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E T S WILLEMS, LUCY & CO sprl

G l o b a l p l a s t i c p i p e s y s t e m s
R u e M . B E R V O E T S , 5 1 - 11 9 0 B r u x e l l e s . T é l : + 3 2 2 5 3 8 4 8 4 6
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Colonnes d’Eau Chaude Sanitaire avec boucle de retour.


Comparatif : HTA / PP-r en utilisation CONTINUE!
HTA (PVC-C) PP- r (Polypropylène Random)
Pressions maximales admissibles : Coef. sécurité Pressions maximales admissibles : Coef. sécurité
25 bars à 20°C 50 ans mini. 2,5 PN 20 bars à 20°C 50 ans 1,9 PN
13 bars à 60°C 50 ans mini. 2,5 PN 10,8 bars à 60°C 50 ans 1,3 PN
6 bars à 80°C 50 ans mini. 2,5 PN 6,9 bars à 80°C 20 ans ! 1,3 PN
4 bars à 90°C 50 ans mini. 2,5 PN 5,4 bars à 95°C 10 ans ! 1,3 PN

Capacité à résister aux coups de bélier Capacité à résister aux coups de bélier
dans le temps : dans le temps :
Coefficient de sécurité : 4,2 PN Coefficient de sécurité : ? PN
2,5 PN à 50 ans. 1,3 PN à ? ans
Pression d’épreuve 1 heure : 105 bars (4,2 x 25bars) Pression d’épreuve 1 heure : ? bars (1,9 x 20bars)

Coefficient de dilatation : 0,065 mm/m°C Coefficient de dilatation : 0,150 mm/m°C


ex: Une colonne sur 5 niveaux de 2,7m (13,5m) et une ex: Une colonne sur 5 niveaux de 2,7m (13,5m) et une
différence de températude de 50°C (placé à 20°C, différence de températude de 50°C (placé à 20°C,
utilisé à 70°C) donnera une allongement de 43,88mm. utilisé à 70°C) donnera une allongement de 101,25mm.
Dimensions des tubes (en mm): Dimensions des tubes (en mm):
D.16 x 1,8 di = 12,4 D.16 x 2,7 di = 10,6
D.20 x 2,3 di = 15,4 DN 15 D.20 x 3,4 di = 13,2 DN 10
D.25 x 2,8 di = 19,4 DN 20 D.25 x 4,2 di = 16,6 DN 15
D.32 x 3,6 di = 24,8 DN 25 D.32 x 5,4 di = 21,2 DN 20
D.40 x 4,5 di = 31,0 DN 32 D.40 x 6,7 di = 26,6 DN 25
D.50 x 5,6 di = 38,8 DN 40 D.50 x 8,4 di = 33,2 DN 32
D.63 x 7,1 di = 48,8 DN 50 D.63 x 10,5 di = 42 DN 40
... DN 63 ... DN 50
Assemblage des tubes et accessoires : Assemblage des tubes et accessoires :
Soudure chimique à froid (collage) Soudure thermique dans l’emboîture ou par manchons
Pas d’outil encombrant et génant sur chantier (dans les électriques. Outillage coûteux difficile à manipuler dans
gaines techniques). les gaines techniques
Diamètres disponibles : (gamme importante) Diamètres disponibles : (Limité par les épaisseurs)
16,20,25,32,40,50,63,75,90,110,125 et 160 (DN150) 16,20,25,32,40,50,63,75,90,110,125
Classement feu : Euroclasse 4 : B (pas de propagation) Classement feu : inflammable + gouttes enflammées
- S1 (pas de fumée) - d0 (pas de gouttes enflammées) Conclusions : + fumées
Conclusions : le PP-r est une matière intrinsèquement moins
Le HTA a un coefficient de sécurité qui lui permet une résistante que le HTA, c’est pourquoi il faut augmenter
durabilité, même soumis à des chocs thermiques les épaisseurs du PP-r pour obtenir des résistances se
(désinfection à 70°C contre la légionella). Le HTA rapprochant du HTA. De plus, un genoux très marqué
pourra accepter des coups de bélier même après 50 dans les courbes de régression du PP-r démontre un
ans. Quelque soit le régime de fonctionnement viellissement accéléré lors d’utilisation à température.
annoncé ci-dessus. APRÈS 5 ANS D’UTILISATION CONTINUE À
C’est pour celà que le HTA EST LA SOLUTION 60°C, LE PP-R PERD RAPIDEMENT SES
DURABLE AUX PROBLÈMES DE TARTRE ET RÉSISTANCES MÉCANIQUES ET DEVIENDRA
DE CORROSION DES RÉSEAUX D’EAU DE PLUS EN PLUS FRAGILE FACE AUX COUPS
CHAUDE ET FROIDE SANITAIRE. IL RÉSITE À DE BÉLIER. SENSIBLE AU CHLORE !!!
TOUS LES TRAITEMENTS CONTRES LES
LEGIONELLES (THERMIQUE, CHLORÉ, ...)

