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Anthropologie de la communication

2.4 Le territoire

Les groupes sociaux occupent des epaces professionnels ( bureau, atelier, cuisine ) et partagent des espaces
publics.
Erwing Goffman analyse la gestion du territoire commun, comme la rue ou un lieu public. La rue est un
espace social car c’est un endroit dans lequel on va voir se mettre en place des relations de types pouvoir, de
type prise de possession de l’espace.
Notre quotidien est plein de négociations minuscules, de strategies de prise de possession plus ou moins
expansionnistes. Il y a des formes de « privatisation» des espaces publics.

2.5 Excuses, prières et justifications

Ce sont des rituels, elles sont la preuve de notre adaptation au milieu.


s’excuser, c’est commenter un acte, son exécution ou son expression, en proposer une interprétation corrs-
pondant à notre intention.
C’est une sorte de regard désapprobateur sur soi même, au nom des règles connues et que l’on est capable
restituer. Nous avons la justification toute prete de tout ce que nous disons et ca semble difficile que l’autre
ne l’accepte pas.
Il faut une tres grande maturité pour faire un mensonge qui ne se voit pas et etre responsable des conséquen-
ces.
On retrouve ici la notion de métacommunication de Palo Alto : La communication, c’est aussi être capable
de parler de son mode de communication.
L’excuse sert à prouver à l’autre qu’il a sa place.

2.6 La conversation

Nous ne parlons qu’avex des mots qui sont ceux des autres.
Ce qui fait notre liberté est précisement l’interprétation de la situation.
La règle fondamentale d’une conversation ne porte pas sur les contenus. Cela n’exclu pas qu’une conversa-
tion est des contenu, qu’il y est des aguments. Mais son on reflechit une conversation en tant que regle, ces
regles concecrneront l’organisation des tours de paroles, qui auront pour fonctin de renforcer sans cesse les
interprétations. Même si au bout du compte, une fois tous les tours passés il y a des accords, l’essentiel est
d’avoir réussi a mettre au jour cette partition entre les gens.
Les règles sociales de la conversation ne visent pas à imposer un contenu, mais à gérer une hétérogenéïté.

2.7 L’ethique

S’il est une éthique, elle est dans le mouvement d’arrestation qui propose à l’autre une place.
Nos comportements « polis « peuvent ainsi être interprétés comme un hommage aux valeurs de notre so-
ciété.
La vie social nous oblige à accepter le point de vue de l’autre sur nous.
POrtant, Erwing Goffman, ne dit pas ce qui se passe lorsque rentrent en conflit l’obligation de la solidarité
de l’équipe et des convictions profondes.
Comment traiter létalage de cancoeurs politiques, la dénonciation de la orture pendant la guerre d’Algérie ?
Da,s les deux cas, il s’agit de rendre publics des désaccords internes, mais l’objectifs poursuivi diffère.
Conclusion sur l’interactionnisme : l’amour du détail

L’unité des écoles présentées est certainement dans l’attention portée au détail de la vie.
Nous sommes pris dans dess réalités économiques et poilitiques, mais aussi dans une multitude de gestes
quotidiens, de petits rties, d’echanges standardisés de paroles et de regards, qui constituent le fond de notre
manièrre d’être au monde. Ou au contraire manifestent nos décalages et nos folies.
L’unité est encore dans le souci d’une science de l’hoomme basée sur de l’observation.
La diversité porte essentiellemen sur la différence des philosophies personnelles.

Interprétation du Terme
Anthropologie de la Communication
dans les travaux des chercheurs en SIC
I- Interpretation au sens paleonthologie : L’exmple de Claure MEYER

Le mot « anthropologie « renvoie aux travaux sur la préhistoire et l’émergence des hominté dans la chaîne
de la vie.
Que sait-on de la communication huamine ç travers les traces venant de la Préhistoire de l’humanité ?
Les études de la communication humaine chez les préhistoriens se sont souvent résumées a l’analyse du
language.
Les travaux de Palo Alto, à l’inverse, attirent l’attention sur les comportements d’interrelation.

1 - Qu’est ce qui, dans la communciation hiamaine, est spécifique ?

C’est difficile à dire, parce que la communication humaine a un ancrage biologique et se titue dans celle des
autres vivants.
Tout les animaux utilisent des signaux
Les vertébrés sont ceux chez qui l’inné régresse au profit de l’acquis.
Les chinpanzés ont comme nous, une organisation sociale complexe et gerent leurs réseaux d’alliance.
Les animaux ont des capacités logiques et arithmétique savent reperer des formes graphique et les catégori-
ser.
Ils peuvent transmettent volontairement de fausses informations pour tromper l’adversaire.
Les similitudes sont donc grandes quant aux divers modes de communication observables, hormis la parole.
Tout les systèmes de signes partagés avec un animal se sont arrêtés au seuil de quelques besoins fondamen-
taux et immédiats.Claude Mayer, parrallèlement, conserve aussi une certain definition de l’humain comme
machine à trainer de l’information.
« Communiquer est aussi una acte cognitif dans la mesure où l’intention nécessaire au calcul, une série d’in-
térférence par lesquelles l’émetteur calcule les intentions et les représentation du destinataires «
Pour communique, le locateur doit attribuer des état mentaux au destinataire, il lui attribue les croyances et
les savoirs nécessaires a la compréhension.
La différence est dans l’interrelation : « la repésentation est co-construite dans une interaction «.
Nos ompétences en communication « ne sont qu’une instanciation d’habiletés plus générales utilisées pour
d’autres conduite «
Puisque l’outil est caractérisque de l’humain, comment la communication autour d’un outil est elle fonda-
mentalement humaines ?
Notre communication langagiere est aussi mythique. Le mythe est une expression de nos structures cogniti-
ves.

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