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controle final janvier 2009 Pr.

bousselhami

traitez l' une des questions suivantes:

question 1:

Expliquez,en utilisant des arguments économiques,l'interaction entre les objectifs structurels et les contraintes conjoncturelles de l'espace
budgetaire au maroc.

question 2:

Quelles relations peut-on établir entre la théorie de la policy-mix«la politique mixte»,le déficit budgétaire et la compétitivité extérieure d'une
economie?
Pour la deuxième question vous devez parler de la politique monétaire et budgétaire, parler de leurs objectifs comme quoi par exemple
la politique monétaire doit maintenir une masse monétaire assurant la maîtrise d'une inflation modérée qui n'affecte pas la croissance
économique... et comme quoi la compétitivité extérieure ou bien la compétitivité des entreprises nationales face au reste du monde est
étroitement dépendante du niveau d'inflation, qui affecte lui même le cours de change qui est un déterminant essentiel de la
compétitivité extérieure... ainsi que la relation qu'existe entre déficit budgétaire (que vous devez présenter) avec la compétitivité, par
exemple si je me rappelle bien que pour compenser le déficit budgétaire on peut faire recours aux dettes extérieures afin de combler ce
besoin, ainsi en remboursant les dites dettes on aura une sortie massive de devises et par la suite la monnaie nationale tend a se
déprécier, ainsi les importations des entreprises notamment dans les prix des produits a forte valeur ajoutée qui sont nécessaire pour
les producteurs nationaux, seront élevés et le cout de production va de soit et y aura en fin de compte une répercutions négative sur le
prix des produits nationaux qui auront à leur tour une difficulté de concurrencer les produits des autres pays sur les marchés
extérieurs, donc il y aura un enregistrement fort probable du recul des exportations...

Se sont juste quelques points dont je me rappelle, mais qui manquent d'un enchaînement logique entre eux, je vous conseil de bien
chercher l'explication des grands concepts utilisés notamment le policy mixte et les relations de type cause à effet qui peuvent y
existait...
Examen de Finances Publiques Janvier 2007
Durée : 1 heure

Responsable de la matière : Pr. A. BOUSSELHAMI


Traiter au choix l’un des sujets suivants :

Sujet 1 :
Analysez la relation : dépenses publiques et croissance économique pour le cas du Maroc.

Sujet 2 :

Question 1 :
Expliquer le concept de rationalisation du choix budgétaire.

Question 2 :
Les principaux objectifs de la loi des finances 2007.

Examen de Finances Publiques Janvier 2006


Durée : 2 heures

Traiter l’ensemble des questions suivantes :

Question 1 : (4 points) : Qu’est ce qu’un principe d’annualité ?

Question 2 : (6 points) : Dans quelle mesure les dépenses publiques constituent elles un facteur de croissance économique ?

Question 3 : (10 points) : Portée et limites de la loi de finances 2006 par rapport à 2005 ?
Le présent rapport évalue les pratiques en matière de transparence des finances publiques du Maroc au regard du Code de bonnes pratiques en
matière de transparence des finances publiques du FMI, sur la base des entretiens avec les autorités et avec d’autres interlocuteurs, des
réponses des autorités au questionnaire du FMI sur la transparence des finances publiques, ainsi que d’autres sources d’information. On trouvera
dans le Manuel sur la transparence des finances publiques du FMI (http://www.imf.org/external/np/fad/trans/manual) de plus amples explications
sur les termes et concepts abordés dans le présent rapport.

Le système de gestion des finances publiques marocaines, qui reste fortement centralisé et centré sur un contrôle strict de la régularité de la
dépense, bénéficie d’un niveau élevé de fiabilité et de sécurité juridique, et permet une maîtrise des évolutions budgétaires. La réforme
fondamentale de la loi organique relative aux lois de finances intervenue en Novembre 1998, les dispositions législatives et réglementaires qui
l’ont accompagnée, ainsi que les réformes récentes se sont traduites par des avancées importantes en matière de clarté des normes budgétaires
et comptables, d’accessibilité de l’information financière, de maîtrise des processus de préparation et d’exécution de la dépense et de qualité des
données financières. Sous l’effet de ces transformations, la transparence des finances publiques est aujourd’hui, pour l’essentiel, assurée.
Toutefois, malgré une situation globalement satisfaisante, des progrès restent à accomplir dans plusieurs domaines pour que les finances
publiques marocaines soient gérées dans des conditions de transparence conformes aux meilleures pratiques internationales. Les améliorations
prioritaires, et qui peuvent être accomplies à court terme, concernent l’élargissement progressif de la couverture du suivi des opérations
budgétaires au secteur des administrations publiques, la modernisation de la comptabilité de l’Etat, l’amélioration de l’information financière en
cours d’exécution de la loi de finances et l’évaluation des risques associés aux finances publiques. Les réformes qui devront s’étaler sur un plus
long terme devraient porter sur l’introduction d’une gestion publique axée sur la performance et un allégement des contrôles a priori alliés à un
renforcement de l’évaluation et des contrôles a posteriori.

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