CARTES ORTHOGEOMETRIQUES

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par Raymond TERRASSE

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CARTES N° 7 et 8 : deux fois deux cercles :

I) TRIANGLES EQUILATERAL ET RECTANGLES :

Dans ces deux séries, nous allons terminer par un retour aux
sources ; à savoir la ligne primordiale et la ligne principale N°1.
Nous savons depuis le début de ces études, qu’elles s coupent en
un point baptisé P2. D’’autre part, nous avons appris que le milieu de Mont-
Saint-Michel / Trazns-en-Provence, se plaçait sur la circonférence de
Chambord-Gisors.
Toutes ces données vont donc fournir la base de nos trois
cercles : l’éternel Chambord-Gisors ( 184 kilomètres ), P2-Lascaux ( 207
kilomètres ), pour ne pas quitter la ligne primordiale, et le milieu de M-S-M /
Trans / Chambord ( 184 kilomètres également ).

Croquis N° 1 :

La ligne principale N°1, passant par deux centres, devient l’axe

d’un triangle équilatéral, dont elle devient la hauteur à partir du sommet A.
Cette figure est délimitée le plus simplement du monde par le
croisement nord-est ( B ), et sud-ouest ( C ) des cercles P2 et M-S-M / Trans ;
les côtés mesurant 366 kilomètres.

Cartes ortho N° 7 et 8 1
 Pour être complet, l’angle B sert de guide pour la droite qui relie
Clairvaux à Lascaux.

Croquis N° 2 :

Ce sont deux autres lignes principales qui interviennent, pour

permettre la création de triangles rectangles.
-Tournai -Celles ( A.M. 1686 ) coupe le cercle Chambord-Gisors
en H.
-Riec-sur-Belon / Trans sécante en D le cercle P2 ( et non
Chambord-Gisors comme sur le croquis, avec mes excuses pour cette erreur de
dessin ).
Ce cadrage permet ainsi à Chabeuil d’envoyer une ligne vers D,
qui coupant le cercle milieu MSM –Trans en F, devient l’hypoténuse d’un
triangle rectangle F D E. dont les côtés mesurent 405 X 282 kilomètres. L’angle
droit E est le croisement des deux autres cercles.
Maintenant, de H on trace une droite jusqu’ à A ( sommet du
triangle équilatéral ). Le cercle Chambord est coupé en G après 267 kilomètres.
La perpendiculaire partant de G rejoint l’hypoténuse D F en I, sur la
circonférence de milieu MSM-Trans ( 210 kilomètres ). Cette deuxième
hypoténuse H I, est confirmée par le fait qu’elle passe par Chambord.
Les rapports des côtés sont indirect pour l’un, et très précis pour
le second : 405 divisé par 282 = 1,436. Porté au carré, ce nombre devient 2, 062.
Or, le nombre d’Or multiplié par sa racine carrée donne 2, 058. Quatre

Cartes ortho N° 7 et 8 2
millièmes seulement d’écart. Et le quotient de 267 sur 210 est de 1,271. On
retrouve la racine carrée de PHI.
Pour clore ce premier groupe, signalons que D-F-Chabeuil coupe
le côté B C du triangle équilatéral, sur le cercle Chambord-Gisors.
Apparemment, les Responsables des OVNI n’ont rien laissé au hasard.

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II ) TROIS RECTANGLES :

Nous avons inauguré cette série de cartes par un rectangle ( carte

N° 1 ). Nous allons le retrouver ici symboliquement, mais accompagné de deux
congénères, dont il sera en partie le géniteur.

Croquis N° 3 :

En effet, c’est à nouveau Chambord-Gisors qui donne le ton,

associé à Chambord-Clairvaux ( 246 kilomètres ), et Gisors-Lascaux ( 471
kilomètres ). Il y a donc deux cercles concentriques, tangentés ou recoupés par
le troisième.
Vous vous insurgez peut-être en constatant que c’est un retour en
arrière. Nous savons déjà, direz-vous, et c’est du réchauffé, que Chambord-
Gisors contient un rectangle, tel que ci-dessus, et que Gisors-Lascaux fournit un
losange, des cônes, et une étoile. A quoi bon y revenir ?
Eh bien justement, nous n’y revenons pas. Si le croquis N°1 est
la réplique de la première carte, c’est uniquement pour servir de base de travail,
car nous en aurons besoin.