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Comparatif : HTA / PP-r en utilisation CONTINUE! (suite)
Courbe de régression
du HTA en PVC-C
(source CSTC)

Courbe de régression
du PP-r
(source CSTC)

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Comparatif : HTA / PP-r en utilisation CONTINUE! (suite)
Constat tout aussi alarmant avec le PB (Polybuthène)
Le “genoux” dans la courbe de régression du PB se produit
encore plus tot que pour le PP-r
Courbe de régression
du PB
(source CSTC)

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Colonnes d’Eau Chaude Sanitaire avec boucle de retour.


Comparatif : HTA / PP-r en utilisation CONTINUE! (suite)
La formation du bio film dans les différents matériaux :
Etude réalisée au KIWA (BTO 2001.170) et subventionnée par la CEE pour
déterminer de l’aptitude d’un matériau à développer le biofilm, lequel bio
film favorise la propagation des micro organismes (notamment les
Légionelles)
1 Verre 2 HTA 3 Cuivre 4 PPr 5 PE-X

C O N S T R U S I O N S D E S R É S E A U X S Û R S
ETS WILLEMS, LUCY & CO sprl
Global plastic pipe systems
Rue Marguerite BERVOETS, 51
B-1190 BRUXELLES (Forest)
BELGIQUE
Tel : +32 2 538 48 46
Fax : +32 2 538 41 07

LEGIONELLES et traitement des réseaux d’eau chaude et froide sanitaire :

Il est admit que les réseaux d’eau chaude sanitaire avec bouclage, sont des installations où l’on
risque le développement du biofilm contenant les « Légionella pneumophilia » à l’origine de la
« maladie du légionnaire » (la Légionellose).

Mais la réussite dans la lutte contre le développement du biofilm sur des installations
existantes, ne passera que par un remplacement des anciens réseaux en acier galvanisé
par des tuyauteries adaptées aux nouvelles contraintes de ces installations.

Un traitement de l’eau n’apportera pas à lui seul, un résultat concluant si, les facteurs
aggravants le développement des bactéries, restent présent dans le réseau.

Pour rappel, les facteurs aggravants le développement des légionelles sont :


1. La température : développement idéal entre 30 et 45°C
2. La corrosion : celle-ci sert de nutriments aux bactéries.
3. La stagnation de l’eau de la boucle : celle-ci contribue à la chute des températures.
4. Le tartre : celui-ci sert de protection aux bactéries en lui offrant une inertie thermique et
des cavités refuges.

Le System’O en C-PVC, est le seul matériau qui peut prétendre résister de manière
pérenne à tous les types de traitements contre les légionelles (traitements thermiques et
traitements chimiques), et ce tout en étant le systèmes de tuyauteries qui promeut le moins le
développement du biofilm.

Effectivement, le C-PVC a lors de nombreuses analyses, démontré qu’il était le matériau qui
favorisait le moins le développement du biofilm et ce, à 30°C comme à 50°C. (voir tableau du
CRECEP ci-dessous, montrant le développement du biofilm dans 6 matériaux différents après 125
jours)

Précisons que cette étude porte sur des matériaux neufs et que l’accumulation de calcaire dans
les tuyauteries, lorsqu’il se produit, peut augmenter le développement microbien.
Quid d’un cuivre entartré !

info@willems-lucy.eu Construisons des réseaux sûrs http:// www.willems-lucy.eu 1


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La température de la boucle d’eau chaude sanitaire devra donc être de 60°C au départ de la
production et de 55°C en tous points de la boucle.
Suivant la longueur de la boucle et la vitesse de circulation dans celle-ci, la température de
production devra être supérieure à 60°C.

Mais l’expérience nous montre que le maintien d’une bonne température dans la boucle ne suffit
pas toujours et qu’un traitement chimique est nécessaire.
Le traitement chimique le plus courrant est la chloration ou le dioxyde de chlore.

Mais lors de ces traitements, qui permettent également de lutter contre les pseudomonas, tous
les matériaux ne réagissent pas de la même manière.
Pour rappel, les pseudomonas se développement également dans les réseaux d’eau froide,
résiste aux chocs thermiques et elle contaminent les humains au travers des plus petites
plaies.

Les polyoléfines sont effectivement sensibles aux halogènes dont le chlore fait partie.
Le polypropylènes (PP), le polybutenes (PB), et le polyéthylènes réticulés (PEX), malgré certaines
promesses de fabricants, vont subir un « Stress-cracking » qui n’est ni plus ni moins qu’un
vieillissement accéléré de la matière.

Résultat de 4 années de chloration sur une boucle d’eau chaude sanitaire avec du polypropylène
(PP) :

Pour conclure, seule une bonne conception des réseaux, le choix raisonné des matériaux et
une maintenance sans faille des éléments constitutifs du réseau, dans le respect des protocoles
de surveillance et de traitement des développement microbien, peut permettre le maintien d’un
niveau acceptable de bactéries ne nuisant pas à la santé.

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La lutte à long terme contre les légionelles et pseudomonas ne peut se faire en faisant l’économie
d’un des points repris ci-dessus.

Le SYSTEM’O en C-PVC, un système indispensable pour un réseau d’eau chaude et


froide sanitaire limitant le développement du biofilm et permettant tous les types
de traitements contre les légionelles et pseudomonas.

Plus d’information sur :


http://www.willems-
lucy.eu/index.php/willems/produit/1/system_o_hta_et_hta_f_en_cpvc_de_girpi

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