QUÌ LA CRÏATION
DE SYSTÒMES DINFORMATIONS AU SERVICE DU DÏVELOPPEMENT ,ES MEMBRES DU #!$
REPRÏSENTENT LES PRINCIPAUX BAILLEURS DE FONDS DU MONDE ,E #!$ A POUR MISSION
DENCOURAGER LES EFFORTS INTERNATIONAUX COORDONNÏS INTÏGRÏS EFlCACES ET SUFlSAMMENT
DOTÏS EN VUE DUN DÏVELOPPEMENT ÏCONOMIQUE ET SOCIAL DURABLE 0ARTANT DU CONSTAT
QUE LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT SONT EUX
MÐMES RESPONSABLES DE LEUR DÏVELOPPEMENT
LE #!$ RÏmÏCHIT Ì LA MANIÒRE DONT LA COOPÏRATION INTERNATIONALE PEUT CONTRIBUER AU
MIEUX Ì RENFORCER LA CAPACITÏ DE CES PAYS Ì PARTICIPER Ì LÏCONOMIE MONDIALE ET Ì
VAINCRE LA PAUVRETÏ ,A PRÏSIDENCE DU #!$ PUBLIE TOUS LES ANS UN RAPPORT INTITULÏ
#OOPÏRATION POUR LE DÏVELOPPEMENT )L DÏCRIT LES EFFORTS ET LACTION DES MEMBRES DU #!$ ET
REPREND LES STATISTIQUES DE LAIDE PUBLIQUE AU DÏVELOPPEMENT COMPILÏES PAR LA $#$ 3OUS
LAUTORITÏ DUN 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL ADJOINT LA $#$ TRAVAILLE AUSSI EN ÏTROITE COLLABORATION
AVEC DAUTRES $IRECTIONS DE L/#$% SUR DES QUESTIONS LIÏES Ì LA COHÏRENCE DES POLITIQUES
AU SERVICE DU DÏVELOPPEMENT
XXXPFDEPSHUBEGS
%JSFDUJPOEFTÊDIBOHFTFUEFMBHSJDVMUVSF 5"%
UBEDPOUBDU!PFDEPSH
,A $IRECTION DES ÏCHANGES ET DE LAGRICULTURE UVRE POUR UN SYSTÒME COMMERCIAL
MULTILATÏRAL FORT FONDÏ SUR DES RÒGLES %LLE PRODUIT ÏGALEMENT DES RECOMMANDATIONS POUR
AIDER LES GOUVERNEMENTS DES PAYS MEMBRES ET NON MEMBRES DE L/#$% Ì CONCEVOIR ET Ì
METTRE EN UVRE DES POLITIQUES DANS LES DOMAINES DES ÏCHANGES ET DE LAGRICULTURE )LS
POURRONT AINSI ATTEINDRE EFlCACEMENT LEURS OBJECTIFS TOUT EN MINIMISANT LES DISTORSIONS
DANS LES ÏCHANGES ,ES TRAVAUX RÏALISÏS SUR LES ÏCHANGES ENCOURAGENT LE PROCESSUS DUNE
LIBÏRALISATION PROGRESSIVE QUI DÏCOULE DES NÏGOCIATIONS RÏALISÏES AU SEIN DE L/RGANISATION
MONDIALE DU COMMERCE /-# AINSI QUE LE FONCTIONNEMENT EFFICACE DU SYSTÒME
COMMERCIAL MULTILATÏRAL ,ES TRAVAUX ANALYTIQUES ENTREPRIS PAR LE #OMITÏ DES ÏCHANGES
DE L/#$% VISENT Ì SOUTENIR LA POURSUITE DE LA LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES #ES TRAVAUX
METTENT EN ÏVIDENCE UN ENSEMBLE DENJEUX DINTÏRÐT PUBLIC ET ÏVALUENT LES PROBLÒMES
RENCONTRÏS DANS LE CADRE DES NÏGOCIATIONS ACTUELLES NOTAMMENT DANS LE DOMAINE DES
SERVICES DE LA FACILITATION DES ÏCHANGES ET DE LÏVALUATION DE SES RÏPERCUTIONS ,ES TRAVAUX
PRÏPARATOIRES DES NÏGOCIATIONS COMMERCIALES FUTURES COUVRENT DE NOUVELLES CATÏGORIES
DE RÒGLES SUR LES ÏCHANGES NOTAMMENT CELLES EN MATIÒRE DENVIRONNEMENT DE POLITIQUE
DE LA CONCURRENCE ET DE LINVESTISSEMENT %NlN SES TRAVAUX SANS PRÏCÏDENT SUR LES
CRÏDITS Ì LEXPORTATION DISSUADENT LES PAYS DE CRÏER DES DISTORSIONS DANS LES ÏCHANGES
,ES TRAVAUX ENTREPRIS PAR LES #OMITÏS DE LAGRICULTURE ET DES PÐCHERIES PERMETTENT DE
DÏTERMINER LES POLITIQUES AU SERVICE DUNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES AGRICOLES ET
HALIEUTIQUES )LS COUVRENT AINSI LA RÏFORME POLITIQUE LA LIBÏRALISATION DES ÏCHANGES ET
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0 $ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
LA VIABILITÏ DES RESSOURCES ,A $IRECTION COORDONNE ÏGALEMENT UN PROGRAMME VISANT Ì
ÏLABORER DES NORMES DE PRODUITS POUR FACILITER LES ÏCHANGES AINSI QUUN PROGRAMME DE
RECHERCHE DE COOPÏRATION POUR DES SYSTÒMES DAGRICULTURE DURABLE %LLE ENTRETIENT UN
DIALOGUE RÏGULIER ENTRE LES PAYS DE L/#$% ET LES PRINCIPALES ÏCONOMIES NON MEMBRES
,ES ACTIVITÏS DE LA $IRECTION SAPPUIENT LARGEMENT SUR SES CONSULTATIONS AVEC LA SOCIÏTÏ
CIVILE ET SES EFFORTS DE COMMUNICATION ENVERS LES POUVOIRS PUBLICS ET DIFFÏRENTS GROUPES
DINTÏRÐT ,E ER DÏCEMBRE LA $IRECTION DES ÏCHANGES ET LA $IRECTION DE LALIMENTATION
DE LAGRICULTURE ET DES PÐCHERIES ONT FUSIONNÏ POUR FORMER LA NOUVELLE $IRECTION DES
ÏCHANGES ET DE LAGRICULTURE
XXXPFDEPSHFDPGS
%ÊQBSUFNFOUEFTBGGBJSFTÊDPOPNJRVFT &$0
FDPDPOUBDU!PFDEPSH
,E $ÏPARTEMENT DES AFFAIRES ÏCONOMIQUES EXAMINE LÏVOLUTION ÏCONOMIQUE ET lNANCIÒRE
DES PAYS DE L/#$% ET DE CERTAINES ÏCONOMIES NON MEMBRES SOUS LÏGIDE DU #OMITÏ DE
POLITIQUE ÏCONOMIQUE #0% ET PAR LINTERMÏDIAIRE DU #OMITÏ DEXAMEN DES SITUATIONS
ÏCONOMIQUES ET DES PROBLÒMES DE DÏVELOPPEMENT #%$2 #ELUI
CI ÏVALUE LES POLITIQUES
SUIVIES DANS CHAQUE PAYS 4ROIS ORGANES SUBSIDIAIRES DU #0% n LE 'ROUPE DE TRAVAIL
SUR LES PERSPECTIVES ÏCONOMIQUES Ì COURT TERME LE 'ROUPE DE TRAVAIL Nª CHARGÏ DE
LANALYSE DES POLITIQUES MACROÏCONOMIQUES ET STRUCTURELLES ET LE 'ROUPE DE TRAVAIL Nª
CHARGÏ DÏTUDIER LES MESURES DESTINÏES Ì ASSURER UN MEILLEUR ÏQUILIBRE DES PAIEMENTS
INTERNATIONAUX n ASSURENT ÏGALEMENT UNE SURVEILLANCE MULTILATÏRALE ET STRUCTURELLE
,E $ÏPARTEMENT FOURNIT UN CADRE GLOBAL PERMETTANT DIDENTIlER LES PRIORITÏS STRUCTURELLES
QUI REQUIÒRENT LATTENTION DES GOUVERNEMENTS )L ÏVALUE LES INCIDENCES DUN LARGE
ÏVENTAIL DE QUESTIONS STRUCTURELLES DU POINT DE VUE DE LENSEMBLE DE LÏCONOMIE EN
SAPPUYANT SUR LES TRAVAUX DUN CERTAIN NOMBRE DE COMITÏS SPÏCIALISÏS DE L/#$% ,ES
DERNIERS TRAVAUX PORTENT NOTAMMENT SUR LA RÏGLEMENTATION DES MARCHÏS DE PRODUITS LA
CONCURRENCE LIMMIGRATION LÏDUCATION LÏCONOMIE POLITIQUE DES RÏFORMES ET LES EFFETS
DE LA MONDIALISATION SUR LINmATION
,A PUBLICATION SEMESTRIELLE DES 0ERSPECTIVES ÏCONOMIQUES DE L/#$% ANALYSE LES
ÏVOLUTIONS MACROÏCONOMIQUES ET LES PRÏVISIONS Ì COURT TERME EN FAISANT RESSORTIR LES
QUESTIONS STRATÏGIQUES CLÏS %LLE COMPREND ÏGALEMENT DES CHAPITRES SUR DES PROBLÒMES
MACROÏCONOMIQUES PERTINENTS ,A PUBLICATION ANNUELLE /BJECTIF CROISSANCE PRÏSENTE LES
RÏSULTATS DUN PROCESSUS DE SURVEILLANCE HORIZONTAL STRUCTUREL CONTINU 5NE VINGTAINE
D³TUDES ÏCONOMIQUES DE PAYS MEMBRES ET NON MEMBRES DE L/#$% PARAISSENT CHAQUE
ANNÏE ET TRAITENT DES QUESTIONS MACROÏCONOMIQUES ET STRUCTURELLES MAJEURES
