Giovanni Fracchia
Prof. Alain Chevalier
Note de synthèse
4. Annexe
4.1. Tableau de répartition détaillée des droits de vote
4.2. Tableau de répartition du capital à l’international
4.3. Tableau d’analyse et évaluation de l’entreprise
Lafarge est une entreprise française qui produis et vends matériaux de construction, qui inclurent
cément, agrégats, béton, gypse et tous les produits liés au secteur de construction. Ses actions sont
échangées sur le marché de Paris depuis 1923 et elle est une des components du CAC 40.
Avec un chiffre d’affaire pour l’année 2009 de 15,8 milliards d’Euros et un résultat opérationnel de
2.5 milliards d’Euros, Lafarge est leader mondial dans le secteur des matériaux de construction.
La stratégie du groupe mire à renforcer sa position de leader mondial surtout en ce qui concerne la
dimension du marché, sa présence géographique et la rentabilité des produits. Le groupe
actuellement à deux priorités fondamentales:
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1.2. Données financières, actionnariat et valorisation du groupe
Données financières
Les résultats opérationnels du 2009 ont confirmé la contraction globale du secteur liée à
l’augmentation des couts de l’énergie, qui incident pour le 30% sur le cout de production des
matériaux de construction, et ainsi liée à la diminution de construction de nouvelles habitations dans
les états développes et a les ralentissements des états émergents dus au mal temps. L’entier secteur
de construction a subi le coup et aussi Lafarge a été touché par cette conjoncture défavorable
A cause de ces facteurs En 2009 le chiffre d’affaire de Lafarge est diminué de 19 milliards d’Euros en
2008 à 15,8 milliards d’Euros en 2008 (-13.9%) et les revenus sont passés de 3,5 milliards d’Euros à
2,47 milliards d’Euros (-41.7%)
Le « Free cash-flow » a connu une croissance significative en passant de 2,1 milliards d’Euros de
2008 à 2,8 milliards d’Euros de 2009 (+33%) surtout grâce à la forte réduction des couts prisée par le
groupe. La forte génération du cash par l’entreprise a le bout de poser l’attention des agences de
rating sur la capacité de l’entreprise de faire face à ses dettes même si elles sont élevées. Ce résultat
a été obtenu surtout grâce a une rigide politique de réduction des couts et désinvestissements. Ils
ont fait ça surtout pour éviter de voir leur rating être baisser par les agences, une baisse du rating
signifierait pour le Groupe un hausse significatif du cout de la dette.
La composition de l’actionnariat
Au 31 Décembre 2009 la composition1 des actionnaires du Groupe Lafarge était la suivante :
L’investisseur avec le plus grand nombre de droit de vote est le Groupe Bruxelles Lambert avec
27.1% de droit de vote. A suivre on trouve NNS Holding Sarl avec 11,8% de droit de vote tous les
autres droits de vote sont éparpillés par les autres investisseurs soit prives que institutionnels.
Même si personne ne détient plus de 50% des actions on pourrait identifier comme actioniste de
majorité en nombre de droits de vote le Groupe Bruxelles Lambert que, avec le 27% de droits, il
pourrait exercer une certaine influence sur les décisions prises par la société.
Au mois de Février 2009 la société, dans le cadre de sa plateforme de 4,5 milliards d’Euros visant à
lui permettre de résister a la crise économique, a lancé une augmentation de capital pour un
montant global de 1,5 milliards d'euros. Les deux principaux actionnaires de Lafarge, le groupe
Bruxelles Lambert et la holding luxembourgeoise NNS, ont assuré la leur contribution «à hauteur de
leur participation» dans le groupe, pour une chiffre de 0,5 milliards d’Euros. Le prix de souscription
est de 16,65 euros par action (soit un nominal de 4,00 euros et une prime d'émission de 12,65 euros)
sur la base de 6 actions nouvelles pour 13 actions existantes, entraînant l'émission de 90.109.164
actions nouvelles. Elle a commencée le 2 avril 2009 et s'est arrêtée treize jours plus tard.
