culture d e n e pas reconduire l'obligation vaccinal e pour plus en ovins. Face à c ette d étermination qui ne f ait q ue s’ampli-
l'année 2011. fier, et d ans l’incapacité de financer une nouvell e campagne, le
gouvernement capitul e.
Ce subventionnement massif et déguisé d es laboratoires
est un gaspillage d'argent publ ic. Permettre l'emploi d e La Coordination et l es organisations restent vigil antes et deman-
méthodes « naturellement » économes aurait évité ce dent à nouveau aux pouvoirs publics de s'engager sur quatre
gaspillage. points essentiels :
Contrairement à ce qui a pu être écrit ce n'est pas la • D éclassement d e la FCO de la l iste d es mal adies réputées
seule vaccination q ui a f ait d iminuer le nombre de contagieuses (MRC) en France ;
foyers, mais également l’immunisation naturelle d es ani-
• A b andon des poursuites engagées contre les él eveurs pour l es
maux après infection.
campagnes passées, l e comité reconnaissant implicitement que la
L’éradication a toujo urs été et reste illusoire : FCO est avant tout un problème d’export ;
• Les moucherons (cullicoïdes, présents dans toute la • R econnaissance et mise en pl ace de réels programmes de re-
nature !), sont le seul vecteur naturel important de la cherche sur l 'immunité naturell e et l es protocoles « alternatifs »
FCO, qui n'est pas une inf ection permanente des ru- préventifs et curatifs ;
minants : de ce fait, la survie du virus d ans l'environ- • Arrêt de la désinsectisation qu i empoisonne l’environnement et
nement dépend de l'insecte (Organis ation Mondiale les ab eill es et indemnisation par l’État des dégâts sur les trou-
de l a Santé Animale, janvier 2010). peaux occasionnés par la vaccination obl igatoire.
• Les ruminants sauvages et les chevaux, non soumis à
la vaccination, sont des réservoirs naturels du virus.
Communiqué de Presse du 26 juillet 2010 de la Coordination
A l’automne 2009, contre l’avis majoritaire d u Comité
des Collectifs FCO contre l’obligation de vacciner
national de suivi FCO, le Ministre décid e d e reconduire
(confédér ation paysanne, FNAB, Nature et Progrès)
l’obligation vaccinale, en promettant la gratuit é pour
faire passer la pilule auprès d’éleveurs conscients de Contact Centre : Georges O’Sullivan 05 55 76 30 52
l’inutilité d e cette mesure et de plus en plus récalci-
recherch es scientif iques s oulignent que l’expos ition à des concer nera maintenant u n h omme sur 2 et une f emme sur 3
pesticid es a vant la c onception, pendant la grosses se ou au cour de leurs vies.
pendant l’enfa nce apparaît augm enter le r isque de ca n- Comme le Ch em Tr ust da ns son rapport, le MD RGF d emande
cer chez l’enfa nt, l’exposition penda nt la gross esse que soient bannis par l’Union Eu ropéenne tous les pesticides
semblant particu lièrement pr éoccupante à ce sujet. cancérigènes c erta ins , probab les ou possib les a ins i que ceux
De plus le rapport sou ligne que p lusieurs étud es suspectés de perturber les h orm ones (per turba teur s endocr i-
indiqu ent q ue les agr iculteur s ont u n r isque p lus niens).
