Première partie :
La communication interne : ses idées et ses
objectifs
Deuxième partie :
Les différentes formes d’une structure de
communication interne.
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b) Nombre de personnes travaillent dans la structure de
communication interne :
b) Le partenariat extérieur
c) L’intégration
Troisième Partie :
Représentation du métier d’un communicant interne
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Conclusion :
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1995 : la communication interne s’est installée dans l’entreprise et se
rapproche du management.
Après l’année 2000 : la question qui se pose que devient la fonction
communication interne dans l’entreprise du 21ème siècle ?
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PREMIERE PARTIE :
LA COMMUNICATION INTERNE : SES
IDEES ET SES OBJECTIFS
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circule mal eu sein d’une organisation , et un manque de transparence se
traduit toujours par la démotivation du personnel et l’adage selon lequel
l’ignorance coûte cher se vérifie très souvent .donc il faut que cette
information soit régulière ,partagée entre les infèrent collaborateurs qui
composent l’entreprise , et n’est pas imposable pour savoir transformer la
communication interne en véritable forum ou on peut se partager de
nouvelles idées .
On vous rappelle que la communication interne est l’ensemble de
principes, d’actions et de pratiques visant bien sur à informer et
expliquer ,mais aussi à animer la vie de l’organisation et à promouvoir
l’échange au quotidien. Et donner du sens pour favoriser l’appropriation,
donner de l’âme pour favoriser la cohésion et inciter chacun à mieux
communiquer pour favoriser le travail en groupe et les échanges.
Enfin et surtout on découvre que la communication ce n’est pas
seulement informer, c’est aussi chercher à influencer autrui. A se mettre en
scène ou à se défendre, écouter, dialoguer et partager…
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normale puisque ce dernier peut affecter la transmission du message à des
degrés divers .
Pour mieux transmettre l’information et être plus efficace, il faut
s’appuyer sur un langage non verbal ; c’est le fait d’envoyer et de recevoir
des messages sans passer par la parole mais au moyens des expressions du
visage, des postures, des gestes, des bruits divers, car plus on s’appuie sur
des exemples et en utilisant des moyens audiovisuels plus on a le pouvoir
de convaincre le récepteur.
Tout cela va nous permettre de dire que le langage que nous maîtrisons le
moins est celui qui parle le plus .En inversement celui que nous pensons
maîtriser le plus est celui parle le moins.
Cette idée est l’inverse de la précédente, elle est entendue dans les
structures traditionnelles, hors, d’une façon générale il faut lutter contre
trois attitudes :
La rétention d’information : consiste à dissimuler une information ou son
existence même afin qu'une personne, un ensemble de personnes ou une
organisation, légitimement en droit de la connaître, n'en disposent pas, donc
elle présente des effets négatifs car elle s’oppose au partage
d’information .considéré comme l’un des piliers de la gestion des
connaissances qui est l’ensemble des méthodes et des techniques permettant
de percevoir .d’identifier .d’analyser , d’organiser .de mémoriser et de
partager des connaissances entre les membres de l’organisation, elle a donc
des conséquences négatives sur l’organisation.
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La rétention de l’information a un coût financier .qu’il est difficile
d’évaluer .mais qui réel.il peut même dépasser les dépenses liées à
l’acquisition des informations et des connaissances nouvelles.
On peut identifier les raison de la rétention de l’information parmi eux on
trouve : les structures pyramidales dans l’entreprise.les comportements
individualistes qui font considérer l’information comme une propriété
individuelle etc.…
Le mutisme : c’est l’état d’une personne qui reste muette, c’est la réaction
de certains qui ne veulent ou ne peuvent s’exprimer sur un sujet donnée par
cause de pression de la hiérarchie ou d’eux même.
Dans l’entreprise , il est désagréable d’apprendre par l’extérieur que
cette dernière a changé par exemple de président , ou a signé un contrat
important ,ou s’est engagé dans un plan de restructuration qui pourrait
concerner un collaborateur ou un employé qui travaille dans cette
entreprise , ce n’est pas évident que la rue soit mieux informé que le couloir
de l’entreprise , il faut par contre que touts les gans qui composent
l’organisation doivent être informés et doivent chercher l’information eux
même afin de pouvoir prendre les décisions qui concernent l’entreprise .
