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DOSSIER DE PRESSE

VITTEL, UN ENGAGEMENT RESPONSABLE


DES VOSGES À L’AMAZONIE

En Amazonie, les programmes volontaires de “reforestation VITTEL, UN ENGAGEMENT HISTORIQUE DANS LA PROTECTION DE LA RESSOURCE • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • 5

communautaire” et de “déforestation évitée” de Vittel DE LA NÉCESSITÉ DʼADOPTER UNE APPROCHE TRANSVERSALE • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • 7

trouvent toute leur légitimité dans l’histoire de l’engagement UNE INITIATIVE VOLONTAIRE AUX MULTIPLES CO-BÉNÉFICES ENVIRONNEMENTAUX ET SOCIAUX • • • • • 13

citoyen de la marque et dans l’esprit de la démarche partenariale VERS UN TRANSFERT DE CONNAISSANCES • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • 17

initiée sur le bassin hydrominéral vosgien avec Agrivair.

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DES VOSGES À LʼAMAZONIE

Vittel
un engagement historique
dans la protection de la ressource

“Une eau saine commence par une terre saine”


Il y a plus de 25 ans, parce que, de fait, “une eau saine commence par une terre saine”,
Vittel initiait sa première démarche environnementale d’envergure. En 1985, devant la
nécessité de limiter l’impact de l’activité humaine sur la qualité de son eau minérale
naturelle, Vittel et le groupe Nestlé Waters France signaient un partenariat avec l’INRA
(Institut National de la Recherche Agronomique). Ce dernier, qui répondait à la nécessité
de mieux cerner les contraintes et les attentes des partenaires locaux de Vittel, s’est traduit
par la mise en œuvre d’un vaste programme de recherche pluridisciplinaire impliquant
notamment des agronomes, des zootechniciens, des économistes mais encore des
historiens et des sociologues. L’objectif était alors d’examiner les conditions nécessaires
à réunir afin de concilier, de façon durable, protection des eaux minérales souterraines et
développement économique local. De cette ambition naîtra, en 1992, Agrivair, filiale du
groupe Nestlé Waters France dédiée à la protection de la ressource.

Une démarche partenariale avant-gardiste


Agrivair mène depuis près de 20 ans une politique environnementale avant-gardiste avec
l’ensemble des parties prenantes de Vittel sur les 11 communes qui entourent son
impluvium (soit près de 10 000 hectares). La structure-conseil accompagne techniquement
et financièrement les acteurs locaux en assurant la mise en œuvre d’actions concrètes et
concertées afin de préserver la qualité des ressources en eau du bassin hydrominéral
vosgien. Les différents succès enregistrés au cours des 20 dernières années reposent sur
une approche pluridisciplinaire et partenariale fédérant les agriculteurs et les entreprises,
les autorités locales et les résidents, mais aussi les horticulteurs, paysagistes et
gestionnaires d’espaces verts. Le modèle de coopération mis en place a notamment
permis le déploiement d’une politique “zéro pesticides” au profit de méthodes
d’exploitation alternatives plus respectueuses de l’environnement (utilisation du compost,
rotation des cultures, désherbage thermique, substitution du maïs au profit de la luzerne,
développement de la bio-méthanisation du compost issu des exploitations agricoles,...).
Aujourd’hui, on constate sur l’impluvium de Vittel une restauration de la qualité des
écosystèmes, avec une richesse en termes de biodiversité équivalente à celle de certains espaces
protégés. Un accroissement significatif du nombre d’oiseaux (+20%) a ainsi été enregistré.

