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ð La microfinance se définit par l¶offre de
services financiers (épargne, crédit, assurance)
à destination des plus pauvres. Elle s¶adresse
à des personnes à faible revenu, n¶ayant pas
accès aux institutions financières classiques et
sans activité salariée régulière
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ð Longtemps considérée dans certaines coutumes africaines, et même sénégalaises, comme
inférieure à l¶homme et devant se soumettre à lui, ou du moins comme une personne devant
seulement s¶occuper de son foyer, la femme africaine a fini par se mettre à l¶écart de toutes les
sphères de décisions même dans la société moderne. Elle devait obéir à ses parents, à son
époux ; son avis n¶étant presque jamais tenu en compte. Elle n¶est pas consultée avant les prises
de décisions même pour ce qui la concerne. Son rôle principal était non seulement de s¶occuper
du foyer mais aussi d¶assurer la pérennisation de la famille : pour cela la femme sans enfant était
peu considérée.
ð Au départ, les femmes africaines se sont organisées en association
communautaire (groupements), qui leur permettaient de cotiser de petites sommes d¶argent
(a apour s¶entraider à l¶occasion des cérémonies familiales (baptêmes, mariages,
décès et autres événements religieux) ou de financer des activités communautaire.

ð üien que marquée encore par le poids de la coutume, la femme sénégalaise semble aujourd¶hui
sortir progressivement de ce stéréotype qui l¶a longtemps caractérisée.
Le Sénégal est un de ces pays africains dans lesquels les femmes se sont mises, au fil des
années, au premier plan dans la vie sociale, politique et économique. Les associations féminines
y sont florissantes, ce qui a conduit au niveau étatique à la création du Fonds national pour la
promotion de l'entreprenariat féminin (FNPEF).

  
ð Le secteur a évolué comme suit au cours de la période 1993 ± 2003 :
ð le nombre d¶institutions a été multiplié par 6 atteignant 620 au 31/12/2003;
ð le nombre de points de services (caisses de base, agences et bureaux«) est passé de 1136 à
2597 ;
ð le nombre de clients/membres servis par ces institutions qui était de moins de 313 000 en 1993
a atteint 4 millions en déc. 2003 ;
ð les dépôts collectés passent de 12,8 milliards FCFA en 1994 à 204,7 milliards FCFA à fin 2003
ð les prêts octroyés par ces institutions ont été multipliés par 10 au cours de la période
considérée passant de 19,4 milliards à 200 milliards FCFA ;
ð des crédits en souffrance atteignent 8% de l¶encours au 31/12/2003.
  : Direction des Systèmes Financiers décentralisés de la üanque Centrale des Etats de
l¶Afrique de l¶Ouest (DSFD/üCEAO)
2    
Les IMF touchent plus du quart des familles sénégalaises. Le nombre de clients des SFD a été
estimé à 510 833 en décembre 2003 (Source : cellule AT/CPEC). Le secteur de la Microfinance
contribue à la lutte contre la pauvreté par les emplois directs créés : 1 365 personnes travaillant
dans les SFD en 2001 contre 793 en 2000.
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šun volume de crédit de 57,8 milliards FCFA ;
šun encours de crédit s¶élevant à 37,2 milliards FCFA pour les 7 réseaux constitués
šun encours de dépôts de 42,1 milliards FCFA ;
šdes créances en souffrance de l¶ordre de 1 milliard FCFA pour les 7 réseaux.
Données : Ministère des PME, de l¶entreprenariat féminin et de la microfinance Lettre de politique sectorielle,
Stratégie et plan d¶action 2005-2010, décembre 2004,
2      
    
šAlliance de Crédit et d¶Epargne pour la Production (ACEP) ;
šCrédit Mutuel du Sénégal (CMS) ;
š nion des Mutuelles du Partenariat pour la Mobilisation de l¶Epargne et le Crédit au Sénégal ;
šéseau des Caisses d¶Epargne et de Crédit des Femmes de Dakar (ECEC / FD) ;
šéseau des Mutuelles d¶Epargne et de Crédit de l¶ nacois (EMEC )
š nion des Mutuelles d¶Epargne et de Crédit ( MEC) ;
nion des Mutuelles d¶Epargne et de Crédit de l¶ nacois ( MEC ) .
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†  : Programme pilote par l¶octroi de


crédit au niveau du village de Louly
Ngogom (région de Thiès)
† : Test élargi à Carabane(Ziguinchor)
†      : Perspective de créer
diverses activités au profit des
organisations communautaires des
villages membres de GENSEN
   

ð Faciliter l¶accès au crédit à un taux préférentiel aux populations rurales et


urbaines .

ð Accompagner la création de micros-entreprises dans les écovillages du


Sénégal


ð Groupes de femmes et d¶hommes qui n¶ont pas accès aux
crédits dans les institutions de microfinance traditionnelles.
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ð Octroi de crédits avec un taux d¶intérêt annuel de 10%.

ð Appui conseil des micros entreprises à travers


l¶encadrement des populations dans l¶identification
le montage de projet et la formation ;

ð La recherche action :


ð Le réseau des écovillages du Sénégal


dénommé GENSEN
ð Kiva
ß
ð 07 régions du Sénégal répartis en 02 zones :
+  (Dakar-Thiès-Diourbel-StLouis-Fatick)
+  (Kolda-Casamance)



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›

2004 1 225 000

ðGouvernance 2005 2 1 295 000


+ Conseil d¶administration 2006 34 16 139 700
+ Le Comité National de Microfinance
+ Les équipes techniques 2007 124 66 279 025

+ Les présidents des écovillages

›

 †  † 

Commerce 16 47% 59 48%

ð Gestion du portefeuille Artisanat 2 6% 16 13%

Pêche 3 9% 3 2%

Agriculture 2 6% 19 15%

Elevage 4 12% 10 8%

Transformation des 4 12% 14 11%

ðFinancement du crédit produits locaux

Transport 0 0% 1 1%

Éducation 1 3% 1 1%

Restauration 2 6% 0 1%

NTIC 0 0% 1 1%

a     † 100%


 



ð ›


 :
+ Limite du plafond mensuel (portefeuille)
+ Concurrence des IMF autour du taux d¶intérêt
+ Fluctuation du dollar

ð ›
 : l¶analphabétisme des bénéficiaires

ð ›
 

: Limite des bailleurs
 
ð Forte implication de l¶Etat pour le développement de ce secteur à travers la création de lois, mise en
place d¶un ministère de la micro finance.
ð Existence d¶un réseau des écovillages
ð La forte demande de prêts
ð Le partenariat avec d¶autres organismes

Présentation de SEM à l¶ (Institut Supérieur de Management)

ð Reportage sur un groupement financé par kiva par une chaîne de télévision française › a


š Contribuer au développement communautaire de la population de base

š Permettre à une réduction de la pauvreté grâce à la coopération Nord-


SUD

š Contribution à la création d¶emplois pour les jeunes

š Le développement des microentreprises spécialisées dans les écovillages


: le cas de Waagmi et Propaf
O

ð Mise en place des GEC pour une meilleure capacité


des villages
ð Mise en place d¶un réseau de commercialisation des
produits de SEM
ð Maitriser la fluctuation du dollar
ð Renforcer l¶organisation de SEM
ð Accroitre le portefeuille de SEM pour répondre à la
demande

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