Croquis N°4 :

Cartes ortho N° 7 et 8 3
 Tournai-Lourdes font leur dernière apparition, pour créer l’angle
H du futur rectangle sur le cercle Chambord-Clairvaux. Encore Tournai, mais
associée à Riec, coupe le même cercle en E. En reliant H à E, on s’aperçoit que
l’angle A du rectangle de base est tangenté. Mais est-ce vraiment une surprise ?
toutefois, la seconde figure n’est pas formée pour autant, et la complexité prend
le relais, pour la concrétiser.
C’est tout d’abord Stonehenge / Saint Bauzille-de-la-Sylve
( A.M. 1873 ) qui coupe le cercle concentrique extérieur en M. De ce point nous
partons vers La Salette ( A.M. 1846 ). Et toujours sur ce même cercle, c’est la
naissance de l’angle sud-est G.
Si entre E et H, nous mesurons 410 kilomètres, de H à G, il y en
a 266. qui plus est formant un angle droit. De E, la perpendiculaire de longueur
identique, tombe sur le cercle en F. C’est bien, mais peut-on justifier cet angle ?
oui, doublement. En remontant de Trans-en-Provence vers F, on passe
obligatoirement par le croisement des deux grands cercles.
Comme E- H tangente l’angle A du rectangle initial, on rencontre
la même équivalence avec F- G, qui passe par l’angle C. On voit donc bien que
ce premier triangle n’est pas une redite inutile, mais qu’il a son importance dans
ce triptyque circulaire. A noter que chaque cercle a son propre triangle. En sera-
t-il de même avec le troisième ? oui, mais n’anticipons pas.

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 Tournai / Saint-Bauzille traverse le cercle intérieur en N.
Prémanon-N coupe Gisors-Lascaux en O, qui devient le carrefour de Gué-
D’Hossus / G .

Croquis N° 5 :

Station de départ : Stonehenge, direction Saint-Bauzille,

décidément omniprésente en cette fin d’étude. C’est l’origine de l’angle nord J
du troisième rectangle. Le croisement des deux grands cercles, nous donne
obligeamment l’angle J nord-ouest. A nouveau Saint-Bauzille, qui récidive avec
Belleville-sur-mer cette fois pour offrir l’angle sud L
Confirmation des figures précédentes, le côté I- J ( 245
kilomètres ) tangente lui aussi l’angle A du rectangle de base ; il aura donc
accompli trois fois son rôle de parrain en quelque sorte. Quant au grand côté I –
L ( 396 kilomètres ), c’est l’angle D qui est concerné. Le rectangle inscrit dans
le cercle Chambord-Gisors, aura vu trois de ses angles jouer les intermédiaires
de qualité.
L’angle K, quatrième du rectangle final, est conçu en deux
temps. Stonehenge- centre de la croix du cercle Gisors-Lascaux ( carte N°2 ),
coupe le petit cercle en P. Et c’est en définitive, la ligne joignant Prémanon à P
qui détermine l’angle K.
Les trois rectangles sont bien inscrits dans chacun des cercles,
mais avec obligatoirement l’aide des deux autres circonférences.

Cartes ortho N° 7 et 8 5
 C’est la magie de l’orthogéométrie, la synergie ufologique, qui
apporte son lot de surprises, et met aussi en valeur la fabuleuse conception des
Responsables des OVNI et des apparitions mariales. S’ils n’ont pas eu la
migraine en créant cette hyper géométrie sur plusieurs niveaux, c’est qu’ils
possèdent un cerveau à toute épreuve.
Mon orthogéométrie s’arrête là, semble-t-il, avec trois cercles.
Une tentative avec quatre cercles, s’est soldée par des trajectoires bien sûr, mais
sans obtenir de figures géométriques.. Mais peut-être ne suis-je pas capable de
décrypter plus avant les dessins des Dieux ?
Ce sera donc la Loi du Milieu qui prendra la suite.
Pour terminer sur une fin heureuse, c’est le rapport des côtés de
cet ultime rectangle qui va baisser le rideau, sur cette carte avec le croquis N° 6.

396 kilomètres divisés par 245 = 1, 616 ( écart sur le terrain : 250
et 400 mètres ). Quelle plus belle conclusion que celle du Nombre d’Or ?

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Raymond TERRASSE, février 2006

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