L’engagement novateur et “multiforme” de Vittel et d’Agrivair en matière de protection de


l’environnement a remporté, le 30 novembre 2010, lors du palmarès des Prix Entreprises &
Environnement, la mention spéciale dans la catégorie Biodiversité et Entreprises “Meilleure
démarche de gestion de site pour sa politique de préservation de l’eau autour de la
source”. Ce palmarès organisé par le Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable,
des Transports et du Logement, en partenariat avec l’ADEME, récompense les entreprises
innovantes en matière de développement durable.
Impluvium de Vittel, 10 000 hectares sans pesticides Agrivair accompagne les agriculteurs Vittel, une eau minérale
vittel_001.jpg dans une démarche respecteuse préservée © Sandrine Alouf
de l’homme et de l’environnement vittel_003.jpg
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DES VOSGES À LʼAMAZONIE

Vittel
de la nécessité d’adopter
une approche transversale

Le développement durable
Vittel au cœur de l’activité économique
a réduit
de 18% Au delà de la valorisation du bassin hydrominéral vosgien par Agrivair, le développement
durable est au cœur de l’activité de Vittel :
en 10 ans
Après avoir effectué en 2008 son bilan carbone, la marque agit pour réduire son empreinte
le poids écologique avec un plan directeur qui vise à baisser ses émissions de gaz à effet de serre,
de ses sa consommation d’eau, d’énergie et le poids de ses emballages.
emballages
sur son • Ainsi Vittel a réduit de 18% en 10 ans le poids ses emballages sur son format majeur 1.5L.
format Plus récemment, en 2010, le changement de forme de sa bouteille Vittel 2L a permis
d’économiser 300 tonnes de PET.
majeur 1.5L
• Plus de 30% des volumes de Vittel sont aujourd’hui transportés par rails (une proportion
deux fois supérieure à la moyenne française des transports de marchandises).
• Le site d’embouteillage de Vittel a réduit de 25% les volumes d’eau additionnelle utilisés
pour embouteiller 1 000 litres d’eau en 8 ans (2002-2010).
• Vittel cofinance la chaire d’enseignement et de recherche de l’Ecole des Mines de Paris
consacrée aux Bioplastiques pour offrir à terme une alternative bio sourcée aux matériaux
d’emballage issus du pétrole.
• Enfin, la marque sensibilise au recyclage et à la valorisation des déchets ménagers1.

C’est dans la continuité de cet engagement environnemental que Vittel déploie depuis
le début de l’année 2010 un vaste programme de sauvegarde de la forêt amazonienne.

Pack de 6 bouteilles Vittel 1.5L


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Bouteille Vittel 1,5 litre :


poids diminué de 18% en 10 ans
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logo de sensibilisation
au geste de tri
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DES VOSGES À LʼAMAZONIE

Vittel
de la nécessité d’adopter
une approche transversale

2011, Année internationale de la Forêt2 :


pour la promotion d’un modèle de gestion durable de la forêt
Au cœur d’importantes négociations internationales depuis de très nombreuses années, la
question de la dégradation des forêts a été largement débattue à Copenhague pour devenir
l’un des enjeux majeurs du sommet de Cancún3. L’accord défini lors de ce 16e sommet
climatique encourage notamment “l’ensemble des parties à mettre en place des solu-
tions et des moyens efficaces pour réduire la pression humaine sur les forêts”.
Les programmes REDD et REDD+, établis afin de promouvoir un modèle de développe-
ment durable des forêts pour que “leurs biens et services continuent de bénéficier au plus
grand nombre”, se mettent progressivement en place. En l’absence d’un cadre réglemen-
taire et financier contraignant, les stratégies d’adaptation tardent toutefois à émerger.
Face à la nécessité d’agir, il est apparu important à Vittel de s’engager de façon volontaire
en Amazonie - premier bassin d’eau douce mondiale - avant que ne soient atteints les
points de rupture identifiés par les expertises scientifiques.

