G l o b a l p l a s t i c p i p e s y s t e m s
R u e M . B E R V O E T S , 5 1 - 11 9 0 B r u x e l l e s . T é l : + 3 2 2 5 3 8 4 8 4 6
www.willemslucy.be Contact : Thierry Lucy N° de pages : 1/4
Capacité à résister aux coups de bélier Capacité à résister aux coups de bélier
dans le temps : dans le temps :
Coefficient de sécurité : 4,2 PN Coefficient de sécurité : ? PN
2,5 PN à 50 ans. 1,3 PN à ? ans
Pression d’épreuve 1 heure : 105 bars (4,2 x 25bars) Pression d’épreuve 1 heure : ? bars (1,9 x 20bars)
C O N S T R U S I O N S D E S R É S E A U X S Û R S
E T S WILLEMS, LUCY & CO sprl
G l o b a l p l a s t i c p i p e s y s t e m s
R u e M . B E R V O E T S , 5 1 - 11 9 0 B r u x e l l e s . T é l : + 3 2 2 5 3 8 4 8 4 6
Courbe de régression
du PP-r
(source CSTC)
C O N S T R U S I O N S D E S R É S E A U X S Û R S
E T S WILLEMS, LUCY & CO sprl
G l o b a l p l a s t i c p i p e s y s t e m s
R u e M . B E R V O E T S , 5 1 - 11 9 0 B r u x e l l e s . T é l : + 3 2 2 5 3 8 4 8 4 6
C O N S T R U S I O N S D E S R É S E A U X S Û R S
E T S WILLEMS, LUCY & CO sprl
G l o b a l p l a s t i c p i p e s y s t e m s
R u e M . B E R V O E T S , 5 1 - 11 9 0 B r u x e l l e s . T é l : + 3 2 2 5 3 8 4 8 4 6
C O N S T R U S I O N S D E S R É S E A U X S Û R S
ETS WILLEMS, LUCY & CO sprl
Global plastic pipe systems
Rue Marguerite BERVOETS, 51
B-1190 BRUXELLES (Forest)
BELGIQUE
Tel : +32 2 538 48 46
Fax : +32 2 538 41 07
Il est admit que les réseaux d’eau chaude sanitaire avec bouclage, sont des installations où l’on
risque le développement du biofilm contenant les « Légionella pneumophilia » à l’origine de la
« maladie du légionnaire » (la Légionellose).
Mais la réussite dans la lutte contre le développement du biofilm sur des installations
existantes, ne passera que par un remplacement des anciens réseaux en acier galvanisé
par des tuyauteries adaptées aux nouvelles contraintes de ces installations.
Un traitement de l’eau n’apportera pas à lui seul, un résultat concluant si, les facteurs
aggravants le développement des bactéries, restent présent dans le réseau.
Le System’O en C-PVC, est le seul matériau qui peut prétendre résister de manière
pérenne à tous les types de traitements contre les légionelles (traitements thermiques et
traitements chimiques), et ce tout en étant le systèmes de tuyauteries qui promeut le moins le
développement du biofilm.
Effectivement, le C-PVC a lors de nombreuses analyses, démontré qu’il était le matériau qui
favorisait le moins le développement du biofilm et ce, à 30°C comme à 50°C. (voir tableau du
CRECEP ci-dessous, montrant le développement du biofilm dans 6 matériaux différents après 125
jours)
Précisons que cette étude porte sur des matériaux neufs et que l’accumulation de calcaire dans
les tuyauteries, lorsqu’il se produit, peut augmenter le développement microbien.
Quid d’un cuivre entartré !
La température de la boucle d’eau chaude sanitaire devra donc être de 60°C au départ de la
production et de 55°C en tous points de la boucle.
Suivant la longueur de la boucle et la vitesse de circulation dans celle-ci, la température de
production devra être supérieure à 60°C.
Mais l’expérience nous montre que le maintien d’une bonne température dans la boucle ne suffit
pas toujours et qu’un traitement chimique est nécessaire.
Le traitement chimique le plus courrant est la chloration ou le dioxyde de chlore.
Mais lors de ces traitements, qui permettent également de lutter contre les pseudomonas, tous
les matériaux ne réagissent pas de la même manière.
Pour rappel, les pseudomonas se développement également dans les réseaux d’eau froide,
résiste aux chocs thermiques et elle contaminent les humains au travers des plus petites
plaies.
Les polyoléfines sont effectivement sensibles aux halogènes dont le chlore fait partie.
Le polypropylènes (PP), le polybutenes (PB), et le polyéthylènes réticulés (PEX), malgré certaines
promesses de fabricants, vont subir un « Stress-cracking » qui n’est ni plus ni moins qu’un
vieillissement accéléré de la matière.
Résultat de 4 années de chloration sur une boucle d’eau chaude sanitaire avec du polypropylène
(PP) :
Pour conclure, seule une bonne conception des réseaux, le choix raisonné des matériaux et
une maintenance sans faille des éléments constitutifs du réseau, dans le respect des protocoles
de surveillance et de traitement des développement microbien, peut permettre le maintien d’un
niveau acceptable de bactéries ne nuisant pas à la santé.
La lutte à long terme contre les légionelles et pseudomonas ne peut se faire en faisant l’économie
d’un des points repris ci-dessus.