Aujourd’hui avec le web 2.0 qui est le récepteur, qui est l’émetteur ? La définition est
désormais erronée !
Tous lecteurs, tous auteurs, cela va donc changer la manière d’écrire.
Sur le web faut réfléchir avant d’écrire, et plus que sur le papier encore. On écrit pour être lu.
- si on veut informer, il y a des règles à respecter.
- Si on veut séduire, le lecteur doit s’identifier à une image
- Si on veut divertir, c’est pour embellir la vie.
A un moment donné, il faut choisir une ligne éditoriale.
Des conseils :
- qualité de forme et de fons
- aération : max 3000 signes par écran, des paragraphes mini de 500 signes pour
étayer l’information
- titre et accroches à fort impact
- visuels : texte + visuel + son + vidéo
- qualité de la structure : les 6 questions-clés ou bien un fil rouge (chronologie, thèse-
anti-thèse-synthèse…) et toujours la pyramide inversée.
- Qualité du style : pas de fautes d’orthographes, des tournures simples, pas de
jargons, ton pertinent (en accord avec le produit et le public)
- Qualité de fond : qu’apportez-vous en plus à votre lecteur ?
Conclusion : « dans le tourisme, écrire pour le web c’est quand même conjuguer
l’information et la séduction : la technique et l’imaginaire ».
A noter que les ingrédients classiques de publicité fonctionnent de moins en moins bien sur
le web, mais les histoires oui.
Le « Web social » : que font les internautes ? Ils recommandent (des sites
concentrateurs), ils commentent, ils se rencontrent….