XXXPFDEPSHFEVGS
%JSFDUJPOEFMÊEVDBUJPO &%6
FEVDPOUBDU!PFDEPSH
,A $IRECTION DE LÏDUCATION AIDE LES PAYS MEMBRES Ì PARVENIR Ì UN ENSEIGNEMENT DE GRANDE
QUALITÏ ACCESSIBLE Ì TOUS VECTEUR DE DÏVELOPPEMENT PERSONNEL DE CROISSANCE ÏCONOMIQUE
DURABLE ET DE COHÏSION SOCIALE ,A $IRECTION AIDE LES PAYS Ì CONCEVOIR ET Ì METTRE EN UVRE
DES POLITIQUES EFlCACES POUR FAIRE FACE AUX NOMBREUSES DIFlCULTÏS QUE CONNAISSENT LES
SYSTÒMES ÏDUCATIFS %$5 ÏLABORE EN PARTICULIER DES STRATÏGIES POUR FAVORISER LÏDUCATION
TOUT AU LONG DE LA VIE EN HARMONIE AVEC LES AUTRES POLITIQUES SOCIO
ÏCONOMIQUES %LLE
RÏmÏCHIT AUX MOYENS DÏVALUER ET DAMÏLIORER LES RÏSULTATS DE LÏDUCATION DE FAVORISER
UN ENSEIGNEMENT DE QUALITÏ ET DE CONSTRUIRE LA COHÏSION SOCIALE GRÊCE Ì LÏDUCATION
0ARMI SES ACTIVITÏS EN COURS CITONS ÏGALEMENT DES TRAVAUX SUR LADAPTATION NÏCESSAIRE
DE LENSEIGNEMENT POST
SCOLAIRE Ì LA MONDIALISATION DE LÏCONOMIE AINSI QUE SUR LAVENIR
DE LÏDUCATION
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5%&-0$%&
2VJGBJURVPJ
,A $IRECTION PRODUIT RÏGULIÒREMENT DES EXAMENS PAR LES PAIRS DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS
DES PAYS MEMBRES ET NON MEMBRES ,ES ÏVOLUTIONS DES SYSTÒMES DÏDUCATION ET DE
FORMATION SONT PRÏSENTÏES DANS UN COMPENDIUM ANNUEL DE STATISTIQUES ET DINDICATEURS
INTITULÏ 2EGARDS SUR LÏDUCATION ,E 0ROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES
ÏLÒVES 0)3! PRÏSENTE TOUS LES TROIS ANS UNE ÏVALUATION DIRECTE DU NIVEAU DE COMPÏTENCES
DES JEUNES DE ANS 5NE PUBLICATION ANNUELLE !NALYSE DES POLITIQUES DÏDUCATION COMPREND
DES INDICATIONS IMPORTANTES SUR LES POLITIQUES $ES EXAMENS PAR THÒME ET PAR PAYS DES
SYSTÒMES ÏDUCATIFS SONT RÏGULIÒREMENT PUBLIÏS ,E #ENTRE POUR LA RECHERCHE ET LINNOVATION
DANS LENSEIGNEMENT TRAVAILLE ESSENTIELLEMENT SUR LES TENDANCES Ì LONG TERME ET LES
INNOVATIONS EN MATIÒRE DÏDUCATION ,E 0ROGRAMME SUR LA GESTION DES ÏTABLISSEMENTS
DENSEIGNEMENT SUPÏRIEUR PORTE SUR LA GOUVERNANCE ET LES AUTRES ENJEUX STRATÏGIQUES
QUI SE POSENT AUX UNIVERSITÏS ET AUTRES ÏTABLISSEMENTS TANDIS QUE LES QUESTIONS LIÏES
AUX INFRASTRUCTURES SONT TRAITÏES DANS LE CADRE DU 0ROGRAMME POUR LA CONSTRUCTION ET
LÏQUIPEMENT DE LÏDUCATION
XXXPFDEPSHFMTGS
%JSFDUJPOEFMFNQMPJ
EVUSBWBJMFUEFTBGGBJSFTTPDJBMFT &-4
FMTDPOUBDU!PFDEPSH
,A $IRECTION DE LEMPLOI DU TRAVAIL ET DES AFFAIRES SOCIALES SUPERVISE LES TRAVAUX RÏALISÏS
DANS LES DOMAINES INTERDÏPENDANTS DE LACTION PUBLIQUE QUI PEUVENT FAVORISER LEMPLOI
ET PRÏVENIR LEXCLUSION SOCIALE 3ES ACTIVITÏS SONT AXÏES AUTOUR DE QUATRE GRANDS THÒMES
LEMPLOI ET LA FORMATION LA SANTÏ LES MIGRATIONS INTERNATIONALES AINSI QUE LES AFFAIRES
SOCIALES ,ES POLITIQUES SOCIALES FAVORISANT LEMPLOI SONT CONSIDÏRÏES COMME ESSENTIELLES
POUR AIDER LES PERSONNES EN ÊGE DE TRAVAILLER Ì TROUVER UN EMPLOI ET POUR LUTTER CONTRE LA
PAUVRETÏ ET LEXCLUSION SOCIALE ,ES INCIDENCES DU VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION SUR LE
MARCHÏ DU TRAVAIL LE lNANCEMENT DES SYSTÒMES DE PROTECTION SOCIALE ET SES CONSÏQUENCES
SUR LES mUX MIGRATOIRES ET LES POLITIQUES CONSTITUENT ÏGALEMENT DAUTRES GRANDS AXES DE
TRAVAIL DE LA $IRECTION ,E PROBLÒME DE LA SANTÏ EST AUSSI UNE PRIORITÏ COMPTE TENU DE
LIMPACT QUIL PEUT AVOIR SUR LE BIEN
ÐTRE DUNE SOCIÏTÏ ET SUR LES DÏPENSES PUBLIQUES
,A $IRECTION SUIT ÏGALEMENT LÏVOLUTION DE LEMPLOI ET DES REVENUS 3A PUBLICATION
ANNUELLE 0ERSPECTIVES DE LEMPLOI ANALYSE LES PRINCIPALES TENDANCES DU MARCHÏ DU TRAVAIL
ET LES POLITIQUES DE LEMPLOI AINSI QUE LES MESURES PRISES EN FAVEUR DE LA FORMATION DES
ADULTES ,ES PUBLICATIONS $ES EMPLOIS POUR LES JEUNES ET -ALADIE INVALIDITÏ ET TRAVAIL SURMONTER
LES OBSTACLES EXAMINENT LES POLITIQUES CAPABLES DAMÏLIORER LES PERSPECTIVES DEMPLOI DES
JEUNES ET DES PERSONNES HANDICAPÏES ,ES STOCKS ET LES mUX MIGRATOIRES LEURS EFFETS ET
LEURS MOTIVATIONS SONT ÏTUDIÏS ET SYNTHÏTISÏS DANS 0ERSPECTIVES DES MIGRATIONS INTERNATIONALES
,ES PUBLICATIONS 0ANORAMA DE LA SANTÏ 0ANORAMA DE LA SOCIÏTÏ ET ,ES PENSIONS DANS LES PAYS DE
L/#$% 0ANORAMA DES POLITIQUES PUBLIQUES FONT RÏGULIÒREMENT LE POINT SUR LES ÏVOLUTIONS
SANITAIRES ET SOCIALES ,A $IRECTION EXAMINE AUSSI LEFlCACITÏ DES PROGRAMMES DE SANTÏ
ET DAIDE SOCIALE AINSI QUE LA PLACE DES FEMMES DANS LA POPULATION ACTIVE
XXXPFDEPSHDGFGS
$FOUSFQPVSMFOUSFQSFOBSJBU
MFT1.&FUMFEÊWFMPQQFNFOUMPDBM $'&
DGFDPOUBDU!PFDEPSH
#RÏÏ EN JUILLET LE #ENTRE POUR LENTREPRENARIAT LES 0-% ET LE DÏVELOPPEMENT LOCAL
REGROUPE LE 0ROGRAMME ,%%$ DÏVELOPPEMENT ÏCONOMIQUE ET CRÏATION DEMPLOIS AU NIVEAU
LOCAL ET LA $IVISION DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES 0-% ET DE LENTREPRENARIAT 4IRANT
PARTIE DES SYNERGIES QUI EXISTENT ENTRE LE TOURISME LES 0-% ET LE DÏVELOPPEMENT LOCAL LE
0ROGRAMME DE TOURISME DE L/#$% A REJOINT LE #ENTRE EN FÏVRIER SOULIGNANT AINSI
LIMPORTANCE DE CETTE BRANCHE CAPITALE DANS LÏCONOMIE DE SERVICE EN PLEINE EXPANSION ,E
#ENTRE A POUR MISSION DENCOURAGER LESPRIT DENTREPRISE DANS UNE SOCIÏTÏ CAPABLE DINNOVER
DE CRÏER DES EMPLOIS ET DE SAISIR LES OPPORTUNITÏS QUOFFRE LA MONDIALISATION TOUT EN
CONTRIBUANT Ì PROMOUVOIR CROISSANCE DURABLE DÏVELOPPEMENT INTÏGRÏ ET COHÏSION SOCIALE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0 $ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
%N MENANT Ì BIEN SA MISSION LE #&% SAPPUIE SUR LEXPERTISE RÏUNIE AU SEIN DES AUTRES
$IRECTIONS DE L/#$% LES GOUVERNEMENTS DE SES PAYS MEMBRES ET SON LARGE RÏSEAU
DEXPERTS INTERNATIONAUX %N RAISON DE SON OUVERTURE INSTITUTIONNELLE ET DE SA mEXIBILITÏ
LE #&% A ÏTÏ QUALIlÏ DE CENTRE SANS BARRIÒRES #EST UN GUICHET UNIQUE DE L/#$% POUR
LENTREPRENARIAT LES 0-% LE DÏVELOPPEMENT LOCAL ET LES QUESTIONS LIÏES AU TOURISME