grand que le r este de la popula tion de développer De plus il y a lieu selon Franç ois V eillerette, porte par ole du
certain cancers, c omme les lymphomes non MDRGF et responsab le de la campagne ‘environnem ent canc er’
hodgkiniens, des leuc émies, d es ca ncers de la « de tout fa ire p our s upprimer l’expos ition de la popu lation à
prostate et a utres canc ers hormonaux dépen- ces substa nces dans tou s les lieux accueillant du pub lic, dans les
dants . habitations ou encore par la contam ination d es aliments ou de
Le rapport conclu t en sou lignant que l’inc i- l’air en z one agr icole. C’est à ce pr ix que les ch iffres d e l’épidé-
dence de cer tains cancers a beauc oup aug- mie ac tuelle de ca ncer régresser ont à term e. »
menté du rant les dernièr es décennies, les Le rapport en anglais :
facteurs envir onnementau x joua nt un rôle http://www.chemtrust.org.uk/doc uments/CHEM%20Trust% 20Report%
majeur s dans cette augm enta tion et par - 20-%20Pes ticides% 20&% 20C anc er%20J uly%202010.pdf
mi ces facteurs les pes tic ides sont impor - Auteurs : Andrew Watterson, Profess or of Health at Stirling University,
tants . Gwynne Lyons, Director of CHEM Trust
2
♦ Marjorie, tu es une jeune agricultrice instal- même parcelle avant 10 ans. En période de cueillette le
safran nécessite une dis ponibilité quotidie nne, les
lée depuis peu … quel a été ton parcours ? fleurs ne vivent pas beaucoup plus de 24 h et il faut
La ferme est une propriété de la famille et, bien que mes pa- les cueillir dès leur ouverture. Chaque fleur propose
Portrait
rents ne soient pas agriculteurs, c’est ici que j’ ai grandi. C’est trois stigmates et il faut 150 fleurs pour obtenir 1
mon oncle qui l’exploite depuis de nombreuses années, il a pris gramme de safran après séchage. Le séchage se fait
le parti de la conversion en bio juste avant mon installation. dans un four classique exclusivement dédié à cette
Les pratiques de mon oncle (élevage bovin) étaient déjà très activité pour ne communiquer aucune odeur étran-
proches du bio, mais il ne sentait pas la nécessité de la certifi- gère au safran. Le séchage à 50°C dure environ ½
cation ju squ’à ce que je décide de m’installer à mon tour. J’ai heure afin que le safran perde 80% de son poids et
passé un BTS aménagement paysager, poussée par mon goût puisse se conserver sans mois ir.
pour les végétaux et j’ai travaillé comme paysagiste pour les
Autoroutes du Sud de la France. L’idée de l’installation fai- ♦ Comment valorises-
valorises-tu les produits
sait doucement son chemin mais c’est lorsque je me suis retrou-
vée sans emploi que le projet s’est accéléré. Attirée par le sa-
de ta ferme ?
fran, j’ai réalis é un stage chez Véroniq ue Lazerat, produc- Le safran se vend en épice et les petits fruits sont
trice creusois e. J’y ai constaté que le safran n’était pas simple destinés à la transformation que je réalis e l’hiver, par
à cultiver, et moins encore à récolter… mais le pli était pris ! souci d’organisation. Je fabrique des confitures, coulis
En parallèle, et avant l’installation officielle, j’ai impla nté un et sirops : certaines recettes intègrent du safran. J’es-
verger de petits fruits pour gagner du temps sur l’entrée en père diversifie r encore mes produits car j’ aime faire dé-
production. couvrir de nouvelle s saveurs aux gens ! Mon verger de
fruits à pépin qui n’est pas encore productif me permet-
♦ Quelles sont tes activités sur la ferme ? tra de compléter la gamme. Je vends tout en direct sur les
marchés. J’ai construit un local de vente sur la ferme qui
Peux-
Peux-tu nous parler plus précisément de est de plus en plus fréquenté et je développe progressive-
la culture du safran ? ment la vente en ligne.
Mes petits fruits sont diversifiés : framboise, frais e, cassis ,
groseille, myrtille…. Le safran quant à lui est une culture ♦ Quel conseil donnerais-
donnerais-tu à quel-
atypique, son cycle est un peu inversé par rapport à nos qu’un qui souhaiterait démarrer une
cultures traditionnelle s. J’ai commencé par implanter 20.000
bulbes sur environ 1500 m² et cette année j’ ai seule ment
activité similaire à la tienne ?
