2. Photoneuroendocrinologie
• L'œil et la photoréception
• 3 tuniques successives:
• L'UV:
– Choroïde: Tissu conjonctif lâche, très vascularisé chez les
mammifères, contient des mélanocytes. Elle est en
contact avec la rétine.
• Cornée :
• Cristallin :
• Humeur aqueuse :
Produite par les procès ciliaires et libérée dans les chambres postérieures. En
suite elle se dirige vers les chambres antérieures. Ce processus est continu.
L'angle irido-cornéen est percé de toute une série de chenaux qu'on appelle
espace de Fontana. Ce sont ces cavités qui résorbent l'humeur aqueuse.
Important d'un point de vue pathologique : Le glocôme : causé par une
augmentation de la pression due à une mauvaise réabsorption de l'humeur
aqueuse par l'espace de Fontana. Les symptômes sont : œil opaque et
douloureux. Si l'œil est soumis à une pression trop importante trop longtemps,
cela provoque une neuropathie, dégénérescence des tissus.
• Corps vitreux
Chez l'oiseau :
Champs de vision :
Annexes :
Oreille externe:
• Pavillon
Rôle de protection, piège les particules exogènes. Mais peut être la source
de développement de parasites surtout au niveau du coude du canal.
Oreille moyenne :
Située entre le tympan et les fenêtres ronde et ovale. Elle forme la bulle
tympanique et communique avec la trompe d'eustache par l'air externe. Elle
est constituée d'un épithélium de type respiratoire. Elle comprend le Marteau,
l'étrier et l'enclume. Ces trois os ne peuvent se régénérer, une fracture induit
la cécité. Elle est séparée de l'oreille interne par le canal ovale, la membrane
ovale et la fenêtre ronde.
Oreille interne :
La cochlée et le vestibule sont logés dans une cavité au sain de l'os temporal,
une sorte de labyrinthe osseux contenant le labyrinthe membraneux et entre
les 2 un liquide: la lymphe.
Le labyrinthe membraneux:
Les cellules maculaires sont mise en jeu par les accélération linéaires. La
membrane otolithique possède un certain moment d'inertie, ce qui provoque
un mouvement de cisaillement au niveau des stéréocils et génère le signal
par dépolarisation. Renseigne sur la position de la tête dans l'espace.
Les crêtes ampulaire stimulées par des accélération angulaires provoque une
déformation de la cupule qui génère une info décodée par le système
nerveux central.
Parcourt du son: fenêtre ovale -> rampe vestibulaire -> rampe tympanique ->
fenêtre ronde
La partie basse de l'organe de Corti est sensible aux sons aigus, la partie
haute détecte les sons graves. Tout le long duparcourt du son dans la
cochlée, chaque point est sensible à des fréquences spécifiques. C'est
l'épaisseur de la membrane basillaire qui est responsable de cette spécificité.
Elle est déformée par les sons. Lorsque l'étrier frappe la fenêtre ovale, il y a
communication à la périlymphe du mouvement dans la rampe vestibulaire
puis tympanique. Cela va influancer la Mb basilaire. L'onde est transmise à la
rampe cochléaire par la membrane vestibulaire -> transmission à l'organe de
Corti, (mb basilaire) jusqu'à la mb de la fenêtre ronde. C'est un système de
résonance: Les neurones ne peuvent capter une information que de nature
d'échange ionique. Les ¢ ciliées transforment les vibrations en message
électrochimique perseptible par le cerveau. Partent des cellules sensorielles
des fibres nerveuses jusqu'au ganglion spinal puis jusqu'au cerveau.
L’olfaction
Epithélium olfactif principal est un épithélium pluristratifié contenant des ¢
neuroendocriniennes, des cellules de soutien et des cellules basales. Dans le
chorion il y a un certain nombre de glandes de Bowman (séromuqueuses) qui
produisent le mucus tapissant la surface de l’épithélium et qui piège les
molécules odorantes. Les terminaisons nerveuses convergent vers le bulbe
olfactif principal contrairement aux terminaisons nerveuses de l’organe
voméronasal qui convergent vers le bulbe olfactif accessoire. L’épithélium
olfactif chez le chien fait 150 cm2 avec 200 000 000 de ¢ contre 4 cm2 chez
l’homme et 5 000 000 de ¢.Les terminaisons nerveuses olfactives de la
muqueuse ne contiennent qu’un seul type de récepteurs par cellules mais
chaque récepteur peut déceler plusieurs substances odorantes et chaque
substance odorante peut se lier à plusieurs récepteurs.
Si l’on compare les voies sensorielles habituelles avec les voies olfactives, on
constate que les voies olfactives mettent en jeu 2 neurones seulement contre
3 pour les voies habituelles: n. périphérique, n. du tronc cérébral, n.
diencéphalique. C’est le n. diencéphalique qui manque.
Chez les rongeurs et les équidés il s’ouvre directement dans la cavité nasale.
Chez le chien et les ruminants, l’ouverture communique avec le conduit
nazopalatin. Il existe également chez l’homme. Il est encapsulé par une lame
osseuse provenant du vomer. Il comporte 2 versants: l’un présentant un
épithélium particulier (coté concave), l’autre une muqueuse typiquement
respiratoire (coté convexe). Du coté convexe il y a des vaisseaux et sinus
sanguins dans le chorion. Présence également de glandes sécrétant du
mucus.
Effet Bruce: La mise en présence d’un mâle ou de son urine (s’il s’agit d’un
mâle différent de celui avec lequel la femelle s’est accouplé) induit
l’inhibition de prolactine bloquant le processus de l’implantation de l’œuf.
(rongeur)
Les phéromones sont produites entre autre par les glandes sébacées.
Plusieures régions propres: entre les cuisses près de la mamelle, au niveau du
museau chez le chat.
Poissons:
Pas d’organe vomeronasal mais les phéromones jouent également un rôle.
Ex: chez les ostariophysaires, présence sous la peau de cellules à alarme qui,
lorsqu’elle sont lésée par morsure émettent dans l’eau des molécules
d’alarme. C’est sans doute au niveau du nez que se trouvent les récepteurs.