LE #&% SASSURE QUE LES RÏSULTATS DE SES TRAVAUX SONT ACTUALISÏS ET Ì LA POINTE 0AR AILLEURS LE
#ENTRE EST CAPABLE DE PRÏSENTER DES RECOMMANDATIONS PRATIQUES EN MATIÒRE DE POLITIQUES
RÏPONDANT PRÏCISÏMENT AUX PRÏOCCUPATIONS DE SES PAYS MEMBRES
XXXPFDEPSHFOWGS
%JSFDUJPOEFMFOWJSPOOFNFOU &/7
FOWDPOUBDU!PFDEPSH
,A $IRECTION DE LENVIRONNEMENT AIDE LES PAYS MEMBRES Ì CONCEVOIR ET Ì METTRE EN UVRE
DES POLITIQUES EFlCIENTES ET EFlCACES POUR RÏPONDRE AUX PROBLÒMES DENVIRONNEMENT
ET GÏRER LES RESSOURCES NATURELLES DE MANIÒRE VIABLE 0OUR PARVENIR Ì UNE UTILISATION
DES RESSOURCES ET DES MODÒLES DE PRODUCTION PLUS DURABLES LA $IRECTION EXAMINE
LINTERACTION ENTRE LENVIRONNEMENT ET LES ENJEUX ÏCONOMIQUES SECTORIELS OU SOCIAUX
%LLE COLLABORE AVEC DAUTRES $IRECTIONS SUR DES THÒMES CLÏS TELS QUE LES ÏCHANGES ET
LINVESTISSEMENT LAGRICULTURE LES TRANSPORTS LE CHANGEMENT CLIMATIQUE ET LES IMPÙTS LIÏS
Ì LENVIRONNEMENT %LLE EST LUN DES PRINCIPAUX ACTEURS DU PROJET SUR LE DÏVELOPPEMENT
DURABLE MENÏ PAR L/#$% ,A $IRECTION RÏALISE RÏGULIÒREMENT DES EXAMENS PAR LES PAIRS
DES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES DES PAYS MEMBRES %LLE SURVEILLE EN PERMANENCE
LES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES COMPILE DES DONNÏES ET DES INDICATEURS SUR
LENVIRONNEMENT ET PRODUIT DES ÏTUDES PROSPECTIVES SUR LES CONDITIONS ENVIRONNEMENTALES
$ANS LE CADRE DE SON PROGRAMME SUR LA SANTÏ ET LA SÏCURITÏ ENVIRONNEMENTALES ELLE
TRAVAILLE SUR LES TESTS RÏALISÏS SUR LES SUBSTANCES CHIMIQUES LES PROCÏDURES DÏVALUATION
DU RISQUE ET LA COORDINATION DES DONNÏES ET DES NORMES RELATIVES AUX PRATIQUES EN
LABORATOIRE %LLE ENCOURAGE ÏGALEMENT LA COOPÏRATION INTERNATIONALE POUR LES TESTS DE
SÏCURITÏ ET LÏVALUATION DES RISQUES DES NANOMATÏRIAUX MANUFACTURÏS %NlN ELLE ÏTUDIE
LHARMONISATION DES MÏTHODOLOGIES DÏVALUATION DE LA SÏCURITÏ POUR LES NOUVEAUX PRODUITS
ISSUS DE LA BIOTECHNOLOGIE ,ES TRAVAUX DE LA $IRECTION ÏTAYENT LA RÏALISATION DE LA 3TRATÏGIE
DE LENVIRONNEMENT DE L/#$% POUR LES DIX PREMIÒRES ANNÏES DU 88)E SIÒCLE ADOPTÏE PAR
LES PAYS DE L/#$% EN
%JSFDUJPOFYÊDVUJWF &9%
XXXPDEFPSH
,A $IRECTION EXÏCUTIVE GÒRE LE PATRIMOINE DE L/RGANISATION AINSI QUE SES RESSOURCES
HUMAINES lNANCIÒRES ET DINFORMATIONS %8$ EST RESPONSABLE DES INFRASTRUCTURES DE
L/#$% ET DE LA FOURNITURE DES PRINCIPAUX SERVICES NOTAMMENT LA SÏCURITÏ LES 4)# LA
GESTION lNANCIÒRE LES CONFÏRENCES LES SERVICES LINGUISTIQUES ET DE DOCUMENTATION
XXXPFDEPSHEBGGS
%JSFDUJPOEFTBGGBJSFTàOBODJÍSFTFUEFTFOUSFQSJTFT %"'
EBGDPOUBDU!PFDEPSH
,A $IRECTION DES AFFAIRES lNANCIÒRES ET DES ENTREPRISES CHERCHE Ì AMÏLIORER LA QUALITÏ DE LA
GOUVERNANCE DANS LES ENTREPRISES ET SUR LES MARCHÏS $!& SOUTIENT LES POLITIQUES PUBLIQUES
ET LA COOPÏRATION INTERNATIONALE POUR ENCOURAGER LEFlCACITÏ DU MARCHÏ ET COMBATTRE LES
ABUS ,A $IRECTION REPREND LES DÏlS QUI CONCERNENT DIRECTEMENT LES ENTREPRISES EN MATIÒRE
DE POLITIQUES PUBLIQUES n NOTAMMENT LINVESTISSEMENT LES lNANCES LE GOUVERNEMENT
DENTREPRISE LA CONCURRENCE ET LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION n POUR FAVORISER LA CROISSANCE
ÏCONOMIQUE ET LE DÏVELOPPEMENT ET POUR GARANTIR LA STABILITÏ lNANCIÒRE %LLE PROMEUT
ÏGALEMENT LINTÏGRATION EFFECTIVE DES PAYS NON MEMBRES DE L/#$% DANS LÏCONOMIE
MONDIALE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5%&-0$%&
2VJGBJURVPJ
$!& TRAVAILLE EN ÏTROITE COLLABORATION AVEC LES HAUTS RESPONSABLES DES PAYS MEMBRES ET NON
MEMBRES DE L/#$% EN VUE DÏLABORER DES RECOMMANDATIONS DES PRATIQUES EXEMPLAIRES
DES NORMES INTERNATIONALES ET PARFOIS DES ACCORDS JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTS FONDÏS
SUR DES ANALYSES PORTANT SUR PLUSIEURS PAYS DES DÏBATS ORGANISÏS EN TABLES RONDES ET DES
EXAMENS PAR LES PAIRS #ES EFFORTS SONT ENRICHIS PAR DES CONSULTATIONS ET DES CONTACTS
RÏGULIERS AVEC DES REPRÏSENTANTS DU SECTEUR PRIVÏ DES SYNDICATS ET DE LA SOCIÏTÏ CIVILE
,ES TRAVAUX DE $!& SONT MENÏS AU SEIN DE SIX ORGANES ÏTABLIS DE L/#$% LE #OMITÏ DE
LINVESTISSEMENT LE #OMITÏ DE LA CONCURRENCE LE #OMITÏ DES MARCHÏS lNANCIERS LE #OMITÏ
DES ASSURANCES ET DES PENSIONS PRIVÏES LE 'ROUPE DE DIRECTION SUR LE GOUVERNEMENT
DENTREPRISE ET LE 'ROUPE DE TRAVAIL SUR LA CORRUPTION DANS LE CADRE DE TRANSACTIONS
COMMERCIALES INTERNATIONALES ,ES PAYS NON MEMBRES DE L/#$% PARTICIPENT ACTIVEMENT
Ì SES TRAVAUX ET PLUSIEURS DENTRE EUX SE SONT ENGAGÏS AU MÐME TITRE QUE LES PAYS DE
L/#$% Ì COMBATTRE LA CORRUPTION GARANTIR UN TRAITEMENT NON DISCRIMINATOIRE POUR LES
INVESTISSEURS ÏTRANGERS ET RECOMMANDER Ì LEURS ENTREPRISES MULTINATIONALES DADOPTER
UN COMPORTEMENT IRRÏPROCHABLE
XXXPFDEPSHDUQGS
$FOUSFEFQPMJUJRVFFUEBENJOJTUSBUJPOàTDBMFT $51"
DUQBDPOUBDU!PFDEPSH
,E #ENTRE DE POLITIQUE ET DADMINISTRATION lSCALES EST LE POINT DE CONVERGENCE DES
TRAVAUX DE L/#$% SUR LA lSCALITÏ ,E #40! OFFRE SES COMPÏTENCES TECHNIQUES AU #OMITÏ
DES AFFAIRES lSCALES QUI COUVRE TOUTES LES QUESTIONS EN MATIÒRE DE TAXES AUTRES QUE LES
DROITS DE DOUANE AINSI QUE LES QUESTIONS DE POLITIQUE ET DADMINISTRATION lSCALES ,ES
RÏSULTATS STATISTIQUES DU #40! 3TATISTIQUES DES RECETTES PUBLIQUES ,ES IMPÙTS SUR LES SALAIRES ET
LA BASE DE DONNÏES STATISTIQUES lSCALES EN LIGNE DE L/#$% FOURNISSENT DES COMPARAISONS
ANNUELLES DES NIVEAUX ET DES STRUCTURES DIMPOSITION DES REVENUS
,E #40! FAVORISE AUSSI LE DIALOGUE AVEC LES ÏCONOMIES NON MEMBRES DE L/#$% POUR
PROMOUVOIR LA COOPÏRATION INTERNATIONALE EN MATIÒRE lSCALE ,E PROGRAMME DE PARTENARIAT
QUI COMPTE PLUS DE PAYS FAIT PARTIE DU TRAVAIL ESSENTIEL DU #40! NOTAMMENT DANS LES
DOMAINES DE LA NÏGOCIATION DE LAPPLICATION ET DE LINTERPRÏTATION DES CONVENTIONS lSCALES