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Annexe 1: répartition détaillée de droits de vote et sa composition géographique
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Objectif de l’augmentation : Le PDG du groupe, expliquait que grâce à cette augmentation de capital
Lafarge a renforcé sa structure financière, en réduisant son endettement. Dans un contexte financier
et économique sans précédent, l’objectif est de réduire rapidement la dette en 2009. Le plan d'action
annonce comprend des mesures opérationnelles fortes et une augmentation de capital, vise à réduire
la dette, consolider la structure financière, renforcer le leadership et positionner idéalement le
Groupe en prévision de la reprise.
Le prix de cette souscription fait apparaître une décote de 46% par rapport au cours de clôture de
l'action Lafarge au 30 mars 2009 corrigé du dividende envisagé de 2 euros par action au titre de
l'exercice 2008, auquel les actions nouvelles n'ont eu pas droit. Chaque actionnaire de Lafarge a reçu
un droit préférentiel de souscription par action détenue à la clôture de la séance de bourse du 1er
Avril 2009. Durant la période de souscription (2-15 Avril 2009) les droits préférentiels de souscription
ont été cotes et négocies sur Euronext Paris avec une valeur théorique de 4,5 Euros
Après l'annonce officielle, l'action perdait 3,87% à 32,58 euros.
Bénéfice Net par Action 4.20 EUR 3.25 EUR 3.12 EUR
Dans l’année 2008 le titre Lafarge a subi une forte baisse (-65,14%) due à la crise économique. En
2009 même si le groupe a augmenté sensiblement le niveau de la dette après l’acquisition
d’Orascom et les résultats opérationnels n’étaient pas très encourageant le titre a vu un hausse
annuel de +53%. Ça a été possible grâce à le consensus des analystes qu’ils ont conservé un
jugement positive ou neutre sur le titre Lafarge, surtout grâce à la perspective dominante que le
groupe a acquis dans les marches en fort expansion après les acquisitions faites, et parallèlement
grâce a une très importante plan structurel de réduction de la dette.
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Données comptables
La politique financière de Lafarge est définie par la Direction du Groupe. Les objectifs principaux ils
se peuvent résumer en :
Si on analyse les rapports financiers du groupe Lafarge à partir de l’année 2005 à l’année 2009 on
peut mettre en évidence une claire stratégie prises par la direction du groupe qui s’est fermée à
partir de l’année 2008 après la crise financière qui a frappé l’économie mondiale. Le groupe, en
effet, a été obligé à réviser sa stratégie en tenant compte de la situation liée au risque financier du a
une haute augmentation de la dette pendant les années récents. Surtout, après la crise, l’attention
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des investisseurs s’est posée sur le risque financier des entreprises en les forçant à réduire le niveau
d’endettement et à améliorer la solidité financière. Ca a changé drastiquement la stratégie
d’investissement du Groupe et on peut identifier ce changement de stratégie à partir de l’année
2009.
Années 2005-2008 : Depuis que le Groupe Lafarge travail dans le secteur de matériaux de
construction il a poursuivis une stratégie de diversification des marches dans lesquels être présents.
Face à la variété des situations locales, la politique de Lafarge a été claire : s'assurer une large
implantation mondiale pour limiter l'exposition aux risques, et faire face, actuellement, au
retournement dans les zones développées.
Si on analyse les rapports financiers à partir de l’année 2005 on peut voyer comme l’entreprise a
investie fortement pendants ces ans :
Le cash-flow absorbé par les investissements a été en moyenne le double de ce créé par l’activité
opérationnelle du Groupe. Surtout parmi les années 2007 et 2008 les activités immobilières du
Groupe sont passées de 21,490.00 millions d’Euros à 32,928.00 millions d’Euros (+53%) à souligner
l’expansion stratégique du Groupe.
