mière partie.
es crises financières: les principaux cau
mière partie.
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le blocage du fonctionnement de
l'économie d'un pays, d'une
région ou mondiale telle que
c'est actuellement, en raison
d'une rupture de liquidité et
également en raison de la crise
de confiance des acteurs
économiques vis a vis du système
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2. Prêts subprimes
3. Titrisation
La titrisation est une technique financière par laquelle des créances
traditionnellement illiquides et gardées par leurs détenteurs jusqu’à l’échéance sont
transformées en titres négociables et liquides.
Elle a pour tendance de rendre échangeable sur les marchés des produits pour
lesquels il n’existait pas traditionnellement de marchés primaires ou secondaires.
Elle a pour conséquence de fournir aux banques (et à toutes les institutions faisant
du crédit) des instruments leur permettant de gérer de façon nouvelle leurs bilans et
d’adapter leurs structures financières à leurs objectifs.
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3. Titrisation
4. Agence de notation
Ils sont des entreprises indépendantes qui apprécient le risque de solvabilité financière
d’une entreprise, d’un Etat, d’une collectivité locale (communes, départements, régions)
ou d’une opération financière.
Le rôle des agences de notation est de mesurer le risque de non remboursement des dettes
que présente l’emprunteur.
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4. Agence de notation
Ils sont évalués à la juste valeur qui est définie par l’IAS / IFRS comme étant le
montant pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre des
parties bien informées et consentantes dans le cadre d'une transaction effectuée
dans des conditions de concurrences normales.
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la combinaison de ces règles prudentielles avec les règles comptables a des effets redoutables.
Si le prix des actifs évalué en « juste valeur » s’effondre, les dépréciations que les banques sont
obligées d’inscrire dans leurs comptes réduisent leurs fonds propres.
Comme les agences de notation ont désormais classés ces actifs parmi les actifs « risqués », leur
besoin de fonds propres s’accroît encore afin de simplement respecter les normes prudentielles.
Les banques sont contraintes de vendre des actifs afin de restaurer le niveau de fonds propres
exigés vente à un prix bradé qui déprime plus encore les cours.
me partie.
fets de la crise financière sur la normalisation co
me partie.
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ØAmendements IFRS 7
Les amendements à IFRS 7 introduisent une hiérarchie à trois niveaux concernant la fourniture
d'informations sur les évaluations à la juste valeur et imposent aux entités de communiquer des
informations complémentaires sur la relative fiabilité des évaluations à la juste valeur. Ces
informations favoriseront la comparabilité entre entités sur les effets des évaluations à la juste
valeur. Cette hiérarchie de la juste valeur est la suivante :
Niveau 1 : des cours/prix cotés issus de marchés actifs pour des actifs ou passifs identiques ;
Niveau 2 : des données autres que les cours/prix cotés de niveau 1, qui sont observables pour
l'actif ou le passif, soit directement (des prix), soit indirectement (éléments dérivant de prix) ;
Niveau 3 : des données sur l'actif ou le passif qui ne sont pas fondées sur des données de
marché observables (informations non observables).
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ØAmendements IFRS 7
Des informations complémentaires doivent être fournies pour les évaluations à la juste
valeur de niveau 3.
Pour restaurer la confiance, les États se retrouvent en première ligne. Ils sont les seuls à
pouvoir garantir la continuité du financement de l’économie mais aussi l’intégrité des
dépôts à vue et de l’épargne des clients des systèmes bancaires et d’assurance.
L’action des États a visé à casser rapidement la spirale de défiance dans le système
financier qui risquait de mettre à mal tout le système économique et, par voie de
conséquence, la situation sociale et, de fait, de déclencher des crises politiques.
Plus d’intérêt et de prudence devraient donc être de mise désormais, les régulateurs
ne pouvant agir que si, préalablement, les États prennent les mesures législatives ou
réglementaires nécessaires pour la définition du cadre de la régulation.
Conclusion