DES PRIX DE TRANSFERT ET DE LÏCHANGE EFFECTIF DE RENSEIGNEMENTS ENTRE ADMINISTRATIONS
lSCALES
,E #40! CONTRIBUE AUX TRAVAUX DAUTRES COMITÏS DE L/#$% SUR DES PROJETS QUI ONT UNE
FORTE COMPOSANTE lSCALE 0ARMI LES EXEMPLES RÏCENTS CITONS LÏTUDE DES MOYENS POUR
SURMONTER LES OBSTACLES Ì LAPPLICATION DES TAXES LIÏES Ì LENVIRONNEMENT LANALYSE DU
RÙLE DE LA POLITIQUE lSCALE DANS LA MOBILISATION DES INVESTISSEMENTS ET UN EXAMEN DE LA
MANIÒRE DONT LES IMPÙTS INmUENT SUR LA VALEUR NETTE DES PRESTATIONS SOCIALES
XXXPFDEPSHHPWGS
%JSFDUJPOEFMBHPVWFSOBODFQVCMJRVFFUEVEÊWFMPQQFNFOUUFSSJUPSJBM (07
HPWDPOUBDU!PFDEPSH
,A $IRECTION DE LA GOUVERNANCE PUBLIQUE ET DU DÏVELOPPEMENT TERRITORIAL AIDE LES PAYS
Ì ADAPTER LEURS MODES DE GOUVERNEMENT ET LEURS POLITIQUES TERRITORIALES Ì LÏVOLUTION
DES BESOINS DE LA SOCIÏTÏ )L SAGIT DAMÏLIORER LEFlCACITÏ DES POUVOIRS PUBLICS TOUT EN
PROTÏGEANT ET EN ENCOURAGEANT LES VALEURS DE GOUVERNANCE Ì PLUS LONG TERME AU SEIN DE LA
SOCIÏTÏ 3OUS LÏGIDE DU #OMITÏ DE LA GOUVERNANCE PUBLIQUE ET DU #OMITÏ DES POLITIQUES DE
DÏVELOPPEMENT TERRITORIAL LA $IRECTION ANALYSE LA MANIÒRE DONT LES POUVOIRS PUBLICS GÒRENT
LE SECTEUR PUBLIC AMÏLIORENT LA QUALITÏ DES SERVICES PUBLICS ET RENDENT PLUS COHÏRENTE LA
MISE EN UVRE DE LEURS POLITIQUES %LLE ENCOURAGE LÏLABORATION DE POLITIQUES TERRITORIALES
INNOVANTES AXÏES SUR LA STIMULATION DE LA COMPÏTITIVITÏ TERRITORIALE ET NON PLUS SUR LOCTROI
DE SUBVENTIONS ET FONDÏES SUR DES ACTIONS LOCALISÏES PLUTÙT QUE SECTORIELLES %LLE ÏLABORE
AUSSI DES RECOMMANDATIONS SUR LES PRATIQUES EXEMPLAIRES ET FAIT RESSORTIR DES ENJEUX
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
NOUVEAUX TELS QUE LADMINISTRATION EN LIGNE %LLE MET ÏGALEMENT AU POINT DES INDICATEURS
COMPARATIFS SUR LA BONNE GOUVERNANCE ET LEFlCACITÏ DES SERVICES PUBLICS
,UNE DES PRINCIPALES FONCTIONS DE '/6 EST DE SERVIR DE CADRE Oá LES PAYS PEUVENT ÏCHANGER
DES IDÏES SUR LES SOLUTIONS POSSIBLES AUX PROBLÒMES DE GOUVERNANCE $E HAUTS RESPONSABLES
POLITIQUES SE RÏUNISSENT AU SEIN DE GROUPES DE TRAVAIL SPÏCIALISÏS POUR EXAMINER LE BUDGET
ET LA GESTION LA CONCEPTION DES POLITIQUES LA RÏFORME DE LA RÏGLEMENTATION LA GESTION DES
RESSOURCES HUMAINES LA GESTION DES CONmITS DINTÏRÐT LADMINISTRATION ÏLECTRONIQUE LA
POLITIQUE TERRITORIALE EN MILIEUX URBAIN ET RURAL ET LES INDICATEURS TERRITORIAUX
%JSFDUJPOEFTSFMBUJPOTFYUÊSJFVSFTFUEFMBDPNNVOJDBUJPO 1"$
XXXPDEFPSH
,A $IRECTION DES RELATIONS EXTÏRIEURES ET DE LA COMMUNICATION UVRE POUR QUE LE PUBLIC
SOIT INFORMÏ RAPIDEMENT DES TRAVAUX DE L/#$% CONTRIBUANT AINSI Ì LA TRANSPARENCE ET
Ì LOUVERTURE DE L/RGANISATION 0!# PRÏSENTE LES i TRAVAUX EN COURS w SUR )NTERNET POUR
SUSCITER LES COMMENTAIRES DU PUBLIC %LLE EST ÏGALEMENT RESPONSABLE DES RELATIONS AVEC
LES MÏDIAS ET GÒRE LA PUBLICATION Y COMPRIS LES DROITS ÏTRANGERS ET LES TRADUCTIONS DANS
PLUSIEURS LANGUES ET LA COMMERCIALISATION DE QUELQUE OUVRAGES PAR AN DU MAGAZINE
,/BSERVATEUR DE L/#$% DES 3YNTHÒSES DU 2APPORT ANNUEL ET DE LA BROCHURE i ,ES QUESTIONS
CLÏS w DESTINÏE Ì LA RÏUNION MINISTÏRIELLE %LLE EST ÏGALEMENT RESPONSABLE DE LA LIBRAIRIE EN
LIGNE QUI CONNAÔT UN DÏVELOPPEMENT RAPIDE ,A $IRECTION GÒRE LES RELATIONS DE L/#$% AVEC
LE #OMITÏ CONSULTATIF ÏCONOMIQUE ET INDUSTRIEL AUPRÒS DE L/#$% ")!# LA #OMMISSION
SYNDICALE CONSULTATIVE AUPRÒS DE L/#$% 45!# LE #ONSEIL DE L%UROPE LA #OMMISSION
DE LÏCONOMIE ET DE LA SÏCURITÏ DE L!SSEMBLÏE PARLEMENTAIRE DE L/4!. ET SIMPLIQUE DE
PLUS EN PLUS DANS LE DIALOGUE AVEC LA SOCIÏTÏ CIVILE %LLE ORGANISE CHAQUE ANNÏE LE &ORUM
DE L/#$% QUI RASSEMBLE DES REPRÏSENTANTS DES PAYS DE L/#$% AVEC CEUX DENTREPRISES
DE SYNDICATS DUNIVERSITÏS ET DAUTRES ORGANISATIONS DE LA SOCIÏTÏ CIVILE POUR DÏBATTRE DES
GRANDS ENJEUX STRATÏGIQUES DU MOMENT AUXQUELS SONT CONFRONTÏS LES MINISTRES DE L/#$%
0!# EST AUSSI RESPONSABLE DES CENTRES DE L/#$% Ì "ERLIN -EXICO 4OKYO ET 7ASHINGTON
ET SERT DE POINT DE CONTACT AVEC DAUTRES ORGANISMES INTERNATIONAUX DES PARLEMENTAIRES
DES ORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES ET LE GRAND PUBLIC
XXXPFDEPSHTUJGS
%JSFDUJPOEFMBTDJFODF
EFMBUFDIOPMPHJFFUEFMJOEVTUSJF 45*
TUJDPOUBDU!PFDEPSH
,A $IRECTION DE LA SCIENCE DE LA TECHNOLOGIE ET DE LINDUSTRIE A POUR MISSION GÏNÏRALE
DE PERMETTRE AUX PAYS MEMBRES DE L/#$% DAPPRÏHENDER ET DE MODELER n LÌ Oá IL EST
NÏCESSAIRE DE LE FAIRE n LÏVOLUTION DUNE ÏCONOMIE FONDÏE SUR LE SAVOIR %LLE LES AIDE
ÏGALEMENT Ì ADAPTER LES POLITIQUES NATIONALES AlN DE MAXIMISER LE POTENTIEL DINNOVATION
ET DE SAISIR LES OPPORTUNITÏS QUOFFRENT LE PROGRÒS TECHNOLOGIQUE ET LA MONDIALISATION ,A
$IRECTION FOURNIT DES INDICATEURS DES ANALYSES DES RECOMMANDATIONS ET PARFOIS DES
ORIENTATIONS i NON
CONTRAIGNANTES w POUR PERMETTRE AUX GOUVERNEMENTS DE FORMULER DES
POLITIQUES PUBLIQUES SUR DES QUESTIONS LIÏES AUX SCIENCES AUX TECHNOLOGIES AUX INDUSTRIES
ET AUX INNOVATIONS ,E #OMITÏ DE LINDUSTRIE DE LINNOVATION ET DE LENTREPRENARIAT EXAMINE
LES CONDITIONS CADRES DE LA COMPÏTITIVITÏ DANS LINDUSTRIE ET LES SERVICES LA CROISSANCE DE
LA PRODUCTIVITÏ ET LIMPACT DE LA MONDIALISATION ET DE LÏVOLUTION TECHNOLOGIQUE ,E #OMITÏ
DE LA POLITIQUE SCIENTIlQUE ET TECHNOLOGIQUE ÏTUDIE LES MOYENS DE STIMULER LA SCIENCE
ET LINNOVATION DE RENFORCER LA CONTRIBUTION DES DROITS DE PROPRIÏTÏ INTELLECTUELLE Ì LA
CROISSANCE ÏCONOMIQUE ET DACCROÔTRE LEFlCACITÏ DE LA 2 $ AINSI QUE CELLE DE LA RELATION
INDUSTRIE
SCIENCE 3ON 'ROUPE DE TRAVAIL SUR LA BIOTECHNOLOGIE SE CONCENTRE SUR LANALYSE
DES POLITIQUES ET DU DÏVELOPPEMENT AINSI QUE SUR LA MÏTRIQUE QUI A POUR BUT DE MAXIMISER
LA CONTRIBUTION QUE LA BIOTECHNOLOGIE PEUT APPORTER Ì LA CROISSANCE DURABLE ,E #OMITÏ
DE LINFORMATION DE LINFORMATIQUE ET DES COMMUNICATIONS UVRE POUR COMPRENDRE LES