conservé 1000 m², ce qui correspond aux obje ctifs que je me L’accès au foncier est important, j’ai eu la chance de
suis fixés, notamment de pouvoir gérer la cueille tte seule . Le bénéficier de la ferme familiale ce qui a favorisé mon
safran est en repos tout l’été, il démarre son cycle végétatif installation. Ce type d’activité est assez atypiq ue
par la florais on entre fin septembre et mi novembre. Une fois la mais mon proje t a été bien reçu lors de mon parcours
courte florais on achevée il développe son panel de feuilles. A la à l’installation. Seule la confia nce des banques n’a
fin du printemps, les réserves faites, les feuille s fanent et les pas été de toute évidence : mes investissements
bulbes tombent en dormance pour l’été. Le safran se plait très étaient modestes pourtant. La certification en
bien dans nos sols et sous notre climat limousin, il y est pro- bio me parait importante pour identifie r et
ductif et de qualité. Le désherbage manuel s’effectue tout au valoriser mes produits. Il faut pouvoir s’ap-
long de l’année pour maintenir de bonnes conditions de puyer sur un cahie r des charges fia ble, en tout
culture, il est très important au printemps et ju squ’à l’été cas c’est mon sentiment. Enfin j’ ai misé sur la
pour que la multiplication des bulbes soit favorisée. Chaque prudence avec une installation progressive,
année le s bulbes se multiplient, les nouveaux se forment au développant au fur et à mesure mes pro-
dessus des anciens et en quelques années le s bulbes finissent ductions pour juger de mes capacités à
par affle urer la surface du sol, ce qui n’est pas favorable à la gérer les choses, idéalement je pense que
production. Tous le s cinq ans, on arrache la culture et on la la culture du safran peut être démarrée
déplace en terrain neuf. Le safran est assez exigeant sur le comme pluria ctivité avec succès.
plan nutritif et il est donc préférable de ne pas revenir sur la
Propos recueillis par Arnaud Dutheil 3
M ais Louis est un hérit ier at ypique ! De puis environ 3 ans , 87 2660 repas complets
Louis y a démarré, en plus , une act ivit é de produ ct ion de 4621 repas partiels
légumes biologiques vendus en paniers .
Puis en 2009 Louis s e lance dans un projet de plus large 87
envergure : il s ouhait e convaincre la famille Des M ons- Filière maraîchage en Haute
tiers de convert ir la t ot alit é du domaine en agricult ure Vienne….dynamiques et problématiques
biologique. Pour cel a il faut envis ager une s t rat égie de
convers ion adapt ée à la dimens ion de l’exploit ation. Le La derniè re réunion du pôle m araîch age départ ement al
cadre gén éral des aides à la convers ion es t vit e plafon- du 6 juillet 2010 ( réunis s ant CDA87, CFPPA Vas eix et GA-
né dans cett e s ituation et la pris e de ris que du ch ange- BLIM ) a ét é l’occas ion de faire le point s ur les dynamiqu es
ment de s yst ème est donc part iculièrement impor- et problémat iques de la filière.
t ant e. Louis a don c s ollicit é le rés eau DI VA, via G A-
BLIM , pour obt enir un ac compagn ement s pécifique Les principales dynami ques :
pour cet t e convers ion. Un bilan t echnique, éc onomi- ∗ des inst allat ions qui s e pours uivent , avec des act ions de
que et humain du fonct ionnement du domaine a ét é
collect ivit és libérant du fon cier ;
fait . Un s cénario de conve rs ion s ur 2010 a ens uit e ét é
élaboré et va pe rmett re d’engage r la t ot alit é des ∗ une initiative s oulignée : l’invest iss ement en équipe-
act ivit és agricoles de la fe rme en bio en as s ociant une ment collect if de 4 maraîche rs bio ;
divers ification progres sive. L’engrais s ement des bovins
∗ une mis e en place d’un programme de form at ion
va pet it à pet it faire s on ret our ( pour la vent e direct e
not amment ) et l’ass olement des cult ures s era adapt é conc ert é : un programme commun s era é dit é à l’au-
et orient é vers l’aut onomie aliment aire du ch ept el. t omne ;
Rest e encore à init ier la divers ificat ion des act ivit és s ur ∗ des act ions en faveur de la cons olidat ion des ex ploit a-
un domaine dont la t aille le favoris e, mais pour cela un tions exist ant es : un s yst ème de réfé ren ces mis en pl ac e
t ravail rigoureux aut our de l a ges t ion de la main d’œu- s ur 4 ex ploit at ions , des dé bouchés c omplément aires à
vre et de l’acquis it ion de c ompét ences est encore à la Vent e Dire ct e qui s e développent not amment la RC
mener. En att endant , s oulignons qu’il s ’agit d’une s é- via M anger Bio Limous in) ; des mis es en place d’ es s ais
rieus e avancé e pour la bio en Limous in ! variét aux pour la cons t it ution de réfé renc es loc ales .