L’opacité : c’est le manque de la transparence et de la clarté, en effet
l’obligation pour une société par exemple de publier ses résultats n’as
jamais freiné son développement .bien au contraire il a été prouvé qu’il
existe une corrélation étroite entre la politique de transparence d’une
entreprise et se santé.
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Pour que la communication puisse avoir une valeur il faut que le
récepteur comprenne le message de l’émetteur, si non la communication ne
vaut rien.
Tout message passe par le schéma des communications suivantes :
4 - Transmission du message
Atmosphère – ondes - papier
« Feed-back »
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Pour que l’ajustement entre l’intention de l’émetteur et l’attente du
récepteur puisse se réaliser, pour que le décodage des signes utilisé soit
pertinent, une communication en retour émanant du récepteur va être
nécessaire.
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conséquent, il est indispensable d’être compréhensible, accessible à
tous .Donc, une seule règle : parler (ou écrire) clairement et de façon
simple et, si possible .agir de même.
Ecoute et échange :la communication .pour atteindre des objectifs qui
visent à faciliter le profit de l’entreprise .va tenter de modifier ou de faire
évoluer les comportement et attitudes .Il est donc indispensable d’être à
l’écoute et de bien cerner la situation avant d’entamer quelque démarches
que ce soit le salarié est un consommateur .à l’extérieur de l’entreprise .il
fait partie du grand public qui doit être séduit pour passer à l’acte d’achat .il
doit être interpellé et convaincu par un message de fond .crédible et
véridique
Anticiper : l’anticipation est l’attitude qui évitera une grande partie des
mauvaises surprises toujours possibles. C’est le meilleur moyen de bien
gérer l’information .c’est aussi un excellent moyen de faire face aux
événements .dont on pourra mieux définir les objectifs et les moyens de
communication.
La rapidité : si l’on veut éviter les bruits .ou pire .les rumeurs.il faut veiller
à ce que l’information parvienne rapidement aux destinataires, des salariés
qui découvrent une information concernent leur entreprise par l’extérieur
.par la presse ou tout autre moyen .ont toujours une réaction négative
.l’information qui anticipe est toujours une réaction négative .l’information
qui anticipe est toujours mieux perçue.
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dire au minimum sur une année et plus si possible .le changement demande
du temps .et les évolutions sont lentes.
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• Un pourcentage du CA actuel ou une somme fixe par unité
vendue,
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Plafond d’une entreprise artisanale
Chiffre au delà duquel le nombre de dépendances hiérarchiques peut
devenir un frein à la fluidité des relations (un bon râteau manageriel a
sept dents)
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On s’aperçoit bien vite que réaliser une bonne communication interne est
une affaire complexe, qui demande du travail et de la méthode.
• La composante managériale :
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L'oralecollectif
17%
64%
L'orale
19% individuel 19%
64%
L'écrit 17%
• La composante commerciale :
Aussi elle a pour rôle de mettre en valeur notre produit, séduire le public et
a apporté d’excellents résultas en terme d’image et de notoriété.
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• La composante culturelle :
• La composante humaniste :
• La composante politique :
• La composante institutionnelle :
Destinée à améliorer l’image de l’entreprise, elle vise essentiellement
le grand public mais peut s’adresser à des cibles particulières (B to B) ou
s’intégrer dans une démarche de lobbying (pouvoirs publics, décideurs).
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Le terme de communication institutionnelle est parfois employé – à tort -
pour désigner la communication des institutions. Compréhensible
auparavant, cette acception doit désormais être écartée en raison du
développement d’une activité marketing au sein des administrations
publiques.