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5%&-0$%&
2VJGBJURVPJ
NOUVELLES TENDANCES DE LÏVOLUTION DES 4)# SES APPLICATIONS ET SES UTILISATIONS NOTAMMENT
)NTERNET )L AIDE ÏGALEMENT Ì LA FORMULATION DES POLITIQUES PUBLIQUES AU SERVICE DUNE
MEILLEURE SOCIÏTÏ DE LINFORMATION ,E #OMITÏ DE LA POLITIQUE Ì LÏGARD DES CONSOMMATEURS
SE CONCENTRE SUR LE RENFORCEMENT DE LA PROTECTION DU CONSOMMATEUR ET DE LA CONlANCE
DE LUTILISATEUR ENVERS )NTERNET ,A $IVISION DES ANALYSES ÏCONOMIQUES ET DES STATISTIQUES
COLLECTE ET ANALYSE DES DONNÏES STATISTIQUES ET DES INDICATEURS RELATIFS Ì LA SCIENCE Ì LA
TECHNOLOGIE ET Ì LINNOVATION NOTAMMENT EN MATIÒRE DE 2 $ DE BREVETS DE RESSOURCES
HUMAINES DE BIOTECHNOLOGIE ET DE 4)# ,A $IRECTION SOUTIENT ÏGALEMENT LE #OMITÏ DE
LACIER ET LE 'ROUPE DE TRAVAIL DU #ONSEIL SUR LA CONSTRUCTION NAVALE
XXXPFDEPSHTUEGS
%JSFDUJPOEFTTUBUJTUJRVFT 45%
TUBUDPOUBDU!PFDEPSH
,A $IRECTION DES STATISTIQUES COLLECTE LES STATISTIQUES ÏCONOMIQUES DE TOUTE LA ZONE /#$%
ET AU
DELÌ #ELLES
CI SONT NORMALISÏES POUR ÐTRE COMPARABLES AU PLAN INTERNATIONAL ET
SONT PUBLIÏES SOUS FORMES IMPRIMÏE ET ÏLECTRONIQUE ,E MENSUEL LES 0RINCIPAUX INDICATEURS
ÏCONOMIQUES CONSTITUE LUNE DES PRINCIPALES PUBLICATIONS DE LA $IRECTION $AUTRES
PUBLICATIONS SPÏCIALISÏES TRAITENT DU COMMERCE EXTÏRIEUR DES COMPTES NATIONAUX DE
LEMPLOI ET DU CHÙMAGE $AUTRES $IRECTIONS DE L/#$% PUBLIENT DES DONNÏES ET DES
INDICATEURS POUR DES SECTEURS SPÏCIALISÏS %N COLLABORATION AVEC DES STATISTICIENS DE
PAYS MEMBRES ET DAUTRES ORGANISATIONS INTERNATIONALES L/#$% JOUE UN RÙLE MAJEUR
DANS LA MISE AU POINT DE NOUVEAUX SYSTÒMES DE DONNÏES ET DE NORMES STATISTIQUES
RÏPONDANT AUX NOUVELLES PRÏOCCUPATIONS DES POUVOIRS PUBLICS ET AUX BESOINS DES
UTILISATEURS ,A $IRECTION DES STATISTIQUES EST AUSSI CHARGÏE DE COORDONNER TOUTES LES
ACTIVITÏS STATISTIQUES DE L/#$% ET DE METTRE AU POINT LE NOUVEAU SYSTÒME DINFORMATION
STATISTIQUE DE L/RGANISATION
XXXPFDEPSHEFWGS
$FOUSFEFEÊWFMPQQFNFOU %&7
EFWDPOUBDU!PFDEPSH
,E #ENTRE DE DÏVELOPPEMENT JOUE LE RÙLE DINTERFACE STRATÏGIQUE DE L/#$% AVEC LA
COMMUNAUTÏ INTERNATIONALE DES PROFESSIONNELS DU DÏVELOPPEMENT DANS LA PERSPECTIVE
DES PRIORITÏS STRATÏGIQUES DE L/RGANISATION 0OUR CE FAIRE LE #ENTRE ANALYSE DES POLITIQUES
FONDÏES SUR LA RECHERCHE ET ENTRETIENT LE DIALOGUE SUR DES ASPECTS DU DÏVELOPPEMENT
NOTAMMENT SUR LA COHÏRENCE DES POLITIQUES )L CONTRIBUE ÏGALEMENT Ì APPROFONDIR LA
RELATION DE PARTENARIAT DE L/#$% AVEC LES PAYS EN DÏVELOPPEMENT ET LES DIFFÏRENTS
INTERVENANTS RESPONSABLES POLITIQUES OU NON QUI SOUHAITENT APPORTER UNE CONTRIBUTION
AUX DÏLIBÏRATIONS DE L/#$% ,E #ENTRE EST ÏGALEMENT UN POINT DANCRAGE POUR LES PARTIES
PRENANTES REPRÏSENTANTS DES POUVOIRS PUBLICS OU DE LA SOCIÏTÏ CIVILE UNIVERSITAIRES ET
JOURNALISTES QUI SINTÏRESSENT AU DÏVELOPPEMENT ÏCONOMIQUE DANS LES PAYS TRÒS PAUVRES
,A PARTICIPATION AU #ENTRE DE DÏVELOPPEMENT EST ENTIÒREMENT VOLONTAIRE LA PLUPART DES
PAYS DE L/#$% EN FONT PARTIE AINSI QUE CERTAINS PAYS EN DÏVELOPPEMENT QUI SOUHAITENT
PRENDRE UNE PART ACTIVE AU DIALOGUE DE L/RGANISATION SUR LE DÏVELOPPEMENT
XXXPFDEPSHTBIGS
-F$MVCEV4BIFMFUEFM"GSJRVFEFM0VFTU $4"0
TBIFMDPOUBDU!PFDEPSH
,E DIALOGUE SUR LA POLITIQUE DE L/#$% AVEC L!FRIQUE PROGRESSE ÏGALEMENT AU NIVEAU
RÏGIONAL EN PARTICULIER GRÊCE AUX EFFORTS DU #LUB DU 3AHEL ET DE L!FRIQUE DE L/UEST ,E
#LUB EST UN ORGANE SEMI
AUTONOME DE L/#$% ET CONSTITUE UN LIEN UNE INTERFACE ENTRE LES
ACTEURS DE L!FRIQUE DE L/UEST ET LES PAYS MEMBRES DE L/#$% 3ES OBJECTIFS PRINCIPAUX
SONT LES SUIVANTS IDENTIlER LES QUESTIONS STRATÏGIQUES LIÏES AU DÏVELOPPEMENT Ì MOYEN
ET Ì LONG TERME EN !FRIQUE DE L/UEST MOBILISER ET RENFORCER LES CAPACITÏS AFRICAINES
PAR UNE APPROCHE DE RÏSEAU ENCOURAGER LES DÏBATS CONSTRUCTIFS QUI ABOUTISSENT AUX
DÏCISIONS INNOVANTES AU SEIN ET Ì LEXTÏRIEUR DE LA RÏGION ,E #3!/ CONCENTRE SES EFFORTS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0 $ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
DANS QUATRE DOMAINES DINTÏRÐT POUR LA RÏGION ET LA COMMUNAUTÏ INTERNATIONALE LES
PERSPECTIVES DE DÏVELOPPEMENT Ì MOYEN ET Ì LONG TERME LA TRANSFORMATION DU MONDE
RURAL ET LE DÏVELOPPEMENT DURABLE LE DÏVELOPPEMENT LOCAL ET LE PROCESSUS DINTÏGRATION
RÏGIONALE ET LA GOUVERNANCE LA DYNAMIQUE DES CONmITS LA PAIX ET LA SÏCURITÏ %N
OUTRE CES DOMAINES DINTÏRÐT SONT CONFORMES AUX PRÏOCCUPATIONS RELATIVES AU FUTUR DE
LA RÏGION EXPRIMÏES DANS LE CADRE DU .OUVEAU PARTENARIAT POUR LE DÏVELOPPEMENT DE
L!FRIQUE DE LA 6ISION DE LUNION AFRICAINE ET DE LACCORD DE PARTENARIAT CONCLU RÏCEMMENT
ENTRE LES SECRÏTARIATS DU #3!/ ET DE LA #OMMUNAUTÏ ÏCONOMIQUE DES ³TATS DE L!FRIQUE
DE L/UEST
XXXPFDEPSHDDONGS
$FOUSFQPVSMBDPPQÊSBUJPOBWFDMFTOPONFNCSFT $$/.
DDONDPOU!PFDEPSH
,/#$% COMPTE PAYS MEMBRES MAIS DE NOMBREUX AUTRES PAYS ET ÏCONOMIES NON
MEMBRES SONT IMPLIQUÏS DANS UN LARGE ÏVENTAIL DE TRAVAUX MENÏS PAR L/RGANISATION ,E
#ENTRE POUR LA COOPÏRATION AVEC LES NON
MEMBRES ÏLABORE ET SUPERVISE LES ORIENTATIONS
STRATÏGIQUES DANS LE CADRE DES RELATIONS QUE L/#$% ENTRETIENT AVEC LES NON
MEMBRES
AU NIVEAU MONDIAL ,E ##.- APPUIE LE #OMITÏ DES RELATIONS EXTÏRIEURES )L COLLABORE
ÏGALEMENT AVEC LES MEMBRES DE L/RGANISATION POUR CONVENIR DES PRIORITÏS STRATÏGIQUES
ET VEILLE Ì CE QUE LES RÏGIONS ET PAYS OU ÏCONOMIES PERTINENTS SOIENT ENGAGÏS DANS LE
TRAVAIL DE L/RGANISATION %N OUTRE IL CONSEILLE LE 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL ET SES ADJOINTS ET
DONNE DES ORIENTATIONS AU 3ECRÏTARIAT POUR QUE LES RELATIONS DE L/#$% AVEC LES NON
MEMBRES ÏVOLUENT DE MANIÒRE COORDONNÏE ET DANS LESPRIT DES OBJECTIFS STRATÏGIQUES
ADOPTÏS ,E #ENTRE SERT DE POINT DE CONTACT POUR LES NON
