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République Tunisienne

Ministère de l'Enseignement Supérieur Etablissement


universitaire

Institut Supérieure des Etudes Technologiques du Nabeul

ROBOTS INTTELEGENTES
Elaboré par : Krimi Nabil

Mohamed Amine Saied

Année universitaire : 2010/2011

Robot: définitions
robot:
provient d’une pièce de Karel Capek (robota signifie « travail forcé » en Tchèque)
machine qui imite une créature intelligente
robotique:
vient d’une nouvelle de Isaac Asimov « Runaround » (1942)
méthodes et techniques utilisées pour la conception et la programmation de robot
Un robot:
peut-être totalement mécanique est composé d’un ou plusieurs systèmes embarqués
Robots: exemples
Peintre dans une chaîne de montage de voitures (Renault)
Robot chien (Sony)
Aspirateur (Electrolux)
Robots de combats (concours E=m6, robots
destructeurs)
Robots chirurgiens
Utilisations particulières
Tâches périlleuses: déminage, alerte à la bombe, gaz toxiques
Tâches de précision: construction d’autres robots plus petits
Tâches répétitives: mise en palette de petits objets
Tâches délicates: vissage dans les endroits difficiles
Tâches pénibles: déplacement de charges très lourdes
Histoire des robots
1779: automate joueur d’échecs de Kemplen (humain caché à l’intérieur)
Années 1940: bras manipulateur de matière nucléaire
1954: télémanipulateur maître/esclave à motorisation électrique
1961: robot manipulateur industriel
Histoire des robots (suite)
1973: Shakey (SRI), robot mobile
Années 1980/1990: robots mobiles (chenilles, roues, pattes)
Années 1990: télémanipulation avec bras à retour d’effort
Années 1990/2000: robots nettoyeurs, sous-marins d’intervention, pilotes de
dirigeables (Alpha)

Robots: les avantages


Humain => Robot
Salaire => pas de salaire
Congés => pas de congés
Fragile => solide
Malade => jamais malade (hors pannes)
sommeil => ne dort jamais
pause => pas de pause
gauche => très précis
discipline => obeisant
Points problématiques
Chômage
Guerre
Intelligence artifielle
Conscience
Reproduction
Avenir de la robotique
Derniers développements:
Robot poisson avec de vrais muscles (MIT)
Cerveaux de souris avec neurones humains (StemCells)
Une machine apprend le langage humain (AIE)
Exemple: les robots routeurs
Pour un projet européen (Ambience), l’ENST développe un robot routeur
Capable de communiquer en Ethernet radio (WiFi), en BlueTooth et par infrarouge
Se déplace seul là où il faut du réseau
Fait des ponts entre les protocoles
Va se recharger en évitant les obstacles
Collabore avec les autres robots pour assurer une bonne couverture

Robots intellegence arrteficielle


Définition
Pour les sciences cognitives, tout robot possède un certain degré d'« intelligence » à
partir du moment où il est capable de s'adapter à l'environnement et résoudre des
problèmes. Les limites sont toutefois difficiles à établir.
Il existe différentes définitions de l’intelligence artificielle, car :

• L’adjectif artificiel est assurément aisé à comprendre : ce type d’intelligence


est le résultat d’un processus créé par l’homme, plutôt que d’un processus
naturel biologique et évolutionnaire.
• En revanche, la notion d'intelligence est difficile à cerner :
o La capacité d’acquérir et de retenir les connaissances, d’apprendre ou de
comprendre grâce à l’expérience.
o L’utilisation de la faculté de raisonnement pour résoudre des problèmes,
et pour répondre rapidement et de manière appropriée à une nouvelle
situation, etc. Voir QI de machines

Les problèmes soulevés par l’intelligence artificielle concernent des domaines divers
comme :

• l’ingénierie, notamment pour la construction des robots,


• les sciences de la cognition humaine (neurosciences cognitives, psychologie
cognitive, ...)
• la philosophie de l'esprit pour les questions associées à la connaissance et à la
conscience.