Les forêts remplissent en effet un rôle clairement reconnu dans la régulation du climat et
du cycle de l’eau, accueillant par ailleurs les écosystèmes parmi les plus riches de la
planète et plus de la moitié de la biodiversité terrestre4. Malgré ce constat, chaque année,
treize millions d’hectares de forêts, soit l’équivalent de la taille d’un pays comme la Grèce,
disparaissent de la surface du globe5 du fait de l’activité humaine, de la conversion des
Le retrait forêts en terres agricoles, d’un abattage incontrôlé ou d’une politique de gestion des sols
progressif inadaptée. L’Amazonie, qui abrite près d’un millier de cours d’eau et compte parmi les plus
importants réservoirs de biodiversité du globe, a d’ores et déjà perdu un cinquième de sa
des forêts surface forestière.
constitue Ce retrait progressif des forêts constitue une menace de premier plan en termes de risques
une menace climatiques, écologiques et économiques. La déforestation, clairement responsable de
de premier près d’un cinquième des émissions mondiales de gaz à effet de serre6 (soit plus que les
secteurs des transports et de l’énergie), entraîne également la disparition d’écosystèmes
plan en
nécessaires à la survie et au développement pérenne de nombreuses espèces aussi bien
termes de animales que végétales.
risques
climatiques, Afin de sensibiliser le monde sur la richesse et la fragilité des écosystèmes et des espèces
écologiques végétales et animales, les Nations Unies ont promu l’année 2010 “Année de la biodiversité”.
L’année 2011, dédiée à la Forêt, sera quant à elle l’occasion de “renforcer les initiatives visant à
et promouvoir la gestion durable, la préservation et le développement des forêts7”.
économiques
9

Cedro Nativo Zone déforestée, région d'Alto Réserve forestière Martin Sagrado, La majestueuse Cascade El Bréo
© Clément Nataf Huayabamba, Pérou une faune et une flore inestimable au coeur de la forêt amazonnienne
vittel_007.jpg © Clement Nataf © Guillaume Jan © Marc Devillle
vittel_008.jpg vittel_009.jpg vittel_010.jpg
DES VOSGES À LʼAMAZONIE

Vittel
de la nécessité d’adopter
une approche transversale

Un engagement environnemental
qui transcende les frontières
Devançant d’un an l’Année internationale de la forêt, Vittel se lançait au début de l’année
2010 dans un vaste programme de reforestation en Amazonie en s’engageant notamment
à y replanter 350 000 arbres, soit 1 000 arbres par jour. En 2011, la marque réitère son
engagement et plantera 350 000 arbres supplémentaires pour atteindre l’objectif ambitieux
d’un million d’arbres plantés d’ici la fin 2012. Parallèlement à la poursuite de ce programme
de reforestation volontaire, Vittel participe cette année à un chantier de préservation de la
réserve forestière Martin Sagrado située en périphérie des zones reboisées (plus
d’informations sur www.vittel.fr). Pour mener à bien cette démarche volontaire et
responsable, Vittel s’appuie sur l’expertise technique et opérationnelle de Pur Projet.
Ce collectif de lutte contre le réchauffement climatique, fondé par Tristan Lecomte, mobilise
des ingénieurs agronomes, des techniciens et des experts en sylviculture et développe
des projets de reforestation et de “déforestation évitée” dans les pays du Sud en assurant
la complémentarité des deux approches. A l’image d’Agrivair qui oeuvre au quotidien pour
une protection durable des sources de Vittel, Pur Projet agit comme un véritable relais
entre la marque et les producteurs locaux de cacao et de café soucieux de préserver la
fertilité de leurs terres, de protéger la biodiversité de leur environnement et de participer à
la lutte collective contre le réchauffement climatique.
La marque a
pour objectif
de planter
un million
d’arbres
d’ici fin 2012
et de
préserver
30 000
hectares
de forêt

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Pépinière Reforesta Pérou, Pépinière Reforesta Pérou,une attention Pépinière Reforesta Pérou, des milliers de Pépinière Reforesta Pérou, préparation du
planton de Tornillo journalière portée aux plantons plantons bios sont préparés toutes les semaines transport des plantons vers les communau-
© Clement Nataf © Marc Devillle © Marc Devillle tés de la forêt © Marc Devillle
vittel_011.jpg vittel_012.jpg vittel_013.jpg vittel_014.jpg
DES VOSGES À LʼAMAZONIE