MEMBRES LES GUIDANT DANS LEURS
RELATIONS AVEC L/RGANISATION TOUT EN MAINTENANT UNE VUE DENSEMBLE DES RELATIONS DES
NON
MEMBRES AVEC L/#$% )L COORDONNE Ì LA FOIS LA PARTICIPATION DES NON
MEMBRES DANS
LES ORGANES DE L/#$% ET LE PROCESSUS DADHÏSION DES NOUVEAUX MEMBRES NOTAMMENT
EN ÏTAYANT LES DISCUSSIONS DU #ONSEIL SUR LÏLARGISSEMENT DE L/RGANISATION ,E ##.-
SERT AUSSI DE POINT DE CONTACT AVEC DAUTRES ORGANISATIONS INTERNATIONALES IL ASSURE LA
PROMOTION ET LA COORDINATION DES RELATIONS AVEC ELLES
XXXPFDEPSHQSPTQFDUJWF
-F1SPHSBNNFEFM0$%&TVSMBWFOJS NJDIBFMPCPSOF!PFDEPSH
,E RÙLE DU 0ROGRAMME DE L/#$% SUR LAVENIR QUI RELÒVE DIRECTEMENT DU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL
DE L/#$% EST DIDENTIlER LES NOUVEAUX PROBLÒMES ÏCONOMIQUES ET SOCIAUX QUI RISQUENT
DAVOIR DES EFFETS IMPORTANTS SUR LÏLABORATION DES POLITIQUES DES PAYS MEMBRES DANS
LES ANNÏES Ì VENIR 3ON BUT EST DE PROMOUVOIR LA PENSÏE STRATÏGIQUE DEXPÏRIMENTER
DE NOUVELLES IDÏES POUR L/RGANISATION DÏLABORER DES APPROCHES MULTIDISCIPLINAIRES ET
DE FAVORISER LE DIALOGUE ENTRE POUVOIRS PUBLICS MILIEUX DAFFAIRES ET CHERCHEURS SUR DES
QUESTIONS PRÏSENTANT UN INTÏRÐT Ì LONG TERME 5NE GRANDE PARTIE DE CES TRAVAUX SONT
DISPONIBLES SOUS FORME DE RAPPORTS ET DE PUBLICATIONS DE L/#$% 0ARMI LES ACTIVITÏS EN
COURS CITONS LE CONSEIL AUX PAYS MEMBRES EN MATIÒRE DE GESTION DES RISQUES MAJEURS
n DORIGINE NATURELLE OU HUMAINE n DANS UN ENVIRONNEMENT MONDIAL DE PLUS EN PLUS
INTERDÏPENDANT ET INCERTAIN LES TRAVAUX SUR LE lNANCEMENT DES BESOINS FUTURS EN
INFRASTRUCTURE Ì LÏCHELLE MONDIALE LANALYSE ÏCONOMIQUE DES APPLICATIONS SPATIALES TELLES
QUE LES SYSTÒMES DOBSERVATION DE LA TERRE DE POSITIONNEMENT GLOBAL ET DE NAVIGATION
PAR SATELLITE LAVENIR DES MIGRATIONS INTERNATIONALES ET LES CONSÏQUENCES PLUS VASTES
DE LÏMERGENCE DE LA BIOÏCONOMIE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5%&-0$%&
3ÊQFSUPJSFEFM0$%&
3ÊQFSUPJSFEFM0$%&
$SPJTTBODFFUTUBCJMJUÊÊDPOPNJRVFT #JPTÊDVSJUÊFUDVMUVSFTUSBOTHÊOJRVFT 1SJODJQFTEJSFDUFVSTÆMJOUFOUJPOEFTFOUSFQSJTFT
XXXPFDEPSHCJPUSBDL NVMUJOBUJPOBMFTTJYBOTBQSÍT
$SPJTTBODFÊDPOPNJRVF JDHC!PFDEPSH XXXPFDEPSHEBGJOWFTUJTTFNFOUQSJODJQFTEJSFDUFVST
XXXPFDEPSHFDPOPNJF QJFSSFQPSFU!PFDEPSH
FDPDPOUBDU!PFDEPSH 4BOUÊ
XXXPFDEPSHTBOUF
2VFTUDFRVFMBDPODVSSFODFQBSMFTNÊSJUFT IFBMUIDPOUBDU!PFDEPSH
%ÊWFMPQQFNFOUEFT
XXXPFDEPSHDPODVSSFODF ÊDPOPNJFTOPONFNCSFT
KFSFNZXFTU!PFDEPSH 4BOUÊEFTDPÚUTFOIBVTTF
XXXPFDEPSHTBOUFFDPTBOUF $PPQÊSBUJPOQPVSMFEÊWFMPQQFNFOU
$PVWSJSMFTJODJEFOUTNÊEJDBVY
XXXPFDEPSHEBGBTTVSBODF IFBMUIDPOUBDU!PFDEPSH XXXPFDEPSHEFWFMPQQFNFOU
áPSFBOOFNFTTZ!PFDEPSH EBDDPOUBDU!PFDEPSH
%ÊWFMPQQFNFOUEVSBCMF DIBOHFTFUàTDBMJUÊJOUFSOBUJPOBMF EFWDPOUBDU!PFDEPSH
XXXPFDEPSHEFWFMPQQFNFOUEVSBCMF %SPJUTEFMIPNNFFUEÊWFMPQQFNFOU
DBOEJDFTUFWFOT!PFDEPSH DIBOHFT XXXPFDEPSHDBEHPVWFSOBODF
XXXPFDEPSHFDIBOHFT EBDDPOUBDU!PFDEPSH
4DJFODF
UFDIOPMPHJFFUJOOPWBUJPO UBEDPOUBDU!PFDEPSH
-BJEFBVDPNNFSDF
XXXPFDEPSHTDJFODFGS DIBOHFTTVETVE XXXPFDEPSHDBEFDIBOHFT
TUJDPOUBDU!PFDEPSH XXXPFDEFDIEJBMPHVF EBDDPOUBDU!PFDEPSH
-FTOBOPUFDIOPMPHJFT UBEDPOUBDU!PFDEPSH
XXXPFDEPSHFOWOBOPTFDVSJUF
-FTEÊMBJTVOPCTUBDMFBVYÊDIBOHFT
3FMBUJPOTNPOEJBMFT
XXXPFDEPSHTUJTUQPMJDZ XXXPFDEPSHDDONGS
XXXPFDEPSHFDITFSWJDFTGS DDONDPOU!PFDEPSH
TUJDPOUBDU!PFDEPSH
IJMEFHVOOOPSEBT!PFDEPSH
-BDZCFSGSBVEF -F#SÊTJM
XXXPFDEPSHTUJDSPTTCPSEFSGSBVE $SÊEJUTÆMFYQPSUBUJPO XXXPFDEPSHDDONCSFTJM
BOESFXXZDLPGG!PFDEPSH XXXPFDEPSHUBEYDSFEGS DDONDPOU!PFDEPSH
YDSFETFDSFUBSJBU!PFDEPSH
*OEVTUSJF 4UBUJTUJRVFT
XXXPFDEPSHTUJQPMJUJRVFTJOEVTUSJFMMFT "HSJDVMUVSFFUQËDIFSJFT
KPIOESZEFO!PFDEPSH XXXPFDEPSHBHSJDVMUVSFGS
UBEDPOUBDU!PFDEPSH
4UBUJTUJRVFT
$PNCMFSMFEÊàDJUEFàOBODFNFOUEFT1.& XXXPFDEPSHTUBUJTUJRVFT
XXXPFDEPSHDGFTNFàOBODJOH 4PVUJFOQVCMJDÆMBQËDIF TUBUDPOUBDU!PFDEPSH
TNFEJWJTJPO!PFDEPSH XXXPFDEPSHBHSQFDIF *OEJDBUFVSTEVQSPHSÍTTPDJBM
BOUIPOZDPY!PFDEPSH XXXPFDEPSHTUBUJTUJRVFT
.POEJBMJTBUJPOFUÊDPOPNJFEFMBDPOOBJTTBODF
XXXPFDEPSHTUJNFTVSFSNPOEJBMJTBUJPO .BSDIÊEFMBWJBOEF TUBUDPOUBDU!PFDEPSH
XXXPFDEPSHTUJFYUFSOBMJTBUJPO XXXPFDEPSHBHSNBSDIF
KPIOESZEFO!PFDEPSH MJOEBGVMQPOJ!PFDEPSH $PNNVOJDBUJPO
&NQMPJ
DPIÊTJPOTPDJBMFFU 'JTDBMJUÊ 3FMBUJPOTFYUÊSJFVSFTFUDPNNVOJDBUJPO
XXXPFDEPSHàTDBMJUF XXXPDEFPSH
FOWJSPOOFNFOU DUQBDPOUBDU!PFDEPSH
$BQJUBMIVNBJOmVOFQVCMJDBUJPOTUSBUÊHJRVF
&NQMPJFUDPIÊTJPOTPDJBMF *OUFSEJSFMBEÊEVDUJPOàTDBMFEFTQPUTEFWJO XXXPFDEPSHMFTFTTFOUJFMT
XXXPFDEPSHFNQMPJ XXXPFDEPSHDUQBOUJDPSSVQUJPO PFDEQVCMJTIJOH!PFDEPSH
FNQMPZNFOUDPOUBDU!PFDEPSH DUQBDPOUBDU!PFDEPSH $FOUSFT0$%&
.BMBEJF
JOWBMJEJUÊFUUSBWBJM 'PSVNTVSMBENJOJTUSBUJPOEFMJNQÔU XXXPFDEPSHDFOUSFTGS
XXXPFDEPSHFMTJOWBMJEJUF XXXPFDEPSHDUQBG SJDBSEPMVJTUFKBEB!PFDEPSH
FNQMPZNFOUDPOUBDU!PFDEPSH DUQBDPOUBDU!PFDEPSH $PNJUÊDPOTVMUBUJGÊDPOPNJRVFFUJOEVTUSJFM
%FMJNNJHSBUJPOÆMJOUÊHSBUJPO BVQSÍTEFM0$%& #*"$
XXXPFDEPSHFMTNJHSBUJPOTJOUFHSBUJPO (PVWFSOBODF XXXCJBDPSH
NJHSBUJPODPOUBDU!PFDEPSH CJBD!CJBDPSH
(PVWFSOBODFQVCMJRVF $PNNJTTJPOTZOEJDBMFDPOTVMUBUJWF
EVDBUJPO XXXPFDEPSHHPVWFSOBODF
XXXPFDEPSHFOTFJHOFNFOU BVQSÍTEFM0$%& 56"$
HPWDPOUBDU!PFDEPSH
CBSCBSBJTDIJOHFS!PFDEPSH XXXUVBDPSH
"MMÊHFSMFTDIBSHFTBENJOJTUSBUJWFT UVBD!UVBDPSH
-F1*4"FUMFTÊMÍWFTJTTVTEFMJNNJHSBUJPO XXXPFDEPSHSFGPSNFSFH
XXXQJTBPFDEPSH KPTFGLPOWJU[!PFDEPSH
BOESFBTTDIMFJDIFS!PFDEPSH "*&
áFNNJOHPMTFO!PFDEPSH
&OTFJHOFNFOUTVQÊSJFVSRVBMJUÊ
ÊRVJUÊFUFGàDJFODF XXXJFBPSH
6OFGPODUJPOQVCMJRVFWJFJMMJTTBOUF JOGP!JFBPSH
XXXPFDEPSHFEVUFSUJBSZ
SJDIBSEZFMMBOE!PFDEPSH XXXPFDEPSHHPWISN
FMTBQJMJDIPXTLJ!PFDEPSH "&/
4DÊOBSJPTQPVSMÊDPMFEFEFNBJO XXXOFBGS
XXXPFDEPSHFEVDFSJGS %FTWJMMFTDPNQÊUJUJWFT
OFB!OFBGS
EBWJEJTUBODF!PFDEPSH XXXPFDEPSHHPWEFWFMPQQFNFOUSFHJPOBM
NBSJPQF[[JOJ!PFDEPSH
$&.5
&OWJSPOOFNFOU XXXDFNUPSHJOEFYGSIUN
XXXPFDEPSHFOWJSPOOFNFOU (PVWFSOBODFQSJWÊF XXXPFDEPSHUSBOTQPSU