Intelligence artificielle faible/forte

Il existe un consensus de séparation entre :

• l'intelligence artificielle faible


• l'intelligence artificielle forte

Intelligence artificielle forte

Le concept d’intelligence artificielle forte fait référence à une machine capable non
seulement de produire un comportement intelligent, mais d’éprouver une impression
d'une réelle conscience de soi, de «vrais sentiments», et une compréhension de ses
propres raisonnements.

Intelligence artificielle faible

La notion d’intelligence artificielle faible constitue une approche pragmatique


d’ingénieur : chercher à construire des systèmes de plus en plus autonomes, des
algorithmes capables de résoudre des problèmes d’une certaine classe, etc... Mais,
cette fois, la machine simule l'intelligence, elle semble agir comme si elle était
intelligente.

Il s'agit surtout d'intelligence humaine reconstituée, et de programmation d'un


apprentissage.

Domaines d’application

En l’état, les réalisations actuelles de l’intelligence artificielle peuvent être regroupées


en différents domaines, tels que :

• Les systèmes experts.


• L’apprentissage automatique.
• Le traitement automatique des langues.
• La reconnaissance des formes, des visages et la vision en général...

Dans les jeux vidéo, l’IA se développe. En effet les nouvelles générations de cartes
vidéo traitent un grand nombre d’opérations auparavant dévolues au processeur. Le
processeur est donc moins sollicité pour l’affichage et les programmeurs peuvent
utiliser sa puissance pour développer des systèmes d’IA plus perfectionnés.
L’intelligence artificielle a connu un essor important pendant les années 1960 et 70,
mais à la suite de résultats décevants par rapport aux budgets investis, son succès
s’estompa dès le milieu des années 1980.

Dangers éventuel

D’après certains auteurs, les perspectives de l’intelligence artificielle pourraient avoir


des inconvénients, si par exemple les machines devenaient plus intelligentes que les
humains, et finissaient par les dominer, voire les exterminer, de la même façon que
nous cherchons à exterminer certaines séquences d’ARN (les virus) alors que nous
sommes construits à partir d'ADN, un proche dérivée de l'ARN.
Toutes ces possibilités futures ont fait l’objet de quantités de romans de science-
fiction, tels ceux d’Isaac Asimov.

Une description spectaculaire d’un possible avenir de l’intelligence artificielle a été


faite par le professeur I. J. Good :

« Supposons qu’existe une machine surpassant en intelligence tout ce dont est capable
un homme, aussi brillant soit-il. La conception de telles machines faisant partie des
activités intellectuelles, cette machine pourrait à son tour créer des machines
meilleures qu’elle-même; cela aurait sans nul doute pour effet une réaction en chaîne
de développement de l’intelligence, pendant que l’intelligence humaine resterait
presque sur place. Il en résulte que la machine ultra intelligente sera la dernière
invention que l’homme aura besoin de faire, à condition que ladite machine soit assez
docile pour constamment lui obéir. »
Intelligence artificielle
L'intelligence artificielle ou informatique cognitive est la «
recherche de moyens susceptibles de doter les systèmes informatiques de capacités
intellectuelles comparables à celles des êtres humains.
Définition

Le terme intelligence artificielle, créé par John McCarthy, est souvent abrégé
par le sigle IA. Il est défini par l’un de ses créateurs, Marvin Lee Minsky, comme « la
construction de programmes informatiques qui s’adonnent à des tâches qui sont,pour
l’instant, accomplies de façon plus satisfaisante par des êtres humains car elles
demandent des processus mentaux de haut niveau tels que : l’apprentissage perceptuel
l’organisation de la mémoire et le raisonnement critique ».[2] [réf. nécessaire] On y
trouve donc le côté artificiel atteint par l'usage des ordinateurs ou de processus
électroniques élaborés et le côté « intelligence » associé
à son but d'imiter le comportement. Cette imitation peut se faire dans le raisonnement,
par exemple dans les jeux ou la pratique de mathématiques, dans la compréhension
des langues naturelles, dans la perception : visuelle (interprétation des images et des
scènes), auditive (compréhension du langage parlé) ou par d'autres capteurs, dans la
commande d'un robot dans un milieu inconnu ou hostile.
Même si elles respectent globalement la définition de Minsky, il existe un certain
nombre de définitions différentes
de l'IA qui varient sur deux points fondamentaux[3] :
• Les définitions qui lient la définition de l'IA à un aspect humain de l'intelligence,
et celles qui la lient à un modèle idéal d'intelligence, non forcément humaine, nommée
rationalité.
• Les définitions qui insistent sur le fait que l'IA a pour but d'avoir toutes les
apparences de l'intelligence (humaine ou rationnelle), et celles qui insistent sur le
fait que le fonctionnement interne du système IA doit ressembler également à
celui de l'être humain ou être rationnel.