Vittel
une initiative volontaire
aux multiples co-bénéfices
environnementaux et sociaux

Une stratégie de sauvegarde qui combine deux approches


distinctes mais complémentaires
En Amazonie, le programme volontaire de sauvegarde soutenu par Vittel se concentre
particulièrement sur 3 sites péruviens et se décline en deux volets bien distincts et
complémentaires avec : d’un côté, les projets de “reforestation communautaire” dans les
régions d’Alto Huayabamba et de Lamas ; de l’autre, la préservation durable de 30 000
hectares de forêt dans la réserve de Martin Sagrado8, à proximité des zones reboisées.

Dans un climat tropical humide propice à une croissance rapide des arbres, la reforestation9
engagée par Vittel s’effectue à partir d’espèces natives : cedro, paliperro, caipirona,
acajou… Elle suit strictement les principes de l’agro-foresterie qui consiste à
combiner harmonieusement les cultures vivrières locales et la reforestation. La
plantation des arbres est confiée aux producteurs locaux de cacao et de café des
coopératives agricoles Acopagro (région d’Alto Huayabamba) et Oro Verde (région de
Lamas) qui en assureront par ailleurs la gestion et le suivi pendant les 3 premières années,
le temps de permettre aux plantations de se consolider et de favoriser l’émergence d’un
“couvert forestier” suffisant. Le financement de ce programme de reforestation volontaire
intègre en effet la plantation, le maintien et le suivi des arbres en assurant, par exemple,
un désherbage à la main des surfaces reforestées, sans traitement chimique. En amont
comme en aval de ce programme de reforestation, les coopératives agricoles sont
2 approches accompagnées par des équipes dédiées qui les conseillent dans l’atteinte des objectifs fixés.
distinctes et
Développé en complémentarité de ce programme volontaire de reforestation, le projet de
complémentaires : conservation de la réserve forestière Martin Sagrado au Pérou, vise à protéger et
restaurer et maintenir en équilibre la richesse de la biodiversité et des écosystèmes de la zone à
maintenir en préserver en prenant en compte ses spécificités économiques, sociales, et
équilibre culturelles. Ce projet implique notamment l’inventaire, l’observation et la préservation des
espèces animales et végétales ainsi qu’une étude aboutie des singularités du milieu à
la richesse de
protéger (altitude, climat, sols, végétation, pluviométrie…). Sur les 10 projets de
la biodiversité “déforestation évitée” (REDD+10) actuellement en cours de certification VCS11 à travers le
et des monde, le programme de conservation de la réserve Martin Sagrado est le seul mené avec
écosystèmes des petits producteurs locaux. La contribution de Vittel en 2011 permettra de protéger
30 000 hectares d’une zone de préservation forestière de 268 000 hectares au total. Située
sur la rive droite de l’Alto Huayabamba, cette parcelle de forêt primaire se révèle
particulièrement riche en espèces menacées inscrites sur la liste de l’UICN.

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Cedro Rosado Plantation par un producteur local, Tristan Lecomte et les produteurs de la Le planton est devenu un arbre,
© Clément Nataf Santa Rosa,coopérative Acopagro coopérative Acopagro Santa Rosa, Coopérative Acopagro
vittel_015.jpg © Marc Devillle © Marc Devillle © Clément Nataf
vittel_016.jpg vittel_017.jpg vittel_018.jpg
DES VOSGES À LʼAMAZONIE

Vittel
une initiative volontaire
aux multiples co-bénéfices
environnementaux et sociaux