FOWDPOUBDU!PFDEPSH XXXPFDEPSHEBGGS FDNUDPOUBDU!PFDEPSH
EBGDPOUBDU!PFDEPSH
&YBNFOFOWJSPOOFNFOUBMEFMB$IJOF
XXXPFDEPSHFOWFYBNFOTQBZT $BESFEBDUJPOQPVSMJOWFTUJTTFNFOU ("'*
FOWDPOUBDU!PFDEPSH XXXPFDEPSHEBGJOWFTUJTTFNFOUQà XXXGBUGHBàPSH
QJFSSFQPSFU!PFDEPSH DPOUBDU!GBUGHBàPSH
&TTBJTEFTQSPEVJUTDIJNJRVFT
UFNQTFUBSHFOUÊDPOPNJTÊT
BOJNBVYÊQBSHOÊT "DUJWJUÊTIBTBSEFVTFT '1"
XXXPFDEPSHFIT XXXPFDEPSHEBGJOWFTUJTTFNFOUQSJODJQFTEJSFDUFVST XXXGPSVNQBSUFOBSJBUBGSJRVFPSH
JDHC!PFDEPSH QJFSSFQPSFU!PFDEPSH BQGDPOUBDU!PFDEPSH
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
3ÊVOJPOEV$POTFJMBV
OJWFBVEFTNJOJTUSFTEF XXXPFDEPSHNDNGS
#ETTE ANNÏE LA RÏUNION DU #ONSEIL AU NIVEAU DES MINISTRES 2#- SEST TENUE Ì L(ÙTEL
DU MINISTRE AU MINISTÒRE FRAN AIS DES !FFAIRES ÏTRANGÒRES AU 1UAI D/RSAY LES ET
MAI ,A 'RÒCE A PRÏSIDÏ LA RÏUNION ET LE #ANADA AINSI QUE LA #ORÏE ONT ASSURÏ LES
6ICE PRÏSIDENCES
,A 2#- INTITULÏE i !SSURER LA PROSPÏRITÏ w ÏTAIT CENTRÏE SUR LES PROBLÒMES
MACROÏCONOMIQUES ET STRUCTURELS Ì MOYEN ET LONG TERME $ANS SON RÏSUMÏ
+OSTAS +ARAMANLIS LE 0REMIER MINISTRE GREC A DÏCLARÏ QUE LES MINISTRES SÏTAIENT FÏLICITÏS
DES RÏSULTATS PROJETS ET RÏSOLUTIONS DU #ONSEIL DE L/#$% ÏNUMÏRÏS CI
APRÒS
I LE #ADRE DACTION POUR LINVESTISSEMENT ET LES /RIENTATIONS Ì LINTENTION DES DONNEURS
POUR LUTILISATION DE LAIDE PUBLIQUE AU DÏVELOPPEMENT EN VUE DE PROMOUVOIR
LINVESTISSEMENT PRIVÏ QUI FORMENT ENSEMBLE L)NITIATIVE DE L/#$% POUR UN
INVESTISSEMENT AU SERVICE DU DÏVELOPPEMENT LANCÏE APRÒS LA 2#- DE
II LÏTUDE DE L/#$% SUR LES ACTIFS IMMATÏRIELS ET LA CRÏATION DE VALEUR AINSI QUE LÏTUDE DE
SUIVI PROPOSÏE POUR MIEUX COMPRENDRE LE RÙLE MOTEUR DE CES ACTIFS POUR LINNOVATION
ET LA CRÏATION DE VALEUR NOTAMMENT EN CE QUI CONCERNE LORGANISATION DES ENTREPRISES
ET LES PÙLES RÏGIONAUX
III LA RÏSOLUTION DU #ONSEIL SUR LA NOUVELLE STRUCTURE DE GOUVERNANCE DE L/#$% ET
IV LA DÏCISION DU #ONSEIL EN VUE DE LA MISE EN PLACE EN JUILLET DUN MÏCANISME POUR
IDENTIlER LES PAYS SUSCEPTIBLES DADHÏRER Ì L/#$% ET CEUX AVEC LESQUELS L/RGANISATION
DOIT RENFORCER SES RELATIONS
%FHBVDIFÆESPJUF
-FTFDSÊUBJSFEUBUBEKPJOU
BNÊSJDBJODIBSHÊEFT"GGBJSFT
ÊDPOPNJRVFTFUEFT&OUSFQSJTFT
&BSM"OUIPOZ8BZOF
FU
MFEJSFDUFVSHÊOÊSBMEV5SÊTPS
JUBMJFO
7JUUPSJP(SJMMJ
MPSTEF
MBSÊVOJPOBOOVFMMFEV$POTFJM
EFTNJOJTUSFTEFM0$%&
FONBJ
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
"646+&5%&-0$%&
3ÊVOJPONJOJTUÊSJFMMF
,E 2ÏSUMÏ DU 0RÏSIDENT COMPORTAIT ÏGALEMENT PLUSIEURS MANDATS OU POINTS APPELANT
UNE ACTION
³CONOMIE POLITIQUE DES RÏFORMES STRUCTURELLES i x IL CONVIENT DINVITER L/#$% Ì ÏTUDIER
LES CAS DE RÏUSSITE ET DÏCHEC DES RÏFORMES ENTREPRISES PAR LES DIFFÏRENTS PAYS w
)NITIATIVE DE L/#$% POUR UN INVESTISSEMENT AU SERVICE DU DÏVELOPPEMENT i ,ES
MINISTRES APPELLENT L/#$% Ì CONTINUER DUVRER AUX CÙTÏS DES AUTORITÏS DES PAYS
NON MEMBRES ET DAUTRES ORGANISATIONS INTERGOUVERNEMENTALES EN VUE DE PROMOUVOIR
LAPPLICATION EFFECTIVE DU #ADRE DACTION POUR LINVESTISSEMENT w
³CONOMIES ÏMERGENTES i ,ES MINISTRES APPELLENT L/RGANISATION Ì SOUTENIR CE
PROCESSUS ET Ì RENFORCER LES MOYENS DONT ELLE DISPOSE POUR SATTAQUER AUX PROBLÒMES
DE PORTÏE MONDIALE ET AUX RÏPERCUSSIONS DE LÏMERGENCE DE NOUVEAUX ACTEURS DE FA ON
COMPLÒTE SYSTÏMATIQUE ET PROSPECTIVE AlN DAIDER SES PAYS MEMBRES Ì RÏCOLTER TOUS
LES FRUITS DE CES ÏVOLUTIONS ET Ì RELEVER LES DÏlS DE LA MONDIALISATION w x i !U COURS
DES DISCUSSIONS LE *APON PROPOSE LA RÏALISATION DE NOUVELLES ÏTUDES SUR LES MOYENS
DE PRÏVENIR LA PROLIFÏRATION DES CONTREFA ONS ET DES PRODUITS PIRATÏS w
³CHANGES COMMERCIAUX i ,ES MINISTRES DEMANDENT PAR AILLEURS Ì L/#$%
DENTREPRENDRE DES TRAVAUX SUR LES RÏSULTATS DU CYCLE DE $OHA SUR LEURS LIENS AVEC LES
RÏFORMES INTÏRIEURES ET SUR LES PROBLÒMES DE LAPRÒS $OHA w
'OUVERNANCE ET ÏLARGISSEMENT DE L/#$% i ,ES MINISTRES SALUENT LA DÏCISION DU #ONSEIL
EN VUE DE LA MISE EN PLACE EN JUILLET DUN MÏCANISME POUR IDENTIlER LES PAYS
SUSCEPTIBLES DADHÏRER Ì L/#$% ET CEUX AVEC LESQUELS L/RGANISATION DOIT RENFORCER SES
RELATIONS ET ILS INVITENT LE 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL Ì RENDRE COMPTE DES PROGRÒS ACCOMPLIS
LORS DE LA PROCHAINE 2#- w i ,ES MINISTRES INVITENT LE 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL Ì FORMULER DE
NOUVELLES IDÏES ET Ì SE RAPPROCHER ACTIVEMENT DES ÏCONOMIES NON MEMBRES POUR FAIRE
DE L/#$% UNE PLAQUE TOURNANTE PERMANENTE DE DIALOGUE SUR LES PROGRÒS ÏCONOMIQUES
MONDIAUX ENTRE LES MEMBRES ET LES NON MEMBRES ET Ì PRÏSENTER UN RAPPORT SUR LES
PROGRÒS DANS CE DOMAINE LORS DE LA 2#- DE w
%FHBVDIFÆESPJUF
-FNJOJTUSFGSBOÉBJTEFT"GGBJSFT
ÊUSBOHÍSFT
1IJMJQQF%PVTUF#MB[Z
FUMF1SFNJFSNJOJTUSFHSFD
,PTUBT,BSBNBOMJT
MPSTEF
MBSÊVOJPOBOOVFMMFEV$POTFJM
EFTNJOJTUSFTEFM0$%&FONBJ
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
*/'03."5*0/4
13"5*26&4
*/'03."5*0/413"5*26&4
-F4FDSÊUBSJBUEFM0$%&
-F 4FDSÊUBSJBU EF M0$%& .BST
4FDSÊUBJSFHÊOÊSBM DIBOHFTFUBHSJDVMUVSF 4DJFODF UFDIOPMPHJFFUJOEVTUSJF
XXXPFDEPSHTFDSFUBJSFHFOFSBM XXXPFDEPSHUBEGS XXXPFDEPSHTUJGS
"OHFM(VSSÎB 4UFGBO5BOHFSNBOO /PCVP5BOBLB KVTRVBVBPÚU
4FDSÊUBJSFTHÊOÊSBVYBEKPJOUT "GGBJSFTÊDPOPNJRVFT 4UBUJTUJRVFT
XXXPFDEPSHTFDSFUBJSFTHFOFSBVYBEKPJOUT XXXPFDEPSHFDPGS XXXPFDEPSHTUEGS
"BSU+BOEF(FVT +FBO1IJMJQQF$PUJT &OSJDP(JPWBOOJOJ
5IFMNB"TLFZ
1JFS$BSMP1BEPBO EVDBUJPO
XXXPFDEPSHFEVGS 'PSVNQPVSMFQBSUFOBSJBU
.BSJ"NBOP
#BSCBSB*TDIJOHFS BWFDM"GSJRVF
$BCJOFUEV4FDSÊUBJSFHÊOÊSBM XXXGPSVNQBSUFOBSJBUBGSJRVFPSH
3PMG"MUFS &NQMPJ USBWBJMFUBGGBJSFTTPDJBMFT %BWJE#BUU
XXXPFDEPSHFMTGS
"VEJUFVSHÊOÊSBM +PIO.BSUJO $FOUSFEFEÊWFMPQQFNFOU
XXXPFDEPSHBVEJUJOUFSOF XXXPFDEPSHEFWGS
'SFEFSJDL(B[[PMJ $FOUSFQPVSMFOUSFQSFOBSJBU -PVLB,BUTFMJ
MFT1.&FUMFEÊWFMPQQFNFOUMPDBM
$FOUSFQPVSMBDPPQÊSBUJPO XXXPFDEPSHDGFGS "HFODFJOUFSOBUJPOBMFEFMÊOFSHJF