Intelligence artificielle forte


Définition
Le concept d’intelligence artificielle forte fait référence à une machine capable non
seulement de produire un
comportement intelligent, mais d’éprouver une impression d'une réelle conscience de
soi, de « vrais sentiments » (quoi qu’on puisse mettre derrière ces mots), et « une
compréhension de ses propres raisonnements.
L’intelligence artificielle forte a servi de moteur à la discipline, mais a également
suscité de nombreux débats. En se fondant sur le constat que la conscience a un
support biologique et donc matériel, la plupart des scientifiques ne voient pas
d’obstacle de principe à créer un jour une intelligence consciente sur un support
matériel autre que biologique. Selon les tenants de l'IA forte, si à l'heure actuelle il n'y
a pas d'ordinateurs ou de robots aussi intelligents que l'être humain, ce n'est pas un
problème d'outil mais de conception. Il n'y aurait aucune limite fonctionnelle (un
ordinateur est une machine de Turing universelle avec pour seules limites les limites
de la calculabilité), il n'y aurait que des limites liées à l'aptitude humaine à concevoir
le programme approprié. Elle permet notamment de modéliser des idées abstraites.

Intelligence artificielle faible

La notion d’intelligence artificielle faible constitue une approche pragmatique


d’ingénieur : chercher à
construire des systèmes de plus en plus autonomes (pour réduire le coût de leur
supervision), des algorithmes capables de résoudre des problèmes d’une certaine
classe, etc. Mais, cette fois, la machine simule l'intelligence, elle semble agir
comme si elle était intelligente. On en voit des exemples concrets avec les
programmes conversationnels qui tentent de passer le test de Turing, comme ELIZA.
Ces programmes parviennent à imiter de façon grossière le comportement d'humains
face à d'autres humains lors d'un dialogue. Ces programmes « semblent » intelligents,
mais ne le sont pas.
Les tenants de l'IA forte admettent qu'il y a bien dans ce cas une simulation de
comportements intelligents, mais qu'il est aisé de le découvrir et qu'on ne peut donc
généraliser. En effet, si on ne peut différencier expérimentalement deux
comportements intelligents, celui d'une machine et celui d'un humain, comment peut-
on prétendre que les deux choses ont des propriétés différentes ? Le terme même de «
simulation de l'intelligence » est contesté et devrait, toujours selon eux, être remplacé
par « reproduction de l'intelligence
Les tenants de l'IA faible arguent que la plupart des techniques actuelles d’intelligence
artificielle sont inspirées deleur paradigme. Ce serait par exemple la démarche utilisée
par IBM dans son projet nommé Autonomic computing.
La controverse persiste néanmoins avec les tenants de l'IA forte qui contestent cette
interprétation.
Simple évolution, donc, et non révolution : l’intelligence artificielle s’inscrit à ce
compte dans la droite succession de ce qu’ont été la recherche opérationnelle dans les
années 1960, la Supervision (en anglais : process control) dans les années 1970, l’aide
à la décision dans les années 1980 et le data mining dans les années 1990. Et, qui plus
est, avec une certaine continuité.
Il s'agit surtout d'intelligence humaine reconstituée, et de programmation d'un
apprentissage.

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