En Janvier 2008 le Groupe a acquis le 100% du Groupe Orascom Construction Industries S.A.E avec
un prix de 8,321 million d’Euros. Cette opération est la plus importante de dernières années et a eu
un important impact sur la politique financière du Groupe qui a déçu de financière l’acquisition de
cette entreprise, stratégique pour le marché oriental, en recourant principalement à la dette
(6.0million d’Euros). Cette acquisition explique un cash-flow par les activités d’investissement en
2008 de 8,711 millions d’Euros. Cette décision d’investissement a augmenté de manière significative
l’endettement net de l’entreprise (dette net passe de 8,685 milliards d’Euros à 16,884 milliards
d’euros) que, à partir de 2009, a commencé une stratégie de réduction de son niveau bien visible
dans les donnes comptables du Groupe en ce qui concerne le «cash-flow from financing activities »
des années 2008 et 2009.
Financement obligataire (EMTN euro medium term notes) : capital maximum disponible égal a
9 milliards d’Euros et utilisé par 8,3 milliards au 31 Décembre 2009. Avec durées moyennes de
7-8 ans avec un taux d’intérêt fixe compris parmi le 6-8%. Par exemple dans le mois de
novembre 2009, placement privée de 150 million avec maturité de 8 ans et taux d’intérêt à
6.85%.
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total de 177 millions d’euros a un taux fixe de 6.74%. Durée divisée en 3 tranches à 4, 5 et 6
ans.
Lignes de crédit confirmées mais pas utilisées : disponibilité à Décembre 2009 : 3,5 milliards
d’Euros.
Avec les cessions d'actifs pour 750 million d’Euro en 2009 Lafarge a joue sur tous les leviers a
disposition pour créer du cash. Ella a réduit ses coûts et son besoin en fonds de roulement, et limité
ses dépenses d'investissement. Son endettement est ainsi passé de plus de 16,9 milliards d'euros en
2008 à 13,8 milliards en 2009. Elle a déçu de réduire ses dépenses d'investissements pour les
ramener à moins de 1 milliard en 2011, à comparer à 1,8 milliard en 2009 et 1,3 milliard en 2010. En
ca manière elle va accroître sa génération de cash-flow et donc, sa capacité à rembourser la dette
qui était le premier objectif du Groupe en 2009.
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3. Risque financière et perspective
Lafarge essaye de gérer le risque soit lié a son propre business soit lié a le risque qu’elle prend sur le
marché financière pour exploité au maximum les opportunités du marché.
o Le risque lié à la présence mondiale du Groupe surtout dans les pays émergents
Le Groupe ne prend pas des risques purement financiers et les marches financiers sont
utilisés seulement en cas de besoin à des fin de couverture économique. Les risques du
marché soutenus par le Groupe sont les suivantes
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Risque des taux de change: Lafarge en 2009 a généré le 75% de ses recettes
au dehors de la zone Euro, avec le 21% en dollars américaines. Clairement
un changement de taux de change des divises pourrait impacter
sensiblement le niveau d’endettement, les revenus et la capacité
d’investissement
*Possible risque future individué par la société en conséquence de l’augmentation des lois restrictives
dans les pays émergents sur la circulation des capitaux
Bruno Lafont, le PDG du Groupe, à individué en la réduction de la dette l’objectif essential pour
Lafarge en 2009 et pendant les années à venir. Lafarge assure que la situation est sous contrôle, et
elle n'exclut pas de recourir à des cessions d'actifs pour renforcer la structure financière du groupe.
Apres l’acquisition de l'égyptien Orascom, le groupe a annoncé son intention de réduire ses
dépenses d’investissement et de porter ses cessions d’actifs à plus de 500 millions d’euros. La dette
est assure par des tranches de remboursement qu’ils ne dépassent pas 1 à 1,2 milliards d’euros. Les
paiements seront assurés par le recours au free cash-flow généré par le Groupe. En autre, même si
certains marchés continuent à souffrir, on assiste globalement plutôt à des phénomènes de
stabilisation et, dans certains cas, il se peut constater un premier redressement (Moyen Orient
surtout). Affecté par la lenteur de la reprise économique mondiale, Lafarge a révisé à la baisse fin
juillet ses prévisions de vente pour 2010.
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4. Annexe
Sources utilisées : Rapport annuel 2009, 2008, 2007, 2006, 2005 Lafarge, Rapport des actionnariats Lafarge
2009, reuters.com, ft.com, euronext.com
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