Arnau d Dut heil Les problém at iques :
∗ en t erme de commercialis at ion la qu as i abs enc e du
L’expérience limousine en restauration march é gros - demi-gros convent ionnel a ét é mention-
née. M. Lavergn e ( Chambre Agricult ure 87) a rapport é
collective s’exporte en Aveyron ! que Je an Pierre Limous in, prés ident de l’int ercons ulaire ,
a man dat é la Chambre Agric ult ure 87 pour men er des
L’AP AB A, as s ociat ion pour l a prom ot ion de l’agricult ure t ravaux s ur ce pl an.
biologi que en Ave yron, a s ollicit é GABLIM pou r ac com- ∗ l’abs ence de s ys t èmes d’aide pou r des ins t allat ions
pagne r un grou pe d’él eveurs int éres s és par le dé bou- progres s ives qui ne s ’ins crivent pas dans le cadre DJ A :
ché de l a res t aurat ion c ollect ive. L’expériment at ion que pourrait -il êt re propos é c omme s out ien ?
en cours ave c les collèges de Corrè ze a ét é prés en-
t ée ains i que le t ravail de planificat ion et gestion de Alice VAL ENZI SI , Arn aud DU THEI L
l’équilibre-mat ière ré alis é par M AN GER BI O LIM OU-
SI N avec s es fournis s eurs . Souhait ons bonne rout e à
ce projet !
règlement européen sur lequel elle s’appuie, jugé incomplet d’ailleurs majoritairement produite sur la ferme afin de minimiser
dans certains domaines et incohérent dans d’autres. Cette l’impact environnemental mais également la dépendance des pro-
démarche est volontaire et doit permettre à chacun d’évo-
ducteurs à des fournisseurs extérieurs),
luer à son rythme sur différents fondamentaux de la bio,
qu’ils soient techniques, économiques, sociaux, ou envi- * le refus catégorique des contaminations OGM (dès le seul de
ronnementaux. Bio Cohérence espère au travers de sa détection de 0,1%) ,
marque pouvoir compléter les exigences européennes * une liste des procédés de transformation qui ne dénaturent
pour que toujours, la bio offre des produits d’excel- pas le produit,
lence. * la possibilité d’un étiquetage local… ;
L’utilisation du logo Bio Cohérence nécessite un enga- - L’engagement dans une dynamique de progrès de chaque pro-
gement à trois niveaux : ducteur, transformateur, distributeur, ou consommateur qui adhé-
- Le règlement européen qui reste le socle commun rera à la marque, et qui sera matérialisé par la signature de la charte
sur lequel construire ; tout opérateur souhaitant et la réalisation d’un autodiagnostic.
utiliser la marque Bio Cohérence devra nécessaire- Les opérateurs ayant respecté les 3 ni-
ment être certifié sur la base du règlement bio veaux d’engagement pourront appo-
européen ; ser, avec l’autorisation du comité de
- Le cahier des charges de la marque qui ap- marque, la pastille Bio Cohérence sur
porte des règles complémentaires adaptées au leurs produits. Ils devront avoir pré-
contexte spécifique de l’agriculture biologique alablement adhéré à l’association
française. Il reprend les pratiques d’élevage gestionnaire et acquitté les droits liés
qui avaient cours jusqu’au 1er janvier 2009 et à l’usage de la marque.