BWFDMFTOPONFNCSFT 4FSHJP"S[FOJ XXXJFBPSH
XXXPFDEPSHDDONGS $MBVEF.BOEJM
&SJD#VSHFBU &OWJSPOOFNFOU /PCVP5BOBLB ÆQBSUJSEVFSTFQUFNCSF
XXXPFDEPSHFOWGS
%JSFDUJPOEFT"GGBJSFTKVSJEJRVFT -PSFOUT-PSFOUTFO "HFODFQPVSMÊOFSHJFOVDMÊBJSF
XXXPFDEPSHKVSJEJRVF XXXOFBGS
/JDPMB#POVDDJ %JSFDUFVSFYÊDVUJG -VJT&DIÃWBSSJ
"OUIPOZ)VUUPO KVTRVBVNBST
4FDSÊUBSJBUEV$POTFJM (SPVQEBDUJPOàOBODJÍSF
FUEV$PNJUÊFYÊDVUJG "GGBJSFTàOBODJÍSFT XXXGBUGHBàPSH
3PHFS)BSNFM FUEFTFOUSFQSJTFT "MBJO%BNBJT
XXXPFDEPSHEBGGS
6OJUÊDPOTVMUBUJWFTVSMFTRVFTUJPOT $MVCEV4BIFMFUEFM"GSJRVF
$BSPMZO&SWJO EFM0VFTU
QMVSJEJTDJQMJOBJSFT
XXXPFDEPSHQSPTQFDUJWF $FOUSFEFQPMJUJRVF XXXPFDEPSHTBIGS
.JDIBFM+0CPSOF /PSNBOE-BV[PO
FUEBENJOJTUSBUJPOàTDBMFT
1MBOJàDBUJPOEV1SPHSBNNF XXXPFDEPSHDUQGS $POGÊSFODFFVSPQÊFOOF
EF5SBWBJMFUEV#VEHFU +FGGSFZ0XFOT EFTNJOJTUSFTEFT5SBOTQPSUT
"OUIPOZ3PUUJFS XXXDFNUPSHJOEFYGSIUN
(PVWFSOBODFQVCMJRVF +BDL4IPSU
5BCMFSPOEFTVSMFEÊWFMPQQFNFOU FUEÊWFMPQQFNFOUUFSSJUPSJBM
EVSBCMF XXXPFDEPSHHPWGS
XXXPFDEPSHTESPVOEUBCMF 0EJMF4BMMBSE
#SJDF-BMPOEF
3FMBUJPOTFYUÊSJFVSFT
$PPQÊSBUJPOQPVSMFEÊWFMPQQFNFOU FUDPNNVOJDBUJPO
XXXPFDEPSHDBE XXXPDEFPSH
3JDIBSE$BSFZ $ISJTUPQIFS8#SPPLT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0$ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
0SHBOJHSBNNF XXXPFDEPSHPSHBOJHSBNNF
4&$35"*3&(/3"-"OHFM(VSSÎB
4&$35"3*"5(/3"-
3%#2³4!)2% '³.³2!,
!NGEL 'URRÓA
3%#2³4!)2%3 '³.³2!58 !$*/).43
!ART *AN DE 'EUS
4HELMA !SKEY
0IER #ARLO 0ADOAN
-ARI !MANO
#ABINET DU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL
"UREAU DE L!UDITEUR GÏNÏRAL
#ENTRE POUR LA COOPÏRATION AVEC LES NON
MEMBRES
$IRECTION DES AFFAIRES JURIDIQUES
3ECRÏTARIAT DU #ONSEIL ET DU #OMITÏ EXÏCUTIF
5NITÏ CONSULTATIVE SUR LES QUESTIONS PLURIDISCIPLINAIRES
0LANIFICATION DU PROGRAMME DE TRAVAIL ET DU BUDGET
03("/&41"35*$6-*&34
&ORUM POUR #ENTRE DE !GENCE !GENCE
LE PARTENARIAT DÏVELOPPEMENT INTERNATIONALE POUR LÏNERGIE
AVEC L!FRIQUE DE LÏNERGIE NUCLÏAIRE
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
.BST
%1"35&.&/54
$IRECTION DE $IRECTION $ÏPARTEMENT $IRECTION $IRECTION DE
LA COOPÏRATION DES ÏCHANGES ET DES AFFAIRES DE LÏDUCATION LEMPLOI DU
POUR LE DE LAGRICULTURE ÏCONOMIQUES TRAVAIL ET DES
DÏVELOPPEMENT AFFAIRES SOCIALES
#ENTRE POUR $IRECTION DE $IRECTION $IRECTION #ENTRE DE
LENTREPRENARIAT LENVIRONNEMENT EXÏCUTIVE DES AFFAIRES POLITIQUE ET
LES 0-% ET LE FINANCIÒRES ET DADMINISTRATION
DÏVELOPPEMENT DES ENTREPRISES FISCALES
LOCAL
$IRECTION DE LA $IRECTION $IRECTION DE LA $IRECTION DES
GOUVERNANCE DES RELATIONS SCIENCE DE LA STATISTIQUES
PUBLIQUE ET DU EXTÏRIEURES TECHNOLOGIE ET
DÏVELOPPEMENT ET DE LA DE LINDUSTRIE
TERRITORIAL COMMUNICATION
'ROUPE DACTION #LUB DU 3AHEL #ONFÏRENCE
FINANCIÒRE ET DE L!FRIQUE EUROPÏENNE
DE L/UEST DES MINISTRES
DES 4RANSPORTS
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
0 $ % &
3 " 1 1 0 3 5 " / / 6 & -
"NCBTTBEFVST
3FQSÊTFOUBOUTQFSNBOFOUT
BVQSÍTEFM0$%& XXXPFDEPSHBNCBTTBEFVST
.BST
%FHBVDIFÆESPJUF
"MMFNBHOF
4PO&YDFMMFODF..BUFJ*)PGGNBOO
"VTUSBMJF
4PO&YDFMMFODF.NF7ÊSPOJRVF*OHSBN
"VUSJDIF
4PO&YDFMMFODF.6MSJDI4UBDIFS
#FMHJRVF
4PO&YDFMMFODF.1BUSJDLWBO)BVUF
$BOBEB
4PO&YDFMMFODF.1BVM)FOSJ-BQPJOUF
$PSÊF
4PO&YDFMMFODF.5BFTIJO,XPO
%BOFNBSL
4PO&YDFMMFODF.4UFGGFO4NJEU
&TQBHOF
4PO&YDFMMFODF.'FSOBOEP#BMMFTUFSP%ÎB[
UBUT6OJT
4PO&YDFMMFODF.NF$POTUBODF".PSFMMB
'JOMBOEF
4PO&YDFMMFODF.1FSUUJ.BKBOFO
'SBODF
4PO&YDFMMFODF.9BWJFS%BSDPT
(SÍDF
4PO&YDFMMFODF."OUIPOZ$PVSBLJT
)POHSJF
4PO&YDFMMFODF.1ÊUFS(PUUGSJFE
*SMBOEF
4PO&YDFMMFODF.1BVM.VSSBZ
*TMBOEF
4PO&YDFMMFODF.5ÓNBT*OHJ0MSJDI
*UBMJF
4PO&YDFMMFODF.#SVOP$BCSBT
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
*/'03."5*0/413"5*26&4
3FQSÊTFOUBOUTQFSNBOFOUT
%FHBVDIFÆESPJUF
+BQPO
4PO&YDFMMFODF.4IJOJDIJ,JUBKJNB
-VYFNCPVSH
4PO&YDFMMFODF.)VCFSU8VSUI
.FYJRVF
4PO&YDFMMFODF."HVTUÎO(BSDÎB-ÓQF[
/PSWÍHF
4PO&YDFMMFODF.)BSBME/FQMF
/PVWFMMF;ÊMBOEF
4PO&YDFMMFODF.NF4BSBI%FOOJT
1BZT#BT
4PO&YDFMMFODF.+PBO#PFS
1PMPHOF
4PO&YDFMMFODF.+BO8PSPOJFDLJ
1PSUVHBM
4PO&YDFMMFODF.&EVBSEP'FSSP3PESJHVFT
3ÊQVCMJRVFTMPWBRVF
4PO&YDFMMFODF.NF+BOB,PUPWB
3ÊQVCMJRVFUDIÍRVF
4PO&YDFMMFODF.+JSÎ.BDFØLB
3PZBVNF6OJ
4PO&YDFMMFODF.%BWJE-ZTDPN
4VÍEF
4PO&YDFMMFODF..BUT3JOHCPSH
4VJTTF
4PO&YDFMMFODF.&SJD.BSUJO
5VSRVJF
4PO&YDFMMFODF."INFU&SP[BO
$PNNJTTJPOFVSPQÊFOOF
4PO&YDFMMFODF..JDIFM7BOEFO"CFFMF
2!00/24 !..5%, $% ,/#$% n ¥ /#$%
*/'03."5*0/413"5*26&4
-FTQBZTNFNCSFTEFM0$%&
-FTQBZTNFNCSFT
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0ASCAL 0!2)3 #%$%8
)-02)-³ %. &2!.#% .O
OCDE Paris
2, rue André-Pascal, 75775 Paris Cedex 16
Tél. : 33 (0) 1 45 24 81 67
Fax : 33 (0) 1 45 24 19 50
E-mail : sales@oecd.org
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Centre OCDE de Berlin
Schumannstrasse 10, D-10117 Berlin
Tél. : 49 30 288 8353
Fax : 49 30 288 83545
E-mail : berlin.centre@oecd.org
Internet : www.oecd.org/deutschland
Centre OCDE de Mexico
Av. Presidente Mazaryk 526
Colonia : Polanco, C.P. 11560, Mexico, D.F.
Tél. : 52 55 91 38 62 33
Fax : 52 55 52 80 04 80
E-mail : mexico.contact@oecd.org
Internet : www.oecd.org/centrodemexico
OCDE
OCDE Rapport annuel 2007
Rapport annuel
L’OCDE DANS LE MONDE
2007
www.oecd.org
Centre OCDE de Tokyo
3rd Floor, Nippon Press Center Building
2-2-1 Uchisaiwaicho
Chiyoda-ku, Tokyo 100-0011
Tél. : 81 3 5532 0021
Fax : 81 3 5532 0035
E-mail : tokyo.contact@oecd.org
Internet : www.oecdtokyo.org
Centre OCDE de Washington
2001 L Street, NW, Suite 650, Washington DC 20036-4922
Tél. : 1 202 785 6323 ORGANISATION DE COOPÉRATION ET
Fax : 1 202 785 0350 DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES
E-mail : washington.contact@oecd.org
Internet : www.oecdwash.org
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