De multiples co-bénéfices environnementaux et sociaux


Le programme de reforestation volontaire de Vittel (un million d’arbres plantés d’ici 2012)
présente de très nombreux co-bénéfices environnementaux et sociaux. Au-delà d’assurer
une absorption substantielle des concentrations de CO2 dans l’atmosphère et de favoriser
la production d’oxygène, la reforestation renforce également la préservation des
ressources en eau du bassin amazonien. En augmentant la pluviosité et le réapprovision-
nement des nappes phréatiques, la reforestation permet en effet de protéger les populations
locales contre les risques de sécheresse12. La reforestation participe par ailleurs à prévenir
les risques d’érosion des sols (glissements de terrain et coulées de boue) en améliorant de
façon sensible le filtrage de l’eau et la stabilité des terres. Elle favorise la sauvegarde de la
biodiversité13, des écosystèmes, des espèces végétales et animales menacées. Elle ga-
rantit, enfin, la promotion d’un modèle de gestion durable de la forêt conciliant harmonieu-
sement les cultures vivrières locales et la reforestation (principes de l’agro-foresterie).

En matière de bénéfices sociaux, le programme de reforestation assure notamment


aux producteurs locaux un meilleur rendement des sols grâce au renforcement du
“couvert forestier”. Recréé, ce dernier protège en effet les exploitations, accroît la
productivité des terres et améliore la capacité de résilience des écosystèmes et des
populations. Bien au-delà, les propriétaires et exploitants inscrits dans ce programme de
“reforestation communautaire” sont sensibilisés et accompagnés pour gérer durablement
En matière leurs terres et préserver les services écologiques et économiques rendus. A terme
de bénéfices l’exploitation raisonnée de la forêt augmentera les revenus des producteurs locaux par la
sociaux, le vente du bois certifié FSC (Forest Stewardship Council).

programme de Mené parallèlement avec la coopérative Acopagro, le projet de “déforestation évitée”et de


reforestation conservation de la réserve forestière de Martin Sagrado, permettra, quant à lui, d’assurer
assure une la protection particulière de 30 000 hectares de forêts, de rivières, de cascades et de
formation des canyons. Actions de sensibilisation, formations ou encore jardins botaniques
expérimentaux seront autant d’actions engagées pour préserver la zone.
producteurs
et une Au niveau local et global, les bénéfices environnementaux et sociaux des programmes
augmentation soutenus par Vittel en Amazonie sont nombreux, notamment en termes d’atténuation des
de leur qualité effets du réchauffement climatique, de développement humain, de valorisation des terres,
de vie de lutte contre la désertification, de protection de la biodiversité, des écosystèmes et de
la ressource en eau.

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Les plantons assurent l'avenir La population de Marisol se réunit Les femmes participent Après les dérives de la culture de la coca, une
des jeunes générations pour recevoir les plantons aux plantations paix retrouvée au sein des communautés
© Guillaume Jan © Guillaume Jan © Clément Nataf © Marc Devillle
vittel_019.jpg vittel_020.jpg vittel_021.jpg vittel_022.jpg
DES VOSGES À LʼAMAZONIE

Vittel
vers un transfert
de connaissances

La coopération et l’échange,
clé de voûte du changement
Des Vosges à l’Amazonie, la coopération et l’échange représentent, pour Vittel et ses
partenaires, la clé de voûte des succès enregistrés et le point de départ de toute création
de valeur partagée. Ce n’est en effet qu’avec la participation et l’implication du plus grand
nombre qu’une entreprise privée, en interne comme à l’externe, se révèle être en mesure
de résoudre l’équation de l’écologie industrielle en développant des initiatives transverses,
concrètes et responsables.

• Les avancées majeures enregistrées par Agrivair sur le bassin hydrominéral vosgien
illustrent tout l’intérêt que représente une approche territoriale locale et collective.
• En Amazonie, le partenariat initié en 2010 entre Vittel, Pur Projet et les coopératives
agricoles locales se développe de jour en jour, facilitant ainsi l’atteinte des objectifs
communément fixés en matière de préservation de la forêt tropicale.