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-Décloisonner 72 66
-Aider la hiérarchie à faire
descendre et remonter 80 83
l’information
-Expliquer l’entreprise et ses
83 81
finalités
-Sensibiliser le personnel aux
87 83
enjeux de l’entreprise
-Mobiliser les énergies de
70 64
chacun, dynamiser
-Favoriser l’initiative et
46 41
l’autonomie
-faire circuler l’information - 70
-Préparer les salariés à des
77 68
changements d’organisation
-Aider le management à
63 68
animer son équipe
-Informer le personnel avant
84 80
l’extérieur
Institutionnelle -Répondre aux besoins
87 81
d’information des gens
-Favoriser les coopérations - 56
-Etablir un climat de
74 76
confiance
-Situer la contribution de
chacun au fonctionnement de 61 60
l’entreprise
-Permettre à chacun de
46 46
s’exprimer
Humaniste -Renforcer la considération et
47 45
le respect mutuels
-Former le personnel à la
25 22
communication
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-<<vendre>> l’entreprise aux
Commerciale 47 49
salariés
-informer plus rapidement que
32 38
les partenaires sociaux
Politique -Eviter la circulation des
37 50
rumeurs
-prévenir les conflits collectifs 46 46
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c) Existence d’une structure de communication interne :
Secteur privé et secteur public sont pourvus de structure de la même façon en 2000 :
l’écart se réduit.
1995 2000
Moins de 499 salariées 69% 54%
De 500 à 1999 salariées 86% 82%
2000 salariées et plus 93% 94%
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régression. Dans les établissements de plus grande taille, les services de
communication interne restent stables.
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La création d’une structure est le choix le plus fréquent. Elle témoigne de
l’engagement de la direction à long terme, et renforce par là même le poids
stratégique de la communication interne.
b) Le partenariat extérieur :
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Pourtant, l’appel à un intervenant extérieur n’est pas sans présenter un
certain nombre d’inconvénients. Signalons d’abord le coût des compétences
achetées. Mais, plus fondamentalement, n’ya-t-il pas un certain paradoxe à
sous-traiter une fonction qui, par essence, relève du fonctionnement propre
de l’entreprise ? L’appropriation par le corps social de la communication
interne peut être plus difficile si elle est médiatisée par un consultant.
c) L’intégration :
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fonctionnement idéal. Il aboutit à l’assimilation parfaite du besoin de
communiquer par tous dans l’entreprise. Mais il ne peut être efficace que si
certaines conditions sont réunies :
- Diffusion par la direction de messages clairs sur la stratégie et les
décisions prises.
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Comme nous allons le voir, les trois approches ne sont pas dénuées de
fondement mais il est difficile aujourd’hui de déclarer laquelle est la
situation idéale. Ce choix dépend en fait de la direction que désire donner le
management de la société à sa communication .
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2. Rattachement de la communication interne à la direction
de la communication :
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salarié et est à l’écoute de ses préoccupations. Elle intervient de façons
privilégiée sur les valeurs et sur la facilitation du travail en commun. Mais
la communication interne a également un aspect commercial et stratégique
important et ce dernier nécessitera certainement un effort plus important de
la part de la direction des ressources humaines.
Les trois rattachements présentent chacun des avantages et des
inconvénients présentés dans les trois argumentaires suivants :
avantages inconvénients
Rattachement à la direction générale
-proximité des ressources d’information. -image de « voix de son maitre ».
-vue plus cohérente et stratégique de l’entreprise. -éloignement du terrain.
-réactivité en cas de crise.
-facilité de décision.
-valorisation de la fonction.
Rattachement aux ressources humaines
-légitimité par la cible. -risque de frilosité
Quelle que soit la solution retenue, le choix d’une des structures ne doit
pas faire oublier les autres. Les trois composantes : management,
communication et social, sont au cœur du processus de vie de la
communication interne. La structure accompagne la stratégie, en non
l’inverse.
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La troisième Partie : représentation du métier d’un
communicant interne
2- connaissance de l’entreprise
3- goût à communiquer
4- rigueur
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7- qualité d’animation
8- diplomatie
9- qualité de rédaction
10- ténacité
11- maitrise des NTIC
12- autres
On pourra aussi expliquer ce résultat par le fait que 62% des répondants
sont des femmes dont les qualités comportementales ne sont plus à
démontrer…
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communication interne est avant tout affaire de comportement. Cependant,
la capacité à adapter des messages et à percevoir les attentes de cibles
différentes des entreprises suppose une culture généraliste, garante d’une
bonne compréhension de l’environnement. Le sens pratique et la perception
du concret sont les conditions nécessaires à la maitrise des techniques.