y ajoute un certain nombre de règles spécifi- Pour en savoir plus, rendez-vous sur
ques comme par exemple : www.biocoherence.fr ou contactez
6 * la non-mixité des fermes (qui ne Arnaud au 05.55.31.86.87
E c ho s du ré se au
ment renseigné par les GRAB, il comptabilisait tion de l’union nationale des plate-formes
notamment les nombres de repas 100% bio et par- « Manger bio ici et maintenant » , il est
tiellement bio en RC. Ces données étant égale- décidé de se consacrer aux thèmes perti-
ment collectées depuis peu par l’Agence Bio nents à l’échelle du Massif Central, soit :
l’Observatoire FNAB va donc évoluer vers une ∗ Mutualiser des produits entre les PF
banque d’expériences de collectivités et un re- ∗ Parler d'une seule voix à des interlo-
cueil de données quantitatives des volumes cuteurs interrégions (type CCAS EDF-GDF,
fournis à la RC par les plateformes et les GRAB Banque de France, etc.),
(simple mise en relation producteurs/RC).
∗ Négocier des outils ou prestataires
communs (logiciels, transporteurs, etc.)
-l’animation du réseau de correspondants culi-
naires bio (cuisiniers et diététiciens) ∗ Echanger des contacts de fournisseurs
La FNAB et son réseau ont formé un réseau de ∗ Comparer nos prix pour situer nos pro-
cuisiniers et diététiciens à la restauration ducteurs et se situer par rapport à la
collective bio afin d’intervenir dans des for- concurrence …
mations spécifiques. Il s’agit maintenant d’a-
nimer ce réseau à travers l’organisation de Les participants valident également deux
listes de discussion pour les chefs de cuisine rencontres :
et les diététiciens, un accès aux supports dis- - journée de professionnalisation des
ponible s s ur un intra net du site PF avec visite de Auvergne Bio distri-
www.repasbio.org, des rencontres entre forma- bution (septembre/octobre 2010)
teurs, permettant de faire le point, de mettre - visite de BIO A PRO organisée par
à jour l’ensemble des connaissances et de tra- l’ARDAB et AgriBio Ardèche le 22 novem-
vailler la cohésion du groupe. bre 2010
Véronique Baillon
3 août : portes ouvertes chez Luc : A.Dutheil, GABLIM : 05 55 31 86 87 interprofessionnelle bio LImousine
MOINEVILLE et Chantal LAJOUANIE à 14 septembre : CA GABLIM
Verneuil sur Vienne (87) - chèvres et 7 et 21 septembre : conduite d'élevage
tr ansformation fromage, porcs,
por c plein air et porc biologique. Interve-
bovins FOIRES ET MAR-
nant : Denis Fric, vétérinaire GABLIM. 1ère
05 55 48 03 90 jour sur l'alimentation et 2ème jour sur la CHES
conduite sanitaire.
5 septembre : une rencontre 8 août : foire biologique et artisanale
sur les semences paysannes à 2 visites d'exploitation : Gaec de Panlat à
Rilhac Rancon (naisseur -engraisseur por c de Beaulieu sur Dordogne
l'écohameau de Busseix à Ladignac
(87). cer tifié bio/ vente en filière longue et 12 septembre : foire bio du pays de
(r epas tiré du panier à partager) courte), Ferme du Boudaud au Vigen Collonges la Rouge
(naisseur-engraisseur et transformation de
19 septembre : foire bio-écologique
por cs cul noir / vente directe).
FORMATIONS de Guéret « Colchique »
GABLIM : 05 55 31 86 82
28 et 29 août : formation « De 26 septembre : foire bio de Brive
la graine à la graine : produire ses 3 o ctobre : mar ché bio de Veyrac
23, 24, 27 et 28 septembre : forma-
semences »
tion « les plantes pour soigner les arbres
association le battement d’ailes : 05 par l’approche biodynamique »
55 26 49 98
Pou r di ffu ser un e annonce, adressez-la par cou rri er avan t le 25 du moi s, accompagnée du règ lemen t correspondan t :
8,50 €. Nou s rappelon s qu e les annon ces son t g ratui tes pou r les adh éren ts de GABLIM et pou r les personn es à la re-
ch erch e d’un emploi