La mise en valeur des compétences et des expériences pratiques de chacun invite


désormais l’ensemble des partenaires engagés dans les programmes de gestion et de
préservation des écosystèmes à aller encore plus loin : un transfert de connaissances
réciproques entre Agrivair et la Coopérative Acopagro se met progressivement en place.
Il a pour objectif d’assurer le partage, dans l’intérêt collectif, des savoir-faire et des
Transfert de compétences acquises en matière de gestion durable de la ressource et de
connaissances développement des systèmes agraires : techniques de mise en terre et d’optimisation
des cultures, modèles d’anticipation des risques, conditions nécessaires à la conduite du
réciproques changement, pratiques nouvelles et expérimentations, indicateurs de suivi, modèles
entre Agrivair d’organisation des coopératives locales...
et la coopérative
Acopagro pour La démarche partenariale de Vittel pour la protection de la forêt amazonienne, similaire à
assurer le celle déployée avec succès depuis près de 20 ans dans les Vosges, participe ainsi à
assurer une combinaison durable et concertée entre :
partage des Développement d’activités économiques,
savoir-faire Gestion durable du territoire par l’implication de tous ses acteurs,
et des Et préservation de l’environnement et de la ressource en eau.
compétences

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L'eau de la réserve forestière Enfants de la coopérative Oro Verde Tristan Lecomte accompagne les Cascade El Bréo
Martin Sagrado, un bien précieux © Marc Devillle producteurs de la coopérative Acopagro © Clement Nataf
© Marc Deville vittel_024.jpg © Marc Devillle vittel_026.jpg
vittel_023.jpg vittel_025.jpg
POUR PLUS DʼINFORMATIONS
WWW.VITTEL.FR
WWW.NESTLE-WATERS.COM/NWF

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61 RUE GEORGES LARDENNOIS
75019 PARIS
EMMANUELLE POMETAN
+ 33 6 11 34 04 88
EMMA@EMMAPOM.COM

1-Ce travail de sensibilisation et d’incitation au tri sélectif, mené en partenariat avec Eco Emballage, vise à favori-
ser le recyclage des bouteilles et s’inscrit dans la lignée de l’objectif des 75% de déchets ménagers recyclés (Gre-
nelle 2 de l’Environnement). 2-par l’Assemblée générale des Nations Unies : www.un.org/esa/forests/2011.html
3-Du 29 novembre au 10 décembre 2010.4-Le rythme de disparition des espèces est aujourd’hui estimé de “10
à 100 fois supérieur au rythme naturel d’extinction” et il pourrait être de “100 à 1.000 fois supérieur en 2050” selon
les expertises scientifiques. 5-Source : Programme des Nations Unies pour l’Environnement, “Plantons pour la
planète” 6-Données du GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat). 7-“Tous les types
de forêts, y compris les arbres hors forêts”. 8-La réserve, classée “High Conservation Value”, est située en amont
du fleuve Huayabamba dans une des provinces péruviennes des plus menacées malgré la richesse de sa biodi-
versité. 9-Le programme de reforestation de Vittel (notamment le nombre d’arbres et d’espèces plantés) est
contrôlé par la société SGS, référence mondiale en matière de vérification, de contrôle et de certification. Le pro-
jet bolivien de Rurrenabaque a été validé CDM (Clean Development Mechanism) et certifié CCBA (Climate Com-
munity Biodiversity Alliance). Le projet péruvien d’Alto Huayabamba est en cours de validation CCBA et VCS
(Volontary Carbon Standard). 10-www.developpement-durable.gouv.fr/Deforestation-la-France-co-preside.html
11-VCS : Volontary Carbon Standard. 12-Les forêts maintiennent en effet un micro-climat plus humide et plus
frais et créent les conditions favorables à la formation des nuages et au déclenchement des pluies dont dépen-
dent les terres et les exploitations agricoles. 13-Dans les zones forestières recréées ou préservées par Vittel, l’IUCN
(International Union for Conservation of Nature) a recensé 42 espèces animales et végétales menacées.

Imprimé sur papier recyclé Cyclus / encre végétale / imprimeur labélisé Imprim’vert / © supernaturelagence.fr

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