1. Missions et objectifs :
interne ;
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se repérer dans le panorama des outils de
communication ;
choisir et piloter des prestataires extérieurs ;
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métier ou son secteur d’activité. Pour mener à bien sa mission,
l’encadrement doit être bien informé par la direction et aidé dans son rôle
communicant.
-Relier et informer : le troisième grand objectif d’un responsable de
communication interne est de mettre en commun un langage, une culture,
un ensemble de valeurs afin de développer une appartenance à l’entreprise.
il crée un langage commun qui permet à chacun d’orienter et adapter son
comportement professionnel.
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L’éthique de communication est l'affaire de chaque homme qui, par
son éducation, sa culture, a acquis des principes, une morale, des
valeurs.
Elle peut désigner l'ensemble des normes nées du respect dans la
mesure.
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Il doit s’efforcer de plonger son entreprise dans un état de
communication performante, c'est-à-dire complète, organisée,
interactive, accessible, rapide, stable et régulière.
Il doit s’efforcer de cibler sa démarche de communication, de ne pas
mélanger la communication externe et la communication interne, et
autant que faire se peut, de ne pas destiner des supports communs à des
cibles de natures trop différentes.
Il doit s’efforcer de respecter et valoriser la culture de l’entreprise ainsi
que l’ensemble des micro-cultures quelle englobe.
Il doit s’efforcer de défendre la liberté de l’information, du commentaire
et de l’échange d’opinions.
Il doit publier des informations dont la source est connue et explicite. Il
ne doit pas altérer des textes, des documents ou des informations sans
l’autorisation de leurs auteurs ou de leurs sources.
Il doit rectifier toute information publiée qui se révélerait inexacte.
Il ne doit jamais confondre le métier de communicant dans l’entreprise
avec celui de propagandiste.
Il doit s’efforcer de bâtir toute une stratégie de communication sur une
démarche d’écoute et d’audit permanent de l’entreprise, de ces acteurs,
de ses outils de communication, de ses structures, de son
environnement.
Il doit s’efforcer de respecter dans toutes ses implications la législation
sur la propriété littéraire et artistique.
Le communicant en entreprise est en droit de demander le libre accès à
toutes les sources d’information et d’enquêter librement sur tous les faits
qui conditionnent la vie de l’entreprise. Le secret des affaires de
l’entreprise ou la nécessité de différer la publication d’une information
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ne peuvent lui être opposés que par exception et en vertu de motifs
clairement exprimés.
Le communicant dans l’entreprise ne peut être contraint à accomplir un
acte professionnel ou à signer une opinion qui serait contraire à sa
conscience.
Le communicant dans l’entreprise doit avoir la liberté de proposer les
moyens d’action les plus appropriés à l’atteinte des objectifs qui lui sont
fixés.
L’équipe chargée de la communication dans l’entreprise doit être
informée de toute décision et de tout événement importants de nature à
affecter la vie de l’entreprise. Elle doit être au moins consultée par la
direction de l’entreprise, avant toute décision définitive, sur toute
mesure intéressant la communication dans l’entreprise.»
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La communication interne est à la fois le reflet des objectifs et des
ambitions d’une entreprise mais également un moyen de mieux comprendre
et échanger avec les employés de celle-ci. Elle a pour objectif de construire
le dialogue entre ces deux parties pour que tous puissent évoluer de la
manière qu’ils le désirent.
Un des points qui marque le plus les choix de la communication interne est
la société humaine dans laquelle elle évolue. Les différentes mutations –
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comme, par exemple, celles qui se dessinent aujourd’hui et dans lesquelles
le travail n’est plus au centre des préoccupations – imposent d’adapter ses
discours et ses techniques et de « mieux communiquer ».
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